Bonjour,
ça fait maintenant 5 ans que j'ai pas touché a un linux, c'était mon métier
avant donc j'ai quand meme deja touché meme si actuellement j'ai plus ou
moins tout oublié, je suis donc pas au courant de ce qui se passe niveau
évolution pendant tout ce temps là.
Je cherche une distrib a installer sur mon ancien portable sur lequel j'ai
une partition de 20Go prévu pour mon futur linux...
A priori tout ce dont j'aurais besoin est compatible avec linux, c'est un P4
2,4Ghz 768Mo de ram DDR, ATI radeon 9000 pour la vidéo, j'aimerais une
distrib un peu épurée sans script trop complexe pour m'y remettre en
douceur, mais quand meme des packages binaires, au niveau du desktop gnome
ou Kde? ou il y a mieux de nos jours?
Jusque là on m'a conseillé gentoo, mais on m'a dit que c'est dérivé d'un
debian ou les scripts sont vraiment complexe, en fait je cherche une
slackware avec un système de packages plus évolué qu'il y a 5 ans... je sais
pas si slackware a évolué a ce niveau là.
Avant je travaillais sur red hat surtout et ça me convenait bien, je sais
pas si la distrib a évolué dans le bon sens et est restée plus ou moins
ouverte ou si elle s'est devellopé pour être plus "commerciale" et plus pour
les entreprises, parce que je compte en avoir une utilisation personnelle.
Ce subst. est souvent au sing. parce qu'il évoque l'unité, l'abstr. ou le non comptable; le plur. est plus fréq. quand le subst. appartient au concr.
(http://www.cnrtl.fr/lexicographie/sans?)
Sam Hocevar
On Tue, 31 Jul 2007 19:16:49 +0200, sansflotusspam wrote:
Désolé, Maître Sam,
mais le français n'est pas comme Debian (***), il a des règles ! "sans" implique un espace totalement vide, donc 0x0x0x0x0 = toujours ZERO.
C'est marrant, il est rare que les gens qui se fourvoient en grammaire invoquent les règles ; d'habitude c'est plutôt à l'usage qu'ils ont recours pour défendre leur point de vue délirant. Je me demande bien d'où tu sors cette règle, d'ailleurs.
Je te renvoie au Grevisse (« Le Bon Usage »), ouvrage de grammaire de référence [1], qui dit à ce sujet (499 a., p. 788) :
Pour certains, la négation est incompatible avec la notion de pluriel. En réalité, le nom peut être au singulier ou au pluriel, selon qu'il serait au singulier ou au pluriel dans la construction positive correspondate.
Et de citer « un ciel sans nuages » (Baudelaire, Les Fleurs du mal, Voyage à Cythère), un appartement « sans lits jumeaux » (Cayrol, Froid du soleil, p. 19).
Je t'accorde que le Grevisse coûte cher et que tout le monde n'a pas la chance d'en avoir un ; tu peux alors te rabattre sur « Dictionnaire des difficultés de la langue française » [2], qui stipule :
Sans peut être suivi du singulier ou du pluriel, selon le sens. Ainsi on écrit : Etre sans place, Des outils sans manche, parce qu'on ne peut occuper qu'une seule place à la fois et qu'un outil n'a qu'un seul manche ; mais généralement : Une femme sans enfants, un gilet sans manches, parce qu'une femme peut avoir plusieurs enfants et qu'un gilet, quand il a des manches, en a toujours deux. Une dictée sans fautes (au pluriel) se justifie à côté de Je viendrai sans faute demain (au singulier).
Si tu n'aimes pas lire des livres, je sais c'est chiant et y'a pas d'images, tu peux visiter le site de l'Académie française [3], qui dit à ce sujet :
Pourtant, dès lors que ce dont on parle peut suggérer l'idée de pluralité, c'est le pluriel qui est le plus fréquent. On écrira : Un devoir sans fautes, en jugeant qu'un tel devoir aurait d'ordinaire comporté plusieurs fautes (qu'une faute ne vient jamais seule)
Et si tu n'aimes pas ces Français arrogants qui croient que la langue leur appartient, tu peux aussi aller voir ce qu'en pense l'Office québécois de la langue française [4] :
Bien que la préposition sans marque la privation ou l'exclusion, le mot qui suit ne se met pas toujours au singulier. C'est le sens logique de la phrase ou de l'expression qui décide. [...] Dans les exemples qui suivent cependant, le nom se met obligatoirement au pluriel : Un arbre sans feuilles, une robe sans manches, un collant sans pieds.
Écrire "sans chaussureS", "sans nuageS", etc, est une absence de raisonnement, un contresens, une faute contre l'esprit, avant d'être une faute de langue !
S'il y a une faute contre l'esprit, c'est bien l'appauvrissement sémantique que tu prônes.
On Tue, 31 Jul 2007 19:16:49 +0200, sansflotusspam wrote:
Désolé, Maître Sam,
mais le français n'est pas comme Debian (***), il a des règles !
"sans" implique un espace totalement vide, donc 0x0x0x0x0 = toujours
ZERO.
C'est marrant, il est rare que les gens qui se fourvoient en
grammaire invoquent les règles ; d'habitude c'est plutôt à l'usage
qu'ils ont recours pour défendre leur point de vue délirant. Je me
demande bien d'où tu sors cette règle, d'ailleurs.
Je te renvoie au Grevisse (« Le Bon Usage »), ouvrage de grammaire de
référence [1], qui dit à ce sujet (499 a., p. 788) :
Pour certains, la négation est incompatible avec la notion de
pluriel. En réalité, le nom peut être au singulier ou au pluriel,
selon qu'il serait au singulier ou au pluriel dans la construction
positive correspondate.
Et de citer « un ciel sans nuages » (Baudelaire, Les Fleurs du mal,
Voyage à Cythère), un appartement « sans lits jumeaux » (Cayrol, Froid
du soleil, p. 19).
Je t'accorde que le Grevisse coûte cher et que tout le monde n'a pas
la chance d'en avoir un ; tu peux alors te rabattre sur « Dictionnaire
des difficultés de la langue française » [2], qui stipule :
Sans peut être suivi du singulier ou du pluriel, selon le sens.
Ainsi on écrit : Etre sans place, Des outils sans manche, parce
qu'on ne peut occuper qu'une seule place à la fois et qu'un outil
n'a qu'un seul manche ; mais généralement : Une femme sans enfants,
un gilet sans manches, parce qu'une femme peut avoir plusieurs
enfants et qu'un gilet, quand il a des manches, en a toujours
deux. Une dictée sans fautes (au pluriel) se justifie à côté de Je
viendrai sans faute demain (au singulier).
Si tu n'aimes pas lire des livres, je sais c'est chiant et y'a pas
d'images, tu peux visiter le site de l'Académie française [3], qui dit à
ce sujet :
Pourtant, dès lors que ce dont on parle peut suggérer l'idée de
pluralité, c'est le pluriel qui est le plus fréquent. On écrira :
Un devoir sans fautes, en jugeant qu'un tel devoir aurait
d'ordinaire comporté plusieurs fautes (qu'une faute ne vient jamais
seule)
Et si tu n'aimes pas ces Français arrogants qui croient que la langue
leur appartient, tu peux aussi aller voir ce qu'en pense l'Office
québécois de la langue française [4] :
Bien que la préposition sans marque la privation ou l'exclusion,
le mot qui suit ne se met pas toujours au singulier. C'est le sens
logique de la phrase ou de l'expression qui décide. [...] Dans les
exemples qui suivent cependant, le nom se met obligatoirement au
pluriel : Un arbre sans feuilles, une robe sans manches, un collant
sans pieds.
Écrire "sans chaussureS", "sans nuageS", etc, est une absence de
raisonnement, un contresens, une faute contre l'esprit, avant d'être
une faute de langue !
S'il y a une faute contre l'esprit, c'est bien l'appauvrissement
sémantique que tu prônes.
On Tue, 31 Jul 2007 19:16:49 +0200, sansflotusspam wrote:
Désolé, Maître Sam,
mais le français n'est pas comme Debian (***), il a des règles ! "sans" implique un espace totalement vide, donc 0x0x0x0x0 = toujours ZERO.
C'est marrant, il est rare que les gens qui se fourvoient en grammaire invoquent les règles ; d'habitude c'est plutôt à l'usage qu'ils ont recours pour défendre leur point de vue délirant. Je me demande bien d'où tu sors cette règle, d'ailleurs.
Je te renvoie au Grevisse (« Le Bon Usage »), ouvrage de grammaire de référence [1], qui dit à ce sujet (499 a., p. 788) :
Pour certains, la négation est incompatible avec la notion de pluriel. En réalité, le nom peut être au singulier ou au pluriel, selon qu'il serait au singulier ou au pluriel dans la construction positive correspondate.
Et de citer « un ciel sans nuages » (Baudelaire, Les Fleurs du mal, Voyage à Cythère), un appartement « sans lits jumeaux » (Cayrol, Froid du soleil, p. 19).
Je t'accorde que le Grevisse coûte cher et que tout le monde n'a pas la chance d'en avoir un ; tu peux alors te rabattre sur « Dictionnaire des difficultés de la langue française » [2], qui stipule :
Sans peut être suivi du singulier ou du pluriel, selon le sens. Ainsi on écrit : Etre sans place, Des outils sans manche, parce qu'on ne peut occuper qu'une seule place à la fois et qu'un outil n'a qu'un seul manche ; mais généralement : Une femme sans enfants, un gilet sans manches, parce qu'une femme peut avoir plusieurs enfants et qu'un gilet, quand il a des manches, en a toujours deux. Une dictée sans fautes (au pluriel) se justifie à côté de Je viendrai sans faute demain (au singulier).
Si tu n'aimes pas lire des livres, je sais c'est chiant et y'a pas d'images, tu peux visiter le site de l'Académie française [3], qui dit à ce sujet :
Pourtant, dès lors que ce dont on parle peut suggérer l'idée de pluralité, c'est le pluriel qui est le plus fréquent. On écrira : Un devoir sans fautes, en jugeant qu'un tel devoir aurait d'ordinaire comporté plusieurs fautes (qu'une faute ne vient jamais seule)
Et si tu n'aimes pas ces Français arrogants qui croient que la langue leur appartient, tu peux aussi aller voir ce qu'en pense l'Office québécois de la langue française [4] :
Bien que la préposition sans marque la privation ou l'exclusion, le mot qui suit ne se met pas toujours au singulier. C'est le sens logique de la phrase ou de l'expression qui décide. [...] Dans les exemples qui suivent cependant, le nom se met obligatoirement au pluriel : Un arbre sans feuilles, une robe sans manches, un collant sans pieds.
Écrire "sans chaussureS", "sans nuageS", etc, est une absence de raisonnement, un contresens, une faute contre l'esprit, avant d'être une faute de langue !
S'il y a une faute contre l'esprit, c'est bien l'appauvrissement sémantique que tu prônes.
Donc, pour toi, ceux qui ne s'intéressent pas à l'informatique ont des instincts bas et sont intellectuellement paresseux.
Non, pas « ceux qui ne s'intéressent pas à l'informatique ».
Tu me rassures là. ;-)
-- Nicolas S.
nicolas vigier
On 2007-07-31, Nicolas S. wrote:
Effectivement, il ne faut pas se baser UNIQUEMENT sur le support materiel par defaut de la distribution pour choisir. Mais entre plusieurs distributions dont le reste des fonctionnalités convient au besoin, moi je choisis celle qui reconnait correctement le materiel par defaut.
Tu ne serais pas en train de t'imaginer qu'il n'y a pas de différences entre les distributions à part au moment de l'installation, j'espère ? L'installation, en particulier sur une machine professionnelle, représente une part infime de la tâche d'administration d'une machine.
Je ne pense pas que ca represente une part infime. Rajouter le support d'un materiel sur une distribution n'est pas forcement une chose très simple à faire. Les gens n'ont pas forcement beaucoup de temps à consacrer à l'installation.
Ben justement, il n'est pas question des gens là...
Pas question de quels gens ?
On 2007-07-31, Nicolas S. <ni.s-factice@laposte.net> wrote:
Effectivement, il ne faut pas se baser UNIQUEMENT sur le support materiel
par defaut de la distribution pour choisir. Mais entre plusieurs
distributions dont le reste des fonctionnalités convient au besoin, moi
je choisis celle qui reconnait correctement le materiel par defaut.
Tu ne serais pas en train de t'imaginer qu'il n'y a pas de différences entre
les distributions à part au moment de l'installation, j'espère ?
L'installation, en particulier sur une machine professionnelle, représente
une part infime de la tâche d'administration d'une machine.
Je ne pense pas que ca represente une part infime. Rajouter le support
d'un materiel sur une distribution n'est pas forcement une chose très
simple à faire. Les gens n'ont pas forcement beaucoup de temps à
consacrer à l'installation.
Ben justement, il n'est pas question des gens là...
Effectivement, il ne faut pas se baser UNIQUEMENT sur le support materiel par defaut de la distribution pour choisir. Mais entre plusieurs distributions dont le reste des fonctionnalités convient au besoin, moi je choisis celle qui reconnait correctement le materiel par defaut.
Tu ne serais pas en train de t'imaginer qu'il n'y a pas de différences entre les distributions à part au moment de l'installation, j'espère ? L'installation, en particulier sur une machine professionnelle, représente une part infime de la tâche d'administration d'une machine.
Je ne pense pas que ca represente une part infime. Rajouter le support d'un materiel sur une distribution n'est pas forcement une chose très simple à faire. Les gens n'ont pas forcement beaucoup de temps à consacrer à l'installation.
Ben justement, il n'est pas question des gens là...
Pas question de quels gens ?
François
Nicolas George a écrit le 31.07.2007 01:02:
Jerome Lambert , dans le message
Bien sûr que non, les deux approches ne visant pas le même public. L'approche GUI vise l'admin "personnel" qui gère sa machine seul et avec un niveau de compétences minimum, ce qui nécessite des outils simples et rapides à appréhender.
Elle le vise, oui, mais comme les émission de télé-réalité visent le téléspectateur moyen : ça flatte les instincts les plus bas (la paresse intellectuelle dans le cas de l'interface cliquodrome, le voyeurisme dans le cas de la télé-rélité), ce n'est pas une bonne chose pour autant.
Est-ce à dire que les ordinateurs devraient être réservés aux experts de la ligne de commande ?
-- François
Nicolas George a écrit le 31.07.2007 01:02:
Jerome Lambert , dans le message
Bien sûr que non, les deux approches ne visant pas le même public.
L'approche GUI vise l'admin "personnel" qui gère sa machine seul et avec
un niveau de compétences minimum, ce qui nécessite des outils simples et
rapides à appréhender.
Elle le vise, oui, mais comme les émission de télé-réalité visent le
téléspectateur moyen : ça flatte les instincts les plus bas (la paresse
intellectuelle dans le cas de l'interface cliquodrome, le voyeurisme dans le
cas de la télé-rélité), ce n'est pas une bonne chose pour autant.
Est-ce à dire que les ordinateurs devraient être réservés aux experts de
la ligne de commande ?
Bien sûr que non, les deux approches ne visant pas le même public. L'approche GUI vise l'admin "personnel" qui gère sa machine seul et avec un niveau de compétences minimum, ce qui nécessite des outils simples et rapides à appréhender.
Elle le vise, oui, mais comme les émission de télé-réalité visent le téléspectateur moyen : ça flatte les instincts les plus bas (la paresse intellectuelle dans le cas de l'interface cliquodrome, le voyeurisme dans le cas de la télé-rélité), ce n'est pas une bonne chose pour autant.
Est-ce à dire que les ordinateurs devraient être réservés aux experts de la ligne de commande ?
-- François
Nicolas George
François , dans le message <46af9a95$0$27389$, a écrit :
Est-ce à dire que les ordinateurs devraient être réservés aux experts de la ligne de commande ?
Non.
C'est quand même assez impressionnant comme une quantité effroyable de gens ne sont pas capables de comprendre un discours somme toutes assez simple, et se sentent obligés de le déformer dans tous les sens.
François , dans le message <46af9a95$0$27389$ba4acef3@news.orange.fr>, a
écrit :
Est-ce à dire que les ordinateurs devraient être réservés aux experts de
la ligne de commande ?
Non.
C'est quand même assez impressionnant comme une quantité effroyable de gens
ne sont pas capables de comprendre un discours somme toutes assez simple, et
se sentent obligés de le déformer dans tous les sens.
François , dans le message <46af9a95$0$27389$, a écrit :
Est-ce à dire que les ordinateurs devraient être réservés aux experts de la ligne de commande ?
Non.
C'est quand même assez impressionnant comme une quantité effroyable de gens ne sont pas capables de comprendre un discours somme toutes assez simple, et se sentent obligés de le déformer dans tous les sens.
Miod Vallat
monde le fait », m'insupporte au plus haut point. ^^^^^^^^^^^^
Je suis sûr que tu n'as placé ce verbe inexistant que pour voir qui le relèverait le premier.
Il est dans tous les dictionnaires et dans la littérature, donc je ne vois pas trop ce qu'il a d'inexistant. En revanche ça permet de bien choper les pédants scotchés dans le début du vingtième siècle, du genre qui se croient malins à corriger « évènement » :-)
Ah, tiens, en effet, il est dans le dictionnaire de l'Académie, au temps pour moi. Mais il n'est pas dans mon Larousse (tu sais, celui qui dit qu'utiliser «décade» pour désigner une période de dix ans est correct mais de moins en moins utilisé).
monde le fait », m'insupporte au plus haut point.
^^^^^^^^^^^^
Je suis sûr que tu n'as placé ce verbe inexistant que pour voir qui le
relèverait le premier.
Il est dans tous les dictionnaires et dans la littérature, donc je
ne vois pas trop ce qu'il a d'inexistant. En revanche ça permet de bien
choper les pédants scotchés dans le début du vingtième siècle, du genre
qui se croient malins à corriger « évènement » :-)
Ah, tiens, en effet, il est dans le dictionnaire de l'Académie, au temps
pour moi. Mais il n'est pas dans mon Larousse (tu sais, celui qui dit
qu'utiliser «décade» pour désigner une période de dix ans est correct
mais de moins en moins utilisé).
monde le fait », m'insupporte au plus haut point. ^^^^^^^^^^^^
Je suis sûr que tu n'as placé ce verbe inexistant que pour voir qui le relèverait le premier.
Il est dans tous les dictionnaires et dans la littérature, donc je ne vois pas trop ce qu'il a d'inexistant. En revanche ça permet de bien choper les pédants scotchés dans le début du vingtième siècle, du genre qui se croient malins à corriger « évènement » :-)
Ah, tiens, en effet, il est dans le dictionnaire de l'Académie, au temps pour moi. Mais il n'est pas dans mon Larousse (tu sais, celui qui dit qu'utiliser «décade» pour désigner une période de dix ans est correct mais de moins en moins utilisé).
nicolas vigier
On 2007-07-31, Rakotomandimby (R12y) Mihamina wrote:
nicolas vigier - :
convenir au besoin ? Le besoin était-il la reconnaissance du matériel?
Est ce que j'ai dit ca ?
Bah!... le seul avantage de la mandriva sur ce coup la c'est qu'elle a reconnu le matos.
Pourquoi le seul avantage ?
On 2007-07-31, Rakotomandimby (R12y) Mihamina <infogerance@asso-polyvalente.fr> wrote:
nicolas vigier - <slrnfau1al.36m.boklm@powah.pewz.net> :
convenir au besoin ?
Le besoin était-il la reconnaissance du matériel?
Est ce que j'ai dit ca ?
Bah!... le seul avantage de la mandriva sur ce coup la c'est qu'elle a
reconnu le matos.