Pendant que je causais de cables, il me vient une question idiote.
AU niveau des enceintes on parle toujours de puissance. Mais bon, ça
donne quoi en tension/intensité.
Car si mes souvenirs d'électricité sont bons, si pour une puissance
donnée on a moins d'intensité, on peut avoir des cables plus mince.
Non ?
Enfin bon je sens qu'on va me dire que c'est pas si simple que ça... :)
Mais le premier qui dit ça a droit d'expliquer !
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Ah ouais... D'une part on utilise les AOP comme on veut,
merci
http://cjoint.com/?duffeT3RUs
Oui, et ?
Sinon, juste en passant, si les ampli-hi-fi étaient de vrais amplis de courant, je ne donne pas cher de la peau de votre ampli si vous ne branchez pas les enceintes...
Bin vous passez mal...
Vous voulez dire que le courant de sortie de votre ampli dépend de la charge alors que la tension de sortie reste la même ? C'est marrant, c'est la définition d'un générateur de tension qui est l'inverse de celle d'un générateur de courant
PC wrote:
Ah ouais... D'une part on utilise les AOP comme on veut,
merci
http://cjoint.com/?duffeT3RUs
Oui, et ?
Sinon, juste en passant, si les ampli-hi-fi étaient de vrais amplis de
courant, je ne donne pas cher de la peau de votre ampli si vous ne
branchez pas les enceintes...
Bin vous passez mal...
Vous voulez dire que le courant de sortie de votre ampli dépend de la charge
alors que la tension de sortie reste la même ? C'est marrant, c'est la
définition d'un générateur de tension qui est l'inverse de celle d'un
générateur de courant
Ah ouais... D'une part on utilise les AOP comme on veut,
merci
http://cjoint.com/?duffeT3RUs
Oui, et ?
Sinon, juste en passant, si les ampli-hi-fi étaient de vrais amplis de courant, je ne donne pas cher de la peau de votre ampli si vous ne branchez pas les enceintes...
Bin vous passez mal...
Vous voulez dire que le courant de sortie de votre ampli dépend de la charge alors que la tension de sortie reste la même ? C'est marrant, c'est la définition d'un générateur de tension qui est l'inverse de celle d'un générateur de courant
Yves-Laurent Allaert
PC wrote:
Les schémas de base d'ailleurs sont suffisamment explicites.
Même ceux d'amplis à tubes? (si on enlève le transfo de sortie, évidemment)
Bin si vous enlevez le transfo de sortie ce n'est plus un ampli...
Donc, si on enlève le transfo de sortie d'un ampli a lampe, il n'amplifie plus rien ? Bon, il faut aussi que je retourne à l'école.
PC wrote:
Les schémas de base d'ailleurs sont suffisamment explicites.
Même ceux d'amplis à tubes? (si on enlève le transfo de sortie, évidemment)
Bin si vous enlevez le transfo de sortie ce n'est plus un ampli...
Donc, si on enlève le transfo de sortie d'un ampli a lampe, il n'amplifie plus
rien ? Bon, il faut aussi que je retourne à l'école.
Les schémas de base d'ailleurs sont suffisamment explicites.
Même ceux d'amplis à tubes? (si on enlève le transfo de sortie, évidemment)
Bin si vous enlevez le transfo de sortie ce n'est plus un ampli...
Donc, si on enlève le transfo de sortie d'un ampli a lampe, il n'amplifie plus rien ? Bon, il faut aussi que je retourne à l'école.
Jean-Louis Matrat
en ce 20/03/2007 06:06, PC nous disait:
La terminologie est extrêmement importante non? Si vous me demandez un générateur de courant ou de tension, ce sera pas la même chose.
Une minuscule modification de la topologie de la contre-réaction, c'est tout.
Pour le reste j'ai répondu dans le message à Yves-Laurent Allaert.
Réponse insuffisante. Vous continuez à faire semblant (j'espère que vous ne faites que semblant) de croire qu'il y aurait contradiction dans la présence d'un étage ampli de courant (le collecteur commun) et le fonctionnement de l'ensemble comme un générateur de tension. Franchement, ça devient lassant. Et pourtant, vous reconnaissez qu'on utilise un AOP comme on veut. Bizarre.
Fin de ce sujet en ce qui me concerne.
Cependant tous les amplis s'entendent.
Je relance un autre sujet à la suite.
JLM
en ce 20/03/2007 06:06, PC nous disait:
La terminologie est extrêmement importante non? Si vous me demandez un
générateur de courant ou de tension, ce sera pas la même chose.
Une minuscule modification de la topologie de la contre-réaction, c'est
tout.
Pour le reste j'ai répondu dans le message à Yves-Laurent Allaert.
Réponse insuffisante. Vous continuez à faire semblant (j'espère que vous
ne faites que semblant) de croire qu'il y aurait contradiction dans la
présence d'un étage ampli de courant (le collecteur commun) et le
fonctionnement de l'ensemble comme un générateur de tension.
Franchement, ça devient lassant.
Et pourtant, vous reconnaissez qu'on utilise un AOP comme on veut. Bizarre.
La terminologie est extrêmement importante non? Si vous me demandez un générateur de courant ou de tension, ce sera pas la même chose.
Une minuscule modification de la topologie de la contre-réaction, c'est tout.
Pour le reste j'ai répondu dans le message à Yves-Laurent Allaert.
Réponse insuffisante. Vous continuez à faire semblant (j'espère que vous ne faites que semblant) de croire qu'il y aurait contradiction dans la présence d'un étage ampli de courant (le collecteur commun) et le fonctionnement de l'ensemble comme un générateur de tension. Franchement, ça devient lassant. Et pourtant, vous reconnaissez qu'on utilise un AOP comme on veut. Bizarre.
Fin de ce sujet en ce qui me concerne.
Cependant tous les amplis s'entendent.
Je relance un autre sujet à la suite.
JLM
Jean-Louis Matrat
en ce 20/03/2007 06:06, PC nous disait:
Cependant tous les amplis s'entendent. Il n'y a pas que des erreurs de conception.
Ce qui me fait hurler de rire c'est quand j'entends qu'il n'y a pas de différence entre des amplis bien foutu de divers origines. Bin vous prenez un ampli à base de 300B bien foutu, un autre à Hexfet bien foutu et si vous n'entendez pas la différence, c'est que vous êtes sourd comme pot.
Riez, les différences ne sont pas là où vous le croyez.
Une fois évacuées les différences notables à la mesure, du genre anomalies dans la courbe de réponse, distorsion en régime permanent, avec sa variation en fonction de la puissance, ou le rapport S/N s'il est vraiment mauvais, il reste des choses moins faciles à mesurer, comme l'intermodulation transitoire, mais une écoute soigneuse de l'ampli (sans chercher à comparer avec un autre) permettra d'éliminer les vilains canards.
Ensuite, nous avons donc en présence deux amplis de technos bien différentes, réputés tous deux exempts de défauts manifestes, et très convenables aux mesures. On écoute, OK, et de toute évidence, la différence saute aux oreilles.
Mondieumondieumondieu... PC aurait-il raison?
Que nenni non point: la différence qu'on a entendu, pour être réelle, ne vient que du traitement différent des crêtes de niveau. Modalités (ou absence) d'écrêtage, tout est là. Pour preuve, en premier lieu, une écoute à très bas niveau: les différences ne se sont-elles pas très largement estompées?
La contre-expérience est facile à faire: mesurer (sur charge résistive, ça suffira) le niveau d'entrée max correspondant au coude de la courbe de distorsion. Ce coude est plus ou moins marqué selon les technos, mais on peut, arbitrairement, prendre celui où la disto est double de celle sur 1W (que l'un soit à 0,005% et l'autre à 0,2% n'a aucune importance). Autrement, pour faire vite, le début de l'écrêtage observé à l'oscillo sera un repère acceptable. Ensuite, calibrer le préampli (butée sur le potard!) de façon à ce que ce niveau ne soit jamais dépassé (disque test à 0 dBFS par exemple) et bien entendu, égaliser _très soigneusement_ les niveaux des deux amplis. Et maintenant, passer à l'écoute. Selon l'enceinte utilisée, et si c'est pas Carla Bruni ou Metallica, ça risque de ne pas faire un niveau très élevé. Mais il n'y a plus de différence audible. Plus du tout. Ce que vous entendiez (dans le cas précis, je l'entendais aussi) c'est le délicieux effet de compresseur limiteur de la 300B. Point.
JLM
en ce 20/03/2007 06:06, PC nous disait:
Cependant tous les amplis s'entendent. Il
n'y a pas que des erreurs de conception.
Ce qui me fait hurler de rire c'est quand j'entends qu'il n'y a pas de
différence entre des amplis bien foutu de divers origines. Bin vous prenez
un ampli à base de 300B bien foutu, un autre à Hexfet bien foutu et si vous
n'entendez pas la différence, c'est que vous êtes sourd comme pot.
Riez, les différences ne sont pas là où vous le croyez.
Une fois évacuées les différences notables à la mesure, du genre
anomalies dans la courbe de réponse, distorsion en régime permanent,
avec sa variation en fonction de la puissance, ou le rapport S/N s'il
est vraiment mauvais, il reste des choses moins faciles à mesurer, comme
l'intermodulation transitoire, mais une écoute soigneuse de l'ampli
(sans chercher à comparer avec un autre) permettra d'éliminer les
vilains canards.
Ensuite, nous avons donc en présence deux amplis de technos bien
différentes, réputés tous deux exempts de défauts manifestes, et très
convenables aux mesures.
On écoute, OK, et de toute évidence, la différence saute aux oreilles.
Mondieumondieumondieu... PC aurait-il raison?
Que nenni non point: la différence qu'on a entendu, pour être réelle, ne
vient que du traitement différent des crêtes de niveau.
Modalités (ou absence) d'écrêtage, tout est là. Pour preuve, en premier
lieu, une écoute à très bas niveau: les différences ne se sont-elles pas
très largement estompées?
La contre-expérience est facile à faire: mesurer (sur charge résistive,
ça suffira) le niveau d'entrée max correspondant au coude de la courbe
de distorsion. Ce coude est plus ou moins marqué selon les technos, mais
on peut, arbitrairement, prendre celui où la disto est double de celle
sur 1W (que l'un soit à 0,005% et l'autre à 0,2% n'a aucune importance).
Autrement, pour faire vite, le début de l'écrêtage observé à l'oscillo
sera un repère acceptable.
Ensuite, calibrer le préampli (butée sur le potard!) de façon à ce que
ce niveau ne soit jamais dépassé (disque test à 0 dBFS par exemple) et
bien entendu, égaliser _très soigneusement_ les niveaux des deux amplis.
Et maintenant, passer à l'écoute.
Selon l'enceinte utilisée, et si c'est pas Carla Bruni ou Metallica, ça
risque de ne pas faire un niveau très élevé.
Mais il n'y a plus de différence audible. Plus du tout.
Ce que vous entendiez (dans le cas précis, je l'entendais aussi) c'est
le délicieux effet de compresseur limiteur de la 300B. Point.
Cependant tous les amplis s'entendent. Il n'y a pas que des erreurs de conception.
Ce qui me fait hurler de rire c'est quand j'entends qu'il n'y a pas de différence entre des amplis bien foutu de divers origines. Bin vous prenez un ampli à base de 300B bien foutu, un autre à Hexfet bien foutu et si vous n'entendez pas la différence, c'est que vous êtes sourd comme pot.
Riez, les différences ne sont pas là où vous le croyez.
Une fois évacuées les différences notables à la mesure, du genre anomalies dans la courbe de réponse, distorsion en régime permanent, avec sa variation en fonction de la puissance, ou le rapport S/N s'il est vraiment mauvais, il reste des choses moins faciles à mesurer, comme l'intermodulation transitoire, mais une écoute soigneuse de l'ampli (sans chercher à comparer avec un autre) permettra d'éliminer les vilains canards.
Ensuite, nous avons donc en présence deux amplis de technos bien différentes, réputés tous deux exempts de défauts manifestes, et très convenables aux mesures. On écoute, OK, et de toute évidence, la différence saute aux oreilles.
Mondieumondieumondieu... PC aurait-il raison?
Que nenni non point: la différence qu'on a entendu, pour être réelle, ne vient que du traitement différent des crêtes de niveau. Modalités (ou absence) d'écrêtage, tout est là. Pour preuve, en premier lieu, une écoute à très bas niveau: les différences ne se sont-elles pas très largement estompées?
La contre-expérience est facile à faire: mesurer (sur charge résistive, ça suffira) le niveau d'entrée max correspondant au coude de la courbe de distorsion. Ce coude est plus ou moins marqué selon les technos, mais on peut, arbitrairement, prendre celui où la disto est double de celle sur 1W (que l'un soit à 0,005% et l'autre à 0,2% n'a aucune importance). Autrement, pour faire vite, le début de l'écrêtage observé à l'oscillo sera un repère acceptable. Ensuite, calibrer le préampli (butée sur le potard!) de façon à ce que ce niveau ne soit jamais dépassé (disque test à 0 dBFS par exemple) et bien entendu, égaliser _très soigneusement_ les niveaux des deux amplis. Et maintenant, passer à l'écoute. Selon l'enceinte utilisée, et si c'est pas Carla Bruni ou Metallica, ça risque de ne pas faire un niveau très élevé. Mais il n'y a plus de différence audible. Plus du tout. Ce que vous entendiez (dans le cas précis, je l'entendais aussi) c'est le délicieux effet de compresseur limiteur de la 300B. Point.
JLM
PC
"Yves-Laurent Allaert" a écrit dans le message de news: 45ff93dc$0$29877$
PC wrote: >>> Les schémas de base d'ailleurs sont suffisamment explicites. >> Même ceux d'amplis à tubes? (si on enlève le transfo de sortie,
évidemment)
> > Bin si vous enlevez le transfo de sortie ce n'est plus un ampli...
Donc, si on enlève le transfo de sortie d'un ampli a lampe, il n'amplifie
plus
rien ? Bon, il faut aussi que je retourne à l'école.
Allons, ne faites pas l'enfant, vous savez très bien que c'est inutilisable sans transfo à moins d'utiliser une charge à haute impédance.
PC
"Yves-Laurent Allaert" <allaert@crans.org> a écrit dans le message de news:
45ff93dc$0$29877$426a74cc@news.free.fr...
PC wrote:
>>> Les schémas de base d'ailleurs sont suffisamment explicites.
>> Même ceux d'amplis à tubes? (si on enlève le transfo de sortie,
évidemment)
>
> Bin si vous enlevez le transfo de sortie ce n'est plus un ampli...
Donc, si on enlève le transfo de sortie d'un ampli a lampe, il n'amplifie
plus
rien ? Bon, il faut aussi que je retourne à l'école.
Allons, ne faites pas l'enfant, vous savez très bien que c'est inutilisable
sans transfo à moins d'utiliser une charge à haute impédance.
"Yves-Laurent Allaert" a écrit dans le message de news: 45ff93dc$0$29877$
PC wrote: >>> Les schémas de base d'ailleurs sont suffisamment explicites. >> Même ceux d'amplis à tubes? (si on enlève le transfo de sortie,
évidemment)
> > Bin si vous enlevez le transfo de sortie ce n'est plus un ampli...
Donc, si on enlève le transfo de sortie d'un ampli a lampe, il n'amplifie
plus
rien ? Bon, il faut aussi que je retourne à l'école.
Allons, ne faites pas l'enfant, vous savez très bien que c'est inutilisable sans transfo à moins d'utiliser une charge à haute impédance.
PC
PC
"Jean-Louis Matrat" a écrit dans le message de news: 45ffa5e3$0$27387$
en ce 20/03/2007 06:06, PC nous disait:
> La terminologie est extrêmement importante non? Si vous me demandez un > générateur de courant ou de tension, ce sera pas la même chose.
Une minuscule modification de la topologie de la contre-réaction, c'est tout.
Une paille.
> Pour le reste j'ai répondu dans le message à Yves-Laurent Allaert.
Réponse insuffisante. Vous continuez à faire semblant (j'espère que vous ne faites que semblant) de croire qu'il y aurait contradiction dans la présence d'un étage ampli de courant (le collecteur commun) et le fonctionnement de l'ensemble comme un générateur de tension. Franchement, ça devient lassant. Et pourtant, vous reconnaissez qu'on utilise un AOP comme on veut.
Bizarre.
Fin de ce sujet en ce qui me concerne.
Oui, cela deviens lassant. Depuis 25 ans que je pratique le son c'est la première fois que j'entends parler d'un ampli de puissance en terme de géné de tension. C'est formidable usenet.
Philippe camus
"Jean-Louis Matrat" <jeantiretlouispointmatrat@wanadoo.fr> a écrit dans le
message de news: 45ffa5e3$0$27387$ba4acef3@news.orange.fr...
en ce 20/03/2007 06:06, PC nous disait:
> La terminologie est extrêmement importante non? Si vous me demandez un
> générateur de courant ou de tension, ce sera pas la même chose.
Une minuscule modification de la topologie de la contre-réaction, c'est
tout.
Une paille.
> Pour le reste j'ai répondu dans le message à Yves-Laurent Allaert.
Réponse insuffisante. Vous continuez à faire semblant (j'espère que vous
ne faites que semblant) de croire qu'il y aurait contradiction dans la
présence d'un étage ampli de courant (le collecteur commun) et le
fonctionnement de l'ensemble comme un générateur de tension.
Franchement, ça devient lassant.
Et pourtant, vous reconnaissez qu'on utilise un AOP comme on veut.
Bizarre.
Fin de ce sujet en ce qui me concerne.
Oui, cela deviens lassant. Depuis 25 ans que je pratique le son c'est la
première fois que j'entends parler d'un ampli de puissance en terme de géné
de tension. C'est formidable usenet.
"Jean-Louis Matrat" a écrit dans le message de news: 45ffa5e3$0$27387$
en ce 20/03/2007 06:06, PC nous disait:
> La terminologie est extrêmement importante non? Si vous me demandez un > générateur de courant ou de tension, ce sera pas la même chose.
Une minuscule modification de la topologie de la contre-réaction, c'est tout.
Une paille.
> Pour le reste j'ai répondu dans le message à Yves-Laurent Allaert.
Réponse insuffisante. Vous continuez à faire semblant (j'espère que vous ne faites que semblant) de croire qu'il y aurait contradiction dans la présence d'un étage ampli de courant (le collecteur commun) et le fonctionnement de l'ensemble comme un générateur de tension. Franchement, ça devient lassant. Et pourtant, vous reconnaissez qu'on utilise un AOP comme on veut.
Bizarre.
Fin de ce sujet en ce qui me concerne.
Oui, cela deviens lassant. Depuis 25 ans que je pratique le son c'est la première fois que j'entends parler d'un ampli de puissance en terme de géné de tension. C'est formidable usenet.
Philippe camus
PC
"Jean-Louis Matrat" a écrit dans le message de news: 45ffaf49$0$25929$
en ce 20/03/2007 06:06, PC nous disait:
> Cependant tous les amplis s'entendent. Il > n'y a pas que des erreurs de conception.
> Ce qui me fait hurler de rire c'est quand j'entends qu'il n'y a pas de > différence entre des amplis bien foutu de divers origines. Bin vous
prenez
> un ampli à base de 300B bien foutu, un autre à Hexfet bien foutu et si
vous
> n'entendez pas la différence, c'est que vous êtes sourd comme pot.
Riez, les différences ne sont pas là où vous le croyez.
Une fois évacuées les différences notables à la mesure, du genre anomalies dans la courbe de réponse, distorsion en régime permanent, avec sa variation en fonction de la puissance, ou le rapport S/N s'il est vraiment mauvais, il reste des choses moins faciles à mesurer, comme l'intermodulation transitoire, mais une écoute soigneuse de l'ampli (sans chercher à comparer avec un autre) permettra d'éliminer les vilains canards.
Ensuite, nous avons donc en présence deux amplis de technos bien différentes, réputés tous deux exempts de défauts manifestes, et très convenables aux mesures. On écoute, OK, et de toute évidence, la différence saute aux oreilles.
Mondieumondieumondieu... PC aurait-il raison?
Que nenni non point: la différence qu'on a entendu, pour être réelle, ne vient que du traitement différent des crêtes de niveau. Modalités (ou absence) d'écrêtage, tout est là. Pour preuve, en premier lieu, une écoute à très bas niveau: les différences ne se sont-elles pas très largement estompées?
La contre-expérience est facile à faire: mesurer (sur charge résistive, ça suffira) le niveau d'entrée max correspondant au coude de la courbe de distorsion. Ce coude est plus ou moins marqué selon les technos, mais on peut, arbitrairement, prendre celui où la disto est double de celle sur 1W (que l'un soit à 0,005% et l'autre à 0,2% n'a aucune importance). Autrement, pour faire vite, le début de l'écrêtage observé à l'oscillo sera un repère acceptable. Ensuite, calibrer le préampli (butée sur le potard!) de façon à ce que ce niveau ne soit jamais dépassé (disque test à 0 dBFS par exemple) et bien entendu, égaliser _très soigneusement_ les niveaux des deux amplis. Et maintenant, passer à l'écoute. Selon l'enceinte utilisée, et si c'est pas Carla Bruni ou Metallica, ça risque de ne pas faire un niveau très élevé. Mais il n'y a plus de différence audible. Plus du tout. Ce que vous entendiez (dans le cas précis, je l'entendais aussi) c'est le délicieux effet de compresseur limiteur de la 300B. Point.
JLM
Donc vous êtes tout à fait capables de faire la différence entre un Hexfet (au hasard) bien foutu et un 300B bien foutu. Pfiuuu, vous m'avez fait peur :-))) L'essentiel est passé. Je ne suis pas d'accord avec la totalité de votre analyse mais quand aux raisons techniques qui expliquent ces différences, mais passons. C'est déjà beau.
Philippe camus
Philippe camus
"Jean-Louis Matrat" <jeantiretlouispointmatrat@wanadoo.fr> a écrit dans le
message de news: 45ffaf49$0$25929$ba4acef3@news.orange.fr...
en ce 20/03/2007 06:06, PC nous disait:
> Cependant tous les amplis s'entendent. Il
> n'y a pas que des erreurs de conception.
> Ce qui me fait hurler de rire c'est quand j'entends qu'il n'y a pas de
> différence entre des amplis bien foutu de divers origines. Bin vous
prenez
> un ampli à base de 300B bien foutu, un autre à Hexfet bien foutu et si
vous
> n'entendez pas la différence, c'est que vous êtes sourd comme pot.
Riez, les différences ne sont pas là où vous le croyez.
Une fois évacuées les différences notables à la mesure, du genre
anomalies dans la courbe de réponse, distorsion en régime permanent,
avec sa variation en fonction de la puissance, ou le rapport S/N s'il
est vraiment mauvais, il reste des choses moins faciles à mesurer, comme
l'intermodulation transitoire, mais une écoute soigneuse de l'ampli
(sans chercher à comparer avec un autre) permettra d'éliminer les
vilains canards.
Ensuite, nous avons donc en présence deux amplis de technos bien
différentes, réputés tous deux exempts de défauts manifestes, et très
convenables aux mesures.
On écoute, OK, et de toute évidence, la différence saute aux oreilles.
Mondieumondieumondieu... PC aurait-il raison?
Que nenni non point: la différence qu'on a entendu, pour être réelle, ne
vient que du traitement différent des crêtes de niveau.
Modalités (ou absence) d'écrêtage, tout est là. Pour preuve, en premier
lieu, une écoute à très bas niveau: les différences ne se sont-elles pas
très largement estompées?
La contre-expérience est facile à faire: mesurer (sur charge résistive,
ça suffira) le niveau d'entrée max correspondant au coude de la courbe
de distorsion. Ce coude est plus ou moins marqué selon les technos, mais
on peut, arbitrairement, prendre celui où la disto est double de celle
sur 1W (que l'un soit à 0,005% et l'autre à 0,2% n'a aucune importance).
Autrement, pour faire vite, le début de l'écrêtage observé à l'oscillo
sera un repère acceptable.
Ensuite, calibrer le préampli (butée sur le potard!) de façon à ce que
ce niveau ne soit jamais dépassé (disque test à 0 dBFS par exemple) et
bien entendu, égaliser _très soigneusement_ les niveaux des deux amplis.
Et maintenant, passer à l'écoute.
Selon l'enceinte utilisée, et si c'est pas Carla Bruni ou Metallica, ça
risque de ne pas faire un niveau très élevé.
Mais il n'y a plus de différence audible. Plus du tout.
Ce que vous entendiez (dans le cas précis, je l'entendais aussi) c'est
le délicieux effet de compresseur limiteur de la 300B. Point.
JLM
Donc vous êtes tout à fait capables de faire la différence entre un Hexfet
(au hasard) bien foutu et un 300B bien foutu. Pfiuuu, vous m'avez fait peur
:-)))
L'essentiel est passé.
Je ne suis pas d'accord avec la totalité de votre analyse mais quand aux
raisons techniques qui expliquent ces différences, mais passons. C'est déjà
beau.
"Jean-Louis Matrat" a écrit dans le message de news: 45ffaf49$0$25929$
en ce 20/03/2007 06:06, PC nous disait:
> Cependant tous les amplis s'entendent. Il > n'y a pas que des erreurs de conception.
> Ce qui me fait hurler de rire c'est quand j'entends qu'il n'y a pas de > différence entre des amplis bien foutu de divers origines. Bin vous
prenez
> un ampli à base de 300B bien foutu, un autre à Hexfet bien foutu et si
vous
> n'entendez pas la différence, c'est que vous êtes sourd comme pot.
Riez, les différences ne sont pas là où vous le croyez.
Une fois évacuées les différences notables à la mesure, du genre anomalies dans la courbe de réponse, distorsion en régime permanent, avec sa variation en fonction de la puissance, ou le rapport S/N s'il est vraiment mauvais, il reste des choses moins faciles à mesurer, comme l'intermodulation transitoire, mais une écoute soigneuse de l'ampli (sans chercher à comparer avec un autre) permettra d'éliminer les vilains canards.
Ensuite, nous avons donc en présence deux amplis de technos bien différentes, réputés tous deux exempts de défauts manifestes, et très convenables aux mesures. On écoute, OK, et de toute évidence, la différence saute aux oreilles.
Mondieumondieumondieu... PC aurait-il raison?
Que nenni non point: la différence qu'on a entendu, pour être réelle, ne vient que du traitement différent des crêtes de niveau. Modalités (ou absence) d'écrêtage, tout est là. Pour preuve, en premier lieu, une écoute à très bas niveau: les différences ne se sont-elles pas très largement estompées?
La contre-expérience est facile à faire: mesurer (sur charge résistive, ça suffira) le niveau d'entrée max correspondant au coude de la courbe de distorsion. Ce coude est plus ou moins marqué selon les technos, mais on peut, arbitrairement, prendre celui où la disto est double de celle sur 1W (que l'un soit à 0,005% et l'autre à 0,2% n'a aucune importance). Autrement, pour faire vite, le début de l'écrêtage observé à l'oscillo sera un repère acceptable. Ensuite, calibrer le préampli (butée sur le potard!) de façon à ce que ce niveau ne soit jamais dépassé (disque test à 0 dBFS par exemple) et bien entendu, égaliser _très soigneusement_ les niveaux des deux amplis. Et maintenant, passer à l'écoute. Selon l'enceinte utilisée, et si c'est pas Carla Bruni ou Metallica, ça risque de ne pas faire un niveau très élevé. Mais il n'y a plus de différence audible. Plus du tout. Ce que vous entendiez (dans le cas précis, je l'entendais aussi) c'est le délicieux effet de compresseur limiteur de la 300B. Point.
JLM
Donc vous êtes tout à fait capables de faire la différence entre un Hexfet (au hasard) bien foutu et un 300B bien foutu. Pfiuuu, vous m'avez fait peur :-))) L'essentiel est passé. Je ne suis pas d'accord avec la totalité de votre analyse mais quand aux raisons techniques qui expliquent ces différences, mais passons. C'est déjà beau.
Philippe camus
Philippe camus
PC
"Yves-Laurent Allaert" a écrit dans le message de news: 45ff92de$0$29863$
PC wrote: > Ah ouais... D'une part on utilise les AOP comme on veut,
merci
> http://cjoint.com/?duffeT3RUs
Oui, et ?
>> Sinon, juste en passant, si les ampli-hi-fi étaient de vrais amplis de >> courant, je ne donne pas cher de la peau de votre ampli si vous ne >> branchez pas les enceintes... > > Bin vous passez mal...
Vous voulez dire que le courant de sortie de votre ampli dépend de la
charge
alors que la tension de sortie reste la même ? C'est marrant, c'est la définition d'un générateur de tension qui est l'inverse de celle d'un générateur de courant
Je n'ai jamais dit cela, relisez. Je veux bien vous concéder qu'un ampli de puissance ne réponde pas aux critères théoriques purs et durs d'un générateur de courant, mais nous sommes encore plus loin du géné de tension. J'ai sous la main un audio handbook de national semiconductor. Au chapitre ampli de puissance ils expliquent comment ils ont fabriqué leurs CI. C'est bizarre ils parlent eux aussi de géné de courant. Sont fous ces ingés.
Philippe Camus
"Yves-Laurent Allaert" <allaert@crans.org> a écrit dans le message de news:
45ff92de$0$29863$426a74cc@news.free.fr...
PC wrote:
> Ah ouais... D'une part on utilise les AOP comme on veut,
merci
> http://cjoint.com/?duffeT3RUs
Oui, et ?
>> Sinon, juste en passant, si les ampli-hi-fi étaient de vrais amplis de
>> courant, je ne donne pas cher de la peau de votre ampli si vous ne
>> branchez pas les enceintes...
>
> Bin vous passez mal...
Vous voulez dire que le courant de sortie de votre ampli dépend de la
charge
alors que la tension de sortie reste la même ? C'est marrant, c'est la
définition d'un générateur de tension qui est l'inverse de celle d'un
générateur de courant
Je n'ai jamais dit cela, relisez. Je veux bien vous concéder qu'un ampli de
puissance ne réponde pas aux critères théoriques purs et durs d'un
générateur de courant, mais nous sommes encore plus loin du géné de tension.
J'ai sous la main un audio handbook de national semiconductor. Au chapitre
ampli de puissance ils expliquent comment ils ont fabriqué leurs CI. C'est
bizarre ils parlent eux aussi de géné de courant. Sont fous ces ingés.
"Yves-Laurent Allaert" a écrit dans le message de news: 45ff92de$0$29863$
PC wrote: > Ah ouais... D'une part on utilise les AOP comme on veut,
merci
> http://cjoint.com/?duffeT3RUs
Oui, et ?
>> Sinon, juste en passant, si les ampli-hi-fi étaient de vrais amplis de >> courant, je ne donne pas cher de la peau de votre ampli si vous ne >> branchez pas les enceintes... > > Bin vous passez mal...
Vous voulez dire que le courant de sortie de votre ampli dépend de la
charge
alors que la tension de sortie reste la même ? C'est marrant, c'est la définition d'un générateur de tension qui est l'inverse de celle d'un générateur de courant
Je n'ai jamais dit cela, relisez. Je veux bien vous concéder qu'un ampli de puissance ne réponde pas aux critères théoriques purs et durs d'un générateur de courant, mais nous sommes encore plus loin du géné de tension. J'ai sous la main un audio handbook de national semiconductor. Au chapitre ampli de puissance ils expliquent comment ils ont fabriqué leurs CI. C'est bizarre ils parlent eux aussi de géné de courant. Sont fous ces ingés.
Philippe Camus
Pierre Maurette
PC, le 20/03/2007 a écrit : [...]
Même les schémas équivalents basés sur les représentations Thévenin/Norton sont les mêmes.
Si vous réfléchissiez deux secondes - en ayant les moyens de - vous remarqueriez que Thévenin et Norton ne sont que des développement mathématiques basiques sur des hypothèses "à priori", et qu'il n'y a donc aucune raison que ça change.
Par contre professionellement je trouve le niveau des gamins qui sortent de BTS extrêmement bas. La qualité de l'enseignement laisse à désirer.
Il ne vous est pas venu à l'esprit que le contenu avait considérablement augmenté, et que ce qui était la base alors est aujourd'hui devenu une spécialisation ?
C'est peut-être la raison pour laquelle on lit autant de conneries sur usenet...
Vous êtes trop modeste. Vous oubliez votre contribution active à cette déliquescence.
-- Pierre Maurette
PC, le 20/03/2007 a écrit :
[...]
Même les schémas équivalents basés sur les représentations Thévenin/Norton
sont les mêmes.
Si vous réfléchissiez deux secondes - en ayant les moyens de - vous
remarqueriez que Thévenin et Norton ne sont que des développement
mathématiques basiques sur des hypothèses "à priori", et qu'il n'y a
donc aucune raison que ça change.
Par contre professionellement je trouve le niveau des gamins qui sortent de
BTS extrêmement bas. La qualité de l'enseignement laisse à désirer.
Il ne vous est pas venu à l'esprit que le contenu avait
considérablement augmenté, et que ce qui était la base alors est
aujourd'hui devenu une spécialisation ?
C'est peut-être la raison pour laquelle on lit autant de conneries sur
usenet...
Vous êtes trop modeste. Vous oubliez votre contribution active à cette
déliquescence.
Même les schémas équivalents basés sur les représentations Thévenin/Norton sont les mêmes.
Si vous réfléchissiez deux secondes - en ayant les moyens de - vous remarqueriez que Thévenin et Norton ne sont que des développement mathématiques basiques sur des hypothèses "à priori", et qu'il n'y a donc aucune raison que ça change.
Par contre professionellement je trouve le niveau des gamins qui sortent de BTS extrêmement bas. La qualité de l'enseignement laisse à désirer.
Il ne vous est pas venu à l'esprit que le contenu avait considérablement augmenté, et que ce qui était la base alors est aujourd'hui devenu une spécialisation ?
C'est peut-être la raison pour laquelle on lit autant de conneries sur usenet...
Vous êtes trop modeste. Vous oubliez votre contribution active à cette déliquescence.
-- Pierre Maurette
PC
"Pierre Maurette" a écrit dans le message de news:
PC, le 20/03/2007 a écrit : [...] > Même les schémas équivalents basés sur les représentations
Thévenin/Norton
> sont les mêmes.
Si vous réfléchissiez deux secondes - en ayant les moyens de - vous remarqueriez que Thévenin et Norton ne sont que des développement mathématiques basiques sur des hypothèses "à priori", et qu'il n'y a donc aucune raison que ça change.
Voilà quelqu'un qui lit mal. J'ai parlé des représentations. Celle-ci peuvent changer.
> Par contre professionellement je trouve le niveau des gamins qui sortent
de
> BTS extrêmement bas. La qualité de l'enseignement laisse à désirer.
Il ne vous est pas venu à l'esprit que le contenu avait considérablement augmenté, et que ce qui était la base alors est aujourd'hui devenu une spécialisation ?
Les bases de l'électronique ne sont pas une spécialisation pour des gamins qui font un BTS d'électronique.
> C'est peut-être la raison pour laquelle on lit autant de conneries sur > usenet...
Vous êtes trop modeste. Vous oubliez votre contribution active à cette déliquescence.
Tout cela est gratuit. Vous vous sentiez visé?
Philippe camus
"Pierre Maurette" <maurettepierre@wanadoo.fr> a écrit dans le message de
news: mn.a4187d73407f89f0.31483@laposte.net...
PC, le 20/03/2007 a écrit :
[...]
> Même les schémas équivalents basés sur les représentations
Thévenin/Norton
> sont les mêmes.
Si vous réfléchissiez deux secondes - en ayant les moyens de - vous
remarqueriez que Thévenin et Norton ne sont que des développement
mathématiques basiques sur des hypothèses "à priori", et qu'il n'y a
donc aucune raison que ça change.
Voilà quelqu'un qui lit mal. J'ai parlé des représentations. Celle-ci
peuvent changer.
> Par contre professionellement je trouve le niveau des gamins qui sortent
de
> BTS extrêmement bas. La qualité de l'enseignement laisse à désirer.
Il ne vous est pas venu à l'esprit que le contenu avait
considérablement augmenté, et que ce qui était la base alors est
aujourd'hui devenu une spécialisation ?
Les bases de l'électronique ne sont pas une spécialisation pour des gamins
qui font un BTS d'électronique.
> C'est peut-être la raison pour laquelle on lit autant de conneries sur
> usenet...
Vous êtes trop modeste. Vous oubliez votre contribution active à cette
déliquescence.
"Pierre Maurette" a écrit dans le message de news:
PC, le 20/03/2007 a écrit : [...] > Même les schémas équivalents basés sur les représentations
Thévenin/Norton
> sont les mêmes.
Si vous réfléchissiez deux secondes - en ayant les moyens de - vous remarqueriez que Thévenin et Norton ne sont que des développement mathématiques basiques sur des hypothèses "à priori", et qu'il n'y a donc aucune raison que ça change.
Voilà quelqu'un qui lit mal. J'ai parlé des représentations. Celle-ci peuvent changer.
> Par contre professionellement je trouve le niveau des gamins qui sortent
de
> BTS extrêmement bas. La qualité de l'enseignement laisse à désirer.
Il ne vous est pas venu à l'esprit que le contenu avait considérablement augmenté, et que ce qui était la base alors est aujourd'hui devenu une spécialisation ?
Les bases de l'électronique ne sont pas une spécialisation pour des gamins qui font un BTS d'électronique.
> C'est peut-être la raison pour laquelle on lit autant de conneries sur > usenet...
Vous êtes trop modeste. Vous oubliez votre contribution active à cette déliquescence.