Max a écrit :
> "Jean-Pierre Roche" a écrit dans le
> news:g54ime$2o2v$
>> Pour faire court : les dpi on s'en tape.
>
> S'cusez-moi m'sieur, mais on ne s'en tape pas du tout. Quand votre
> journal vous demande une image de 154 mm à 200 dpi, il faut savoir
> que dpi veut dire !
toutafait ! une fois que l'on a dit que l'on voulait une image de
car alors il faudra 15.4 / 2.54 * 200 = 1212 pixels.
mais dans 99.99 % des cas, une photographe livre une photo à son
il ne livre pas une page prepress où il a choisi que la photo occupe
1/2, 1/4, 1/8 ou n'importe quelle largeur de la page, c'est donc bien
au monteur PAO de savoir à quelle résolution (pixel) il doit ramener
l'image pour ne pas tracter des résol. (dpi) inutiles.
le photographe se tape des DPI, il lui incombe seulement de fournir
image avec suffisament de pixels (hormi intérêt et qualité).
Max a écrit :
> "Jean-Pierre Roche" <jproche@sanspub.invalid> a écrit dans le
> news:g54ime$2o2v$1@talisker.lacave.net...
>> Pour faire court : les dpi on s'en tape.
>
> S'cusez-moi m'sieur, mais on ne s'en tape pas du tout. Quand votre
> journal vous demande une image de 154 mm à 200 dpi, il faut savoir
> que dpi veut dire !
toutafait ! une fois que l'on a dit que l'on voulait une image de
car alors il faudra 15.4 / 2.54 * 200 = 1212 pixels.
mais dans 99.99 % des cas, une photographe livre une photo à son
il ne livre pas une page prepress où il a choisi que la photo occupe
1/2, 1/4, 1/8 ou n'importe quelle largeur de la page, c'est donc bien
au monteur PAO de savoir à quelle résolution (pixel) il doit ramener
l'image pour ne pas tracter des résol. (dpi) inutiles.
le photographe se tape des DPI, il lui incombe seulement de fournir
image avec suffisament de pixels (hormi intérêt et qualité).
Max a écrit :
> "Jean-Pierre Roche" a écrit dans le
> news:g54ime$2o2v$
>> Pour faire court : les dpi on s'en tape.
>
> S'cusez-moi m'sieur, mais on ne s'en tape pas du tout. Quand votre
> journal vous demande une image de 154 mm à 200 dpi, il faut savoir
> que dpi veut dire !
toutafait ! une fois que l'on a dit que l'on voulait une image de
car alors il faudra 15.4 / 2.54 * 200 = 1212 pixels.
mais dans 99.99 % des cas, une photographe livre une photo à son
il ne livre pas une page prepress où il a choisi que la photo occupe
1/2, 1/4, 1/8 ou n'importe quelle largeur de la page, c'est donc bien
au monteur PAO de savoir à quelle résolution (pixel) il doit ramener
l'image pour ne pas tracter des résol. (dpi) inutiles.
le photographe se tape des DPI, il lui incombe seulement de fournir
image avec suffisament de pixels (hormi intérêt et qualité).
le photographe se tape des DPI, il lui incombe seulement de fournir
une image avec suffisament de pixels (hormi intérêt et qualité).
le photographe se tape des DPI, il lui incombe seulement de fournir
une image avec suffisament de pixels (hormi intérêt et qualité).
le photographe se tape des DPI, il lui incombe seulement de fournir
une image avec suffisament de pixels (hormi intérêt et qualité).
"Jean-Claude Péclard" a écrit :
> Si de plus l'impression se fait en noir et blanc, bonjour la casse
> avec les % "dot gain" ...
Pourquoi seulement en noir et blanc ? Le "dot gain", l'engraissement
Français, compense l'effet buvard du papier et le papier a ce
comportement avec toutes les encres qu'elles soient couleur ou noir et
blanc. Le point sur la plaque est plus petit que le point désiré sur
l'impression d'un certain pourcentage, ce pourcentage est celui de
l'agrandissement du point sur le papier par effet buvard.
"Jean-Claude Péclard" a écrit :
> Si de plus l'impression se fait en noir et blanc, bonjour la casse
> avec les % "dot gain" ...
Pourquoi seulement en noir et blanc ? Le "dot gain", l'engraissement
Français, compense l'effet buvard du papier et le papier a ce
comportement avec toutes les encres qu'elles soient couleur ou noir et
blanc. Le point sur la plaque est plus petit que le point désiré sur
l'impression d'un certain pourcentage, ce pourcentage est celui de
l'agrandissement du point sur le papier par effet buvard.
"Jean-Claude Péclard" a écrit :
> Si de plus l'impression se fait en noir et blanc, bonjour la casse
> avec les % "dot gain" ...
Pourquoi seulement en noir et blanc ? Le "dot gain", l'engraissement
Français, compense l'effet buvard du papier et le papier a ce
comportement avec toutes les encres qu'elles soient couleur ou noir et
blanc. Le point sur la plaque est plus petit que le point désiré sur
l'impression d'un certain pourcentage, ce pourcentage est celui de
l'agrandissement du point sur le papier par effet buvard.
Hello, jeudi, Jean-Pierre Roche a écrit :? là je sais vraiment pas de quoi vous parlez : du bulletin
paroissial ?
Parce que les trucs qui vont directement chez l'imprimeur
dans la presse "normale", même pas luxe, je vois pas.
Recemment je me suis fait "pièger" le plus bêtement du monde. Une
banque (!!!) me demande des photos pour illustrer son rapport annuel.
Il m'est précisé "jpeg, meilleure définition possible". Je fournis
les fichiers et lorsque je vois le rapport, je n'en crois pas mes
yeux, c'est gris, c'est terne et c'est flou. Après investigation,
j'apprends que mes fichiers sont simplement passés par les mains
d'une secrétaire qui les a recadrés (ça c'était convenu, en fonction
de la composition texte-image de la page), qui ne les as pas mis à la
bonne résolution en fonction du tramage (trame 200 en l'occurence) et
de plus s'est loupé en sautant à pieds joints par dessus la
définition du dot gain.
Alors peut-être qu'en France, la chaîne est complète, mais au vu de
mon expérience, malheureusement confortée par d'autres, en Hélvétie,
le lien Photographie-Imprimerie souffre (parfois, souvent ?) de
manque de compétences.
Hello, jeudi, Jean-Pierre Roche a écrit :
? là je sais vraiment pas de quoi vous parlez : du bulletin
paroissial ?
Parce que les trucs qui vont directement chez l'imprimeur
dans la presse "normale", même pas luxe, je vois pas.
Recemment je me suis fait "pièger" le plus bêtement du monde. Une
banque (!!!) me demande des photos pour illustrer son rapport annuel.
Il m'est précisé "jpeg, meilleure définition possible". Je fournis
les fichiers et lorsque je vois le rapport, je n'en crois pas mes
yeux, c'est gris, c'est terne et c'est flou. Après investigation,
j'apprends que mes fichiers sont simplement passés par les mains
d'une secrétaire qui les a recadrés (ça c'était convenu, en fonction
de la composition texte-image de la page), qui ne les as pas mis à la
bonne résolution en fonction du tramage (trame 200 en l'occurence) et
de plus s'est loupé en sautant à pieds joints par dessus la
définition du dot gain.
Alors peut-être qu'en France, la chaîne est complète, mais au vu de
mon expérience, malheureusement confortée par d'autres, en Hélvétie,
le lien Photographie-Imprimerie souffre (parfois, souvent ?) de
manque de compétences.
Hello, jeudi, Jean-Pierre Roche a écrit :? là je sais vraiment pas de quoi vous parlez : du bulletin
paroissial ?
Parce que les trucs qui vont directement chez l'imprimeur
dans la presse "normale", même pas luxe, je vois pas.
Recemment je me suis fait "pièger" le plus bêtement du monde. Une
banque (!!!) me demande des photos pour illustrer son rapport annuel.
Il m'est précisé "jpeg, meilleure définition possible". Je fournis
les fichiers et lorsque je vois le rapport, je n'en crois pas mes
yeux, c'est gris, c'est terne et c'est flou. Après investigation,
j'apprends que mes fichiers sont simplement passés par les mains
d'une secrétaire qui les a recadrés (ça c'était convenu, en fonction
de la composition texte-image de la page), qui ne les as pas mis à la
bonne résolution en fonction du tramage (trame 200 en l'occurence) et
de plus s'est loupé en sautant à pieds joints par dessus la
définition du dot gain.
Alors peut-être qu'en France, la chaîne est complète, mais au vu de
mon expérience, malheureusement confortée par d'autres, en Hélvétie,
le lien Photographie-Imprimerie souffre (parfois, souvent ?) de
manque de compétences.
On en a tous des palanquées à raconter, d'histoires comme ça. Déjà que
pour les photographes amateurs avertis voire pros, c'est pas toujours
très clair, alors pour la secrétaire qui ne connaît à peu près rien en
la matière, et son patron pas plus, c'est vraiment la Bérézina. J'ai
vu des secrétaires tenter de s'envoyer par mail en PJ des images de 50
mégas, et le serveur refusait l'envoi et elles s'acharnaient des
heures entières... Ah, là, là, Internet, ça ne marche vraiment pas...
On en a tous des palanquées à raconter, d'histoires comme ça. Déjà que
pour les photographes amateurs avertis voire pros, c'est pas toujours
très clair, alors pour la secrétaire qui ne connaît à peu près rien en
la matière, et son patron pas plus, c'est vraiment la Bérézina. J'ai
vu des secrétaires tenter de s'envoyer par mail en PJ des images de 50
mégas, et le serveur refusait l'envoi et elles s'acharnaient des
heures entières... Ah, là, là, Internet, ça ne marche vraiment pas...
On en a tous des palanquées à raconter, d'histoires comme ça. Déjà que
pour les photographes amateurs avertis voire pros, c'est pas toujours
très clair, alors pour la secrétaire qui ne connaît à peu près rien en
la matière, et son patron pas plus, c'est vraiment la Bérézina. J'ai
vu des secrétaires tenter de s'envoyer par mail en PJ des images de 50
mégas, et le serveur refusait l'envoi et elles s'acharnaient des
heures entières... Ah, là, là, Internet, ça ne marche vraiment pas...
Jean-Claude Péclard a écrit :
> Tout à fait. Je crois comprendre derrière la demande de Luc, une
> de plus en plus courante.
> L'attaché de presse n'y connait pas grand chose, certes, mais il
> bien être le seul intermédiaire entre l'imprimeur et le photographe.
> les photos sont certainement publiées avec le nom de l'auteur,
> intérêt à connaître un peu du boulot du maquetiste qui a bien
> disparût de la chaîne, n'en déplaise à l'ami JPR...
? là je sais vraiment pas de quoi vous parlez : du bulletin
paroissial ?
Parce que les trucs qui vont directement chez l'imprimeur
dans la presse "normale", même pas luxe, je vois pas.
Jean-Claude Péclard a écrit :
> Tout à fait. Je crois comprendre derrière la demande de Luc, une
> de plus en plus courante.
> L'attaché de presse n'y connait pas grand chose, certes, mais il
> bien être le seul intermédiaire entre l'imprimeur et le photographe.
> les photos sont certainement publiées avec le nom de l'auteur,
> intérêt à connaître un peu du boulot du maquetiste qui a bien
> disparût de la chaîne, n'en déplaise à l'ami JPR...
? là je sais vraiment pas de quoi vous parlez : du bulletin
paroissial ?
Parce que les trucs qui vont directement chez l'imprimeur
dans la presse "normale", même pas luxe, je vois pas.
Jean-Claude Péclard a écrit :
> Tout à fait. Je crois comprendre derrière la demande de Luc, une
> de plus en plus courante.
> L'attaché de presse n'y connait pas grand chose, certes, mais il
> bien être le seul intermédiaire entre l'imprimeur et le photographe.
> les photos sont certainement publiées avec le nom de l'auteur,
> intérêt à connaître un peu du boulot du maquetiste qui a bien
> disparût de la chaîne, n'en déplaise à l'ami JPR...
? là je sais vraiment pas de quoi vous parlez : du bulletin
paroissial ?
Parce que les trucs qui vont directement chez l'imprimeur
dans la presse "normale", même pas luxe, je vois pas.
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de
news:g54m8a$4vo$Max a écrit :
> Bien d'accord, mais le problème était évoqué en filigrane dans le
post> initial : Le poids trop élevé des photos pour leur transmission par
> Internet. Je suis moi-même confronté à ce problème quand j'envoie
les> photos à ma rédaction avec une liaison adsl "campagnarde" limité à 1
> Mbs... De plus, s'il y a lieu, j'aime bien recadrer personnellement
mes> photos...
Selon moi, le problème est seulement dans la tête de
l'attachée de presse qui a *entendu parler* des dpi sans
rien y connaître et croit devoir imposer son ignorance...
Pour le recadrage, dans la presse et l'édition, sauf cas
particulier de photos "artistiques", il ne faut pas se faire
d'illusion : c'est la maquette qui fait le cadrage, souvent
pour des impératifs techniques.
Ca n'empêche pas le photographe de recadrer préalablement
mais rien ne garantit que ce cadrage sera conservé...
J'ai des largeurs de colonne de 48 mm et 5 mm de gouttière. Je connais
donc la largeur de mes photos en fonction des colonnes allouées par la
rédaction, 1 (48mm), 2 (2x48+51mm), 3 (3*48+104), etc. Et comme la
définition doit être impérativement de 200 dpi (c'est du journal,
exigence du rotativiste), mes images ne sont pas recadrées sauf parfois
très légèrement en hauteur (coupées plutôt!)...
Concernant l'attaché de presse, sûr qu'il ne fait que répéter bêtement
ce qu'il a entendu sans avoir la moindre idée de la signification !
Max.
--
"Jean-Pierre Roche" <jproche@sanspub.invalid> a écrit dans le message de
news:g54m8a$4vo$1@talisker.lacave.net...
Max a écrit :
> Bien d'accord, mais le problème était évoqué en filigrane dans le
post
> initial : Le poids trop élevé des photos pour leur transmission par
> Internet. Je suis moi-même confronté à ce problème quand j'envoie
les
> photos à ma rédaction avec une liaison adsl "campagnarde" limité à 1
> Mbs... De plus, s'il y a lieu, j'aime bien recadrer personnellement
mes
> photos...
Selon moi, le problème est seulement dans la tête de
l'attachée de presse qui a *entendu parler* des dpi sans
rien y connaître et croit devoir imposer son ignorance...
Pour le recadrage, dans la presse et l'édition, sauf cas
particulier de photos "artistiques", il ne faut pas se faire
d'illusion : c'est la maquette qui fait le cadrage, souvent
pour des impératifs techniques.
Ca n'empêche pas le photographe de recadrer préalablement
mais rien ne garantit que ce cadrage sera conservé...
J'ai des largeurs de colonne de 48 mm et 5 mm de gouttière. Je connais
donc la largeur de mes photos en fonction des colonnes allouées par la
rédaction, 1 (48mm), 2 (2x48+51mm), 3 (3*48+104), etc. Et comme la
définition doit être impérativement de 200 dpi (c'est du journal,
exigence du rotativiste), mes images ne sont pas recadrées sauf parfois
très légèrement en hauteur (coupées plutôt!)...
Concernant l'attaché de presse, sûr qu'il ne fait que répéter bêtement
ce qu'il a entendu sans avoir la moindre idée de la signification !
Max.
--
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de
news:g54m8a$4vo$Max a écrit :
> Bien d'accord, mais le problème était évoqué en filigrane dans le
post> initial : Le poids trop élevé des photos pour leur transmission par
> Internet. Je suis moi-même confronté à ce problème quand j'envoie
les> photos à ma rédaction avec une liaison adsl "campagnarde" limité à 1
> Mbs... De plus, s'il y a lieu, j'aime bien recadrer personnellement
mes> photos...
Selon moi, le problème est seulement dans la tête de
l'attachée de presse qui a *entendu parler* des dpi sans
rien y connaître et croit devoir imposer son ignorance...
Pour le recadrage, dans la presse et l'édition, sauf cas
particulier de photos "artistiques", il ne faut pas se faire
d'illusion : c'est la maquette qui fait le cadrage, souvent
pour des impératifs techniques.
Ca n'empêche pas le photographe de recadrer préalablement
mais rien ne garantit que ce cadrage sera conservé...
J'ai des largeurs de colonne de 48 mm et 5 mm de gouttière. Je connais
donc la largeur de mes photos en fonction des colonnes allouées par la
rédaction, 1 (48mm), 2 (2x48+51mm), 3 (3*48+104), etc. Et comme la
définition doit être impérativement de 200 dpi (c'est du journal,
exigence du rotativiste), mes images ne sont pas recadrées sauf parfois
très légèrement en hauteur (coupées plutôt!)...
Concernant l'attaché de presse, sûr qu'il ne fait que répéter bêtement
ce qu'il a entendu sans avoir la moindre idée de la signification !
Max.
--
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message
de news:g54trf$15d1$Jean-Claude Péclard a écrit :Tout à fait. Je crois comprendre derrière la demande de Luc, une
situation de plus en plus courante.
L'attaché de presse n'y connait pas grand chose, certes, mais il
pourrait bien être le seul intermédiaire entre l'imprimeur et le
photographe. Comme les photos sont certainement publiées avec le
nom de l'auteur, celui-ci à intérêt à connaître un peu du boulot du
maquetiste qui a bien souvent disparût de la chaîne, n'en déplaise
à l'ami JPR...
? là je sais vraiment pas de quoi vous parlez : du bulletin
paroissial ?
Parce que les trucs qui vont directement chez l'imprimeur
dans la presse "normale", même pas luxe, je vois pas.
Vous devriez sortir de votre bulle et parcourir un peu la province,
celle des petits artisans-imprimeurs ou des hebdomadaires locaux qui,
bien que tirés sur des rotatives à 12 ou 15000 exemplaires en 25
minutes pour 40 pages, sont "composés" par quatre ou cinq personnes
payées 10% au-dessus du SMIC. Je ne vous dis pas la (non) formation
de ces personnels... Eh bien dans ces conditions, pour obtenir malgré
tout un produit de qualité, il faut que chacun mette les mains dans
le cambouis. Y compris le correspondant !
Max.
"Jean-Pierre Roche" <jproche@sanspub.invalid> a écrit dans le message
de news:g54trf$15d1$1@talisker.lacave.net...
Jean-Claude Péclard a écrit :
Tout à fait. Je crois comprendre derrière la demande de Luc, une
situation de plus en plus courante.
L'attaché de presse n'y connait pas grand chose, certes, mais il
pourrait bien être le seul intermédiaire entre l'imprimeur et le
photographe. Comme les photos sont certainement publiées avec le
nom de l'auteur, celui-ci à intérêt à connaître un peu du boulot du
maquetiste qui a bien souvent disparût de la chaîne, n'en déplaise
à l'ami JPR...
? là je sais vraiment pas de quoi vous parlez : du bulletin
paroissial ?
Parce que les trucs qui vont directement chez l'imprimeur
dans la presse "normale", même pas luxe, je vois pas.
Vous devriez sortir de votre bulle et parcourir un peu la province,
celle des petits artisans-imprimeurs ou des hebdomadaires locaux qui,
bien que tirés sur des rotatives à 12 ou 15000 exemplaires en 25
minutes pour 40 pages, sont "composés" par quatre ou cinq personnes
payées 10% au-dessus du SMIC. Je ne vous dis pas la (non) formation
de ces personnels... Eh bien dans ces conditions, pour obtenir malgré
tout un produit de qualité, il faut que chacun mette les mains dans
le cambouis. Y compris le correspondant !
Max.
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message
de news:g54trf$15d1$Jean-Claude Péclard a écrit :Tout à fait. Je crois comprendre derrière la demande de Luc, une
situation de plus en plus courante.
L'attaché de presse n'y connait pas grand chose, certes, mais il
pourrait bien être le seul intermédiaire entre l'imprimeur et le
photographe. Comme les photos sont certainement publiées avec le
nom de l'auteur, celui-ci à intérêt à connaître un peu du boulot du
maquetiste qui a bien souvent disparût de la chaîne, n'en déplaise
à l'ami JPR...
? là je sais vraiment pas de quoi vous parlez : du bulletin
paroissial ?
Parce que les trucs qui vont directement chez l'imprimeur
dans la presse "normale", même pas luxe, je vois pas.
Vous devriez sortir de votre bulle et parcourir un peu la province,
celle des petits artisans-imprimeurs ou des hebdomadaires locaux qui,
bien que tirés sur des rotatives à 12 ou 15000 exemplaires en 25
minutes pour 40 pages, sont "composés" par quatre ou cinq personnes
payées 10% au-dessus du SMIC. Je ne vous dis pas la (non) formation
de ces personnels... Eh bien dans ces conditions, pour obtenir malgré
tout un produit de qualité, il faut que chacun mette les mains dans
le cambouis. Y compris le correspondant !
Max.
La seule chose "normale" dans cette histoire est que l'attachée de
presse ne sait pas de quoi elle parle.
Le photographe doit agir avec doigté ... 1 à 2 Mo c'est maigre...
La seule chose "normale" dans cette histoire est que l'attachée de
presse ne sait pas de quoi elle parle.
Le photographe doit agir avec doigté ... 1 à 2 Mo c'est maigre...
La seule chose "normale" dans cette histoire est que l'attachée de
presse ne sait pas de quoi elle parle.
Le photographe doit agir avec doigté ... 1 à 2 Mo c'est maigre...
> Quant aux *72 dpi*, cette information de la résolution des images fait
> partie de l'entête des fichiers image.qui est par défaut est de 72
> dpi pour les images issues d'un apn. Vieille lune qui a la peau dure.
> Quant aux *72 dpi*, cette information de la résolution des images fait
> partie de l'entête des fichiers image.qui est par défaut est de 72
> dpi pour les images issues d'un apn. Vieille lune qui a la peau dure.
> Quant aux *72 dpi*, cette information de la résolution des images fait
> partie de l'entête des fichiers image.qui est par défaut est de 72
> dpi pour les images issues d'un apn. Vieille lune qui a la peau dure.