In article <hhsmce$is0$, Patrick Lamaizière writes:
Mais bon il paraît que c'est un chef d'½uvre...
Les chefs-d'½uvre ne sont jamais d'abord facile.
pseudo-élitisme à deux balles pour cacher l'incompétence.
Oui oui en voiture, ça c'est un chef d'oeuvre.
-- http://mikeread.tripod.com/archive.htm
Stéphane CARPENTIER
Yves Lambert wrote:
In article <4b425970$0$18857$, Stéphane CARPENTIER writes:
Ça dépend de la façon dont c'est fait. Par exemple, pour effroyables jardins, le scénariste a fondamentalement changé la fin. Cependant, j'ai vraiment trouvé que la façon dont c'était fait ne trahissait absolument pas le roman.
Si la fin du roman est infilmable pour X raison, ou si le scénariste a eu une idée de génie, pourquoi pas.
Non, non, c'est vraiment un changement fondamental dans le scénario, mais pas dans l'esprit. C'est vraiment une préférence du cinéaste.
L'esprit du film était resté fidèle à l'esprit du roman.
Ce que j'appelle trahison c'est ce que tu dis ci-dessous
Par contre, pour la trilogie Jason Bourne, le film est une merde. En coupant à la hache le scénario du livre pour en faire un film d'action sans intérêt, il a trahi le roman.
Les ellipses au cinéma ne sont pas les memes que celles à l'écrit. Là où le lecteur laisse courir son imagination, le cinéaste impose une vue, à l'inverse, des continuées dialoguées peuvent faire l'objet d'une adaptation au théatre mais rendraient un film barbant.
Le livre n'est certainement pas barbant. Il écrit très simplement et ça bouge dans tous les sens de la première à la dernière page. Le personnage est consistant, OK, c'est dur à reproduire à l'écran. Mais tu as une intrigue bien ficelée, qui a été entièrement supprimée dans le film sans aucune raison valable.
Yves Lambert wrote:
In article <4b425970$0$18857$426a74cc@news.free.fr>,
Stéphane CARPENTIER <stef.carpentier@gratuit.fr.invalid> writes:
Ça dépend de la façon dont c'est fait. Par exemple, pour effroyables
jardins, le scénariste a fondamentalement changé la fin. Cependant, j'ai
vraiment trouvé que la façon dont c'était fait ne trahissait absolument
pas le roman.
Si la fin du roman est infilmable pour X raison, ou si le scénariste a
eu une idée de génie, pourquoi pas.
Non, non, c'est vraiment un changement fondamental dans le scénario,
mais pas dans l'esprit. C'est vraiment une préférence du cinéaste.
L'esprit du film était resté fidèle à l'esprit du roman.
Ce que j'appelle trahison c'est ce que tu dis ci-dessous
Par contre, pour la trilogie Jason Bourne, le film est une merde. En
coupant à la hache le scénario du livre pour en faire un film d'action
sans intérêt, il a trahi le roman.
Les ellipses au cinéma ne sont pas les memes que celles à l'écrit. Là où
le lecteur laisse courir son imagination, le cinéaste impose une vue, à
l'inverse, des continuées dialoguées peuvent faire l'objet d'une
adaptation au théatre mais rendraient un film barbant.
Le livre n'est certainement pas barbant.
Il écrit très simplement et ça bouge dans tous les sens de la première à
la dernière page.
Le personnage est consistant, OK, c'est dur à reproduire à l'écran.
Mais tu as une intrigue bien ficelée, qui a été entièrement supprimée
dans le film sans aucune raison valable.
In article <4b425970$0$18857$, Stéphane CARPENTIER writes:
Ça dépend de la façon dont c'est fait. Par exemple, pour effroyables jardins, le scénariste a fondamentalement changé la fin. Cependant, j'ai vraiment trouvé que la façon dont c'était fait ne trahissait absolument pas le roman.
Si la fin du roman est infilmable pour X raison, ou si le scénariste a eu une idée de génie, pourquoi pas.
Non, non, c'est vraiment un changement fondamental dans le scénario, mais pas dans l'esprit. C'est vraiment une préférence du cinéaste.
L'esprit du film était resté fidèle à l'esprit du roman.
Ce que j'appelle trahison c'est ce que tu dis ci-dessous
Par contre, pour la trilogie Jason Bourne, le film est une merde. En coupant à la hache le scénario du livre pour en faire un film d'action sans intérêt, il a trahi le roman.
Les ellipses au cinéma ne sont pas les memes que celles à l'écrit. Là où le lecteur laisse courir son imagination, le cinéaste impose une vue, à l'inverse, des continuées dialoguées peuvent faire l'objet d'une adaptation au théatre mais rendraient un film barbant.
Le livre n'est certainement pas barbant. Il écrit très simplement et ça bouge dans tous les sens de la première à la dernière page. Le personnage est consistant, OK, c'est dur à reproduire à l'écran. Mais tu as une intrigue bien ficelée, qui a été entièrement supprimée dans le film sans aucune raison valable.
Stéphane CARPENTIER
Yves Lambert wrote:
In article <4b4269b4$0$23307$, =?UTF-8?B?U3TDqXBoYW5lIENBUlBFTlRJRVI=?= writes:
Emmanuel Florac wrote:
Par exemple, si tu poses une caméra devant un magnifique panorama, ce sera réaliste et superbe. mais au bout de deux heures, ça deviendra quand même chiant.
Tout dépend de ce qui se passe entre la caméra et le paysage.
C'est pour ça que je te parle d'un panorama, parce que sur un panorama, il ne se passe pas grand chose.
Yves Lambert wrote:
In article <4b4269b4$0$23307$426a74cc@news.free.fr>,
=?UTF-8?B?U3TDqXBoYW5lIENBUlBFTlRJRVI=?= <stef.carpentier@gratuit.fr.invalid> writes:
Emmanuel Florac wrote:
Par exemple, si tu poses une caméra devant un magnifique panorama, ce
sera réaliste et superbe. mais au bout de deux heures, ça deviendra
quand même chiant.
Tout dépend de ce qui se passe entre la caméra et le paysage.
C'est pour ça que je te parle d'un panorama, parce que sur un panorama,
il ne se passe pas grand chose.
In article <4b4269b4$0$23307$, =?UTF-8?B?U3TDqXBoYW5lIENBUlBFTlRJRVI=?= writes:
Emmanuel Florac wrote:
Par exemple, si tu poses une caméra devant un magnifique panorama, ce sera réaliste et superbe. mais au bout de deux heures, ça deviendra quand même chiant.
Tout dépend de ce qui se passe entre la caméra et le paysage.
C'est pour ça que je te parle d'un panorama, parce que sur un panorama, il ne se passe pas grand chose.
Stéphane CARPENTIER
Patrice Karatchentzeff wrote:
(Yves Lambert) a écrit :
In article <hhsmce$is0$, Patrick Lamaizière writes:
Mais bon il paraît que c'est un chef d'½uvre...
Les chefs-d'½uvre ne sont jamais d'abord facile.
pseudo-élitisme à deux balles pour cacher l'incompétence.
J'aime bien l'expression des ogres barback : « la culture avec un faux c »
Patrice Karatchentzeff wrote:
yl@bidart.net (Yves Lambert) a écrit :
In article <hhsmce$is0$1@news.davenulle.org>,
Patrick Lamaizière <adresse@est.invalid> writes:
Mais bon il paraît que c'est un chef d'½uvre...
Les chefs-d'½uvre ne sont jamais d'abord facile.
pseudo-élitisme à deux balles pour cacher l'incompétence.
J'aime bien l'expression des ogres barback :
« la culture avec un faux c »
In article <hhsmce$is0$, Patrick Lamaizière writes:
Mais bon il paraît que c'est un chef d'½uvre...
Les chefs-d'½uvre ne sont jamais d'abord facile.
pseudo-élitisme à deux balles pour cacher l'incompétence.
J'aime bien l'expression des ogres barback : « la culture avec un faux c »
Stéphane CARPENTIER
Yves Lambert wrote:
In article <4b426d49$0$25771$, Stéphane CARPENTIER writes:
Yves Lambert wrote:
Et quels bons films dans les anbnées 90 ?
Je vais dire : Underground,
Ah non ! Vraiment pas envie de revoir.
Je comprends, c'est très particulier.
Fight club,
Connait pas.
C'est vraiment pas mal. En gros, c'est l'histoire de quelqu'un qui n'aime pas sa vie et qui rencontre quelq'un qui lui permet de vivre la vie dont il rêve.
American history X,
Pas vu. Entendu peu causer mais que du bien. Je note.
Il y a des critiques à faire à ce film, mais il y a beaucoup de choses très intéressantes dedans. Et ces choses ne sont pas bâclées.
Stigmata,
Pas vu pas lu pas entendu causer.
C'est aussi vraiment pas mal. En gros, c'est une rencontre. D'un côté, un prêtre du Vatican qui est chargé de trouver ce qui est faux dans ce que le peuple considère comme des miracles. De l'autre côté, une jeune fille qui ne croit en rien et se met à présenter les stigmates du christ.
Pulp fiction
Moui. Reservoir Dog plutot.
Effectivement, je croyais que Réservoir Dog datait des années 80.
Basic Instinct pendant qu'on y est :)
C'est pas une grosse daube, il y a des trucs intéressants, mais j'ai quand même du mal à aller jusqu'à parler de bon film.
Yves Lambert wrote:
In article <4b426d49$0$25771$426a74cc@news.free.fr>,
Stéphane CARPENTIER <stef.carpentier@gratuit.fr.invalid> writes:
Yves Lambert wrote:
Et quels bons films dans les anbnées 90 ?
Je vais dire : Underground,
Ah non ! Vraiment pas envie de revoir.
Je comprends, c'est très particulier.
Fight club,
Connait pas.
C'est vraiment pas mal. En gros, c'est l'histoire de quelqu'un qui
n'aime pas sa vie et qui rencontre quelq'un qui lui permet de vivre la
vie dont il rêve.
American history X,
Pas vu. Entendu peu causer mais que du bien. Je note.
Il y a des critiques à faire à ce film, mais il y a beaucoup de choses
très intéressantes dedans. Et ces choses ne sont pas bâclées.
Stigmata,
Pas vu pas lu pas entendu causer.
C'est aussi vraiment pas mal. En gros, c'est une rencontre. D'un côté,
un prêtre du Vatican qui est chargé de trouver ce qui est faux dans ce
que le peuple considère comme des miracles. De l'autre côté, une jeune
fille qui ne croit en rien et se met à présenter les stigmates du christ.
Pulp fiction
Moui. Reservoir Dog plutot.
Effectivement, je croyais que Réservoir Dog datait des années 80.
Basic Instinct pendant qu'on y est :)
C'est pas une grosse daube, il y a des trucs intéressants, mais j'ai
quand même du mal à aller jusqu'à parler de bon film.
In article <4b426d49$0$25771$, Stéphane CARPENTIER writes:
Yves Lambert wrote:
Et quels bons films dans les anbnées 90 ?
Je vais dire : Underground,
Ah non ! Vraiment pas envie de revoir.
Je comprends, c'est très particulier.
Fight club,
Connait pas.
C'est vraiment pas mal. En gros, c'est l'histoire de quelqu'un qui n'aime pas sa vie et qui rencontre quelq'un qui lui permet de vivre la vie dont il rêve.
American history X,
Pas vu. Entendu peu causer mais que du bien. Je note.
Il y a des critiques à faire à ce film, mais il y a beaucoup de choses très intéressantes dedans. Et ces choses ne sont pas bâclées.
Stigmata,
Pas vu pas lu pas entendu causer.
C'est aussi vraiment pas mal. En gros, c'est une rencontre. D'un côté, un prêtre du Vatican qui est chargé de trouver ce qui est faux dans ce que le peuple considère comme des miracles. De l'autre côté, une jeune fille qui ne croit en rien et se met à présenter les stigmates du christ.
Pulp fiction
Moui. Reservoir Dog plutot.
Effectivement, je croyais que Réservoir Dog datait des années 80.
Basic Instinct pendant qu'on y est :)
C'est pas une grosse daube, il y a des trucs intéressants, mais j'ai quand même du mal à aller jusqu'à parler de bon film.
Patrick Lamaizière
Yves Lambert :
Mais bon il paraît que c'est un chef d'½uvre...
Les chefs-d'½uvre ne sont jamais d'abord facile.
Ce n'est pas qu'on ne comprend pas (j'avoue que je me souviens même plus du film), le problème c'est qu'on s'endort. Ce film est _chiant_.
Yves Lambert :
Mais bon il paraît que c'est un chef d'½uvre...
Les chefs-d'½uvre ne sont jamais d'abord facile.
Ce n'est pas qu'on ne comprend pas (j'avoue que je me souviens même
plus du film), le problème c'est qu'on s'endort. Ce film est _chiant_.