Depuis que j'ai opt=E9 pour un r=E9flex num=E9rique (400D) je suis
r=E9guli=E8rement surpris de la faiblesse de la profondeur de champ, =E0
ouverture comparable, par rapport =E0 un bon vieux compact. J'ai cru
comprendre que c'est normal, =E7a correspond au ph=E9nom=E8ne de "bokeh" qui=
est exacerb=E9 par les caract=E9ritiques des grands objectifs utilis=E9s
avec un r=E9flex. Moi je reste parfois perplexe, je n'arrive pas =E0
savoir si je photographie correctement ou pas, et =E0 juger si le fait
d'avoir une partie du sujet hors focus rel=E8ve plus de l'erreur ou de
l' "artistique".
J'aimerais que vous me fassiez quelques commentaires sur les photos
suivantes (en me disant =E9ventuellement comment corriger) :
http://picasaweb.google.fr/tnarol/Tests2
Les premi=E8res fleurs sont prises avec un objectif Canon EF 50mm f/1.4
USM et j'ai choisi une ouverture de 4.5 qui me semblait devoir assurer
un profondeur de champ assez bonne. C'est sur les jaunes que le
ph=E9nom=E8ne est le plus criant. L'oiseau a =E9t=E9 pris avec un objectif
Sigma 18-200 APO avec le zoom a 200mm et le stabilisateur activ=E9 et
une ouverture de 6.3. Les 2 derni=E8res fleurs sont prises avec une
ouverture de 4.0 =E0 33mm.
Depuis que j'ai opté pour un réflex numérique (400D) je suis régulièrement surpris de la faiblesse de la profondeur de champ, à ouverture comparable, par rapport à un bon vieux compact. J'ai cru comprendre que c'est normal, ça correspond au phénomène de "bokeh" qui est exacerbé par les caractéritiques des grands objectifs utilisés avec un réflex. Moi je reste parfois perplexe, je n'arrive pas à savoir si je photographie correctement ou pas, et à juger si le fait d'avoir une partie du sujet hors focus relève plus de l'erreur ou de l' "artistique".
J'aimerais que vous me fassiez quelques commentaires sur les photos suivantes (en me disant éventuellement comment corriger) :
http://picasaweb.google.fr/tnarol/Tests2
Les premières fleurs sont prises avec un objectif Canon EF 50mm f/1.4 USM et j'ai choisi une ouverture de 4.5 qui me semblait devoir assurer un profondeur de champ assez bonne. C'est sur les jaunes que le phénomène est le plus criant. L'oiseau a été pris avec un objectif Sigma 18-200 APO avec le zoom a 200mm et le stabilisateur activé et une ouverture de 6.3. Les 2 dernières fleurs sont prises avec une ouverture de 4.0 à 33mm.
Merci !
a part la 1ere dont les fleurs de tout 1er plan sont floues, elles sont très bien plus le diaph est fermé, plus la profondeur de champ est grande. plus la focale est courte, meme chose
il faut jouer avec ca pour obtenir ce que l'on désire. en général, on prefère un arriere plan le plus flou possible pour mettre en valeur le sujet. mais bon, les gouts et les couleurs...
pascal
Salut,
Depuis que j'ai opté pour un réflex numérique (400D) je suis
régulièrement surpris de la faiblesse de la profondeur de champ, à
ouverture comparable, par rapport à un bon vieux compact. J'ai cru
comprendre que c'est normal, ça correspond au phénomène de "bokeh" qui
est exacerbé par les caractéritiques des grands objectifs utilisés
avec un réflex. Moi je reste parfois perplexe, je n'arrive pas à
savoir si je photographie correctement ou pas, et à juger si le fait
d'avoir une partie du sujet hors focus relève plus de l'erreur ou de
l' "artistique".
J'aimerais que vous me fassiez quelques commentaires sur les photos
suivantes (en me disant éventuellement comment corriger) :
http://picasaweb.google.fr/tnarol/Tests2
Les premières fleurs sont prises avec un objectif Canon EF 50mm f/1.4
USM et j'ai choisi une ouverture de 4.5 qui me semblait devoir assurer
un profondeur de champ assez bonne. C'est sur les jaunes que le
phénomène est le plus criant. L'oiseau a été pris avec un objectif
Sigma 18-200 APO avec le zoom a 200mm et le stabilisateur activé et
une ouverture de 6.3. Les 2 dernières fleurs sont prises avec une
ouverture de 4.0 à 33mm.
Merci !
a part la 1ere dont les fleurs de tout 1er plan sont floues, elles sont
très bien
plus le diaph est fermé, plus la profondeur de champ est grande. plus la
focale est courte, meme chose
il faut jouer avec ca pour obtenir ce que l'on désire. en général, on
prefère un arriere plan le plus flou possible pour mettre en valeur le
sujet. mais bon, les gouts et les couleurs...
Depuis que j'ai opté pour un réflex numérique (400D) je suis régulièrement surpris de la faiblesse de la profondeur de champ, à ouverture comparable, par rapport à un bon vieux compact. J'ai cru comprendre que c'est normal, ça correspond au phénomène de "bokeh" qui est exacerbé par les caractéritiques des grands objectifs utilisés avec un réflex. Moi je reste parfois perplexe, je n'arrive pas à savoir si je photographie correctement ou pas, et à juger si le fait d'avoir une partie du sujet hors focus relève plus de l'erreur ou de l' "artistique".
J'aimerais que vous me fassiez quelques commentaires sur les photos suivantes (en me disant éventuellement comment corriger) :
http://picasaweb.google.fr/tnarol/Tests2
Les premières fleurs sont prises avec un objectif Canon EF 50mm f/1.4 USM et j'ai choisi une ouverture de 4.5 qui me semblait devoir assurer un profondeur de champ assez bonne. C'est sur les jaunes que le phénomène est le plus criant. L'oiseau a été pris avec un objectif Sigma 18-200 APO avec le zoom a 200mm et le stabilisateur activé et une ouverture de 6.3. Les 2 dernières fleurs sont prises avec une ouverture de 4.0 à 33mm.
Merci !
a part la 1ere dont les fleurs de tout 1er plan sont floues, elles sont très bien plus le diaph est fermé, plus la profondeur de champ est grande. plus la focale est courte, meme chose
il faut jouer avec ca pour obtenir ce que l'on désire. en général, on prefère un arriere plan le plus flou possible pour mettre en valeur le sujet. mais bon, les gouts et les couleurs...
pascal
Stephane Legras-Decussy
a écrit dans le message de news:
. J'ai cru comprendre que c'est normal, ça correspond au phénomène de "bokeh" qui est exacerbé par les caractéritiques des grands objectifs utilisés avec un réflex. Moi je reste parfois perplexe, je n'arrive pas à savoir si je photographie correctement ou pas, et à juger si le fait d'avoir une partie du sujet hors focus relève plus de l'erreur ou de l' "artistique".
l'objectif n'y est pour rien, c'est la taille du capteur qui compte.
plus le capteur est petit (dans le compact il est minuscule), plus la profondeur de champ est grande.
le "bokeh" c'est la qualité du flou, et elle depend de la forme du diaphragme entre autre... c'est un détail négligeable... sauf cas d'un appareil faisant des flous bien horribles... mais bon...
savoir si le fond flou est une erreur ou pas ? ... ya pas de regle...
<tnarol@gmail.com> a écrit dans le message de news:
27d628fd-e653-43e5-a458-d35aaa9a365e@e1g2000hsh.googlegroups.com...
. J'ai cru
comprendre que c'est normal, ça correspond au phénomène de "bokeh" qui
est exacerbé par les caractéritiques des grands objectifs utilisés
avec un réflex. Moi je reste parfois perplexe, je n'arrive pas à
savoir si je photographie correctement ou pas, et à juger si le fait
d'avoir une partie du sujet hors focus relève plus de l'erreur ou de
l' "artistique".
l'objectif n'y est pour rien, c'est la taille du capteur
qui compte.
plus le capteur est petit (dans le compact il est minuscule),
plus la profondeur de champ est grande.
le "bokeh" c'est la qualité du flou, et elle
depend de la forme du diaphragme entre autre...
c'est un détail négligeable... sauf cas d'un appareil faisant
des flous bien horribles... mais bon...
savoir si le fond flou est une erreur ou pas ? ... ya pas de regle...
. J'ai cru comprendre que c'est normal, ça correspond au phénomène de "bokeh" qui est exacerbé par les caractéritiques des grands objectifs utilisés avec un réflex. Moi je reste parfois perplexe, je n'arrive pas à savoir si je photographie correctement ou pas, et à juger si le fait d'avoir une partie du sujet hors focus relève plus de l'erreur ou de l' "artistique".
l'objectif n'y est pour rien, c'est la taille du capteur qui compte.
plus le capteur est petit (dans le compact il est minuscule), plus la profondeur de champ est grande.
le "bokeh" c'est la qualité du flou, et elle depend de la forme du diaphragme entre autre... c'est un détail négligeable... sauf cas d'un appareil faisant des flous bien horribles... mais bon...
savoir si le fond flou est une erreur ou pas ? ... ya pas de regle...
Fred
Stephane Legras-Decussy wrote:
l'objectif n'y est pour rien, c'est la taille du capteur qui compte.
Non
plus le capteur est petit (dans le compact il est minuscule), plus la profondeur de champ est grande.
Pas si simple : http://www.bobatkins.com/photography/technical/digitaldof.html (mais la, on est parti pour le record de longueur de fil de discussion)
-- Frédéric
Stephane Legras-Decussy wrote:
l'objectif n'y est pour rien, c'est la taille du capteur
qui compte.
Non
plus le capteur est petit (dans le compact il est minuscule),
plus la profondeur de champ est grande.
Pas si simple :
http://www.bobatkins.com/photography/technical/digitaldof.html
(mais la, on est parti pour le record de longueur de fil de discussion)
l'objectif n'y est pour rien, c'est la taille du capteur qui compte.
Non
plus le capteur est petit (dans le compact il est minuscule), plus la profondeur de champ est grande.
Pas si simple : http://www.bobatkins.com/photography/technical/digitaldof.html (mais la, on est parti pour le record de longueur de fil de discussion)
-- Frédéric
Jean-Pierre Roche
Pas si simple : http://www.bobatkins.com/photography/technical/digitaldof.html (mais la, on est parti pour le record de longueur de fil de discussion)
Bof... Ce n'est qu'une comparaison entre 35 mm et APS-C. Et c'est une comparaison purement théorique qui ne tient pas compte de certains phénomènes liés aux traitements logiciels. Pour que ce soit vraiment intéressant il faudrait prendre en compte au moins les compacts pour avoir une réelle différence d'échelle au niveau de la taille du capteur.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Pas si simple :
http://www.bobatkins.com/photography/technical/digitaldof.html
(mais la, on est parti pour le record de longueur de fil de discussion)
Bof... Ce n'est qu'une comparaison entre 35 mm et APS-C. Et
c'est une comparaison purement théorique qui ne tient pas
compte de certains phénomènes liés aux traitements
logiciels. Pour que ce soit vraiment intéressant il faudrait
prendre en compte au moins les compacts pour avoir une
réelle différence d'échelle au niveau de la taille du capteur.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
Pas si simple : http://www.bobatkins.com/photography/technical/digitaldof.html (mais la, on est parti pour le record de longueur de fil de discussion)
Bof... Ce n'est qu'une comparaison entre 35 mm et APS-C. Et c'est une comparaison purement théorique qui ne tient pas compte de certains phénomènes liés aux traitements logiciels. Pour que ce soit vraiment intéressant il faudrait prendre en compte au moins les compacts pour avoir une réelle différence d'échelle au niveau de la taille du capteur.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Jacques L'helgoualc'h
Le 04-12-2007, Jean-Pierre Roche a écrit :
Pas si simple : http://www.bobatkins.com/photography/technical/digitaldof.html (mais la, on est parti pour le record de longueur de fil de discussion)
Bof... Ce n'est qu'une comparaison entre 35 mm et APS-C.
C'est le cas pratique le plus courant, où l'amateur a besoin de s'y retrouver pour réutiliser normalement ses objectifs « argentiques ».
Et c'est une comparaison purement théorique
Ce n'est pas de la théorie quantique non plus, il est tout de même assez facile de s'y retrouver avec quelques formules de base.
qui ne tient pas compte de certains phénomènes liés aux traitements logiciels.
En quoi le traitement logiciel est-il lié à la taille du capteur ? (à part la limite imposée par la diffraction).
Pour que ce soit vraiment intéressant il faudrait prendre en compte au moins les compacts pour avoir une réelle différence d'échelle au niveau de la taille du capteur.
Bien sûr, c'était la question posée au départ --- il suffit de reprendre l'article cité en remplaçant le coefficient 1,6 par le rapport des « crop factors ». Si le compact non précisé avait un coefficient 4,8, on obtient un coefficient 3 par rapport au 400D. -- Jacques L'helgoualc'h
Le 04-12-2007, Jean-Pierre Roche <jproche@sanspub.invalid> a écrit :
Pas si simple :
http://www.bobatkins.com/photography/technical/digitaldof.html
(mais la, on est parti pour le record de longueur de fil de discussion)
Bof... Ce n'est qu'une comparaison entre 35 mm et APS-C.
C'est le cas pratique le plus courant, où l'amateur a besoin de s'y
retrouver pour réutiliser normalement ses objectifs « argentiques ».
Et c'est une comparaison purement théorique
Ce n'est pas de la théorie quantique non plus, il est tout de même assez
facile de s'y retrouver avec quelques formules de base.
qui ne tient pas compte de certains phénomènes liés aux traitements
logiciels.
En quoi le traitement logiciel est-il lié à la taille du capteur ? (à
part la limite imposée par la diffraction).
Pour que ce soit vraiment intéressant il faudrait prendre en compte au
moins les compacts pour avoir une réelle différence d'échelle au
niveau de la taille du capteur.
Bien sûr, c'était la question posée au départ --- il suffit de reprendre
l'article cité en remplaçant le coefficient 1,6 par le rapport des
« crop factors ». Si le compact non précisé avait un coefficient 4,8, on
obtient un coefficient 3 par rapport au 400D.
--
Jacques L'helgoualc'h
Pas si simple : http://www.bobatkins.com/photography/technical/digitaldof.html (mais la, on est parti pour le record de longueur de fil de discussion)
Bof... Ce n'est qu'une comparaison entre 35 mm et APS-C.
C'est le cas pratique le plus courant, où l'amateur a besoin de s'y retrouver pour réutiliser normalement ses objectifs « argentiques ».
Et c'est une comparaison purement théorique
Ce n'est pas de la théorie quantique non plus, il est tout de même assez facile de s'y retrouver avec quelques formules de base.
qui ne tient pas compte de certains phénomènes liés aux traitements logiciels.
En quoi le traitement logiciel est-il lié à la taille du capteur ? (à part la limite imposée par la diffraction).
Pour que ce soit vraiment intéressant il faudrait prendre en compte au moins les compacts pour avoir une réelle différence d'échelle au niveau de la taille du capteur.
Bien sûr, c'était la question posée au départ --- il suffit de reprendre l'article cité en remplaçant le coefficient 1,6 par le rapport des « crop factors ». Si le compact non précisé avait un coefficient 4,8, on obtient un coefficient 3 par rapport au 400D. -- Jacques L'helgoualc'h
Stephane Legras-Decussy
"Fred" a écrit dans le message de news:
Stephane Legras-Decussy wrote:
l'objectif n'y est pour rien, c'est la taille du capteur qui compte.
Non
extrait du lien que tu donnes :
"So the bottom line - and all you really need to know - is that DOF is inversely proportional to format size. "
bisous, A+
"Fred" <fred@somewhere.com> a écrit dans le message de news:
5rkb83F154uiaU1@mid.individual.net...
Stephane Legras-Decussy wrote:
l'objectif n'y est pour rien, c'est la taille du capteur
qui compte.
Non
extrait du lien que tu donnes :
"So the bottom line - and all you really need
to know - is that DOF is inversely proportional to format size. "
l'objectif n'y est pour rien, c'est la taille du capteur qui compte.
Non
extrait du lien que tu donnes :
"So the bottom line - and all you really need to know - is that DOF is inversely proportional to format size. "
bisous, A+
Jean-Pierre Roche
C'est le cas pratique le plus courant, où l'amateur a besoin de s'y retrouver pour réutiliser normalement ses objectifs « argentiques ».
Non : le cas pratique le plus courant est le passage du 24X36 à un compact ou un bridge... C'est là que la différence est la plus importante...
En quoi le traitement logiciel est-il lié à la taille du capteur ? (à part la limite imposée par la diffraction).
??? le traitement n'est en rien lié à la taille du capteur mais le résultat visuel entre une prise de vue argentique et une prise de vue numérique traitée par passe-haut et/ou masque flou c'est très différent et a des conséquences sur la netteté perçue donc l'appréciation de la pdc sans compter d'autres effets plus factuels
Bien sûr, c'était la question posée au départ --- il suffit de reprendre l'article cité en remplaçant le coefficient 1,6 par le rapport des « crop factors ». Si le compact non précisé avait un coefficient 4,8, on obtient un coefficient 3 par rapport au 400D.
Je ne vois pas l'intérêt de se référer à un modèle particulier. Et encore une fois la pratique et la théorie c'est pas toujours exactement pareil car d'autres facteurs interviennent.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
C'est le cas pratique le plus courant, où l'amateur a besoin de s'y
retrouver pour réutiliser normalement ses objectifs « argentiques ».
Non : le cas pratique le plus courant est le passage du
24X36 à un compact ou un bridge... C'est là que la
différence est la plus importante...
En quoi le traitement logiciel est-il lié à la taille du capteur ? (à
part la limite imposée par la diffraction).
??? le traitement n'est en rien lié à la taille du capteur
mais le résultat visuel entre une prise de vue argentique et
une prise de vue numérique traitée par passe-haut et/ou
masque flou c'est très différent et a des conséquences sur
la netteté perçue donc l'appréciation de la pdc sans compter
d'autres effets plus factuels
Bien sûr, c'était la question posée au départ --- il suffit de reprendre
l'article cité en remplaçant le coefficient 1,6 par le rapport des
« crop factors ». Si le compact non précisé avait un coefficient 4,8, on
obtient un coefficient 3 par rapport au 400D.
Je ne vois pas l'intérêt de se référer à un modèle
particulier. Et encore une fois la pratique et la théorie
c'est pas toujours exactement pareil car d'autres facteurs
interviennent.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
C'est le cas pratique le plus courant, où l'amateur a besoin de s'y retrouver pour réutiliser normalement ses objectifs « argentiques ».
Non : le cas pratique le plus courant est le passage du 24X36 à un compact ou un bridge... C'est là que la différence est la plus importante...
En quoi le traitement logiciel est-il lié à la taille du capteur ? (à part la limite imposée par la diffraction).
??? le traitement n'est en rien lié à la taille du capteur mais le résultat visuel entre une prise de vue argentique et une prise de vue numérique traitée par passe-haut et/ou masque flou c'est très différent et a des conséquences sur la netteté perçue donc l'appréciation de la pdc sans compter d'autres effets plus factuels
Bien sûr, c'était la question posée au départ --- il suffit de reprendre l'article cité en remplaçant le coefficient 1,6 par le rapport des « crop factors ». Si le compact non précisé avait un coefficient 4,8, on obtient un coefficient 3 par rapport au 400D.
Je ne vois pas l'intérêt de se référer à un modèle particulier. Et encore une fois la pratique et la théorie c'est pas toujours exactement pareil car d'autres facteurs interviennent.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Jacques L'helgoualc'h
Le 04-12-2007, Jean-Pierre Roche a écrit :
C'est le cas pratique le plus courant, où l'amateur a besoin de s'y retrouver pour réutiliser normalement ses objectifs « argentiques ».
Non : le cas pratique le plus courant est le passage du 24X36 à un compact ou un bridge...
Certes.
C'est là que la différence est la plus importante...
... en oubliant le passage chambre/téléphone :)
La question initiale était ici (à peu près) « j'ai remplacé mon compact par un 400D + 50mm/1.4 + 18-200mm, maintenant j'ai des problèmes de profondeur de champ »... il est donc logique, cf. plus bas, de considérer le rapport APS/compact dans le contexte de l'article cité.
Par ailleurs, le 50mm peut avoir une graduation de profondeur de champ calibrée pour le 24x35 : l'article la décrit directement.
En quoi le traitement logiciel est-il lié à la taille du capteur ? (à part la limite imposée par la diffraction).
??? le traitement n'est en rien lié à la taille du capteur mais le résultat visuel entre une prise de vue argentique et une prise de vue numérique traitée par passe-haut et/ou masque flou c'est très différent et a des conséquences sur la netteté perçue donc l'appréciation de la pdc sans compter d'autres effets plus factuels
Introduire la chaîne de traitement et le grain argentique complique inutilement la question du format, je crois qu'il vaut mieux se concentrer sur la simple taille du capteur, toutes choses plus ou moins égales par ailleurs.
Bien sûr, c'était la question posée au départ --- il suffit de reprendre l'article cité en remplaçant le coefficient 1,6 par le rapport des « crop factors ». Si le compact non précisé avait un coefficient 4,8, on obtient un coefficient 3 par rapport au 400D.
Je ne vois pas l'intérêt de se référer à un modèle particulier.
C'était la question posée.
Et encore une fois la pratique et la théorie c'est pas toujours exactement pareil car d'autres facteurs interviennent.
Bien sûr, mais quelques calculs rapides permettent d'avoir des résultats (approximatifs) assez simples. -- Jacques L'helgoualc'h
Le 04-12-2007, Jean-Pierre Roche <jproche@sanspub.invalid> a écrit :
C'est le cas pratique le plus courant, où l'amateur a besoin de s'y
retrouver pour réutiliser normalement ses objectifs « argentiques ».
Non : le cas pratique le plus courant est le passage du
24X36 à un compact ou un bridge...
Certes.
C'est là que la différence est la plus importante...
... en oubliant le passage chambre/téléphone :)
La question initiale était ici (à peu près) « j'ai remplacé mon compact
par un 400D + 50mm/1.4 + 18-200mm, maintenant j'ai des problèmes de
profondeur de champ »... il est donc logique, cf. plus bas, de
considérer le rapport APS/compact dans le contexte de l'article cité.
Par ailleurs, le 50mm peut avoir une graduation de profondeur de champ
calibrée pour le 24x35 : l'article la décrit directement.
En quoi le traitement logiciel est-il lié à la taille du capteur ? (à
part la limite imposée par la diffraction).
??? le traitement n'est en rien lié à la taille du capteur
mais le résultat visuel entre une prise de vue argentique et
une prise de vue numérique traitée par passe-haut et/ou
masque flou c'est très différent et a des conséquences sur
la netteté perçue donc l'appréciation de la pdc sans compter
d'autres effets plus factuels
Introduire la chaîne de traitement et le grain argentique complique
inutilement la question du format, je crois qu'il vaut mieux se
concentrer sur la simple taille du capteur, toutes choses plus ou moins
égales par ailleurs.
Bien sûr, c'était la question posée au départ --- il suffit de reprendre
l'article cité en remplaçant le coefficient 1,6 par le rapport des
« crop factors ». Si le compact non précisé avait un coefficient 4,8, on
obtient un coefficient 3 par rapport au 400D.
Je ne vois pas l'intérêt de se référer à un modèle particulier.
C'était la question posée.
Et encore une fois la pratique et la théorie c'est pas toujours
exactement pareil car d'autres facteurs interviennent.
Bien sûr, mais quelques calculs rapides permettent d'avoir des résultats
(approximatifs) assez simples.
--
Jacques L'helgoualc'h
C'est le cas pratique le plus courant, où l'amateur a besoin de s'y retrouver pour réutiliser normalement ses objectifs « argentiques ».
Non : le cas pratique le plus courant est le passage du 24X36 à un compact ou un bridge...
Certes.
C'est là que la différence est la plus importante...
... en oubliant le passage chambre/téléphone :)
La question initiale était ici (à peu près) « j'ai remplacé mon compact par un 400D + 50mm/1.4 + 18-200mm, maintenant j'ai des problèmes de profondeur de champ »... il est donc logique, cf. plus bas, de considérer le rapport APS/compact dans le contexte de l'article cité.
Par ailleurs, le 50mm peut avoir une graduation de profondeur de champ calibrée pour le 24x35 : l'article la décrit directement.
En quoi le traitement logiciel est-il lié à la taille du capteur ? (à part la limite imposée par la diffraction).
??? le traitement n'est en rien lié à la taille du capteur mais le résultat visuel entre une prise de vue argentique et une prise de vue numérique traitée par passe-haut et/ou masque flou c'est très différent et a des conséquences sur la netteté perçue donc l'appréciation de la pdc sans compter d'autres effets plus factuels
Introduire la chaîne de traitement et le grain argentique complique inutilement la question du format, je crois qu'il vaut mieux se concentrer sur la simple taille du capteur, toutes choses plus ou moins égales par ailleurs.
Bien sûr, c'était la question posée au départ --- il suffit de reprendre l'article cité en remplaçant le coefficient 1,6 par le rapport des « crop factors ». Si le compact non précisé avait un coefficient 4,8, on obtient un coefficient 3 par rapport au 400D.
Je ne vois pas l'intérêt de se référer à un modèle particulier.
C'était la question posée.
Et encore une fois la pratique et la théorie c'est pas toujours exactement pareil car d'autres facteurs interviennent.
Bien sûr, mais quelques calculs rapides permettent d'avoir des résultats (approximatifs) assez simples. -- Jacques L'helgoualc'h
tnarol
Merci pour vos réponses, je n'ai pas encore eu le temps de bien comprendre toutes les considérations relatives à la taille du capteur. Ce que je retiens dans l'immédiat c'est que la différence observée a une explication essentiellement physique, elle est donc "normale". Ce qui trouble un peu un novice comme moi c'est que j'ai également l'impression que ce phénomène semble considéré "souhaitable" ou au moins "non génant" par la communauté photographique. Je perçois un petit peu l'idée... mais ça irait sûrement mieux si vous m'expliquiez un peu plus cette "philosophie".
Merci pour vos réponses, je n'ai pas encore eu le temps de bien
comprendre toutes les considérations relatives à la taille du capteur.
Ce que je retiens dans l'immédiat c'est que la différence observée a
une explication essentiellement physique, elle est donc "normale". Ce
qui trouble un peu un novice comme moi c'est que j'ai également
l'impression que ce phénomène semble considéré "souhaitable" ou au
moins "non génant" par la communauté photographique. Je perçois un
petit peu l'idée... mais ça irait sûrement mieux si vous m'expliquiez
un peu plus cette "philosophie".
Merci pour vos réponses, je n'ai pas encore eu le temps de bien comprendre toutes les considérations relatives à la taille du capteur. Ce que je retiens dans l'immédiat c'est que la différence observée a une explication essentiellement physique, elle est donc "normale". Ce qui trouble un peu un novice comme moi c'est que j'ai également l'impression que ce phénomène semble considéré "souhaitable" ou au moins "non génant" par la communauté photographique. Je perçois un petit peu l'idée... mais ça irait sûrement mieux si vous m'expliquiez un peu plus cette "philosophie".
Jean-Pierre Roche
La question initiale était ici (à peu près) « j'ai remplacé mon compact par un 400D + 50mm/1.4 + 18-200mm, maintenant j'ai des problèmes de profondeur de champ »... il est donc logique, cf. plus bas, de considérer le rapport APS/compact dans le contexte de l'article cité.
C'est le passage dans l'autre sens... Les problèmes sont les mêmes mais inversés...
Par ailleurs, le 50mm peut avoir une graduation de profondeur de champ calibrée pour le 24x35 : l'article la décrit directement.
Franchement les échelles de pdc sur une optique AF...
Introduire la chaîne de traitement et le grain argentique complique inutilement la question du format
Ce n'est justement pas une question de format mais une question de résultat. Où le format intervient mais le reste aussi.
Bien sûr, mais quelques calculs rapides permettent d'avoir des résultats (approximatifs) assez simples.
Pour l'approximation, un peu d'expérience et d'attention remplacent avantageusement tout ça amha.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
La question initiale était ici (à peu près) « j'ai remplacé mon compact
par un 400D + 50mm/1.4 + 18-200mm, maintenant j'ai des problèmes de
profondeur de champ »... il est donc logique, cf. plus bas, de
considérer le rapport APS/compact dans le contexte de l'article cité.
C'est le passage dans l'autre sens... Les problèmes sont les
mêmes mais inversés...
Par ailleurs, le 50mm peut avoir une graduation de profondeur de champ
calibrée pour le 24x35 : l'article la décrit directement.
Franchement les échelles de pdc sur une optique AF...
Introduire la chaîne de traitement et le grain argentique complique
inutilement la question du format
Ce n'est justement pas une question de format mais une
question de résultat. Où le format intervient mais le reste
aussi.
Bien sûr, mais quelques calculs rapides permettent d'avoir des résultats
(approximatifs) assez simples.
Pour l'approximation, un peu d'expérience et d'attention
remplacent avantageusement tout ça amha.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
La question initiale était ici (à peu près) « j'ai remplacé mon compact par un 400D + 50mm/1.4 + 18-200mm, maintenant j'ai des problèmes de profondeur de champ »... il est donc logique, cf. plus bas, de considérer le rapport APS/compact dans le contexte de l'article cité.
C'est le passage dans l'autre sens... Les problèmes sont les mêmes mais inversés...
Par ailleurs, le 50mm peut avoir une graduation de profondeur de champ calibrée pour le 24x35 : l'article la décrit directement.
Franchement les échelles de pdc sur une optique AF...
Introduire la chaîne de traitement et le grain argentique complique inutilement la question du format
Ce n'est justement pas une question de format mais une question de résultat. Où le format intervient mais le reste aussi.
Bien sûr, mais quelques calculs rapides permettent d'avoir des résultats (approximatifs) assez simples.
Pour l'approximation, un peu d'expérience et d'attention remplacent avantageusement tout ça amha.