Le point 2.b comme aucun autre point ne t'empeche de vendre ton logiciel
sous license GPL.
Tu confonds logiciel et copie.
Le point 2.b comme aucun autre point ne t'empeche de vendre ton logiciel
sous license GPL.
Tu confonds logiciel et copie.
Le point 2.b comme aucun autre point ne t'empeche de vendre ton logiciel
sous license GPL.
Tu confonds logiciel et copie.
Sur ce point je suis entièrement d'accord avec toi. Je pense quand
même que les cas de figure que tu évoques ne couvrent pas le
cas de l'"éditeur de logiciel" qui était celui que l'on considérait.
Sur ce point je suis entièrement d'accord avec toi. Je pense quand
même que les cas de figure que tu évoques ne couvrent pas le
cas de l'"éditeur de logiciel" qui était celui que l'on considérait.
Sur ce point je suis entièrement d'accord avec toi. Je pense quand
même que les cas de figure que tu évoques ne couvrent pas le
cas de l'"éditeur de logiciel" qui était celui que l'on considérait.
Richard Delorme wrote:Le point 2.b comme aucun autre point ne t'empeche de vendre ton logiciel
sous license GPL.
Tu confonds logiciel et copie.
Je confonds rien du tout.
Nous parlons depuis le debut de vendre un
logiciel et rien ne t'en empeche.
D'ailleurs ne t'empeche non plus de vendre des copies.
Richard Delorme wrote:
Le point 2.b comme aucun autre point ne t'empeche de vendre ton logiciel
sous license GPL.
Tu confonds logiciel et copie.
Je confonds rien du tout.
Nous parlons depuis le debut de vendre un
logiciel et rien ne t'en empeche.
D'ailleurs ne t'empeche non plus de vendre des copies.
Richard Delorme wrote:Le point 2.b comme aucun autre point ne t'empeche de vendre ton logiciel
sous license GPL.
Tu confonds logiciel et copie.
Je confonds rien du tout.
Nous parlons depuis le debut de vendre un
logiciel et rien ne t'en empeche.
D'ailleurs ne t'empeche non plus de vendre des copies.
Quand la GPL dit "at no charge", elle veut dire que l'on peut se faire
payer quand même ?
Quand la GPL dit "at no charge", elle veut dire que l'on peut se faire
payer quand même ?
Quand la GPL dit "at no charge", elle veut dire que l'on peut se faire
payer quand même ?
Quand la GPL dit "at no charge", elle veut dire que l'on peut se faire
payer quand même ?
LEs sources doivent être distribuées "at no charge". Ça n'interdit
aucunement de vendre des copies du logiciel. Au cas où tu ne le saurais
pas, RMS a vendu Emacs pendant des années.
Quand la GPL dit "at no charge", elle veut dire que l'on peut se faire
payer quand même ?
LEs sources doivent être distribuées "at no charge". Ça n'interdit
aucunement de vendre des copies du logiciel. Au cas où tu ne le saurais
pas, RMS a vendu Emacs pendant des années.
Quand la GPL dit "at no charge", elle veut dire que l'on peut se faire
payer quand même ?
LEs sources doivent être distribuées "at no charge". Ça n'interdit
aucunement de vendre des copies du logiciel. Au cas où tu ne le saurais
pas, RMS a vendu Emacs pendant des années.
Je vais prendre un autre exemple. Le *livre* "Les Misérables" de Victor
Hugo est en vente dans toutes les librairies, il n'empêche que le
*texte* est dans le domaine public et donc gratuit. Un logiciel libre
est dans le même cas, on peut en vendre des copies, mais le logiciel
lui-même est gratuit. Vendre une copie d'Emacs n'empêche pas sa
gratuité. Par contre la gratuité d'un logiciel nuit certainement à ces
ventes.
Je vais prendre un autre exemple. Le *livre* "Les Misérables" de Victor
Hugo est en vente dans toutes les librairies, il n'empêche que le
*texte* est dans le domaine public et donc gratuit. Un logiciel libre
est dans le même cas, on peut en vendre des copies, mais le logiciel
lui-même est gratuit. Vendre une copie d'Emacs n'empêche pas sa
gratuité. Par contre la gratuité d'un logiciel nuit certainement à ces
ventes.
Je vais prendre un autre exemple. Le *livre* "Les Misérables" de Victor
Hugo est en vente dans toutes les librairies, il n'empêche que le
*texte* est dans le domaine public et donc gratuit. Un logiciel libre
est dans le même cas, on peut en vendre des copies, mais le logiciel
lui-même est gratuit. Vendre une copie d'Emacs n'empêche pas sa
gratuité. Par contre la gratuité d'un logiciel nuit certainement à ces
ventes.
Je confonds rien du tout. Nous parlons depuis le debut de vendre un
logiciel et rien ne t'en empeche. D'ailleurs ne t'empeche non plus de
vendre des copies.
Je confonds rien du tout. Nous parlons depuis le debut de vendre un
logiciel et rien ne t'en empeche. D'ailleurs ne t'empeche non plus de
vendre des copies.
Je confonds rien du tout. Nous parlons depuis le debut de vendre un
logiciel et rien ne t'en empeche. D'ailleurs ne t'empeche non plus de
vendre des copies.
Je vais prendre un autre exemple. Le *livre* "Les Misérables" de Victor
Hugo est en vente dans toutes les librairies, il n'empêche que le
*texte* est dans le domaine public et donc gratuit. Un logiciel libre
est dans le même cas, on peut en vendre des copies, mais le logiciel
lui-même est gratuit. Vendre une copie d'Emacs n'empêche pas sa
gratuité. Par contre la gratuité d'un logiciel nuit certainement à ces
ventes.
Une histoire intéressante pour voir la difficulté de vivre de la vente
de logiciel libre,
est celle de Progeny, la boite de Ian Murdock (le
créateur de Debian pour ceux qui l'ignore), disponible ici :
http://business.newsforge.com/business/05/03/22/2251248.shtml?tid0&ti
et dont voici quelques extraits :
« [...] Progeny was [...] beginning develop Linux NOW (Network of
Workstations), an updated version of Sprite, a research operating system
developed at the University of California-Berkeley that provided a
single system image to a cluster of work stations.
[...] Progeny also began development of Progeny Debian, a distribution
based on a mixture of the Debian stable and testing distributions with
administrative tools developed by Progeny. Progeny Debian rapidly became
an end in itself, with an active mailing list and a retail version
released in April 2001.
[...]
In theory, the retail release of Progeny gave the company its first
revenue stream,
but, in practice, the stream amounted to a few drops.
Although over 50,000 users downloaded Progeny Debian, according to
Murdock, "less than 2%" of the user base actually purchased a copy.
[...], Progeny began the long process of reinventing itself. In October
2001, the company announced the end of Progeny Debian. A month later,
the end of Linux NOW development was officially announced. These
announcements, made after a long silence, might have seemed as if the
company continued to be in trouble. In fact, Progeny was becoming a
custom software developer, selling services to other companies rather
than marketing products to the public.»
Exemple typique d'une boite qui n'a pas pu vivre de la vente du logiciel
libre et s'est tourné vers la vente de services.
Je vais prendre un autre exemple. Le *livre* "Les Misérables" de Victor
Hugo est en vente dans toutes les librairies, il n'empêche que le
*texte* est dans le domaine public et donc gratuit. Un logiciel libre
est dans le même cas, on peut en vendre des copies, mais le logiciel
lui-même est gratuit. Vendre une copie d'Emacs n'empêche pas sa
gratuité. Par contre la gratuité d'un logiciel nuit certainement à ces
ventes.
Une histoire intéressante pour voir la difficulté de vivre de la vente
de logiciel libre,
est celle de Progeny, la boite de Ian Murdock (le
créateur de Debian pour ceux qui l'ignore), disponible ici :
http://business.newsforge.com/business/05/03/22/2251248.shtml?tid0&ti
et dont voici quelques extraits :
« [...] Progeny was [...] beginning develop Linux NOW (Network of
Workstations), an updated version of Sprite, a research operating system
developed at the University of California-Berkeley that provided a
single system image to a cluster of work stations.
[...] Progeny also began development of Progeny Debian, a distribution
based on a mixture of the Debian stable and testing distributions with
administrative tools developed by Progeny. Progeny Debian rapidly became
an end in itself, with an active mailing list and a retail version
released in April 2001.
[...]
In theory, the retail release of Progeny gave the company its first
revenue stream,
but, in practice, the stream amounted to a few drops.
Although over 50,000 users downloaded Progeny Debian, according to
Murdock, "less than 2%" of the user base actually purchased a copy.
[...], Progeny began the long process of reinventing itself. In October
2001, the company announced the end of Progeny Debian. A month later,
the end of Linux NOW development was officially announced. These
announcements, made after a long silence, might have seemed as if the
company continued to be in trouble. In fact, Progeny was becoming a
custom software developer, selling services to other companies rather
than marketing products to the public.»
Exemple typique d'une boite qui n'a pas pu vivre de la vente du logiciel
libre et s'est tourné vers la vente de services.
Je vais prendre un autre exemple. Le *livre* "Les Misérables" de Victor
Hugo est en vente dans toutes les librairies, il n'empêche que le
*texte* est dans le domaine public et donc gratuit. Un logiciel libre
est dans le même cas, on peut en vendre des copies, mais le logiciel
lui-même est gratuit. Vendre une copie d'Emacs n'empêche pas sa
gratuité. Par contre la gratuité d'un logiciel nuit certainement à ces
ventes.
Une histoire intéressante pour voir la difficulté de vivre de la vente
de logiciel libre,
est celle de Progeny, la boite de Ian Murdock (le
créateur de Debian pour ceux qui l'ignore), disponible ici :
http://business.newsforge.com/business/05/03/22/2251248.shtml?tid0&ti
et dont voici quelques extraits :
« [...] Progeny was [...] beginning develop Linux NOW (Network of
Workstations), an updated version of Sprite, a research operating system
developed at the University of California-Berkeley that provided a
single system image to a cluster of work stations.
[...] Progeny also began development of Progeny Debian, a distribution
based on a mixture of the Debian stable and testing distributions with
administrative tools developed by Progeny. Progeny Debian rapidly became
an end in itself, with an active mailing list and a retail version
released in April 2001.
[...]
In theory, the retail release of Progeny gave the company its first
revenue stream,
but, in practice, the stream amounted to a few drops.
Although over 50,000 users downloaded Progeny Debian, according to
Murdock, "less than 2%" of the user base actually purchased a copy.
[...], Progeny began the long process of reinventing itself. In October
2001, the company announced the end of Progeny Debian. A month later,
the end of Linux NOW development was officially announced. These
announcements, made after a long silence, might have seemed as if the
company continued to be in trouble. In fact, Progeny was becoming a
custom software developer, selling services to other companies rather
than marketing products to the public.»
Exemple typique d'une boite qui n'a pas pu vivre de la vente du logiciel
libre et s'est tourné vers la vente de services.
On 2005-05-05, Richard Delorme wrote:Je vais prendre un autre exemple. Le *livre* "Les Misérables" de Victor
Hugo est en vente dans toutes les librairies, il n'empêche que le
*texte* est dans le domaine public et donc gratuit. Un logiciel libre
Tout depend de la definition de "texte gratuit". Un texte que je n'ai
aucun moyen d'obtenir sans payer n'est pas gratuit pour moi, peu importe
que j'ai le droit ensuite de le recopier pour le distribuer gratuitement.
Si personne ne decide de redistribuer ce texte gratuitement, on ne peut
pas dire qu'il soit gratuit.
Ou bien on peut aussi dire que la plupars des objets que l'on trouve en
magasin sont gratuit puisque une fois que tu les as achetes, tu as le
droit de les donner gratuitement a n'importe qui.
Tout depend de la definition de "logiciel gratuit". Tu es en train de
nous dire que "logiciel gratuit" veut dire "logiciel que l'on a le
droit de redistribuer gratuitement", mais je pense qu'une definition
plus logique serait "logiciel que l'on peut se procurer gratuitement"
(et dans ce cas la un logiciel libre n'est pas forcement gratuit), mais
il n'y a pas de definition officielle de "logiciel gratuit".
On 2005-05-05, Richard Delorme <abulmo@nospam.fr> wrote:
Je vais prendre un autre exemple. Le *livre* "Les Misérables" de Victor
Hugo est en vente dans toutes les librairies, il n'empêche que le
*texte* est dans le domaine public et donc gratuit. Un logiciel libre
Tout depend de la definition de "texte gratuit". Un texte que je n'ai
aucun moyen d'obtenir sans payer n'est pas gratuit pour moi, peu importe
que j'ai le droit ensuite de le recopier pour le distribuer gratuitement.
Si personne ne decide de redistribuer ce texte gratuitement, on ne peut
pas dire qu'il soit gratuit.
Ou bien on peut aussi dire que la plupars des objets que l'on trouve en
magasin sont gratuit puisque une fois que tu les as achetes, tu as le
droit de les donner gratuitement a n'importe qui.
Tout depend de la definition de "logiciel gratuit". Tu es en train de
nous dire que "logiciel gratuit" veut dire "logiciel que l'on a le
droit de redistribuer gratuitement", mais je pense qu'une definition
plus logique serait "logiciel que l'on peut se procurer gratuitement"
(et dans ce cas la un logiciel libre n'est pas forcement gratuit), mais
il n'y a pas de definition officielle de "logiciel gratuit".
On 2005-05-05, Richard Delorme wrote:Je vais prendre un autre exemple. Le *livre* "Les Misérables" de Victor
Hugo est en vente dans toutes les librairies, il n'empêche que le
*texte* est dans le domaine public et donc gratuit. Un logiciel libre
Tout depend de la definition de "texte gratuit". Un texte que je n'ai
aucun moyen d'obtenir sans payer n'est pas gratuit pour moi, peu importe
que j'ai le droit ensuite de le recopier pour le distribuer gratuitement.
Si personne ne decide de redistribuer ce texte gratuitement, on ne peut
pas dire qu'il soit gratuit.
Ou bien on peut aussi dire que la plupars des objets que l'on trouve en
magasin sont gratuit puisque une fois que tu les as achetes, tu as le
droit de les donner gratuitement a n'importe qui.
Tout depend de la definition de "logiciel gratuit". Tu es en train de
nous dire que "logiciel gratuit" veut dire "logiciel que l'on a le
droit de redistribuer gratuitement", mais je pense qu'une definition
plus logique serait "logiciel que l'on peut se procurer gratuitement"
(et dans ce cas la un logiciel libre n'est pas forcement gratuit), mais
il n'y a pas de definition officielle de "logiciel gratuit".
Quand la GPL dit "at no charge", elle veut dire que l'on peut se faire
payer quand même ?
D'ailleurs ne t'empeche non plus de vendre des copies.
Tout à fait. Sauf le type qui distribuera gratuitement l'équivalent de
mes copies. Ce qui fait que, pratiquement, on ne peut guère espérer en
vendre.
Quand la GPL dit "at no charge", elle veut dire que l'on peut se faire
payer quand même ?
D'ailleurs ne t'empeche non plus de vendre des copies.
Tout à fait. Sauf le type qui distribuera gratuitement l'équivalent de
mes copies. Ce qui fait que, pratiquement, on ne peut guère espérer en
vendre.
Quand la GPL dit "at no charge", elle veut dire que l'on peut se faire
payer quand même ?
D'ailleurs ne t'empeche non plus de vendre des copies.
Tout à fait. Sauf le type qui distribuera gratuitement l'équivalent de
mes copies. Ce qui fait que, pratiquement, on ne peut guère espérer en
vendre.