J'utilise régulièrement LINUX depuis près d'un an, et il y a quelque chose
qui m'énerve régulièrement : les dépendances de paquetages.
Certes, si on utilise ceux d'une distribution, tout va bien. Mais nulle
distribution, aussi complète soit-elle, ne peut prétendre disposer de tous
les paquetages qui existent et dont on a besoin. On va donc les chercher
sur Internet, et c'est là que le parcours du combattant commence, qu'on
utilise les sources ou des RPM.
Pour installer (ou compiler) tel logiciel, on a besoin de tel autre
paquetage, en tel version. Qui à son tour demandera un autre paquetage,
etc...
Si je peux comprendre pourquoi un développeur ne veux pas réinventer la
roue, c'est à dire écrire une nouvelle librairie de fonctions alors qu'elle
existe déjà, pourquoi certains ne la fournissent-il pas dans le paquetage ?
Ou au moins, ne mettent-ils pas un lien pour dire où la télécharger ?
Bref, s'il n'est nul besoin de réinventer la roue à chaque fois, au moins
doit-on la fournir !
Le Sun, 18 Jul 2004 22:08:12 +0000, Nicolas George a écrit :
Jerome Lambert , dans le message , a écrit :
Ma voiture doit m'enmener d'un point à un autre, sans que je sois mécanicien expériementé...
Oui, enfin, après vingt heures d'auto-école et un exam, quand même.
Oui, mais sur l'*utilisation* de l'auto, pas sur son fonctionnement...
-- Jerome
george
Jerome Lambert , dans le message , a écrit :
Oui, mais sur l'*utilisation* de l'auto, pas sur son fonctionnement...
Ah, mais tu peux tout à fait compiler un logiciel sans rien connaître aux subtilités du scheduler ou de la mémoire virtuelle, aux processus de génération de code du compilateur, ni aux mécanismes physiques qui permettent à un microprocesseur de fonctionner.
Jerome Lambert , dans le message
<pan.2004.07.18.22.16.00.472174@swing.be>, a écrit :
Oui, mais sur l'*utilisation* de l'auto, pas sur son fonctionnement...
Ah, mais tu peux tout à fait compiler un logiciel sans rien connaître
aux subtilités du scheduler ou de la mémoire virtuelle, aux processus de
génération de code du compilateur, ni aux mécanismes physiques qui
permettent à un microprocesseur de fonctionner.
Oui, mais sur l'*utilisation* de l'auto, pas sur son fonctionnement...
Ah, mais tu peux tout à fait compiler un logiciel sans rien connaître aux subtilités du scheduler ou de la mémoire virtuelle, aux processus de génération de code du compilateur, ni aux mécanismes physiques qui permettent à un microprocesseur de fonctionner.
Jerome Lambert
Le Sun, 18 Jul 2004 22:19:27 +0000, Nicolas George a écrit :
Jerome Lambert , dans le message , a écrit :
Oui, mais sur l'*utilisation* de l'auto, pas sur son fonctionnement...
Ah, mais tu peux tout à fait compiler un logiciel sans rien connaître aux subtilités du scheduler ou de la mémoire virtuelle, aux processus de génération de code du compilateur, ni aux mécanismes physiques qui permettent à un microprocesseur de fonctionner.
Pour en revenir au problème initial, on est quand même loin de la démarche où je mets le CD, je clique sur 'suivant' sans même lire ce qui s'y passe, et in fine l'installateur me met même une icone sur le bureau pour que je n'aie pas à chercher dans les menus...
Total: j'ai rien compris à ce que l'installateur a fait, mais je peux utiliser mon programme, ce qui est quand même le but recherché ;-)
Quand Linux aura atteint ce niveau de facilité, on pourra dire qu'il est mûr pour le grand public, si du moins c'est son objectif... (Unix étant complexe, je ne crois pas du tout à l'essor d'un Unix "grand public". Il suffit de voir les concessions faites par MacOS X pour s'en convaincre...)
-- Jerome
Le Sun, 18 Jul 2004 22:19:27 +0000, Nicolas George a écrit :
Jerome Lambert , dans le message
<pan.2004.07.18.22.16.00.472174@swing.be>, a écrit :
Oui, mais sur l'*utilisation* de l'auto, pas sur son fonctionnement...
Ah, mais tu peux tout à fait compiler un logiciel sans rien connaître
aux subtilités du scheduler ou de la mémoire virtuelle, aux processus de
génération de code du compilateur, ni aux mécanismes physiques qui
permettent à un microprocesseur de fonctionner.
Pour en revenir au problème initial, on est quand même loin de la
démarche où je mets le CD, je clique sur 'suivant' sans même lire ce
qui s'y passe, et in fine l'installateur me met même une icone sur le
bureau pour que je n'aie pas à chercher dans les menus...
Total: j'ai rien compris à ce que l'installateur a fait, mais je peux
utiliser mon programme, ce qui est quand même le but recherché ;-)
Quand Linux aura atteint ce niveau de facilité, on pourra dire qu'il est
mûr pour le grand public, si du moins c'est son objectif... (Unix
étant complexe, je ne crois pas du tout à l'essor d'un Unix "grand
public". Il suffit de voir les concessions faites par MacOS X pour s'en
convaincre...)
Le Sun, 18 Jul 2004 22:19:27 +0000, Nicolas George a écrit :
Jerome Lambert , dans le message , a écrit :
Oui, mais sur l'*utilisation* de l'auto, pas sur son fonctionnement...
Ah, mais tu peux tout à fait compiler un logiciel sans rien connaître aux subtilités du scheduler ou de la mémoire virtuelle, aux processus de génération de code du compilateur, ni aux mécanismes physiques qui permettent à un microprocesseur de fonctionner.
Pour en revenir au problème initial, on est quand même loin de la démarche où je mets le CD, je clique sur 'suivant' sans même lire ce qui s'y passe, et in fine l'installateur me met même une icone sur le bureau pour que je n'aie pas à chercher dans les menus...
Total: j'ai rien compris à ce que l'installateur a fait, mais je peux utiliser mon programme, ce qui est quand même le but recherché ;-)
Quand Linux aura atteint ce niveau de facilité, on pourra dire qu'il est mûr pour le grand public, si du moins c'est son objectif... (Unix étant complexe, je ne crois pas du tout à l'essor d'un Unix "grand public". Il suffit de voir les concessions faites par MacOS X pour s'en convaincre...)
-- Jerome
george
Jerome Lambert , dans le message , a écrit :
Pour en revenir au problème initial, on est quand même loin de la démarche où je mets le CD, je clique sur 'suivant' sans même lire ce qui s'y passe, et in fine l'installateur me met même une icone sur le bureau pour que je n'aie pas à chercher dans les menus...
Je tape « apt-get install », j'attends quelques secondes, le programme est installé. Même pas la peine de tendre la main jusqu'au lecteur de CD. Je suis persuadé qu'il existe des interfaces graphiques pour faire la même chose, mais ça ne m'intéresse pas, donc je n'ai pas étudié la question.
Quand Linux aura atteint ce niveau de facilité, on pourra dire qu'il est mûr pour le grand public, si du moins c'est son objectif...
Linux est tout à fait mûr pour le grand public, c'est le grand public qui n'est pas mûr pour Linux.
Jerome Lambert , dans le message
<pan.2004.07.18.22.33.37.773105@swing.be>, a écrit :
Pour en revenir au problème initial, on est quand même loin de la
démarche où je mets le CD, je clique sur 'suivant' sans même lire ce
qui s'y passe, et in fine l'installateur me met même une icone sur le
bureau pour que je n'aie pas à chercher dans les menus...
Je tape « apt-get install », j'attends quelques secondes, le programme
est installé. Même pas la peine de tendre la main jusqu'au lecteur de
CD. Je suis persuadé qu'il existe des interfaces graphiques pour faire
la même chose, mais ça ne m'intéresse pas, donc je n'ai pas étudié la
question.
Quand Linux aura atteint ce niveau de facilité, on pourra dire qu'il est
mûr pour le grand public, si du moins c'est son objectif...
Linux est tout à fait mûr pour le grand public, c'est le grand public
qui n'est pas mûr pour Linux.
Pour en revenir au problème initial, on est quand même loin de la démarche où je mets le CD, je clique sur 'suivant' sans même lire ce qui s'y passe, et in fine l'installateur me met même une icone sur le bureau pour que je n'aie pas à chercher dans les menus...
Je tape « apt-get install », j'attends quelques secondes, le programme est installé. Même pas la peine de tendre la main jusqu'au lecteur de CD. Je suis persuadé qu'il existe des interfaces graphiques pour faire la même chose, mais ça ne m'intéresse pas, donc je n'ai pas étudié la question.
Quand Linux aura atteint ce niveau de facilité, on pourra dire qu'il est mûr pour le grand public, si du moins c'est son objectif...
Linux est tout à fait mûr pour le grand public, c'est le grand public qui n'est pas mûr pour Linux.
Jerome Lambert
Le Sun, 18 Jul 2004 22:43:57 +0000, Nicolas George a écrit :
Quand Linux aura atteint ce niveau de facilité, on pourra dire qu'il est mûr pour le grand public, si du moins c'est son objectif...
Linux est tout à fait mûr pour le grand public, c'est le grand public qui n'est pas mûr pour Linux.
+1
;-) -- Jerome
Le Sun, 18 Jul 2004 22:43:57 +0000, Nicolas George a écrit :
Quand Linux aura atteint ce niveau de facilité, on pourra dire qu'il est
mûr pour le grand public, si du moins c'est son objectif...
Linux est tout à fait mûr pour le grand public, c'est le grand public
qui n'est pas mûr pour Linux.
Le Sun, 18 Jul 2004 22:43:57 +0000, Nicolas George a écrit :
Quand Linux aura atteint ce niveau de facilité, on pourra dire qu'il est mûr pour le grand public, si du moins c'est son objectif...
Linux est tout à fait mûr pour le grand public, c'est le grand public qui n'est pas mûr pour Linux.
+1
;-) -- Jerome
talon
Jerome Lambert wrote:
Quand Linux aura atteint ce niveau de facilité, on pourra dire qu'il est mûr pour le grand public, si du moins c'est son objectif... (Unix étant complexe, je ne crois pas du tout à l'essor d'un Unix "grand public". Il suffit de voir les concessions faites par MacOS X pour s'en convaincre...)
Quelles concession? Mac OS X est un Unix tout à fait normal. Simplement
il y a une couche censée faciliter l'utilisation au dessus.
--
Michel TALON
Jerome Lambert <jerome.lambert@swing.be> wrote:
Quand Linux aura atteint ce niveau de facilité, on pourra dire qu'il est
mûr pour le grand public, si du moins c'est son objectif... (Unix
étant complexe, je ne crois pas du tout à l'essor d'un Unix "grand
public". Il suffit de voir les concessions faites par MacOS X pour s'en
convaincre...)
Quelles concession? Mac OS X est un Unix tout à fait normal. Simplement
il y a une couche censée faciliter l'utilisation au dessus.
Quand Linux aura atteint ce niveau de facilité, on pourra dire qu'il est mûr pour le grand public, si du moins c'est son objectif... (Unix étant complexe, je ne crois pas du tout à l'essor d'un Unix "grand public". Il suffit de voir les concessions faites par MacOS X pour s'en convaincre...)
Quelles concession? Mac OS X est un Unix tout à fait normal. Simplement
il y a une couche censée faciliter l'utilisation au dessus.
--
Michel TALON
talon
Nicolas George wrote:
Jerome Lambert , dans le message , a écrit :
Pour en revenir au problème initial, on est quand même loin de la démarche où je mets le CD, je clique sur 'suivant' sans même lire ce qui s'y passe, et in fine l'installateur me met même une icone sur le bureau pour que je n'aie pas à chercher dans les menus...
Je tape « apt-get install », j'attends quelques secondes, le programme est installé. Même pas la peine de tendre la main jusqu'au lecteur de CD. Je suis persuadé qu'il existe des interfaces graphiques pour faire la même chose, mais ça ne m'intéresse pas, donc je n'ai pas étudié la question.
Hou la mauvaise foi! Tu tapes apt-get install quoi exactement? apt-get install X XFree XFree86 Xorg quoi ... et si ça veut bien marcher tant mieux sauf que des fois il te faudra -t unstable ou que sais-je, ou la paquet n'existera pas , ou tu te retrouveras avec un machin antédiluvien et non pas celui que tu veux. Ou encore tu te retrouveras avec un gcc dépourvu de certains fichiers bien connus ... Ton apt-get ressemble à un vrai système de paquetage comme de la bière light à de la bière.
--
Michel TALON
Nicolas George <george@clipper.ens.fr> wrote:
Jerome Lambert , dans le message
<pan.2004.07.18.22.33.37.773105@swing.be>, a écrit :
Pour en revenir au problème initial, on est quand même loin de la
démarche où je mets le CD, je clique sur 'suivant' sans même lire ce
qui s'y passe, et in fine l'installateur me met même une icone sur le
bureau pour que je n'aie pas à chercher dans les menus...
Je tape « apt-get install », j'attends quelques secondes, le programme
est installé. Même pas la peine de tendre la main jusqu'au lecteur de
CD. Je suis persuadé qu'il existe des interfaces graphiques pour faire
la même chose, mais ça ne m'intéresse pas, donc je n'ai pas étudié la
question.
Hou la mauvaise foi! Tu tapes apt-get install quoi exactement?
apt-get install X XFree XFree86 Xorg quoi ...
et si ça veut bien marcher tant mieux sauf que des fois il te faudra
-t unstable ou que sais-je, ou la paquet n'existera pas , ou tu te retrouveras
avec un machin antédiluvien et non pas celui que tu veux.
Ou encore tu te retrouveras avec un gcc dépourvu de certains fichiers
bien connus ...
Ton apt-get ressemble à un vrai système de paquetage comme de la bière
light à de la bière.
Pour en revenir au problème initial, on est quand même loin de la démarche où je mets le CD, je clique sur 'suivant' sans même lire ce qui s'y passe, et in fine l'installateur me met même une icone sur le bureau pour que je n'aie pas à chercher dans les menus...
Je tape « apt-get install », j'attends quelques secondes, le programme est installé. Même pas la peine de tendre la main jusqu'au lecteur de CD. Je suis persuadé qu'il existe des interfaces graphiques pour faire la même chose, mais ça ne m'intéresse pas, donc je n'ai pas étudié la question.
Hou la mauvaise foi! Tu tapes apt-get install quoi exactement? apt-get install X XFree XFree86 Xorg quoi ... et si ça veut bien marcher tant mieux sauf que des fois il te faudra -t unstable ou que sais-je, ou la paquet n'existera pas , ou tu te retrouveras avec un machin antédiluvien et non pas celui que tu veux. Ou encore tu te retrouveras avec un gcc dépourvu de certains fichiers bien connus ... Ton apt-get ressemble à un vrai système de paquetage comme de la bière light à de la bière.
--
Michel TALON
george
Michel Talon, dans le message <cdevl8$2kq9$, a écrit :
Ton apt-get ressemble à un vrai système de paquetage comme de la bière light à de la bière.
Tu dois avoir un mauvais karma.
Michel Talon, dans le message <cdevl8$2kq9$2@asmodee.lpthe.jussieu.fr>,
a écrit :
Ton apt-get ressemble à un vrai système de paquetage comme de la bière
light à de la bière.
Michel Talon, dans le message <cdevl8$2kq9$, a écrit :
Ton apt-get ressemble à un vrai système de paquetage comme de la bière light à de la bière.
Tu dois avoir un mauvais karma.
j
Le Sun, 18 Jul 2004 23:30:36 +0200 après l'an de grâce, inspiré(e) Denis écrivait la plume légère :
Ce qu'il y a de bien avec ce genre de réflexion, c'est que si tout le monde pense comme toi, chacun reste dans son copin, sans vouloir faire avancer les choses. Permets moi de ne pas être d'accord. Si un Le logiciel libre ne marche qu'à la bonne volonté, mais elle n'est pas
un dû ni dans un sens (développeur => utilisateur) ni dans l'autre. Et ce que tiens lieu de monnaie dans l'économie (l'économie étant la science du comment faire des projets ensemble) les deux mamelles en sont: - des développeurs qui attendent de la reconnaissance et qui si on est sympa avec eux sont sympa avec toi, - des utilisateurs qui peuvent éventuellement contribuer et qui comprennent, et qui attendent eux aussi un minimum de reconnaissance pour ce qu'ils font.
développeur mets un logiciel à la disposition des utilisateurs, il leur doit un service minimum. Sinon, il ne s'embête pas, il met les Le développeur te doit rien. Il peut même décider d'arrêter tout
développement sur un coup de tête (et ça arrive).
sources à télécharger sur le site, et démerdez vous. Et si vous r alez, n'oubliez pas qu'il ne vous doit rien ! Ça s'appelle sourceforge, GNA et savannah
Je ne pense pas du tout comme ça. Pour moi, un développeur doit quelque chose aux utilisateurs, de même pour les packageurs, etc... Et pourtant c'est comme l'amitié, l'amitié n'est pas un du. Les gens
auront envie d'interagir avec toi si ils apprécient ton aide, tes questions, ta démarche mais sachant qu'ils ne sont pas payés/qu'ils font ça souvent pour leur plaisir, si tu les emmerde ils te diront d'aller te faire voir. Linux n'est pas un produit commercial dont le but est de dominer le monde, il est tout à fait envisageable de dire merde à une partie des nouveaux utilisateurs si ceux-ci peuvent pourrir ce qui fait le charme du logiciel libre.
Après, que nous ne soyons pas d'accord sur le quelque chose, c'est un fait. Mais qu'on ne me dise pas que nul ne doit rien à personne. C'est Et bien pourtant je te le dis
le meilleur moyen de rester seul dans son coin.
-- Linux is very user friendly, he is just picky about who his friends are.
Le Sun, 18 Jul 2004 23:30:36 +0200 après l'an de grâce, inspiré(e)
Denis <thomas.denis2@free.fr> écrivait la plume légère :
Ce qu'il y a de bien avec ce genre de réflexion, c'est que si tout le
monde pense comme toi, chacun reste dans son copin, sans vouloir faire
avancer les choses. Permets moi de ne pas être d'accord. Si un
Le logiciel libre ne marche qu'à la bonne volonté, mais elle n'est pas
un dû ni dans un sens (développeur => utilisateur) ni dans l'autre. Et
ce que tiens lieu de monnaie dans l'économie (l'économie étant la
science du comment faire des projets ensemble) les deux mamelles en
sont:
- des développeurs qui attendent de la reconnaissance et qui si on est
sympa avec eux sont sympa avec toi,
- des utilisateurs qui peuvent éventuellement contribuer et qui
comprennent, et qui attendent eux aussi un minimum de reconnaissance
pour ce qu'ils font.
développeur mets un logiciel à la disposition des utilisateurs, il
leur doit un service minimum. Sinon, il ne s'embête pas, il met les
Le développeur te doit rien. Il peut même décider d'arrêter tout
développement sur un coup de tête (et ça arrive).
sources à télécharger sur le site, et démerdez vous. Et si vous r alez,
n'oubliez pas qu'il ne vous doit rien !
Ça s'appelle sourceforge, GNA et savannah
Je ne pense pas du tout comme ça. Pour moi, un développeur doit
quelque chose aux utilisateurs, de même pour les packageurs, etc...
Et pourtant c'est comme l'amitié, l'amitié n'est pas un du. Les gens
auront envie d'interagir avec toi si ils apprécient ton aide, tes
questions, ta démarche mais sachant qu'ils ne sont pas payés/qu'ils
font ça souvent pour leur plaisir, si tu les emmerde ils te diront
d'aller te faire voir. Linux n'est pas un produit commercial dont le but
est de dominer le monde, il est tout à fait envisageable de dire merde à
une partie des nouveaux utilisateurs si ceux-ci peuvent pourrir ce qui
fait le charme du logiciel libre.
Après, que nous ne soyons pas d'accord sur le quelque chose, c'est un
fait. Mais qu'on ne me dise pas que nul ne doit rien à personne. C'est
Et bien pourtant je te le dis
le meilleur moyen de rester seul dans son coin.
--
Linux is very user friendly, he is just picky about who his friends are.
Le Sun, 18 Jul 2004 23:30:36 +0200 après l'an de grâce, inspiré(e) Denis écrivait la plume légère :
Ce qu'il y a de bien avec ce genre de réflexion, c'est que si tout le monde pense comme toi, chacun reste dans son copin, sans vouloir faire avancer les choses. Permets moi de ne pas être d'accord. Si un Le logiciel libre ne marche qu'à la bonne volonté, mais elle n'est pas
un dû ni dans un sens (développeur => utilisateur) ni dans l'autre. Et ce que tiens lieu de monnaie dans l'économie (l'économie étant la science du comment faire des projets ensemble) les deux mamelles en sont: - des développeurs qui attendent de la reconnaissance et qui si on est sympa avec eux sont sympa avec toi, - des utilisateurs qui peuvent éventuellement contribuer et qui comprennent, et qui attendent eux aussi un minimum de reconnaissance pour ce qu'ils font.
développeur mets un logiciel à la disposition des utilisateurs, il leur doit un service minimum. Sinon, il ne s'embête pas, il met les Le développeur te doit rien. Il peut même décider d'arrêter tout
développement sur un coup de tête (et ça arrive).
sources à télécharger sur le site, et démerdez vous. Et si vous r alez, n'oubliez pas qu'il ne vous doit rien ! Ça s'appelle sourceforge, GNA et savannah
Je ne pense pas du tout comme ça. Pour moi, un développeur doit quelque chose aux utilisateurs, de même pour les packageurs, etc... Et pourtant c'est comme l'amitié, l'amitié n'est pas un du. Les gens
auront envie d'interagir avec toi si ils apprécient ton aide, tes questions, ta démarche mais sachant qu'ils ne sont pas payés/qu'ils font ça souvent pour leur plaisir, si tu les emmerde ils te diront d'aller te faire voir. Linux n'est pas un produit commercial dont le but est de dominer le monde, il est tout à fait envisageable de dire merde à une partie des nouveaux utilisateurs si ceux-ci peuvent pourrir ce qui fait le charme du logiciel libre.
Après, que nous ne soyons pas d'accord sur le quelque chose, c'est un fait. Mais qu'on ne me dise pas que nul ne doit rien à personne. C'est Et bien pourtant je te le dis
le meilleur moyen de rester seul dans son coin.
-- Linux is very user friendly, he is just picky about who his friends are.