Bonjour bonjour,
Ca fait un moment que je me demande si on est nombreux à penser pareil,
alors je me lance.
Alors voilà : il y a quinze ans de ça (j'en avait donc onze), j'allais avoir
mon premier appareil, le Minolta Riva zoom 105i (apz avec le petit capteur
IR sous le viseur) sur lequel j'ai fait mes premières photos rien qu'à moi,
et que je ressors encore aujourd'hui à l'occasion pour le dépoussiérer. Ma
mère possédait un Minolta XE avec en option un télé et un flash, et mon
oncle oeuvrait avec son sacro-saint Nikkormat (d'ailleurs en tant qu'accro
il oeuvre encore avec et développe dans son grenier). Mis à part eux deux,
très peu d'autes personnes dans la famille, dans les amis, ou dans nos
connaissances n'avait d'appareil photo, ou tout du moins ne s'en servait.
D'ailleurs aujourd-hui ils se demandent tous comment on a pu faire pour
accumuler une pleine armoire d'albums et de boites à diapos. A cette époque
(pour les anciens c'était hier, mais pour mon jeune âge c'était une époque),
la photo était soit un luxe (pognon + temps libre), soit une passion, soit
un peu des duex, soit ce que vous voullez, mais restait en quelque sorte un
art respecté, qui exerçait sur le profane ou le néophite comme une espèce de
fascination : celui qui débutait était pris sous l'aile d'un ami ou parent
s'il avait la chance d'en avoir un qui s'y connaisse à portée de main, ou
sinon lisait des bouquins sur les appareils, les techniques et les
pratiques, et passait des heures à se promener dans les chemins pour trouver
le meilleur angle sous lequel prendre la meilleure photo du plus joli coin
pitoresque des environs. Je me rappelle avoir passé des journées entières à
viser des sujets sans jamais déclencher, par crainte d'user de la pelloche
pour rien, ou en déclenchant "pour de faux" avec un appareil
non-approvisionné. Les photos étaient comptées, 36 poses ça va très vite, il
s'agissait de s'appliquer et de ne pas faire n'importe quoi avec... En
dehors des photos de voyages, je me démerdais avec ma tirelire pour financer
pellicules et développements, il n'était pas question de dérouler du film au
kilomètre juste parce que le bruit du déclic était joli. J'ai encore au fond
d'un sac des poignée de films rembobinés qui datent de cette période et que
je n'ai jamais fait tirer, parce que je savais que les photos allaient être
tout à fait quelconques. Bref la photographie ce n'était pas du n'importe
quoi.
Mais de nos jours en revanche...
le premier clampin venu qui aime bien les gadgets hi-tech se jete sur
n'importe quel numérique que le vendeur lui tend, et bien entendu c'est le
plus cher et le moins adaptés à ses besoins. D'ailleurs neuf fois sur dix je
suis bien convaincu que le client n'a pas de besoins du tout. Je suis
abassourdi de voir des gens acheter leur tout premier appareil à 900, 1500,
2000 euros sous des prétextes qu'on peut facilement imaginer : "plus mon
appareil il est cher, plus je vais passer pour un pro..." C'est déjà
ahurissant de voir des slogans qui prônent le "don't think, shoot!", mais ça
le devient encore davantage quand ce même slogan parvient à masquer
l'évident "don't think, buy!!". Et il n'y parvient que trop bien. Pire
encore, les étiquetages qui affichent textuellement "6Mo de pixels"
(véridique!) ou "apn compatible PC et Mac", histoire de quand-même pousser
le vice jusqu'à vendre des trucs hors de prix au plus grand nombre possible
de gens naïfs qui manifestement n'y connaissent strictement rien mais
discernent quelques bribes de termes qui leur rappelle vaguement
quelque-chose : "ah regarde : Mo, pixels, compatible Mac, ça doit être bien,
justement je crois qu'il y a aussi des Mo et des pixels dans mon Mac". Y'en
a même qui remlacent leur téléphone mobile uniquement pour avoir la
*fonction apn* dedans. Mais nom d'une pipe qu'est-ce qui leur prend aux gens
d'aujourd'hui ? Les fabricants et les vendeurs je veux bien puisque leur but
c'est de se faire du pognon, mais les acheteurs ? Ils ont perdu les pédales
? Si le numérique n'était jamais sorti, aucun d'entre eux ne se jeterait
aujourd'hui sur un argentique, même un chouette à 300 euros, et pourtant
l'écart de prix permet de s'acheter du film pendant 40 ans. J'ai le
sentiment que ce n'est pas la photographie qui plait mais d'une part
l'aspect gadget et électronique très à la mode "si t'en n'as pas un t'es un
gros naze", d'autre part l'impression qu'ils vont probablement devenir
subitement super-doués en photo, et qu'ils sauront ainsi faire au moins
quelques chose correctement. "Tiens j'irais bien m'acheter un apn ce
week-end, mais un reflex numérique bien sûr parce que ça fait plus sérieux
qu'un compact. Mon collègue au bureau en a un et il est très content, oh
pourquoi pas un 20d avec trois objectifs et un super flash TTL qui doit
sûrement vouloir dire *Très uTiLe*, il a pas l'air mal... puis il est joli
et j'aime bien sa couleur. Allez hop, vendu. En attendant, histoire de me
faire mousser un peu, je vais quand-même poster un coup sur frpn et faire
semblant de demander des conseils dont je ne tiendrai aucun compte, c'est à
dire en fait recevoir un maximum d'acclamations et de courbettes...". Ca
fait peur. Commencez par du numérique si vous voullez, mais restez au moins
un orteil sur terre : c'est pas le prix qui va faire des belles photos,
c'est le talent. Ca parait pas évident comme ça ? alors disons que ce ne
sont pas les baskets qui font un marathon, c'est le coureur. Ca y est, là
l'idée rentre mieux ? Plus vous courrez, mieux vous courrez, indépendament
de la marque ou du prix de vos baskets. Alors bien sûr les baskets jouent un
rôle, mais ce rôle relève du réglage millimétrique en regard de l'immense
différence de qualité due au savoir-faire. Alors avant de vouloir à tout
prix les meilleurs optiques sur les meilleurs boitiers, relativisez un peu
et interrogez-vous sur l'importance des autres améiorations nettement plus
urgentes à apporter à vos photos.
Pour reprendre http://frpn.free.fr :
"Que l'on s'apprécie ou que l'on s'engueule, une chose est certaine : c'est
le même sujet qui nous interesse".
Aussi j'espère lancer un débat civilisé.
Je viens de discuter avec une amie américains sur le sens de « don't think, shoot ! » Elle m'a dit en tout premier que pour elle c'était une contre pied de la phrase « think before you speak », qui équivaut à tourner sept fois sa langue dans la bouche avant de parler. Elle traduit plus ce slogan comme un « ne vous censurez plus, photoraphiez » que comme un appel à l'arrêt de la pensée.
Nous avons continué la discussion en remarquant que la nuance penser/réfléchir est traduite par le même verbe anglo-saxon think.
Il n'est donc pas évident que ce slogan soit un appel à la légumification des photographes.
J'aimerais recaser une fois de plus HCB, notamment quand il raconte sa photo des Curie, il dit qu'elle a ouvert la porte, et qu'il a eu la photo et qu'il l'a prise. Cela ressemble fort à un « don't think, shoot ».
Je ne veux pas ici prendre la défence de Sony, mais juste tenter d'apporter un éclairage sur un slogan qui peut souffrir d'un léger pb de traduction.
Disons que les pubeux sont souvent très forts pour jouer sur les ambiguités.
-- pehache enlever NOSPAM. etc... pour répondre / remove NOSPAM... to reply http://pehache.free.fr/public.html
FiLH wrote:
Question de civilisation...
Je viens de discuter avec une amie américains sur le sens de « don't
think, shoot ! » Elle m'a dit en tout premier que pour elle c'était
une contre pied de la phrase « think before you speak », qui équivaut
à tourner sept fois sa langue dans la bouche avant de parler.
Elle traduit plus ce slogan comme un « ne vous censurez plus,
photoraphiez » que comme un appel à l'arrêt de la pensée.
Nous avons continué la discussion en remarquant que la nuance
penser/réfléchir est traduite par le même verbe anglo-saxon think.
Il n'est donc pas évident que ce slogan soit un appel à la
légumification des photographes.
J'aimerais recaser une fois de plus HCB, notamment quand il raconte sa
photo des Curie, il dit qu'elle a ouvert la porte, et qu'il a eu la
photo et qu'il l'a prise. Cela ressemble fort à un « don't think,
shoot ».
Je ne veux pas ici prendre la défence de Sony, mais juste tenter
d'apporter un éclairage sur un slogan qui peut souffrir d'un léger pb
de traduction.
Disons que les pubeux sont souvent très forts pour jouer sur les ambiguités.
--
pehache
enlever NOSPAM. etc... pour répondre / remove NOSPAM... to reply
http://pehache.free.fr/public.html
Je viens de discuter avec une amie américains sur le sens de « don't think, shoot ! » Elle m'a dit en tout premier que pour elle c'était une contre pied de la phrase « think before you speak », qui équivaut à tourner sept fois sa langue dans la bouche avant de parler. Elle traduit plus ce slogan comme un « ne vous censurez plus, photoraphiez » que comme un appel à l'arrêt de la pensée.
Nous avons continué la discussion en remarquant que la nuance penser/réfléchir est traduite par le même verbe anglo-saxon think.
Il n'est donc pas évident que ce slogan soit un appel à la légumification des photographes.
J'aimerais recaser une fois de plus HCB, notamment quand il raconte sa photo des Curie, il dit qu'elle a ouvert la porte, et qu'il a eu la photo et qu'il l'a prise. Cela ressemble fort à un « don't think, shoot ».
Je ne veux pas ici prendre la défence de Sony, mais juste tenter d'apporter un éclairage sur un slogan qui peut souffrir d'un léger pb de traduction.
Disons que les pubeux sont souvent très forts pour jouer sur les ambiguités.
-- pehache enlever NOSPAM. etc... pour répondre / remove NOSPAM... to reply http://pehache.free.fr/public.html
mémé
| Je ne veux pas ici prendre la défence de Sony, mais juste tenter | d'apporter un éclairage sur un slogan qui peut souffrir d'un léger pb | de traduction.
Ah bon ben alors dans ce cas je suis presque un peu rassuré. Là je viens tout juste de revoir la pub Canon : "nouveau Canon 300D, pour l'amour de la photographie" qui laisse moins la place à une interprétation tangeante ou erronée. (si ce n'est le fait que toute la ville se met subitement à respecter le possesseur de l'outil, l'argument commercial résidant précisément dans le "passer pour"...)
Maintenant c'est vrai qu'en shootant à droite à gauche sans s'autocensurer et sans s'imaginer un petit euro qui s'envole augmente considérablement les chances de réussir des photos sur un coup de bol. La célébrissime photo du Che Guevara que l'on trouve sur tous les T-shirts, ou celle du gars qui gueule assis à califourchon sur le mur de berlin sont des photos prises, si je ne m'abuse, de manière quasi accidentelles. Mais vaut-il mieux déclencher n'importe quand et s'extasier de temps à autres sur un coup de pot inopiné, ou être pleinement satisfait d'une photo intentionnellement réussie ? Question d'amour propre, j'aime à penser que la chance est l'espoir des faibles. (ce qui ne m'empèche pas de shooter occasionnellement au pif, ni de m'extasier de temps à autres sur un coup de pot inopiné...)
| Je ne veux pas ici prendre la défence de Sony, mais juste tenter
| d'apporter un éclairage sur un slogan qui peut souffrir d'un léger pb
| de traduction.
Ah bon ben alors dans ce cas je suis presque un peu rassuré.
Là je viens tout juste de revoir la pub Canon : "nouveau Canon 300D, pour
l'amour de la photographie" qui laisse moins la place à une interprétation
tangeante ou erronée. (si ce n'est le fait que toute la ville se met
subitement à respecter le possesseur de l'outil, l'argument commercial
résidant précisément dans le "passer pour"...)
Maintenant c'est vrai qu'en shootant à droite à gauche sans s'autocensurer
et sans s'imaginer un petit euro qui s'envole augmente considérablement les
chances de réussir des photos sur un coup de bol. La célébrissime photo du
Che Guevara que l'on trouve sur tous les T-shirts, ou celle du gars qui
gueule assis à califourchon sur le mur de berlin sont des photos prises, si
je ne m'abuse, de manière quasi accidentelles. Mais vaut-il mieux
déclencher n'importe quand et s'extasier de temps à autres sur un coup de
pot inopiné, ou être pleinement satisfait d'une photo intentionnellement
réussie ? Question d'amour propre, j'aime à penser que la chance est
l'espoir des faibles. (ce qui ne m'empèche pas de shooter occasionnellement
au pif, ni de m'extasier de temps à autres sur un coup de pot inopiné...)
| Je ne veux pas ici prendre la défence de Sony, mais juste tenter | d'apporter un éclairage sur un slogan qui peut souffrir d'un léger pb | de traduction.
Ah bon ben alors dans ce cas je suis presque un peu rassuré. Là je viens tout juste de revoir la pub Canon : "nouveau Canon 300D, pour l'amour de la photographie" qui laisse moins la place à une interprétation tangeante ou erronée. (si ce n'est le fait que toute la ville se met subitement à respecter le possesseur de l'outil, l'argument commercial résidant précisément dans le "passer pour"...)
Maintenant c'est vrai qu'en shootant à droite à gauche sans s'autocensurer et sans s'imaginer un petit euro qui s'envole augmente considérablement les chances de réussir des photos sur un coup de bol. La célébrissime photo du Che Guevara que l'on trouve sur tous les T-shirts, ou celle du gars qui gueule assis à califourchon sur le mur de berlin sont des photos prises, si je ne m'abuse, de manière quasi accidentelles. Mais vaut-il mieux déclencher n'importe quand et s'extasier de temps à autres sur un coup de pot inopiné, ou être pleinement satisfait d'une photo intentionnellement réussie ? Question d'amour propre, j'aime à penser que la chance est l'espoir des faibles. (ce qui ne m'empèche pas de shooter occasionnellement au pif, ni de m'extasier de temps à autres sur un coup de pot inopiné...)
mémé
| Le train se rend..(de gare en gare) et la gare deumeure et ne se rend | pas...
Mouais, ça devient capilotracté là. La colle à bois, la caravane passe...
| Le train se rend..(de gare en gare) et la gare deumeure et ne se rend
| pas...
Mouais, ça devient capilotracté là.
La colle à bois, la caravane passe...
| Le train se rend..(de gare en gare) et la gare deumeure et ne se rend | pas...
Mouais, ça devient capilotracté là. La colle à bois, la caravane passe...
pehache
Claude C wrote:
ce que je ne puis accepter c'est l'égalité vendeur=voleur, cette généralité est absolument fausse, et d'ailleurs chacun est libre ou non d'acheter. Cela me semble une évidence et votre "populasse" n'est pas aussi bête que vous le pensez.
Ben si, quand même...
Plus sérieusement: la pub est par nature manipulatrice, et il faut bien avouer qu'elle réussit parfaitement. J'avais lu des chiffres assez édifiants sur les moyens dont disposait la pub au sens large (boîtes de pub, services de comm de grosses boîtes,...) pour étudier et exploiter les ressorts psychologiques des consommateurs, moyens bien supérieurs à tous les labos de psychologie.
-- pehache enlever NOSPAM. etc... pour répondre / remove NOSPAM... to reply http://pehache.free.fr/public.html
Claude C wrote:
ce que je ne puis accepter c'est l'égalité vendeur=voleur, cette
généralité est absolument fausse, et d'ailleurs chacun est libre ou
non d'acheter. Cela me semble une évidence et votre "populasse" n'est
pas aussi bête que vous le pensez.
Ben si, quand même...
Plus sérieusement: la pub est par nature manipulatrice, et il faut bien
avouer qu'elle réussit parfaitement. J'avais lu des chiffres assez édifiants
sur les moyens dont disposait la pub au sens large (boîtes de pub, services
de comm de grosses boîtes,...) pour étudier et exploiter les ressorts
psychologiques des consommateurs, moyens bien supérieurs à tous les labos de
psychologie.
--
pehache
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ce que je ne puis accepter c'est l'égalité vendeur=voleur, cette généralité est absolument fausse, et d'ailleurs chacun est libre ou non d'acheter. Cela me semble une évidence et votre "populasse" n'est pas aussi bête que vous le pensez.
Ben si, quand même...
Plus sérieusement: la pub est par nature manipulatrice, et il faut bien avouer qu'elle réussit parfaitement. J'avais lu des chiffres assez édifiants sur les moyens dont disposait la pub au sens large (boîtes de pub, services de comm de grosses boîtes,...) pour étudier et exploiter les ressorts psychologiques des consommateurs, moyens bien supérieurs à tous les labos de psychologie.
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Mitucci
mémé a couché sur son écran :
Le train se rend..(de gare en gare) et la gare deumeure et ne se rend pas...
Mouais, ça devient capilotracté là. La colle à bois, la caravane passe...
Sauf que les deux phrases n'ont rien à voir entre elles contrairement à mon exemple (dont je ne suis pas l'auteur).
alors là je dis non. Il y en a beacoup qui ne sont pas commissionnés
et ce n'est pas la commission qui fait le mauvais vendeur. D'ailleurs je le fus un temps et même sans aucun fixe. Cela n'empêhait pas mes clients d'apprécier mes conseils. (dans l'industire des matières premières) D'ailleurs un vendeur sait bien que s'il veut voir revenir son client, qu'il n'est pas question de le tromper. Tu es complètement a côté du problême mais je sais que ton discours est à la mode et cela fait bien d'être dans le vent.
Le contexte est très différent. Quand on vend à des professionnels, on ne peut pas se permettre les mêmes choses quand on vend à des particuliers: les interlocuteurs sont souvent mieux informés sur ce qu'ils achètent, et surtout leurs décisions d'achat se font sur des critères généralement beaucoup plus rationnels.
-- pehache enlever NOSPAM. etc... pour répondre / remove NOSPAM... to reply http://pehache.free.fr/public.html
Claude C wrote:
alors là je dis non. Il y en a beacoup qui ne sont pas commissionnés
et ce n'est pas la commission qui fait le mauvais vendeur. D'ailleurs
je le fus un temps et même sans aucun fixe. Cela n'empêhait pas mes
clients d'apprécier mes conseils. (dans l'industire des matières
premières) D'ailleurs un vendeur sait bien que s'il veut voir revenir son
client, qu'il n'est pas question de le tromper.
Tu es complètement a côté du problême mais je sais que ton discours
est à la mode et cela fait bien d'être dans le vent.
Le contexte est très différent. Quand on vend à des professionnels, on ne
peut pas se permettre les mêmes choses quand on vend à des particuliers: les
interlocuteurs sont souvent mieux informés sur ce qu'ils achètent, et
surtout leurs décisions d'achat se font sur des critères généralement
beaucoup plus rationnels.
--
pehache
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http://pehache.free.fr/public.html
alors là je dis non. Il y en a beacoup qui ne sont pas commissionnés
et ce n'est pas la commission qui fait le mauvais vendeur. D'ailleurs je le fus un temps et même sans aucun fixe. Cela n'empêhait pas mes clients d'apprécier mes conseils. (dans l'industire des matières premières) D'ailleurs un vendeur sait bien que s'il veut voir revenir son client, qu'il n'est pas question de le tromper. Tu es complètement a côté du problême mais je sais que ton discours est à la mode et cela fait bien d'être dans le vent.
Le contexte est très différent. Quand on vend à des professionnels, on ne peut pas se permettre les mêmes choses quand on vend à des particuliers: les interlocuteurs sont souvent mieux informés sur ce qu'ils achètent, et surtout leurs décisions d'achat se font sur des critères généralement beaucoup plus rationnels.
-- pehache enlever NOSPAM. etc... pour répondre / remove NOSPAM... to reply http://pehache.free.fr/public.html
mémé
| Jamais personne (...) ne m'a dit qu'il était plus malheureux | depuis qu'il avait acheté un APN. Au pire ils veulent s'en acheter un mieux | ou un plus petit :-)
De bien sages paroles ma foi... (tu ne serais pas un commercial des fois ? ;)
Si les gens sont bien conscients de ce qu'ils achètent, alors effectivement il n'y a pas le moidre problème.
| Jamais personne (...) ne m'a dit qu'il était plus malheureux
| depuis qu'il avait acheté un APN. Au pire ils veulent s'en acheter un
mieux
| ou un plus petit :-)
De bien sages paroles ma foi... (tu ne serais pas un commercial des fois ?
;)
Si les gens sont bien conscients de ce qu'ils achètent, alors effectivement
il n'y a pas le moidre problème.
| Jamais personne (...) ne m'a dit qu'il était plus malheureux | depuis qu'il avait acheté un APN. Au pire ils veulent s'en acheter un mieux | ou un plus petit :-)
De bien sages paroles ma foi... (tu ne serais pas un commercial des fois ? ;)
Si les gens sont bien conscients de ce qu'ils achètent, alors effectivement il n'y a pas le moidre problème.