[Pyrénées] - Diaporama en vidéo - métier de berger
101 réponses
Stephan Peccini
Bonsoir
J'ai essay=C3=A9 de raconter une histoire =C3=A0 partir de mes photos des e=
stives de 2015 sur la beaut=C3=A9 et la difficult=C3=A9 du m=C3=A9tier de b=
erger.
On s'en fout comment c'est apparu, ce qui compte c'est ce qu'on en fait.
on s'en fout pas c'est essentiel. si en 2017 à Paris, tu croise un type qui coupe sa viande avec un silex taillé, tu en penses quoi ?
Tu n'en sais rien du tout. L'image fixe correspond peut-être tout simplement mieux à la façon dont il ressent les choses.
tu sais quoi, il suffit de ne pas bouger une caméra pour avoir une image fixe.
Et de la même façon que la lecture, une image fixe -même une succession d'imagines fixes- laisse plus de place à l'imagination du spectateur qu'une video.
ok, dans le soft de montage, clic droit sur la video et speed réglé à zéro.
On s'en fout comment c'est apparu, ce qui compte c'est ce qu'on en fait.
on s'en fout pas c'est essentiel.
si en 2017 à Paris, tu croise un type qui coupe sa viande avec un silex
taillé, tu en penses quoi ?
Tu n'en sais rien du tout. L'image fixe correspond peut-être tout
simplement mieux à la façon dont il ressent les choses.
tu sais quoi, il suffit de ne pas bouger une caméra pour avoir une image
fixe.
Et de la même façon que la lecture, une image fixe -même une succession
d'imagines fixes- laisse plus de place à l'imagination du spectateur
qu'une video.
ok, dans le soft de montage, clic droit sur la video et speed
réglé à zéro.
On s'en fout comment c'est apparu, ce qui compte c'est ce qu'on en fait.
on s'en fout pas c'est essentiel. si en 2017 à Paris, tu croise un type qui coupe sa viande avec un silex taillé, tu en penses quoi ?
Tu n'en sais rien du tout. L'image fixe correspond peut-être tout simplement mieux à la façon dont il ressent les choses.
tu sais quoi, il suffit de ne pas bouger une caméra pour avoir une image fixe.
Et de la même façon que la lecture, une image fixe -même une succession d'imagines fixes- laisse plus de place à l'imagination du spectateur qu'une video.
ok, dans le soft de montage, clic droit sur la video et speed réglé à zéro.
Les défauts techniques de l'époque n'ont aucune importance, on est pris. A l'époque, des critiques ont déclaré que le cinéma, c'était 24 images par seconde et non une image toutes les 24 secondes, mais justement, c'est ce qui transforme cette histoire en chef d'oeuvre.
si ça tremble, il y a bel et bien 24 images/s. idem s'il y a une transition autre que cut...
Le 18/01/2017 20:48, GhostRaider a écrit :
Les défauts techniques de l'époque n'ont aucune importance, on est pris.
A l'époque, des critiques ont déclaré que le cinéma, c'était 24 images
par seconde et non une image toutes les 24 secondes, mais justement,
c'est ce qui transforme cette histoire en chef d'oeuvre.
Les défauts techniques de l'époque n'ont aucune importance, on est pris. A l'époque, des critiques ont déclaré que le cinéma, c'était 24 images par seconde et non une image toutes les 24 secondes, mais justement, c'est ce qui transforme cette histoire en chef d'oeuvre.
si ça tremble, il y a bel et bien 24 images/s. idem s'il y a une transition autre que cut...
Le mercredi 18 janvier 2017 14:49:38 UTC-5, GhostRaider a écrit :
Le 17/01/2017 à 23:13, René a écrit :
Le lundi 16 janvier 2017 10:39:48 UTC-5, GhostRaider a écrit :
Avant de chercher à raconter une histoire, il faut déjà avoir une histoire.
Tu mets le doigt sur le coeur du problème: en effet ce qui fait cruellement défaut à ce genre est l'absence de scénario. J'ai une série de photos, pourquoi ne pas les présenter en animation. Alors il faut étirer lentement la sauce par manque de matériel, simplifier ce qui l'est déjà par manque de continuité dans la suite des images, ajouter une musique atroce car peu sont compositeur et que l'emprunt est impossible, pour justifier la lenteur on fait dans le symbolique et le mystique, l'absence de contenu est remplacé par la suite des effets offerts en extra dans le logiciel. Ne pas publier les atroces génériques en caractères de fantaisie Mais il y a d'heureuses exceptions...
Voir "La jetée" de Chris Marker. https://vimeo.com/138951063
Oui, je l'ai vu vers 1967. C'est un "film" fait d'images fixes, avec une histoire, un scénario. Il y a des successions assez rapide d'images de la même scène fixe (ex: un visage) prises avec un léger déplacement ce qui suggèrent un mouvement. Marker ne s'appesantit pas sur des effets lents de caméra, zoom, traveling... C'est la trame parlée qui mène le bal.
Je ne sais pas si c'est bien le cas. J'aurais plutôt tendance à invoquer un tremblement "technique". Il y a un vrai scenario avec une chute qui surprend, qui remet tout en cause dans la dernière seconde et qui ouvre un abîme sous nos pieds : le paradoxe temporel. Aucun trucage, des accessoires bricolés, mais un scenario en béton et un récitant qui sait réciter. C'est une leçon de cinéma, ce film n'a pas pris une ride en 50 ans.
Le 19/01/2017 à 03:58, René a écrit :
Le mercredi 18 janvier 2017 14:49:38 UTC-5, GhostRaider a écrit :
Le 17/01/2017 à 23:13, René a écrit :
Le lundi 16 janvier 2017 10:39:48 UTC-5, GhostRaider a écrit :
Avant de chercher à raconter une histoire, il faut déjà avoir une histoire.
Tu mets le doigt sur le coeur du problème: en effet ce qui fait cruellement défaut à ce genre est l'absence de scénario. J'ai une série de photos, pourquoi ne pas les présenter en animation. Alors il faut étirer lentement la sauce par manque de matériel, simplifier ce qui l'est déjà par manque de continuité dans la suite des images, ajouter une musique atroce car peu sont compositeur et que l'emprunt est impossible, pour justifier la lenteur on fait dans le symbolique et le mystique, l'absence de contenu est remplacé par la suite des effets offerts en extra dans le logiciel.
Ne pas publier les atroces génériques en caractères de fantaisie
Mais il y a d'heureuses exceptions...
Voir "La jetée" de Chris Marker.
https://vimeo.com/138951063
Oui, je l'ai vu vers 1967. C'est un "film" fait d'images fixes, avec une histoire, un scénario. Il y a des successions assez rapide d'images de la même scène fixe (ex: un visage) prises avec un léger déplacement ce qui suggèrent un mouvement. Marker ne s'appesantit pas sur des effets lents de caméra, zoom, traveling... C'est la trame parlée qui mène le bal.
Je ne sais pas si c'est bien le cas. J'aurais plutôt tendance à invoquer
un tremblement "technique".
Il y a un vrai scenario avec une chute qui surprend, qui remet tout en
cause dans la dernière seconde et qui ouvre un abîme sous nos pieds : le
paradoxe temporel.
Aucun trucage, des accessoires bricolés, mais un scenario en béton et un
récitant qui sait réciter.
C'est une leçon de cinéma, ce film n'a pas pris une ride en 50 ans.
Le mercredi 18 janvier 2017 14:49:38 UTC-5, GhostRaider a écrit :
Le 17/01/2017 à 23:13, René a écrit :
Le lundi 16 janvier 2017 10:39:48 UTC-5, GhostRaider a écrit :
Avant de chercher à raconter une histoire, il faut déjà avoir une histoire.
Tu mets le doigt sur le coeur du problème: en effet ce qui fait cruellement défaut à ce genre est l'absence de scénario. J'ai une série de photos, pourquoi ne pas les présenter en animation. Alors il faut étirer lentement la sauce par manque de matériel, simplifier ce qui l'est déjà par manque de continuité dans la suite des images, ajouter une musique atroce car peu sont compositeur et que l'emprunt est impossible, pour justifier la lenteur on fait dans le symbolique et le mystique, l'absence de contenu est remplacé par la suite des effets offerts en extra dans le logiciel. Ne pas publier les atroces génériques en caractères de fantaisie Mais il y a d'heureuses exceptions...
Voir "La jetée" de Chris Marker. https://vimeo.com/138951063
Oui, je l'ai vu vers 1967. C'est un "film" fait d'images fixes, avec une histoire, un scénario. Il y a des successions assez rapide d'images de la même scène fixe (ex: un visage) prises avec un léger déplacement ce qui suggèrent un mouvement. Marker ne s'appesantit pas sur des effets lents de caméra, zoom, traveling... C'est la trame parlée qui mène le bal.
Je ne sais pas si c'est bien le cas. J'aurais plutôt tendance à invoquer un tremblement "technique". Il y a un vrai scenario avec une chute qui surprend, qui remet tout en cause dans la dernière seconde et qui ouvre un abîme sous nos pieds : le paradoxe temporel. Aucun trucage, des accessoires bricolés, mais un scenario en béton et un récitant qui sait réciter. C'est une leçon de cinéma, ce film n'a pas pris une ride en 50 ans.
Charles Vassallo
GhostRaider a écrit :
Le 16/01/2017 à 22:19, Charles Vassallo a écrit :
GhostRaider a écrit :
Oui, et on peut faire des chefs-d'oeuvre de cinéma avec des images fixes. Voir "La jeté" de Chris Marker, que tu connais sans doute. http://litterature2point0.blogspot.fr/2010/12/la-jetee-de-chris-marker-vertiges-du_4876.html
J'en avais entendu parler, mais je n'avais jamais vu. Ton lien ne fonctionnant pas, j'en ai trouvé un autre https://vimeo.com/138951063 Excellent diaporama. Quelques faiblesses vénielles ou des options discutables, mais on est emporté par la puissance de l'histoire. Ça tremblote tout de même beaucoup ; je ne sais pas si c'est inhérent au film ou au processus de capture vidéo (ça date tout de même de 1962)
Oui, tout est dans l'histoire et dans sa chute. Les défauts techniques de l'époque n'ont aucune importance, on est pris. A l'époque, des critiques ont déclaré que le cinéma, c'était 24 images par seconde et non une image toutes les 24 secondes, mais justement, c'est ce qui transforme cette histoire en chef d'oeuvre.
Les critiques n'avaient pas tout à fait tort. Les scènes de mouvement en images directes -- c.à.d. une succession d'instantanés de ce mouvement -- font partie du domaine casse-gueule en diaporama. On parle de faux cinéma et hop ! poubelle. Ce n'est cependant pas si simple que ça. J'ai vu des montages où ce procédé était d'une naïveté insupportable, et d'autres où, mystérieusement, on se prend à suivre l'histoire. Ça dépend beaucoup de la nature des images et du son. Ça dépend aussi de la culture et de l'entrainement du spectateur. Le diaporama se déroule sur deux plans, images et sons, forcément désynchronisés ; on ne raconte pas forcément la même chose sur les deux plans mais on demande au spectateur de bien suivre ce qui se passe sur ces deux plans et de continuellement faire la liaison : c'est fatigant. Par ailleurs, comme ce n'est pas une activité franchement naturelle, il s'introduit forcément des conventions d'écriture plus ou moins naturelles, qui peuvent changer la perception du montage selon qu'on les connaît ou non. Dans le film de Chris Marker, il me semble que le faux cinéma est parfois bien proche, et parfois pas du tout, bien qu'on soit toujours dans des séquences en cut, mais je ne l'ai vu qu'une fois. Un point marrant, j'ai trouvé un long article sur la carrière de Chris Marker http://www.cineclubdecaen.com/realisat/marker/marker.htm avec un petit résumé de "La jetée". Eh bien, ce n'est pas vraiment ce que j'avais retenu du montage... charles
GhostRaider a écrit :
Le 16/01/2017 à 22:19, Charles Vassallo a écrit :
GhostRaider a écrit :
Oui, et on peut faire des chefs-d'oeuvre de cinéma avec des images
fixes.
Voir "La jeté" de Chris Marker, que tu connais sans doute.
http://litterature2point0.blogspot.fr/2010/12/la-jetee-de-chris-marker-vertiges-du_4876.html
J'en avais entendu parler, mais je n'avais jamais vu. Ton lien ne
fonctionnant pas, j'en ai trouvé un autre
https://vimeo.com/138951063
Excellent diaporama. Quelques faiblesses vénielles ou des options
discutables, mais on est emporté par la puissance de l'histoire. Ça
tremblote tout de même beaucoup ; je ne sais pas si c'est inhérent au
film ou au processus de capture vidéo (ça date tout de même de 1962)
Oui, tout est dans l'histoire et dans sa chute.
Les défauts techniques de l'époque n'ont aucune importance, on est pris.
A l'époque, des critiques ont déclaré que le cinéma, c'était 24 images
par seconde et non une image toutes les 24 secondes, mais justement,
c'est ce qui transforme cette histoire en chef d'oeuvre.
Les critiques n'avaient pas tout à fait tort. Les scènes de mouvement en
images directes -- c.à.d. une succession d'instantanés de ce mouvement
-- font partie du domaine casse-gueule en diaporama. On parle de faux
cinéma et hop ! poubelle. Ce n'est cependant pas si simple que ça. J'ai
vu des montages où ce procédé était d'une naïveté insupportable, et
d'autres où, mystérieusement, on se prend à suivre l'histoire. Ça dépend
beaucoup de la nature des images et du son.
Ça dépend aussi de la culture et de l'entrainement du spectateur. Le
diaporama se déroule sur deux plans, images et sons, forcément
désynchronisés ; on ne raconte pas forcément la même chose sur les deux
plans mais on demande au spectateur de bien suivre ce qui se passe sur
ces deux plans et de continuellement faire la liaison : c'est fatigant.
Par ailleurs, comme ce n'est pas une activité franchement naturelle, il
s'introduit forcément des conventions d'écriture plus ou moins
naturelles, qui peuvent changer la perception du montage selon qu'on les
connaît ou non.
Dans le film de Chris Marker, il me semble que le faux cinéma est
parfois bien proche, et parfois pas du tout, bien qu'on soit toujours
dans des séquences en cut, mais je ne l'ai vu qu'une fois. Un point
marrant, j'ai trouvé un long article sur la carrière de Chris Marker
http://www.cineclubdecaen.com/realisat/marker/marker.htm avec un petit
résumé de "La jetée". Eh bien, ce n'est pas vraiment ce que j'avais
retenu du montage...
Oui, et on peut faire des chefs-d'oeuvre de cinéma avec des images fixes. Voir "La jeté" de Chris Marker, que tu connais sans doute. http://litterature2point0.blogspot.fr/2010/12/la-jetee-de-chris-marker-vertiges-du_4876.html
J'en avais entendu parler, mais je n'avais jamais vu. Ton lien ne fonctionnant pas, j'en ai trouvé un autre https://vimeo.com/138951063 Excellent diaporama. Quelques faiblesses vénielles ou des options discutables, mais on est emporté par la puissance de l'histoire. Ça tremblote tout de même beaucoup ; je ne sais pas si c'est inhérent au film ou au processus de capture vidéo (ça date tout de même de 1962)
Oui, tout est dans l'histoire et dans sa chute. Les défauts techniques de l'époque n'ont aucune importance, on est pris. A l'époque, des critiques ont déclaré que le cinéma, c'était 24 images par seconde et non une image toutes les 24 secondes, mais justement, c'est ce qui transforme cette histoire en chef d'oeuvre.
Les critiques n'avaient pas tout à fait tort. Les scènes de mouvement en images directes -- c.à.d. une succession d'instantanés de ce mouvement -- font partie du domaine casse-gueule en diaporama. On parle de faux cinéma et hop ! poubelle. Ce n'est cependant pas si simple que ça. J'ai vu des montages où ce procédé était d'une naïveté insupportable, et d'autres où, mystérieusement, on se prend à suivre l'histoire. Ça dépend beaucoup de la nature des images et du son. Ça dépend aussi de la culture et de l'entrainement du spectateur. Le diaporama se déroule sur deux plans, images et sons, forcément désynchronisés ; on ne raconte pas forcément la même chose sur les deux plans mais on demande au spectateur de bien suivre ce qui se passe sur ces deux plans et de continuellement faire la liaison : c'est fatigant. Par ailleurs, comme ce n'est pas une activité franchement naturelle, il s'introduit forcément des conventions d'écriture plus ou moins naturelles, qui peuvent changer la perception du montage selon qu'on les connaît ou non. Dans le film de Chris Marker, il me semble que le faux cinéma est parfois bien proche, et parfois pas du tout, bien qu'on soit toujours dans des séquences en cut, mais je ne l'ai vu qu'une fois. Un point marrant, j'ai trouvé un long article sur la carrière de Chris Marker http://www.cineclubdecaen.com/realisat/marker/marker.htm avec un petit résumé de "La jetée". Eh bien, ce n'est pas vraiment ce que j'avais retenu du montage... charles
man-d
Le 2017-01-14 à 13:43, Stephan Peccini a écrit :
Bonsoir J'ai essayé de raconter une histoire à partir de mes photos des estives de 2015 sur la beauté et la difficulté du métier de berger. https://www.youtube.com/watch?v=-WFC89EbXmU Qu'en pensez-vous ?
Ces séries photos de montagnes que tu nous présentais régulièrement depuis plusieurs années maintenant manquaient de contexte malgré le fait que tu y étais avec ton équipement et ton matériel photo sur le dos. J'ai l'impression d'avoir perçu ces séries comme la représentation de lieux inaccessibles et immuables, des natures mortes. Pour ta production récente, tu cadres également des humains, des animaux et des activités. C'est un virage. Ce sont encore des photos de montagnes mais je peux me raccrocher à quelque chose et ces montagnes se sont embellies. Les photos sont magnifiques et le diaporama est le plus intéressant jusqu'à présent avec beaucoup de points pris en compte suite aux commentaires et ça marche je trouve. Dans les commentaires justement et il me semble que c'est Charles qui a mentionné le son, je crois que j'aurais bien aimé l'entendre ce troupeau et son berger. Merci. -- man-d
Le 2017-01-14 à 13:43, Stephan Peccini a écrit :
Bonsoir
J'ai essayé de raconter une histoire à partir de mes photos des estives de 2015 sur la beauté et la difficulté du métier de berger.
https://www.youtube.com/watch?v=-WFC89EbXmU
Qu'en pensez-vous ?
Ces séries photos de montagnes que tu nous présentais régulièrement
depuis plusieurs années maintenant manquaient de contexte malgré le fait
que tu y étais avec ton équipement et ton matériel photo sur le dos.
J'ai l'impression d'avoir perçu ces séries comme la représentation de
lieux inaccessibles et immuables, des natures mortes.
Pour ta production récente, tu cadres également des humains, des animaux
et des activités. C'est un virage.
Ce sont encore des photos de montagnes mais je peux me raccrocher à
quelque chose et ces montagnes se sont embellies.
Les photos sont magnifiques et le diaporama est le plus intéressant
jusqu'à présent avec beaucoup de points pris en compte suite aux
commentaires et ça marche je trouve.
Dans les commentaires justement et il me semble que c'est Charles qui a
mentionné le son, je crois que j'aurais bien aimé l'entendre ce troupeau
et son berger.
Bonsoir J'ai essayé de raconter une histoire à partir de mes photos des estives de 2015 sur la beauté et la difficulté du métier de berger. https://www.youtube.com/watch?v=-WFC89EbXmU Qu'en pensez-vous ?
Ces séries photos de montagnes que tu nous présentais régulièrement depuis plusieurs années maintenant manquaient de contexte malgré le fait que tu y étais avec ton équipement et ton matériel photo sur le dos. J'ai l'impression d'avoir perçu ces séries comme la représentation de lieux inaccessibles et immuables, des natures mortes. Pour ta production récente, tu cadres également des humains, des animaux et des activités. C'est un virage. Ce sont encore des photos de montagnes mais je peux me raccrocher à quelque chose et ces montagnes se sont embellies. Les photos sont magnifiques et le diaporama est le plus intéressant jusqu'à présent avec beaucoup de points pris en compte suite aux commentaires et ça marche je trouve. Dans les commentaires justement et il me semble que c'est Charles qui a mentionné le son, je crois que j'aurais bien aimé l'entendre ce troupeau et son berger. Merci. -- man-d
Il faut que je vois comment faire pour ramener du son de mes randonnées et l'associer à la musique. C'est une très bonne idée pour améliorer les diaporamas.
c'est compliqué et pas donné d'obtenir un son de qualité et au niveau des images. problème de vent, micro fragile...
Le 20/01/2017 08:50, Stephan Peccini a écrit :
Il faut que je vois comment faire pour ramener du son de mes randonnées et l'associer à la musique. C'est une très bonne idée pour améliorer les diaporamas.
c'est compliqué et pas donné d'obtenir un son de qualité et
au niveau des images.
Il faut que je vois comment faire pour ramener du son de mes randonnées et l'associer à la musique. C'est une très bonne idée pour améliorer les diaporamas.
c'est compliqué et pas donné d'obtenir un son de qualité et au niveau des images. problème de vent, micro fragile...