"Benoit" a écrit :J'en ai parlé au directeur de création de l'agence de pub dans laquelle
j'ai fait vingt ans de carrière (à la finance pas la création) : s'il
trouvait l'idée très bonne, il m'a déconseillé de le faire parce que je
n'avais le « niveau » pour utiliser cette technique.
Un directeur de création a une idée précise des moyens techniques en
fonction du budget pour sa pub. Il raisonne de la même manière pour toi en
pensant que tu n'as pas le "niveau" pour gérer cette dimension. C'est
dommage, l'idée est excellente. Il n'y a pas de budget à calculer. Il faut
mettre en pratique et improviser. On découvre en le faisant.
Trimballer son petit théatre imaginaire de 80x200 avec soi, pour y jouer
des pièces en un acte avec à chaque fois des acteurs formidables, c'est
une performance humaine, bien plus que matérielle, comme tu le dis
toi-même.
J'aime beaucoup aussi l'idée de dormir et imaginer ce que cela sera. Dans
le rêve tout est possible. A partir du moment où cela apparaît dans le
rêve, on peut le réaliser. C'est juste une question d'ajustement à la
réalité.
C'est incroyable aussi à quel point une technique peut s'ajuster
parfaitement et facilement au rêve, quitte à l'inventer. Et jamais
l'inverse. Si tu veux ajuster ton rêve à une technique, c'est foutu.
Exemple : Picasso, tête de taureau :
https://macadamcycles.com/blog/vitrine-berluti-par-macadam-cycles/
Exemple : Le rêve de Salvador Dali confronté à la réalité, Ecole
polytechnique 1961. Trop fort :
https://youtu.be/sVwZ2R0YTOg
"Benoit" <benoit@com.invalid> a écrit :
> J'en ai parlé au directeur de création de l'agence de pub dans laquelle
> j'ai fait vingt ans de carrière (à la finance pas la création) : s'il
> trouvait l'idée très bonne, il m'a déconseillé de le faire parce que je
> n'avais le « niveau » pour utiliser cette technique.
Un directeur de création a une idée précise des moyens techniques en
fonction du budget pour sa pub. Il raisonne de la même manière pour toi en
pensant que tu n'as pas le "niveau" pour gérer cette dimension. C'est
dommage, l'idée est excellente. Il n'y a pas de budget à calculer. Il faut
mettre en pratique et improviser. On découvre en le faisant.
Trimballer son petit théatre imaginaire de 80x200 avec soi, pour y jouer
des pièces en un acte avec à chaque fois des acteurs formidables, c'est
une performance humaine, bien plus que matérielle, comme tu le dis
toi-même.
J'aime beaucoup aussi l'idée de dormir et imaginer ce que cela sera. Dans
le rêve tout est possible. A partir du moment où cela apparaît dans le
rêve, on peut le réaliser. C'est juste une question d'ajustement à la
réalité.
C'est incroyable aussi à quel point une technique peut s'ajuster
parfaitement et facilement au rêve, quitte à l'inventer. Et jamais
l'inverse. Si tu veux ajuster ton rêve à une technique, c'est foutu.
Exemple : Picasso, tête de taureau :
https://macadamcycles.com/blog/vitrine-berluti-par-macadam-cycles/
Exemple : Le rêve de Salvador Dali confronté à la réalité, Ecole
polytechnique 1961. Trop fort :
https://youtu.be/sVwZ2R0YTOg
"Benoit" a écrit :J'en ai parlé au directeur de création de l'agence de pub dans laquelle
j'ai fait vingt ans de carrière (à la finance pas la création) : s'il
trouvait l'idée très bonne, il m'a déconseillé de le faire parce que je
n'avais le « niveau » pour utiliser cette technique.
Un directeur de création a une idée précise des moyens techniques en
fonction du budget pour sa pub. Il raisonne de la même manière pour toi en
pensant que tu n'as pas le "niveau" pour gérer cette dimension. C'est
dommage, l'idée est excellente. Il n'y a pas de budget à calculer. Il faut
mettre en pratique et improviser. On découvre en le faisant.
Trimballer son petit théatre imaginaire de 80x200 avec soi, pour y jouer
des pièces en un acte avec à chaque fois des acteurs formidables, c'est
une performance humaine, bien plus que matérielle, comme tu le dis
toi-même.
J'aime beaucoup aussi l'idée de dormir et imaginer ce que cela sera. Dans
le rêve tout est possible. A partir du moment où cela apparaît dans le
rêve, on peut le réaliser. C'est juste une question d'ajustement à la
réalité.
C'est incroyable aussi à quel point une technique peut s'ajuster
parfaitement et facilement au rêve, quitte à l'inventer. Et jamais
l'inverse. Si tu veux ajuster ton rêve à une technique, c'est foutu.
Exemple : Picasso, tête de taureau :
https://macadamcycles.com/blog/vitrine-berluti-par-macadam-cycles/
Exemple : Le rêve de Salvador Dali confronté à la réalité, Ecole
polytechnique 1961. Trop fort :
https://youtu.be/sVwZ2R0YTOg
ce n'est pas le matériel qui assure la réussite, mais savoir utiliser ce
qu'on a. Savoir profiter de ses qualités et de ses défauts.
ce n'est pas le matériel qui assure la réussite, mais savoir utiliser ce
qu'on a. Savoir profiter de ses qualités et de ses défauts.
ce n'est pas le matériel qui assure la réussite, mais savoir utiliser ce
qu'on a. Savoir profiter de ses qualités et de ses défauts.
Enfin content, fier et heureux. Au bout de quatre ans...
En bref : la technique il faut connaître. Pour agir en conséquence.
Enfin content, fier et heureux. Au bout de quatre ans...
En bref : la technique il faut connaître. Pour agir en conséquence.
Enfin content, fier et heureux. Au bout de quatre ans...
En bref : la technique il faut connaître. Pour agir en conséquence.
j'utilisais de la Kodachrome PKR 64, il fallait ensuite envoyer les
pellicules dans leur enveloppe jaune par la poste chez Kodak, et
attendre une semaine. C'est un monde totalement différent, celui de la
prise de vue actuelle
j'utilisais de la Kodachrome PKR 64, il fallait ensuite envoyer les
pellicules dans leur enveloppe jaune par la poste chez Kodak, et
attendre une semaine. C'est un monde totalement différent, celui de la
prise de vue actuelle
j'utilisais de la Kodachrome PKR 64, il fallait ensuite envoyer les
pellicules dans leur enveloppe jaune par la poste chez Kodak, et
attendre une semaine. C'est un monde totalement différent, celui de la
prise de vue actuelle
Le 25/07/2017 à 09:34, albert a écrit :j'utilisais de la Kodachrome PKR 64, il fallait ensuite envoyer les pellicules
dans leur enveloppe jaune par la poste chez Kodak, et attendre une semaine.
C'est un monde totalement différent, celui de la prise de vue actuelle
ou parfois un mois, ou parfois une éternité, photos perdues, souvent les plus
belles (les autres on ne les fait pas tirer ;-()
Le 25/07/2017 à 09:34, albert a écrit :
j'utilisais de la Kodachrome PKR 64, il fallait ensuite envoyer les pellicules
dans leur enveloppe jaune par la poste chez Kodak, et attendre une semaine.
C'est un monde totalement différent, celui de la prise de vue actuelle
ou parfois un mois, ou parfois une éternité, photos perdues, souvent les plus
belles (les autres on ne les fait pas tirer ;-()
Le 25/07/2017 à 09:34, albert a écrit :j'utilisais de la Kodachrome PKR 64, il fallait ensuite envoyer les pellicules
dans leur enveloppe jaune par la poste chez Kodak, et attendre une semaine.
C'est un monde totalement différent, celui de la prise de vue actuelle
ou parfois un mois, ou parfois une éternité, photos perdues, souvent les plus
belles (les autres on ne les fait pas tirer ;-()
jdd a écrit :Le 25/07/2017 à 09:34, albert a écrit :j'utilisais de la Kodachrome PKR 64, il fallait ensuite envoyer les
pellicules
dans leur enveloppe jaune par la poste chez Kodak, et attendre une
semaine.
C'est un monde totalement différent, celui de la prise de vue actuelle
ou parfois un mois, ou parfois une éternité, photos perdues, souvent
les plus
belles (les autres on ne les fait pas tirer ;-()
Je dirais surtout, dans le cas du kodachrome (pas d'autre circuit que
Sevran à l'époque)
"les autres, on ne se les fait pas tirer"...
En général dans un lot de 10 films ou plus, dont un était plus précieux
(images exceptionnelles), un seul revenait tout noir avec le diagnostic
- "l'obturateur ne s'est pas ouvert" (mais il s'est toujours ouvert sur
les rouleaux d'avant ou après)
- "le rouleau a été mal accroché à la bobine réceptrice" (mais
curieusement, le critère pour changer de film était la résistance à
l'avancement du film à la 38ème vue (sur mon Miranda, c'était en général
à 38 que ça coinçait)
- "le flash ne s'est pas déclenché" (mais là aussi, il s'est déclenché
avant et après )
- "vous avez oublié de retirer le bouchon d'objectif" (bien sûr, avec
mon reflex, je prends tout au jugé, sans utiliser le viseur, surtout en
macro)
Perso, j'ai perdu un seul rouleau dans toute ma carrière de
kodachromomane : les ballets Martiniquais pris couché sur le dos sur la
scène, avec les danseurs qui sauraient par-dessus moi et les gouttes de
sueur dans les spots, et le lendemain j'avais une macro d'une araignée
jaune mangeant un Morpho (lepido bleu métallisé)
Les photos de mon fils dans les vagues sur la plage ou lors du repas de
Noël (passé aux Antilles, oui) étaient bien entendu impec, obturateur,
flash et bouchon tous bien attachés à leur rôle normal.
jdd a écrit :
Le 25/07/2017 à 09:34, albert a écrit :
j'utilisais de la Kodachrome PKR 64, il fallait ensuite envoyer les
pellicules
dans leur enveloppe jaune par la poste chez Kodak, et attendre une
semaine.
C'est un monde totalement différent, celui de la prise de vue actuelle
ou parfois un mois, ou parfois une éternité, photos perdues, souvent
les plus
belles (les autres on ne les fait pas tirer ;-()
Je dirais surtout, dans le cas du kodachrome (pas d'autre circuit que
Sevran à l'époque)
"les autres, on ne se les fait pas tirer"...
En général dans un lot de 10 films ou plus, dont un était plus précieux
(images exceptionnelles), un seul revenait tout noir avec le diagnostic
- "l'obturateur ne s'est pas ouvert" (mais il s'est toujours ouvert sur
les rouleaux d'avant ou après)
- "le rouleau a été mal accroché à la bobine réceptrice" (mais
curieusement, le critère pour changer de film était la résistance à
l'avancement du film à la 38ème vue (sur mon Miranda, c'était en général
à 38 que ça coinçait)
- "le flash ne s'est pas déclenché" (mais là aussi, il s'est déclenché
avant et après )
- "vous avez oublié de retirer le bouchon d'objectif" (bien sûr, avec
mon reflex, je prends tout au jugé, sans utiliser le viseur, surtout en
macro)
Perso, j'ai perdu un seul rouleau dans toute ma carrière de
kodachromomane : les ballets Martiniquais pris couché sur le dos sur la
scène, avec les danseurs qui sauraient par-dessus moi et les gouttes de
sueur dans les spots, et le lendemain j'avais une macro d'une araignée
jaune mangeant un Morpho (lepido bleu métallisé)
Les photos de mon fils dans les vagues sur la plage ou lors du repas de
Noël (passé aux Antilles, oui) étaient bien entendu impec, obturateur,
flash et bouchon tous bien attachés à leur rôle normal.
jdd a écrit :Le 25/07/2017 à 09:34, albert a écrit :j'utilisais de la Kodachrome PKR 64, il fallait ensuite envoyer les
pellicules
dans leur enveloppe jaune par la poste chez Kodak, et attendre une
semaine.
C'est un monde totalement différent, celui de la prise de vue actuelle
ou parfois un mois, ou parfois une éternité, photos perdues, souvent
les plus
belles (les autres on ne les fait pas tirer ;-()
Je dirais surtout, dans le cas du kodachrome (pas d'autre circuit que
Sevran à l'époque)
"les autres, on ne se les fait pas tirer"...
En général dans un lot de 10 films ou plus, dont un était plus précieux
(images exceptionnelles), un seul revenait tout noir avec le diagnostic
- "l'obturateur ne s'est pas ouvert" (mais il s'est toujours ouvert sur
les rouleaux d'avant ou après)
- "le rouleau a été mal accroché à la bobine réceptrice" (mais
curieusement, le critère pour changer de film était la résistance à
l'avancement du film à la 38ème vue (sur mon Miranda, c'était en général
à 38 que ça coinçait)
- "le flash ne s'est pas déclenché" (mais là aussi, il s'est déclenché
avant et après )
- "vous avez oublié de retirer le bouchon d'objectif" (bien sûr, avec
mon reflex, je prends tout au jugé, sans utiliser le viseur, surtout en
macro)
Perso, j'ai perdu un seul rouleau dans toute ma carrière de
kodachromomane : les ballets Martiniquais pris couché sur le dos sur la
scène, avec les danseurs qui sauraient par-dessus moi et les gouttes de
sueur dans les spots, et le lendemain j'avais une macro d'une araignée
jaune mangeant un Morpho (lepido bleu métallisé)
Les photos de mon fils dans les vagues sur la plage ou lors du repas de
Noël (passé aux Antilles, oui) étaient bien entendu impec, obturateur,
flash et bouchon tous bien attachés à leur rôle normal.
Comme j'utilisais de la Kodachrome PKR 64, il
fallait ensuite envoyer les pellicules dans leur enveloppe
jaune par la poste chez Kodak, et attendre une semaine.
Comme j'utilisais de la Kodachrome PKR 64, il
fallait ensuite envoyer les pellicules dans leur enveloppe
jaune par la poste chez Kodak, et attendre une semaine.
Comme j'utilisais de la Kodachrome PKR 64, il
fallait ensuite envoyer les pellicules dans leur enveloppe
jaune par la poste chez Kodak, et attendre une semaine.
Le 25/07/2017 à 09:34, albert a écrit :Comme j'utilisais de la Kodachrome PKR 64, il
fallait ensuite envoyer les pellicules dans leur enveloppe
jaune par la poste chez Kodak, et attendre une semaine.
Pour info, il existait (sur Paris) un service pro près de
l'Etoile : ses Kodachromes en 24 h, peut-être plus rapide
encore à certaines époques, je ne m'en souviens plus.
Le 25/07/2017 à 09:34, albert a écrit :
>Comme j'utilisais de la Kodachrome PKR 64, il
> fallait ensuite envoyer les pellicules dans leur enveloppe
> jaune par la poste chez Kodak, et attendre une semaine.
Pour info, il existait (sur Paris) un service pro près de
l'Etoile : ses Kodachromes en 24 h, peut-être plus rapide
encore à certaines époques, je ne m'en souviens plus.
Le 25/07/2017 à 09:34, albert a écrit :Comme j'utilisais de la Kodachrome PKR 64, il
fallait ensuite envoyer les pellicules dans leur enveloppe
jaune par la poste chez Kodak, et attendre une semaine.
Pour info, il existait (sur Paris) un service pro près de
l'Etoile : ses Kodachromes en 24 h, peut-être plus rapide
encore à certaines époques, je ne m'en souviens plus.
Jean-Pierre Roche wrote:Le 25/07/2017 à 09:34, albert a écrit :Comme j'utilisais de la Kodachrome PKR 64, il
fallait ensuite envoyer les pellicules dans leur enveloppe
jaune par la poste chez Kodak, et attendre une semaine.
Pour info, il existait (sur Paris) un service pro près de
l'Etoile : ses Kodachromes en 24 h, peut-être plus rapide
encore à certaines époques, je ne m'en souviens plus.
C'est peut-être pour ça que beaucoup travaillais à l'ekta, velvia...
Développement en 1h30/2h00.
Jean-Pierre Roche <jproche@sanspub.invalid> wrote:
Le 25/07/2017 à 09:34, albert a écrit :
Comme j'utilisais de la Kodachrome PKR 64, il
fallait ensuite envoyer les pellicules dans leur enveloppe
jaune par la poste chez Kodak, et attendre une semaine.
Pour info, il existait (sur Paris) un service pro près de
l'Etoile : ses Kodachromes en 24 h, peut-être plus rapide
encore à certaines époques, je ne m'en souviens plus.
C'est peut-être pour ça que beaucoup travaillais à l'ekta, velvia...
Développement en 1h30/2h00.
Jean-Pierre Roche wrote:Le 25/07/2017 à 09:34, albert a écrit :Comme j'utilisais de la Kodachrome PKR 64, il
fallait ensuite envoyer les pellicules dans leur enveloppe
jaune par la poste chez Kodak, et attendre une semaine.
Pour info, il existait (sur Paris) un service pro près de
l'Etoile : ses Kodachromes en 24 h, peut-être plus rapide
encore à certaines époques, je ne m'en souviens plus.
C'est peut-être pour ça que beaucoup travaillais à l'ekta, velvia...
Développement en 1h30/2h00.
Benoit a écrit :Jean-Pierre Roche wrote:Le 25/07/2017 à 09:34, albert a écrit :Comme j'utilisais de la Kodachrome PKR 64, il
fallait ensuite envoyer les pellicules dans leur enveloppe
jaune par la poste chez Kodak, et attendre une semaine.
Pour info, il existait (sur Paris) un service pro près de
l'Etoile : ses Kodachromes en 24 h, peut-être plus rapide
encore à certaines époques, je ne m'en souviens plus.
C'est peut-être pour ça que beaucoup travaillais à l'ekta, velvia...
Développement en 1h30/2h00.
J'ai connu "Le nouveau Gorne" dans les années 80, qui développait vite et
pouvait pousser l'Exta 100 ou 200 à 3200 ou plus, sans grossir le grain : des
artistes... un peu chers pour l'amateur.
Benoit a écrit :
Jean-Pierre Roche <jproche@sanspub.invalid> wrote:
Le 25/07/2017 à 09:34, albert a écrit :
Comme j'utilisais de la Kodachrome PKR 64, il
fallait ensuite envoyer les pellicules dans leur enveloppe
jaune par la poste chez Kodak, et attendre une semaine.
Pour info, il existait (sur Paris) un service pro près de
l'Etoile : ses Kodachromes en 24 h, peut-être plus rapide
encore à certaines époques, je ne m'en souviens plus.
C'est peut-être pour ça que beaucoup travaillais à l'ekta, velvia...
Développement en 1h30/2h00.
J'ai connu "Le nouveau Gorne" dans les années 80, qui développait vite et
pouvait pousser l'Exta 100 ou 200 à 3200 ou plus, sans grossir le grain : des
artistes... un peu chers pour l'amateur.
Benoit a écrit :Jean-Pierre Roche wrote:Le 25/07/2017 à 09:34, albert a écrit :Comme j'utilisais de la Kodachrome PKR 64, il
fallait ensuite envoyer les pellicules dans leur enveloppe
jaune par la poste chez Kodak, et attendre une semaine.
Pour info, il existait (sur Paris) un service pro près de
l'Etoile : ses Kodachromes en 24 h, peut-être plus rapide
encore à certaines époques, je ne m'en souviens plus.
C'est peut-être pour ça que beaucoup travaillais à l'ekta, velvia...
Développement en 1h30/2h00.
J'ai connu "Le nouveau Gorne" dans les années 80, qui développait vite et
pouvait pousser l'Exta 100 ou 200 à 3200 ou plus, sans grossir le grain : des
artistes... un peu chers pour l'amateur.