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Puissance tension intensité

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filh
Bonjour

Pendant que je causais de cables, il me vient une question idiote.
AU niveau des enceintes on parle toujours de puissance. Mais bon, ça
donne quoi en tension/intensité.

Car si mes souvenirs d'électricité sont bons, si pour une puissance
donnée on a moins d'intensité, on peut avoir des cables plus mince.

Non ?

Enfin bon je sens qu'on va me dire que c'est pas si simple que ça... :)
Mais le premier qui dit ça a droit d'expliquer !

FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org

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PC
"rgk" a écrit dans le message de news:
46013d7c$0$31995$
PC a écrit :
> Le Z80 date de 1980 et nous avions si ma mémoire
> est bonne en 78 ou 79 un ancêtre dont je ne me rappelle plus le nom.

"http://www.computermuseum.li/Testpage/01HISTORYCD-Chrono1.htm" donne :
1971 : Intel 4004 (le premier micropro industriel)
1972 : Intel 8008 (le premier 8 bits)
1972 : Intel 8080
1974 Motorola 6800
1975 : Motorola 6500 (MOS)
1976 : Zilog Z80

Je les ai tous connus ... et programmés, sauf le 4004 ;-)
--
Gérard



Merci, c'était du 8080.

Philippe Camus
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filh
PC wrote:

"FiLH" a écrit dans le message de news:

> "PC" writes:
>
> > "FiLH" a écrit dans le message de news:
> > 1hvbevm.dw4f5mm9jemwN% > > On faisait déjà tout ce
> > que vous dites vers la fin des années 70,
>
> Ne dites pas de bêtises comme ça, à la fin des années 70
> 80% de ce que je cite n'existait pas.
>

Vous plaisantez... Ne me faites pas passer pour un menteur. Automatismes,
logique, microproc, programmation, les portes les registres à décalage
etc... Tout cela existait.



Pas dans les mêmes complexité : on pouvait alors se contenter de
principes simples.

Un peu comme en 1920 on pouvait fabriquer une voiture seul dans son
garage... pas en 2000.

Si vous ne voyez pas la différence... je ne vous reconnais aucune
capacité à juger de ce que savent les jeunes.


> Par exemple le VHDL qui est à la base de beaucoup de
> modélisations actuelle date de 1987
>

Oui et alors. V



Alors « vous ne faisiez pas ça en 1980 », bref vous ne mentez pas, vous
dites des choses fausse...


> Les asics, les socs, les systèmes embarqués datent de moins de
> 15 ans...
>

Vrai pour les asics et les socs,



Ahh.. encore une fois, vous ne mentez pas mais bon...


faux pour les systèmes embraqués. On
fabriquait nos cartes à partir des briques de base. C'était bien plus long
et compliqué que de programmer un FPGA.



Mais les programmes étaient d'une complexité infiniment moins grande...
Et ça vous l'oubliez... (J'en sais quelque chose je commençait à
programmer dans ces années là et je vois ce qu'on fait maintenant)



> Les logiciels genre Matlab ont aussi dans les 15 ans.
>

On faisait tout à la calculette ou à la main. La règle à calcul était
toujours avec moi. Croyez-moi s'était bien plus difficile qu'avec Mathlab.



Vous faisiez des déconvolution à la règle à calcul ? Là encore vous
confondez quelques calculs de base et ce qu'on fait maintenant.


> Fin 70 vous n'aviez pas de logiciel de calcul de routage de circuits.
>

On faisait tout au rothring et au transfert à l'échelle deux.



En combien de couche ? Avec calcule des plans de masse ? En quelle
fréquence ? Combien de pattes sur les CI ? Passer de 30 à 400 pattes ça
fait aussi une différence...

> Fin 70 les processeurs avaient à peine 8 bits dans le meilleur des
> cas.

Oui et alors. Les processus de fabrication étaient bien plus difficiles et
long, mais tout existait déjà.



Avec des facteurs de complexité tels que quelques principes de base
suffisaient.

Entre un circuit qui tourne à 4KHz et un à 4Ghz vous avez certes les
mêmes principes mais des calculs d'une autre envergure et des effets
alakon à prendre en compte qui demandent d'autres connaissances que
trois principes de base.


Maintenant je vois que vous avez suivi l'option mauvaise foi et que vous
avez eu 20/20...

Par contre tout ça a bien fait rire quelques vieux de la vielles que je
connais et qui ont suivi tout ça et qui savent vraiment combien ça a
changé :)

FiLH



--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
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filh
Max wrote:
Le vrai problème est la doctrine du «pourquoi faire simple quand on peut
faire compliqué». Rappelons-nous de ces pauvres gosses en CP à qui on
s'obstinait à inculquer le calcul en base 2, 3, etc.

J'ai toujours été favorable à une approche progressive : on part de l'étude
d'un système concret basique et, au fur et à mesure de l'acquisition des
notions initiales, on détaille les variantes de plus en plus complexes. La
doctrine officielle pratique dans l'autre sens :-(

En première analyse, évoquer intégrales ou différentielles pour évaluer le
courant circulant dans un câble de haut-parleur me semble aussi pertinent
que d'utiliser un obus de 155 pour attraper un moustique...




Ou,i ça c'est aussi le discours d'un enseignant qui a SES méthodes qu'il
refuse de faire évoluer et de remettre en question (le nombre
d'argument pour dire que ce qu'on fait depuis toujours est parfait et
que toute évolution est une mauvaise chose est faramineux).

C'est aussi le discours de l'enseignant qui aura du mal à maîtriser un
niveau de complexité supérieur et qui explique d'un ton ronchon : mes
les étudiants ne comprennent pas ! Tu parles Charles, en creusant un peu
dans 90% des cas c'est l'enseignant qui est à la rue....

FiLH

--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
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filh
François Yves Le Gal wrote:

On 21 Mar 2007 11:17:23 +0100, FiLH wrote:

>Vous avez des sources fiables à vos racontards ?

Racontars ? Ce sont hélas des faits. Simple exemple : 20 % d'illettrés à
l'entrée en 6ème, 10 % à 18 ans selon les statistiques officielles et sans
doute près du double en réalité.



Non, l'évolution vous dites que ça a changé ! On doit avoir une courbe
descendante... vous nous la montrez ? (J'ai vérifié les chifffres vous
aurez du mal hein...).

Vous 20% source non officielle : vous avez la méthode d'évaluation ?
Des chiffres ?
Des sources fiables ?





FiLH








--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
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Max
"FiLH" a écrit dans le message de
news:1hvh3mq.ps18abgt4draN%
Max wrote:
> Le vrai problème est la doctrine du «pourquoi faire simple quand on peut
> faire compliqué». Rappelons-nous de ces pauvres gosses en CP à qui on
> s'obstinait à inculquer le calcul en base 2, 3, etc.
>
> J'ai toujours été favorable à une approche progressive : on part de


l'étude
> d'un système concret basique et, au fur et à mesure de l'acquisition des
> notions initiales, on détaille les variantes de plus en plus complexes.


La
> doctrine officielle pratique dans l'autre sens :-(
>
> En première analyse, évoquer intégrales ou différentielles pour évaluer


le
> courant circulant dans un câble de haut-parleur me semble aussi


pertinent
> que d'utiliser un obus de 155 pour attraper un moustique...
>

Ou,i ça c'est aussi le discours d'un enseignant qui a SES méthodes qu'il
refuse de faire évoluer et de remettre en question (le nombre
d'argument pour dire que ce qu'on fait depuis toujours est parfait et
que toute évolution est une mauvaise chose est faramineux).

C'est aussi le discours de l'enseignant qui aura du mal à maîtriser un
niveau de complexité supérieur et qui explique d'un ton ronchon : mes
les étudiants ne comprennent pas ! Tu parles Charles, en creusant un peu
dans 90% des cas c'est l'enseignant qui est à la rue....



Oui, il est grand temps de faire appel au référentiel bondissant pour
apporter un éclairage nouveau sur cette affaire.
Max.
--
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