[REFLEX] [LONG] ET DEMAIN ... si tous les gars de France
58 réponses
Fiat Pacem
"Philippe" <ximianspam@free.fr> a écrit dans le message de news:
ca7r7e$n9g$1@feed.teaser.net...
> Bonsoir Fred,
>
>
> >>>> Pas obligatoirement comme Fédération
> >>>
> >>> Une sorte de " REF " sans Union, si je vous suis bien ?
> >>> Franchement orientée radioamateurs (retour aux sources) ?
> >>
> >> Oui.
> >
> > Ca reste "techniquement" une fédération, avec ses associations
> > départementales, alors. A moins que vous ayez une autre vue ?
>
> Un autre point de vue effectivement.
>
> > Si vous pouviez développer juste un tt petit peu ...
>
> Je ne le souhaite pas.
Permettez, alors ... :-)
Une "structure" nationale, fédérant l'ensemble des radioamateurs français,
ne peut autrement se concevoir que reposant sur des sous structures
départementales, lesquelles intègrent les radio-clubs de leur département.
Telle a toujours été ma conception de ce qu'aurait dû être le REF-Union ...
avant la dégringolade.
A titre d'exemple, dans mon département, j'avais instauré que les Pdt des
radio-clubs siègeaient d'office au CA. Egalement que l'association dep,
avait devoir d'émuler, plus encore, de promouvoir la création de nvx
radio-clubs. J'avais mis en place des services d'aide administrative et
contentieux, pour les nouveaux OMs rencontrant de pbs d'installation
d'aériens avec leur proprio et les pbs de QRM, d'aide technique, bon,
j'ai pas envie de m'étaler ici .. c'est pas le propos, c'était juste à titre
d'exemple de ce qu'est ma vision d'une véritable association de
radioamateurs, dans son entiètre structure, et sur quelles bases.
Une vrai "pyramide" ou la base tiens son vrai rôle !
>>>>> Pas grand chose par rapport au passage ci-dessus,
>>>>> si ce n'est que le statut expérimental passe par une
>>>>> révision des examens.
>>>> Ceci peut-il se faire sans réviser la loi ?
Peut-être nécéssaire .. voir suite.
>>> Juste la partie contenu de l'examen.
>>
>> J'ai téléchargé les documents concernés, mais pas encore eu
>> le temps de les lire (si ce n'est de les survoler). Je n'ai donc
>> pas de commentaires objectifs pour le moment et m'en
>> tiendrais à votre expertise.
J'ai pris le temps d'étudier ces textes. Il est certain que le niveau
demandé pour l'obtention de la classe 2 à sérieusement diminué, mais, bon ..
personnellement, je n'y trouve pas à redire. C'est dans la logique de
consommation de la société et personne - en tt cas pas moi .. vous, chais
pas :-) - n'y peut rien. Seule chose qui me chipotte, c'est la fusion
brutale des deux classes, plus particulièrement le cas des ex FA et FB qui,
en grande partie, n'ont aucune formation sérieuse pour mettre en place des
stations décamétriques, d'autant les contraintes spécifiques qu'elles
génèrent.
> Je ne suis pas expert, c'est seulement ma perception de ce que l'on
> devrait pouvoir faire pour changer l'examen.
Je ne suis pas expert et/mais ne connais pas la langue de bois (politicien)
? :-)
Proposition. Qui supposerait une révision du tout dernier texte et
contredire aussi (mais j'ai pas encore eu le temps d'approfondir),
les "recommandations Européennes" ?!
En relation directe avec les "craintes" que j'expose plus haut,
pourquoi ne pas ajoutre une vingtaine de questions spécifiquement
relatives aux grands aériens, l'érection de pylônes, les normes en
vigueur, les règles élémentaires de sécurité, la sécurité spécifique
radioélectrique .. etc. Bref, tout ce qui fait une vraie différence
entre les stations < 30 MHz et les autres.
Il ne s'agit pas de désir de ségrégation, car je sais par expérience que
l'élargissement n'est pas sysnonyme de "foutoir", bien au contraire
(lire mes précédents posts). Mais il s'agit de vrais problèmes purement
techniques, qui peuvent aller jusqu'à causer de réelles blessures, voire
mettre la vie en danger (de l'OM comme d'autrui, notamment d'enfants).
Faut être réaliste .. amah.
Quant à la CW, abandon ou non ? ... Chacun sait que je suis le premier
défenseur de l'aspect sélectif de cet examen. Cependant, dans l'histoire
des radioamateurs français (tt cas, pas le cas en Amérique du nord, ni
en Espagne, à ma connaissance et pas ouïe dire vraiment ailleurs), donc
je dis "français", .. la discorde, donc la scission entre les deux "classes"
d'OMs est telle qu'il m'apparaitrais sage de tirer un T (trait) ;o) sur tout
ça et d'oublier. Conserver les sous bandes CW et considérer ce mode de
transmission comme un "désir personnel" au choix de chacun. Bien sûr,
que chacun sur l'air (et dans la vie) la courtoisie de rigueur dans le
hobby.
Anecdotiquement, je soulignerai cependant que la CW (qui reste d'un
grand intérêt) est le seul mode 100% représentatif du hobby. En effet,
tout radioamateur certifié possède les connaissances de base pour
pouvoir assembler un emetteur CW. Il ne lui suffit plus que de maitriser
la réception du code ... c'est la parfaite définition du hobby ! LOL. Mais
ce n'est pas la logique commerciale. Et je terminerai en disant qu'il est
finalement heureux qu'il en soit bien ainsi, car sans logique commerciale
et donc affluence d'utilisateurs (et d'utilisation) de fréquences, le poids,
face aux "requins" industriels qui look sur les bandes amateurs serait bien
trop mince. Vous imaginez; lutter uniquement avec 100% de tx home
made et en cw ... lol !!!
> >> > Que se passe-t-il pour les CBistes ?
> >>
> >> Lesquels ? Précisez votre question s'il vous plaît.
> >
> > Ceux qui ne rentre pas dans le cadre des examens cités plus haut.
>
> Je ne comprends pas l'intérêt de s'arrêter à cette activité qui est
> déjà dans un cadre réglementaire ? Cadre très différent et n'ayant
> aucun rapport avec les objectifs de notre activité... Je ne vous suis
> pas sur ce coup-là :-)
Effectivement, il ne sont pas concernés, sauf .. voir ci desssous.
> > (snip)
>>>> Et/mais quid de CFRR et URC ? Quel rôle, quelle place dans votre
>>>> réflexion ? :-)
>>>
> >> Je n'ai pas de réflexion sur la CFRR car sa création n'est pas
> >> naturelle (voir le lien de l'AG 2000 déjà donné)
> >
> > Il le faudrait. L'association existant sur le terrain, quelque soit sa
> > création, il sera difficile de l'ignorer, sans qu'elle se rappelle à
> > vous.
>
> Il y a plusieurs façons de voir les choses. L'une d'elle est de laisser
> faire le temps...
Laisser pourrir :-). Je commence vraiment à croire que vous êtes un vrai
politicien ou assimilé (syndicaliste, etc) :-))
La CFRR restera. Du moins je le suppose, par expérience et en connaissance
de la volonté déployée par ses "fondateurs" sur le terrain. Que ce soit elle
ou une autre structure, il faudra une fédération pour les cbistes. Ils ont
droit (et nécessité pour l'affirmer) de s'associer et se fédérer. Le ressort
de leur gestion administrative étant authentiquement (amha) de l'ART (alors
que celui des radioamateurs doit être, d'évidence, repris par le ministère
en charge des communications).
> >> Quant à l'URC, si elle revient à son but initial, les Radio-Clubs,
> >> elle a tout à fait sa place.
> >
> > Cela ferait deux associations alors et si je vous ai bien compris. la
> > "structure" et l'URC.
Ben en fait, l'URC pourrait avoir sa place. Ceci dans ma vision historique,
non pas du REF, mais des radioamateurs français. Un REF, (ou un e"structure"
je ne suis pas accro au nom, du moment ou il y a conscuenssus) fédérateur
à l'image de l'exemple que je donne plus haut, ne nécésiterait pas d'union
"autre" des radio-clubs ! Mais, nous sommes en démocratie et si les
radio-clubs souhaitent se fédérer (par ex et légitimement : leur spécificité
"pédagogique"!), un peu à l'instar de l'ADRASEC, Why not ! Ce serait même
très bien, car ils pourraient jouer leur vrai premier rôle logique : former
des formateurs ! Mais ce ne serait pas une tâche unique. Une URC "logique"
pourrait être aussi en charge de gérer et organiser les concours par ex
(logique .. amho), déchargeant la "structure" (REF ou non) d'autant de poids
et disposant de son poids, légitimé par ses spécificités, à la table des
négociations avec l'administration.
> Il y encore une fois plusieurs façons de voir les choses : la manière
> historique prenant en compte l'existant associatif où le Ref et l'URC
> ont une place. Et une éventuelle autre voie. Celle sur laquelle je ne
> souhaite pas m'étendre.
Je me suis permis de le faire .... Mais je n'ai aucun mérite, car : 1/ Je ne
trafique plus 2/ Je n'ai plus aucune attache avec le monde associatif
français 3/ Je suis un fervent admirateur de Cervantès, .... donc, je peux
me permettre de dire ici ce que je pense vraiment sans aucune retenue (si ce
n'est celle du savoir vivre .. oeuf corse) :-))
> --
> 73,
> Philippe
73's .. qro
Fred
--
VE2 F.P.
Homo sum : humani nil a me alienum puto (Terentius)
"Ne jamais prendre les gens pour des cons,
mais ne jamais oublier qu'ils le sont."
"François Guillet" a écrit dans le message de news:40d09e68$0$288$
Eh cousin,
lol
-- l'amener à la vérité mas , par étape ;o)
no-span-pse
Bonjour,
FG insiste, en se mélant à la conversation :
On Sat, 19 Jun 2004 21:30:52 +0200, "François Guillet" wrote:
[awn à Fiat Pacem]
:> Puis-je vous faire remarquer que c'était le cas avant les années 60 et :> que ce n'est qu'à partir de cette époque qu'on a permis à des :> candidats d'être exemptés de l'examen de télégraphie à la condition :> expresse qu'ils ne trafiquent pas en-dessous de 30 MHz (dérogation :> mentionnée dans le R.R.) ?
:La CW était imposée afin de répondre au besoin d'interopérabilité des :services. En dehors des ondes courtes, la portée en utilisation courante :était limitée et cela ne s'imposait pas.
C'est votre interprétation et vous êtes libre de le croire. En plus vous vous répétez ... (cf fil "Cultivez votre jardin ...).
Alors j'insiste aussi : En ce qui concerne le service d'amateur, la télégraphie constituait l'une des trois matières d'examen. Cet examen était le même pour tout le monde. C'est par dérogation, selon une possibilité offerte par le RR de l'époque, que certains radioamateurs ont pu accéder tout de même "à l'émission", sous réserve de ne pas utiliser de fréquence inférieure à 30 MHz. Ce fut fait pour attirer des techniciens expérimentateurs dont le principal souci était de mettre au point des appareils et non d'améliorer des compétences opérationnelles. Ce fut fait aussi ainsi car, comme vous le dites vous même, la portée au-dessus de 30 MHz était plus limitée et en conséquence les risques de perturbations involontaires l'étaient aussi. Rien à voir avec "l'inter-opérabilité" des services. Une autre dérogation existait d'ailleurs, et bien plus intéressante : celle offerte aux titulaires de diplômes de grandes écoles.
:Pour être radioamateur, il fallait un examen, le même pour tout le monde.
Ceci est une réalité, en France, avant le milieu des années 60, et avec la télégraphie.
:Pour l'accès au déca, il fallait en plus la CW.
NON. Pour l'accès "au déca", il fallait passer un examen normal, sans dérogation. Les candidats qui ne passaient pas l'examen de télégraphie avaient "accès à tout, sauf les bandes décamétriques", soit une restriction de peut-être 2% du spectre accordé aux radioamateurs.
: Tout le reste est pure :fantaisie.
En effet !
Votre principe d'action, calqué sur celui d'un éminent propagantiste des années 40, ne peut faire illusion qu'auprès de lecteurs endoctrinés : "Repeat a lie 100 times and it becomes the truth" - J.G, 1937. Non, il ne s'appelait pas G ... uillet, et son prénom était Joseph.
Alors que la télégraphie n'est plus un problème pour les candidats au radioamateurisme, il est curieux de vous voir continuer à vous acharner ainsi à refaire l'histoire à votre façon dès que vous en avez l'occasion ...
F6AWN
Bonjour,
FG insiste, en se mélant à la conversation :
On Sat, 19 Jun 2004 21:30:52 +0200, "François Guillet"
<guillet.francois@free.fr> wrote:
[awn à Fiat Pacem]
:> Puis-je vous faire remarquer que c'était le cas avant les années 60 et
:> que ce n'est qu'à partir de cette époque qu'on a permis à des
:> candidats d'être exemptés de l'examen de télégraphie à la condition
:> expresse qu'ils ne trafiquent pas en-dessous de 30 MHz (dérogation
:> mentionnée dans le R.R.) ?
:La CW était imposée afin de répondre au besoin d'interopérabilité des
:services. En dehors des ondes courtes, la portée en utilisation courante
:était limitée et cela ne s'imposait pas.
C'est votre interprétation et vous êtes libre de le croire. En plus
vous vous répétez ... (cf fil "Cultivez votre jardin ...).
Alors j'insiste aussi :
En ce qui concerne le service d'amateur, la télégraphie constituait
l'une des trois matières d'examen. Cet examen était le même pour tout
le monde. C'est par dérogation, selon une possibilité offerte par le
RR de l'époque, que certains radioamateurs ont pu accéder tout de même
"à l'émission", sous réserve de ne pas utiliser de fréquence
inférieure à 30 MHz. Ce fut fait pour attirer des techniciens
expérimentateurs dont le principal souci était de mettre au point des
appareils et non d'améliorer des compétences opérationnelles. Ce fut
fait aussi ainsi car, comme vous le dites vous même, la portée
au-dessus de 30 MHz était plus limitée et en conséquence les risques
de perturbations involontaires l'étaient aussi. Rien à voir avec
"l'inter-opérabilité" des services. Une autre dérogation existait
d'ailleurs, et bien plus intéressante : celle offerte aux titulaires
de diplômes de grandes écoles.
:Pour être radioamateur, il fallait un examen, le même pour tout le monde.
Ceci est une réalité, en France, avant le milieu des années 60, et
avec la télégraphie.
:Pour l'accès au déca, il fallait en plus la CW.
NON. Pour l'accès "au déca", il fallait passer un examen normal, sans
dérogation.
Les candidats qui ne passaient pas l'examen de télégraphie avaient
"accès à tout, sauf les bandes décamétriques", soit une restriction de
peut-être 2% du spectre accordé aux radioamateurs.
: Tout le reste est pure
:fantaisie.
En effet !
Votre principe d'action, calqué sur celui d'un éminent propagantiste
des années 40, ne peut faire illusion qu'auprès de lecteurs
endoctrinés :
"Repeat a lie 100 times and it becomes the truth" - J.G, 1937.
Non, il ne s'appelait pas G ... uillet, et son prénom était Joseph.
Alors que la télégraphie n'est plus un problème pour les candidats au
radioamateurisme, il est curieux de vous voir continuer à vous
acharner ainsi à refaire l'histoire à votre façon dès que vous en avez
l'occasion ...
On Sat, 19 Jun 2004 21:30:52 +0200, "François Guillet" wrote:
[awn à Fiat Pacem]
:> Puis-je vous faire remarquer que c'était le cas avant les années 60 et :> que ce n'est qu'à partir de cette époque qu'on a permis à des :> candidats d'être exemptés de l'examen de télégraphie à la condition :> expresse qu'ils ne trafiquent pas en-dessous de 30 MHz (dérogation :> mentionnée dans le R.R.) ?
:La CW était imposée afin de répondre au besoin d'interopérabilité des :services. En dehors des ondes courtes, la portée en utilisation courante :était limitée et cela ne s'imposait pas.
C'est votre interprétation et vous êtes libre de le croire. En plus vous vous répétez ... (cf fil "Cultivez votre jardin ...).
Alors j'insiste aussi : En ce qui concerne le service d'amateur, la télégraphie constituait l'une des trois matières d'examen. Cet examen était le même pour tout le monde. C'est par dérogation, selon une possibilité offerte par le RR de l'époque, que certains radioamateurs ont pu accéder tout de même "à l'émission", sous réserve de ne pas utiliser de fréquence inférieure à 30 MHz. Ce fut fait pour attirer des techniciens expérimentateurs dont le principal souci était de mettre au point des appareils et non d'améliorer des compétences opérationnelles. Ce fut fait aussi ainsi car, comme vous le dites vous même, la portée au-dessus de 30 MHz était plus limitée et en conséquence les risques de perturbations involontaires l'étaient aussi. Rien à voir avec "l'inter-opérabilité" des services. Une autre dérogation existait d'ailleurs, et bien plus intéressante : celle offerte aux titulaires de diplômes de grandes écoles.
:Pour être radioamateur, il fallait un examen, le même pour tout le monde.
Ceci est une réalité, en France, avant le milieu des années 60, et avec la télégraphie.
:Pour l'accès au déca, il fallait en plus la CW.
NON. Pour l'accès "au déca", il fallait passer un examen normal, sans dérogation. Les candidats qui ne passaient pas l'examen de télégraphie avaient "accès à tout, sauf les bandes décamétriques", soit une restriction de peut-être 2% du spectre accordé aux radioamateurs.
: Tout le reste est pure :fantaisie.
En effet !
Votre principe d'action, calqué sur celui d'un éminent propagantiste des années 40, ne peut faire illusion qu'auprès de lecteurs endoctrinés : "Repeat a lie 100 times and it becomes the truth" - J.G, 1937. Non, il ne s'appelait pas G ... uillet, et son prénom était Joseph.
Alors que la télégraphie n'est plus un problème pour les candidats au radioamateurisme, il est curieux de vous voir continuer à vous acharner ainsi à refaire l'histoire à votre façon dès que vous en avez l'occasion ...
F6AWN
Fiat Pacem
"aWn" a écrit dans le message de news:
Votre principe d'action, calqué sur celui d'un éminent propagantiste des années 40, ne peut faire illusion qu'auprès de lecteurs endoctrinés :
C'est bien le cas, soyez rassuré :-)
"Repeat a lie 100 times and it becomes the truth" - J.G, 1937. Non, il ne s'appelait pas G ... uillet, et son prénom était Joseph.
Alors que la télégraphie n'est plus un problème pour les candidats au radioamateurisme, il est curieux de vous voir continuer à vous acharner ainsi à refaire l'histoire à votre façon dès que vous en avez l'occasion ...
Allez "lurker" fsp. C'est à mourir de rire ..... Y a pas à dire, "CA" ose vraiment TOUT (ouh là mes côtes) !
73's, Francis,
Fred -- F.P. Homo sum : humani nil a me alienum puto (Terentius)
"aWn" <no-span-pse@pse.com> a écrit dans le message de news:
40d55b57.6384677@news.free.fr...
Votre principe d'action, calqué sur celui d'un éminent propagantiste
des années 40, ne peut faire illusion qu'auprès de lecteurs
endoctrinés :
C'est bien le cas, soyez rassuré :-)
"Repeat a lie 100 times and it becomes the truth" - J.G, 1937.
Non, il ne s'appelait pas G ... uillet, et son prénom était Joseph.
Alors que la télégraphie n'est plus un problème pour les candidats au
radioamateurisme, il est curieux de vous voir continuer à vous
acharner ainsi à refaire l'histoire à votre façon dès que vous en avez
l'occasion ...
Allez "lurker" fsp. C'est à mourir de rire ..... Y a pas à dire, "CA" ose
vraiment TOUT (ouh là mes côtes) !
73's, Francis,
Fred
--
F.P.
Homo sum : humani nil a me alienum puto (Terentius)
Votre principe d'action, calqué sur celui d'un éminent propagantiste des années 40, ne peut faire illusion qu'auprès de lecteurs endoctrinés :
C'est bien le cas, soyez rassuré :-)
"Repeat a lie 100 times and it becomes the truth" - J.G, 1937. Non, il ne s'appelait pas G ... uillet, et son prénom était Joseph.
Alors que la télégraphie n'est plus un problème pour les candidats au radioamateurisme, il est curieux de vous voir continuer à vous acharner ainsi à refaire l'histoire à votre façon dès que vous en avez l'occasion ...
Allez "lurker" fsp. C'est à mourir de rire ..... Y a pas à dire, "CA" ose vraiment TOUT (ouh là mes côtes) !
73's, Francis,
Fred -- F.P. Homo sum : humani nil a me alienum puto (Terentius)
no-span-pse
On Mon, 21 Jun 2004 20:35:37 +0200, "François Guillet" wrote:
:Continue la méthode Coué. Tu t'auto-conditionnes sans convaincre personne.
Vous êtes libre de le croire. :-))
:Le nombrilisme de certains radioamateurs, qui pensent que les instances :internationales de régulation des télécommunications ont à une époque :imposer la graphie pour faire reluire une certaine caste d'entre eux,
Vos incompétences vous ont conduit à la jalousie et vos propos sont généralement plus ceux d'un esprit aigri que ceux d'un esprit avisé et serein.
En ce qui vous concerne, mon attitude est la plupart du temps de "vous laisser vivre selon vos moyens", conseil fort pertinent venu du Canada après vos brillantes "interventions" philosophiques sur un sujet qui vous dépassait.
Je vous souhaite une bonne journée. F6AWN
On Mon, 21 Jun 2004 20:35:37 +0200, "François Guillet"
<guillet.francois@free.fr> wrote:
:Continue la méthode Coué. Tu t'auto-conditionnes sans convaincre personne.
Vous êtes libre de le croire. :-))
:Le nombrilisme de certains radioamateurs, qui pensent que les instances
:internationales de régulation des télécommunications ont à une époque
:imposer la graphie pour faire reluire une certaine caste d'entre eux,
Vos incompétences vous ont conduit à la jalousie et vos propos sont
généralement plus ceux d'un esprit aigri que ceux d'un esprit avisé et
serein.
En ce qui vous concerne, mon attitude est la plupart du temps de "vous
laisser vivre selon vos moyens", conseil fort pertinent venu du Canada
après vos brillantes "interventions" philosophiques sur un sujet qui
vous dépassait.
On Mon, 21 Jun 2004 20:35:37 +0200, "François Guillet" wrote:
:Continue la méthode Coué. Tu t'auto-conditionnes sans convaincre personne.
Vous êtes libre de le croire. :-))
:Le nombrilisme de certains radioamateurs, qui pensent que les instances :internationales de régulation des télécommunications ont à une époque :imposer la graphie pour faire reluire une certaine caste d'entre eux,
Vos incompétences vous ont conduit à la jalousie et vos propos sont généralement plus ceux d'un esprit aigri que ceux d'un esprit avisé et serein.
En ce qui vous concerne, mon attitude est la plupart du temps de "vous laisser vivre selon vos moyens", conseil fort pertinent venu du Canada après vos brillantes "interventions" philosophiques sur un sujet qui vous dépassait.
Je vous souhaite une bonne journée. F6AWN
Fiat Pacem
En complément de ce qu'exprime Francis et pour que Môssieu Guillet comprenne que ses mots ont bien été lus .... attentivement ...
(Y s'rait pas breton FLT, des fois ?)
"François Guillet"
La CW était imposée afin de répondre au besoin d'interopérabilité des services.
C'est exact et/mais ce n'était pas le seul argument. Parmi les autres, il y avait aussi les procédures d'urgences.
En dehors des ondes courtes, la portée en utilisation courante était limitée et cela ne s'imposait pas.
De fait, la permissivité était laissée libre de choix aux états
C'était le cas aussi pour les autres services tels que définis par l'ITU. On pouvait avoir une licence marine VHF uniquement, sans CW.
Par permissivité .. encore une fois.
Pour être radioamateur, il fallait un examen, le même pour tout le monde. Pour l'accès au déca, il fallait en plus la CW.
NON, c'est là ou vous renversez les rôles. Il y avait bien un certificat unique, qui s'est transformé en deux certificats, l'un avec examen de CW et l'autre non.
D'ailleurs ils ont eu l'air fin les premiers autorisés sans cw quand ils sont tombés sur des relais qui s'identifiaient en télégraphie :-). C'est vrai qu'aujourd'hui, ils doivent tous être (ou presque) à synthèse vocale (j'y vais plus depuis très, très, longtemps).
Tout le reste est pure fantaisie.
C'est vous qui avez des interprétations fantaisistes, au gré de ce qui vous arrange. Serait-ce pour vous sentir plus pertinent que vous tentez désespérément de désinformer systématiquement autour de vous ?
-- F.P. [Têtu] Homo sum : humani nil a me alienum puto (Terentius)
En complément de ce qu'exprime Francis et pour que
Môssieu Guillet comprenne que ses mots ont bien été
lus .... attentivement ...
(Y s'rait pas breton FLT, des fois ?)
"François Guillet"
La CW était imposée afin de répondre au besoin
d'interopérabilité des services.
C'est exact et/mais ce n'était pas le seul argument. Parmi les
autres, il y avait aussi les procédures d'urgences.
En dehors des ondes courtes, la portée en utilisation courante
était limitée et cela ne s'imposait pas.
De fait, la permissivité était laissée libre de choix aux états
C'était le cas aussi pour les autres services tels que définis
par l'ITU. On pouvait avoir une licence marine VHF
uniquement, sans CW.
Par permissivité .. encore une fois.
Pour être radioamateur, il fallait un examen, le même
pour tout le monde. Pour l'accès au déca, il fallait en
plus la CW.
NON, c'est là ou vous renversez les rôles. Il y avait bien
un certificat unique, qui s'est transformé en deux certificats,
l'un avec examen de CW et l'autre non.
D'ailleurs ils ont eu l'air fin les premiers autorisés sans cw
quand ils sont tombés sur des relais qui s'identifiaient en
télégraphie :-). C'est vrai qu'aujourd'hui, ils doivent tous
être (ou presque) à synthèse vocale (j'y vais plus depuis
très, très, longtemps).
Tout le reste est pure fantaisie.
C'est vous qui avez des interprétations fantaisistes, au gré
de ce qui vous arrange. Serait-ce pour vous sentir plus
pertinent que vous tentez désespérément de désinformer
systématiquement autour de vous ?
--
F.P. [Têtu]
Homo sum : humani nil a me alienum puto (Terentius)
En complément de ce qu'exprime Francis et pour que Môssieu Guillet comprenne que ses mots ont bien été lus .... attentivement ...
(Y s'rait pas breton FLT, des fois ?)
"François Guillet"
La CW était imposée afin de répondre au besoin d'interopérabilité des services.
C'est exact et/mais ce n'était pas le seul argument. Parmi les autres, il y avait aussi les procédures d'urgences.
En dehors des ondes courtes, la portée en utilisation courante était limitée et cela ne s'imposait pas.
De fait, la permissivité était laissée libre de choix aux états
C'était le cas aussi pour les autres services tels que définis par l'ITU. On pouvait avoir une licence marine VHF uniquement, sans CW.
Par permissivité .. encore une fois.
Pour être radioamateur, il fallait un examen, le même pour tout le monde. Pour l'accès au déca, il fallait en plus la CW.
NON, c'est là ou vous renversez les rôles. Il y avait bien un certificat unique, qui s'est transformé en deux certificats, l'un avec examen de CW et l'autre non.
D'ailleurs ils ont eu l'air fin les premiers autorisés sans cw quand ils sont tombés sur des relais qui s'identifiaient en télégraphie :-). C'est vrai qu'aujourd'hui, ils doivent tous être (ou presque) à synthèse vocale (j'y vais plus depuis très, très, longtemps).
Tout le reste est pure fantaisie.
C'est vous qui avez des interprétations fantaisistes, au gré de ce qui vous arrange. Serait-ce pour vous sentir plus pertinent que vous tentez désespérément de désinformer systématiquement autour de vous ?
-- F.P. [Têtu] Homo sum : humani nil a me alienum puto (Terentius)
Fiat Pacem
"François Guillet"
Prétendre le contraire, c'est déclarer que les possesseurs de licences VHF et plus n'étaient pas des radioamateurs, ce qui est faux au sens de la définition du service amateur par l'ITU.
Il n'y a que toi qui dit ça ici et ça traduit bien ce que tu as dû en penser quand la déréglementation est tombée.
Il y a tt simplement que ta cervelle a oublié qu'après ça, il y a eu plusieurs catégories de radioamateurs. Donc Radioamateurs oui, mais uniquement autorisés > 30 MHz. Maintenant, si toi tu considères ces derniers comme non radioamateurs, je te laisse sans complexes la responsabilité de tes écrits.
Tu peux essayer d'enculer toutes les mouches qui voleront à ta portée, ça ne changera rien à ces faits !
Scie youssoune
Tu devrais appeler ton copain, le fantôme justicer à la rescousse, lol
-- F.P. Faux Prêtre dégagez y a rien à voir
"François Guillet"
Prétendre le contraire, c'est déclarer que les possesseurs de licences VHF
et plus n'étaient pas des radioamateurs, ce qui est faux au sens de la
définition du service amateur par l'ITU.
Il n'y a que toi qui dit ça ici et ça traduit bien ce que tu as dû en penser
quand la déréglementation est tombée.
Il y a tt simplement que ta cervelle a oublié qu'après ça, il y a eu
plusieurs catégories de radioamateurs. Donc Radioamateurs oui, mais
uniquement autorisés > 30 MHz. Maintenant, si toi tu considères ces derniers
comme non radioamateurs, je te laisse sans complexes la responsabilité de
tes écrits.
Tu peux essayer d'enculer toutes les mouches qui voleront à ta portée, ça ne
changera rien à ces faits !
Scie youssoune
Tu devrais appeler ton copain, le fantôme justicer à la rescousse, lol
Prétendre le contraire, c'est déclarer que les possesseurs de licences VHF et plus n'étaient pas des radioamateurs, ce qui est faux au sens de la définition du service amateur par l'ITU.
Il n'y a que toi qui dit ça ici et ça traduit bien ce que tu as dû en penser quand la déréglementation est tombée.
Il y a tt simplement que ta cervelle a oublié qu'après ça, il y a eu plusieurs catégories de radioamateurs. Donc Radioamateurs oui, mais uniquement autorisés > 30 MHz. Maintenant, si toi tu considères ces derniers comme non radioamateurs, je te laisse sans complexes la responsabilité de tes écrits.
Tu peux essayer d'enculer toutes les mouches qui voleront à ta portée, ça ne changera rien à ces faits !
Scie youssoune
Tu devrais appeler ton copain, le fantôme justicer à la rescousse, lol
-- F.P. Faux Prêtre dégagez y a rien à voir
no-span-pse
Monsieur Guillet, vous avez visiblement des difficultés constantes non seulement avec la télégraphie, mais aussi avec l'histoire du service amateur. Pour la n-ième fois, au sujet des "classe 2" apparues en 1963 :
On Sat, 26 Jun 2004 15:27:36 +0200, "François Guillet" wrote:
:Pour être radioamateur, il fallait un examen, le même pour tout le monde. La :réussite à cet examen permettait de faire partie du service amateur.
C'est exact, mais ... Jusqu'en 1963 et avec un examen en 3 parties (réglementation, technique, télégraphie). Le même examen pour tout le monde, en effet.
Ensuite, un arrêté en date du 1er janvier 1963 a créé une seconde classe radioamateur VHF-UHF, avec l'indicatif F1. Cette seconde classe échappait à l'examen de télégraphie, à condition que le titulaire n'accède qu'à des fréquences supérieures à 30 MHz (respect du R.R.).
Puis :
En décembre 1983, un arrêté crée 5 classes d'émission d'amateur.
En mai 1993, il ne subsiste que 4 classes.
En 1997, les classes sont ramenées au nombre de 3 et nous en sommes là pour l'instant.
:Pour l'accès au déca, il fallait en plus la CW.
Non, non, non... Pour être radioamateur, il fallait la télégraphie pour tout le monde. Mais pour un accès réduit aux seules fréquences supérieures à 30 Mhz, on pouvait en être dispensé. Ce n'est donc pas "Pour l'accès au déca, il fallait en plus la CW" qui convient, mais : "Pour l'accès limité aux fréquences supérieures à 30 MHz, il ne fallait pas la CW".
:Prétendre le contraire, ...
En effet. C'est exactement le contraire de ce que vous prétendez et entendez faire croire. Au mépris de la chronologie des différents arrêtés ayant marqué l'évolution du radioamateurisme français.
:... c'est déclarer que les possesseurs de licences VHF :et plus : n'étaient pas des radioamateurs, ce qui est faux au sens de la :définition du service amateur par l'ITU.
"prétendre" ... "c'est déclarer que ..." : C'est simplement VOTRE jugement. Ou plutôt votre tentative de manipulation. Vous utilisez une vérité pour valider vos mensonges, comme bien souvent. :-)
La vérité c'est simplement qu'en effet, les titulaires d'une licence de classe 2 sont des radioamateurs. Des radioamateurs titulaires d'une classe 2... et bénéficiant des droits attachés à cette même classe 2. Une classe qui ne donnait pas accès aux fréquences inférieures à 30 MHz.
De manière similaire, les titulaires d'une licence de classe 3 sont des radioamateurs. Des radioamateurs titulaires d'une classe 3... et bénéficiant des droits attachés à cette même classe 3. Une classe qui ne donne pas accès aux fréquences inférieures à 144 MHz et supérieure à 146 MHz.
Quant aux titulaires d'une licence de classe 1, ils bénéficient de la totalité des privilèges attachés au service amateur en contrepartie d'un examen réussi sur la base de la totalité des matières le composant et quel que soit le pays.
F6AWN
Monsieur Guillet, vous avez visiblement des difficultés constantes non
seulement avec la télégraphie, mais aussi avec l'histoire du service
amateur.
Pour la n-ième fois, au sujet des "classe 2" apparues en 1963 :
On Sat, 26 Jun 2004 15:27:36 +0200, "François Guillet"
<guillet.francois@free.fr> wrote:
:Pour être radioamateur, il fallait un examen, le même pour tout le monde. La
:réussite à cet examen permettait de faire partie du service amateur.
C'est exact, mais ... Jusqu'en 1963 et avec un examen en 3 parties
(réglementation, technique, télégraphie). Le même examen pour tout le
monde, en effet.
Ensuite, un arrêté en date du 1er janvier 1963 a créé une seconde
classe radioamateur VHF-UHF, avec l'indicatif F1. Cette seconde classe
échappait à l'examen de télégraphie, à condition que le titulaire
n'accède qu'à des fréquences supérieures à 30 MHz (respect du R.R.).
Puis :
En décembre 1983, un arrêté crée 5 classes d'émission d'amateur.
En mai 1993, il ne subsiste que 4 classes.
En 1997, les classes sont ramenées au nombre de 3 et nous en sommes là
pour l'instant.
:Pour l'accès au déca, il fallait en plus la CW.
Non, non, non... Pour être radioamateur, il fallait la télégraphie
pour tout le monde. Mais pour un accès réduit aux seules fréquences
supérieures à 30 Mhz, on pouvait en être dispensé.
Ce n'est donc pas "Pour l'accès au déca, il fallait en plus la CW" qui
convient, mais : "Pour l'accès limité aux fréquences supérieures à 30
MHz, il ne fallait pas la CW".
:Prétendre le contraire, ...
En effet. C'est exactement le contraire de ce que vous prétendez et
entendez faire croire. Au mépris de la chronologie des différents
arrêtés ayant marqué l'évolution du radioamateurisme français.
:... c'est déclarer que les possesseurs de licences VHF
:et plus
: n'étaient pas des radioamateurs, ce qui est faux au sens de la
:définition du service amateur par l'ITU.
"prétendre" ... "c'est déclarer que ..." :
C'est simplement VOTRE jugement. Ou plutôt votre tentative de
manipulation. Vous utilisez une vérité pour valider vos mensonges,
comme bien souvent. :-)
La vérité c'est simplement qu'en effet, les titulaires d'une licence
de classe 2 sont des radioamateurs. Des radioamateurs titulaires d'une
classe 2... et bénéficiant des droits attachés à cette même classe 2.
Une classe qui ne donnait pas accès aux fréquences inférieures à 30
MHz.
De manière similaire, les titulaires d'une licence de classe 3 sont
des radioamateurs. Des radioamateurs titulaires d'une classe 3... et
bénéficiant des droits attachés à cette même classe 3. Une classe qui
ne donne pas accès aux fréquences inférieures à 144 MHz et supérieure
à 146 MHz.
Quant aux titulaires d'une licence de classe 1, ils bénéficient de la
totalité des privilèges attachés au service amateur en contrepartie
d'un examen réussi sur la base de la totalité des matières le
composant et quel que soit le pays.
Monsieur Guillet, vous avez visiblement des difficultés constantes non seulement avec la télégraphie, mais aussi avec l'histoire du service amateur. Pour la n-ième fois, au sujet des "classe 2" apparues en 1963 :
On Sat, 26 Jun 2004 15:27:36 +0200, "François Guillet" wrote:
:Pour être radioamateur, il fallait un examen, le même pour tout le monde. La :réussite à cet examen permettait de faire partie du service amateur.
C'est exact, mais ... Jusqu'en 1963 et avec un examen en 3 parties (réglementation, technique, télégraphie). Le même examen pour tout le monde, en effet.
Ensuite, un arrêté en date du 1er janvier 1963 a créé une seconde classe radioamateur VHF-UHF, avec l'indicatif F1. Cette seconde classe échappait à l'examen de télégraphie, à condition que le titulaire n'accède qu'à des fréquences supérieures à 30 MHz (respect du R.R.).
Puis :
En décembre 1983, un arrêté crée 5 classes d'émission d'amateur.
En mai 1993, il ne subsiste que 4 classes.
En 1997, les classes sont ramenées au nombre de 3 et nous en sommes là pour l'instant.
:Pour l'accès au déca, il fallait en plus la CW.
Non, non, non... Pour être radioamateur, il fallait la télégraphie pour tout le monde. Mais pour un accès réduit aux seules fréquences supérieures à 30 Mhz, on pouvait en être dispensé. Ce n'est donc pas "Pour l'accès au déca, il fallait en plus la CW" qui convient, mais : "Pour l'accès limité aux fréquences supérieures à 30 MHz, il ne fallait pas la CW".
:Prétendre le contraire, ...
En effet. C'est exactement le contraire de ce que vous prétendez et entendez faire croire. Au mépris de la chronologie des différents arrêtés ayant marqué l'évolution du radioamateurisme français.
:... c'est déclarer que les possesseurs de licences VHF :et plus : n'étaient pas des radioamateurs, ce qui est faux au sens de la :définition du service amateur par l'ITU.
"prétendre" ... "c'est déclarer que ..." : C'est simplement VOTRE jugement. Ou plutôt votre tentative de manipulation. Vous utilisez une vérité pour valider vos mensonges, comme bien souvent. :-)
La vérité c'est simplement qu'en effet, les titulaires d'une licence de classe 2 sont des radioamateurs. Des radioamateurs titulaires d'une classe 2... et bénéficiant des droits attachés à cette même classe 2. Une classe qui ne donnait pas accès aux fréquences inférieures à 30 MHz.
De manière similaire, les titulaires d'une licence de classe 3 sont des radioamateurs. Des radioamateurs titulaires d'une classe 3... et bénéficiant des droits attachés à cette même classe 3. Une classe qui ne donne pas accès aux fréquences inférieures à 144 MHz et supérieure à 146 MHz.
Quant aux titulaires d'une licence de classe 1, ils bénéficient de la totalité des privilèges attachés au service amateur en contrepartie d'un examen réussi sur la base de la totalité des matières le composant et quel que soit le pays.
F6AWN
nostradamus
aWn a écrit :
La vérité c'est simplement qu'en effet, les titulaires d'une licence de classe 2 sont des radioamateurs. Des radioamateurs titulaires d'une classe 2... et bénéficiant des droits attachés à cette même classe 2. Une classe qui ne donnait pas accès aux fréquences inférieures à 30 MHz.
De manière similaire, les titulaires d'une licence de classe 3 sont des radioamateurs. Des radioamateurs titulaires d'une classe 3... et bénéficiant des droits attachés à cette même classe 3. Une classe qui ne donne pas accès aux fréquences inférieures à 144 MHz et supérieure à 146 MHz.
Quant aux titulaires d'une licence de classe 1, ils bénéficient de la totalité des privilèges attachés au service amateur en contrepartie d'un examen réussi sur la base de la totalité des matières le composant et quel que soit le pays.
F6AWN
Salut Francis Bin c'est ce que l'on m'avais enseigné au début des années 80, quand je me suis intéressé à la radio. JJ
aWn a écrit :
La vérité c'est simplement qu'en effet, les titulaires d'une licence
de classe 2 sont des radioamateurs. Des radioamateurs titulaires d'une
classe 2... et bénéficiant des droits attachés à cette même classe 2.
Une classe qui ne donnait pas accès aux fréquences inférieures à 30
MHz.
De manière similaire, les titulaires d'une licence de classe 3 sont
des radioamateurs. Des radioamateurs titulaires d'une classe 3... et
bénéficiant des droits attachés à cette même classe 3. Une classe qui
ne donne pas accès aux fréquences inférieures à 144 MHz et supérieure
à 146 MHz.
Quant aux titulaires d'une licence de classe 1, ils bénéficient de la
totalité des privilèges attachés au service amateur en contrepartie
d'un examen réussi sur la base de la totalité des matières le
composant et quel que soit le pays.
F6AWN
Salut Francis
Bin c'est ce que l'on m'avais enseigné au début des années 80, quand je
me suis intéressé à la radio.
JJ
La vérité c'est simplement qu'en effet, les titulaires d'une licence de classe 2 sont des radioamateurs. Des radioamateurs titulaires d'une classe 2... et bénéficiant des droits attachés à cette même classe 2. Une classe qui ne donnait pas accès aux fréquences inférieures à 30 MHz.
De manière similaire, les titulaires d'une licence de classe 3 sont des radioamateurs. Des radioamateurs titulaires d'une classe 3... et bénéficiant des droits attachés à cette même classe 3. Une classe qui ne donne pas accès aux fréquences inférieures à 144 MHz et supérieure à 146 MHz.
Quant aux titulaires d'une licence de classe 1, ils bénéficient de la totalité des privilèges attachés au service amateur en contrepartie d'un examen réussi sur la base de la totalité des matières le composant et quel que soit le pays.
F6AWN
Salut Francis Bin c'est ce que l'on m'avais enseigné au début des années 80, quand je me suis intéressé à la radio. JJ