J'ai plusieurs questions assez diverses, certaines peut-=EAtre
foireuses
mais qui sait :
Contrairement au DVD PAL, le Blu-ray passe les films sans speed-up
car
ne transforme pas les 24 images sec. en 25, mais les laisse en 24.
Mais qu'en est-il des films qui sont tourn=E9s en 25 images sec., et
non
en 24 ? Je veux dire : dans un DVD PAL,
n'y a-t-il aucun PAL speed-up pour eux (car ils passent de 25 =E0 25) ?
Et =E9galement (je vais dire peut-=EAtre n'importe quoi, je ne connais
pas
bien comment fonctionnent tous ces syst=E8mes) : ces films tourn=E9s donc
=E0 25 i., si ils passent alors sans un dvd NTSC, sont-ils
"transform=E9s"
en 24 images sec. ? Y aurait-il alors une sorte d'inverse du speed-up
(un ralenti), ou quelque autre probl=E8me ?
Egalement, je ne sais pas si c'est possible sans probl=E8mes mais je me
demande pourquoi certains r=E9alisateurs n'ont pas essay=E9 de ralentir
de
4% leur film juste pour le pressage d'un dvd PAL; il n'y aurait
logiquement =E0 ce moment-l=E0 plus de speed-up du tout... Est-ce trop
cher =E0 faire ? S'en fichent-ils ?
Enfin, juste un d=E9tail : comme un lecteur Blu-ray lit aussi des DVDs,
un DVD PAL dans ce lecteur Blu-ray a-t-il son speed-up annul=E9 ?
Ce cher mammifère du nom de speedsoft.nospam nous susurrait, le lundi 19/10/2009, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4adc3c0a$0$953$, les doux mélismes suivants :
Liszt, le plus grand pianiste de tous les temps ?
Ben *OUI*, hein !... Il faut simplement lire la littérature et les témoignages à ce sujet...La vie de cet Homme fut tout simplement un véritable roman...Je ne peux à ce sujet que conseiller l'acquisition des deux gros volumes parus chez Faillard (Franz Liszt, de Alan Walker : "Le Virtuose" - "Weimar" - "Les dernières années")... Je suis lisztophile depuis plus de 50 ans, et fais partie de l'Académie Franz Liszt depuis plus de 30...Je Me targue donc de _très bien_ connaître cet _immenssissime_ compositeur, hélas /complètement méconnu/ même des mélomanes avertis, hélas... Il inventa tout simplement la *virtuosité* pianistique et le *récital* (il joua très souvent devant des publics de 5000 ou 15 000 auditeurs !...EZt parcourut l'Europe de Saint-Petersburg à Gibraltar, en passant par la Turquie et l'Écosse, et ce à plusieurs reprises !... Sans compter bien sûr le *compositeur* (l'intégralité ne serait-ce que de son _oeuvre pour piano_ tient en *86 CDs* (par le pianiste Leslie Howard, chez Hyperion), dont pas un disque ne dépasse pas 75 minutes !... Ses dernières oeuvres titillent l'atonalité, et sans lui, il n'y aurzait probablement pas eu de Debussy, Ravel et autre Schönberg...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de speedsoft.nospam nous susurrait, le lundi
19/10/2009, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout
de même, et dans le message <4adc3c0a$0$953$ba4acef3@news.orange.fr>,
les doux mélismes suivants :
Liszt, le plus grand pianiste de tous les temps ?
Ben *OUI*, hein !...
Il faut simplement lire la littérature et les témoignages à ce
sujet...La vie de cet Homme fut tout simplement un véritable roman...Je
ne peux à ce sujet que conseiller l'acquisition des deux gros volumes
parus chez Faillard (Franz Liszt, de Alan Walker : "Le Virtuose" -
"Weimar" - "Les dernières années")...
Je suis lisztophile depuis plus de 50 ans, et fais partie de l'Académie
Franz Liszt depuis plus de 30...Je Me targue donc de _très bien_
connaître cet _immenssissime_ compositeur, hélas /complètement méconnu/
même des mélomanes avertis, hélas...
Il inventa tout simplement la *virtuosité* pianistique et le *récital*
(il joua très souvent devant des publics de 5000 ou 15 000 auditeurs
!...EZt parcourut l'Europe de Saint-Petersburg à Gibraltar, en passant
par la Turquie et l'Écosse, et ce à plusieurs reprises !...
Sans compter bien sûr le *compositeur* (l'intégralité ne serait-ce que
de son _oeuvre pour piano_ tient en *86 CDs* (par le pianiste Leslie
Howard, chez Hyperion), dont pas un disque ne dépasse pas 75 minutes
!...
Ses dernières oeuvres titillent l'atonalité, et sans lui, il n'y
aurzait probablement pas eu de Debussy, Ravel et autre Schönberg...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science, accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de speedsoft.nospam nous susurrait, le lundi 19/10/2009, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4adc3c0a$0$953$, les doux mélismes suivants :
Liszt, le plus grand pianiste de tous les temps ?
Ben *OUI*, hein !... Il faut simplement lire la littérature et les témoignages à ce sujet...La vie de cet Homme fut tout simplement un véritable roman...Je ne peux à ce sujet que conseiller l'acquisition des deux gros volumes parus chez Faillard (Franz Liszt, de Alan Walker : "Le Virtuose" - "Weimar" - "Les dernières années")... Je suis lisztophile depuis plus de 50 ans, et fais partie de l'Académie Franz Liszt depuis plus de 30...Je Me targue donc de _très bien_ connaître cet _immenssissime_ compositeur, hélas /complètement méconnu/ même des mélomanes avertis, hélas... Il inventa tout simplement la *virtuosité* pianistique et le *récital* (il joua très souvent devant des publics de 5000 ou 15 000 auditeurs !...EZt parcourut l'Europe de Saint-Petersburg à Gibraltar, en passant par la Turquie et l'Écosse, et ce à plusieurs reprises !... Sans compter bien sûr le *compositeur* (l'intégralité ne serait-ce que de son _oeuvre pour piano_ tient en *86 CDs* (par le pianiste Leslie Howard, chez Hyperion), dont pas un disque ne dépasse pas 75 minutes !... Ses dernières oeuvres titillent l'atonalité, et sans lui, il n'y aurzait probablement pas eu de Debussy, Ravel et autre Schönberg...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
speedsoft.nospam
"MELMOTH" a écrit dans le message de news:
Ce cher mammifère du nom de speedsoft.nospam nous susurrait, le lundi 19/10/2009, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4adc3c0a$0$953$, les doux mélismes suivants :
Liszt, le plus grand pianiste de tous les temps ?
Ben *OUI*, hein !... Il faut simplement lire la littérature et les témoignages à ce sujet...La vie de cet Homme fut tout simplement un véritable roman...Je ne peux à ce sujet que conseiller l'acquisition des deux gros volumes parus chez Faillard (Franz Liszt, de Alan Walker : "Le Virtuose" - "Weimar" - "Les dernières années")... Je suis lisztophile depuis plus de 50 ans, et fais partie de l'Académie Franz Liszt depuis plus de 30...Je Me targue donc de _très bien_ connaître cet _immenssissime_ compositeur, hélas /complètement méconnu/ même des mélomanes avertis, hélas... Il inventa tout simplement la *virtuosité* pianistique et le *récital* (il joua très souvent devant des publics de 5000 ou 15 000 auditeurs !...EZt parcourut l'Europe de Saint-Petersburg à Gibraltar, en passant par la Turquie et l'Écosse, et ce à plusieurs reprises !... Sans compter bien sûr le *compositeur* (l'intégralité ne serait-ce que de son _oeuvre pour piano_ tient en *86 CDs* (par le pianiste Leslie Howard, chez Hyperion), dont pas un disque ne dépasse pas 75 minutes !... Ses dernières oeuvres titillent l'atonalité, et sans lui, il n'y aurzait probablement pas eu de Debussy, Ravel et autre Schönberg...
=========== Je n'en connais certainement pas autant que toi sur Liszt, mais ce type de classification m'agace. C'est la notion de "le plus grand"..; de tous les temps, qui ne veut AMHA rien dire... Le plus grand de son époque, sans aucun doute, les témoignages sont tellement nombreux.... Mais comparer de façon rétrospective la virtuosité de Liszt à celle des autres grands maîtres du clavier, ne serait-ce que Beethoven, me semble une démarche inutile et d'emblée biaisée, car il n'existe pas "d'outil de mesure" reproductible.
J'ignorais également que Liszt était le grand-père de "l'art dégénéré" :-)) NB : je ne mets pas Schönberg dans le même sac que Debussy et Ravel... (ou plutôt l'inverse...)
"MELMOTH" <theo@free.fr> a écrit dans le message de news:
mn.9af97d9a083c089c.12355@free.fr...
Ce cher mammifère du nom de speedsoft.nospam nous susurrait, le lundi
19/10/2009, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de
même, et dans le message <4adc3c0a$0$953$ba4acef3@news.orange.fr>, les
doux mélismes suivants :
Liszt, le plus grand pianiste de tous les temps ?
Ben *OUI*, hein !...
Il faut simplement lire la littérature et les témoignages à ce sujet...La
vie de cet Homme fut tout simplement un véritable roman...Je ne peux à ce
sujet que conseiller l'acquisition des deux gros volumes parus chez
Faillard (Franz Liszt, de Alan Walker : "Le Virtuose" - "Weimar" - "Les
dernières années")...
Je suis lisztophile depuis plus de 50 ans, et fais partie de l'Académie
Franz Liszt depuis plus de 30...Je Me targue donc de _très bien_ connaître
cet _immenssissime_ compositeur, hélas /complètement méconnu/ même des
mélomanes avertis, hélas...
Il inventa tout simplement la *virtuosité* pianistique et le *récital* (il
joua très souvent devant des publics de 5000 ou 15 000 auditeurs !...EZt
parcourut l'Europe de Saint-Petersburg à Gibraltar, en passant par la
Turquie et l'Écosse, et ce à plusieurs reprises !...
Sans compter bien sûr le *compositeur* (l'intégralité ne serait-ce que de
son _oeuvre pour piano_ tient en *86 CDs* (par le pianiste Leslie Howard,
chez Hyperion), dont pas un disque ne dépasse pas 75 minutes !...
Ses dernières oeuvres titillent l'atonalité, et sans lui, il n'y aurzait
probablement pas eu de Debussy, Ravel et autre Schönberg...
=========== Je n'en connais certainement pas autant que toi sur Liszt, mais ce type de
classification m'agace.
C'est la notion de "le plus grand"..; de tous les temps, qui ne veut AMHA
rien dire...
Le plus grand de son époque, sans aucun doute, les témoignages sont
tellement nombreux....
Mais comparer de façon rétrospective la virtuosité de Liszt à celle des
autres grands maîtres du clavier, ne serait-ce que Beethoven, me semble une
démarche inutile et d'emblée biaisée, car il n'existe pas "d'outil de
mesure" reproductible.
J'ignorais également que Liszt était le grand-père de "l'art dégénéré" :-))
NB : je ne mets pas Schönberg dans le même sac que Debussy et Ravel... (ou
plutôt l'inverse...)
Ce cher mammifère du nom de speedsoft.nospam nous susurrait, le lundi 19/10/2009, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4adc3c0a$0$953$, les doux mélismes suivants :
Liszt, le plus grand pianiste de tous les temps ?
Ben *OUI*, hein !... Il faut simplement lire la littérature et les témoignages à ce sujet...La vie de cet Homme fut tout simplement un véritable roman...Je ne peux à ce sujet que conseiller l'acquisition des deux gros volumes parus chez Faillard (Franz Liszt, de Alan Walker : "Le Virtuose" - "Weimar" - "Les dernières années")... Je suis lisztophile depuis plus de 50 ans, et fais partie de l'Académie Franz Liszt depuis plus de 30...Je Me targue donc de _très bien_ connaître cet _immenssissime_ compositeur, hélas /complètement méconnu/ même des mélomanes avertis, hélas... Il inventa tout simplement la *virtuosité* pianistique et le *récital* (il joua très souvent devant des publics de 5000 ou 15 000 auditeurs !...EZt parcourut l'Europe de Saint-Petersburg à Gibraltar, en passant par la Turquie et l'Écosse, et ce à plusieurs reprises !... Sans compter bien sûr le *compositeur* (l'intégralité ne serait-ce que de son _oeuvre pour piano_ tient en *86 CDs* (par le pianiste Leslie Howard, chez Hyperion), dont pas un disque ne dépasse pas 75 minutes !... Ses dernières oeuvres titillent l'atonalité, et sans lui, il n'y aurzait probablement pas eu de Debussy, Ravel et autre Schönberg...
=========== Je n'en connais certainement pas autant que toi sur Liszt, mais ce type de classification m'agace. C'est la notion de "le plus grand"..; de tous les temps, qui ne veut AMHA rien dire... Le plus grand de son époque, sans aucun doute, les témoignages sont tellement nombreux.... Mais comparer de façon rétrospective la virtuosité de Liszt à celle des autres grands maîtres du clavier, ne serait-ce que Beethoven, me semble une démarche inutile et d'emblée biaisée, car il n'existe pas "d'outil de mesure" reproductible.
J'ignorais également que Liszt était le grand-père de "l'art dégénéré" :-)) NB : je ne mets pas Schönberg dans le même sac que Debussy et Ravel... (ou plutôt l'inverse...)
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de speedsoft.nospam nous susurrait, le lundi 19/10/2009, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4adc58da$0$1006$, les doux mélismes suivants :
Je n'en connais certainement pas autant que toi sur Liszt, mais ce type de classification m'agace. C'est la notion de "le plus grand"..; de tous les temps, qui ne veut AMHA rien dire...
Les _plus grands virtuoses actuels_ s'avouent incapables de jouer certaines pièces de Ferenc /en public/ !... À l'époque de François [Les prénoms de Liszt (que ses contemporains écrivaient très souvent...List !) furent alternativement Fritz...Ferenc...François...Frantz...Personnellement, J'ai touujours opté pour *Ferenc*], les pianos n'étaient évidemment pas aussi costauds que ceux qu'on trouve actuellement !...Et Liszt fut d'ailleurs grandement responsable de leur évolution au cours du XIXème siècle, auprès des fabricants...Lors de ses concerts publics, il arrivait souvent avec /au minimum/ _deux claviers_, ce qui lui permettait d'en changer quand il en avait pété un !...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de speedsoft.nospam nous susurrait, le lundi
19/10/2009, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout
de même, et dans le message <4adc58da$0$1006$ba4acef3@news.orange.fr>,
les doux mélismes suivants :
Je n'en connais certainement pas autant que toi sur Liszt, mais ce
type de classification m'agace.
C'est la notion de "le plus grand"..; de tous les temps, qui ne veut
AMHA rien dire...
Les _plus grands virtuoses actuels_ s'avouent incapables de jouer
certaines pièces de Ferenc /en public/ !...
À l'époque de François [Les prénoms de Liszt (que ses contemporains
écrivaient très souvent...List !) furent alternativement
Fritz...Ferenc...François...Frantz...Personnellement, J'ai touujours
opté pour *Ferenc*], les pianos n'étaient évidemment pas aussi costauds
que ceux qu'on trouve actuellement !...Et Liszt fut d'ailleurs
grandement responsable de leur évolution au cours du XIXème siècle,
auprès des fabricants...Lors de ses concerts publics, il arrivait
souvent avec /au minimum/ _deux claviers_, ce qui lui permettait d'en
changer quand il en avait pété un !...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science, accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de speedsoft.nospam nous susurrait, le lundi 19/10/2009, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4adc58da$0$1006$, les doux mélismes suivants :
Je n'en connais certainement pas autant que toi sur Liszt, mais ce type de classification m'agace. C'est la notion de "le plus grand"..; de tous les temps, qui ne veut AMHA rien dire...
Les _plus grands virtuoses actuels_ s'avouent incapables de jouer certaines pièces de Ferenc /en public/ !... À l'époque de François [Les prénoms de Liszt (que ses contemporains écrivaient très souvent...List !) furent alternativement Fritz...Ferenc...François...Frantz...Personnellement, J'ai touujours opté pour *Ferenc*], les pianos n'étaient évidemment pas aussi costauds que ceux qu'on trouve actuellement !...Et Liszt fut d'ailleurs grandement responsable de leur évolution au cours du XIXème siècle, auprès des fabricants...Lors de ses concerts publics, il arrivait souvent avec /au minimum/ _deux claviers_, ce qui lui permettait d'en changer quand il en avait pété un !...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
speedsoft.nospam
"MELMOTH" a écrit dans le message de news:
Ce cher mammifère du nom de speedsoft.nospam nous susurrait, le lundi 19/10/2009, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4adc58da$0$1006$, les doux mélismes suivants :
Je n'en connais certainement pas autant que toi sur Liszt, mais ce type de classification m'agace. C'est la notion de "le plus grand"..; de tous les temps, qui ne veut AMHA rien dire...
Les _plus grands virtuoses actuels_ s'avouent incapables de jouer certaines pièces de Ferenc /en public/ !... À l'époque de François [Les prénoms de Liszt (que ses contemporains écrivaient très souvent...List !) furent alternativement Fritz...Ferenc...François...Frantz...Personnellement, J'ai touujours opté pour *Ferenc*], les pianos n'étaient évidemment pas aussi costauds que ceux qu'on trouve actuellement !...Et Liszt fut d'ailleurs grandement responsable de leur évolution au cours du XIXème siècle, auprès des fabricants...Lors de ses concerts publics, il arrivait souvent avec /au minimum/ _deux claviers_, ce qui lui permettait d'en changer quand il en avait pété un !...
========== Classiquement, j'avais opté pour "Franz". Quant au rôle particulier de Franz dans l'évolution du successeur du piano forte, il est effectivement fondamental. Evolution du nombre d'octaves, de la largeur du clavier et de la robustesse des mécanismes. Il faut aussi souligner que si de nombreux virtuoses actuels se cassent les dents sur certaines pièces de Liszt, c'est que les mains de ce dernier avaient des mensurations exceptionnelles, lui autorisant un grand écart de ? (j'ai oublié) notes. Cette particularité n'est évidemment pas la seule à l'origine de sa virtuosité...
"MELMOTH" <theo@free.fr> a écrit dans le message de news:
mn.9b737d9a46970741.12355@free.fr...
Ce cher mammifère du nom de speedsoft.nospam nous susurrait, le lundi
19/10/2009, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de
même, et dans le message <4adc58da$0$1006$ba4acef3@news.orange.fr>, les
doux mélismes suivants :
Je n'en connais certainement pas autant que toi sur Liszt, mais ce type
de classification m'agace.
C'est la notion de "le plus grand"..; de tous les temps, qui ne veut AMHA
rien dire...
Les _plus grands virtuoses actuels_ s'avouent incapables de jouer
certaines pièces de Ferenc /en public/ !...
À l'époque de François [Les prénoms de Liszt (que ses contemporains
écrivaient très souvent...List !) furent alternativement
Fritz...Ferenc...François...Frantz...Personnellement, J'ai touujours opté
pour *Ferenc*], les pianos n'étaient évidemment pas aussi costauds que
ceux qu'on trouve actuellement !...Et Liszt fut d'ailleurs grandement
responsable de leur évolution au cours du XIXème siècle, auprès des
fabricants...Lors de ses concerts publics, il arrivait souvent avec /au
minimum/ _deux claviers_, ce qui lui permettait d'en changer quand il en
avait pété un !...
========== Classiquement, j'avais opté pour "Franz".
Quant au rôle particulier de Franz dans l'évolution du successeur du piano
forte, il est effectivement fondamental.
Evolution du nombre d'octaves, de la largeur du clavier et de la robustesse
des mécanismes.
Il faut aussi souligner que si de nombreux virtuoses actuels se cassent les
dents sur certaines pièces de Liszt, c'est que les mains de ce dernier
avaient des mensurations exceptionnelles, lui autorisant un grand écart de ?
(j'ai oublié) notes. Cette particularité n'est évidemment pas la seule à
l'origine de sa virtuosité...
Ce cher mammifère du nom de speedsoft.nospam nous susurrait, le lundi 19/10/2009, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4adc58da$0$1006$, les doux mélismes suivants :
Je n'en connais certainement pas autant que toi sur Liszt, mais ce type de classification m'agace. C'est la notion de "le plus grand"..; de tous les temps, qui ne veut AMHA rien dire...
Les _plus grands virtuoses actuels_ s'avouent incapables de jouer certaines pièces de Ferenc /en public/ !... À l'époque de François [Les prénoms de Liszt (que ses contemporains écrivaient très souvent...List !) furent alternativement Fritz...Ferenc...François...Frantz...Personnellement, J'ai touujours opté pour *Ferenc*], les pianos n'étaient évidemment pas aussi costauds que ceux qu'on trouve actuellement !...Et Liszt fut d'ailleurs grandement responsable de leur évolution au cours du XIXème siècle, auprès des fabricants...Lors de ses concerts publics, il arrivait souvent avec /au minimum/ _deux claviers_, ce qui lui permettait d'en changer quand il en avait pété un !...
========== Classiquement, j'avais opté pour "Franz". Quant au rôle particulier de Franz dans l'évolution du successeur du piano forte, il est effectivement fondamental. Evolution du nombre d'octaves, de la largeur du clavier et de la robustesse des mécanismes. Il faut aussi souligner que si de nombreux virtuoses actuels se cassent les dents sur certaines pièces de Liszt, c'est que les mains de ce dernier avaient des mensurations exceptionnelles, lui autorisant un grand écart de ? (j'ai oublié) notes. Cette particularité n'est évidemment pas la seule à l'origine de sa virtuosité...
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de speedsoft.nospam nous susurrait, le lundi 19/10/2009, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4adc798c$0$919$, les doux mélismes suivants :
Il faut aussi souligner que si de nombreux virtuoses actuels se cassent les dents sur certaines pièces de Liszt, c'est que les mains de ce dernier avaient des mensurations exceptionnelles, lui autorisant un grand écart de ? (j'ai oublié) notes. Cette particularité n'est évidemment pas la seule à l'origine de sa virtuosité...
Oui et...non !... Un des plus grands interprètes de Liszt, Claudio Arrau (que J'ai eu la chance de connaître "en vrai" !...Sacré bonhomme !) avait des mains relativement petites...Et le professeur qui l'a _entièrement_ formé (jusqu'à jouer pour lui un rôle de véritable père), Martin Krause, fut un des derniers élèves de Liszt lui-même à Weimar !...Et bien /même Arrau/ n'a jamais osé jouer /en public/ les 12 Études d'Exécution Transcendantes !...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de speedsoft.nospam nous susurrait, le lundi
19/10/2009, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout
de même, et dans le message <4adc798c$0$919$ba4acef3@news.orange.fr>,
les doux mélismes suivants :
Il faut aussi souligner que si de nombreux virtuoses actuels se
cassent les dents sur certaines pièces de Liszt, c'est que les mains
de ce dernier avaient des mensurations exceptionnelles, lui
autorisant un grand écart de ? (j'ai oublié) notes. Cette
particularité n'est évidemment pas la seule à l'origine de sa
virtuosité...
Oui et...non !...
Un des plus grands interprètes de Liszt, Claudio Arrau (que J'ai eu la
chance de connaître "en vrai" !...Sacré bonhomme !) avait des mains
relativement petites...Et le professeur qui l'a _entièrement_ formé
(jusqu'à jouer pour lui un rôle de véritable père), Martin Krause, fut
un des derniers élèves de Liszt lui-même à Weimar !...Et bien /même
Arrau/ n'a jamais osé jouer /en public/ les 12 Études d'Exécution
Transcendantes !...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science, accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de speedsoft.nospam nous susurrait, le lundi 19/10/2009, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4adc798c$0$919$, les doux mélismes suivants :
Il faut aussi souligner que si de nombreux virtuoses actuels se cassent les dents sur certaines pièces de Liszt, c'est que les mains de ce dernier avaient des mensurations exceptionnelles, lui autorisant un grand écart de ? (j'ai oublié) notes. Cette particularité n'est évidemment pas la seule à l'origine de sa virtuosité...
Oui et...non !... Un des plus grands interprètes de Liszt, Claudio Arrau (que J'ai eu la chance de connaître "en vrai" !...Sacré bonhomme !) avait des mains relativement petites...Et le professeur qui l'a _entièrement_ formé (jusqu'à jouer pour lui un rôle de véritable père), Martin Krause, fut un des derniers élèves de Liszt lui-même à Weimar !...Et bien /même Arrau/ n'a jamais osé jouer /en public/ les 12 Études d'Exécution Transcendantes !...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Pierre Consejo
Le 19/10/2009 17:17, MELMOTH a écrit :
...Et bien /même Arrau/ n'a jamais osé jouer /en public/ les 12 Études d'Exécution Transcendantes !...
Bonjour, en passant et pour mon édification vous savez si Bolet l'a fait ? Au disque, pas mal en tout cas... P
Le 19/10/2009 17:17, MELMOTH a écrit :
...Et bien /même Arrau/ n'a jamais osé jouer /en public/ les 12 Études
d'Exécution Transcendantes !...
Bonjour, en passant et pour mon édification vous savez si Bolet l'a fait
? Au disque, pas mal en tout cas...
P
Je connais cet enregistrement, simplement je me demandais si Bolet avait donné, tout ou partie, ces études au concert. Merci quand même :-)
P
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de Pierre Consejo nous susurrait, le mardi 20/10/2009, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4addb419$0$964$, les doux mélismes suivants :
Bonjour, en passant et pour mon édification vous savez si Bolet l'a fait ? Au disque, pas mal en tout cas...
Bolet (grand lisztien lui aussi) les a enregistrées (Decca), mais à Ma connaissance jamais jouées intégralement en public...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Pierre Consejo nous susurrait, le mardi
20/10/2009, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout
de même, et dans le message <4addb419$0$964$ba4acef3@news.orange.fr>,
les doux mélismes suivants :
Bonjour, en passant et pour mon édification vous savez si Bolet l'a
fait ? Au disque, pas mal en tout cas...
Bolet (grand lisztien lui aussi) les a enregistrées (Decca), mais à Ma
connaissance jamais jouées intégralement en public...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science, accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Pierre Consejo nous susurrait, le mardi 20/10/2009, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4addb419$0$964$, les doux mélismes suivants :
Bonjour, en passant et pour mon édification vous savez si Bolet l'a fait ? Au disque, pas mal en tout cas...
Bolet (grand lisztien lui aussi) les a enregistrées (Decca), mais à Ma connaissance jamais jouées intégralement en public...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Pierre Consejo
Le 20/10/2009 16:01, MELMOTH a écrit :
Bolet (grand lisztien lui aussi) les a enregistrées (Decca), mais à Ma connaissance jamais jouées intégralement en public...
Il me semblait... C'est un signe tout de même, quelle musique... et pour une fois, merci le disque :-)
P
Le 20/10/2009 16:01, MELMOTH a écrit :
Bolet (grand lisztien lui aussi) les a enregistrées (Decca), mais à Ma
connaissance jamais jouées intégralement en public...
Il me semblait... C'est un signe tout de même, quelle musique... et pour
une fois, merci le disque :-)
