La première représente environ 95% du format.
La seconde, un extrait de la précedente, grossi 15 fois linéairement.
Tiré sur un A4, c'est encore un document très acceptable. Notons toutefois
qu'il s'agit de l'extrait d'une image de 4.5 m de base
Compact Canon G10. Iso 80
1/640e, f:4
Taille initiale du fichier : 4416 x 3312.
http://www.cijoint.fr/cj200906/cij6f4ASC9.jpg
http://www.cijoint.fr/cj200906/cij5SIHRfu.jpg
Incontestablement ces matériels progressent !
--
Jacques Dassié
http://archaero.com/
les peintres de l'époque. Chez Mantegna par exemple sur lequel je m'extasiais tout à l'heure, les minuscules personnages au loin regorgent de détails. Léonard a compris qu'un spectateur pouvait se coller au tableau pour compter les cheveux, d'où la netteté de ceux-ci, mais qu'il n'avait pas à voir pour autant chaque élément dans ses moindres détails, d'où le sfumato.
Je crois que léonard de Vinci lui vait compris qu'il n'était pas normal ni necessaire de reproduire les personnages dans le lointain avec une precision ultime et microscopique comme si on les voyait de près, il était aussi technicien L de Vinci. Quoique bien des ses idées soient restées non matérailisées, on a du mal à les mettre en défaut. pourquoi l'observateur du tableau devrait il cheminer à l'interieur pour aller détailler les personnages dans le lointain, à ce moment on peut aussi minir l'observateur d'un projecteur pour aller fouiller les ombres d'un Rembrandt. quoiqu'on fasse, quelle que soit notre acuité visuelle, il me semble difficile de vérifier si les chaussures d'un personnage au lointain sont cirées, pour des militaires pendant une revue de casernement, je conçois très bien cette attitude en revanche. je me demande vraiment si le personnage a un kilomètre porte des babouches ou des trotteurs d'après midi a une quelconque importance ?
-- G.Ricco
Ofnuts wrote:
les peintres de l'époque. Chez Mantegna par exemple sur lequel je
m'extasiais tout à l'heure, les minuscules personnages au loin
regorgent de détails. Léonard a compris qu'un spectateur pouvait se
coller au tableau pour compter les cheveux, d'où la netteté de
ceux-ci, mais qu'il n'avait pas
à voir pour autant chaque élément dans ses moindres détails, d'où le
sfumato.
Je crois que léonard de Vinci lui vait compris qu'il n'était pas normal ni
necessaire de reproduire les personnages dans le lointain avec une
precision ultime et microscopique comme si on les voyait de près, il était
aussi technicien L de Vinci.
Quoique bien des ses idées soient restées non matérailisées, on a du mal à
les mettre en défaut.
pourquoi l'observateur du tableau devrait il cheminer à l'interieur pour
aller détailler les personnages dans le lointain, à ce moment on peut aussi
minir l'observateur d'un projecteur pour aller fouiller les ombres d'un
Rembrandt. quoiqu'on fasse, quelle que soit notre acuité visuelle, il me
semble difficile de vérifier si les chaussures d'un personnage au lointain
sont cirées, pour des militaires pendant une revue de casernement, je
conçois très bien cette attitude en revanche.
je me demande vraiment si le personnage a un kilomètre porte des babouches
ou des trotteurs d'après midi a une quelconque importance ?
les peintres de l'époque. Chez Mantegna par exemple sur lequel je m'extasiais tout à l'heure, les minuscules personnages au loin regorgent de détails. Léonard a compris qu'un spectateur pouvait se coller au tableau pour compter les cheveux, d'où la netteté de ceux-ci, mais qu'il n'avait pas à voir pour autant chaque élément dans ses moindres détails, d'où le sfumato.
Je crois que léonard de Vinci lui vait compris qu'il n'était pas normal ni necessaire de reproduire les personnages dans le lointain avec une precision ultime et microscopique comme si on les voyait de près, il était aussi technicien L de Vinci. Quoique bien des ses idées soient restées non matérailisées, on a du mal à les mettre en défaut. pourquoi l'observateur du tableau devrait il cheminer à l'interieur pour aller détailler les personnages dans le lointain, à ce moment on peut aussi minir l'observateur d'un projecteur pour aller fouiller les ombres d'un Rembrandt. quoiqu'on fasse, quelle que soit notre acuité visuelle, il me semble difficile de vérifier si les chaussures d'un personnage au lointain sont cirées, pour des militaires pendant une revue de casernement, je conçois très bien cette attitude en revanche. je me demande vraiment si le personnage a un kilomètre porte des babouches ou des trotteurs d'après midi a une quelconque importance ?
-- G.Ricco
JeanPasse
"Ofnuts" a écrit dans le message de news: 4a487ba3$0$31116$
JeanPasse wrote:
coupé.......
Bon exemple à mon avis. Voir une image en 7.5 dpi à 10 m comme l'affirme Jacques Dassié c'est voir une image sans piqué. Sur une pareille image une lame de rasoir devient une atroce scie.
Oui si tu as le nez dessus, mais pas à 10m... En fait ton raisonnement s'applique à toute photo numérique... sur tout photo suffisamment zoomée, toute ligne (hors verticales et horizontales parfaites) est soie une scie, soit une bouillie.
Deux points essentiels presque toujours négligés dans ce genre de discussion sont la finalité de l'image et l'aspect économique. Si on a le loisir d'observer une toile ancienne à la loupe afin de bien voir les détails du coup de pinceau (ce qui n'empèche pas de regarder de loin)
Donc tu regardes les peintures au téléscope? Tu ne crois pas que Léonard, quand il a peignait la Joconde, s'arrêtait à une vision globale, et ne cherchait pas à analyser son coup de pinceau à la loupe? D'ailleurs combien de personnes au monde peuvent vraiment regarder la Joconde d'assez près pour ça (déjà que, vu sa taille, je ne suis pas sûr qu'on puisse la regarder à sa bonne distance au Louvre, à supposer de plus que ce soit l'original)
pourquoi ne peut-on pas observer une photo en Gigapixels le nez sur le mur?
On peut toujours... reste que l'affiche 4x5m est en général faite pour être regardée de loin et ne peut pas en général être regardée de près (trop haute, derrière un barrière...)
Pourquoi interdire ( because calculs de définition standard basés sur des statistiques de la vision moyenne) de faire une gigapixel de sauterelle sous microscope?
Rien ne l'interdit, reste que c'est pas terriblement utile. Pour regarder une affiche à ce niveau de détail sur toute la surface, il faut une nacelle mobile... Il est beaucoup plus pratique de la regarder à l'écran comme un panoramique. Pour se fixer les idées, question photo de grande taille à destination d'un public qui peut les voir d'assez près: à combien de DPI avaient été tirées les photos de YAB pour leur expo autour du Luxembourg?
Évidemement un imprimeur dira toujours que 100 dpi est suffisant car son imprimante sortira plus de papier en moins de temps, d'ou meilleure rentabilité de ses équipements.
L'imprimeur il fait ce que permet la technique, modulo ce que le client est prêt à payer. Visiblement il n'y a pas trop de clients pour l'affiche gigapixel, à part peut-être les pubs pour les appareils photo.
-- Bertrand
???? Pourquoi argumenter avec des exemples "en général" lorsque l'on parle d'une photo particulière. Montrer un insecte ne se fait pas - en général - sur une affiche visible seulement de loin. Lorsque l'on fait de la macrophotographie c'est habituellement - presque toujours, assez souvent et ne serais-ce que parfois - pour faire découvrir à l'oeil quotidien ce qu'il ne peut voir de son l'oeil nu.
Le but de la photo montrée dans ce fil semble selon son auteur 1) de nous montrer l'insecte 2) de mettre en valeur son APN de 14 mega pixels. Or dans la photo originale l'insecte est défini par un nombre restrait de pixels (moins de 500 de la tête à la queue. Il est vrai qu'un APN de 6 mega pixels, pour un cadrage identique, nous fournirais moins d'informations sur cet insecte. Pas besoins de longues discussions pour être d'accord sur ce point et j'admet d'emblée que les 14 méga pixels sont fort utiles.
Mais quel est l'intérêt d'agrandir la section de l'insecte? Nous pouvons tous le faire nous même chacun sur son écran. Nous n'apprendrons rien de plus sur l'insecte car ces agrandissements n'ajoute que des pixels dépourvus d'informations. Le seul avantage est celui de la facilité de lecture dépendant de la vision de chacun et de l'état de son écran. En imprimant l'image de l'insecte il suffit que chaque pixel original soit reproduit de manière "visible" pour avoir accès à toute l'information. Tout agrandissement supérieur sert à faciliter la lecture, au style, à la mise en page etc. Encore rien de plus comme information.
Auparavent les procédés photographiques et d'impressions rendaient la réalisation de grands formats difficiles et couteux. Aujourd'hui la technoligie le permet et plusieurs se le permettent, suffit d'aller dans les galeries d'art dédiées à la photo.
René Les agrandissements numériques sont du gaspillage de pixels.
"Ofnuts" <o.f.n.u.t.s@la.poste.net> a écrit dans le message de news:
4a487ba3$0$31116$426a74cc@news.free.fr...
JeanPasse wrote:
coupé.......
Bon exemple à mon avis.
Voir une image en 7.5 dpi à 10 m comme l'affirme Jacques Dassié c'est
voir une image sans piqué. Sur une pareille image une lame de rasoir
devient une atroce scie.
Oui si tu as le nez dessus, mais pas à 10m... En fait ton raisonnement
s'applique à toute photo numérique... sur tout photo suffisamment zoomée,
toute ligne (hors verticales et horizontales parfaites) est soie une scie,
soit une bouillie.
Deux points essentiels presque toujours négligés dans ce genre de
discussion sont la finalité de l'image et l'aspect économique.
Si on a le loisir d'observer une toile ancienne à la loupe afin de bien
voir les détails du coup de pinceau (ce qui n'empèche pas de regarder de
loin)
Donc tu regardes les peintures au téléscope? Tu ne crois pas que Léonard,
quand il a peignait la Joconde, s'arrêtait à une vision globale, et ne
cherchait pas à analyser son coup de pinceau à la loupe? D'ailleurs
combien de personnes au monde peuvent vraiment regarder la Joconde d'assez
près pour ça (déjà que, vu sa taille, je ne suis pas sûr qu'on puisse la
regarder à sa bonne distance au Louvre, à supposer de plus que ce soit
l'original)
pourquoi ne peut-on pas observer une photo en Gigapixels le nez sur le
mur?
On peut toujours... reste que l'affiche 4x5m est en général faite pour
être regardée de loin et ne peut pas en général être regardée de près
(trop haute, derrière un barrière...)
Pourquoi interdire ( because calculs de définition standard basés sur des
statistiques de la vision moyenne) de faire une gigapixel de sauterelle
sous microscope?
Rien ne l'interdit, reste que c'est pas terriblement utile. Pour regarder
une affiche à ce niveau de détail sur toute la surface, il faut une
nacelle mobile... Il est beaucoup plus pratique de la regarder à l'écran
comme un panoramique. Pour se fixer les idées, question photo de grande
taille à destination d'un public qui peut les voir d'assez près: à combien
de DPI avaient été tirées les photos de YAB pour leur expo autour du
Luxembourg?
Évidemement un imprimeur dira toujours que 100 dpi est suffisant car son
imprimante sortira plus de papier en moins de temps, d'ou meilleure
rentabilité de ses équipements.
L'imprimeur il fait ce que permet la technique, modulo ce que le client
est prêt à payer. Visiblement il n'y a pas trop de clients pour l'affiche
gigapixel, à part peut-être les pubs pour les appareils photo.
--
Bertrand
???? Pourquoi argumenter avec des exemples "en général" lorsque l'on parle
d'une photo particulière. Montrer un insecte ne se fait pas - en général -
sur une affiche visible seulement de loin. Lorsque l'on fait de la
macrophotographie c'est habituellement - presque toujours, assez souvent et
ne serais-ce que parfois -
pour faire découvrir à l'oeil quotidien ce qu'il ne peut voir de son l'oeil
nu.
Le but de la photo montrée dans ce fil semble selon son auteur 1) de nous
montrer l'insecte 2) de mettre en valeur son APN de 14 mega pixels.
Or dans la photo originale l'insecte est défini par un nombre restrait de
pixels (moins de 500 de la tête à la queue. Il est vrai qu'un APN de 6 mega
pixels, pour un cadrage identique, nous fournirais moins d'informations sur
cet insecte. Pas besoins de longues discussions pour être d'accord sur ce
point et j'admet d'emblée que les 14 méga pixels sont fort utiles.
Mais quel est l'intérêt d'agrandir la section de l'insecte? Nous pouvons
tous le faire nous même chacun sur son écran. Nous n'apprendrons rien de
plus sur l'insecte car ces agrandissements n'ajoute que des pixels dépourvus
d'informations. Le seul avantage est celui de la facilité de lecture
dépendant de la vision de chacun et de l'état de son écran. En imprimant
l'image de l'insecte il suffit que chaque pixel original soit reproduit de
manière "visible" pour avoir accès à toute l'information. Tout
agrandissement supérieur sert à faciliter la lecture, au style, à la mise en
page etc. Encore rien de plus comme information.
Auparavent les procédés photographiques et d'impressions rendaient la
réalisation de grands formats difficiles et couteux. Aujourd'hui la
technoligie le permet et plusieurs se le permettent, suffit d'aller dans les
galeries d'art dédiées à la photo.
René
Les agrandissements numériques sont du gaspillage de pixels.
"Ofnuts" a écrit dans le message de news: 4a487ba3$0$31116$
JeanPasse wrote:
coupé.......
Bon exemple à mon avis. Voir une image en 7.5 dpi à 10 m comme l'affirme Jacques Dassié c'est voir une image sans piqué. Sur une pareille image une lame de rasoir devient une atroce scie.
Oui si tu as le nez dessus, mais pas à 10m... En fait ton raisonnement s'applique à toute photo numérique... sur tout photo suffisamment zoomée, toute ligne (hors verticales et horizontales parfaites) est soie une scie, soit une bouillie.
Deux points essentiels presque toujours négligés dans ce genre de discussion sont la finalité de l'image et l'aspect économique. Si on a le loisir d'observer une toile ancienne à la loupe afin de bien voir les détails du coup de pinceau (ce qui n'empèche pas de regarder de loin)
Donc tu regardes les peintures au téléscope? Tu ne crois pas que Léonard, quand il a peignait la Joconde, s'arrêtait à une vision globale, et ne cherchait pas à analyser son coup de pinceau à la loupe? D'ailleurs combien de personnes au monde peuvent vraiment regarder la Joconde d'assez près pour ça (déjà que, vu sa taille, je ne suis pas sûr qu'on puisse la regarder à sa bonne distance au Louvre, à supposer de plus que ce soit l'original)
pourquoi ne peut-on pas observer une photo en Gigapixels le nez sur le mur?
On peut toujours... reste que l'affiche 4x5m est en général faite pour être regardée de loin et ne peut pas en général être regardée de près (trop haute, derrière un barrière...)
Pourquoi interdire ( because calculs de définition standard basés sur des statistiques de la vision moyenne) de faire une gigapixel de sauterelle sous microscope?
Rien ne l'interdit, reste que c'est pas terriblement utile. Pour regarder une affiche à ce niveau de détail sur toute la surface, il faut une nacelle mobile... Il est beaucoup plus pratique de la regarder à l'écran comme un panoramique. Pour se fixer les idées, question photo de grande taille à destination d'un public qui peut les voir d'assez près: à combien de DPI avaient été tirées les photos de YAB pour leur expo autour du Luxembourg?
Évidemement un imprimeur dira toujours que 100 dpi est suffisant car son imprimante sortira plus de papier en moins de temps, d'ou meilleure rentabilité de ses équipements.
L'imprimeur il fait ce que permet la technique, modulo ce que le client est prêt à payer. Visiblement il n'y a pas trop de clients pour l'affiche gigapixel, à part peut-être les pubs pour les appareils photo.
-- Bertrand
???? Pourquoi argumenter avec des exemples "en général" lorsque l'on parle d'une photo particulière. Montrer un insecte ne se fait pas - en général - sur une affiche visible seulement de loin. Lorsque l'on fait de la macrophotographie c'est habituellement - presque toujours, assez souvent et ne serais-ce que parfois - pour faire découvrir à l'oeil quotidien ce qu'il ne peut voir de son l'oeil nu.
Le but de la photo montrée dans ce fil semble selon son auteur 1) de nous montrer l'insecte 2) de mettre en valeur son APN de 14 mega pixels. Or dans la photo originale l'insecte est défini par un nombre restrait de pixels (moins de 500 de la tête à la queue. Il est vrai qu'un APN de 6 mega pixels, pour un cadrage identique, nous fournirais moins d'informations sur cet insecte. Pas besoins de longues discussions pour être d'accord sur ce point et j'admet d'emblée que les 14 méga pixels sont fort utiles.
Mais quel est l'intérêt d'agrandir la section de l'insecte? Nous pouvons tous le faire nous même chacun sur son écran. Nous n'apprendrons rien de plus sur l'insecte car ces agrandissements n'ajoute que des pixels dépourvus d'informations. Le seul avantage est celui de la facilité de lecture dépendant de la vision de chacun et de l'état de son écran. En imprimant l'image de l'insecte il suffit que chaque pixel original soit reproduit de manière "visible" pour avoir accès à toute l'information. Tout agrandissement supérieur sert à faciliter la lecture, au style, à la mise en page etc. Encore rien de plus comme information.
Auparavent les procédés photographiques et d'impressions rendaient la réalisation de grands formats difficiles et couteux. Aujourd'hui la technoligie le permet et plusieurs se le permettent, suffit d'aller dans les galeries d'art dédiées à la photo.
René Les agrandissements numériques sont du gaspillage de pixels.
Tiens, à propos de n'importe quoi : http://www.scientistsofamerica.com/index.php?texte&
Excellent, merci beaucoup pour ce site savoureux... :-))
A++ -- Christian
Jean-Pierre Roche
palmerclaude a écrit :
Trés intéressant, sauf qu'au départ, j'avais cru comprendre que la démonstration était la capacité dynamique et le nombre de pixels du G10, qui permettaient de montrer plus de détails. C'est à dire la possibilité de procéder à des agrandissements de taille légèrement supérieure pour une vision à distance égale, ou encore de faciliter le cropping et des recadrages de détails au choix. Ce n'ets pas mal non ?
Bof... Le G10 n'est pas meilleur est il est même souvent inférieur à d'autres modèles. Faut arrêter de croire qu'on peut entasser des tas de pixels sur un petit capteur sans que ça ait des conséquences négatives.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
palmerclaude a écrit :
Trés intéressant, sauf qu'au départ, j'avais cru comprendre que la
démonstration était la capacité dynamique et le nombre de pixels du G10,
qui permettaient de montrer plus de détails.
C'est à dire la possibilité de procéder à des agrandissements de taille
légèrement supérieure pour une vision à distance égale, ou encore de
faciliter le cropping et des recadrages de détails au choix.
Ce n'ets pas mal non ?
Bof... Le G10 n'est pas meilleur est il est même souvent
inférieur à d'autres modèles. Faut arrêter de croire qu'on
peut entasser des tas de pixels sur un petit capteur sans
que ça ait des conséquences négatives.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
enlever sanspub pour m'écrire...
Trés intéressant, sauf qu'au départ, j'avais cru comprendre que la démonstration était la capacité dynamique et le nombre de pixels du G10, qui permettaient de montrer plus de détails. C'est à dire la possibilité de procéder à des agrandissements de taille légèrement supérieure pour une vision à distance égale, ou encore de faciliter le cropping et des recadrages de détails au choix. Ce n'ets pas mal non ?
Bof... Le G10 n'est pas meilleur est il est même souvent inférieur à d'autres modèles. Faut arrêter de croire qu'on peut entasser des tas de pixels sur un petit capteur sans que ça ait des conséquences négatives.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
Delestaque
palmerclaude wrote: .
Je ne me souviens pas que les documents issus du 24x36 ou de 20x25 aient été de telles sources de manque de netteté... C'était dans les années 60... pc
Il n'y avait pas de manque de netteté, que ce soit issu de n'importe quoi, c'est un débat amateuriste qui est apparu avec le numérique, qu on prennen d'ailleurs les lois physiques et les caractéritiques de l'oeil, rien n'a changé de ce côté là, sauf l'apparition de coupeurs de checeux en quatre qui ne sont pas en possession des base élémentaires de la photo, on notera et je l'ai déjà signalé que bien que parfaitement démontré, rien y fait, a la fin du débat, tu entendra encore un :
oui, mais quand même....
oui, mais quand même rien du tout ! question posée en examen sur ce sujet : note , zéro, c'est tout, quand on ne veut pas comprendre, qu'on ne veut pas admettre, c'est comme ça. Ca ne changera pas les loi de la physique et le cercle confusion image de l'oeil, qu'on parle de grain, de pixel, de point offset.ou de taches de peintures au pistolet sur un mur.
-- G.Ricco
palmerclaude wrote:
.
Je ne me souviens pas que les documents issus du 24x36 ou de 20x25
aient été de telles sources de manque de netteté... C'était dans les
années 60... pc
Il n'y avait pas de manque de netteté, que ce soit issu de n'importe quoi,
c'est un débat amateuriste qui est apparu avec le numérique, qu on prennen
d'ailleurs les lois physiques et les caractéritiques de l'oeil, rien n'a
changé de ce côté là, sauf l'apparition de coupeurs de checeux en quatre qui
ne sont pas en possession des base élémentaires de la photo, on notera et je
l'ai déjà signalé que bien que parfaitement démontré, rien y fait, a la fin
du débat, tu entendra encore un :
oui, mais quand même....
oui, mais quand même rien du tout !
question posée en examen sur ce sujet : note , zéro, c'est tout, quand on ne
veut pas comprendre, qu'on ne veut pas admettre, c'est comme ça.
Ca ne changera pas les loi de la physique et le cercle confusion image de
l'oeil, qu'on parle de grain, de pixel, de point offset.ou de taches de
peintures au pistolet sur un mur.
Je ne me souviens pas que les documents issus du 24x36 ou de 20x25 aient été de telles sources de manque de netteté... C'était dans les années 60... pc
Il n'y avait pas de manque de netteté, que ce soit issu de n'importe quoi, c'est un débat amateuriste qui est apparu avec le numérique, qu on prennen d'ailleurs les lois physiques et les caractéritiques de l'oeil, rien n'a changé de ce côté là, sauf l'apparition de coupeurs de checeux en quatre qui ne sont pas en possession des base élémentaires de la photo, on notera et je l'ai déjà signalé que bien que parfaitement démontré, rien y fait, a la fin du débat, tu entendra encore un :
oui, mais quand même....
oui, mais quand même rien du tout ! question posée en examen sur ce sujet : note , zéro, c'est tout, quand on ne veut pas comprendre, qu'on ne veut pas admettre, c'est comme ça. Ca ne changera pas les loi de la physique et le cercle confusion image de l'oeil, qu'on parle de grain, de pixel, de point offset.ou de taches de peintures au pistolet sur un mur.
-- G.Ricco
manastro
"Delestaque" a écrit dans le message de news: 4a4b115e$0$427$ | palmerclaude wrote: | . | > Je ne me souviens pas que les documents issus du 24x36 ou de 20x25 | > aient été de telles sources de manque de netteté... C'était dans les | > années 60... pc | | Il n'y avait pas de manque de netteté, que ce soit issu de n'importe quoi, | c'est un débat amateuriste qui est apparu avec le numérique, qu on prennen | d'ailleurs les lois physiques et les caractéritiques de l'oeil, rien n'a | changé de ce côté là, sauf l'apparition de coupeurs de checeux en quatre qui | ne sont pas en possession des base élémentaires de la photo, on notera et je | l'ai déjà signalé que bien que parfaitement démontré, rien y fait, a la fin | du débat, tu entendra encore un :
Les photos "pointues", que l'on voit dans les livres des années 60 sont archi-floues par rapport à celles d'aujourd'hui... Il n'y a que les coupeurs de cheveux en 16 pour ne pas le savoir. Explique moi toi qui est si pro pourquoi les agences vendent les 6Mpixels pour du A5 les 12 Mpixels pour du A4 ? Ton mépris est méprisable.
"Delestaque" <1@1.com> a écrit dans le message de news:
4a4b115e$0$427$426a34cc@news.free.fr...
| palmerclaude wrote:
| .
| > Je ne me souviens pas que les documents issus du 24x36 ou de 20x25
| > aient été de telles sources de manque de netteté... C'était dans les
| > années 60... pc
|
| Il n'y avait pas de manque de netteté, que ce soit issu de n'importe quoi,
| c'est un débat amateuriste qui est apparu avec le numérique, qu on prennen
| d'ailleurs les lois physiques et les caractéritiques de l'oeil, rien n'a
| changé de ce côté là, sauf l'apparition de coupeurs de checeux en quatre
qui
| ne sont pas en possession des base élémentaires de la photo, on notera et
je
| l'ai déjà signalé que bien que parfaitement démontré, rien y fait, a la
fin
| du débat, tu entendra encore un :
Les photos "pointues", que l'on voit dans les livres des années 60 sont
archi-floues par rapport à celles d'aujourd'hui... Il n'y a que les coupeurs
de cheveux en 16 pour ne pas le savoir.
Explique moi toi qui est si pro pourquoi les agences vendent les 6Mpixels
pour du A5 les 12 Mpixels pour du A4 ?
Ton mépris est méprisable.
"Delestaque" a écrit dans le message de news: 4a4b115e$0$427$ | palmerclaude wrote: | . | > Je ne me souviens pas que les documents issus du 24x36 ou de 20x25 | > aient été de telles sources de manque de netteté... C'était dans les | > années 60... pc | | Il n'y avait pas de manque de netteté, que ce soit issu de n'importe quoi, | c'est un débat amateuriste qui est apparu avec le numérique, qu on prennen | d'ailleurs les lois physiques et les caractéritiques de l'oeil, rien n'a | changé de ce côté là, sauf l'apparition de coupeurs de checeux en quatre qui | ne sont pas en possession des base élémentaires de la photo, on notera et je | l'ai déjà signalé que bien que parfaitement démontré, rien y fait, a la fin | du débat, tu entendra encore un :
Les photos "pointues", que l'on voit dans les livres des années 60 sont archi-floues par rapport à celles d'aujourd'hui... Il n'y a que les coupeurs de cheveux en 16 pour ne pas le savoir. Explique moi toi qui est si pro pourquoi les agences vendent les 6Mpixels pour du A5 les 12 Mpixels pour du A4 ? Ton mépris est méprisable.
Ghost-Rider
manastro a écrit :
Les photos "pointues", que l'on voit dans les livres des années 60 sont archi-floues par rapport à celles d'aujourd'hui...
C'est bien vrai et c'est étonnant. Quelle augmentation de la qualité ! Les photos d'animaux au télé seraient considérées comme inacceptables aujourd'hui.
-- Ghost Rider
"Aimez-vous les uns les autres". Jésus-Christ
manastro a écrit :
Les photos "pointues", que l'on voit dans les livres des années 60 sont
archi-floues par rapport à celles d'aujourd'hui...
C'est bien vrai et c'est étonnant. Quelle augmentation de la qualité !
Les photos d'animaux au télé seraient considérées comme inacceptables
aujourd'hui.
Les photos "pointues", que l'on voit dans les livres des années 60 sont archi-floues par rapport à celles d'aujourd'hui...
C'est bien vrai et c'est étonnant. Quelle augmentation de la qualité ! Les photos d'animaux au télé seraient considérées comme inacceptables aujourd'hui.