Bonjour,
ça fait maintenant 5 ans que j'ai pas touché a un linux, c'était mon métier
avant donc j'ai quand meme deja touché meme si actuellement j'ai plus ou
moins tout oublié, je suis donc pas au courant de ce qui se passe niveau
évolution pendant tout ce temps là.
Je cherche une distrib a installer sur mon ancien portable sur lequel j'ai
une partition de 20Go prévu pour mon futur linux...
A priori tout ce dont j'aurais besoin est compatible avec linux, c'est un P4
2,4Ghz 768Mo de ram DDR, ATI radeon 9000 pour la vidéo, j'aimerais une
distrib un peu épurée sans script trop complexe pour m'y remettre en
douceur, mais quand meme des packages binaires, au niveau du desktop gnome
ou Kde? ou il y a mieux de nos jours?
Jusque là on m'a conseillé gentoo, mais on m'a dit que c'est dérivé d'un
debian ou les scripts sont vraiment complexe, en fait je cherche une
slackware avec un système de packages plus évolué qu'il y a 5 ans... je sais
pas si slackware a évolué a ce niveau là.
Avant je travaillais sur red hat surtout et ça me convenait bien, je sais
pas si la distrib a évolué dans le bon sens et est restée plus ou moins
ouverte ou si elle s'est devellopé pour être plus "commerciale" et plus pour
les entreprises, parce que je compte en avoir une utilisation personnelle.
Avec une installation de Windows sur le même matériel, il va se passer la même chose: des fonctionnements dégradés, et des périphériques non reconnus.
La force de Windows, c'est la pré-installation quasiment généralisée et le fait que les constructeurs fournissent des drivers.
Justement c'est tout le point, les constructeurs fournissent des drivers! Rien ne peut sortir sur le marché (ou c'est invendable) sans un driver Windows. Ca fait un *monde* de différence avec Linux et encore plus FreeBSD. Oui, je sais il y a quelques rares cas où le matériel marche sous Linux et pas Windows, ça m'est arrivé pour ma carte son, mais des exemples comme ça il n'y en a pas beaucoup. Par contre dans l'autre sens il y en a beaucoup, il faut faire *très* attention quand on achète du matériel pour qu'il soit compatible Linux ou FreeBSD et encore on se fait avoir. Et comme conséquence on paye plus cher le matériel, car on est obligé d'acheter une carte de bonne qualité et chère dont le constructeur se soucie de supporter les logiciels libres, 3ware, areca et j'en passe au lieu des bouses genre adaptec dont se contente très bien Windows. Je ne parle pas des cartes graphiques pour lesquelles l'un des grands constructeurs ne supporte essentiellement pas Linux et pas du tout FreeBSD. De l'acpi qui marche sous Windows mais fait plus ou moins semblant de marchotter sur les logiciels libres, ce qui est très ennuyeux pour les portables. Donc de fait je maintiens l'évidence que Windows supporte en principe tous les matériels disponibles, tandis que c'est la loterie pour les systèmes libres. Heureusement les grands constructeurs vendent des serveurs garantis compatibles Linux, là encore c'est généralement RedHat, point final.
--
Michel TALON
Ed <ed@invalid.org> wrote:
La preuve de quoi?
Avec une installation de Windows sur le même matériel, il va se passer la
même chose: des fonctionnements dégradés, et des périphériques non
reconnus.
La force de Windows, c'est la pré-installation quasiment généralisée et
le fait que les constructeurs fournissent des drivers.
Justement c'est tout le point, les constructeurs fournissent des
drivers! Rien ne peut sortir sur le marché (ou c'est invendable) sans un
driver Windows. Ca fait un *monde* de différence avec Linux et encore
plus FreeBSD.
Oui, je sais il y a quelques rares cas où le matériel marche sous Linux
et pas Windows, ça m'est arrivé pour ma carte son, mais des exemples
comme ça il n'y en a pas beaucoup. Par contre dans l'autre sens il y en
a beaucoup, il faut faire *très* attention quand on achète du matériel
pour qu'il soit compatible Linux ou FreeBSD et encore on se fait avoir.
Et comme conséquence on paye plus cher le matériel, car on est obligé
d'acheter une carte de bonne qualité et chère dont le constructeur se
soucie de supporter les logiciels libres, 3ware, areca et j'en passe au
lieu des bouses genre adaptec dont se contente très bien Windows. Je ne
parle pas des cartes graphiques pour lesquelles l'un des grands
constructeurs ne supporte essentiellement pas Linux et pas du tout
FreeBSD. De l'acpi qui marche sous Windows mais fait plus ou moins
semblant de marchotter sur les logiciels libres, ce qui est très
ennuyeux pour les portables. Donc de fait je maintiens l'évidence que
Windows supporte en principe tous les matériels disponibles, tandis que
c'est la loterie pour les systèmes libres. Heureusement les grands
constructeurs vendent des serveurs garantis compatibles Linux, là
encore c'est généralement RedHat, point final.
Avec une installation de Windows sur le même matériel, il va se passer la même chose: des fonctionnements dégradés, et des périphériques non reconnus.
La force de Windows, c'est la pré-installation quasiment généralisée et le fait que les constructeurs fournissent des drivers.
Justement c'est tout le point, les constructeurs fournissent des drivers! Rien ne peut sortir sur le marché (ou c'est invendable) sans un driver Windows. Ca fait un *monde* de différence avec Linux et encore plus FreeBSD. Oui, je sais il y a quelques rares cas où le matériel marche sous Linux et pas Windows, ça m'est arrivé pour ma carte son, mais des exemples comme ça il n'y en a pas beaucoup. Par contre dans l'autre sens il y en a beaucoup, il faut faire *très* attention quand on achète du matériel pour qu'il soit compatible Linux ou FreeBSD et encore on se fait avoir. Et comme conséquence on paye plus cher le matériel, car on est obligé d'acheter une carte de bonne qualité et chère dont le constructeur se soucie de supporter les logiciels libres, 3ware, areca et j'en passe au lieu des bouses genre adaptec dont se contente très bien Windows. Je ne parle pas des cartes graphiques pour lesquelles l'un des grands constructeurs ne supporte essentiellement pas Linux et pas du tout FreeBSD. De l'acpi qui marche sous Windows mais fait plus ou moins semblant de marchotter sur les logiciels libres, ce qui est très ennuyeux pour les portables. Donc de fait je maintiens l'évidence que Windows supporte en principe tous les matériels disponibles, tandis que c'est la loterie pour les systèmes libres. Heureusement les grands constructeurs vendent des serveurs garantis compatibles Linux, là encore c'est généralement RedHat, point final.
Oui, mais là a joué un facteur fondamental que les tenants du logiciel libre n'ont toujours pas compris. La bataille se joue sur le PC de M. tout le monde et non pas en entreprise. Une fois la partie gagnée sur le PC à la maison, il est très difficile de lutter contre la force d'inertie que ça implique au bureau. Les premiers, les chefs veulent voir au bureau le même logiciel qu'ils utilisent à la maison. Et les employés ne veulent pas se casser les méninges à utliser des choses "plus compliquées" au bureau qu'à la maison - et vice versa. Ca a été le génie de Microsoft de comprendre ça.
T'as quel âge ??? 15 ans ??? C'est pas croyable de lire des conneries pareilles.
Je suis probablement plus vieux que toi, et j'ai connu toute l'évolution depuis les mainframes.
Le PC à la maison, c'est un phénomène récent.
Non. Les gens qui comptent et qui décident dans les entreprises étaient équipés de PC dès le début. Ce sont eux qui ont transposé dans l'entreprise ce qu'ils avaient chez eux. Ce sont eux qui ont fait migrer le système d'information du mainframe vers le mini, du mini vers les stations Sun et compagnie et de ça vers Windows.
Microsoft a gagné la seule bataille qui compte, celle des entreprises, il y a plus de 15 ans, ce qui a fait que lorsque les particuliers ont commencé à 'équiper, bien après, ils ont pris la même chose à la maison que ce qu'il avaient au bureau.
Ca c'est la phase finale qui concerne les employés, par leurs supérieurs. Si tu avais lu ce que j'ai dit c'était explicitement souligné.
Oui, mais là a joué un facteur fondamental que les tenants du logiciel
libre n'ont toujours pas compris. La bataille se joue sur le PC de
M. tout le monde et non pas en entreprise. Une fois la partie gagnée sur
le PC à la maison, il est très difficile de lutter contre la force
d'inertie que ça implique au bureau. Les premiers, les chefs veulent
voir au bureau le même logiciel qu'ils utilisent à la maison. Et les
employés ne veulent pas se casser les méninges à utliser des choses
"plus compliquées" au bureau qu'à la maison - et vice versa. Ca a été le
génie de Microsoft de comprendre ça.
T'as quel âge ??? 15 ans ??? C'est pas croyable de lire des conneries
pareilles.
Je suis probablement plus vieux que toi, et j'ai connu toute l'évolution
depuis les mainframes.
Le PC à la maison, c'est un phénomène récent.
Non. Les gens qui comptent et qui décident dans les entreprises étaient
équipés de PC dès le début. Ce sont eux qui ont transposé dans
l'entreprise ce qu'ils avaient chez eux. Ce sont eux qui ont fait migrer
le système d'information du mainframe vers le mini, du mini vers les
stations Sun et compagnie et de ça vers Windows.
Microsoft a gagné la seule bataille qui compte, celle des entreprises,
il y a plus de 15 ans, ce qui a fait que lorsque les particuliers ont
commencé à 'équiper, bien après, ils ont pris la même chose à la
maison que ce qu'il avaient au bureau.
Ca c'est la phase finale qui concerne les employés, par leurs
supérieurs. Si tu avais lu ce que j'ai dit c'était explicitement
souligné.
Oui, mais là a joué un facteur fondamental que les tenants du logiciel libre n'ont toujours pas compris. La bataille se joue sur le PC de M. tout le monde et non pas en entreprise. Une fois la partie gagnée sur le PC à la maison, il est très difficile de lutter contre la force d'inertie que ça implique au bureau. Les premiers, les chefs veulent voir au bureau le même logiciel qu'ils utilisent à la maison. Et les employés ne veulent pas se casser les méninges à utliser des choses "plus compliquées" au bureau qu'à la maison - et vice versa. Ca a été le génie de Microsoft de comprendre ça.
T'as quel âge ??? 15 ans ??? C'est pas croyable de lire des conneries pareilles.
Je suis probablement plus vieux que toi, et j'ai connu toute l'évolution depuis les mainframes.
Le PC à la maison, c'est un phénomène récent.
Non. Les gens qui comptent et qui décident dans les entreprises étaient équipés de PC dès le début. Ce sont eux qui ont transposé dans l'entreprise ce qu'ils avaient chez eux. Ce sont eux qui ont fait migrer le système d'information du mainframe vers le mini, du mini vers les stations Sun et compagnie et de ça vers Windows.
Microsoft a gagné la seule bataille qui compte, celle des entreprises, il y a plus de 15 ans, ce qui a fait que lorsque les particuliers ont commencé à 'équiper, bien après, ils ont pris la même chose à la maison que ce qu'il avaient au bureau.
Ca c'est la phase finale qui concerne les employés, par leurs supérieurs. Si tu avais lu ce que j'ai dit c'était explicitement souligné.
--
Michel TALON
Yannick P.
Oui, je sais il y a quelques rares cas où le matériel marche sous Linux et pas Windows, ça m'est arrivé pour ma carte son
Pour une carte son, ça me semble très rare en effet. Quelle est-elle ? Le constructeur ne fournit pas de pilote pour Windows ou bien celui-ci est mauvais ?
Fu2 éventuel au choix, sais pas quoi choisir.
Oui, je sais il y a quelques rares cas où le matériel marche sous Linux
et pas Windows, ça m'est arrivé pour ma carte son
Pour une carte son, ça me semble très rare en effet. Quelle est-elle ?
Le constructeur ne fournit pas de pilote pour Windows ou bien celui-ci est
mauvais ?
Oui, je sais il y a quelques rares cas où le matériel marche sous Linux et pas Windows, ça m'est arrivé pour ma carte son
Pour une carte son, ça me semble très rare en effet. Quelle est-elle ? Le constructeur ne fournit pas de pilote pour Windows ou bien celui-ci est mauvais ?
Non. Les gens qui comptent et qui décident dans les entreprises étaient équipés de PC dès le début. Ce sont eux qui ont transposé dans l'entreprise ce qu'ils avaient chez eux. Ce sont eux qui ont fait migrer le système d'information du mainframe vers le mini, du mini vers les stations Sun et compagnie et de ça vers Windows.
Tu tombes mal, je dois être aussi vieille que toi, et je me souviens très bien de l'époque où il n'y avait que des terminaux sur les bureaux, et de la carte Irma, j'en ai charrié des cartons. Donc le décideur, il voulait un truc qui puisse remplacer le terminal, qui ait un tableur et un ttx, et qui mette pas son budget à plat. Je peux meme te dire qu'à l'époque, j'ai connu un certain nombre de décideurs qui avaient des Macs chez eux, et qui ont renoncé à en mettre dans l'entreprise, parce que faire tomber en marche des boîtes ou cartes Avatar, c'était pas gagné. -- Nina
Non. Les gens qui comptent et qui décident dans les entreprises étaient
équipés de PC dès le début. Ce sont eux qui ont transposé dans
l'entreprise ce qu'ils avaient chez eux. Ce sont eux qui ont fait migrer
le système d'information du mainframe vers le mini, du mini vers les
stations Sun et compagnie et de ça vers Windows.
Tu tombes mal, je dois être aussi vieille que toi, et je me souviens
très bien de l'époque où il n'y avait que des terminaux sur les
bureaux, et de la carte Irma, j'en ai charrié des cartons.
Donc le décideur, il voulait un truc qui puisse remplacer le terminal,
qui ait un tableur et un ttx, et qui mette pas son budget à plat.
Je peux meme te dire qu'à l'époque, j'ai connu un certain nombre de
décideurs qui avaient des Macs chez eux, et qui ont renoncé à en
mettre dans l'entreprise, parce que faire tomber en marche des boîtes
ou cartes Avatar, c'était pas gagné.
--
Nina
Non. Les gens qui comptent et qui décident dans les entreprises étaient équipés de PC dès le début. Ce sont eux qui ont transposé dans l'entreprise ce qu'ils avaient chez eux. Ce sont eux qui ont fait migrer le système d'information du mainframe vers le mini, du mini vers les stations Sun et compagnie et de ça vers Windows.
Tu tombes mal, je dois être aussi vieille que toi, et je me souviens très bien de l'époque où il n'y avait que des terminaux sur les bureaux, et de la carte Irma, j'en ai charrié des cartons. Donc le décideur, il voulait un truc qui puisse remplacer le terminal, qui ait un tableur et un ttx, et qui mette pas son budget à plat. Je peux meme te dire qu'à l'époque, j'ai connu un certain nombre de décideurs qui avaient des Macs chez eux, et qui ont renoncé à en mettre dans l'entreprise, parce que faire tomber en marche des boîtes ou cartes Avatar, c'était pas gagné. -- Nina
talon
Yannick P. wrote:
Oui, je sais il y a quelques rares cas où le matériel marche sous Linux et pas Windows, ça m'est arrivé pour ma carte son
Pour une carte son, ça me semble très rare en effet. Quelle est-elle ? Le constructeur ne fournit pas de pilote pour Windows ou bien celui-ci est mauvais ?
C'était une Sound Blaster Live! que j'ai achetée pas cher chez LCDI. Evidemment c'était un clone et le driver SoundBlaster refuse de la faire marcher. J'ai fini par trouver un driver libre http://kxproject.lugosoft.com/index.php?skip=1 qui fonctionne sous Windows. Par contre sous Linux, FreeBSD etc. la carte marche sans problème.
Fu2 éventuel au choix, sais pas quoi choisir.
--
Michel TALON
Yannick P. <confer_reply_to_address@invalid> wrote:
Oui, je sais il y a quelques rares cas où le matériel marche sous Linux
et pas Windows, ça m'est arrivé pour ma carte son
Pour une carte son, ça me semble très rare en effet. Quelle est-elle ?
Le constructeur ne fournit pas de pilote pour Windows ou bien celui-ci est
mauvais ?
C'était une Sound Blaster Live! que j'ai achetée pas cher chez LCDI.
Evidemment c'était un clone et le driver SoundBlaster refuse de la faire
marcher. J'ai fini par trouver un driver libre
http://kxproject.lugosoft.com/index.php?skip=1
qui fonctionne sous Windows. Par contre sous Linux, FreeBSD etc. la
carte marche sans problème.
Oui, je sais il y a quelques rares cas où le matériel marche sous Linux et pas Windows, ça m'est arrivé pour ma carte son
Pour une carte son, ça me semble très rare en effet. Quelle est-elle ? Le constructeur ne fournit pas de pilote pour Windows ou bien celui-ci est mauvais ?
C'était une Sound Blaster Live! que j'ai achetée pas cher chez LCDI. Evidemment c'était un clone et le driver SoundBlaster refuse de la faire marcher. J'ai fini par trouver un driver libre http://kxproject.lugosoft.com/index.php?skip=1 qui fonctionne sous Windows. Par contre sous Linux, FreeBSD etc. la carte marche sans problème.
Fu2 éventuel au choix, sais pas quoi choisir.
--
Michel TALON
sansflotusspam
Sam Hocevar a commis :
On Tue, 31 Jul 2007 09:58:30 +0200, sansflotusspam wrote:
sur 50 chans en même temps ?? ecrire sans fautes oui , ecrire avec les accents et autres cedilles c'est deja moins grave non ?! AMHA :)
heu, sans faute, c'est sans "s", s'il n'y en a pas, comment pourraient-elles être plurielles ? un saut quantique, peut'être ...
Sans vouloir être pédant, lorsque le groupe nominal serait au pluriel dans la forme positive de l'expression, il est souvent plus naturel de mettre aussi le pluriel après « zéro », « sans », etc. car ils peuvent être tout aussi bien le contraire de « un » comme de « plusieurs ».
On écrit donc mieux « il marche sans chaussures » au pluriel car on s'attend à ce que les gens aient deux chaussures, ou « encore un été sans vacances », voire « je n'ai jamais vu un thread fcold sans grosses conneries » car il y a toujours beaucoup de grosses conneries dans un thread fcold.
Il y a aussi des cas où la marque du pluriel apporte une précision importante. Par exemple, « je t'écrirai sans faute » est un engagement à écrire, et ne pas écrire constituerait *une* faute. En revanche, « je t'écrirai sans fautes » signifie que l'on ne fera pas de fautes en écrivant.
Sam.
Désolé, Maître Sam,
mais le français n'est pas comme Debian (***), il a des règles ! "sans" implique un espace totalement vide, donc 0x0x0x0x0 = toujours ZERO. Écrire "sans chaussureS", "sans nuageS", etc, est une absence de raisonnement, un contresens, une faute contre l'esprit, avant d'être une faute de langue ! Cinquante millions d'ignares peuvent répéter la même ânerie, elle demeure une ânerie multipliée par cinquante millions mais ne ne peut en aucun cas devenir une chose sensée. Amicalement
(***) Pardon ! je n'en pense rien, mais je n'ai pas pu résister ...
Sam Hocevar a commis :
On Tue, 31 Jul 2007 09:58:30 +0200, sansflotusspam wrote:
sur 50 chans en même temps ??
ecrire sans fautes oui , ecrire avec les accents et autres cedilles
c'est deja moins grave non ?! AMHA :)
heu, sans faute, c'est sans "s", s'il n'y en a pas, comment
pourraient-elles être plurielles ? un saut quantique, peut'être ...
Sans vouloir être pédant, lorsque le groupe nominal serait au
pluriel
dans la forme positive de l'expression, il est souvent plus naturel de
mettre aussi le pluriel après « zéro », « sans », etc. car ils peuvent
être tout aussi bien le contraire de « un » comme de « plusieurs ».
On écrit donc mieux « il marche sans chaussures » au pluriel car on
s'attend à ce que les gens aient deux chaussures, ou « encore un été
sans vacances », voire « je n'ai jamais vu un thread fcold sans
grosses conneries » car il y a toujours beaucoup de grosses conneries
dans un thread fcold.
Il y a aussi des cas où la marque du pluriel apporte une précision
importante. Par exemple, « je t'écrirai sans faute » est un engagement
à écrire, et ne pas écrire constituerait *une* faute. En revanche, «
je t'écrirai sans fautes » signifie que l'on ne fera pas de fautes en
écrivant.
Sam.
Désolé, Maître Sam,
mais le français n'est pas comme Debian (***), il a des règles !
"sans" implique un espace totalement vide, donc 0x0x0x0x0 = toujours
ZERO.
Écrire "sans chaussureS", "sans nuageS", etc, est une absence de
raisonnement, un contresens, une faute contre l'esprit, avant d'être
une faute de langue !
Cinquante millions d'ignares peuvent répéter la même ânerie, elle
demeure une ânerie multipliée par cinquante millions mais ne ne peut en
aucun cas devenir une chose sensée.
Amicalement
(***) Pardon ! je n'en pense rien, mais je n'ai pas pu résister ...
On Tue, 31 Jul 2007 09:58:30 +0200, sansflotusspam wrote:
sur 50 chans en même temps ?? ecrire sans fautes oui , ecrire avec les accents et autres cedilles c'est deja moins grave non ?! AMHA :)
heu, sans faute, c'est sans "s", s'il n'y en a pas, comment pourraient-elles être plurielles ? un saut quantique, peut'être ...
Sans vouloir être pédant, lorsque le groupe nominal serait au pluriel dans la forme positive de l'expression, il est souvent plus naturel de mettre aussi le pluriel après « zéro », « sans », etc. car ils peuvent être tout aussi bien le contraire de « un » comme de « plusieurs ».
On écrit donc mieux « il marche sans chaussures » au pluriel car on s'attend à ce que les gens aient deux chaussures, ou « encore un été sans vacances », voire « je n'ai jamais vu un thread fcold sans grosses conneries » car il y a toujours beaucoup de grosses conneries dans un thread fcold.
Il y a aussi des cas où la marque du pluriel apporte une précision importante. Par exemple, « je t'écrirai sans faute » est un engagement à écrire, et ne pas écrire constituerait *une* faute. En revanche, « je t'écrirai sans fautes » signifie que l'on ne fera pas de fautes en écrivant.
Sam.
Désolé, Maître Sam,
mais le français n'est pas comme Debian (***), il a des règles ! "sans" implique un espace totalement vide, donc 0x0x0x0x0 = toujours ZERO. Écrire "sans chaussureS", "sans nuageS", etc, est une absence de raisonnement, un contresens, une faute contre l'esprit, avant d'être une faute de langue ! Cinquante millions d'ignares peuvent répéter la même ânerie, elle demeure une ânerie multipliée par cinquante millions mais ne ne peut en aucun cas devenir une chose sensée. Amicalement
(***) Pardon ! je n'en pense rien, mais je n'ai pas pu résister ...
sansflotusspam
SL a commis :
Le 30-07-2007, Nicolas George <nicolas$ a écrit :
Jerome Lambert , dans le message <46ae5c0c$0$13864$, a écrit :
Bien sûr que non, les deux approches ne visant pas le même public. L'approche GUI vise l'admin "personnel" qui gère sa machine seul et avec un niveau de compétences minimum, ce qui nécessite des outils simples et rapides à appréhender.
Elle le vise, oui, mais comme les émission de télé-réalité visent le téléspectateur moyen : ça flatte les instincts les plus bas (la paresse intellectuelle dans le cas de l'interface cliquodrome, le voyeurisme dans le cas de la télé-rélité), ce n'est pas une bonne chose pour autant.
Arrête un peu les jugements de valeur et le fanatisme. Les motivations supposées (bonnes ou mauvaises) des utilisateurs n'ont pas a être prise en compte dans ce débat, sinon tout arguments factuels (utilisabilité, etc.), devient inutilisables.
Et honnêtement défendre la ligne de commande en soi contre l'interface graphique en soi ça ne veut tout simplement strictement rien dire, ce n'est tout simplement pas ***censé***
ou SENSÉ ?
. Le fait de formaliser les règles d'une analogie e ntre les deux (tu compares C1 et S2 et non pas C1 et S1) est dans ce cas de figure ***complètement oiseux***.
Et n'avoir aucune idée de la pertinence de l'utilisation d'une formalisation rend complètement inutiles les meilleures compétences formelles, c'est d'ailleurs terrifiant de les voir régulièrement se perdre, chez toi, dans des culs de sac.
SL a commis :
Le 30-07-2007, Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> a écrit :
Jerome Lambert , dans le message
<46ae5c0c$0$13864$ba620e4c@news.skynet.be>, a écrit :
Bien sûr que non, les deux approches ne visant pas le même public.
L'approche GUI vise l'admin "personnel" qui gère sa machine seul et
avec un niveau de compétences minimum, ce qui nécessite des outils
simples et rapides à appréhender.
Elle le vise, oui, mais comme les émission de télé-réalité visent le
téléspectateur moyen : ça flatte les instincts les plus bas (la
paresse intellectuelle dans le cas de l'interface cliquodrome, le
voyeurisme dans le cas de la télé-rélité), ce n'est pas une bonne
chose pour autant.
Arrête un peu les jugements de valeur et le fanatisme. Les motivations
supposées (bonnes ou mauvaises) des utilisateurs n'ont pas a être
prise en compte dans ce débat, sinon tout arguments factuels
(utilisabilité, etc.), devient inutilisables.
Et honnêtement défendre la ligne de commande en soi contre l'interface
graphique en soi ça ne veut tout simplement strictement rien dire, ce
n'est tout simplement pas ***censé***
ou SENSÉ ?
. Le fait de formaliser les
règles d'une analogie e ntre les deux (tu compares C1 et S2 et non pas
C1 et S1) est dans ce cas de figure ***complètement oiseux***.
Et n'avoir aucune idée de la pertinence de l'utilisation d'une
formalisation rend complètement inutiles les meilleures compétences
formelles, c'est d'ailleurs terrifiant de les voir régulièrement se
perdre, chez toi, dans des culs de sac.
Jerome Lambert , dans le message <46ae5c0c$0$13864$, a écrit :
Bien sûr que non, les deux approches ne visant pas le même public. L'approche GUI vise l'admin "personnel" qui gère sa machine seul et avec un niveau de compétences minimum, ce qui nécessite des outils simples et rapides à appréhender.
Elle le vise, oui, mais comme les émission de télé-réalité visent le téléspectateur moyen : ça flatte les instincts les plus bas (la paresse intellectuelle dans le cas de l'interface cliquodrome, le voyeurisme dans le cas de la télé-rélité), ce n'est pas une bonne chose pour autant.
Arrête un peu les jugements de valeur et le fanatisme. Les motivations supposées (bonnes ou mauvaises) des utilisateurs n'ont pas a être prise en compte dans ce débat, sinon tout arguments factuels (utilisabilité, etc.), devient inutilisables.
Et honnêtement défendre la ligne de commande en soi contre l'interface graphique en soi ça ne veut tout simplement strictement rien dire, ce n'est tout simplement pas ***censé***
ou SENSÉ ?
. Le fait de formaliser les règles d'une analogie e ntre les deux (tu compares C1 et S2 et non pas C1 et S1) est dans ce cas de figure ***complètement oiseux***.
Et n'avoir aucune idée de la pertinence de l'utilisation d'une formalisation rend complètement inutiles les meilleures compétences formelles, c'est d'ailleurs terrifiant de les voir régulièrement se perdre, chez toi, dans des culs de sac.
Nicolas S.
Effectivement, il ne faut pas se baser UNIQUEMENT sur le support materiel par defaut de la distribution pour choisir. Mais entre plusieurs distributions dont le reste des fonctionnalités convient au besoin, moi je choisis celle qui reconnait correctement le materiel par defaut.
Tu ne serais pas en train de t'imaginer qu'il n'y a pas de différences entre les distributions à part au moment de l'installation, j'espère ? L'installation, en particulier sur une machine professionnelle, représente une part infime de la tâche d'administration d'une machine.
Je ne pense pas que ca represente une part infime. Rajouter le support d'un materiel sur une distribution n'est pas forcement une chose très simple à faire. Les gens n'ont pas forcement beaucoup de temps à consacrer à l'installation.
Ben justement, il n'est pas question des gens là...
-- Nicolas S.
Effectivement, il ne faut pas se baser UNIQUEMENT sur le support materiel
par defaut de la distribution pour choisir. Mais entre plusieurs
distributions dont le reste des fonctionnalités convient au besoin, moi
je choisis celle qui reconnait correctement le materiel par defaut.
Tu ne serais pas en train de t'imaginer qu'il n'y a pas de différences entre
les distributions à part au moment de l'installation, j'espère ?
L'installation, en particulier sur une machine professionnelle, représente
une part infime de la tâche d'administration d'une machine.
Je ne pense pas que ca represente une part infime. Rajouter le support
d'un materiel sur une distribution n'est pas forcement une chose très
simple à faire. Les gens n'ont pas forcement beaucoup de temps à
consacrer à l'installation.
Ben justement, il n'est pas question des gens là...
Effectivement, il ne faut pas se baser UNIQUEMENT sur le support materiel par defaut de la distribution pour choisir. Mais entre plusieurs distributions dont le reste des fonctionnalités convient au besoin, moi je choisis celle qui reconnait correctement le materiel par defaut.
Tu ne serais pas en train de t'imaginer qu'il n'y a pas de différences entre les distributions à part au moment de l'installation, j'espère ? L'installation, en particulier sur une machine professionnelle, représente une part infime de la tâche d'administration d'une machine.
Je ne pense pas que ca represente une part infime. Rajouter le support d'un materiel sur une distribution n'est pas forcement une chose très simple à faire. Les gens n'ont pas forcement beaucoup de temps à consacrer à l'installation.
Ben justement, il n'est pas question des gens là...
-- Nicolas S.
JKB
Le 31-07-2007, à propos de Re: Evoluer ou pas? (Was: quelle distribution?), sansflotusspam écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Sam Hocevar a commis :
On Tue, 31 Jul 2007 09:58:30 +0200, sansflotusspam wrote:
sur 50 chans en même temps ?? ecrire sans fautes oui , ecrire avec les accents et autres cedilles c'est deja moins grave non ?! AMHA :)
heu, sans faute, c'est sans "s", s'il n'y en a pas, comment pourraient-elles être plurielles ? un saut quantique, peut'être ...
Sans vouloir être pédant, lorsque le groupe nominal serait au pluriel dans la forme positive de l'expression, il est souvent plus naturel de mettre aussi le pluriel après « zéro », « sans », etc. car ils peuvent être tout aussi bien le contraire de « un » comme de « plusieurs ».
On écrit donc mieux « il marche sans chaussures » au pluriel car on s'attend à ce que les gens aient deux chaussures, ou « encore un été sans vacances », voire « je n'ai jamais vu un thread fcold sans grosses conneries » car il y a toujours beaucoup de grosses conneries dans un thread fcold.
Il y a aussi des cas où la marque du pluriel apporte une précision importante. Par exemple, « je t'écrirai sans faute » est un engagement à écrire, et ne pas écrire constituerait *une* faute. En revanche, « je t'écrirai sans fautes » signifie que l'on ne fera pas de fautes en écrivant.
Sam.
Désolé, Maître Sam,
mais le français n'est pas comme Debian (***), il a des règles ! "sans" implique un espace totalement vide, donc 0x0x0x0x0 = toujours ZERO. Écrire "sans chaussureS", "sans nuageS", etc, est une absence de raisonnement, un contresens, une faute contre l'esprit, avant d'être une faute de langue !
Non, pas d'après Grevisse. Il y a une différence entre "sans chaussures" et "sans chaussure". On appelle même cela une ellipse. Le "sans" toujours suivi d'un singulier est exactement du même tonneau que les majuscules soi-disant jamais accentuées.
JKB
-- Il faudrait de toute façon écrire ces grandes orgues sont les plus belles des plus beaux si on ne veut pas se vanter d'écrire sa langue comme un cochon.
Le 31-07-2007, à propos de
Re: Evoluer ou pas? (Was: quelle distribution?),
sansflotusspam écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Sam Hocevar a commis :
On Tue, 31 Jul 2007 09:58:30 +0200, sansflotusspam wrote:
sur 50 chans en même temps ??
ecrire sans fautes oui , ecrire avec les accents et autres cedilles
c'est deja moins grave non ?! AMHA :)
heu, sans faute, c'est sans "s", s'il n'y en a pas, comment
pourraient-elles être plurielles ? un saut quantique, peut'être ...
Sans vouloir être pédant, lorsque le groupe nominal serait au
pluriel
dans la forme positive de l'expression, il est souvent plus naturel de
mettre aussi le pluriel après « zéro », « sans », etc. car ils peuvent
être tout aussi bien le contraire de « un » comme de « plusieurs ».
On écrit donc mieux « il marche sans chaussures » au pluriel car on
s'attend à ce que les gens aient deux chaussures, ou « encore un été
sans vacances », voire « je n'ai jamais vu un thread fcold sans
grosses conneries » car il y a toujours beaucoup de grosses conneries
dans un thread fcold.
Il y a aussi des cas où la marque du pluriel apporte une précision
importante. Par exemple, « je t'écrirai sans faute » est un engagement
à écrire, et ne pas écrire constituerait *une* faute. En revanche, «
je t'écrirai sans fautes » signifie que l'on ne fera pas de fautes en
écrivant.
Sam.
Désolé, Maître Sam,
mais le français n'est pas comme Debian (***), il a des règles !
"sans" implique un espace totalement vide, donc 0x0x0x0x0 = toujours
ZERO.
Écrire "sans chaussureS", "sans nuageS", etc, est une absence de
raisonnement, un contresens, une faute contre l'esprit, avant d'être
une faute de langue !
Non, pas d'après Grevisse. Il y a une différence entre "sans
chaussures" et "sans chaussure". On appelle même cela une ellipse.
Le "sans" toujours suivi d'un singulier est exactement du même
tonneau que les majuscules soi-disant jamais accentuées.
JKB
--
Il faudrait de toute façon écrire ces grandes orgues sont les plus
belles des plus beaux si on ne veut pas se vanter d'écrire sa langue
comme un cochon.
Le 31-07-2007, à propos de Re: Evoluer ou pas? (Was: quelle distribution?), sansflotusspam écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Sam Hocevar a commis :
On Tue, 31 Jul 2007 09:58:30 +0200, sansflotusspam wrote:
sur 50 chans en même temps ?? ecrire sans fautes oui , ecrire avec les accents et autres cedilles c'est deja moins grave non ?! AMHA :)
heu, sans faute, c'est sans "s", s'il n'y en a pas, comment pourraient-elles être plurielles ? un saut quantique, peut'être ...
Sans vouloir être pédant, lorsque le groupe nominal serait au pluriel dans la forme positive de l'expression, il est souvent plus naturel de mettre aussi le pluriel après « zéro », « sans », etc. car ils peuvent être tout aussi bien le contraire de « un » comme de « plusieurs ».
On écrit donc mieux « il marche sans chaussures » au pluriel car on s'attend à ce que les gens aient deux chaussures, ou « encore un été sans vacances », voire « je n'ai jamais vu un thread fcold sans grosses conneries » car il y a toujours beaucoup de grosses conneries dans un thread fcold.
Il y a aussi des cas où la marque du pluriel apporte une précision importante. Par exemple, « je t'écrirai sans faute » est un engagement à écrire, et ne pas écrire constituerait *une* faute. En revanche, « je t'écrirai sans fautes » signifie que l'on ne fera pas de fautes en écrivant.
Sam.
Désolé, Maître Sam,
mais le français n'est pas comme Debian (***), il a des règles ! "sans" implique un espace totalement vide, donc 0x0x0x0x0 = toujours ZERO. Écrire "sans chaussureS", "sans nuageS", etc, est une absence de raisonnement, un contresens, une faute contre l'esprit, avant d'être une faute de langue !
Non, pas d'après Grevisse. Il y a une différence entre "sans chaussures" et "sans chaussure". On appelle même cela une ellipse. Le "sans" toujours suivi d'un singulier est exactement du même tonneau que les majuscules soi-disant jamais accentuées.
JKB
-- Il faudrait de toute façon écrire ces grandes orgues sont les plus belles des plus beaux si on ne veut pas se vanter d'écrire sa langue comme un cochon.
Nicolas S.
Nicolas George <nicolas$ wrote:
J'ai une question pour les pros des serveurs ; on a reçu deux serveurs quadri-processeurs (enfin deux processeurs de deux coeurs) chacun, chacun 8 GO de Ram, de superbes cartes mère Tyan, et qui se partagent une baie en Raid 6 de 7,5 TO. Quand on a les moyens d'avoir ça, on a les moyens de payer un administrateur
compétent, donc :
Débile!
Non.
Une machine de ce genre coute 3k euros et on va la garder plusieurs années, un administrateur coute > 50k euros *par an*. Il faut être totalement coupé des réalités pour sortir des âneries pareilles. Il faut avoir de l'ordre de 100 machines pour justifier un administrateur et encore il travaille à mi-temps sinon à 1/4 temps s'il est compétent.
En admettant que tu dises vrai, rien n'oblige d'avoir les compétences en interne... Donc ton calcul est complètement à revoir.
-- Nicolas S.
Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> wrote:
J'ai une question pour les pros des serveurs ; on a reçu deux serveurs
quadri-processeurs (enfin deux processeurs de deux coeurs) chacun,
chacun 8 GO de Ram, de superbes cartes mère Tyan, et qui se partagent
une baie en Raid 6 de 7,5 TO.
Quand on a les moyens d'avoir ça, on a les moyens de payer un administrateur
compétent, donc :
Débile!
Non.
Une machine de ce genre coute 3k euros et on va la garder
plusieurs années, un administrateur coute > 50k euros *par an*. Il faut
être totalement coupé des réalités pour sortir des âneries pareilles.
Il faut avoir de l'ordre de 100 machines pour justifier un
administrateur et encore il travaille à mi-temps sinon à 1/4 temps
s'il est compétent.
En admettant que tu dises vrai, rien n'oblige d'avoir les compétences en
interne...
Donc ton calcul est complètement à revoir.
J'ai une question pour les pros des serveurs ; on a reçu deux serveurs quadri-processeurs (enfin deux processeurs de deux coeurs) chacun, chacun 8 GO de Ram, de superbes cartes mère Tyan, et qui se partagent une baie en Raid 6 de 7,5 TO. Quand on a les moyens d'avoir ça, on a les moyens de payer un administrateur
compétent, donc :
Débile!
Non.
Une machine de ce genre coute 3k euros et on va la garder plusieurs années, un administrateur coute > 50k euros *par an*. Il faut être totalement coupé des réalités pour sortir des âneries pareilles. Il faut avoir de l'ordre de 100 machines pour justifier un administrateur et encore il travaille à mi-temps sinon à 1/4 temps s'il est compétent.
En admettant que tu dises vrai, rien n'oblige d'avoir les compétences en interne... Donc ton calcul est complètement à revoir.