Projet de spécifications,fonctionnelles des moyens de sécurisation fonctionnelles Hadopi - SFH.
78 réponses
remy
mais c est quoi ca ?
http://www.scribd.com/doc/35088715/docprojet-SFH
page 23
LE MODULE D=92ANALYSE STATIQUE DES CONFIGURATIONS
=2E...
Les logiciels install=E9s sur l=92ordinateur. Ces logiciels doivent =EAtr=
e=20
compar=E9s avec ceux des listes (noires, grises) des logiciels. En cas de=
=20
d=E9couverte d=92une application suspecte, une notification de bas niveau=
=20
est g=E9n=E9r=E9e au titulaire de l=92abonnement. Cette analyse statique =
des=20
logiciels est optionnelle.
La configuration r=E9seau de l=92ordinateur. L=92analyse doit signaler to=
utes=20
configurations r=E9seau atypique (utilisation d=92un proxy douteux,=20
connexion =E0 un r=E9seau Wi-Fi non s=E9curis=E9, boot =E0 partir d=92un =
CD, etc.).=20
En cas de d=E9couverte d=92une configuration atypique, une notification d=
e=20
bas niveau est g=E9n=E9r=E9e
"pehache-youplaboum" , dans le message , a écrit :
Voire. Par exemple celui qui est trop faible pour chasser la bidoche sur pattes, mais qui découvre un super poison pour enduire les flèches et tuer les bestioles plus facilement : si il garde le secret de son poison, il peut échanger des doses de poison contre de la bidoche chassée par d'autres. Si en l'espionnant les autres découvrent le secret de son poison, il peut ensuite crever tout le monde s'en fout.
Tu confonds allègrement connaissance d'une information et connaissance d'un secret. Une information, si tu me la donnes, nous l'avons tous les deux. Un secret, si tu me le donnes, nous ne l'avons plus ni l'un ni l'autre. Bizarrement, ces deux cas sont symétriques par rapport à la propriété physique (un objet physique, si tu me le donnes, je l'ai et tu ne l'as plus), mais la loi n'est pas un espace affine, on ne peut pas y bâtir de barycentres.
"pehache-youplaboum" , dans le message
<8i6cu5Fu82U1@mid.individual.net>, a écrit :
Voire. Par exemple celui qui est trop faible pour chasser la bidoche sur
pattes, mais qui découvre un super poison pour enduire les flèches et tuer
les bestioles plus facilement : si il garde le secret de son poison, il peut
échanger des doses de poison contre de la bidoche chassée par d'autres. Si
en l'espionnant les autres découvrent le secret de son poison, il peut
ensuite crever tout le monde s'en fout.
Tu confonds allègrement connaissance d'une information et connaissance d'un
secret. Une information, si tu me la donnes, nous l'avons tous les deux. Un
secret, si tu me le donnes, nous ne l'avons plus ni l'un ni l'autre.
Bizarrement, ces deux cas sont symétriques par rapport à la propriété
physique (un objet physique, si tu me le donnes, je l'ai et tu ne l'as
plus), mais la loi n'est pas un espace affine, on ne peut pas y bâtir de
barycentres.
"pehache-youplaboum" , dans le message , a écrit :
Voire. Par exemple celui qui est trop faible pour chasser la bidoche sur pattes, mais qui découvre un super poison pour enduire les flèches et tuer les bestioles plus facilement : si il garde le secret de son poison, il peut échanger des doses de poison contre de la bidoche chassée par d'autres. Si en l'espionnant les autres découvrent le secret de son poison, il peut ensuite crever tout le monde s'en fout.
Tu confonds allègrement connaissance d'une information et connaissance d'un secret. Une information, si tu me la donnes, nous l'avons tous les deux. Un secret, si tu me le donnes, nous ne l'avons plus ni l'un ni l'autre. Bizarrement, ces deux cas sont symétriques par rapport à la propriété physique (un objet physique, si tu me le donnes, je l'ai et tu ne l'as plus), mais la loi n'est pas un espace affine, on ne peut pas y bâtir de barycentres.
Yliur
Le Wed, 20 Oct 2010 00:26:03 -0700 (PDT) pehache-youplaboum a écrit :
On Oct 19, 11:16 pm, Yliur wrote: > >>> Si on enlève toutes les "fictions juridiques" qui régissent nos > >>> sociétés, je ne pense pas que ça va être vivable. > > Ça n'empêche pas que ce sont des conventions d'organisation > de la société (lois, ...) et qu'on peut les remplacer, en ajouter, > en supprimer. Ça n'a pas de réalité physique.
Bien sûr, mais on ne peut pas s'en tenir à l'argument "c'est une fiction juridique" pour contester la propriété intellectuelle.
Bien sûr que si. C'est un choix qui peut être remplacé par d'autres. Note qu'il ne s'agit pas de contester la propriété intellectuelle mais de dire qu'elle est assez différente de la propriété physique et qu'on peut très bien imaginer de la traiter autrement.
> Il vaudrait mieux que tout le monde ait accès à l'information. Le > seul intérêt de "vendre des doses de poison contre de la viande" > c'est de rémunérer celui qui a découvert l'idée. Plusieurs modes > d'organisation peuvent permettre d'arriver à ce résultat, avec des > avantages et inconvénients différents.
Je ne dis pas le contraire, mais beaucoup trop de gens arrêtent leur réflexion à la suppression du système actuel sans chercher plus loin.
Oui, mais tu ne peux pas utiliser ça comme argument dans la discussion, c'est un procès d'intention à ton interlocuteur :) .
Le Wed, 20 Oct 2010 00:26:03 -0700 (PDT)
pehache-youplaboum <pehache.7@gmail.com> a écrit :
On Oct 19, 11:16 pm, Yliur <yl...@free.fr> wrote:
> >>> Si on enlève toutes les "fictions juridiques" qui régissent nos
> >>> sociétés, je ne pense pas que ça va être vivable.
>
> Ça n'empêche pas que ce sont des conventions d'organisation
> de la société (lois, ...) et qu'on peut les remplacer, en ajouter,
> en supprimer. Ça n'a pas de réalité physique.
Bien sûr, mais on ne peut pas s'en tenir à l'argument "c'est une
fiction juridique" pour contester la propriété intellectuelle.
Bien sûr que si. C'est un choix qui peut être remplacé par d'autres.
Note qu'il ne s'agit pas de contester la propriété intellectuelle mais
de dire qu'elle est assez différente de la propriété physique et qu'on
peut très bien imaginer de la traiter autrement.
> Il vaudrait mieux que tout le monde ait accès à l'information. Le
> seul intérêt de "vendre des doses de poison contre de la viande"
> c'est de rémunérer celui qui a découvert l'idée. Plusieurs modes
> d'organisation peuvent permettre d'arriver à ce résultat, avec des
> avantages et inconvénients différents.
Je ne dis pas le contraire, mais beaucoup trop de gens arrêtent leur
réflexion à la suppression du système actuel sans chercher plus loin.
Oui, mais tu ne peux pas utiliser ça comme argument dans la discussion,
c'est un procès d'intention à ton interlocuteur :) .
Le Wed, 20 Oct 2010 00:26:03 -0700 (PDT) pehache-youplaboum a écrit :
On Oct 19, 11:16 pm, Yliur wrote: > >>> Si on enlève toutes les "fictions juridiques" qui régissent nos > >>> sociétés, je ne pense pas que ça va être vivable. > > Ça n'empêche pas que ce sont des conventions d'organisation > de la société (lois, ...) et qu'on peut les remplacer, en ajouter, > en supprimer. Ça n'a pas de réalité physique.
Bien sûr, mais on ne peut pas s'en tenir à l'argument "c'est une fiction juridique" pour contester la propriété intellectuelle.
Bien sûr que si. C'est un choix qui peut être remplacé par d'autres. Note qu'il ne s'agit pas de contester la propriété intellectuelle mais de dire qu'elle est assez différente de la propriété physique et qu'on peut très bien imaginer de la traiter autrement.
> Il vaudrait mieux que tout le monde ait accès à l'information. Le > seul intérêt de "vendre des doses de poison contre de la viande" > c'est de rémunérer celui qui a découvert l'idée. Plusieurs modes > d'organisation peuvent permettre d'arriver à ce résultat, avec des > avantages et inconvénients différents.
Je ne dis pas le contraire, mais beaucoup trop de gens arrêtent leur réflexion à la suppression du système actuel sans chercher plus loin.
Oui, mais tu ne peux pas utiliser ça comme argument dans la discussion, c'est un procès d'intention à ton interlocuteur :) .
pehache-youplaboum
"Nicolas George" <nicolas$ a écrit dans le message de news: 4cbe9b65$0$8055$
"pehache-youplaboum" , dans le message , a écrit :
Voire. Par exemple celui qui est trop faible pour chasser la bidoche sur pattes, mais qui découvre un super poison pour enduire les flèches et tuer les bestioles plus facilement : si il garde le secret de son poison, il peut échanger des doses de poison contre de la bidoche chassée par d'autres. Si en l'espionnant les autres découvrent le secret de son poison, il peut ensuite crever tout le monde s'en fout.
Tu confonds allègrement connaissance d'une information et connaissance d'un secret. Une information, si tu me la donnes, nous l'avons tous les deux. Un secret, si tu me le donnes, nous ne l'avons plus ni l'un ni l'autre.
Un secret partagé devient une information, on va dire.
Bizarrement, ces deux cas sont symétriques par rapport à la propriété physique (un objet physique, si tu me le donnes, je l'ai et tu ne l'as plus), mais la loi n'est pas un espace affine, on ne peut pas y bâtir de barycentres.
L'abus de jus de pomme nuit gravement à la pertinence des propos.
-- pehache http://pehache.free.fr "Quand on n'a rien à faire avec un logiciel à part l'utiliser...", BR in fcold
"Nicolas George" <nicolas$george@salle-s.org> a écrit dans le message
de news: 4cbe9b65$0$8055$426a34cc@news.free.fr
"pehache-youplaboum" , dans le message
<8i6cu5Fu82U1@mid.individual.net>, a écrit :
Voire. Par exemple celui qui est trop faible pour chasser la bidoche
sur pattes, mais qui découvre un super poison pour enduire les
flèches et tuer les bestioles plus facilement : si il garde le
secret de son poison, il peut échanger des doses de poison contre de
la bidoche chassée par d'autres. Si en l'espionnant les autres
découvrent le secret de son poison, il peut ensuite crever tout le
monde s'en fout.
Tu confonds allègrement connaissance d'une information et
connaissance d'un secret. Une information, si tu me la donnes, nous
l'avons tous les deux. Un secret, si tu me le donnes, nous ne l'avons
plus ni l'un ni l'autre.
Un secret partagé devient une information, on va dire.
Bizarrement, ces deux cas sont symétriques
par rapport à la propriété physique (un objet physique, si tu me le
donnes, je l'ai et tu ne l'as plus), mais la loi n'est pas un espace
affine, on ne peut pas y bâtir de barycentres.
L'abus de jus de pomme nuit gravement à la pertinence des propos.
--
pehache
http://pehache.free.fr
"Quand on n'a rien à faire avec un logiciel à part l'utiliser...", BR
in fcold
"Nicolas George" <nicolas$ a écrit dans le message de news: 4cbe9b65$0$8055$
"pehache-youplaboum" , dans le message , a écrit :
Voire. Par exemple celui qui est trop faible pour chasser la bidoche sur pattes, mais qui découvre un super poison pour enduire les flèches et tuer les bestioles plus facilement : si il garde le secret de son poison, il peut échanger des doses de poison contre de la bidoche chassée par d'autres. Si en l'espionnant les autres découvrent le secret de son poison, il peut ensuite crever tout le monde s'en fout.
Tu confonds allègrement connaissance d'une information et connaissance d'un secret. Une information, si tu me la donnes, nous l'avons tous les deux. Un secret, si tu me le donnes, nous ne l'avons plus ni l'un ni l'autre.
Un secret partagé devient une information, on va dire.
Bizarrement, ces deux cas sont symétriques par rapport à la propriété physique (un objet physique, si tu me le donnes, je l'ai et tu ne l'as plus), mais la loi n'est pas un espace affine, on ne peut pas y bâtir de barycentres.
L'abus de jus de pomme nuit gravement à la pertinence des propos.
-- pehache http://pehache.free.fr "Quand on n'a rien à faire avec un logiciel à part l'utiliser...", BR in fcold
Nicolas George
"pehache-youplaboum" , dans le message , a écrit :
Un secret partagé devient une information, on va dire.
Non. Un secret est composé d'information, tout comme un pain est composé d'atomes. Si on partage le secret, l'information est toujours là, mais le secret a disparu.
"pehache-youplaboum" , dans le message
<8i8lauFnadU1@mid.individual.net>, a écrit :
Un secret partagé devient une information, on va dire.
Non. Un secret est composé d'information, tout comme un pain est composé
d'atomes. Si on partage le secret, l'information est toujours là, mais le
secret a disparu.
"pehache-youplaboum" , dans le message , a écrit :
Un secret partagé devient une information, on va dire.
Non. Un secret est composé d'information, tout comme un pain est composé d'atomes. Si on partage le secret, l'information est toujours là, mais le secret a disparu.
Yliur
Le Wed, 20 Oct 2010 19:00:40 +0200 "pehache-youplaboum" a écrit :
"Yliur" a écrit dans le message de news:
>> >> Bien sûr, mais on ne peut pas s'en tenir à l'argument "c'est une >> fiction juridique" pour contester la propriété intellectuelle. > > Bien sûr que si.
Ni plus ni moins que pour la propriété physique, je voulais dire.
> C'est un choix qui peut être remplacé par d'autres.
De même pour la propriété physique.
Oui. Les options sont simplement plus ouvertes pour la propriété intellectuelle, du fait que la rareté de l'"objet" n'est pas incontournable (l'"objet" peut exister en quantité virtuellement infinie).
Des règles peuvent être nécessaires (et le sont sans doute), mais elles n'ont pas besoin d'être calquées sur celles de la propriété physique.
Le Wed, 20 Oct 2010 19:00:40 +0200
"pehache-youplaboum" <pehache.7@gmail.com> a écrit :
"Yliur" <yliur@free.fr> a écrit dans le message de news:
20101020133745.05d79fc2@alcheringa
>>
>> Bien sûr, mais on ne peut pas s'en tenir à l'argument "c'est une
>> fiction juridique" pour contester la propriété intellectuelle.
>
> Bien sûr que si.
Ni plus ni moins que pour la propriété physique, je voulais dire.
> C'est un choix qui peut être remplacé par d'autres.
De même pour la propriété physique.
Oui. Les options sont simplement plus ouvertes pour la propriété
intellectuelle, du fait que la rareté de l'"objet" n'est pas
incontournable (l'"objet" peut exister en quantité virtuellement
infinie).
Des règles peuvent être nécessaires (et le sont sans doute), mais elles
n'ont pas besoin d'être calquées sur celles de la propriété physique.
Le Wed, 20 Oct 2010 19:00:40 +0200 "pehache-youplaboum" a écrit :
"Yliur" a écrit dans le message de news:
>> >> Bien sûr, mais on ne peut pas s'en tenir à l'argument "c'est une >> fiction juridique" pour contester la propriété intellectuelle. > > Bien sûr que si.
Ni plus ni moins que pour la propriété physique, je voulais dire.
> C'est un choix qui peut être remplacé par d'autres.
De même pour la propriété physique.
Oui. Les options sont simplement plus ouvertes pour la propriété intellectuelle, du fait que la rareté de l'"objet" n'est pas incontournable (l'"objet" peut exister en quantité virtuellement infinie).
Des règles peuvent être nécessaires (et le sont sans doute), mais elles n'ont pas besoin d'être calquées sur celles de la propriété physique.
Emmanuel Florac
Le Wed, 20 Oct 2010 00:26:03 -0700, pehache-youplaboum a écrit:
Ça n'empêche pas que ce sont des conventions d'organisation de la société (lois, ...) et qu'on peut les remplacer, en ajouter, en supprimer. Ça n'a pas de réalité physique.
Bien sûr, mais on ne peut pas s'en tenir à l'argument "c'est une fiction juridique" pour contester la propriété intellectuelle.
Si tu veux on peut dire que c'est une stricte convention sociale; ça ne change pas le fait qu'on peut la supprimer du jour au lendemain sans inconvénient majeur.
-- Le commissaire : Comment vous appelez-vous? Garance : Moi je ne m'appelle jamais, je suis toujours là. J'ai pas besoin de m'appeler. Mais les autres m'appellent Garance, si ça peut vous intéresser. Prévert,"les enfants du Paradis".
Le Wed, 20 Oct 2010 00:26:03 -0700, pehache-youplaboum a écrit:
Ça n'empêche pas que ce sont des conventions d'organisation de la
société (lois, ...) et qu'on peut les remplacer, en ajouter, en
supprimer. Ça n'a pas de réalité physique.
Bien sûr, mais on ne peut pas s'en tenir à l'argument "c'est une fiction
juridique" pour contester la propriété intellectuelle.
Si tu veux on peut dire que c'est une stricte convention sociale; ça ne
change pas le fait qu'on peut la supprimer du jour au lendemain sans
inconvénient majeur.
--
Le commissaire : Comment vous appelez-vous?
Garance : Moi je ne m'appelle jamais, je suis toujours là. J'ai pas
besoin de m'appeler. Mais les autres m'appellent Garance, si ça peut
vous intéresser.
Prévert,"les enfants du Paradis".
Le Wed, 20 Oct 2010 00:26:03 -0700, pehache-youplaboum a écrit:
Ça n'empêche pas que ce sont des conventions d'organisation de la société (lois, ...) et qu'on peut les remplacer, en ajouter, en supprimer. Ça n'a pas de réalité physique.
Bien sûr, mais on ne peut pas s'en tenir à l'argument "c'est une fiction juridique" pour contester la propriété intellectuelle.
Si tu veux on peut dire que c'est une stricte convention sociale; ça ne change pas le fait qu'on peut la supprimer du jour au lendemain sans inconvénient majeur.
-- Le commissaire : Comment vous appelez-vous? Garance : Moi je ne m'appelle jamais, je suis toujours là. J'ai pas besoin de m'appeler. Mais les autres m'appellent Garance, si ça peut vous intéresser. Prévert,"les enfants du Paradis".
Tonton Th
On 10/20/2010 07:14 PM, Nicolas George wrote:
Non. Un secret est composé d'information, tout comme un pain est composé d'atomes. Si on partage le secret, l'information est toujours là, mais le secret a disparu.
Et après, *paf* on a plus de pain pour finir le Maroilles.
-- Ma coiffeuse est formidable - http://sonia.buvette.org/
On 10/20/2010 07:14 PM, Nicolas George wrote:
Non. Un secret est composé d'information, tout comme un pain est composé
d'atomes. Si on partage le secret, l'information est toujours là, mais le
secret a disparu.
Et après, *paf* on a plus de pain pour finir le Maroilles.
--
Ma coiffeuse est formidable - http://sonia.buvette.org/
Non. Un secret est composé d'information, tout comme un pain est composé d'atomes. Si on partage le secret, l'information est toujours là, mais le secret a disparu.
Et après, *paf* on a plus de pain pour finir le Maroilles.
-- Ma coiffeuse est formidable - http://sonia.buvette.org/
Stephan Peccini
Le 21/10/2010 02:48, Tonton Th a écrit :
Et après, *paf* on a plus de pain pour finir le Maroilles.
Tant pis, tu le trempes directement dans le café.
-- Stéphan Peccini Le blog : <URL:http://pyrenees.peccini.fr> Les photos : <URL:http://photonature.fr>
Le 21/10/2010 02:48, Tonton Th a écrit :
Et après, *paf* on a plus de pain pour finir le Maroilles.
Tant pis, tu le trempes directement dans le café.
--
Stéphan Peccini
Le blog : <URL:http://pyrenees.peccini.fr>
Les photos : <URL:http://photonature.fr>
