Comme il y a eu diverses discussions à ce propos, j'aimerai savoir
quelle est la température de couleur de base pour l'½il. Ce que
j'entends par là est quelle est cette température de couleur livrée en
« RAW » par l'½il au cerveau qui va ensuite corriger les « erreurs ».
Cf. les lunettes de soleil qui sont vertes les premières secondes (et
encore).
Je pose cette question car pour certaines photos les corrections
automatiques des logiciels, qu'ils soient dans l'appareil ou
l'ordinateur, corrigent souvent. L'exemple type est un éclairage à la
bougie qui est « déjauni ».
Ce que je souhaite donc c'est soit :
- Paramétrer l'appareil pour qu'il reste neutre à la prise vue (inutile
avec du RAW à ce que je sache) ;
- Pouvoir se recaler sur cette température quoiqu'il arrive en
post-production (corrections des logiciels ou correction à la prise de
vue jpeg).
La raison en est simple. Dans des cas qui m'intéressent, photos de
plages, où la couleur du sable (jaune, blanc, orange...), de l'eau (bleu
clair, bleu foncé, vert...), des nuages (gris, blanc, bleu clair,
jaune...) il y a souvent des ajustements qui, pour moi, faussent
l'image.
J'ai recherché sur le net, mais, s'il y a plein de pages sur les
températures de couleur des différents éclairages, je n'ai rien trouvé
sur ce que capte l'½il de base (avant ajustement via la boîte grise).
Quelqu'un sait ? Charles ?
[FU2] sur le groupe le plus approprié.
P.S. chacun ne perçoit pas exactement les couleurs de la même façon. On
oublie ça.
--
On s'occupe de l'étiquette
Qu'une fois les vendanges faites.
J'ignore quel appareil tu utilises mais, sur les modèles évolués, la TC ne se limite pas à une valeur en K... En fait amha c'est à toi de déterminer par essais successifs quels réglages correspondent à tes souhaits en fonction des équipements utilisés (appareil de prise de vue mais aussi écran de visualisation...).
Sony Alpha 7II Pour mon écran j'ai ColorMunki Display qui modifie le profil de l'écran et ajuste la luminosité en fonction de l'éclairage ambiant. Ce n'est pas parfait, mais ça limite les dérapages lors de retouches. -- On s'occupe de l'étiquette Qu'une fois les vendanges faites.
J'ignore quel appareil tu utilises mais, sur les modèles
évolués, la TC ne se limite pas à une valeur en K...
En fait amha c'est à toi de déterminer par essais successifs
quels réglages correspondent à tes souhaits en fonction des
équipements utilisés (appareil de prise de vue mais aussi
écran de visualisation...).
Sony Alpha 7II
Pour mon écran j'ai ColorMunki Display qui modifie le profil de l'écran
et ajuste la luminosité en fonction de l'éclairage ambiant. Ce n'est pas
parfait, mais ça limite les dérapages lors de retouches.
--
On s'occupe de l'étiquette
Qu'une fois les vendanges faites.
J'ignore quel appareil tu utilises mais, sur les modèles évolués, la TC ne se limite pas à une valeur en K... En fait amha c'est à toi de déterminer par essais successifs quels réglages correspondent à tes souhaits en fonction des équipements utilisés (appareil de prise de vue mais aussi écran de visualisation...).
Sony Alpha 7II Pour mon écran j'ai ColorMunki Display qui modifie le profil de l'écran et ajuste la luminosité en fonction de l'éclairage ambiant. Ce n'est pas parfait, mais ça limite les dérapages lors de retouches. -- On s'occupe de l'étiquette Qu'une fois les vendanges faites.
benoit
Alf92 wrote:
Benoit :
jdd wrote:
Le 18/07/2017 à 23:21, Benoit a écrit :
donc flashmètre de mesure incidente et mode manuel, pour un tableau ca me parait normal
Non, le petit carton gris normaisé mis dans un coin de l'image suffit.
si tu le dis
Par contre, quand on ne veut pas qu'une modification n'ait lieu, par qui ou quoi que ce soit, on fait quoi ? Comment ?
mode manuel
Ok et je mets combien de K ?
je te l'ai déjà dit : lumière du jour. Message-ID: <news:okm41v$gsl$
Ok, je vais tester lumière du jour. Comme je serai en Bretagne dans quelques semaines je vais prendre des photos avec plusieurs mode et comparer. -- On s'occupe de l'étiquette Qu'une fois les vendanges faites.
Alf92 <alf921@gmail.com> wrote:
Benoit :
> jdd <jdd@dodin.org> wrote:
>> Le 18/07/2017 à 23:21, Benoit a écrit :
>>>> donc flashmètre de mesure incidente et mode manuel, pour un tableau ca
>>>> me parait normal
>>>
>>> Non, le petit carton gris normaisé mis dans un coin de l'image suffit.
>>
>> si tu le dis
>>
>>> Par contre, quand on ne veut pas qu'une modification n'ait lieu, par qui
>>> ou quoi que ce soit, on fait quoi ? Comment ?
>>>
>> mode manuel
>
> Ok et je mets combien de K ?
je te l'ai déjà dit : lumière du jour.
Message-ID: <news:okm41v$gsl$1@dont-email.me>
Ok, je vais tester lumière du jour. Comme je serai en Bretagne dans
quelques semaines je vais prendre des photos avec plusieurs mode et
comparer.
--
On s'occupe de l'étiquette
Qu'une fois les vendanges faites.
donc flashmètre de mesure incidente et mode manuel, pour un tableau ca me parait normal
Non, le petit carton gris normaisé mis dans un coin de l'image suffit.
si tu le dis
Par contre, quand on ne veut pas qu'une modification n'ait lieu, par qui ou quoi que ce soit, on fait quoi ? Comment ?
mode manuel
Ok et je mets combien de K ?
je te l'ai déjà dit : lumière du jour. Message-ID: <news:okm41v$gsl$
Ok, je vais tester lumière du jour. Comme je serai en Bretagne dans quelques semaines je vais prendre des photos avec plusieurs mode et comparer. -- On s'occupe de l'étiquette Qu'une fois les vendanges faites.
benoit
Stéphane Legras-Decussy wrote:
On 18/07/2017 22:10, Benoit wrote:
Je ne veux rien, nada, zéro balance des blancs, du brut. Si c'est comme ça que c'est éclairé, c'est comme ça que c'est shooté. Comment je fais ? :-/
ça n'existe pas... et encore mieux ça ne peut pas exister :-)
Je ne peux donc pas enregistrer un signal lumineux sans le modifier ? C'est pareil avec l'audio et avoir des enregistrements plus ou moins aigües, graves, suivant l'endroit où se trouve le micro, là où se fait l'enregistrement ? -- On s'occupe de l'étiquette Qu'une fois les vendanges faites.
> Je ne veux rien, nada, zéro balance des blancs, du brut. Si c'est comme
> ça que c'est éclairé, c'est comme ça que c'est shooté.
>
> Comment je fais ? :-/
>
ça n'existe pas... et encore mieux ça ne peut pas exister :-)
Je ne peux donc pas enregistrer un signal lumineux sans le modifier ?
C'est pareil avec l'audio et avoir des enregistrements plus ou moins
aigües, graves, suivant l'endroit où se trouve le micro, là où se fait
l'enregistrement ?
--
On s'occupe de l'étiquette
Qu'une fois les vendanges faites.
Je ne veux rien, nada, zéro balance des blancs, du brut. Si c'est comme ça que c'est éclairé, c'est comme ça que c'est shooté. Comment je fais ? :-/
ça n'existe pas... et encore mieux ça ne peut pas exister :-)
Je ne peux donc pas enregistrer un signal lumineux sans le modifier ? C'est pareil avec l'audio et avoir des enregistrements plus ou moins aigües, graves, suivant l'endroit où se trouve le micro, là où se fait l'enregistrement ? -- On s'occupe de l'étiquette Qu'une fois les vendanges faites.
benoit
albert wrote:
Bonjour Benoit, "Benoit" a écrit :
La raison en est simple. Dans des cas qui m'intéressent, photos de plages, où la couleur du sable (jaune, blanc, orange...), de l'eau (bleu clair, bleu foncé, vert...), des nuages (gris, blanc, bleu clair, jaune...) il y a souvent des ajustements qui, pour moi, faussent l'image.
Je comprends ton sentiment, retrouver une forme de neutralité à la prise de vue et par incidence dans les corrections en post-production. Toutefois dans les deux situations je ne vois aucune possibilité de trouver une norme absolue, en référence à ce que capte l'oeil de façon brute avant toute correction, ou réinterprétation par le cerveau. La charte de gris est un outil essentiel. Son idée est à la base de tous les algorithmes numériques, mais je pense que le sujet n'est pas là.
Non, car la charte de gris va refroidir ou réchauffer l'image pour la ramener dans la « norme ».
Car tout simplement, aucune norme dans ce domaine ne peut exister. La perception aussi brute soit-elle, et toujours liée à une interprétation. On voit avec son cerveau. Tu dis : " il y a souvent des ajustements qui, pour moi, faussent l'image." De toute façon "l'image" est faussée dès sa vision.
Ok. À chaque transfert de l'information contenu dans une image il y a une modification à la réception puis à la ré-émission. L'appareil va avoir un premier effet, puis l'écran, les yeux le retouches, puis l'encre et le papier et enfin les yeux celui qui regarde. Il y a plein d'outils qui cherchent à limiter les effets de chaque élément pour faire en sorte que l'image réémise soit la plus proche possible de celle qui a été reçue. Mais ! Ces outils sont inutiles si l'image de départ est fausse.
[...] Dans notre rapport à l'image, à tous niveaux les fluctuations sont infinies. Autre exemple : Un tirage couleur présentera des différences considérables dans les teintes selon l'éclairage (lumière du jour, tungstène, etc...).
Et la couleur du papier et... cf ci-dessus
Difficile problème, il faut trouver des compromis, surtout en fonction de notre caractère et de notre sensibilité personnelle. Je trouve souvent les nuages trop bleus, j'ai tendance à corriger cette dominante. La couleur du sable aussi est difficile. Le vert prédominant dans la nature m'est insupportable. Il y a trop de jaune dedans. En plus dans une image panoramique les nuances de vert changent du contre jour au plein jour.
Ça c'est normal. Avec le soleil de dos, suivant le type de végétation, on a un vert : - Très clair parce qu'elle réfléchit la lumière du soleil « comme un miroir ». - Très sombre parce que justement elle absorbe, ou laisse passer, toutes les ondes sauf celles qui crééent leur couleur. Quand le soleil est en face, la lumière traverse les feuilles ou l'herbe et le vert est « pétard ». (ma préférence, mais les goûts et les couleurs...) On a à peu près la même chose avec les routes et les trotoirs. Quand ils sont secs la lumière qu'il reçoivent part dans tous les sens avec tous les petits défauts du matériau. Quand il est mouillé il est plus lisse et donc plus réfléchissant. Il est donc, je caricature, noir ou blanc suivant que la lumière vient de derrière ou de devant. Dans le cas « blanc » c'est un miroir qui renvoie le soleil vers nous, dans l'autre il renvoie la lumière dans l'autre sens.
Parfois, à trop travailler sur une image on se plante complètement. Mais au bout d'un moment on s'aperçoit que notre rendu des couleurs est avant tout personnel. Expérience intéressante, il y a tellement de choses relatives et passionnantes dans la photographie. Le photographe est un peintre sans pinceau.
Justement, je peux travailler le moins possible pour peu que ma base n'ait pas besoin de correction.
J'espère ne pas avoir trop dévié du sujet de la conversation. Merci pour l'intérêt de ce sujet.
Que nenni
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr
Il y a de l'excellent et du nul sur ce site :) -- On s'occupe de l'étiquette Qu'une fois les vendanges faites. www.leraillez.com
albert <alphoto.nospam@wanadoo.fr> wrote:
Bonjour Benoit,
"Benoit" <benoit@com.invalid> a écrit :
> La raison en est simple. Dans des cas qui m'intéressent, photos de
> plages, où la couleur du sable (jaune, blanc, orange...), de l'eau (bleu
> clair, bleu foncé, vert...), des nuages (gris, blanc, bleu clair,
> jaune...) il y a souvent des ajustements qui, pour moi, faussent
> l'image.
Je comprends ton sentiment, retrouver une forme de neutralité à la prise
de vue et par incidence dans les corrections en post-production. Toutefois
dans les deux situations je ne vois aucune possibilité de trouver une norme
absolue, en référence à ce que capte l'oeil de façon brute avant toute
correction, ou réinterprétation par le cerveau.
La charte de gris est un outil essentiel. Son idée est à la base de tous
les algorithmes numériques, mais je pense que le sujet n'est pas là.
Non, car la charte de gris va refroidir ou réchauffer l'image pour la
ramener dans la « norme ».
Car tout simplement, aucune norme dans ce domaine ne peut exister. La
perception aussi brute soit-elle, et toujours liée à une interprétation. On
voit avec son cerveau. Tu dis : " il y a souvent des ajustements qui, pour
moi, faussent l'image." De toute façon "l'image" est faussée dès sa vision.
Ok. À chaque transfert de l'information contenu dans une image il y a
une modification à la réception puis à la ré-émission. L'appareil va
avoir un premier effet, puis l'écran, les yeux le retouches, puis
l'encre et le papier et enfin les yeux celui qui regarde.
Il y a plein d'outils qui cherchent à limiter les effets de chaque
élément pour faire en sorte que l'image réémise soit la plus proche
possible de celle qui a été reçue.
Mais ! Ces outils sont inutiles si l'image de départ est fausse.
[...]
Dans notre rapport à l'image, à tous niveaux les fluctuations sont
infinies. Autre exemple : Un tirage couleur présentera des différences
considérables dans les teintes selon l'éclairage (lumière du jour,
tungstène, etc...).
Et la couleur du papier et... cf ci-dessus
Difficile problème, il faut trouver des compromis, surtout en fonction de
notre caractère et de notre sensibilité personnelle. Je trouve souvent les
nuages trop bleus, j'ai tendance à corriger cette dominante. La couleur du
sable aussi est difficile. Le vert prédominant dans la nature m'est
insupportable. Il y a trop de jaune dedans. En plus dans une image
panoramique les nuances de vert changent du contre jour au plein jour.
Ça c'est normal. Avec le soleil de dos, suivant le type de végétation,
on a un vert :
- Très clair parce qu'elle réfléchit la lumière du soleil « comme un
miroir ».
- Très sombre parce que justement elle absorbe, ou laisse passer, toutes
les ondes sauf celles qui crééent leur couleur.
Quand le soleil est en face, la lumière traverse les feuilles ou l'herbe
et le vert est « pétard ». (ma préférence, mais les goûts et les
couleurs...)
On a à peu près la même chose avec les routes et les trotoirs. Quand ils
sont secs la lumière qu'il reçoivent part dans tous les sens avec tous
les petits défauts du matériau. Quand il est mouillé il est plus lisse
et donc plus réfléchissant. Il est donc, je caricature, noir ou blanc
suivant que la lumière vient de derrière ou de devant. Dans le cas
« blanc » c'est un miroir qui renvoie le soleil vers nous, dans l'autre
il renvoie la lumière dans l'autre sens.
Parfois, à trop travailler sur une image on se plante complètement. Mais
au bout d'un moment on s'aperçoit que notre rendu des couleurs est avant
tout personnel. Expérience intéressante, il y a tellement de choses
relatives et passionnantes dans la photographie. Le photographe est un
peintre sans pinceau.
Justement, je peux travailler le moins possible pour peu que ma base
n'ait pas besoin de correction.
J'espère ne pas avoir trop dévié du sujet de la conversation. Merci pour
l'intérêt de ce sujet.
Que nenni
Amitiés,
albert
----------------------------------------------------------
Photographies imaginaires
http://photo.imaginaire.free.fr
Il y a de l'excellent et du nul sur ce site :)
--
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La raison en est simple. Dans des cas qui m'intéressent, photos de plages, où la couleur du sable (jaune, blanc, orange...), de l'eau (bleu clair, bleu foncé, vert...), des nuages (gris, blanc, bleu clair, jaune...) il y a souvent des ajustements qui, pour moi, faussent l'image.
Je comprends ton sentiment, retrouver une forme de neutralité à la prise de vue et par incidence dans les corrections en post-production. Toutefois dans les deux situations je ne vois aucune possibilité de trouver une norme absolue, en référence à ce que capte l'oeil de façon brute avant toute correction, ou réinterprétation par le cerveau. La charte de gris est un outil essentiel. Son idée est à la base de tous les algorithmes numériques, mais je pense que le sujet n'est pas là.
Non, car la charte de gris va refroidir ou réchauffer l'image pour la ramener dans la « norme ».
Car tout simplement, aucune norme dans ce domaine ne peut exister. La perception aussi brute soit-elle, et toujours liée à une interprétation. On voit avec son cerveau. Tu dis : " il y a souvent des ajustements qui, pour moi, faussent l'image." De toute façon "l'image" est faussée dès sa vision.
Ok. À chaque transfert de l'information contenu dans une image il y a une modification à la réception puis à la ré-émission. L'appareil va avoir un premier effet, puis l'écran, les yeux le retouches, puis l'encre et le papier et enfin les yeux celui qui regarde. Il y a plein d'outils qui cherchent à limiter les effets de chaque élément pour faire en sorte que l'image réémise soit la plus proche possible de celle qui a été reçue. Mais ! Ces outils sont inutiles si l'image de départ est fausse.
[...] Dans notre rapport à l'image, à tous niveaux les fluctuations sont infinies. Autre exemple : Un tirage couleur présentera des différences considérables dans les teintes selon l'éclairage (lumière du jour, tungstène, etc...).
Et la couleur du papier et... cf ci-dessus
Difficile problème, il faut trouver des compromis, surtout en fonction de notre caractère et de notre sensibilité personnelle. Je trouve souvent les nuages trop bleus, j'ai tendance à corriger cette dominante. La couleur du sable aussi est difficile. Le vert prédominant dans la nature m'est insupportable. Il y a trop de jaune dedans. En plus dans une image panoramique les nuances de vert changent du contre jour au plein jour.
Ça c'est normal. Avec le soleil de dos, suivant le type de végétation, on a un vert : - Très clair parce qu'elle réfléchit la lumière du soleil « comme un miroir ». - Très sombre parce que justement elle absorbe, ou laisse passer, toutes les ondes sauf celles qui crééent leur couleur. Quand le soleil est en face, la lumière traverse les feuilles ou l'herbe et le vert est « pétard ». (ma préférence, mais les goûts et les couleurs...) On a à peu près la même chose avec les routes et les trotoirs. Quand ils sont secs la lumière qu'il reçoivent part dans tous les sens avec tous les petits défauts du matériau. Quand il est mouillé il est plus lisse et donc plus réfléchissant. Il est donc, je caricature, noir ou blanc suivant que la lumière vient de derrière ou de devant. Dans le cas « blanc » c'est un miroir qui renvoie le soleil vers nous, dans l'autre il renvoie la lumière dans l'autre sens.
Parfois, à trop travailler sur une image on se plante complètement. Mais au bout d'un moment on s'aperçoit que notre rendu des couleurs est avant tout personnel. Expérience intéressante, il y a tellement de choses relatives et passionnantes dans la photographie. Le photographe est un peintre sans pinceau.
Justement, je peux travailler le moins possible pour peu que ma base n'ait pas besoin de correction.
J'espère ne pas avoir trop dévié du sujet de la conversation. Merci pour l'intérêt de ce sujet.
Que nenni
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr
Il y a de l'excellent et du nul sur ce site :) -- On s'occupe de l'étiquette Qu'une fois les vendanges faites. www.leraillez.com
jdd
Le 19/07/2017 à 18:03, Benoit a écrit :
Je ne peux donc pas enregistrer un signal lumineux sans le modifier ?
ben non, ca c'est sûr
C'est pareil avec l'audio et avoir des enregistrements plus ou moins aigües, graves, suivant l'endroit où se trouve le micro, là où se fait l'enregistrement ?
ben oui... tout enregistrement est un traitement et une traduction. Traduttore tradittore disent les italiens (tout traducteur est un traitre) jdd -- http://dodin.org
Le 19/07/2017 à 18:03, Benoit a écrit :
Je ne peux donc pas enregistrer un signal lumineux sans le modifier ?
ben non, ca c'est sûr
C'est pareil avec l'audio et avoir des enregistrements plus ou moins
aigües, graves, suivant l'endroit où se trouve le micro, là où se fait
l'enregistrement ?
ben oui...
tout enregistrement est un traitement et une traduction. Traduttore
tradittore disent les italiens (tout traducteur est un traitre)
Je ne peux donc pas enregistrer un signal lumineux sans le modifier ?
ben non, ca c'est sûr
C'est pareil avec l'audio et avoir des enregistrements plus ou moins aigües, graves, suivant l'endroit où se trouve le micro, là où se fait l'enregistrement ?
ben oui... tout enregistrement est un traitement et une traduction. Traduttore tradittore disent les italiens (tout traducteur est un traitre) jdd -- http://dodin.org
benoit
jdd wrote:
Le 19/07/2017 à 18:03, Benoit a écrit :
Je ne peux donc pas enregistrer un signal lumineux sans le modifier ?
ben non, ca c'est sûr
_erd_ (à compléter seon ses envies du moment)
C'est pareil avec l'audio et avoir des enregistrements plus ou moins aigües, graves, suivant l'endroit où se trouve le micro, là où se fait l'enregistrement ?
ben oui... tout enregistrement est un traitement et une traduction. Traduttore tradittore disent les italiens (tout traducteur est un traitre)
Bin oui. -- On s'occupe de l'étiquette Qu'une fois les vendanges faites.
jdd <jdd@dodin.org> wrote:
Le 19/07/2017 à 18:03, Benoit a écrit :
> Je ne peux donc pas enregistrer un signal lumineux sans le modifier ?
ben non, ca c'est sûr
_erd_ (à compléter seon ses envies du moment)
> C'est pareil avec l'audio et avoir des enregistrements plus ou moins
> aigües, graves, suivant l'endroit où se trouve le micro, là où se fait
> l'enregistrement ?
>
ben oui...
tout enregistrement est un traitement et une traduction. Traduttore
tradittore disent les italiens (tout traducteur est un traitre)
Bin oui.
--
On s'occupe de l'étiquette
Qu'une fois les vendanges faites.
Je ne peux donc pas enregistrer un signal lumineux sans le modifier ?
ben non, ca c'est sûr
_erd_ (à compléter seon ses envies du moment)
C'est pareil avec l'audio et avoir des enregistrements plus ou moins aigües, graves, suivant l'endroit où se trouve le micro, là où se fait l'enregistrement ?
ben oui... tout enregistrement est un traitement et une traduction. Traduttore tradittore disent les italiens (tout traducteur est un traitre)
Bin oui. -- On s'occupe de l'étiquette Qu'une fois les vendanges faites.
Jacques L'helgoualc'h
Le 19-07-2017, Benoit a écrit : [...]
Ok, je vais tester lumière du jour. Comme je serai en Bretagne dans quelques semaines je vais prendre des photos avec plusieurs mode et comparer.
En Bretagne, plutôt « nuageux » :) Tu peux aussi essayer une méthode lue sur un forum dpreview : mémoriser une balance des blancs faite sur carton gris sous ciel nuageux... gougueule « site:dpreview.com claypaws white balance ». -- JL
Le 19-07-2017, Benoit a écrit :
[...]
Ok, je vais tester lumière du jour. Comme je serai en Bretagne dans
quelques semaines je vais prendre des photos avec plusieurs mode et
comparer.
En Bretagne, plutôt « nuageux » :)
Tu peux aussi essayer une méthode lue sur un forum dpreview :
mémoriser une balance des blancs faite sur carton gris sous ciel nuageux...
gougueule « site:dpreview.com claypaws white balance ».
--
JL
Ok, je vais tester lumière du jour. Comme je serai en Bretagne dans quelques semaines je vais prendre des photos avec plusieurs mode et comparer.
En Bretagne, plutôt « nuageux » :) Tu peux aussi essayer une méthode lue sur un forum dpreview : mémoriser une balance des blancs faite sur carton gris sous ciel nuageux... gougueule « site:dpreview.com claypaws white balance ». -- JL
benoit
Jacques L'helgoualc'h <lhh+ wrote:
Le 19-07-2017, Benoit a écrit : [...]
Ok, je vais tester lumière du jour. Comme je serai en Bretagne dans quelques semaines je vais prendre des photos avec plusieurs mode et comparer.
En Bretagne, plutôt « nuageux » :) Tu peux aussi essayer une méthode lue sur un forum dpreview : mémoriser une balance des blancs faite sur carton gris sous ciel nuageux... gougueule « site:dpreview.com claypaws white balance ».
Tout dépend de l'épaisseur des nuages. Et en Bretagne... ;-) -- On s'occupe de l'étiquette Qu'une fois les vendanges faites.
Jacques L'helgoualc'h <lhh+news-no_spam@free.fr.isnt.invalid> wrote:
Le 19-07-2017, Benoit a écrit :
[...]
> Ok, je vais tester lumière du jour. Comme je serai en Bretagne dans
> quelques semaines je vais prendre des photos avec plusieurs mode et
> comparer.
En Bretagne, plutôt « nuageux » :)
Tu peux aussi essayer une méthode lue sur un forum dpreview :
mémoriser une balance des blancs faite sur carton gris sous ciel nuageux...
gougueule « site:dpreview.com claypaws white balance ».
Tout dépend de l'épaisseur des nuages. Et en Bretagne... ;-)
--
On s'occupe de l'étiquette
Qu'une fois les vendanges faites.
Ok, je vais tester lumière du jour. Comme je serai en Bretagne dans quelques semaines je vais prendre des photos avec plusieurs mode et comparer.
En Bretagne, plutôt « nuageux » :) Tu peux aussi essayer une méthode lue sur un forum dpreview : mémoriser une balance des blancs faite sur carton gris sous ciel nuageux... gougueule « site:dpreview.com claypaws white balance ».
Tout dépend de l'épaisseur des nuages. Et en Bretagne... ;-) -- On s'occupe de l'étiquette Qu'une fois les vendanges faites.
St=c3=a9phane Legras-Decussy
On 19/07/2017 18:03, Benoit wrote:
Je ne peux donc pas enregistrer un signal lumineux sans le modifier ?
tu vas enregistrer seulement le signal electrique... qui dépend de la réponse du photosite et du filtre bayer devant. pour le relire, il faut reconstruire l'image de façon à ce qu'elle donne un truc potable sur l'écran. Cette reconstruction est forcément un choix artistique.
On 19/07/2017 18:03, Benoit wrote:
Je ne peux donc pas enregistrer un signal lumineux sans le modifier ?
tu vas enregistrer seulement le signal electrique... qui dépend
de la réponse du photosite et du filtre bayer devant.
pour le relire, il faut reconstruire l'image de façon à ce qu'elle
donne un truc potable sur l'écran. Cette reconstruction est forcément
un choix artistique.
Je ne peux donc pas enregistrer un signal lumineux sans le modifier ?
tu vas enregistrer seulement le signal electrique... qui dépend de la réponse du photosite et du filtre bayer devant. pour le relire, il faut reconstruire l'image de façon à ce qu'elle donne un truc potable sur l'écran. Cette reconstruction est forcément un choix artistique.
J'adore (: C'est le meilleur des compliments. Avec de l'excellent on se ferait vite chier, du nul aussi permet de se situer par rapport au photographe et le rend plus familier. Au fait, je suis assez curieux, c'est quoi le nul, que je puisse m'améliorer. Merci de ton avis. Le groupe est sympa décidément. Amitiés, albert
J'adore (: C'est le meilleur des compliments. Avec de l'excellent on se
ferait vite chier, du nul aussi permet de se situer par rapport au
photographe et le rend plus familier. Au fait, je suis assez curieux, c'est
quoi le nul, que je puisse m'améliorer. Merci de ton avis. Le groupe est
sympa décidément.
J'adore (: C'est le meilleur des compliments. Avec de l'excellent on se ferait vite chier, du nul aussi permet de se situer par rapport au photographe et le rend plus familier. Au fait, je suis assez curieux, c'est quoi le nul, que je puisse m'améliorer. Merci de ton avis. Le groupe est sympa décidément. Amitiés, albert