Bonjour,
je suis à la recherche d'un appareil photo simple d'emplois mais me
permettant de faire des photos de belles qualités disons plus belles que
celles que je peux faire (en intérieur entre autre) avec mon petit compact.
Visiblement il faudrait que je me dirige vers un reflex, mais n'y
connaissant absolument rien, je ne sais pas trop vers quel appreil me
diriger.
Des bonnes ames pour me conseiller ?
Tu peux aller jouer dehors pendant que les grandes personnes discutent STP... Merci, et te salis pas trop...
ta gueule, le mouton de panurge ! ........ occupe toi de tes merdes et ferme ta gueule !
Gilbert
"Maréchal Nouvoilat." a écrit dans le message de news:
Tir de chasse sur l'étron toulousain.
tiens ça me rappelle quelqu'un qui disait la même chose et qui se foutait royalement de ta gueule, mais toi, en bon nankulé, tu le badais car t'aime teufèrefourésalkon !!!!
........ mais de qui je parle, hein pétain la bulle ?
hahahahahahahahahahahaha, MDR !!!!
"Maréchal Nouvoilat." <bu.jean-pierre@neuf.fr> a écrit dans le message de
news:
Tir de chasse sur l'étron toulousain.
tiens ça me rappelle quelqu'un qui disait la même chose
et qui se foutait royalement de ta gueule, mais toi, en
bon nankulé, tu le badais car t'aime teufèrefourésalkon !!!!
........ mais de qui je parle, hein pétain la bulle ?
"Maréchal Nouvoilat." a écrit dans le message de news:
Tir de chasse sur l'étron toulousain.
tiens ça me rappelle quelqu'un qui disait la même chose et qui se foutait royalement de ta gueule, mais toi, en bon nankulé, tu le badais car t'aime teufèrefourésalkon !!!!
........ mais de qui je parle, hein pétain la bulle ?
hahahahahahahahahahahaha, MDR !!!!
Gilbert
"Maréchal Nouvoilat." a écrit dans le message de news:
The D3200 has more resolution than any
ta gueule, fucking-salkon !
"Maréchal Nouvoilat." <bu.jean-pierre@neuf.fr> a écrit dans le message de
news:
"Maréchal Nouvoilat." a écrit dans le message de news:
The D3200 has more resolution than any
ta gueule, fucking-salkon !
Bour-Brown
Maréchal Nouvoilat. a écrit ( jv2s80$r2$ )
Quant aux objectifs nécessaires pour exploiter pleinement les potentialités d'un capteur de 24 mpx
Meuh non, c'est un faux raisonnement, ça.
Avec la pellicule - s'il reste ici des vieillards qui ont connu - l'idée de base a toujours été de chercher le grain le plus fin possible. Jamais on ne s'est dit « pas la peine, les optiques ne résolvent pas » ou bien « pas la peine, on va être en régime de diffraction ».
Eh bien en numérique, c'est la même chose. Les écrans super HD genre rétina pointent le museau, les capteurs hyper pixélisés apparaissent sur les modèles grand public, les disques durs 1 To débarquent en supermarché à une centaine d'euros, et l'image continue sa quête de l'infini.
Dans une dizaine d'années, les systèmes ne préciseront plus rien d'autre que « vous avez une photo ici, vous voulez la voir, l'imprimer, la sauver » et ça marchera très bien. Sa taille, son poids, sa résolution, son codage ou je ne sais quoi d'autre n'auront strictement aucun sens pour le commun des mortels.
C'est déjà ce qui se passe déjà avec la télévision ou le cinéma, pas un seul utilisateur normal ne discute de ce qui est techniquement nécessaire, suffisant, superflu tout ça, et c'est tant mieux.
Maréchal Nouvoilat. a écrit
( jv2s80$r2$1@speranza.aioe.org )
Quant aux objectifs nécessaires pour exploiter pleinement les
potentialités d'un capteur de 24 mpx
Meuh non, c'est un faux raisonnement, ça.
Avec la pellicule - s'il reste ici des vieillards qui ont connu - l'idée de
base a toujours été de chercher le grain le plus fin possible. Jamais on ne
s'est dit « pas la peine, les optiques ne résolvent pas » ou bien « pas la
peine, on va être en régime de diffraction ».
Eh bien en numérique, c'est la même chose. Les écrans super HD genre rétina
pointent le museau, les capteurs hyper pixélisés apparaissent sur les
modèles grand public, les disques durs 1 To débarquent en supermarché à une
centaine d'euros, et l'image continue sa quête de l'infini.
Dans une dizaine d'années, les systèmes ne préciseront plus rien d'autre que
« vous avez une photo ici, vous voulez la voir, l'imprimer, la sauver » et
ça marchera très bien. Sa taille, son poids, sa résolution, son codage ou je
ne sais quoi d'autre n'auront strictement aucun sens pour le commun des
mortels.
C'est déjà ce qui se passe déjà avec la télévision ou le cinéma, pas un seul
utilisateur normal ne discute de ce qui est techniquement nécessaire,
suffisant, superflu tout ça, et c'est tant mieux.
Quant aux objectifs nécessaires pour exploiter pleinement les potentialités d'un capteur de 24 mpx
Meuh non, c'est un faux raisonnement, ça.
Avec la pellicule - s'il reste ici des vieillards qui ont connu - l'idée de base a toujours été de chercher le grain le plus fin possible. Jamais on ne s'est dit « pas la peine, les optiques ne résolvent pas » ou bien « pas la peine, on va être en régime de diffraction ».
Eh bien en numérique, c'est la même chose. Les écrans super HD genre rétina pointent le museau, les capteurs hyper pixélisés apparaissent sur les modèles grand public, les disques durs 1 To débarquent en supermarché à une centaine d'euros, et l'image continue sa quête de l'infini.
Dans une dizaine d'années, les systèmes ne préciseront plus rien d'autre que « vous avez une photo ici, vous voulez la voir, l'imprimer, la sauver » et ça marchera très bien. Sa taille, son poids, sa résolution, son codage ou je ne sais quoi d'autre n'auront strictement aucun sens pour le commun des mortels.
C'est déjà ce qui se passe déjà avec la télévision ou le cinéma, pas un seul utilisateur normal ne discute de ce qui est techniquement nécessaire, suffisant, superflu tout ça, et c'est tant mieux.
Jean-Pierre Roche
Le 29/07/2012 13:23, Bour-Brown a écrit :
Avec la pellicule - s'il reste ici des vieillards qui ont connu - l'idée de base a toujours été de chercher le grain le plus fin possible. Jamais on ne s'est dit « pas la peine, les optiques ne résolvent pas » ou bien « pas la peine, on va être en régime de diffraction ».
Comme si, du temps de l'argentique, on ne choisissait pas *aussi* son diaph pour éviter la diffraction... Et le grain fin non pas forcément vu que les pellicules à grain vraiment fin faisaient nettement moins de 100 ASA (les ISO de l'époque). Il y a toujours eu, dans les cas les plus courants, un compromis entre grain fin et sensibilité dans l'esprit de la plupart des photographes. On essayait surtout de limiter la montée du grain par un révélateur bien adapté.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
Le 29/07/2012 13:23, Bour-Brown a écrit :
Avec la pellicule - s'il reste ici des vieillards qui ont
connu - l'idée de
base a toujours été de chercher le grain le plus fin
possible. Jamais on ne
s'est dit « pas la peine, les optiques ne résolvent pas »
ou bien « pas la
peine, on va être en régime de diffraction ».
Comme si, du temps de l'argentique, on ne choisissait pas
*aussi* son diaph pour éviter la diffraction... Et le grain
fin non pas forcément vu que les pellicules à grain vraiment
fin faisaient nettement moins de 100 ASA (les ISO de
l'époque). Il y a toujours eu, dans les cas les plus
courants, un compromis entre grain fin et sensibilité dans
l'esprit de la plupart des photographes. On essayait surtout
de limiter la montée du grain par un révélateur bien adapté.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
enlever sanspub pour m'écrire...
Avec la pellicule - s'il reste ici des vieillards qui ont connu - l'idée de base a toujours été de chercher le grain le plus fin possible. Jamais on ne s'est dit « pas la peine, les optiques ne résolvent pas » ou bien « pas la peine, on va être en régime de diffraction ».
Comme si, du temps de l'argentique, on ne choisissait pas *aussi* son diaph pour éviter la diffraction... Et le grain fin non pas forcément vu que les pellicules à grain vraiment fin faisaient nettement moins de 100 ASA (les ISO de l'époque). Il y a toujours eu, dans les cas les plus courants, un compromis entre grain fin et sensibilité dans l'esprit de la plupart des photographes. On essayait surtout de limiter la montée du grain par un révélateur bien adapté.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
Bour-Brown
Maréchal Nouvoilat. a écrit ( jv2ujr$6kf$ )
6 to 10 MP is more than enough for anything.
Le mec qui écrit ça compare un Mark III avec un D800, et place le Canon en tête pour tout. Absolument tout.
Sauf que, euh, 22 Mpx contre 36 Mpx, quand même ?
Ah oui, mais justement, cela ne compte pas : http://www.kenrockwell.com/tech/comparisons/d800-vs-5d-mark-iii.htm
Ah d'accord...
Maréchal Nouvoilat. a écrit
( jv2ujr$6kf$1@speranza.aioe.org )
6 to 10 MP is more than enough for anything.
Le mec qui écrit ça compare un Mark III avec un D800, et place le Canon en
tête pour tout. Absolument tout.
Sauf que, euh, 22 Mpx contre 36 Mpx, quand même ?
Ah oui, mais justement, cela ne compte pas :
http://www.kenrockwell.com/tech/comparisons/d800-vs-5d-mark-iii.htm
Le mec qui écrit ça compare un Mark III avec un D800, et place le Canon en tête pour tout. Absolument tout.
Sauf que, euh, 22 Mpx contre 36 Mpx, quand même ?
Ah oui, mais justement, cela ne compte pas : http://www.kenrockwell.com/tech/comparisons/d800-vs-5d-mark-iii.htm
Ah d'accord...
Elohan
Bour-Brown a écrit :
Elohan a écrit ( jv2pvl$r6u$ )
Les 18-55mm des kits sont en effet plus que corrects en qualité optique et sont absolument imbattables en rapport qualité-prix.
Oui, c'est ce que je crois aussi, c'est d'ailleurs étonnant.
Mon idée, c'est que comme l'objectif va être diffusé à des quantités industrielles, qu'il va servir à plusieurs générations d'appareils, et qu'il va être proposé en kit de base, donc testé par à peu près tout le monde, les constructeurs le font au départ très bon.
Je ne sais pas si c'est vraiment ça puisque les 18-55 sont régulièrement remis à jour (version IS, version IS-II...) je suppose quand même que les constructeurs font dès le départ les meilleurs produits possibles, y compris pour les produits marginaux. Pour les zooms des kits en tous cas, les constructeurs sont attentifs, ils ne considèrent pas (ou plus) ces optiques de kits comme des culs de bouteilles à la limite du jetable.
A mon avis, c'est surtout:
1) la production en très grandes séries qui permet des économies d'échelle.
2) la conception "tout plastique", y compris la baïonnette.
3) le rôle de produit d'appel. Les constructeurs ne doivent pas faire beeaucoup de marge sur ces kits, mais leurs tarifs attractifs permettent de retenir les clients, qui investiront par la suite dans d'autres optiques et/ou boîtiers de la marque.
1) et 2) c'est la stratégie Bic: c'est pas très beau mais ce n'est pas cher, sans pour autant sacrifier la qualité fonctionnelle. En ce qui concerne ces 18-55, tu as quand même droit à l'AF, à la stabilisation et même à au moins une lentille asphérique parmi les 11 ou 12 investies dans le 18-55. A titre de comparaison, il n'y a que 6 ou 7 lentilles dans un 50mm 1.8. Les constructeurs font donc vraissemblablement bien moins de marges sur les 18-55 que sur d'autres optiques.
Et le piqué est pourtant bien là: http://img1.focus-numerique.com/focus/articles/1205/canon-600d-test-review-18-55mm-IS-II-18mm-pique.jpg
Bour-Brown a écrit :
Elohan a écrit
( jv2pvl$r6u$1@speranza.aioe.org )
Les 18-55mm des kits sont en effet plus que corrects en qualité optique et
sont absolument imbattables en rapport qualité-prix.
Oui, c'est ce que je crois aussi, c'est d'ailleurs étonnant.
Mon idée, c'est que comme l'objectif va être diffusé à des quantités
industrielles, qu'il va servir à plusieurs générations d'appareils, et qu'il
va être proposé en kit de base, donc testé par à peu près tout le monde, les
constructeurs le font au départ très bon.
Je ne sais pas si c'est vraiment ça puisque les 18-55 sont
régulièrement remis à jour (version IS, version IS-II...) je suppose
quand même que les constructeurs font dès le départ les meilleurs
produits possibles, y compris pour les produits marginaux. Pour les
zooms des kits en tous cas, les constructeurs sont attentifs, ils ne
considèrent pas (ou plus) ces optiques de kits comme des culs de
bouteilles à la limite du jetable.
A mon avis, c'est surtout:
1) la production en très grandes séries qui permet des économies
d'échelle.
2) la conception "tout plastique", y compris la baïonnette.
3) le rôle de produit d'appel. Les constructeurs ne doivent pas faire
beeaucoup de marge sur ces kits, mais leurs tarifs attractifs
permettent
de retenir les clients, qui investiront par la suite dans d'autres
optiques et/ou boîtiers de la marque.
1) et 2) c'est la stratégie Bic: c'est pas très beau mais ce n'est pas
cher, sans pour autant sacrifier la qualité fonctionnelle. En ce qui
concerne ces 18-55, tu as quand même droit à l'AF, à la stabilisation
et même à au moins une lentille asphérique parmi les 11 ou 12 investies
dans le 18-55. A titre de comparaison, il n'y a que 6 ou 7 lentilles
dans un 50mm 1.8. Les constructeurs font donc vraissemblablement bien
moins de marges sur les 18-55 que sur d'autres optiques.
Et le piqué est pourtant bien là:
http://img1.focus-numerique.com/focus/articles/1205/canon-600d-test-review-18-55mm-IS-II-18mm-pique.jpg
Les 18-55mm des kits sont en effet plus que corrects en qualité optique et sont absolument imbattables en rapport qualité-prix.
Oui, c'est ce que je crois aussi, c'est d'ailleurs étonnant.
Mon idée, c'est que comme l'objectif va être diffusé à des quantités industrielles, qu'il va servir à plusieurs générations d'appareils, et qu'il va être proposé en kit de base, donc testé par à peu près tout le monde, les constructeurs le font au départ très bon.
Je ne sais pas si c'est vraiment ça puisque les 18-55 sont régulièrement remis à jour (version IS, version IS-II...) je suppose quand même que les constructeurs font dès le départ les meilleurs produits possibles, y compris pour les produits marginaux. Pour les zooms des kits en tous cas, les constructeurs sont attentifs, ils ne considèrent pas (ou plus) ces optiques de kits comme des culs de bouteilles à la limite du jetable.
A mon avis, c'est surtout:
1) la production en très grandes séries qui permet des économies d'échelle.
2) la conception "tout plastique", y compris la baïonnette.
3) le rôle de produit d'appel. Les constructeurs ne doivent pas faire beeaucoup de marge sur ces kits, mais leurs tarifs attractifs permettent de retenir les clients, qui investiront par la suite dans d'autres optiques et/ou boîtiers de la marque.
1) et 2) c'est la stratégie Bic: c'est pas très beau mais ce n'est pas cher, sans pour autant sacrifier la qualité fonctionnelle. En ce qui concerne ces 18-55, tu as quand même droit à l'AF, à la stabilisation et même à au moins une lentille asphérique parmi les 11 ou 12 investies dans le 18-55. A titre de comparaison, il n'y a que 6 ou 7 lentilles dans un 50mm 1.8. Les constructeurs font donc vraissemblablement bien moins de marges sur les 18-55 que sur d'autres optiques.
Et le piqué est pourtant bien là: http://img1.focus-numerique.com/focus/articles/1205/canon-600d-test-review-18-55mm-IS-II-18mm-pique.jpg
Gerald
Jean-Pierre Roche wrote:
On essayait surtout de limiter la montée du grain par un révélateur bien adapté.
On essayait surtout de limiter la montée du grain par un révélateur bien adapté.
Souvenirs...
Note que des fois c'était l'inverse aussi :-)
-- Gérald
Bour-Brown
Jean-Pierre Roche a écrit ( jv37hn$1efu$ )
Comme si, du temps de l'argentique, on ne choisissait pas *aussi* son diaph pour éviter la diffraction...
Euh, je ne parlais pas des photographes, mais des efforts fournis par l'industrie pour obtenir des pellicules les plus fines possibles.
Et le grain fin non pas forcément
N'empêche que c'était un axe de recherche essentiel, et personne à l'époque ne critiquait ce type de développement en prétextant les optiques hors de prix que cela allait nécessiter ou en invoquant la diffraction, alors qu'en numérique...
Jean-Pierre Roche a écrit
( jv37hn$1efu$1@talisker.lacave.net )
Comme si, du temps de l'argentique, on ne choisissait pas *aussi* son
diaph pour éviter la diffraction...
Euh, je ne parlais pas des photographes, mais des efforts fournis par
l'industrie pour obtenir des pellicules les plus fines possibles.
Et le grain fin non pas forcément
N'empêche que c'était un axe de recherche essentiel, et personne à l'époque
ne critiquait ce type de développement en prétextant les optiques hors de
prix que cela allait nécessiter ou en invoquant la diffraction, alors qu'en
numérique...
Comme si, du temps de l'argentique, on ne choisissait pas *aussi* son diaph pour éviter la diffraction...
Euh, je ne parlais pas des photographes, mais des efforts fournis par l'industrie pour obtenir des pellicules les plus fines possibles.
Et le grain fin non pas forcément
N'empêche que c'était un axe de recherche essentiel, et personne à l'époque ne critiquait ce type de développement en prétextant les optiques hors de prix que cela allait nécessiter ou en invoquant la diffraction, alors qu'en numérique...
Philippe
le dimanche 29 juillet 2012 14:11, Elohan a écrit:
2) la conception "tout plastique", y compris la baïonnette.
Il ne faut pas voir le "tout plastique" comme une régression technique. Selon le polymère utilisé, la durée de vie peut être très largement supérieure a celle d'un alliage de bas de gamme.
une baïonnette "plastique" sur une bague métal du boîtier sera en meilleure état après 1000 montages que la même pièce en alliage et surtout préservera aussi l'usure du boîtier. La limitation est a voir du coté du prix de certains polymères très résistants plus cher que l’alliage habituel. Je pense a des marque commerciales comme "delrin" par exemple
-- http://www.youtube.com/watch?v=ugCuhqw0ftU Philippe Vessaire Ò¿Ó¬
le dimanche 29 juillet 2012 14:11, Elohan a écrit:
2) la conception "tout plastique", y compris la baïonnette.
Il ne faut pas voir le "tout plastique" comme une régression
technique. Selon le polymère utilisé, la durée de vie peut être très
largement supérieure a celle d'un alliage de bas de gamme.
une baïonnette "plastique" sur une bague métal du boîtier sera en
meilleure état après 1000 montages que la même pièce en alliage et
surtout préservera aussi l'usure du boîtier. La limitation est a voir du
coté du prix de certains polymères très résistants plus cher que
l’alliage habituel. Je pense a des marque commerciales comme "delrin"
par exemple
--
http://www.youtube.com/watch?v=ugCuhqw0ftU
Philippe Vessaire Ò¿Ó¬
le dimanche 29 juillet 2012 14:11, Elohan a écrit:
2) la conception "tout plastique", y compris la baïonnette.
Il ne faut pas voir le "tout plastique" comme une régression technique. Selon le polymère utilisé, la durée de vie peut être très largement supérieure a celle d'un alliage de bas de gamme.
une baïonnette "plastique" sur une bague métal du boîtier sera en meilleure état après 1000 montages que la même pièce en alliage et surtout préservera aussi l'usure du boîtier. La limitation est a voir du coté du prix de certains polymères très résistants plus cher que l’alliage habituel. Je pense a des marque commerciales comme "delrin" par exemple
-- http://www.youtube.com/watch?v=ugCuhqw0ftU Philippe Vessaire Ò¿Ó¬