svbeev a écrit :vous vous enlisez là encore dans la simple répétitivité à laquelle j'ai
répondu en soulignant l'aspect hasardeux d'une élection dans la
spécificité de certains emplois
C'est dommage que le législateur, en ce domaine, n'ait pas été jusqu'au
bout de son projet initial qui consistait à recruter des juges de
proximité en leur permettant de statuer en équité et non en droit.
Ce n'est pas "en ce domaine", les juges en question étaient nommés tout
pareil que les autres, et aussi illégitimes.
En matière de légitimité, je vois très bien ce que peut craindre le corps,
mais ça ne me paraît pas un argument pour le citoyen.
Et par parenthèse, il n'y a pas que l'élection pour assurer la légitimité:
il y a aussi la sanction.
infinitésimal.
Même Renard y a échappé un bon bout de temps, le juge masturbateur a été
maintenu (le ministre a renoncé à le nommer, il est payé à ne rien faire).
Celui qui faisait des photos "de charme" dans les salles d'audience est
toujours juge et juge les autres. Burgaud est toujours juge et prend
toujours l'avis de psys pour décider de la liberté des autres.
Or à ma connaissance, rien dans les études ni le recrutement des juges ne
les prédispose à la sainteté, et je ne vois pas du tout pourquoi il n'y
aurait pas autant de problèmes de discipline, de fautes professionnelles,
de corruption, etc. que dans n'importe quel autre corps de fonctionnaires.
En tout cas je ne vois pas pourquoi il y en aurait 100 fois moins. Un
miracle?
svbeev a écrit :
vous vous enlisez là encore dans la simple répétitivité à laquelle j'ai
répondu en soulignant l'aspect hasardeux d'une élection dans la
spécificité de certains emplois
C'est dommage que le législateur, en ce domaine, n'ait pas été jusqu'au
bout de son projet initial qui consistait à recruter des juges de
proximité en leur permettant de statuer en équité et non en droit.
Ce n'est pas "en ce domaine", les juges en question étaient nommés tout
pareil que les autres, et aussi illégitimes.
En matière de légitimité, je vois très bien ce que peut craindre le corps,
mais ça ne me paraît pas un argument pour le citoyen.
Et par parenthèse, il n'y a pas que l'élection pour assurer la légitimité:
il y a aussi la sanction.
infinitésimal.
Même Renard y a échappé un bon bout de temps, le juge masturbateur a été
maintenu (le ministre a renoncé à le nommer, il est payé à ne rien faire).
Celui qui faisait des photos "de charme" dans les salles d'audience est
toujours juge et juge les autres. Burgaud est toujours juge et prend
toujours l'avis de psys pour décider de la liberté des autres.
Or à ma connaissance, rien dans les études ni le recrutement des juges ne
les prédispose à la sainteté, et je ne vois pas du tout pourquoi il n'y
aurait pas autant de problèmes de discipline, de fautes professionnelles,
de corruption, etc. que dans n'importe quel autre corps de fonctionnaires.
En tout cas je ne vois pas pourquoi il y en aurait 100 fois moins. Un
miracle?
svbeev a écrit :vous vous enlisez là encore dans la simple répétitivité à laquelle j'ai
répondu en soulignant l'aspect hasardeux d'une élection dans la
spécificité de certains emplois
C'est dommage que le législateur, en ce domaine, n'ait pas été jusqu'au
bout de son projet initial qui consistait à recruter des juges de
proximité en leur permettant de statuer en équité et non en droit.
Ce n'est pas "en ce domaine", les juges en question étaient nommés tout
pareil que les autres, et aussi illégitimes.
En matière de légitimité, je vois très bien ce que peut craindre le corps,
mais ça ne me paraît pas un argument pour le citoyen.
Et par parenthèse, il n'y a pas que l'élection pour assurer la légitimité:
il y a aussi la sanction.
infinitésimal.
Même Renard y a échappé un bon bout de temps, le juge masturbateur a été
maintenu (le ministre a renoncé à le nommer, il est payé à ne rien faire).
Celui qui faisait des photos "de charme" dans les salles d'audience est
toujours juge et juge les autres. Burgaud est toujours juge et prend
toujours l'avis de psys pour décider de la liberté des autres.
Or à ma connaissance, rien dans les études ni le recrutement des juges ne
les prédispose à la sainteté, et je ne vois pas du tout pourquoi il n'y
aurait pas autant de problèmes de discipline, de fautes professionnelles,
de corruption, etc. que dans n'importe quel autre corps de fonctionnaires.
En tout cas je ne vois pas pourquoi il y en aurait 100 fois moins. Un
miracle?
a) la jurisprudence n'est pas source de droit,
b) l'élection des juges du tribuanl de commerce ou celle des conseillers
prud'hommes est le prétexte à des tas d'accusations
quant aux jurés d'assises, n'avez-vous jamais
entendu dire que les présidents useraient d'un "pouvoir" pour orienter les
décisions ?
vous voulez faire croire que le vote de la mère Michu et du père Duschnok
serait un progrès pour les justiciables ?
mais si vous voulez éluder le véritable sens de votre proposition, je
réitère que faire dépendre une solution juridique du seul fait de l'élection
des juges me semble tout aussi dangereux que d'élire un chirurgien
Etpersonne n'est obligé, ni d'aller consulter celui-là, ni de suivre ses
prescriptions. Vous voyez la différence?
je perçois plus exactement les limites de votre comparaison, qui n'est pas
raison, surtout quand vous prendrez le temps d'expliquer à une mère se
présentant aux urgneces pour son enfant qu'elle peut aller consulter
ailleurs...
a) la jurisprudence n'est pas source de droit,
b) l'élection des juges du tribuanl de commerce ou celle des conseillers
prud'hommes est le prétexte à des tas d'accusations
quant aux jurés d'assises, n'avez-vous jamais
entendu dire que les présidents useraient d'un "pouvoir" pour orienter les
décisions ?
vous voulez faire croire que le vote de la mère Michu et du père Duschnok
serait un progrès pour les justiciables ?
mais si vous voulez éluder le véritable sens de votre proposition, je
réitère que faire dépendre une solution juridique du seul fait de l'élection
des juges me semble tout aussi dangereux que d'élire un chirurgien
Et
personne n'est obligé, ni d'aller consulter celui-là, ni de suivre ses
prescriptions. Vous voyez la différence?
je perçois plus exactement les limites de votre comparaison, qui n'est pas
raison, surtout quand vous prendrez le temps d'expliquer à une mère se
présentant aux urgneces pour son enfant qu'elle peut aller consulter
ailleurs...
a) la jurisprudence n'est pas source de droit,
b) l'élection des juges du tribuanl de commerce ou celle des conseillers
prud'hommes est le prétexte à des tas d'accusations
quant aux jurés d'assises, n'avez-vous jamais
entendu dire que les présidents useraient d'un "pouvoir" pour orienter les
décisions ?
vous voulez faire croire que le vote de la mère Michu et du père Duschnok
serait un progrès pour les justiciables ?
mais si vous voulez éluder le véritable sens de votre proposition, je
réitère que faire dépendre une solution juridique du seul fait de l'élection
des juges me semble tout aussi dangereux que d'élire un chirurgien
Etpersonne n'est obligé, ni d'aller consulter celui-là, ni de suivre ses
prescriptions. Vous voyez la différence?
je perçois plus exactement les limites de votre comparaison, qui n'est pas
raison, surtout quand vous prendrez le temps d'expliquer à une mère se
présentant aux urgneces pour son enfant qu'elle peut aller consulter
ailleurs...
En matière de légitimité, je vois très bien ce que peut craindre le corps,
mais ça ne me paraît pas un argument pour le citoyen.
Dans ce que vous appelez de vos voeux, le citoyen à bien plus à perdre que
le corps judiciaire.
Pensez au juge qui n'a de souci que sa réélection, j'y vois effectivement
une magnifique garantie d'indépendance.
Et par parenthèse, il n'y a pas que l'élection pour assurer la légitimité:
il y a aussi la sanction.
Et les magistrats n'y sont pas opposés pour l'immense majorité d'entre eux.
Au risque de me repéter avez vu des réactions à la loi de mars 2007 ?
Encore faut-il s'entendre sur la notion de faute.
Dans votre esprit, je crains fort que la faute ne s'attache au contenu de la
décision.
Une fois encore, si vous ne voyez pas ce qu'il y a de dangereux pour les
citoyens à ce qu'un juge soit sanctionable à raison du contenu de sa
décision,
poser de question permet de dormir beaucoup plus facilement la nuit.
Le CSM statue en fonction de ses saisines.
Et il sanctionne moins rarement que vous n'avez l'air de le penser
Même Renard y a échappé un bon bout de temps, le juge masturbateur a été
maintenu (le ministre a renoncé à le nommer, il est payé à ne rien faire).
Celui qui faisait des photos "de charme" dans les salles d'audience est
toujours juge et juge les autres. Burgaud est toujours juge et prend
toujours l'avis de psys pour décider de la liberté des autres.
Et voilà nous y sommes.
Comme l'a déjà écrit Sobeol, vous êtes fort mal informé.
En second lieu, vous n'arrivez manifestement pas à comprendre pourquoi un
juge qui n'enfreint aucune règle de droit et qui rend des décisions qui sont
systématiquement confirmées par le second degré de juridiction n'est pas
sanctionnable quand bien même ses décisions ont au, final, été désavouées
par une décision d'acquittement.
Petit exemple précis et récent en matière civile.
Depuis des années de nombreux juges d'instance résistent de façon farouche à
une jurisprudence tout à fait constante de la Cour de Cassation qui interdit
au juge de relever d'office les moyens d'ordre public tiré du code de la
consommation aux motifs qu'il s'agit d'un ordre public de protection et que
ces moyens ne peuvent être soulevés que par celui qu'ils sont sensés
protéger.
Dans votre conception, il aurait surement fallu que ces juges qui refusaient
de s'incliner soient sanctionnés.
En matière de légitimité, je vois très bien ce que peut craindre le corps,
mais ça ne me paraît pas un argument pour le citoyen.
Dans ce que vous appelez de vos voeux, le citoyen à bien plus à perdre que
le corps judiciaire.
Pensez au juge qui n'a de souci que sa réélection, j'y vois effectivement
une magnifique garantie d'indépendance.
Et par parenthèse, il n'y a pas que l'élection pour assurer la légitimité:
il y a aussi la sanction.
Et les magistrats n'y sont pas opposés pour l'immense majorité d'entre eux.
Au risque de me repéter avez vu des réactions à la loi de mars 2007 ?
Encore faut-il s'entendre sur la notion de faute.
Dans votre esprit, je crains fort que la faute ne s'attache au contenu de la
décision.
Une fois encore, si vous ne voyez pas ce qu'il y a de dangereux pour les
citoyens à ce qu'un juge soit sanctionable à raison du contenu de sa
décision,
poser de question permet de dormir beaucoup plus facilement la nuit.
Le CSM statue en fonction de ses saisines.
Et il sanctionne moins rarement que vous n'avez l'air de le penser
Même Renard y a échappé un bon bout de temps, le juge masturbateur a été
maintenu (le ministre a renoncé à le nommer, il est payé à ne rien faire).
Celui qui faisait des photos "de charme" dans les salles d'audience est
toujours juge et juge les autres. Burgaud est toujours juge et prend
toujours l'avis de psys pour décider de la liberté des autres.
Et voilà nous y sommes.
Comme l'a déjà écrit Sobeol, vous êtes fort mal informé.
En second lieu, vous n'arrivez manifestement pas à comprendre pourquoi un
juge qui n'enfreint aucune règle de droit et qui rend des décisions qui sont
systématiquement confirmées par le second degré de juridiction n'est pas
sanctionnable quand bien même ses décisions ont au, final, été désavouées
par une décision d'acquittement.
Petit exemple précis et récent en matière civile.
Depuis des années de nombreux juges d'instance résistent de façon farouche à
une jurisprudence tout à fait constante de la Cour de Cassation qui interdit
au juge de relever d'office les moyens d'ordre public tiré du code de la
consommation aux motifs qu'il s'agit d'un ordre public de protection et que
ces moyens ne peuvent être soulevés que par celui qu'ils sont sensés
protéger.
Dans votre conception, il aurait surement fallu que ces juges qui refusaient
de s'incliner soient sanctionnés.
En matière de légitimité, je vois très bien ce que peut craindre le corps,
mais ça ne me paraît pas un argument pour le citoyen.
Dans ce que vous appelez de vos voeux, le citoyen à bien plus à perdre que
le corps judiciaire.
Pensez au juge qui n'a de souci que sa réélection, j'y vois effectivement
une magnifique garantie d'indépendance.
Et par parenthèse, il n'y a pas que l'élection pour assurer la légitimité:
il y a aussi la sanction.
Et les magistrats n'y sont pas opposés pour l'immense majorité d'entre eux.
Au risque de me repéter avez vu des réactions à la loi de mars 2007 ?
Encore faut-il s'entendre sur la notion de faute.
Dans votre esprit, je crains fort que la faute ne s'attache au contenu de la
décision.
Une fois encore, si vous ne voyez pas ce qu'il y a de dangereux pour les
citoyens à ce qu'un juge soit sanctionable à raison du contenu de sa
décision,
poser de question permet de dormir beaucoup plus facilement la nuit.
Le CSM statue en fonction de ses saisines.
Et il sanctionne moins rarement que vous n'avez l'air de le penser
Même Renard y a échappé un bon bout de temps, le juge masturbateur a été
maintenu (le ministre a renoncé à le nommer, il est payé à ne rien faire).
Celui qui faisait des photos "de charme" dans les salles d'audience est
toujours juge et juge les autres. Burgaud est toujours juge et prend
toujours l'avis de psys pour décider de la liberté des autres.
Et voilà nous y sommes.
Comme l'a déjà écrit Sobeol, vous êtes fort mal informé.
En second lieu, vous n'arrivez manifestement pas à comprendre pourquoi un
juge qui n'enfreint aucune règle de droit et qui rend des décisions qui sont
systématiquement confirmées par le second degré de juridiction n'est pas
sanctionnable quand bien même ses décisions ont au, final, été désavouées
par une décision d'acquittement.
Petit exemple précis et récent en matière civile.
Depuis des années de nombreux juges d'instance résistent de façon farouche à
une jurisprudence tout à fait constante de la Cour de Cassation qui interdit
au juge de relever d'office les moyens d'ordre public tiré du code de la
consommation aux motifs qu'il s'agit d'un ordre public de protection et que
ces moyens ne peuvent être soulevés que par celui qu'ils sont sensés
protéger.
Dans votre conception, il aurait surement fallu que ces juges qui refusaient
de s'incliner soient sanctionnés.
Même Renard y a échappé un bon bout de temps, le juge masturbateur a été
maintenu (le ministre a renoncé à le nommer, il est payé à ne rien faire).
Celui qui faisait des photos "de charme" dans les salles d'audience est
toujours juge et juge les autres. Burgaud est toujours juge et prend
toujours l'avis de psys pour décider de la liberté des autres.
Et voilà nous y sommes.
Comme l'a déjà écrit Sobeol, vous êtes fort mal informé.
En second lieu, vous n'arrivez manifestement pas à comprendre pourquoi un
juge qui n'enfreint aucune règle de droit et qui rend des décisions qui sont
systématiquement confirmées par le second degré de juridiction n'est pas
sanctionnable quand bien même ses décisions ont au, final, été désavouées
par une décision d'acquittement.
Même Renard y a échappé un bon bout de temps, le juge masturbateur a été
maintenu (le ministre a renoncé à le nommer, il est payé à ne rien faire).
Celui qui faisait des photos "de charme" dans les salles d'audience est
toujours juge et juge les autres. Burgaud est toujours juge et prend
toujours l'avis de psys pour décider de la liberté des autres.
Et voilà nous y sommes.
Comme l'a déjà écrit Sobeol, vous êtes fort mal informé.
En second lieu, vous n'arrivez manifestement pas à comprendre pourquoi un
juge qui n'enfreint aucune règle de droit et qui rend des décisions qui sont
systématiquement confirmées par le second degré de juridiction n'est pas
sanctionnable quand bien même ses décisions ont au, final, été désavouées
par une décision d'acquittement.
Même Renard y a échappé un bon bout de temps, le juge masturbateur a été
maintenu (le ministre a renoncé à le nommer, il est payé à ne rien faire).
Celui qui faisait des photos "de charme" dans les salles d'audience est
toujours juge et juge les autres. Burgaud est toujours juge et prend
toujours l'avis de psys pour décider de la liberté des autres.
Et voilà nous y sommes.
Comme l'a déjà écrit Sobeol, vous êtes fort mal informé.
En second lieu, vous n'arrivez manifestement pas à comprendre pourquoi un
juge qui n'enfreint aucune règle de droit et qui rend des décisions qui sont
systématiquement confirmées par le second degré de juridiction n'est pas
sanctionnable quand bien même ses décisions ont au, final, été désavouées
par une décision d'acquittement.
Cela dit il n'y a pas que l'élection comme moyen de légitimité. Mais rien,
c'est peu.
/ ... /quand il faut 3 ans pour qu'un juge qui ne se présente *jamais* à
son poste soit viré et qu'on cesse de le payer, c'est à mon avis que la
notion d'inamovibilité et de contrôle par les pairs a foiré quelque part.
être juge n'est pas un droit de l'homme.
Dans "ma" conception, il serait bon que la cour de Cassation (au moins)
ait quelque légitimité populaire ce qui règlerait la question, en effet.
Cela dit il n'y a pas que l'élection comme moyen de légitimité. Mais rien,
c'est peu.
/ ... /quand il faut 3 ans pour qu'un juge qui ne se présente *jamais* à
son poste soit viré et qu'on cesse de le payer, c'est à mon avis que la
notion d'inamovibilité et de contrôle par les pairs a foiré quelque part.
être juge n'est pas un droit de l'homme.
Dans "ma" conception, il serait bon que la cour de Cassation (au moins)
ait quelque légitimité populaire ce qui règlerait la question, en effet.
Cela dit il n'y a pas que l'élection comme moyen de légitimité. Mais rien,
c'est peu.
/ ... /quand il faut 3 ans pour qu'un juge qui ne se présente *jamais* à
son poste soit viré et qu'on cesse de le payer, c'est à mon avis que la
notion d'inamovibilité et de contrôle par les pairs a foiré quelque part.
être juge n'est pas un droit de l'homme.
Dans "ma" conception, il serait bon que la cour de Cassation (au moins)
ait quelque légitimité populaire ce qui règlerait la question, en effet.
a) la jurisprudence n'est pas source de droit,
Vous écrivez de quel pays?
http://www.ac-versailles.fr/CERPEG/ressdiscipl/droit/sources.htm
Il y a plusieurs façons d'assurer la légitimité, sinon des juges, du moins
des décisions: élire le chef des juges qui nommera les autres
Vous avez encore oublié de me dire en quoi consiste la légitimité d'un juge
et d'où vient son pouvoir.
Dans ce cas elle pourra faire un procès au chirurgien si ça merde. Comment
on fait avec un jugement?
a) la jurisprudence n'est pas source de droit,
Vous écrivez de quel pays?
http://www.ac-versailles.fr/CERPEG/ressdiscipl/droit/sources.htm
Il y a plusieurs façons d'assurer la légitimité, sinon des juges, du moins
des décisions: élire le chef des juges qui nommera les autres
Vous avez encore oublié de me dire en quoi consiste la légitimité d'un juge
et d'où vient son pouvoir.
Dans ce cas elle pourra faire un procès au chirurgien si ça merde. Comment
on fait avec un jugement?
a) la jurisprudence n'est pas source de droit,
Vous écrivez de quel pays?
http://www.ac-versailles.fr/CERPEG/ressdiscipl/droit/sources.htm
Il y a plusieurs façons d'assurer la légitimité, sinon des juges, du moins
des décisions: élire le chef des juges qui nommera les autres
Vous avez encore oublié de me dire en quoi consiste la légitimité d'un juge
et d'où vient son pouvoir.
Dans ce cas elle pourra faire un procès au chirurgien si ça merde. Comment
on fait avec un jugement?
en effet, n'importe quel étudiant de première année sait que la
jurisprudence n'est qu'une tentative par les justiciables d'influencer la
décision du juge, ce n'est pas une norme constitutive de droit !
en effet, n'importe quel étudiant de première année sait que la
jurisprudence n'est qu'une tentative par les justiciables d'influencer la
décision du juge, ce n'est pas une norme constitutive de droit !
en effet, n'importe quel étudiant de première année sait que la
jurisprudence n'est qu'une tentative par les justiciables d'influencer la
décision du juge, ce n'est pas une norme constitutive de droit !
Cela dit il n'y a pas que l'élection comme moyen de légitimité. Mais rien,
c'est peu.
cela dit ce n'est pas parce que vous niez toute légitimité qu'il n'y a pas
de légitimité.
/ ... /quand il faut 3 ans pour qu'un juge qui ne se présente *jamais* à
son poste soit viré et qu'on cesse de le payer, c'est à mon avis que la
notion d'inamovibilité et de contrôle par les pairs a foiré quelque part.
quand un salarié du secteur privé est absent pendant trois ans du fait de
son état de santé et qu'il perçoit un salaire ou des indemnités journalières
légales et/ou conventionnelles, on devrait donc le " virer " ?
les juges de carrière ne sont pas juges au nom d'un " droit"... mis à part
celui qui découle des conditions légales = une formation et un diplome
Dans "ma" conception, il serait bon que la cour de Cassation (au moins)
ait quelque légitimité populaire ce qui règlerait la question, en effet.
vu la complexité de certains moyens de cassation proposés par des
spécialistes, on peut s'interroger sur le degré de pertience d'une
proposition visant à confier au hasard du suffrage l'issue de tels
contentieux
Cela dit il n'y a pas que l'élection comme moyen de légitimité. Mais rien,
c'est peu.
cela dit ce n'est pas parce que vous niez toute légitimité qu'il n'y a pas
de légitimité.
/ ... /quand il faut 3 ans pour qu'un juge qui ne se présente *jamais* à
son poste soit viré et qu'on cesse de le payer, c'est à mon avis que la
notion d'inamovibilité et de contrôle par les pairs a foiré quelque part.
quand un salarié du secteur privé est absent pendant trois ans du fait de
son état de santé et qu'il perçoit un salaire ou des indemnités journalières
légales et/ou conventionnelles, on devrait donc le " virer " ?
les juges de carrière ne sont pas juges au nom d'un " droit"... mis à part
celui qui découle des conditions légales = une formation et un diplome
Dans "ma" conception, il serait bon que la cour de Cassation (au moins)
ait quelque légitimité populaire ce qui règlerait la question, en effet.
vu la complexité de certains moyens de cassation proposés par des
spécialistes, on peut s'interroger sur le degré de pertience d'une
proposition visant à confier au hasard du suffrage l'issue de tels
contentieux
Cela dit il n'y a pas que l'élection comme moyen de légitimité. Mais rien,
c'est peu.
cela dit ce n'est pas parce que vous niez toute légitimité qu'il n'y a pas
de légitimité.
/ ... /quand il faut 3 ans pour qu'un juge qui ne se présente *jamais* à
son poste soit viré et qu'on cesse de le payer, c'est à mon avis que la
notion d'inamovibilité et de contrôle par les pairs a foiré quelque part.
quand un salarié du secteur privé est absent pendant trois ans du fait de
son état de santé et qu'il perçoit un salaire ou des indemnités journalières
légales et/ou conventionnelles, on devrait donc le " virer " ?
les juges de carrière ne sont pas juges au nom d'un " droit"... mis à part
celui qui découle des conditions légales = une formation et un diplome
Dans "ma" conception, il serait bon que la cour de Cassation (au moins)
ait quelque légitimité populaire ce qui règlerait la question, en effet.
vu la complexité de certains moyens de cassation proposés par des
spécialistes, on peut s'interroger sur le degré de pertience d'une
proposition visant à confier au hasard du suffrage l'issue de tels
contentieux
Vous écrivez de quel pays?
http://www.ac-versailles.fr/CERPEG/ressdiscipl/droit/sources.htm
les commentaires d'un service de l'éducation nationale peuvent vous sembler
pertinent, pas à moi et pas à ceux qui oeuvrent directement dans le domaine
du droit ;
en résumé, la jusrisprudence sert d'argument et pas de motivations légales
Vous avez encore oublié de me dire en quoi consiste la légitimité d'un juge
et d'où vient son pouvoir.
je vous ai déjà répondu en me référant à ses diplomes, mais visiblement vous
ne lisez que ce que vous voulez voir
Dans ce cas elle pourra faire un procès au chirurgien si ça merde. Comment
on fait avec un jugement?
on fait appel
et si on est toujours pas content, on va en cassation
Vous écrivez de quel pays?
http://www.ac-versailles.fr/CERPEG/ressdiscipl/droit/sources.htm
les commentaires d'un service de l'éducation nationale peuvent vous sembler
pertinent, pas à moi et pas à ceux qui oeuvrent directement dans le domaine
du droit ;
en résumé, la jusrisprudence sert d'argument et pas de motivations légales
Vous avez encore oublié de me dire en quoi consiste la légitimité d'un juge
et d'où vient son pouvoir.
je vous ai déjà répondu en me référant à ses diplomes, mais visiblement vous
ne lisez que ce que vous voulez voir
Dans ce cas elle pourra faire un procès au chirurgien si ça merde. Comment
on fait avec un jugement?
on fait appel
et si on est toujours pas content, on va en cassation
Vous écrivez de quel pays?
http://www.ac-versailles.fr/CERPEG/ressdiscipl/droit/sources.htm
les commentaires d'un service de l'éducation nationale peuvent vous sembler
pertinent, pas à moi et pas à ceux qui oeuvrent directement dans le domaine
du droit ;
en résumé, la jusrisprudence sert d'argument et pas de motivations légales
Vous avez encore oublié de me dire en quoi consiste la légitimité d'un juge
et d'où vient son pouvoir.
je vous ai déjà répondu en me référant à ses diplomes, mais visiblement vous
ne lisez que ce que vous voulez voir
Dans ce cas elle pourra faire un procès au chirurgien si ça merde. Comment
on fait avec un jugement?
on fait appel
et si on est toujours pas content, on va en cassation