roaringriri avait prétendu :Comme c'est beau !
Merci, c'est trop gentil ! ;-)On en oublierait presque que 99% des brevets sont uniquement "défensifs", et
sont pris uniquement pour interdire, à la concurrence, toute innovation qui
nuirait à un produit en vente.
En France, une invention ne peut être brévetée que s'il est possible
d'en faire une application artisanale ou industrielle.
Après, pendant un certain laps de temps, le brevet permet soit de se réserver
un marché, soit d'autoriser des tiers à l'exploiter contre
des royalties.
Si vous apportez à votre tour une innovation au brevet, c.a.d
un "plus" qui ne peut être une application ou extrapolation évidente pour un
homme du métier, vous pouvez déposer un brevet à votre tour.
Certains pays (USA, Australie) brevètent un peu tout et n'importe
quoi, mais d'autres états comme la Russie, la Chine ou des pays
émergents d'Amérique latine ou d'Asie ne sont pas toujours très
regardants sur les droits de propriété industrielle.
Mais il ne suffit pas de se délocaliser pour échapper aux brevets,
sauf à se limiter au marché local.L'Economie ne tolère l'innovation que si ça lui fait gagner du fric, et
l'interdit quand ça peut nuire à une stratégie industrielle.
Certes, le moteur de l'économie, c'est la recherche du profit.
Mais dans une économie mondialisée, où de nouveaux marchés et de
nouvelles modes éclosent chaque jour ou presque, on n'a guère
d'autre alternative qu'innover ou disparaître.
Schumpeter a remarquablement bien décrit les processus de "destruction
créatrice" apportés par l'offre de nouveaux produits sur le marché, une
nouveauté en chassant une autre, tout en créant une dynamique qui, pour se
régénérer, implique de la diffusion de pouvoir d'achat.
En quelque sorte la théorisation des pratiques de Henry Ford, antithèse
parfaite de l'autodestruction du capitalisme prévue par Marx.
roaringriri avait prétendu :
Comme c'est beau !
Merci, c'est trop gentil ! ;-)
On en oublierait presque que 99% des brevets sont uniquement "défensifs", et
sont pris uniquement pour interdire, à la concurrence, toute innovation qui
nuirait à un produit en vente.
En France, une invention ne peut être brévetée que s'il est possible
d'en faire une application artisanale ou industrielle.
Après, pendant un certain laps de temps, le brevet permet soit de se réserver
un marché, soit d'autoriser des tiers à l'exploiter contre
des royalties.
Si vous apportez à votre tour une innovation au brevet, c.a.d
un "plus" qui ne peut être une application ou extrapolation évidente pour un
homme du métier, vous pouvez déposer un brevet à votre tour.
Certains pays (USA, Australie) brevètent un peu tout et n'importe
quoi, mais d'autres états comme la Russie, la Chine ou des pays
émergents d'Amérique latine ou d'Asie ne sont pas toujours très
regardants sur les droits de propriété industrielle.
Mais il ne suffit pas de se délocaliser pour échapper aux brevets,
sauf à se limiter au marché local.
L'Economie ne tolère l'innovation que si ça lui fait gagner du fric, et
l'interdit quand ça peut nuire à une stratégie industrielle.
Certes, le moteur de l'économie, c'est la recherche du profit.
Mais dans une économie mondialisée, où de nouveaux marchés et de
nouvelles modes éclosent chaque jour ou presque, on n'a guère
d'autre alternative qu'innover ou disparaître.
Schumpeter a remarquablement bien décrit les processus de "destruction
créatrice" apportés par l'offre de nouveaux produits sur le marché, une
nouveauté en chassant une autre, tout en créant une dynamique qui, pour se
régénérer, implique de la diffusion de pouvoir d'achat.
En quelque sorte la théorisation des pratiques de Henry Ford, antithèse
parfaite de l'autodestruction du capitalisme prévue par Marx.
roaringriri avait prétendu :Comme c'est beau !
Merci, c'est trop gentil ! ;-)On en oublierait presque que 99% des brevets sont uniquement "défensifs", et
sont pris uniquement pour interdire, à la concurrence, toute innovation qui
nuirait à un produit en vente.
En France, une invention ne peut être brévetée que s'il est possible
d'en faire une application artisanale ou industrielle.
Après, pendant un certain laps de temps, le brevet permet soit de se réserver
un marché, soit d'autoriser des tiers à l'exploiter contre
des royalties.
Si vous apportez à votre tour une innovation au brevet, c.a.d
un "plus" qui ne peut être une application ou extrapolation évidente pour un
homme du métier, vous pouvez déposer un brevet à votre tour.
Certains pays (USA, Australie) brevètent un peu tout et n'importe
quoi, mais d'autres états comme la Russie, la Chine ou des pays
émergents d'Amérique latine ou d'Asie ne sont pas toujours très
regardants sur les droits de propriété industrielle.
Mais il ne suffit pas de se délocaliser pour échapper aux brevets,
sauf à se limiter au marché local.L'Economie ne tolère l'innovation que si ça lui fait gagner du fric, et
l'interdit quand ça peut nuire à une stratégie industrielle.
Certes, le moteur de l'économie, c'est la recherche du profit.
Mais dans une économie mondialisée, où de nouveaux marchés et de
nouvelles modes éclosent chaque jour ou presque, on n'a guère
d'autre alternative qu'innover ou disparaître.
Schumpeter a remarquablement bien décrit les processus de "destruction
créatrice" apportés par l'offre de nouveaux produits sur le marché, une
nouveauté en chassant une autre, tout en créant une dynamique qui, pour se
régénérer, implique de la diffusion de pouvoir d'achat.
En quelque sorte la théorisation des pratiques de Henry Ford, antithèse
parfaite de l'autodestruction du capitalisme prévue par Marx.
Le 29/10/2012 11:27, Christian Navis a écrit :
- Est-il tolérable de négliger 100 ou 1000 personnes pour faire gagner
la bataille du progrès à des millions d'autres ?
Dans les évangiles, déjà, ils disent : "Il est avantageux qu'un seul homme
meure pour le peuple." (Jean, 18.14 )
Le 29/10/2012 11:27, Christian Navis a écrit :
- Est-il tolérable de négliger 100 ou 1000 personnes pour faire gagner
la bataille du progrès à des millions d'autres ?
Dans les évangiles, déjà, ils disent : "Il est avantageux qu'un seul homme
meure pour le peuple." (Jean, 18.14 )
Le 29/10/2012 11:27, Christian Navis a écrit :
- Est-il tolérable de négliger 100 ou 1000 personnes pour faire gagner
la bataille du progrès à des millions d'autres ?
Dans les évangiles, déjà, ils disent : "Il est avantageux qu'un seul homme
meure pour le peuple." (Jean, 18.14 )
En fait il s'agit comme toujours de savoir où on place le curseur entre
l'individu et la société.
En fait il s'agit comme toujours de savoir où on place le curseur entre
l'individu et la société.
En fait il s'agit comme toujours de savoir où on place le curseur entre
l'individu et la société.
Dans son message précédent, @wanadoo a écrit :En fait il s'agit comme toujours de savoir où on place le curseur entre
l'individu et la société.
En l'occurence, la question est celle de tous les grands stratèges,
l'économie et la technologie pouvant être considérées comme des
substituts de la guerre dans nos sociétés :
- Est-il tolérable de négliger 100 ou 1000 personnes pour faire gagner
la bataille du progrès à des millions d'autres ?
- Ou bien doit-on impérativement protéger ces 100 personnes, quoi
qu'il advienne, et qu'importe la stagnation, la régression et
la décadence.
Et c'est là qu'intervient le droit.
Tant qu'il sanctionne a posteriori les imprudences, négligences,
impérities ou inobservation des règles de sécurité, et indemnise
les victimes, rien à dire.
La responsabilité des actes que l'on commet et des dommages que l'on
occasionne est un des piliers de notre corpus juris civilis.
Là où ça dérape, c'est quand des vieillards froussards, ou de jeunes
timorés, plus ignares, prétentieux et psittaciques les uns que les autres
prétendent anticiper des dommages imaginaires et interdire
toute action novatrice avant même qu'elle n'ait commencé.
Dans son message précédent, @wanadoo a écrit :
En fait il s'agit comme toujours de savoir où on place le curseur entre
l'individu et la société.
En l'occurence, la question est celle de tous les grands stratèges,
l'économie et la technologie pouvant être considérées comme des
substituts de la guerre dans nos sociétés :
- Est-il tolérable de négliger 100 ou 1000 personnes pour faire gagner
la bataille du progrès à des millions d'autres ?
- Ou bien doit-on impérativement protéger ces 100 personnes, quoi
qu'il advienne, et qu'importe la stagnation, la régression et
la décadence.
Et c'est là qu'intervient le droit.
Tant qu'il sanctionne a posteriori les imprudences, négligences,
impérities ou inobservation des règles de sécurité, et indemnise
les victimes, rien à dire.
La responsabilité des actes que l'on commet et des dommages que l'on
occasionne est un des piliers de notre corpus juris civilis.
Là où ça dérape, c'est quand des vieillards froussards, ou de jeunes
timorés, plus ignares, prétentieux et psittaciques les uns que les autres
prétendent anticiper des dommages imaginaires et interdire
toute action novatrice avant même qu'elle n'ait commencé.
Dans son message précédent, @wanadoo a écrit :En fait il s'agit comme toujours de savoir où on place le curseur entre
l'individu et la société.
En l'occurence, la question est celle de tous les grands stratèges,
l'économie et la technologie pouvant être considérées comme des
substituts de la guerre dans nos sociétés :
- Est-il tolérable de négliger 100 ou 1000 personnes pour faire gagner
la bataille du progrès à des millions d'autres ?
- Ou bien doit-on impérativement protéger ces 100 personnes, quoi
qu'il advienne, et qu'importe la stagnation, la régression et
la décadence.
Et c'est là qu'intervient le droit.
Tant qu'il sanctionne a posteriori les imprudences, négligences,
impérities ou inobservation des règles de sécurité, et indemnise
les victimes, rien à dire.
La responsabilité des actes que l'on commet et des dommages que l'on
occasionne est un des piliers de notre corpus juris civilis.
Là où ça dérape, c'est quand des vieillards froussards, ou de jeunes
timorés, plus ignares, prétentieux et psittaciques les uns que les autres
prétendent anticiper des dommages imaginaires et interdire
toute action novatrice avant même qu'elle n'ait commencé.
Ta vision est très idéologique et très réductrice.
La recherche scientifique fondamentale n'est pas motivée par le profit.
Il faut que tu sois sourd et aveugle pour ne pas voir que le capitalisme est
en train de s'autodétruire, ou alors tu ne regardes que TF1.
L'Islande? L'Espagne? Le Canada? En fait, c'est depuis l'éclatement
de la bulle Internet.
Ta vision est très idéologique et très réductrice.
La recherche scientifique fondamentale n'est pas motivée par le profit.
Il faut que tu sois sourd et aveugle pour ne pas voir que le capitalisme est
en train de s'autodétruire, ou alors tu ne regardes que TF1.
L'Islande? L'Espagne? Le Canada? En fait, c'est depuis l'éclatement
de la bulle Internet.
Ta vision est très idéologique et très réductrice.
La recherche scientifique fondamentale n'est pas motivée par le profit.
Il faut que tu sois sourd et aveugle pour ne pas voir que le capitalisme est
en train de s'autodétruire, ou alors tu ne regardes que TF1.
L'Islande? L'Espagne? Le Canada? En fait, c'est depuis l'éclatement
de la bulle Internet.
Le 30/10/2012, Cl.Massé a supposé :Ta vision est très idéologique et très réductrice.
Encore plus réducteur et de mauvaise foi d'avoir dissocié la réponse
de la question. C'est dans "la dialectique pour les nuls" que vous avez
trouvé l'astuce ? :-)
La recherche scientifique fondamentale n'est pas motivée par le profit.
Hors sujet, ici on parle économie et droit. C'est dans "la rhétorique pour les
nuls" que vous puisez votre inspiration ? ;-)Il faut que tu sois sourd et aveugle pour ne pas voir que le capitalisme est
en train de s'autodétruire, ou alors tu ne regardes que TF1.
Je ne regarde que Gulli. En boucle.
Et vous ça va ? Vous comprenez au moins les dessins animés ? lol
A part ça, vous confondez le capitalisme productif (sans lequel vous n'auriez
ni ordi ni bagnole)
qui assure des taux de croissance enviables à la Chine et aux pays émergents,
et permet à la Russie et aux USA de se maintenir dans le peloton de tête...
Avec le capitalisme financier, dont l'économie casino est une pathologie
avérée mais marginale et curable, surtout depuis que des bailleurs de fonds
comme la Chine puis le Qatar relancent le jeu de demandant une modification
des règles.
L'Islande? L'Espagne? Le Canada? En fait, c'est depuis l'éclatement
de la bulle Internet.
Faites-vous partie des ces gens sans passé qui croient que le monde a commencé
à tourner le jour de leur naissance ? Et que la France,
sinon l'Europe, est le centre du monde ? :-(
Avant Marx, pendant des siècles, le capitalisme a connu des crises de
sous-production (les disettes, le surcoût des objets courants) et des crises
financières : de Philippe Le Bel aux assignats de Law... Tandis que l'Espagne
et le Portugal de la Renaissance étaient ruinés par leur excès d'or mal
investi... Puis des crises de surproduction par manque
de pouvoir d'achat comme Marx l'avait prévu, au XIXème et jusqu'en 1930.
Puis des crises de productivité, de rentabilité, d'inadéquation aux marchés,
et bien sûr de spéculations mortifères.
Et après ? Le capitalisme s'en toujours remis. Il est insubmersible.
Qui aurait cru il y a 30 ans que la Chine rouge et l'URSS deviendraient des
phares du capitalisme sauvage ?
La crise boursière actuelle, qui n'empêche pas les banques de tirer leur
épingle du jeu, n'est qu'un épiphénomène ponctuel touchant un nombre limité de
pays qui n'ont pas su s'adapter et qui devront se reconvertir pour maintenir
leur niveau de vie.
Un exemple simplissime : au lieu d'essayer désespérément de faire revenir en
France des fabricants de fonte ou de circuits imprimés,
à coup de faramineuses subventions, on ferait mieux de valoriser nos
atouts actuels en développant les biotechnologies et l'industrie du tourisme.
Et en cherchant des sources d'énergie disponibles.
Au risque, bien sûr, de déplaire aux écolos-bobos fanatiques
(2% du corps électoral !) ces fossoyeurs du progrès, qui entrent en transes
quand ils entendent l'acronyme OGM, se roulent par terre en bavant à l'idée
qu'on étudie seulement la possibilité d'extraire le gaz de schiste, et
éructent des vomissures putrides quand on suggère de construire des marinas et
de complexes touristiques, secteurs où il y a une demande hurlante et donc un
manque à gagner fabuleux.
En emplois salariés. En emplois induits. En relance du commerce.
En gain de devises. Et aussi en impôts d'Etat et en taxes locales. :-@
Le 30/10/2012, Cl.Massé a supposé :
Ta vision est très idéologique et très réductrice.
Encore plus réducteur et de mauvaise foi d'avoir dissocié la réponse
de la question. C'est dans "la dialectique pour les nuls" que vous avez
trouvé l'astuce ? :-)
La recherche scientifique fondamentale n'est pas motivée par le profit.
Hors sujet, ici on parle économie et droit. C'est dans "la rhétorique pour les
nuls" que vous puisez votre inspiration ? ;-)
Il faut que tu sois sourd et aveugle pour ne pas voir que le capitalisme est
en train de s'autodétruire, ou alors tu ne regardes que TF1.
Je ne regarde que Gulli. En boucle.
Et vous ça va ? Vous comprenez au moins les dessins animés ? lol
A part ça, vous confondez le capitalisme productif (sans lequel vous n'auriez
ni ordi ni bagnole)
qui assure des taux de croissance enviables à la Chine et aux pays émergents,
et permet à la Russie et aux USA de se maintenir dans le peloton de tête...
Avec le capitalisme financier, dont l'économie casino est une pathologie
avérée mais marginale et curable, surtout depuis que des bailleurs de fonds
comme la Chine puis le Qatar relancent le jeu de demandant une modification
des règles.
L'Islande? L'Espagne? Le Canada? En fait, c'est depuis l'éclatement
de la bulle Internet.
Faites-vous partie des ces gens sans passé qui croient que le monde a commencé
à tourner le jour de leur naissance ? Et que la France,
sinon l'Europe, est le centre du monde ? :-(
Avant Marx, pendant des siècles, le capitalisme a connu des crises de
sous-production (les disettes, le surcoût des objets courants) et des crises
financières : de Philippe Le Bel aux assignats de Law... Tandis que l'Espagne
et le Portugal de la Renaissance étaient ruinés par leur excès d'or mal
investi... Puis des crises de surproduction par manque
de pouvoir d'achat comme Marx l'avait prévu, au XIXème et jusqu'en 1930.
Puis des crises de productivité, de rentabilité, d'inadéquation aux marchés,
et bien sûr de spéculations mortifères.
Et après ? Le capitalisme s'en toujours remis. Il est insubmersible.
Qui aurait cru il y a 30 ans que la Chine rouge et l'URSS deviendraient des
phares du capitalisme sauvage ?
La crise boursière actuelle, qui n'empêche pas les banques de tirer leur
épingle du jeu, n'est qu'un épiphénomène ponctuel touchant un nombre limité de
pays qui n'ont pas su s'adapter et qui devront se reconvertir pour maintenir
leur niveau de vie.
Un exemple simplissime : au lieu d'essayer désespérément de faire revenir en
France des fabricants de fonte ou de circuits imprimés,
à coup de faramineuses subventions, on ferait mieux de valoriser nos
atouts actuels en développant les biotechnologies et l'industrie du tourisme.
Et en cherchant des sources d'énergie disponibles.
Au risque, bien sûr, de déplaire aux écolos-bobos fanatiques
(2% du corps électoral !) ces fossoyeurs du progrès, qui entrent en transes
quand ils entendent l'acronyme OGM, se roulent par terre en bavant à l'idée
qu'on étudie seulement la possibilité d'extraire le gaz de schiste, et
éructent des vomissures putrides quand on suggère de construire des marinas et
de complexes touristiques, secteurs où il y a une demande hurlante et donc un
manque à gagner fabuleux.
En emplois salariés. En emplois induits. En relance du commerce.
En gain de devises. Et aussi en impôts d'Etat et en taxes locales. :-@
Le 30/10/2012, Cl.Massé a supposé :Ta vision est très idéologique et très réductrice.
Encore plus réducteur et de mauvaise foi d'avoir dissocié la réponse
de la question. C'est dans "la dialectique pour les nuls" que vous avez
trouvé l'astuce ? :-)
La recherche scientifique fondamentale n'est pas motivée par le profit.
Hors sujet, ici on parle économie et droit. C'est dans "la rhétorique pour les
nuls" que vous puisez votre inspiration ? ;-)Il faut que tu sois sourd et aveugle pour ne pas voir que le capitalisme est
en train de s'autodétruire, ou alors tu ne regardes que TF1.
Je ne regarde que Gulli. En boucle.
Et vous ça va ? Vous comprenez au moins les dessins animés ? lol
A part ça, vous confondez le capitalisme productif (sans lequel vous n'auriez
ni ordi ni bagnole)
qui assure des taux de croissance enviables à la Chine et aux pays émergents,
et permet à la Russie et aux USA de se maintenir dans le peloton de tête...
Avec le capitalisme financier, dont l'économie casino est une pathologie
avérée mais marginale et curable, surtout depuis que des bailleurs de fonds
comme la Chine puis le Qatar relancent le jeu de demandant une modification
des règles.
L'Islande? L'Espagne? Le Canada? En fait, c'est depuis l'éclatement
de la bulle Internet.
Faites-vous partie des ces gens sans passé qui croient que le monde a commencé
à tourner le jour de leur naissance ? Et que la France,
sinon l'Europe, est le centre du monde ? :-(
Avant Marx, pendant des siècles, le capitalisme a connu des crises de
sous-production (les disettes, le surcoût des objets courants) et des crises
financières : de Philippe Le Bel aux assignats de Law... Tandis que l'Espagne
et le Portugal de la Renaissance étaient ruinés par leur excès d'or mal
investi... Puis des crises de surproduction par manque
de pouvoir d'achat comme Marx l'avait prévu, au XIXème et jusqu'en 1930.
Puis des crises de productivité, de rentabilité, d'inadéquation aux marchés,
et bien sûr de spéculations mortifères.
Et après ? Le capitalisme s'en toujours remis. Il est insubmersible.
Qui aurait cru il y a 30 ans que la Chine rouge et l'URSS deviendraient des
phares du capitalisme sauvage ?
La crise boursière actuelle, qui n'empêche pas les banques de tirer leur
épingle du jeu, n'est qu'un épiphénomène ponctuel touchant un nombre limité de
pays qui n'ont pas su s'adapter et qui devront se reconvertir pour maintenir
leur niveau de vie.
Un exemple simplissime : au lieu d'essayer désespérément de faire revenir en
France des fabricants de fonte ou de circuits imprimés,
à coup de faramineuses subventions, on ferait mieux de valoriser nos
atouts actuels en développant les biotechnologies et l'industrie du tourisme.
Et en cherchant des sources d'énergie disponibles.
Au risque, bien sûr, de déplaire aux écolos-bobos fanatiques
(2% du corps électoral !) ces fossoyeurs du progrès, qui entrent en transes
quand ils entendent l'acronyme OGM, se roulent par terre en bavant à l'idée
qu'on étudie seulement la possibilité d'extraire le gaz de schiste, et
éructent des vomissures putrides quand on suggère de construire des marinas et
de complexes touristiques, secteurs où il y a une demande hurlante et donc un
manque à gagner fabuleux.
En emplois salariés. En emplois induits. En relance du commerce.
En gain de devises. Et aussi en impôts d'Etat et en taxes locales. :-@
J'en déduis que ton argumentation
était faible sur ce point.
J'en déduis que ton argumentation
était faible sur ce point.
J'en déduis que ton argumentation
était faible sur ce point.
C'est toi qui le dis. Le capitalisme n'est pas l'industrialisation, c'est
une
forme de privatisation, ou d'accaparement comme dans le système féodal.
Autrefois le seigneur disait aussi à ses serfs que sans ses terres ils
n'auraient pas à manger.
C'est toi qui le dis. Le capitalisme n'est pas l'industrialisation, c'est
une
forme de privatisation, ou d'accaparement comme dans le système féodal.
Autrefois le seigneur disait aussi à ses serfs que sans ses terres ils
n'auraient pas à manger.
C'est toi qui le dis. Le capitalisme n'est pas l'industrialisation, c'est
une
forme de privatisation, ou d'accaparement comme dans le système féodal.
Autrefois le seigneur disait aussi à ses serfs que sans ses terres ils
n'auraient pas à manger.
Cl.Massé avait énoncé :J'en déduis que ton argumentation était faible sur ce point.
Je serais curieux de savoir si vous avez (ou avez eu ?) une pratique
de l'économie réelle à un niveau décisionnel ?
Vous semblez être, en économie du moins, un pur idéologue pas vraiment
à l'aise dans le monde concret.
Cl.Massé avait énoncé :
J'en déduis que ton argumentation était faible sur ce point.
Je serais curieux de savoir si vous avez (ou avez eu ?) une pratique
de l'économie réelle à un niveau décisionnel ?
Vous semblez être, en économie du moins, un pur idéologue pas vraiment
à l'aise dans le monde concret.
Cl.Massé avait énoncé :J'en déduis que ton argumentation était faible sur ce point.
Je serais curieux de savoir si vous avez (ou avez eu ?) une pratique
de l'économie réelle à un niveau décisionnel ?
Vous semblez être, en économie du moins, un pur idéologue pas vraiment
à l'aise dans le monde concret.
Re agression, avec en plus l'argument d'autorité. Les gens ne sont pas
forcément plus cons que toi, ils n'ont pas les mêmes intérêts, c'est tout.
Re agression, avec en plus l'argument d'autorité. Les gens ne sont pas
forcément plus cons que toi, ils n'ont pas les mêmes intérêts, c'est tout.
Re agression, avec en plus l'argument d'autorité. Les gens ne sont pas
forcément plus cons que toi, ils n'ont pas les mêmes intérêts, c'est tout.