On 19/07/2017 18:03, Benoit wrote:Je ne peux donc pas enregistrer un signal lumineux sans le modifier ?
tu vas enregistrer seulement le signal electrique... qui dépend
de la réponse du photosite et du filtre bayer devant.
pour le relire, il faut reconstruire l'image de façon à ce qu'elle
donne un truc potable sur l'écran. Cette reconstruction est forcément
un choix artistique.
On 19/07/2017 18:03, Benoit wrote:
> Je ne peux donc pas enregistrer un signal lumineux sans le modifier ?
tu vas enregistrer seulement le signal electrique... qui dépend
de la réponse du photosite et du filtre bayer devant.
pour le relire, il faut reconstruire l'image de façon à ce qu'elle
donne un truc potable sur l'écran. Cette reconstruction est forcément
un choix artistique.
On 19/07/2017 18:03, Benoit wrote:Je ne peux donc pas enregistrer un signal lumineux sans le modifier ?
tu vas enregistrer seulement le signal electrique... qui dépend
de la réponse du photosite et du filtre bayer devant.
pour le relire, il faut reconstruire l'image de façon à ce qu'elle
donne un truc potable sur l'écran. Cette reconstruction est forcément
un choix artistique.
Non technique pour commencer.
Non technique pour commencer.
Non technique pour commencer.
"Benoit" a écrit :Photographies imaginaires
http://photo.imaginaire.free.fr
Il y a de l'excellent et du nul sur ce site :)
J'adore (: C'est le meilleur des compliments. Avec de l'excellent on se
ferait vite chier, du nul aussi permet de se situer par rapport au
photographe et le rend plus familier. Au fait, je suis assez curieux, c'est
quoi le nul, que je puisse m'améliorer. Merci de ton avis. Le groupe est
sympa décidément.
"Benoit" <benoit@com.invalid> a écrit :
>> Photographies imaginaires
>> http://photo.imaginaire.free.fr
>
> Il y a de l'excellent et du nul sur ce site :)
J'adore (: C'est le meilleur des compliments. Avec de l'excellent on se
ferait vite chier, du nul aussi permet de se situer par rapport au
photographe et le rend plus familier. Au fait, je suis assez curieux, c'est
quoi le nul, que je puisse m'améliorer. Merci de ton avis. Le groupe est
sympa décidément.
"Benoit" a écrit :Photographies imaginaires
http://photo.imaginaire.free.fr
Il y a de l'excellent et du nul sur ce site :)
J'adore (: C'est le meilleur des compliments. Avec de l'excellent on se
ferait vite chier, du nul aussi permet de se situer par rapport au
photographe et le rend plus familier. Au fait, je suis assez curieux, c'est
quoi le nul, que je puisse m'améliorer. Merci de ton avis. Le groupe est
sympa décidément.
ton lien est un flash-mètre.
ton lien est un flash-mètre.
ton lien est un flash-mètre.
Là oui. Mon pb est que si je peux prendre une photo, je suis obligé de
« bricoler » (pas d'autre terme) pour supprimer le fond (goudron,
brique, granit...). Pas de studio même si j'essaye de m'équiper, mais la
place quand loges à Paris...
Là oui. Mon pb est que si je peux prendre une photo, je suis obligé de
« bricoler » (pas d'autre terme) pour supprimer le fond (goudron,
brique, granit...). Pas de studio même si j'essaye de m'équiper, mais la
place quand loges à Paris...
Là oui. Mon pb est que si je peux prendre une photo, je suis obligé de
« bricoler » (pas d'autre terme) pour supprimer le fond (goudron,
brique, granit...). Pas de studio même si j'essaye de m'équiper, mais la
place quand loges à Paris...
C'est passionnant.
C'est passionnant.
C'est passionnant.
"Benoit" a écrit :Là oui. Mon pb est que si je peux prendre une photo, je suis obligé de
« bricoler » (pas d'autre terme) pour supprimer le fond (goudron,
brique, granit...). Pas de studio même si j'essaye de m'équiper, mais la
place quand loges à Paris...
Alors, pourquoi ne pas évacuer le problème ? Ton problème est que tu
veuilles absolument t'imposer un protocole de prise de vue en studio pour
réaliser tes idées. Peut-être que ce moyen n'est pas la condition sine qua
non pour arriver au but.
A propos de Fernande Petitdemange, tu dis qu'elle
va trop loin pour toi. Sans doute elle va trop loin dans ses buts, tu l'as
bien ciblé chez elle, tout comme je pense aussi que tu vas trop loin dans
tes moyens, n'ayant pas assez ciblé ton but. Il est vrai que c'est là le
principal problème. Nos buts véritables agissent au travers nous, ils
s'imposent tout en nous échappant constamment. Dans un travail
photographique, sur de nombreuses années, quels que soient les thèmes et les
techniques abordées, aussi différents soient-ils, on s'aperçoit au bout d'un
moment que l'on raconte toujours la même chose. On le cerne petit à petit,
par un travail intérieur, parallèle au travail purement photographique tout
en en étant une part essentielle.
De mon coté, quand j'ai commencé à écrire des textes, des commentaires sur
mes photographies : "A propos de cette image", tout est allé plus vite.
J'ai progressivement en le formulant avec conscience, fait le constat du :
"On raconte toujours la même chose". Et j'ai jugé très différemment les
photographies que je réalisais depuis trente ans, en y distinguant avec
évidence dans les plus intéressantes, le "Toujours la même chose".
Pour les autres, la technique y est trop sophistiquée, trop présente,
cachant le véritable but. Alors que j'en étais si fier avant, je les
trouvaient tout à coup bien fastidieuses, besogneuses. Ce n'est pas pour
autant qu'on se permet de devenir paresseux. La technique est un outil
essentiel.
J'ai remarqué aussi que quand le but est impératif, qu'il nous entraîne à
produire l'impossible, le pourquoi pas? c'est si excitant, il devient très
facile d'inventer pour lui sa propre technique. On le fait même sans y
penser, alors là seulement la technique devient transparente et laisse
apparaître l'essentiel.
Je te raconte tout cela car j'ai l'impression que tu travailles de la même
manière, inventant un monde.
C'est passionnant.
"Benoit" <benoit@com.invalid> a écrit :
> Là oui. Mon pb est que si je peux prendre une photo, je suis obligé de
> « bricoler » (pas d'autre terme) pour supprimer le fond (goudron,
> brique, granit...). Pas de studio même si j'essaye de m'équiper, mais la
> place quand loges à Paris...
Alors, pourquoi ne pas évacuer le problème ? Ton problème est que tu
veuilles absolument t'imposer un protocole de prise de vue en studio pour
réaliser tes idées. Peut-être que ce moyen n'est pas la condition sine qua
non pour arriver au but.
A propos de Fernande Petitdemange, tu dis qu'elle
va trop loin pour toi. Sans doute elle va trop loin dans ses buts, tu l'as
bien ciblé chez elle, tout comme je pense aussi que tu vas trop loin dans
tes moyens, n'ayant pas assez ciblé ton but. Il est vrai que c'est là le
principal problème. Nos buts véritables agissent au travers nous, ils
s'imposent tout en nous échappant constamment. Dans un travail
photographique, sur de nombreuses années, quels que soient les thèmes et les
techniques abordées, aussi différents soient-ils, on s'aperçoit au bout d'un
moment que l'on raconte toujours la même chose. On le cerne petit à petit,
par un travail intérieur, parallèle au travail purement photographique tout
en en étant une part essentielle.
De mon coté, quand j'ai commencé à écrire des textes, des commentaires sur
mes photographies : "A propos de cette image", tout est allé plus vite.
J'ai progressivement en le formulant avec conscience, fait le constat du :
"On raconte toujours la même chose". Et j'ai jugé très différemment les
photographies que je réalisais depuis trente ans, en y distinguant avec
évidence dans les plus intéressantes, le "Toujours la même chose".
Pour les autres, la technique y est trop sophistiquée, trop présente,
cachant le véritable but. Alors que j'en étais si fier avant, je les
trouvaient tout à coup bien fastidieuses, besogneuses. Ce n'est pas pour
autant qu'on se permet de devenir paresseux. La technique est un outil
essentiel.
J'ai remarqué aussi que quand le but est impératif, qu'il nous entraîne à
produire l'impossible, le pourquoi pas? c'est si excitant, il devient très
facile d'inventer pour lui sa propre technique. On le fait même sans y
penser, alors là seulement la technique devient transparente et laisse
apparaître l'essentiel.
Je te raconte tout cela car j'ai l'impression que tu travailles de la même
manière, inventant un monde.
C'est passionnant.
"Benoit" a écrit :Là oui. Mon pb est que si je peux prendre une photo, je suis obligé de
« bricoler » (pas d'autre terme) pour supprimer le fond (goudron,
brique, granit...). Pas de studio même si j'essaye de m'équiper, mais la
place quand loges à Paris...
Alors, pourquoi ne pas évacuer le problème ? Ton problème est que tu
veuilles absolument t'imposer un protocole de prise de vue en studio pour
réaliser tes idées. Peut-être que ce moyen n'est pas la condition sine qua
non pour arriver au but.
A propos de Fernande Petitdemange, tu dis qu'elle
va trop loin pour toi. Sans doute elle va trop loin dans ses buts, tu l'as
bien ciblé chez elle, tout comme je pense aussi que tu vas trop loin dans
tes moyens, n'ayant pas assez ciblé ton but. Il est vrai que c'est là le
principal problème. Nos buts véritables agissent au travers nous, ils
s'imposent tout en nous échappant constamment. Dans un travail
photographique, sur de nombreuses années, quels que soient les thèmes et les
techniques abordées, aussi différents soient-ils, on s'aperçoit au bout d'un
moment que l'on raconte toujours la même chose. On le cerne petit à petit,
par un travail intérieur, parallèle au travail purement photographique tout
en en étant une part essentielle.
De mon coté, quand j'ai commencé à écrire des textes, des commentaires sur
mes photographies : "A propos de cette image", tout est allé plus vite.
J'ai progressivement en le formulant avec conscience, fait le constat du :
"On raconte toujours la même chose". Et j'ai jugé très différemment les
photographies que je réalisais depuis trente ans, en y distinguant avec
évidence dans les plus intéressantes, le "Toujours la même chose".
Pour les autres, la technique y est trop sophistiquée, trop présente,
cachant le véritable but. Alors que j'en étais si fier avant, je les
trouvaient tout à coup bien fastidieuses, besogneuses. Ce n'est pas pour
autant qu'on se permet de devenir paresseux. La technique est un outil
essentiel.
J'ai remarqué aussi que quand le but est impératif, qu'il nous entraîne à
produire l'impossible, le pourquoi pas? c'est si excitant, il devient très
facile d'inventer pour lui sa propre technique. On le fait même sans y
penser, alors là seulement la technique devient transparente et laisse
apparaître l'essentiel.
Je te raconte tout cela car j'ai l'impression que tu travailles de la même
manière, inventant un monde.
C'est passionnant.
J'en ai parlé au directeur de création de l'agence de pub dans laquelle
j'ai fait vingt ans de carrière (à la finance pas la création) : s'il
trouvait l'idée très bonne, il m'a déconseillé de le faire parce que je
n'avais le « niveau » pour utiliser cette technique.
J'en ai parlé au directeur de création de l'agence de pub dans laquelle
j'ai fait vingt ans de carrière (à la finance pas la création) : s'il
trouvait l'idée très bonne, il m'a déconseillé de le faire parce que je
n'avais le « niveau » pour utiliser cette technique.
J'en ai parlé au directeur de création de l'agence de pub dans laquelle
j'ai fait vingt ans de carrière (à la finance pas la création) : s'il
trouvait l'idée très bonne, il m'a déconseillé de le faire parce que je
n'avais le « niveau » pour utiliser cette technique.