Simplement,
ce plan de netteté est incliné, et ça n'a rien à voir avec la profondeur
de champ. Mais qu'on s'écarte de ce plan et on retrouvera des points
flous. Il faut utiliser les notions qui vont bien.
Ai-je dit le contraire ?
C'est quand même miraculeux : en inclinant le plan de netteté on floute
ou on précise plus ou moins les différents plans de l'image mais il ne
faut surtout pas parler de variation de profondeur de champ, même
apparente.
On l'appelle comment alors, ce floutage variable si le terme canonique
de profondeur de champ, qu'il ne faut surtout pas utiliser à tort, est
interdit, même dans la pratique ?
Je te recommanderais de relire la page 333 du monumental ouvrage de René
Bouillot : "La pratique du réflex numérique", 3ème édition, bourré de
maths et qui fait autorité, lequel écrit : "... La grande vertu de la
bascule est de permettre de contrôler la profondeur de champ d'un plan
de la scène non parallèle au plan focal, selon la condition de
Scheimpflug".
Par ailleurs, GR voudrait qu'on puisse réduire la PDC avec la bascule.
Il aurait dû essayer ; il avait droit à sept essais, naturellement.
Que de mots inutiles pour éviter de parler de la règle de Scheimpflug,
histoire de ne surtout pas reprendre une notion que j'ai introduite et
qui circonscrit le problème.
J'ai connu Charles Vassalo en bien meilleure forme pédagogique quand il
auscultait les gouttes de pluie.
Là, j'ai envie de verser des larmes.
Simplement,
ce plan de netteté est incliné, et ça n'a rien à voir avec la profondeur
de champ. Mais qu'on s'écarte de ce plan et on retrouvera des points
flous. Il faut utiliser les notions qui vont bien.
Ai-je dit le contraire ?
C'est quand même miraculeux : en inclinant le plan de netteté on floute
ou on précise plus ou moins les différents plans de l'image mais il ne
faut surtout pas parler de variation de profondeur de champ, même
apparente.
On l'appelle comment alors, ce floutage variable si le terme canonique
de profondeur de champ, qu'il ne faut surtout pas utiliser à tort, est
interdit, même dans la pratique ?
Je te recommanderais de relire la page 333 du monumental ouvrage de René
Bouillot : "La pratique du réflex numérique", 3ème édition, bourré de
maths et qui fait autorité, lequel écrit : "... La grande vertu de la
bascule est de permettre de contrôler la profondeur de champ d'un plan
de la scène non parallèle au plan focal, selon la condition de
Scheimpflug".
Par ailleurs, GR voudrait qu'on puisse réduire la PDC avec la bascule.
Il aurait dû essayer ; il avait droit à sept essais, naturellement.
Que de mots inutiles pour éviter de parler de la règle de Scheimpflug,
histoire de ne surtout pas reprendre une notion que j'ai introduite et
qui circonscrit le problème.
J'ai connu Charles Vassalo en bien meilleure forme pédagogique quand il
auscultait les gouttes de pluie.
Là, j'ai envie de verser des larmes.
Simplement,
ce plan de netteté est incliné, et ça n'a rien à voir avec la profondeur
de champ. Mais qu'on s'écarte de ce plan et on retrouvera des points
flous. Il faut utiliser les notions qui vont bien.
Ai-je dit le contraire ?
C'est quand même miraculeux : en inclinant le plan de netteté on floute
ou on précise plus ou moins les différents plans de l'image mais il ne
faut surtout pas parler de variation de profondeur de champ, même
apparente.
On l'appelle comment alors, ce floutage variable si le terme canonique
de profondeur de champ, qu'il ne faut surtout pas utiliser à tort, est
interdit, même dans la pratique ?
Je te recommanderais de relire la page 333 du monumental ouvrage de René
Bouillot : "La pratique du réflex numérique", 3ème édition, bourré de
maths et qui fait autorité, lequel écrit : "... La grande vertu de la
bascule est de permettre de contrôler la profondeur de champ d'un plan
de la scène non parallèle au plan focal, selon la condition de
Scheimpflug".
Par ailleurs, GR voudrait qu'on puisse réduire la PDC avec la bascule.
Il aurait dû essayer ; il avait droit à sept essais, naturellement.
Que de mots inutiles pour éviter de parler de la règle de Scheimpflug,
histoire de ne surtout pas reprendre une notion que j'ai introduite et
qui circonscrit le problème.
J'ai connu Charles Vassalo en bien meilleure forme pédagogique quand il
auscultait les gouttes de pluie.
Là, j'ai envie de verser des larmes.
Le 29/08/2016 à 15:21, Jean-Pierre Roche a écrit :Le 29/08/2016 à 12:42, popol a écrit :Pour le convertisseur j'ai aussi des doutes, c'est aussi un
peu pour ça que je posais la question. Il est clair qu'on ne
peut attendre d'un machin à 200 ¤ les résultats d'un télé à
800 et plus.
Très souvent, le convertisseur ne se monte même pas : la lentille avant
du convertisseur et la lentille arrière du zoom souhaitent occuper le
même endroit !
C'est ce qui arrive avec le complément X1,4 de Nikon et certains zooms
contrairement à celui d'autres marques.
Le 29/08/2016 à 15:21, Jean-Pierre Roche a écrit :
Le 29/08/2016 à 12:42, popol a écrit :
Pour le convertisseur j'ai aussi des doutes, c'est aussi un
peu pour ça que je posais la question. Il est clair qu'on ne
peut attendre d'un machin à 200 ¤ les résultats d'un télé à
800 et plus.
Très souvent, le convertisseur ne se monte même pas : la lentille avant
du convertisseur et la lentille arrière du zoom souhaitent occuper le
même endroit !
C'est ce qui arrive avec le complément X1,4 de Nikon et certains zooms
contrairement à celui d'autres marques.
Le 29/08/2016 à 15:21, Jean-Pierre Roche a écrit :Le 29/08/2016 à 12:42, popol a écrit :Pour le convertisseur j'ai aussi des doutes, c'est aussi un
peu pour ça que je posais la question. Il est clair qu'on ne
peut attendre d'un machin à 200 ¤ les résultats d'un télé à
800 et plus.
Très souvent, le convertisseur ne se monte même pas : la lentille avant
du convertisseur et la lentille arrière du zoom souhaitent occuper le
même endroit !
C'est ce qui arrive avec le complément X1,4 de Nikon et certains zooms
contrairement à celui d'autres marques.
GhostRaider a écrit :Simplement,
ce plan de netteté est incliné, et ça n'a rien à voir avec la profondeur
de champ. Mais qu'on s'écarte de ce plan et on retrouvera des points
flous. Il faut utiliser les notions qui vont bien.
Ai-je dit le contraire ?
Un peu, tout de même (euphémisme) ; comme tu dis un peu n'importe quoi, il y
a des bouts de vrai mêlés à des affirmations erronées. Tu t'exprimes mal en
utilisant des notions en dehors de leur domaine de validité.C'est quand même miraculeux : en inclinant le plan de netteté on floute
ou on précise plus ou moins les différents plans de l'image mais il ne
faut surtout pas parler de variation de profondeur de champ, même
apparente.
On l'appelle comment alors, ce floutage variable si le terme canonique
de profondeur de champ, qu'il ne faut surtout pas utiliser à tort, est
interdit, même dans la pratique ?
On apprend à surtout s'exprimer correctement. On peut bel et bien parler de
profondeur de champ avec un objectif à bascule et ça n'a rien à voir avec ta
«PDC apparente». J'ai trouvé un article de wikipedia que tu devrais méditer,
où on parle de bascule et de profondeur de champ telle que les gens sérieux
-- ou moi -- la comprennent :
https://en.wikipedia.org/wiki/Tilt–shift_photographyJe te recommanderais de relire la page 333 du monumental ouvrage de René
Bouillot : "La pratique du réflex numérique", 3ème édition, bourré de
maths et qui fait autorité, lequel écrit : "... La grande vertu de la
bascule est de permettre de contrôler la profondeur de champ d'un plan
de la scène non parallèle au plan focal, selon la condition de
Scheimpflug".
S'agenouiller devant un bouquin bourré de maths ? Quelle drôle d'idée... Ton
idole favorite a loupé là une belle occasion de se taire, car «la profondeur
de champ d'un plan de la scène», ça ne veut rien dire du tout, point barre,
et ces termes, seraient-ils repris par une foule de sectateurs, n'en
prendraient pas davantage de sens. Il n'y a pas d'équation dans l'article de
wiki que j'ai cité.
Le lecteur intelligent voit très bien ce qu'il veut dire ; malheureusement,
ce n'est pas ce qu'il dit et c'est très fâcheux quand certains vous prêtent
autant d'autorité.Par ailleurs, GR voudrait qu'on puisse réduire la PDC avec la bascule.
Il aurait dû essayer ; il avait droit à sept essais, naturellement.
Que de mots inutiles pour éviter de parler de la règle de Scheimpflug,
histoire de ne surtout pas reprendre une notion que j'ai introduite et
qui circonscrit le problème.
Je ne m'abrite pas derrière de grands mots dont je ne suis pas sûr de la
pertinence. Tu as bel et bien écrit qu'on pouvait réduire la PDC avec une
bascule, je te mets donc au défi : pars d'un objectif normal de 50mm, full
frame, mise au point à 2m à f/8, bref avec une PDC de 0,6m (selon Zeiss et
Sinar) et explique avec quel mouvement de bascule miraculeux tu pourrais
réduire cette PDC.J'ai connu Charles Vassalo en bien meilleure forme pédagogique quand il
auscultait les gouttes de pluie.
Là, j'ai envie de verser des larmes.
GhostRaider a écrit :
Simplement,
ce plan de netteté est incliné, et ça n'a rien à voir avec la profondeur
de champ. Mais qu'on s'écarte de ce plan et on retrouvera des points
flous. Il faut utiliser les notions qui vont bien.
Ai-je dit le contraire ?
Un peu, tout de même (euphémisme) ; comme tu dis un peu n'importe quoi, il y
a des bouts de vrai mêlés à des affirmations erronées. Tu t'exprimes mal en
utilisant des notions en dehors de leur domaine de validité.
C'est quand même miraculeux : en inclinant le plan de netteté on floute
ou on précise plus ou moins les différents plans de l'image mais il ne
faut surtout pas parler de variation de profondeur de champ, même
apparente.
On l'appelle comment alors, ce floutage variable si le terme canonique
de profondeur de champ, qu'il ne faut surtout pas utiliser à tort, est
interdit, même dans la pratique ?
On apprend à surtout s'exprimer correctement. On peut bel et bien parler de
profondeur de champ avec un objectif à bascule et ça n'a rien à voir avec ta
«PDC apparente». J'ai trouvé un article de wikipedia que tu devrais méditer,
où on parle de bascule et de profondeur de champ telle que les gens sérieux
-- ou moi -- la comprennent :
https://en.wikipedia.org/wiki/Tilt–shift_photography
Je te recommanderais de relire la page 333 du monumental ouvrage de René
Bouillot : "La pratique du réflex numérique", 3ème édition, bourré de
maths et qui fait autorité, lequel écrit : "... La grande vertu de la
bascule est de permettre de contrôler la profondeur de champ d'un plan
de la scène non parallèle au plan focal, selon la condition de
Scheimpflug".
S'agenouiller devant un bouquin bourré de maths ? Quelle drôle d'idée... Ton
idole favorite a loupé là une belle occasion de se taire, car «la profondeur
de champ d'un plan de la scène», ça ne veut rien dire du tout, point barre,
et ces termes, seraient-ils repris par une foule de sectateurs, n'en
prendraient pas davantage de sens. Il n'y a pas d'équation dans l'article de
wiki que j'ai cité.
Le lecteur intelligent voit très bien ce qu'il veut dire ; malheureusement,
ce n'est pas ce qu'il dit et c'est très fâcheux quand certains vous prêtent
autant d'autorité.
Par ailleurs, GR voudrait qu'on puisse réduire la PDC avec la bascule.
Il aurait dû essayer ; il avait droit à sept essais, naturellement.
Que de mots inutiles pour éviter de parler de la règle de Scheimpflug,
histoire de ne surtout pas reprendre une notion que j'ai introduite et
qui circonscrit le problème.
Je ne m'abrite pas derrière de grands mots dont je ne suis pas sûr de la
pertinence. Tu as bel et bien écrit qu'on pouvait réduire la PDC avec une
bascule, je te mets donc au défi : pars d'un objectif normal de 50mm, full
frame, mise au point à 2m à f/8, bref avec une PDC de 0,6m (selon Zeiss et
Sinar) et explique avec quel mouvement de bascule miraculeux tu pourrais
réduire cette PDC.
J'ai connu Charles Vassalo en bien meilleure forme pédagogique quand il
auscultait les gouttes de pluie.
Là, j'ai envie de verser des larmes.
GhostRaider a écrit :Simplement,
ce plan de netteté est incliné, et ça n'a rien à voir avec la profondeur
de champ. Mais qu'on s'écarte de ce plan et on retrouvera des points
flous. Il faut utiliser les notions qui vont bien.
Ai-je dit le contraire ?
Un peu, tout de même (euphémisme) ; comme tu dis un peu n'importe quoi, il y
a des bouts de vrai mêlés à des affirmations erronées. Tu t'exprimes mal en
utilisant des notions en dehors de leur domaine de validité.C'est quand même miraculeux : en inclinant le plan de netteté on floute
ou on précise plus ou moins les différents plans de l'image mais il ne
faut surtout pas parler de variation de profondeur de champ, même
apparente.
On l'appelle comment alors, ce floutage variable si le terme canonique
de profondeur de champ, qu'il ne faut surtout pas utiliser à tort, est
interdit, même dans la pratique ?
On apprend à surtout s'exprimer correctement. On peut bel et bien parler de
profondeur de champ avec un objectif à bascule et ça n'a rien à voir avec ta
«PDC apparente». J'ai trouvé un article de wikipedia que tu devrais méditer,
où on parle de bascule et de profondeur de champ telle que les gens sérieux
-- ou moi -- la comprennent :
https://en.wikipedia.org/wiki/Tilt–shift_photographyJe te recommanderais de relire la page 333 du monumental ouvrage de René
Bouillot : "La pratique du réflex numérique", 3ème édition, bourré de
maths et qui fait autorité, lequel écrit : "... La grande vertu de la
bascule est de permettre de contrôler la profondeur de champ d'un plan
de la scène non parallèle au plan focal, selon la condition de
Scheimpflug".
S'agenouiller devant un bouquin bourré de maths ? Quelle drôle d'idée... Ton
idole favorite a loupé là une belle occasion de se taire, car «la profondeur
de champ d'un plan de la scène», ça ne veut rien dire du tout, point barre,
et ces termes, seraient-ils repris par une foule de sectateurs, n'en
prendraient pas davantage de sens. Il n'y a pas d'équation dans l'article de
wiki que j'ai cité.
Le lecteur intelligent voit très bien ce qu'il veut dire ; malheureusement,
ce n'est pas ce qu'il dit et c'est très fâcheux quand certains vous prêtent
autant d'autorité.Par ailleurs, GR voudrait qu'on puisse réduire la PDC avec la bascule.
Il aurait dû essayer ; il avait droit à sept essais, naturellement.
Que de mots inutiles pour éviter de parler de la règle de Scheimpflug,
histoire de ne surtout pas reprendre une notion que j'ai introduite et
qui circonscrit le problème.
Je ne m'abrite pas derrière de grands mots dont je ne suis pas sûr de la
pertinence. Tu as bel et bien écrit qu'on pouvait réduire la PDC avec une
bascule, je te mets donc au défi : pars d'un objectif normal de 50mm, full
frame, mise au point à 2m à f/8, bref avec une PDC de 0,6m (selon Zeiss et
Sinar) et explique avec quel mouvement de bascule miraculeux tu pourrais
réduire cette PDC.J'ai connu Charles Vassalo en bien meilleure forme pédagogique quand il
auscultait les gouttes de pluie.
Là, j'ai envie de verser des larmes.
Le lundi 29 août 2016 16:24:28 UTC+2, Jacques L'helgoualc'h a écrit :Le 29-08-2016, Nul a écrit :Le lundi 29 août 2016 12:13:04 UTC+2, Jacques L'helgoualc'h a écrit :[...]Le 28-08-2016, GhostRaider a écrit :> Mais il y a un autre avantage : quand on rectifie la perspective parce qui n'a pas grande importance pour la post prod, puisque l'on peut
> voie logicielle, les angles inférieurs du premier plan sont souvent
> tronqués,
... parce que le cadrage était trop serré.
agrandir l'espace de travail pour justement ne pas " rogner " dans l'image
Oui, mais une fois que tu as redressé le /sujet/, la photo entière
n'est plus rectangulaire, et en voulant retrouver un cadre
rectangulaire, tu peux devoir rogner, ou avoir à extrapoler...
tout à fait, mais il y a un mais, le problème est inverse, c'est parce
que l'on (l'objectif) veut mettre dans un rectangle (le capteur) une
scène à perspectives multiples en la contorsionnant , une fois ces
perspectives théoriquement erronées corrigées il est évident que le
rectangle de départ ne suffit plus, car en réalité, c'est lui
"l'erreur" .
La chapelle le montre bien, si l'on veut retourner au rectangle, il
faudra bien couper quelques parties, ou "inventer" un supplément de
décor.
En fait, un bon objectif est un objectif qui ne déforme pas plus que
ce que la vue voit comme déformé,
Le lundi 29 août 2016 16:24:28 UTC+2, Jacques L'helgoualc'h a écrit :
Le 29-08-2016, Nul a écrit :
> Le lundi 29 août 2016 12:13:04 UTC+2, Jacques L'helgoualc'h a écrit :
>> Le 28-08-2016, GhostRaider a écrit :
[...]
>> > Mais il y a un autre avantage : quand on rectifie la perspective par
>> > voie logicielle, les angles inférieurs du premier plan sont souvent
>> > tronqués,
>>
>> ... parce que le cadrage était trop serré.
>>
> ce qui n'a pas grande importance pour la post prod, puisque l'on peut
> agrandir l'espace de travail pour justement ne pas " rogner " dans l'image
Oui, mais une fois que tu as redressé le /sujet/, la photo entière
n'est plus rectangulaire, et en voulant retrouver un cadre
rectangulaire, tu peux devoir rogner, ou avoir à extrapoler...
tout à fait, mais il y a un mais, le problème est inverse, c'est parce
que l'on (l'objectif) veut mettre dans un rectangle (le capteur) une
scène à perspectives multiples en la contorsionnant , une fois ces
perspectives théoriquement erronées corrigées il est évident que le
rectangle de départ ne suffit plus, car en réalité, c'est lui
"l'erreur" .
La chapelle le montre bien, si l'on veut retourner au rectangle, il
faudra bien couper quelques parties, ou "inventer" un supplément de
décor.
En fait, un bon objectif est un objectif qui ne déforme pas plus que
ce que la vue voit comme déformé,
Le lundi 29 août 2016 16:24:28 UTC+2, Jacques L'helgoualc'h a écrit :Le 29-08-2016, Nul a écrit :Le lundi 29 août 2016 12:13:04 UTC+2, Jacques L'helgoualc'h a écrit :[...]Le 28-08-2016, GhostRaider a écrit :> Mais il y a un autre avantage : quand on rectifie la perspective parce qui n'a pas grande importance pour la post prod, puisque l'on peut
> voie logicielle, les angles inférieurs du premier plan sont souvent
> tronqués,
... parce que le cadrage était trop serré.
agrandir l'espace de travail pour justement ne pas " rogner " dans l'image
Oui, mais une fois que tu as redressé le /sujet/, la photo entière
n'est plus rectangulaire, et en voulant retrouver un cadre
rectangulaire, tu peux devoir rogner, ou avoir à extrapoler...
tout à fait, mais il y a un mais, le problème est inverse, c'est parce
que l'on (l'objectif) veut mettre dans un rectangle (le capteur) une
scène à perspectives multiples en la contorsionnant , une fois ces
perspectives théoriquement erronées corrigées il est évident que le
rectangle de départ ne suffit plus, car en réalité, c'est lui
"l'erreur" .
La chapelle le montre bien, si l'on veut retourner au rectangle, il
faudra bien couper quelques parties, ou "inventer" un supplément de
décor.
En fait, un bon objectif est un objectif qui ne déforme pas plus que
ce que la vue voit comme déformé,
Permettez-moi d'exprimer un point de vue très simpliste, plus à ma
portée :
- Un paysage étendu. Appareil normal. Mise au point sur un détail du
premier plan. Résultat : lointains flous.
On peut dire que la profondeur de champ (toujours fonction du
diaphragme) est faible.
- Idem, mais appareil à bascule. Là, à diaphragme égal, je bricole ma
bascule pour que tous les plans soient nets.
On peut dire que la profondeur de champ apparente a augmenté.
En réalité, il n'en est rien. On a simplement fait correspondre la
succession des différents plans de netteté en fonction de
l'éloignement, avec le plan du capteur, (quel que soit son type).
La netteté globale de l'image paraît améliorée
La netteté de chaque plan paraît améliorée mais la profondeur de champ
reste localement inchangée (en pourcentage de la distance considérée).
Permettez-moi d'exprimer un point de vue très simpliste, plus à ma
portée :
- Un paysage étendu. Appareil normal. Mise au point sur un détail du
premier plan. Résultat : lointains flous.
On peut dire que la profondeur de champ (toujours fonction du
diaphragme) est faible.
- Idem, mais appareil à bascule. Là, à diaphragme égal, je bricole ma
bascule pour que tous les plans soient nets.
On peut dire que la profondeur de champ apparente a augmenté.
En réalité, il n'en est rien. On a simplement fait correspondre la
succession des différents plans de netteté en fonction de
l'éloignement, avec le plan du capteur, (quel que soit son type).
La netteté globale de l'image paraît améliorée
La netteté de chaque plan paraît améliorée mais la profondeur de champ
reste localement inchangée (en pourcentage de la distance considérée).
Permettez-moi d'exprimer un point de vue très simpliste, plus à ma
portée :
- Un paysage étendu. Appareil normal. Mise au point sur un détail du
premier plan. Résultat : lointains flous.
On peut dire que la profondeur de champ (toujours fonction du
diaphragme) est faible.
- Idem, mais appareil à bascule. Là, à diaphragme égal, je bricole ma
bascule pour que tous les plans soient nets.
On peut dire que la profondeur de champ apparente a augmenté.
En réalité, il n'en est rien. On a simplement fait correspondre la
succession des différents plans de netteté en fonction de
l'éloignement, avec le plan du capteur, (quel que soit son type).
La netteté globale de l'image paraît améliorée
La netteté de chaque plan paraît améliorée mais la profondeur de champ
reste localement inchangée (en pourcentage de la distance considérée).
Jacques DASSIÉ wrote:Permettez-moi d'exprimer un point de vue très simpliste, plus à ma
portée :
- Un paysage étendu. Appareil normal. Mise au point sur un détail du
premier plan. Résultat : lointains flous.
On peut dire que la profondeur de champ (toujours fonction du
diaphragme) est faible.
- Idem, mais appareil à bascule. Là, à diaphragme égal, je bricole ma
bascule pour que tous les plans soient nets.
On peut dire que la profondeur de champ apparente a augmenté.
En réalité, il n'en est rien. On a simplement fait correspondre la
succession des différents plans de netteté en fonction de
l'éloignement, avec le plan du capteur, (quel que soit son type).
La netteté globale de l'image paraît améliorée
La netteté de chaque plan paraît améliorée mais la profondeur de champ
reste localement inchangée (en pourcentage de la distance considérée).
Absolument, la profondeur de champ est perpendiculaire au plan de
« netteté ».
Si on pousse le bouchon au maximum : photo prise au milieu
de rails de chemin de fer. Les traverses bois sont toute nettes, mais
les rails sont flous quelque soit leur distance avec l'appareil.
Jacques DASSIÉ <jacques.dassie@free.fr> wrote:
Permettez-moi d'exprimer un point de vue très simpliste, plus à ma
portée :
- Un paysage étendu. Appareil normal. Mise au point sur un détail du
premier plan. Résultat : lointains flous.
On peut dire que la profondeur de champ (toujours fonction du
diaphragme) est faible.
- Idem, mais appareil à bascule. Là, à diaphragme égal, je bricole ma
bascule pour que tous les plans soient nets.
On peut dire que la profondeur de champ apparente a augmenté.
En réalité, il n'en est rien. On a simplement fait correspondre la
succession des différents plans de netteté en fonction de
l'éloignement, avec le plan du capteur, (quel que soit son type).
La netteté globale de l'image paraît améliorée
La netteté de chaque plan paraît améliorée mais la profondeur de champ
reste localement inchangée (en pourcentage de la distance considérée).
Absolument, la profondeur de champ est perpendiculaire au plan de
« netteté ».
Si on pousse le bouchon au maximum : photo prise au milieu
de rails de chemin de fer. Les traverses bois sont toute nettes, mais
les rails sont flous quelque soit leur distance avec l'appareil.
Jacques DASSIÉ wrote:Permettez-moi d'exprimer un point de vue très simpliste, plus à ma
portée :
- Un paysage étendu. Appareil normal. Mise au point sur un détail du
premier plan. Résultat : lointains flous.
On peut dire que la profondeur de champ (toujours fonction du
diaphragme) est faible.
- Idem, mais appareil à bascule. Là, à diaphragme égal, je bricole ma
bascule pour que tous les plans soient nets.
On peut dire que la profondeur de champ apparente a augmenté.
En réalité, il n'en est rien. On a simplement fait correspondre la
succession des différents plans de netteté en fonction de
l'éloignement, avec le plan du capteur, (quel que soit son type).
La netteté globale de l'image paraît améliorée
La netteté de chaque plan paraît améliorée mais la profondeur de champ
reste localement inchangée (en pourcentage de la distance considérée).
Absolument, la profondeur de champ est perpendiculaire au plan de
« netteté ».
Si on pousse le bouchon au maximum : photo prise au milieu
de rails de chemin de fer. Les traverses bois sont toute nettes, mais
les rails sont flous quelque soit leur distance avec l'appareil.
Le 30-08-2016, Benoit a écrit :Jacques DASSIÉ wrote:Absolument, la profondeur de champ est perpendiculaire au plan de
« netteté ».
Eh non : elle s'élargit quand le sujet net s'éloigne...
Le 30-08-2016, Benoit a écrit :
Jacques DASSIÉ <jacques.dassie@free.fr> wrote:
Absolument, la profondeur de champ est perpendiculaire au plan de
« netteté ».
Eh non : elle s'élargit quand le sujet net s'éloigne...
Le 30-08-2016, Benoit a écrit :Jacques DASSIÉ wrote:Absolument, la profondeur de champ est perpendiculaire au plan de
« netteté ».
Eh non : elle s'élargit quand le sujet net s'éloigne...
Jacques L'helgoualc'h a utilisé son clavier pour écrire :Le 30-08-2016, Benoit a écrit :Jacques DASSIÉ wrote:Absolument, la profondeur de champ est perpendiculaire au plan de
« netteté ».
Eh non : elle s'élargit quand le sujet net s'éloigne...
Exact.
Mais il n'existe aucune contradiction entre ces deux assertions.
Quel est le but de ton intervention ? On dirait que tu voulais corriger
une erreur ?
Jacques L'helgoualc'h a utilisé son clavier pour écrire :
Le 30-08-2016, Benoit a écrit :
Jacques DASSIÉ <jacques.dassie@free.fr> wrote:
Absolument, la profondeur de champ est perpendiculaire au plan de
« netteté ».
Eh non : elle s'élargit quand le sujet net s'éloigne...
Exact.
Mais il n'existe aucune contradiction entre ces deux assertions.
Quel est le but de ton intervention ? On dirait que tu voulais corriger
une erreur ?
Jacques L'helgoualc'h a utilisé son clavier pour écrire :Le 30-08-2016, Benoit a écrit :Jacques DASSIÉ wrote:Absolument, la profondeur de champ est perpendiculaire au plan de
« netteté ».
Eh non : elle s'élargit quand le sujet net s'éloigne...
Exact.
Mais il n'existe aucune contradiction entre ces deux assertions.
Quel est le but de ton intervention ? On dirait que tu voulais corriger
une erreur ?
Suis-je clair ? Hmmmm !
Suis-je clair ? Hmmmm !
Suis-je clair ? Hmmmm !
Jacques L'helgoualc'h a utilisé son clavier pour écrire :Le 30-08-2016, Benoit a écrit :Jacques DASSIÉ wrote:Absolument, la profondeur de champ est perpendiculaire au plan de
« netteté ».
Eh non : elle s'élargit quand le sujet net s'éloigne...
Exact.
Mais il n'existe aucune contradiction entre ces deux assertions.
Quel est le but de ton intervention ? On dirait que tu voulais corriger
une erreur ?
Jacques L'helgoualc'h a utilisé son clavier pour écrire :
Le 30-08-2016, Benoit a écrit :
Jacques DASSIÉ <jacques.dassie@free.fr> wrote:
Absolument, la profondeur de champ est perpendiculaire au plan de
« netteté ».
Eh non : elle s'élargit quand le sujet net s'éloigne...
Exact.
Mais il n'existe aucune contradiction entre ces deux assertions.
Quel est le but de ton intervention ? On dirait que tu voulais corriger
une erreur ?
Jacques L'helgoualc'h a utilisé son clavier pour écrire :Le 30-08-2016, Benoit a écrit :Jacques DASSIÉ wrote:Absolument, la profondeur de champ est perpendiculaire au plan de
« netteté ».
Eh non : elle s'élargit quand le sujet net s'éloigne...
Exact.
Mais il n'existe aucune contradiction entre ces deux assertions.
Quel est le but de ton intervention ? On dirait que tu voulais corriger
une erreur ?