Wilk écrivait le 4 août de l'an de grâce deux mil quatre sur
fr.comp.lang.python:
>> je recherche un environnement de développement pour python sous linux
>
> emacs :-p
Bonjour,
Ca fait des années que j'utilise Linux et que j'entends parler d'emacs comme
de la solution universelle à (presque) tous les problèmes. Seulement le
laconisme lyrique d'une réponse mystique d'initié telle que la précédente
ne m'a jamais poussé à quitter le confort cliquable de mes éditeurs
familiers.
Y a-t-il une réponse objective, précise, détaillée, argumentée, à la
question "qu'est-ce qu'emacs apporte de plus (de réellement utile au
quotidien j'entends) qu'un éditeur commun avec la coloration syntaxique, la
complétion, une gestion de templates et de projet ainsi que la navigation
dans le code source ?" ?
Est-on utilisateur d'emacs parce qu'on l'a appris (avec peine) à
l'université et qu'on a le sentiment ainsi d'appartenir à la sainte
communauté des "vrais de vrais", comme il y avait voici quelques années
(avant sa démocratisation) les "vrais de vrais" de Linux, comme il y a ceux
de FreeBSD, etc. ?
J'ai conscience de lancer ici un nid à trolls potentiel, mais la question
est sincère...
Puisqu'il bénéficie des avancées de cinq générations d'éditeurs, on en déduit tout naturellement qu'il est plus convivial qu'emacs.
Certes, mais dans emacs, on entend MAX... alors que dans vi, on entend rien
Si, aïe, soit le cri déchirant du gars obligé de rebooter (vu de mes yeux vu) car coincé dans cet éditeur d'un autre monde dont on ne peut sortir sans être initié...
Puisqu'il bénéficie des avancées de cinq générations d'éditeurs, on
en déduit tout naturellement qu'il est plus convivial qu'emacs.
Certes, mais dans emacs, on entend MAX... alors que dans vi, on
entend rien
Si, aïe, soit le cri déchirant du gars obligé de rebooter (vu de mes
yeux vu) car coincé dans cet éditeur d'un autre monde dont on ne peut
sortir sans être initié...
Puisqu'il bénéficie des avancées de cinq générations d'éditeurs, on en déduit tout naturellement qu'il est plus convivial qu'emacs.
Certes, mais dans emacs, on entend MAX... alors que dans vi, on entend rien
Si, aïe, soit le cri déchirant du gars obligé de rebooter (vu de mes yeux vu) car coincé dans cet éditeur d'un autre monde dont on ne peut sortir sans être initié...
J'ai conscience de lancer ici un nid à trolls potentiel, mais la question est sincère...
Ma réponse le sera aussi :
- j'utilise Emacs parce qu'il est multi-plateformes et que je n'ai donc pas à switcher d'un éditeur à l'autre en fonction des systèmes
Exact, si je n'ai pas Linux sous la main (ce qui arrive hélas en environnement professionnel), je retrouve mes habitudes sans problèmes.
- j'utilise Emacs parce qu'il supporte TOUS les langages, pas seulement ceux à la mode du moment. J'ai donc la coloration syntaxique et les facilités de programmation aussi bien pour C que pour PHP que pour Java, que pour Ada et Ruby, etc.
Exact, Emacs sert à tout, POV, LaTeX, php, html, simple texte aussi, avec coloration syntaxique, raccourcis pour compilation ou rendus (POV), customisations diverses, etc..
- j'utilise Emacs parce qu'il me permet d'éditer facilement du DocBook/XML et du LaTeX
En mode AucTeX, c'est le plus agréable et c'est indispensable pour une meilleure rentabilité.
- j'utilise Emacs parce qu'il est libre et gratuit
Aussi, bien sûr..
- j'utilise Emacs parce que je ne suis pas dans la merde le jour où je ne dispose plus d'un terminal graphique ou que je suis connecté à distance.
Aussi, sans Dired en console, hors de tout environnement graphique, on peut faire toutes les manipulations de fichiers que l'on souhaite.
- j'utilise Emacs parce que ça me permet également de bénéficier, entre autres, du lecteur de courrier et de news que je considère comme le meilleur du monde.
Oui, d'accord, bien que (à ma grande honte) après quelques temps d'utilisation de Rmail et de Gnus, je suis passée sous Mozilla...
Cela dit, il en va d'Emacs comme de tous les trucs un peu puissants : il nécessite un apprentissage si on souhaite l'adapter à ses besoins propres (ce qui n'est pas obligatoire, d'ailleurs). À chacun de voir si le jeu en vaut la chandelle.
Certes, il faut un apprentissage, mais ensuite, c'est le couteau suisse, on fait tout avec, shell, gestion de fichiers, éditions diverses, même tetris.. c'est le premier programme ouvert et le dernier fermé...
Il y a aussi un excellent newsgroup francophone sur Emacs.
Mais je pense que VIM en fait tout autant, sauf que si l'on s'investit dans l'un, il est difficile de faire le même effort dans l'autre, mais que ferait-on sans la sempiternelle comparaison (ou le troll) entre ces deux éditeurs ? Il manquerait une dimension quelque part, non ?
Hélène
Eric Jacoboni wrote:
Olivier Thiery <olivierthiery@free.fr> writes:
J'ai conscience de lancer ici un nid à trolls potentiel, mais la question
est sincère...
Ma réponse le sera aussi :
- j'utilise Emacs parce qu'il est multi-plateformes et que je n'ai
donc pas à switcher d'un éditeur à l'autre en fonction des systèmes
Exact, si je n'ai pas Linux sous la main (ce qui arrive hélas en
environnement professionnel), je retrouve mes habitudes sans problèmes.
- j'utilise Emacs parce qu'il supporte TOUS les langages, pas
seulement ceux à la mode du moment. J'ai donc la coloration
syntaxique et les facilités de programmation aussi bien pour C que
pour PHP que pour Java, que pour Ada et Ruby, etc.
Exact, Emacs sert à tout, POV, LaTeX, php, html, simple texte aussi,
avec coloration syntaxique, raccourcis pour compilation ou rendus (POV),
customisations diverses, etc..
- j'utilise Emacs parce qu'il me permet d'éditer facilement du
DocBook/XML et du LaTeX
En mode AucTeX, c'est le plus agréable et c'est indispensable pour une
meilleure rentabilité.
- j'utilise Emacs parce qu'il est libre et gratuit
Aussi, bien sûr..
- j'utilise Emacs parce que je ne suis pas dans la merde le jour où je
ne dispose plus d'un terminal graphique ou que je suis connecté à
distance.
Aussi, sans Dired en console, hors de tout environnement graphique, on
peut faire toutes les manipulations de fichiers que l'on souhaite.
- j'utilise Emacs parce que ça me permet également de bénéficier,
entre autres, du lecteur de courrier et de news que je considère
comme le meilleur du monde.
Oui, d'accord, bien que (à ma grande honte) après quelques temps
d'utilisation de Rmail et de Gnus, je suis passée sous Mozilla...
Cela dit, il en va d'Emacs comme de tous les trucs un peu puissants :
il nécessite un apprentissage si on souhaite l'adapter à ses besoins
propres (ce qui n'est pas obligatoire, d'ailleurs). À chacun de voir
si le jeu en vaut la chandelle.
Certes, il faut un apprentissage, mais ensuite, c'est le couteau suisse,
on fait tout avec, shell, gestion de fichiers, éditions diverses, même
tetris.. c'est le premier programme ouvert et le dernier fermé...
Il y a aussi un excellent newsgroup francophone sur Emacs.
Mais je pense que VIM en fait tout autant, sauf que si l'on s'investit
dans l'un, il est difficile de faire le même effort dans l'autre, mais
que ferait-on sans la sempiternelle comparaison (ou le troll) entre ces
deux éditeurs ? Il manquerait une dimension quelque part, non ?
J'ai conscience de lancer ici un nid à trolls potentiel, mais la question est sincère...
Ma réponse le sera aussi :
- j'utilise Emacs parce qu'il est multi-plateformes et que je n'ai donc pas à switcher d'un éditeur à l'autre en fonction des systèmes
Exact, si je n'ai pas Linux sous la main (ce qui arrive hélas en environnement professionnel), je retrouve mes habitudes sans problèmes.
- j'utilise Emacs parce qu'il supporte TOUS les langages, pas seulement ceux à la mode du moment. J'ai donc la coloration syntaxique et les facilités de programmation aussi bien pour C que pour PHP que pour Java, que pour Ada et Ruby, etc.
Exact, Emacs sert à tout, POV, LaTeX, php, html, simple texte aussi, avec coloration syntaxique, raccourcis pour compilation ou rendus (POV), customisations diverses, etc..
- j'utilise Emacs parce qu'il me permet d'éditer facilement du DocBook/XML et du LaTeX
En mode AucTeX, c'est le plus agréable et c'est indispensable pour une meilleure rentabilité.
- j'utilise Emacs parce qu'il est libre et gratuit
Aussi, bien sûr..
- j'utilise Emacs parce que je ne suis pas dans la merde le jour où je ne dispose plus d'un terminal graphique ou que je suis connecté à distance.
Aussi, sans Dired en console, hors de tout environnement graphique, on peut faire toutes les manipulations de fichiers que l'on souhaite.
- j'utilise Emacs parce que ça me permet également de bénéficier, entre autres, du lecteur de courrier et de news que je considère comme le meilleur du monde.
Oui, d'accord, bien que (à ma grande honte) après quelques temps d'utilisation de Rmail et de Gnus, je suis passée sous Mozilla...
Cela dit, il en va d'Emacs comme de tous les trucs un peu puissants : il nécessite un apprentissage si on souhaite l'adapter à ses besoins propres (ce qui n'est pas obligatoire, d'ailleurs). À chacun de voir si le jeu en vaut la chandelle.
Certes, il faut un apprentissage, mais ensuite, c'est le couteau suisse, on fait tout avec, shell, gestion de fichiers, éditions diverses, même tetris.. c'est le premier programme ouvert et le dernier fermé...
Il y a aussi un excellent newsgroup francophone sur Emacs.
Mais je pense que VIM en fait tout autant, sauf que si l'on s'investit dans l'un, il est difficile de faire le même effort dans l'autre, mais que ferait-on sans la sempiternelle comparaison (ou le troll) entre ces deux éditeurs ? Il manquerait une dimension quelque part, non ?
Hélène
Miod Vallat
Certes, mais dans emacs, on entend MAX... alors que dans vi, on entend rien
Si, aïe, soit le cri déchirant du gars obligé de rebooter (vu de mes yeux vu) car coincé dans cet éditeur d'un autre monde dont on ne peut sortir sans être initié...
A peu près aussi intuitif que le ^X^C d'emacs, quand il n'a pas de barre de menus...
Certes, mais dans emacs, on entend MAX... alors que dans vi, on
entend rien
Si, aïe, soit le cri déchirant du gars obligé de rebooter (vu de mes
yeux vu) car coincé dans cet éditeur d'un autre monde dont on ne peut
sortir sans être initié...
A peu près aussi intuitif que le ^X^C d'emacs, quand il n'a pas de barre
de menus...
Certes, mais dans emacs, on entend MAX... alors que dans vi, on entend rien
Si, aïe, soit le cri déchirant du gars obligé de rebooter (vu de mes yeux vu) car coincé dans cet éditeur d'un autre monde dont on ne peut sortir sans être initié...
A peu près aussi intuitif que le ^X^C d'emacs, quand il n'a pas de barre de menus...
Eric Jacoboni
Miod Vallat writes:
A peu près aussi intuitif que le ^X^C d'emacs, quand il n'a pas de barre de menus...
Juste...
Il n'empêche que, non content d'utiliser un truc qui ne sait pas faire grand chose pour éditer du code ou du TeX, le pauvre utilisateur de vi en est réduit, en plus, à se taper des horreurs comme slrn, tin ou mutt. Rien que pour ça, je le respecte.
-- Éric Jacoboni, né il y a 1395087199 secondes
Miod Vallat <miod@online.fr> writes:
A peu près aussi intuitif que le ^X^C d'emacs, quand il n'a pas de barre
de menus...
Juste...
Il n'empêche que, non content d'utiliser un truc qui ne sait pas
faire grand chose pour éditer du code ou du TeX, le pauvre utilisateur
de vi en est réduit, en plus, à se taper des horreurs comme slrn, tin
ou mutt. Rien que pour ça, je le respecte.
A peu près aussi intuitif que le ^X^C d'emacs, quand il n'a pas de barre de menus...
Juste...
Il n'empêche que, non content d'utiliser un truc qui ne sait pas faire grand chose pour éditer du code ou du TeX, le pauvre utilisateur de vi en est réduit, en plus, à se taper des horreurs comme slrn, tin ou mutt. Rien que pour ça, je le respecte.
-- Éric Jacoboni, né il y a 1395087199 secondes
Serge Basterot
Certes, mais dans emacs, on entend MAX...
Moi je trouve que ça rime plutôt avec hapax...
alors que dans vi, on entend rien
Sans chercher bien loin moi j'entends "vie", tout ce qu'il y a de plus vivant, voire "vit", ce qui me fait penser qu'il est toujours vert et bien "dressé" comme dans sa première jeunesse ;)
Et puis par l'adjonction du préfixe "n" comme dans nvi, il qualifie ce qui est "n"ouveau, neuf...
Certes, mais dans emacs, on entend MAX...
Moi je trouve que ça rime plutôt avec hapax...
alors que dans vi, on entend rien
Sans chercher bien loin moi j'entends "vie", tout ce qu'il y a de plus
vivant, voire "vit", ce qui me fait penser qu'il est toujours vert et
bien "dressé" comme dans sa première jeunesse ;)
Et puis par l'adjonction du préfixe "n" comme dans nvi, il qualifie ce
qui est "n"ouveau, neuf...
Sans chercher bien loin moi j'entends "vie", tout ce qu'il y a de plus vivant, voire "vit", ce qui me fait penser qu'il est toujours vert et bien "dressé" comme dans sa première jeunesse ;)
Et puis par l'adjonction du préfixe "n" comme dans nvi, il qualifie ce qui est "n"ouveau, neuf...
Motodashi
Le 04 Aug 2004 17:55:17 GMT, Miod Vallat a écrit:
Certes, mais dans emacs, on entend MAX... alors que dans vi, on entend rien
Si, aïe, soit le cri déchirant du gars obligé de rebooter (vu de mes yeux vu) car coincé dans cet éditeur d'un autre monde dont on ne peut sortir sans être initié...
A peu près aussi intuitif que le ^X^C d'emacs, quand il n'a pas de barre de menus...
Sauf qu'on l'a souvent la barre de menu. Et jamais avec vi.
-- motodashi chez yahoo en france
Le 04 Aug 2004 17:55:17 GMT, Miod Vallat <miod@online.fr> a écrit:
Certes, mais dans emacs, on entend MAX... alors que dans vi, on
entend rien
Si, aïe, soit le cri déchirant du gars obligé de rebooter (vu de mes
yeux vu) car coincé dans cet éditeur d'un autre monde dont on ne peut
sortir sans être initié...
A peu près aussi intuitif que le ^X^C d'emacs, quand il n'a pas de barre
de menus...
Sauf qu'on l'a souvent la barre de menu. Et jamais avec vi.
Certes, mais dans emacs, on entend MAX... alors que dans vi, on entend rien
Si, aïe, soit le cri déchirant du gars obligé de rebooter (vu de mes yeux vu) car coincé dans cet éditeur d'un autre monde dont on ne peut sortir sans être initié...
A peu près aussi intuitif que le ^X^C d'emacs, quand il n'a pas de barre de menus...
Sauf qu'on l'a souvent la barre de menu. Et jamais avec vi.
-- motodashi chez yahoo en france
JKB
Le 04-08-2004, à propos de Re: Pourquoi emacs, Motodashi écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Le 04 Aug 2004 17:55:17 GMT, Miod Vallat a écrit:
Certes, mais dans emacs, on entend MAX... alors que dans vi, on entend rien
Si, aïe, soit le cri déchirant du gars obligé de rebooter (vu de mes yeux vu) car coincé dans cet éditeur d'un autre monde dont on ne peut sortir sans être initié...
A peu près aussi intuitif que le ^X^C d'emacs, quand il n'a pas de barre de menus...
Sauf qu'on l'a souvent la barre de menu. Et jamais avec vi.
Sauf si on compile vim avec les bonnes options.
JKB
Le 04-08-2004, à propos de
Re: Pourquoi emacs,
Motodashi écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Le 04 Aug 2004 17:55:17 GMT, Miod Vallat <miod@online.fr> a écrit:
Certes, mais dans emacs, on entend MAX... alors que dans vi, on
entend rien
Si, aïe, soit le cri déchirant du gars obligé de rebooter (vu de mes
yeux vu) car coincé dans cet éditeur d'un autre monde dont on ne peut
sortir sans être initié...
A peu près aussi intuitif que le ^X^C d'emacs, quand il n'a pas de barre
de menus...
Sauf qu'on l'a souvent la barre de menu. Et jamais avec vi.
Le 04-08-2004, à propos de Re: Pourquoi emacs, Motodashi écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Le 04 Aug 2004 17:55:17 GMT, Miod Vallat a écrit:
Certes, mais dans emacs, on entend MAX... alors que dans vi, on entend rien
Si, aïe, soit le cri déchirant du gars obligé de rebooter (vu de mes yeux vu) car coincé dans cet éditeur d'un autre monde dont on ne peut sortir sans être initié...
A peu près aussi intuitif que le ^X^C d'emacs, quand il n'a pas de barre de menus...
Sauf qu'on l'a souvent la barre de menu. Et jamais avec vi.
Sauf si on compile vim avec les bonnes options.
JKB
moinsdespam
Dans ,
Certes, mais dans emacs, on entend MAX... alors que dans vi, on entend rien
Oui, comme dans la phrase : il bouffe un MAX de mémoire.
-- Frédéric Bleu,e adj. et n. m. Qui est d'une couleur voisine du rouge, mais pas très : un ciel bleu, des yeux bleus, les flots bleus [..]. Fig. Bouch. : un steak bleu ; s'emploie pour désigner un steak rouge. (Pierre Desproges : D.S.U.É (et des BN))
Dans <m2brhrf084.fsf@mac.scrogneugneu.org>,
Certes, mais dans emacs, on entend MAX... alors que dans vi, on entend rien
Oui, comme dans la phrase : il bouffe un MAX de mémoire.
--
Frédéric
Bleu,e adj. et n. m. Qui est d'une couleur voisine du rouge, mais pas très : un
ciel bleu, des yeux bleus, les flots bleus [..]. Fig. Bouch. : un steak bleu ;
s'emploie pour désigner un steak rouge. (Pierre Desproges : D.S.U.É (et des BN))
Certes, mais dans emacs, on entend MAX... alors que dans vi, on entend rien
Oui, comme dans la phrase : il bouffe un MAX de mémoire.
-- Frédéric Bleu,e adj. et n. m. Qui est d'une couleur voisine du rouge, mais pas très : un ciel bleu, des yeux bleus, les flots bleus [..]. Fig. Bouch. : un steak bleu ; s'emploie pour désigner un steak rouge. (Pierre Desproges : D.S.U.É (et des BN))
Miod Vallat
Sauf qu'on l'a souvent la barre de menu. Et jamais avec vi.
Ah, mais c'est parce que tu tournes un emacs pas trop ancien.
Sauf qu'on l'a souvent la barre de menu. Et jamais avec vi.
Ah, mais c'est parce que tu tournes un emacs pas trop ancien.
Sauf qu'on l'a souvent la barre de menu. Et jamais avec vi.
Ah, mais c'est parce que tu tournes un emacs pas trop ancien.
Eric Jacoboni
(Frederic Dupas) writes:
Oui, comme dans la phrase : il bouffe un MAX de mémoire.
Pas remarqué qu'il en bouffait plus que d'autres, faut dire aussi que quand j'achète une bécane c'est pour utiliser Emacs, donc ça ne me gène pas qu'il utilise ses ressources.
Mais c'est vrai que c'est pas geek d'utiliser une bécane en 2004 comme si c'était une rognasse des années 70. -- Éric Jacoboni, né il y a 1395096849 secondes
Oui, comme dans la phrase : il bouffe un MAX de mémoire.
Pas remarqué qu'il en bouffait plus que d'autres, faut dire aussi que
quand j'achète une bécane c'est pour utiliser Emacs, donc ça ne me
gène pas qu'il utilise ses ressources.
Mais c'est vrai que c'est pas geek d'utiliser une bécane en 2004 comme
si c'était une rognasse des années 70.
--
Éric Jacoboni, né il y a 1395096849 secondes
Oui, comme dans la phrase : il bouffe un MAX de mémoire.
Pas remarqué qu'il en bouffait plus que d'autres, faut dire aussi que quand j'achète une bécane c'est pour utiliser Emacs, donc ça ne me gène pas qu'il utilise ses ressources.
Mais c'est vrai que c'est pas geek d'utiliser une bécane en 2004 comme si c'était une rognasse des années 70. -- Éric Jacoboni, né il y a 1395096849 secondes