Christian Navis :C'est une question d'éthique : on ne mord pas la main qui vous nourrit !
Si vous vous présentez aux prochaines élections, mon suffrage vous est
assuré.
Christian Navis :
C'est une question d'éthique : on ne mord pas la main qui vous nourrit !
Si vous vous présentez aux prochaines élections, mon suffrage vous est
assuré.
Christian Navis :C'est une question d'éthique : on ne mord pas la main qui vous nourrit !
Si vous vous présentez aux prochaines élections, mon suffrage vous est
assuré.
Bien sûr et Laurent est généralement accueilli à bras ouverts quand nous
comparons les droits souvent très proches de nos deux pays.
Mais là, on parle de liberté et de droit syndical en France et, sur ce
plan, les Belges n'ont pas à nous dire quoi faire avec nos magistrats
:-)
Bien sûr et Laurent est généralement accueilli à bras ouverts quand nous
comparons les droits souvent très proches de nos deux pays.
Mais là, on parle de liberté et de droit syndical en France et, sur ce
plan, les Belges n'ont pas à nous dire quoi faire avec nos magistrats
:-)
Bien sûr et Laurent est généralement accueilli à bras ouverts quand nous
comparons les droits souvent très proches de nos deux pays.
Mais là, on parle de liberté et de droit syndical en France et, sur ce
plan, les Belges n'ont pas à nous dire quoi faire avec nos magistrats
:-)
Hello Dominique !
(Dominique (de Corse)) wrote:Bien sûr et Laurent est généralement accueilli à bras ouverts quand nous
comparons les droits souvent très proches de nos deux pays.
Mais là, on parle de liberté et de droit syndical en France et, sur ce
plan, les Belges n'ont pas à nous dire quoi faire avec nos magistrats
:-)
Sur le fond, il y a conflit entre deux valeurs: le droit de se syndiquer, et
l'impartialité de la Justice.
Hello Dominique !
dmkgbt@free.invalid (Dominique (de Corse)) wrote:
Bien sûr et Laurent est généralement accueilli à bras ouverts quand nous
comparons les droits souvent très proches de nos deux pays.
Mais là, on parle de liberté et de droit syndical en France et, sur ce
plan, les Belges n'ont pas à nous dire quoi faire avec nos magistrats
:-)
Sur le fond, il y a conflit entre deux valeurs: le droit de se syndiquer, et
l'impartialité de la Justice.
Hello Dominique !
(Dominique (de Corse)) wrote:Bien sûr et Laurent est généralement accueilli à bras ouverts quand nous
comparons les droits souvent très proches de nos deux pays.
Mais là, on parle de liberté et de droit syndical en France et, sur ce
plan, les Belges n'ont pas à nous dire quoi faire avec nos magistrats
:-)
Sur le fond, il y a conflit entre deux valeurs: le droit de se syndiquer, et
l'impartialité de la Justice.
Sur le fond, il y a conflit entre deux valeurs: le droit de se
syndiquer, et l'impartialité de la Justice.
En principe on ne choisit pas son juge qui ne choisit pas son affaire
non plus, ce n'est pas un mariage. Et les juges ne sont pas des moines
soldats, si on les laisse juger en âme et conscience c'est précisément
parce qu'ils sont citoyens dans la société avec tout ce que ça implique.
C'est d'ailleurs pour la même raison que les soldats ne peuvent pas se
syndiquer.
Sur le fond, il y a conflit entre deux valeurs: le droit de se
syndiquer, et l'impartialité de la Justice.
En principe on ne choisit pas son juge qui ne choisit pas son affaire
non plus, ce n'est pas un mariage. Et les juges ne sont pas des moines
soldats, si on les laisse juger en âme et conscience c'est précisément
parce qu'ils sont citoyens dans la société avec tout ce que ça implique.
C'est d'ailleurs pour la même raison que les soldats ne peuvent pas se
syndiquer.
Sur le fond, il y a conflit entre deux valeurs: le droit de se
syndiquer, et l'impartialité de la Justice.
En principe on ne choisit pas son juge qui ne choisit pas son affaire
non plus, ce n'est pas un mariage. Et les juges ne sont pas des moines
soldats, si on les laisse juger en âme et conscience c'est précisément
parce qu'ils sont citoyens dans la société avec tout ce que ça implique.
C'est d'ailleurs pour la même raison que les soldats ne peuvent pas se
syndiquer.
Hello jr !
jr wrote:Sur le fond, il y a conflit entre deux valeurs: le droit de se
syndiquer, et l'impartialité de la Justice.En principe on ne choisit pas son juge qui ne choisit pas son affaire
non plus, ce n'est pas un mariage. Et les juges ne sont pas des moines
soldats, si on les laisse juger en âme et conscience c'est précisément
parce qu'ils sont citoyens dans la société avec tout ce que ça implique.
C'est d'ailleurs pour la même raison que les soldats ne peuvent pas se
syndiquer.
Tout ça n'est vrai que si les magistrats s'abstiennent de former un "soviet de
juges" où ils mettent en commun leurs opinions sur la société, et y définissent leurs
ennemis et leurs amis.
En outre, la magistrature n'a pas a mener des combats faisandés du type "lutte des
classes" qui sont une réminiscence de mai '68.
De nombreuses affaires ont été biaisées par ce "syndicat de la magistrature":
l'affaire Bruhay-en-Artois, l'affaire commissaire Jobic, etc etc...
Hello jr !
jr <jqs@froc.net> wrote:
Sur le fond, il y a conflit entre deux valeurs: le droit de se
syndiquer, et l'impartialité de la Justice.
En principe on ne choisit pas son juge qui ne choisit pas son affaire
non plus, ce n'est pas un mariage. Et les juges ne sont pas des moines
soldats, si on les laisse juger en âme et conscience c'est précisément
parce qu'ils sont citoyens dans la société avec tout ce que ça implique.
C'est d'ailleurs pour la même raison que les soldats ne peuvent pas se
syndiquer.
Tout ça n'est vrai que si les magistrats s'abstiennent de former un "soviet de
juges" où ils mettent en commun leurs opinions sur la société, et y définissent leurs
ennemis et leurs amis.
En outre, la magistrature n'a pas a mener des combats faisandés du type "lutte des
classes" qui sont une réminiscence de mai '68.
De nombreuses affaires ont été biaisées par ce "syndicat de la magistrature":
l'affaire Bruhay-en-Artois, l'affaire commissaire Jobic, etc etc...
Hello jr !
jr wrote:Sur le fond, il y a conflit entre deux valeurs: le droit de se
syndiquer, et l'impartialité de la Justice.En principe on ne choisit pas son juge qui ne choisit pas son affaire
non plus, ce n'est pas un mariage. Et les juges ne sont pas des moines
soldats, si on les laisse juger en âme et conscience c'est précisément
parce qu'ils sont citoyens dans la société avec tout ce que ça implique.
C'est d'ailleurs pour la même raison que les soldats ne peuvent pas se
syndiquer.
Tout ça n'est vrai que si les magistrats s'abstiennent de former un "soviet de
juges" où ils mettent en commun leurs opinions sur la société, et y définissent leurs
ennemis et leurs amis.
En outre, la magistrature n'a pas a mener des combats faisandés du type "lutte des
classes" qui sont une réminiscence de mai '68.
De nombreuses affaires ont été biaisées par ce "syndicat de la magistrature":
l'affaire Bruhay-en-Artois, l'affaire commissaire Jobic, etc etc...
Hello Dominique !
(Dominique (de Corse)) wrote:
> Bien sûr et Laurent est généralement accueilli à bras ouverts quand nous
> comparons les droits souvent très proches de nos deux pays.
> Mais là, on parle de liberté et de droit syndical en France et, sur ce
> plan, les Belges n'ont pas à nous dire quoi faire avec nos magistrats
> :-)
Sur le fond, il y a conflit entre deux valeurs: le droit de se
syndiquer, et l'impartialité de la Justice. C'est la seconde qui prime:
les magistrats ne peuvent pas s'affilier à quelque association que ce
soit, où le but est d'élaborer des stratégies de partialité afin de
biaiser le fonctionnement de la société.
Ils doivent réaliser aussi qu'on n'est plus en mai '68 et qu'il y a eu des
erreurs dans toutes les directions à cette époque, comme par exemple la
pédophilie dont on faisait ouvertement l'apologie à la télévision avec des
arguments spécieux "L'enfant comprend l'amour qu'on lui porte et essaie de
le rendre avec ses petits moyens". La "harangue de Baudot" est à la
Justice ce que les interviews de pédophiles furent à la sexualité.
Quant à l'"ingérence de la Belgique dans les affaires intérieures de
la France",
il faut rappeler qu'on a souvent plus de recul de l'extérieur; tandis qu'à
l'intérieur on a plus facilement "la tête dans le sac".
C'est vrai pour la Belgique aussi.
Hello Dominique !
dmkgbt@free.invalid (Dominique (de Corse)) wrote:
> Bien sûr et Laurent est généralement accueilli à bras ouverts quand nous
> comparons les droits souvent très proches de nos deux pays.
> Mais là, on parle de liberté et de droit syndical en France et, sur ce
> plan, les Belges n'ont pas à nous dire quoi faire avec nos magistrats
> :-)
Sur le fond, il y a conflit entre deux valeurs: le droit de se
syndiquer, et l'impartialité de la Justice. C'est la seconde qui prime:
les magistrats ne peuvent pas s'affilier à quelque association que ce
soit, où le but est d'élaborer des stratégies de partialité afin de
biaiser le fonctionnement de la société.
Ils doivent réaliser aussi qu'on n'est plus en mai '68 et qu'il y a eu des
erreurs dans toutes les directions à cette époque, comme par exemple la
pédophilie dont on faisait ouvertement l'apologie à la télévision avec des
arguments spécieux "L'enfant comprend l'amour qu'on lui porte et essaie de
le rendre avec ses petits moyens". La "harangue de Baudot" est à la
Justice ce que les interviews de pédophiles furent à la sexualité.
Quant à l'"ingérence de la Belgique dans les affaires intérieures de
la France",
il faut rappeler qu'on a souvent plus de recul de l'extérieur; tandis qu'à
l'intérieur on a plus facilement "la tête dans le sac".
C'est vrai pour la Belgique aussi.
Hello Dominique !
(Dominique (de Corse)) wrote:
> Bien sûr et Laurent est généralement accueilli à bras ouverts quand nous
> comparons les droits souvent très proches de nos deux pays.
> Mais là, on parle de liberté et de droit syndical en France et, sur ce
> plan, les Belges n'ont pas à nous dire quoi faire avec nos magistrats
> :-)
Sur le fond, il y a conflit entre deux valeurs: le droit de se
syndiquer, et l'impartialité de la Justice. C'est la seconde qui prime:
les magistrats ne peuvent pas s'affilier à quelque association que ce
soit, où le but est d'élaborer des stratégies de partialité afin de
biaiser le fonctionnement de la société.
Ils doivent réaliser aussi qu'on n'est plus en mai '68 et qu'il y a eu des
erreurs dans toutes les directions à cette époque, comme par exemple la
pédophilie dont on faisait ouvertement l'apologie à la télévision avec des
arguments spécieux "L'enfant comprend l'amour qu'on lui porte et essaie de
le rendre avec ses petits moyens". La "harangue de Baudot" est à la
Justice ce que les interviews de pédophiles furent à la sexualité.
Quant à l'"ingérence de la Belgique dans les affaires intérieures de
la France",
il faut rappeler qu'on a souvent plus de recul de l'extérieur; tandis qu'à
l'intérieur on a plus facilement "la tête dans le sac".
C'est vrai pour la Belgique aussi.
Et les juges ne sont pas des moines
soldats, si on les laisse juger en âme et conscience c'est précisément
parce qu'ils sont citoyens dans la société avec tout ce que ça implique.
C'est d'ailleurs pour la même raison que les soldats ne peuvent pas se
syndiquer.
Et les juges ne sont pas des moines
soldats, si on les laisse juger en âme et conscience c'est précisément
parce qu'ils sont citoyens dans la société avec tout ce que ça implique.
C'est d'ailleurs pour la même raison que les soldats ne peuvent pas se
syndiquer.
Et les juges ne sont pas des moines
soldats, si on les laisse juger en âme et conscience c'est précisément
parce qu'ils sont citoyens dans la société avec tout ce que ça implique.
C'est d'ailleurs pour la même raison que les soldats ne peuvent pas se
syndiquer.
Le 04/07/2014 07:28, Laurent Jumet a écrit :Tout ça n'est vrai que si les magistrats s'abstiennent de former un "soviet de
juges" où ils mettent en commun leurs opinions sur la société, et y définissent leurs
ennemis et leurs amis.
Quelle différence avec un juge catholique, qui a aussi une instance
supérieure, à laquelle il est bien plus inféodé qu'à un syndicat, disant
le bien et le mal (surtout le mal), excommuniant des gens en fonction de
leur appartenance en termes durs, et en plus en désaccord avec certaines
lois de la République voire appelant à y désobéir ?
Le 04/07/2014 07:28, Laurent Jumet a écrit :
Tout ça n'est vrai que si les magistrats s'abstiennent de former un "soviet de
juges" où ils mettent en commun leurs opinions sur la société, et y définissent leurs
ennemis et leurs amis.
Quelle différence avec un juge catholique, qui a aussi une instance
supérieure, à laquelle il est bien plus inféodé qu'à un syndicat, disant
le bien et le mal (surtout le mal), excommuniant des gens en fonction de
leur appartenance en termes durs, et en plus en désaccord avec certaines
lois de la République voire appelant à y désobéir ?
Le 04/07/2014 07:28, Laurent Jumet a écrit :Tout ça n'est vrai que si les magistrats s'abstiennent de former un "soviet de
juges" où ils mettent en commun leurs opinions sur la société, et y définissent leurs
ennemis et leurs amis.
Quelle différence avec un juge catholique, qui a aussi une instance
supérieure, à laquelle il est bien plus inféodé qu'à un syndicat, disant
le bien et le mal (surtout le mal), excommuniant des gens en fonction de
leur appartenance en termes durs, et en plus en désaccord avec certaines
lois de la République voire appelant à y désobéir ?
Tout ça n'est vrai que si les magistrats s'abstiennent de former un
"soviet de juges" où ils mettent en commun leurs opinions sur la société,
et y définissent leurs ennemis et leurs amis.
Quelle différence avec un juge catholique, qui a aussi une instance
supérieure, à laquelle il est bien plus inféodé qu'à un syndicat, disant
le bien et le mal (surtout le mal), excommuniant des gens en fonction de
leur appartenance en termes durs, et en plus en désaccord avec certaines
lois de la République voire appelant à y désobéir ?
Et surtout que dire des jurés dont, horresco referens, certains sont
peut-être syndiqués, engagés, sexués, et qui ont à juger des affaires
les plus graves?
Un syndicat est une association de personnes privées mettant en commun
leurs forces pour faire aboutir certaines actions. Le Rotary aussi.
De nombreuses affaires ont été biaisées par ce "syndicat de la
magistrature": l'affaire Bruhay-en-Artois, l'affaire commissaire Jobic,
etc etc...
En l'occurrence le seul biais qu'on trouve c'est celui de Sarko qui
s'accroche à ça pour se sortir de l'eau. Personne n'a trouvé quoi que ce
soit à reprocher à la juge.
Tout ça n'est vrai que si les magistrats s'abstiennent de former un
"soviet de juges" où ils mettent en commun leurs opinions sur la société,
et y définissent leurs ennemis et leurs amis.
Quelle différence avec un juge catholique, qui a aussi une instance
supérieure, à laquelle il est bien plus inféodé qu'à un syndicat, disant
le bien et le mal (surtout le mal), excommuniant des gens en fonction de
leur appartenance en termes durs, et en plus en désaccord avec certaines
lois de la République voire appelant à y désobéir ?
Et surtout que dire des jurés dont, horresco referens, certains sont
peut-être syndiqués, engagés, sexués, et qui ont à juger des affaires
les plus graves?
Un syndicat est une association de personnes privées mettant en commun
leurs forces pour faire aboutir certaines actions. Le Rotary aussi.
De nombreuses affaires ont été biaisées par ce "syndicat de la
magistrature": l'affaire Bruhay-en-Artois, l'affaire commissaire Jobic,
etc etc...
En l'occurrence le seul biais qu'on trouve c'est celui de Sarko qui
s'accroche à ça pour se sortir de l'eau. Personne n'a trouvé quoi que ce
soit à reprocher à la juge.
Tout ça n'est vrai que si les magistrats s'abstiennent de former un
"soviet de juges" où ils mettent en commun leurs opinions sur la société,
et y définissent leurs ennemis et leurs amis.
Quelle différence avec un juge catholique, qui a aussi une instance
supérieure, à laquelle il est bien plus inféodé qu'à un syndicat, disant
le bien et le mal (surtout le mal), excommuniant des gens en fonction de
leur appartenance en termes durs, et en plus en désaccord avec certaines
lois de la République voire appelant à y désobéir ?
Et surtout que dire des jurés dont, horresco referens, certains sont
peut-être syndiqués, engagés, sexués, et qui ont à juger des affaires
les plus graves?
Un syndicat est une association de personnes privées mettant en commun
leurs forces pour faire aboutir certaines actions. Le Rotary aussi.
De nombreuses affaires ont été biaisées par ce "syndicat de la
magistrature": l'affaire Bruhay-en-Artois, l'affaire commissaire Jobic,
etc etc...
En l'occurrence le seul biais qu'on trouve c'est celui de Sarko qui
s'accroche à ça pour se sortir de l'eau. Personne n'a trouvé quoi que ce
soit à reprocher à la juge.
"Toute personne, à de très rares exceptions près, peut se syndiquer :
c'est un droit qui est garanti, entre autres, par la Constitution de
1958.
"Toute personne, à de très rares exceptions près, peut se syndiquer :
c'est un droit qui est garanti, entre autres, par la Constitution de
1958.
"Toute personne, à de très rares exceptions près, peut se syndiquer :
c'est un droit qui est garanti, entre autres, par la Constitution de
1958.