J'y étais allé pour me renseigner sur les batteries du Canon EOS 650D
que je possède.
J'ai été séduit par le Canon EOS 650D.
Avec lui je pourrais faire de plus belles photos!
Un monsieur de 86 ans occupait la vendeuse pour l'achat d'un zoom.
Pendant que la vendeuse remplissait son bon de commande nous avons
sympathisé.
Ce monsieur avait connu Albert Schweitzer dans les années 1950.
Il avait été organiste comme lui dans les mêmes églises.
A sa retraite ses deux passions sont la photo et le vélo.
Alors qu'il me montrait une photo de sa femme sur son portable je l'ai
détourné vers le rayon informatique voisin.
Là je lui ai montré quelques photos de mon DIAPORAMA sur STRASBOURG.
Il les a regardé d'un œil distrait si grande était son impatience
d'éprouver son nouveau matériel.
Il place la cathédrale de Chartres au-dessus de celle de Strasbourg.
Ayant de nombreux Reflex dont le EOS 350 D il m'a glissé que des
appareils plus récents n'apporteraient rien de plus pour une diffusion
de photos sur Internet.
Petit clin d’œil: J'ai aussi appris à piloter sur un DR400.
Sympa, hein, comme taxi !
J'ai arrêté avant le brevet lorsque j'ai réalisé que les moniteurs redoutaient de voler avec moi.
Es-tu sûr qu'ils étaient de véritables instructeurs, qualifiés dans un Centre National de Formation Aéronautique ?
C'est toujours dommage de commencer et de ne pas terminer une formation aéro. Il y a quelques années, sur 100 élèves inscrits dans un aéro-club, l'année suivante, seuls 10 avaient obtenu le brevet de pilote basique. Et à la fin de la deuxième année, il restait seulement 5 pilotes avec le brevet complet. Dix ans après, un seul continuait à faire de l'aviation de tourisme.
Les principales causes d'abandon résidaient dans le coût de cette pratique. Et aussi qu'il faut peut-être adapter son mode de vie à cette nouvelle discipline : si l'on veut des résultats, il faut prendre vis à vis de soi-même, l'engagement moral d'aller passer une demi journée par semaine au terrain. Et ce, qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il gèle ou que la bourrasque souffle. Si la météo ne permet pas les vols, on apprendra toujours beaucoup par les bavardages avec les autres pilotes !
Les discussions au club-house font partie de la formation aéronautique !
-- Jacques DASSIÉ http://archaero.com/
jmrw a pensé très fort :
Le 18/11/2012 19:06, Jacques DASSIÉ a écrit :
Jacques DASSIÉ a écrit :
Un lentille dépolie doit procurer
... des images particumièrement douces... (:-o)
Petit clin d’œil: J'ai aussi appris à piloter sur un DR400.
Sympa, hein, comme taxi !
J'ai arrêté avant le brevet lorsque j'ai réalisé que les moniteurs
redoutaient de voler avec moi.
Es-tu sûr qu'ils étaient de véritables instructeurs, qualifiés dans un
Centre National de Formation Aéronautique ?
C'est toujours dommage de commencer et de ne pas terminer une formation
aéro. Il y a quelques années, sur 100 élèves inscrits dans un
aéro-club, l'année suivante, seuls 10 avaient obtenu le brevet de
pilote basique. Et à la fin de la deuxième année, il restait seulement
5 pilotes avec le brevet complet. Dix ans après, un seul continuait à
faire de l'aviation de tourisme.
Les principales causes d'abandon résidaient dans le coût de cette
pratique. Et aussi qu'il faut peut-être adapter son mode de vie à cette
nouvelle discipline : si l'on veut des résultats, il faut prendre vis à
vis de soi-même, l'engagement moral d'aller passer une demi journée par
semaine au terrain.
Et ce, qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il gèle ou que la bourrasque
souffle. Si la météo ne permet pas les vols, on apprendra toujours
beaucoup par les bavardages avec les autres pilotes !
Les discussions au club-house font partie de la formation aéronautique
!
Petit clin d’œil: J'ai aussi appris à piloter sur un DR400.
Sympa, hein, comme taxi !
J'ai arrêté avant le brevet lorsque j'ai réalisé que les moniteurs redoutaient de voler avec moi.
Es-tu sûr qu'ils étaient de véritables instructeurs, qualifiés dans un Centre National de Formation Aéronautique ?
C'est toujours dommage de commencer et de ne pas terminer une formation aéro. Il y a quelques années, sur 100 élèves inscrits dans un aéro-club, l'année suivante, seuls 10 avaient obtenu le brevet de pilote basique. Et à la fin de la deuxième année, il restait seulement 5 pilotes avec le brevet complet. Dix ans après, un seul continuait à faire de l'aviation de tourisme.
Les principales causes d'abandon résidaient dans le coût de cette pratique. Et aussi qu'il faut peut-être adapter son mode de vie à cette nouvelle discipline : si l'on veut des résultats, il faut prendre vis à vis de soi-même, l'engagement moral d'aller passer une demi journée par semaine au terrain. Et ce, qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il gèle ou que la bourrasque souffle. Si la météo ne permet pas les vols, on apprendra toujours beaucoup par les bavardages avec les autres pilotes !
Les discussions au club-house font partie de la formation aéronautique !
-- Jacques DASSIÉ http://archaero.com/
Stephane Legras-Decussy
Le 18/11/2012 20:30, Jacques DASSIÉ a écrit :
Les discussions au club-house font partie de la formation aéronautique !
moi c'est le problème, j'aime bien les avions et les piloter mais je deteste l'ambiance aviation et la mentalité des mecs ...
Le 18/11/2012 20:30, Jacques DASSIÉ a écrit :
Les discussions au club-house font partie de la formation aéronautique !
moi c'est le problème, j'aime bien les avions et les piloter
mais je deteste l'ambiance aviation et la mentalité des mecs ...
"Stephane Legras-Decussy" a écrit dans le message de news: 50a95124$0$6472$
Le 18/11/2012 20:30, Jacques DASSIÉ a écrit :
Les discussions au club-house font partie de la formation aéronautique !
moi c'est le problème, j'aime bien les avions et les piloter mais je deteste l'ambiance aviation et la mentalité des mecs ...
Comme les chasseur et les pêcheurs, toujours plus haut, plus vite, plus casse coui... , pardon coups
{|);-)
-- £g
jmrw
Le 18/11/2012 20:30, Jacques DASSIÉ a écrit :
jmrw a pensé très fort :
Le 18/11/2012 19:06, Jacques DASSIÉ a écrit :
Jacques DASSIÉ a écrit :
Un lentille dépolie doit procurer
... des images particumièrement douces... (:-o)
Petit clin d’œil: J'ai aussi appris à piloter sur un DR400.
Sympa, hein, comme taxi !
J'ai arrêté avant le brevet lorsque j'ai réalisé que les moniteurs redoutaient de voler avec moi.
Es-tu sûr qu'ils étaient de véritables instructeurs, qualifiés dans un Centre National de Formation Aéronautique ?
C'est toujours dommage de commencer et de ne pas terminer une formation aéro. Il y a quelques années, sur 100 élèves inscrits dans un aéro-club, l'année suivante, seuls 10 avaient obtenu le brevet de pilote basique. Et à la fin de la deuxième année, il restait seulement 5 pilotes avec le brevet complet. Dix ans après, un seul continuait à faire de l'aviation de tourisme.
Les principales causes d'abandon résidaient dans le coût de cette pratique. Et aussi qu'il faut peut-être adapter son mode de vie à cette nouvelle discipline : si l'on veut des résultats, il faut prendre vis à vis de soi-même, l'engagement moral d'aller passer une demi journée par semaine au terrain. Et ce, qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il gèle ou que la bourrasque souffle. Si la météo ne permet pas les vols, on apprendra toujours beaucoup par les bavardages avec les autres pilotes !
Les discussions au club-house font partie de la formation aéronautique !
La compétence de mes moniteurs n'est pas en cause.
Tout avait bien commencé jusqu'à ce qu'on me lâche seul dans le ciel.
Des soucis professionnels, alors, m'ont faire perdre mes capacités et surtout toute peur du danger.
Le moniteur en chef l'a réalisé lors d'un vol vers Haguenau dont j'avais bâcle la préparation. Pour me faire une frayeur il m'a fait faire un piqué vers le sol Ce fut une erreur. Je savais qu'il avait une fille qui s'occupait de l'aéroclub. Lors du piqué j'ai pensé "il a une fille et pas moi". Blême il a redressé l'avion avec les doubles commandes.
La fois suivante un pilote de chasse fut chargé de me dégoûter. Il me fit faire de la voltige sans que je craque.
J'étais intriqué par le niveau du brevet. Quelque temps auparavant n'avais je pas accompagné un responsable de la préfecture qui tentait de passer son brevet parce que son fils était pilote de chasse? Lors du vol il avait confondu Phalsbourg et Sarrebourg et il avait obtenu son brevet la semaine suivante.
Dans une illumination je compris qu'ils tentaient maladroitement de se débarrasser de moi.
Je ne suis jamais retourné à l'aérodrome.
jmrw
Le 18/11/2012 20:30, Jacques DASSIÉ a écrit :
jmrw a pensé très fort :
Le 18/11/2012 19:06, Jacques DASSIÉ a écrit :
Jacques DASSIÉ a écrit :
Un lentille dépolie doit procurer
... des images particumièrement douces... (:-o)
Petit clin d’œil: J'ai aussi appris à piloter sur un DR400.
Sympa, hein, comme taxi !
J'ai arrêté avant le brevet lorsque j'ai réalisé que les moniteurs
redoutaient de voler avec moi.
Es-tu sûr qu'ils étaient de véritables instructeurs, qualifiés dans un
Centre National de Formation Aéronautique ?
C'est toujours dommage de commencer et de ne pas terminer une formation
aéro. Il y a quelques années, sur 100 élèves inscrits dans un aéro-club,
l'année suivante, seuls 10 avaient obtenu le brevet de pilote basique.
Et à la fin de la deuxième année, il restait seulement 5 pilotes avec le
brevet complet. Dix ans après, un seul continuait à faire de l'aviation
de tourisme.
Les principales causes d'abandon résidaient dans le coût de cette
pratique. Et aussi qu'il faut peut-être adapter son mode de vie à cette
nouvelle discipline : si l'on veut des résultats, il faut prendre vis à
vis de soi-même, l'engagement moral d'aller passer une demi journée par
semaine au terrain.
Et ce, qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il gèle ou que la bourrasque
souffle. Si la météo ne permet pas les vols, on apprendra toujours
beaucoup par les bavardages avec les autres pilotes !
Les discussions au club-house font partie de la formation aéronautique !
La compétence de mes moniteurs n'est pas en cause.
Tout avait bien commencé jusqu'à ce qu'on me lâche seul dans le ciel.
Des soucis professionnels, alors, m'ont faire perdre mes capacités et
surtout toute peur du danger.
Le moniteur en chef l'a réalisé lors d'un vol vers Haguenau dont j'avais
bâcle la préparation.
Pour me faire une frayeur il m'a fait faire un piqué vers le sol
Ce fut une erreur.
Je savais qu'il avait une fille qui s'occupait de l'aéroclub.
Lors du piqué j'ai pensé "il a une fille et pas moi". Blême il a
redressé l'avion avec les doubles commandes.
La fois suivante un pilote de chasse fut chargé de me dégoûter.
Il me fit faire de la voltige sans que je craque.
J'étais intriqué par le niveau du brevet.
Quelque temps auparavant n'avais je pas accompagné un responsable de la
préfecture qui tentait de passer son brevet parce que son fils était
pilote de chasse?
Lors du vol il avait confondu Phalsbourg et Sarrebourg et il avait
obtenu son brevet la semaine suivante.
Dans une illumination je compris qu'ils tentaient maladroitement de se
débarrasser de moi.
Petit clin d’œil: J'ai aussi appris à piloter sur un DR400.
Sympa, hein, comme taxi !
J'ai arrêté avant le brevet lorsque j'ai réalisé que les moniteurs redoutaient de voler avec moi.
Es-tu sûr qu'ils étaient de véritables instructeurs, qualifiés dans un Centre National de Formation Aéronautique ?
C'est toujours dommage de commencer et de ne pas terminer une formation aéro. Il y a quelques années, sur 100 élèves inscrits dans un aéro-club, l'année suivante, seuls 10 avaient obtenu le brevet de pilote basique. Et à la fin de la deuxième année, il restait seulement 5 pilotes avec le brevet complet. Dix ans après, un seul continuait à faire de l'aviation de tourisme.
Les principales causes d'abandon résidaient dans le coût de cette pratique. Et aussi qu'il faut peut-être adapter son mode de vie à cette nouvelle discipline : si l'on veut des résultats, il faut prendre vis à vis de soi-même, l'engagement moral d'aller passer une demi journée par semaine au terrain. Et ce, qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il gèle ou que la bourrasque souffle. Si la météo ne permet pas les vols, on apprendra toujours beaucoup par les bavardages avec les autres pilotes !
Les discussions au club-house font partie de la formation aéronautique !
La compétence de mes moniteurs n'est pas en cause.
Tout avait bien commencé jusqu'à ce qu'on me lâche seul dans le ciel.
Des soucis professionnels, alors, m'ont faire perdre mes capacités et surtout toute peur du danger.
Le moniteur en chef l'a réalisé lors d'un vol vers Haguenau dont j'avais bâcle la préparation. Pour me faire une frayeur il m'a fait faire un piqué vers le sol Ce fut une erreur. Je savais qu'il avait une fille qui s'occupait de l'aéroclub. Lors du piqué j'ai pensé "il a une fille et pas moi". Blême il a redressé l'avion avec les doubles commandes.
La fois suivante un pilote de chasse fut chargé de me dégoûter. Il me fit faire de la voltige sans que je craque.
J'étais intriqué par le niveau du brevet. Quelque temps auparavant n'avais je pas accompagné un responsable de la préfecture qui tentait de passer son brevet parce que son fils était pilote de chasse? Lors du vol il avait confondu Phalsbourg et Sarrebourg et il avait obtenu son brevet la semaine suivante.
Dans une illumination je compris qu'ils tentaient maladroitement de se débarrasser de moi.
Je ne suis jamais retourné à l'aérodrome.
jmrw
Alf92
"Stephane Legras-Decussy" a écrit
Le 18/11/2012 20:30, Jacques DASSIÉ a écrit :
Les discussions au club-house font partie de la formation aéronautique !
moi c'est le problème, j'aime bien les avions et les piloter mais je deteste l'ambiance aviation et la mentalité des mecs ...
Breitling c'est pour les cons. :-)
"Stephane Legras-Decussy" <admin@barilla.com> a écrit
Le 18/11/2012 20:30, Jacques DASSIÉ a écrit :
Les discussions au club-house font partie de la formation aéronautique !
moi c'est le problème, j'aime bien les avions et les piloter
mais je deteste l'ambiance aviation et la mentalité des mecs ...
Les discussions au club-house font partie de la formation aéronautique !
bien entendu, pour la formation des jeunes pilotes. Tu ne dois pas faire partie de cette catégorie, au moins par l'âge...
moi c'est le problème, j'aime bien les avions et les piloter
Oh, là c'est drôle ! Du niveau des 40 applis...
Combien as-tu d'heures de vol ? Ah, deux chiffres suffisent à l'écrire.. Numéro de licence et date de délivrance (Oui, ça permet de contrôler l'authenticité de certaines assertions) ? Sur combien de type d'avions es-tu qualifié ? Un, deux ? Plus un baptême de voltige sur Cap 10 que tu t'es payé, afin de pouvoir en parler !
C'est comme ce qualificatif de "doctorant" dont tu adores te parer...
Cela signifie que tu as eu une thèse en préparation, donc :
- Tu as été inscrit pour la préparation d'un doctorat dans une Université qui a un nom. Lequel ? - Un professeur a accepté d'être ton Directeur de thèse. Et il a un nom. - Tu as pris un sujet de thèse, obligatoirement déclaré à l'AUPELF, avec un numéro d'enregistrement international. Peux-tu nous le communiquer ?
A moins que tout ceci ne soit qu'un passé mythique que tu évoques avec nostalgie...
mais je deteste l'ambiance aviation et la mentalité des mecs ...
d'où le chaleureux accueil que tu reçois dès que tu pointes ton nez sur fr.rec.aviation. C'est normal.
A répondre à tous prix, et surtout à vouloir s'imposer comme l'esprit supérieur qui a toujours le dernier mot, on s'expose à recevoir des réponses désagréables. Celle-ci en est une.
-- Jacques DASSIÉ http://archaero.com/
Stephane Legras-Decussy a émis l'idée suivante :
Le 18/11/2012 20:30, Jacques DASSIÉ a écrit :
Les discussions au club-house font partie de la formation aéronautique !
bien entendu, pour la formation des jeunes pilotes. Tu ne dois pas
faire partie de cette catégorie, au moins par l'âge...
moi c'est le problème, j'aime bien les avions et les piloter
Oh, là c'est drôle ! Du niveau des 40 applis...
Combien as-tu d'heures de vol ? Ah, deux chiffres suffisent à
l'écrire..
Numéro de licence et date de délivrance (Oui, ça permet de contrôler
l'authenticité de certaines assertions) ?
Sur combien de type d'avions es-tu qualifié ? Un, deux ? Plus un
baptême de voltige sur Cap 10 que tu t'es payé, afin de pouvoir en
parler !
C'est comme ce qualificatif de "doctorant" dont tu adores te parer...
Cela signifie que tu as eu une thèse en préparation, donc :
- Tu as été inscrit pour la préparation d'un doctorat dans une
Université qui a un nom. Lequel ?
- Un professeur a accepté d'être ton Directeur de thèse. Et il a un
nom.
- Tu as pris un sujet de thèse, obligatoirement déclaré à l'AUPELF,
avec un numéro d'enregistrement international.
Peux-tu nous le communiquer ?
A moins que tout ceci ne soit qu'un passé mythique que tu évoques avec
nostalgie...
mais je deteste l'ambiance aviation et la mentalité des mecs ...
d'où le chaleureux accueil que tu reçois dès que tu pointes ton nez sur
fr.rec.aviation. C'est normal.
A répondre à tous prix, et surtout à vouloir s'imposer comme l'esprit
supérieur qui a toujours le dernier mot, on s'expose à recevoir des
réponses désagréables. Celle-ci en est une.
Les discussions au club-house font partie de la formation aéronautique !
bien entendu, pour la formation des jeunes pilotes. Tu ne dois pas faire partie de cette catégorie, au moins par l'âge...
moi c'est le problème, j'aime bien les avions et les piloter
Oh, là c'est drôle ! Du niveau des 40 applis...
Combien as-tu d'heures de vol ? Ah, deux chiffres suffisent à l'écrire.. Numéro de licence et date de délivrance (Oui, ça permet de contrôler l'authenticité de certaines assertions) ? Sur combien de type d'avions es-tu qualifié ? Un, deux ? Plus un baptême de voltige sur Cap 10 que tu t'es payé, afin de pouvoir en parler !
C'est comme ce qualificatif de "doctorant" dont tu adores te parer...
Cela signifie que tu as eu une thèse en préparation, donc :
- Tu as été inscrit pour la préparation d'un doctorat dans une Université qui a un nom. Lequel ? - Un professeur a accepté d'être ton Directeur de thèse. Et il a un nom. - Tu as pris un sujet de thèse, obligatoirement déclaré à l'AUPELF, avec un numéro d'enregistrement international. Peux-tu nous le communiquer ?
A moins que tout ceci ne soit qu'un passé mythique que tu évoques avec nostalgie...
mais je deteste l'ambiance aviation et la mentalité des mecs ...
d'où le chaleureux accueil que tu reçois dès que tu pointes ton nez sur fr.rec.aviation. C'est normal.
A répondre à tous prix, et surtout à vouloir s'imposer comme l'esprit supérieur qui a toujours le dernier mot, on s'expose à recevoir des réponses désagréables. Celle-ci en est une.
-- Jacques DASSIÉ http://archaero.com/
Alf92
"Stephane Legras-Decussy" a écrit
On 11/18/2012 11:48 PM, Alf92 wrote:
Breitling c'est pour les cons. :-)
franchement tu vois la pub, tu t'éclates de rire ... :-D http://admonkey.files.wordpress.com/2008/08/ad_062.jpg
voilà...
ceci dit, et au delà de l'image de la marque, pour en avoir démonté une c'est vraiment de la merde pour prix que ça coute.
"Stephane Legras-Decussy" <admin@microlax.com> a écrit
On 11/18/2012 11:48 PM, Alf92 wrote:
Breitling c'est pour les cons. :-)
franchement tu vois la pub, tu t'éclates de rire ... :-D
http://admonkey.files.wordpress.com/2008/08/ad_062.jpg
voilà...
ceci dit, et au delà de l'image de la marque, pour en avoir démonté une c'est
vraiment de la merde pour prix que ça coute.
franchement tu vois la pub, tu t'éclates de rire ... :-D http://admonkey.files.wordpress.com/2008/08/ad_062.jpg
voilà...
ceci dit, et au delà de l'image de la marque, pour en avoir démonté une c'est vraiment de la merde pour prix que ça coute.
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de Jacques DASSIÉ nous susurrait, le lundi 19/11/2012, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <50a9d85a$0$1971$, les doux mélismes suivants :
A répondre à tous prix, et surtout à vouloir s'imposer comme l'esprit supérieur qui a toujours le dernier mot, on s'expose à recevoir des réponses désagréables. Celle-ci en est une.
Autre "position" : tout simplement *IGNORER* cet abruti...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Jacques DASSIÉ nous susurrait, le lundi
19/11/2012, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout
de même, et dans le message <50a9d85a$0$1971$426a34cc@news.free.fr>,
les doux mélismes suivants :
A répondre à tous prix, et surtout à vouloir s'imposer comme l'esprit
supérieur qui a toujours le dernier mot, on s'expose à recevoir des
réponses désagréables. Celle-ci en est une.
Autre "position" : tout simplement *IGNORER* cet abruti...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Jacques DASSIÉ nous susurrait, le lundi 19/11/2012, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <50a9d85a$0$1971$, les doux mélismes suivants :
A répondre à tous prix, et surtout à vouloir s'imposer comme l'esprit supérieur qui a toujours le dernier mot, on s'expose à recevoir des réponses désagréables. Celle-ci en est une.
Autre "position" : tout simplement *IGNORER* cet abruti...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant