Le 26/03/2012 07:32, Dominique a écrit :...pour une vraie Justice :
<http://www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2012/03/24/a
rticle_alexandra-lange-la-femme-battue-acquitte.shtml>
<http://nord-pas-de-calais.france3.fr/info/femme-battue-ayant-tue-son-ma
ri--l-acquittement-73085426.html>
et maintnant toute les morru qui vons se mangée une bafe vont pouvoire
flingé leur mac en rigollant parce quelle ne risquerons rien bravo sarko
Le 26/03/2012 07:32, Dominique a écrit :
...pour une vraie Justice :
<http://www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2012/03/24/a
rticle_alexandra-lange-la-femme-battue-acquitte.shtml>
<http://nord-pas-de-calais.france3.fr/info/femme-battue-ayant-tue-son-ma
ri--l-acquittement-73085426.html>
et maintnant toute les morru qui vons se mangée une bafe vont pouvoire
flingé leur mac en rigollant parce quelle ne risquerons rien bravo sarko
Le 26/03/2012 07:32, Dominique a écrit :...pour une vraie Justice :
<http://www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2012/03/24/a
rticle_alexandra-lange-la-femme-battue-acquitte.shtml>
<http://nord-pas-de-calais.france3.fr/info/femme-battue-ayant-tue-son-ma
ri--l-acquittement-73085426.html>
et maintnant toute les morru qui vons se mangée une bafe vont pouvoire
flingé leur mac en rigollant parce quelle ne risquerons rien bravo sarko
jr wrote:Le 26/03/2012 07:32, Dominique a écrit :...pour une vraie Justice :
<http://www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2012/03/24/a
rticle_alexandra-lange-la-femme-battue-acquitte.shtml>
<http://nord-pas-de-calais.france3.fr/info/femme-battue-ayant-tue-son-ma
ri--l-acquittement-73085426.html>
La nana a 30 ans, se fait cogner depuis des années. Mais qu'est-ce
qu'elle fout là?
Développez votre pensée, rouillard.
Ne soyez pas timide.
jr <jqs@froc.net> wrote:
Le 26/03/2012 07:32, Dominique a écrit :
...pour une vraie Justice :
<http://www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2012/03/24/a
rticle_alexandra-lange-la-femme-battue-acquitte.shtml>
<http://nord-pas-de-calais.france3.fr/info/femme-battue-ayant-tue-son-ma
ri--l-acquittement-73085426.html>
La nana a 30 ans, se fait cogner depuis des années. Mais qu'est-ce
qu'elle fout là?
Développez votre pensée, rouillard.
Ne soyez pas timide.
jr wrote:Le 26/03/2012 07:32, Dominique a écrit :...pour une vraie Justice :
<http://www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2012/03/24/a
rticle_alexandra-lange-la-femme-battue-acquitte.shtml>
<http://nord-pas-de-calais.france3.fr/info/femme-battue-ayant-tue-son-ma
ri--l-acquittement-73085426.html>
La nana a 30 ans, se fait cogner depuis des années. Mais qu'est-ce
qu'elle fout là?
Développez votre pensée, rouillard.
Ne soyez pas timide.
rouillard est un bourrin,
rouillard est un bourrin,
rouillard est un bourrin,
Le 27/03/2012 10:12, Dominique a écrit :
>>> C'est assez simple : elle était chez elle.
>>
>> Si vous étiez juriste, vous sauriez que par ici, la nana qui va porter
>> le pet se retrouve rapidement chez elle et le mec dehors, c'est une
>> affaire de jours.
>
> Je peux vous assurer que dans la Somme, à l'époque des faits, ce n'était
> pas le cas et ça ne l'est toujours pas (voir le lien en bas)
> Pas besoin d'être juriste pour le savoir.
CC 220-1 de l'époque:
"Lorsque les violences exercées par l'un des époux mettent en danger son
conjoint, un ou plusieurs enfants, le juge peut statuer sur la résidence
séparée des époux en précisant lequel des deux continuera à résider dans
le logement conjugal. Sauf circonstances particulières, la jouissance de
ce logement est attribuée au conjoint qui n'est pas l'auteur des violences."
Tout ça a été remanié en 2010, articles 515-*.
> Douai et son Procureur sont deux exceptions notables et récentes dans le
> paysage juridique français, en matière de violences conjugales.
>
> http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Deneux-
> accable-par-sa-victime
"Il m'a toujours battue, dès le début, pour un rien."
Qu'est-ce qu'elle foutait là le lendemain du premier jour?
> Quoi d'autre faire quand les flics ne veulent pas prendre une plainte et
> requalifient d'office des violences conjugales en "scène de ménage" sur
> une main courante sans aucune valeur juridique?
Demander le divorce.
Il y a plein de gens très simples qui le font.
J'aime bien votre "quoi d'autre faire". Je vous rappelle qu'à la fin il
y a un couteau dans le bide. Quoi d'autre faire...
>>> Non, puisque l'excuse de légitime défense a été retenue.
>>> Si cette excuse de légitime défense n'avait pas été retenue, elle
>>> risquait bien plus que 17 mois de prison.
>>
>> Le jury fait ce qu'il veut.
>
> Dans la limite du respect des lois :-)
En matière de quantum, la cour fait ce qu'elle veut dans la limite du
maximum.
>>> Tsss. Vous n'avez rien compris au droit pénal français.
>
>> Dit la gonze qui confond meurtre et violences ayant entraîné la mort
>> sans intention de la donner.
>
> Ha, je savais bien qu'on allait revenir à ça :-)
D'autant que vous le disiez pour *corriger* ce pauvre YL. Un grand moment.
>>> Elle est coupable de meurtre mais excusée par la légitime défense.
(écran de fumée)
> Alors, reprenons
Oui: vous avez dit n'importe quoi.
>>> Ce qui signifie que les procureurs ont la liberté de parole
>>
>> Je ne parle pas de ça.
>
> Ben, si, vous parliez de ça.
Ben non, je parle de l'appel.
> Pas du tout : c'est le compte-rendu qui en était fait, par un
> non-juriste, qui posait problème.
> D'ailleurs, il n'y aura bientôt plus de problème de ce côté là :-)
Vous allez encore perdre des dents?
> Mon souci est de savoir si vous allez venir en Corse
Si je suis en retard, surtout, attendez-moi.
Le 27/03/2012 10:12, Dominique a écrit :
>>> C'est assez simple : elle était chez elle.
>>
>> Si vous étiez juriste, vous sauriez que par ici, la nana qui va porter
>> le pet se retrouve rapidement chez elle et le mec dehors, c'est une
>> affaire de jours.
>
> Je peux vous assurer que dans la Somme, à l'époque des faits, ce n'était
> pas le cas et ça ne l'est toujours pas (voir le lien en bas)
> Pas besoin d'être juriste pour le savoir.
CC 220-1 de l'époque:
"Lorsque les violences exercées par l'un des époux mettent en danger son
conjoint, un ou plusieurs enfants, le juge peut statuer sur la résidence
séparée des époux en précisant lequel des deux continuera à résider dans
le logement conjugal. Sauf circonstances particulières, la jouissance de
ce logement est attribuée au conjoint qui n'est pas l'auteur des violences."
Tout ça a été remanié en 2010, articles 515-*.
> Douai et son Procureur sont deux exceptions notables et récentes dans le
> paysage juridique français, en matière de violences conjugales.
>
> http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Deneux-
> accable-par-sa-victime
"Il m'a toujours battue, dès le début, pour un rien."
Qu'est-ce qu'elle foutait là le lendemain du premier jour?
> Quoi d'autre faire quand les flics ne veulent pas prendre une plainte et
> requalifient d'office des violences conjugales en "scène de ménage" sur
> une main courante sans aucune valeur juridique?
Demander le divorce.
Il y a plein de gens très simples qui le font.
J'aime bien votre "quoi d'autre faire". Je vous rappelle qu'à la fin il
y a un couteau dans le bide. Quoi d'autre faire...
>>> Non, puisque l'excuse de légitime défense a été retenue.
>>> Si cette excuse de légitime défense n'avait pas été retenue, elle
>>> risquait bien plus que 17 mois de prison.
>>
>> Le jury fait ce qu'il veut.
>
> Dans la limite du respect des lois :-)
En matière de quantum, la cour fait ce qu'elle veut dans la limite du
maximum.
>>> Tsss. Vous n'avez rien compris au droit pénal français.
>
>> Dit la gonze qui confond meurtre et violences ayant entraîné la mort
>> sans intention de la donner.
>
> Ha, je savais bien qu'on allait revenir à ça :-)
D'autant que vous le disiez pour *corriger* ce pauvre YL. Un grand moment.
>>> Elle est coupable de meurtre mais excusée par la légitime défense.
(écran de fumée)
> Alors, reprenons
Oui: vous avez dit n'importe quoi.
>>> Ce qui signifie que les procureurs ont la liberté de parole
>>
>> Je ne parle pas de ça.
>
> Ben, si, vous parliez de ça.
Ben non, je parle de l'appel.
> Pas du tout : c'est le compte-rendu qui en était fait, par un
> non-juriste, qui posait problème.
> D'ailleurs, il n'y aura bientôt plus de problème de ce côté là :-)
Vous allez encore perdre des dents?
> Mon souci est de savoir si vous allez venir en Corse
Si je suis en retard, surtout, attendez-moi.
Le 27/03/2012 10:12, Dominique a écrit :
>>> C'est assez simple : elle était chez elle.
>>
>> Si vous étiez juriste, vous sauriez que par ici, la nana qui va porter
>> le pet se retrouve rapidement chez elle et le mec dehors, c'est une
>> affaire de jours.
>
> Je peux vous assurer que dans la Somme, à l'époque des faits, ce n'était
> pas le cas et ça ne l'est toujours pas (voir le lien en bas)
> Pas besoin d'être juriste pour le savoir.
CC 220-1 de l'époque:
"Lorsque les violences exercées par l'un des époux mettent en danger son
conjoint, un ou plusieurs enfants, le juge peut statuer sur la résidence
séparée des époux en précisant lequel des deux continuera à résider dans
le logement conjugal. Sauf circonstances particulières, la jouissance de
ce logement est attribuée au conjoint qui n'est pas l'auteur des violences."
Tout ça a été remanié en 2010, articles 515-*.
> Douai et son Procureur sont deux exceptions notables et récentes dans le
> paysage juridique français, en matière de violences conjugales.
>
> http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Deneux-
> accable-par-sa-victime
"Il m'a toujours battue, dès le début, pour un rien."
Qu'est-ce qu'elle foutait là le lendemain du premier jour?
> Quoi d'autre faire quand les flics ne veulent pas prendre une plainte et
> requalifient d'office des violences conjugales en "scène de ménage" sur
> une main courante sans aucune valeur juridique?
Demander le divorce.
Il y a plein de gens très simples qui le font.
J'aime bien votre "quoi d'autre faire". Je vous rappelle qu'à la fin il
y a un couteau dans le bide. Quoi d'autre faire...
>>> Non, puisque l'excuse de légitime défense a été retenue.
>>> Si cette excuse de légitime défense n'avait pas été retenue, elle
>>> risquait bien plus que 17 mois de prison.
>>
>> Le jury fait ce qu'il veut.
>
> Dans la limite du respect des lois :-)
En matière de quantum, la cour fait ce qu'elle veut dans la limite du
maximum.
>>> Tsss. Vous n'avez rien compris au droit pénal français.
>
>> Dit la gonze qui confond meurtre et violences ayant entraîné la mort
>> sans intention de la donner.
>
> Ha, je savais bien qu'on allait revenir à ça :-)
D'autant que vous le disiez pour *corriger* ce pauvre YL. Un grand moment.
>>> Elle est coupable de meurtre mais excusée par la légitime défense.
(écran de fumée)
> Alors, reprenons
Oui: vous avez dit n'importe quoi.
>>> Ce qui signifie que les procureurs ont la liberté de parole
>>
>> Je ne parle pas de ça.
>
> Ben, si, vous parliez de ça.
Ben non, je parle de l'appel.
> Pas du tout : c'est le compte-rendu qui en était fait, par un
> non-juriste, qui posait problème.
> D'ailleurs, il n'y aura bientôt plus de problème de ce côté là :-)
Vous allez encore perdre des dents?
> Mon souci est de savoir si vous allez venir en Corse
Si je suis en retard, surtout, attendez-moi.
NM, anonyme de service, trouve utile de mettre le nom de ses interlocuteurs:rouillard est un bourrin,
Toutes ne s'en plaignent pas.
NM, anonyme de service, trouve utile de mettre le nom de ses interlocuteurs:
rouillard est un bourrin,
Toutes ne s'en plaignent pas.
NM, anonyme de service, trouve utile de mettre le nom de ses interlocuteurs:rouillard est un bourrin,
Toutes ne s'en plaignent pas.
NM, anonyme de service, trouve utile de mettre le nom de ses interlocuteurs:
> rouillard est un bourrin,
Toutes ne s'en plaignent pas.
NM, anonyme de service, trouve utile de mettre le nom de ses interlocuteurs:
> rouillard est un bourrin,
Toutes ne s'en plaignent pas.
NM, anonyme de service, trouve utile de mettre le nom de ses interlocuteurs:
> rouillard est un bourrin,
Toutes ne s'en plaignent pas.
jr wrote:NM, anonyme de service, trouve utile de mettre le nom de ses interlocuteurs:rouillard est un bourrin,
Toutes ne s'en plaignent pas.
Vous êtes un boute-en-train, Rouillard :-)
jr<jqs@froc.net> wrote:
NM, anonyme de service, trouve utile de mettre le nom de ses interlocuteurs:
rouillard est un bourrin,
Toutes ne s'en plaignent pas.
Vous êtes un boute-en-train, Rouillard :-)
jr wrote:NM, anonyme de service, trouve utile de mettre le nom de ses interlocuteurs:rouillard est un bourrin,
Toutes ne s'en plaignent pas.
Vous êtes un boute-en-train, Rouillard :-)
Je peux vous assurer que dans la Somme, à l'époque des faits, ce n'était
pas le cas et ça ne l'est toujours pas (voir le lien en bas)
Pas besoin d'être juriste pour le savoir.
CC 220-1 de l'époque:
"Lorsque les violences exercées par l'un des époux mettent en danger son
conjoint, un ou plusieurs enfants, le juge peut statuer sur la résidence
séparée des époux en précisant lequel des deux continuera à résider dans
le logement conjugal. Sauf circonstances particulières, la jouissance de
ce logement est attribuée au conjoint qui n'est pas l'auteur des violences."
Le voilà en entier, celui du Code Civil en vigueur en 2009:
L'antérieur, valable jusqu'en 2004,
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Deneux-
accable-par-sa-victime
"Il m'a toujours battue, dès le début, pour un rien."
Qu'est-ce qu'elle foutait là le lendemain du premier jour?
Pourquoi la notion d'emprise mentale,
Ha, oui, d'après Rouillard, ça doit être leur faute, à ces salopes :
si elles se font taper dessus et violer et ne disent rien, ce doit être
qu'elles aiment ça, en fait...
jusqu'à
récemment, les violences conjugales n'étaient pas reconnues en tant que
telles par la loi.
NB : la dame a subi des violences "dès le début ", elle a tué son mari
en 2009, après 11 ans de mariage, donc elle s'est mariée en 1998,
Autre fait, au moment du procès, en 2012, elle a 32 ans, donc elle
s'est mariée à 18 ans.
L'aîné de ses enfants a 13 ans donc il a été conçu juste avant ou juste
après ce mariage...
on se doute bien que son
bagage culturel était assez léger avant son mariage et que ce n'est pas
son mari et ses 4 enfants qui ont permis son épanouissement sur le plan
personnel et professionnel.
Il y a tellement de meurtres d'épouses battues qui ont été qualifiés
de "violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la
donner" et correctionnalisées que je me demande pourquoi cette dame est
passée aux Assises...
Tellement de viols requalifiés en "atteintes sexuelles".
Je peux vous assurer que dans la Somme, à l'époque des faits, ce n'était
pas le cas et ça ne l'est toujours pas (voir le lien en bas)
Pas besoin d'être juriste pour le savoir.
CC 220-1 de l'époque:
"Lorsque les violences exercées par l'un des époux mettent en danger son
conjoint, un ou plusieurs enfants, le juge peut statuer sur la résidence
séparée des époux en précisant lequel des deux continuera à résider dans
le logement conjugal. Sauf circonstances particulières, la jouissance de
ce logement est attribuée au conjoint qui n'est pas l'auteur des violences."
Le voilà en entier, celui du Code Civil en vigueur en 2009:
L'antérieur, valable jusqu'en 2004,
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Deneux-
accable-par-sa-victime
"Il m'a toujours battue, dès le début, pour un rien."
Qu'est-ce qu'elle foutait là le lendemain du premier jour?
Pourquoi la notion d'emprise mentale,
Ha, oui, d'après Rouillard, ça doit être leur faute, à ces salopes :
si elles se font taper dessus et violer et ne disent rien, ce doit être
qu'elles aiment ça, en fait...
jusqu'à
récemment, les violences conjugales n'étaient pas reconnues en tant que
telles par la loi.
NB : la dame a subi des violences "dès le début ", elle a tué son mari
en 2009, après 11 ans de mariage, donc elle s'est mariée en 1998,
Autre fait, au moment du procès, en 2012, elle a 32 ans, donc elle
s'est mariée à 18 ans.
L'aîné de ses enfants a 13 ans donc il a été conçu juste avant ou juste
après ce mariage...
on se doute bien que son
bagage culturel était assez léger avant son mariage et que ce n'est pas
son mari et ses 4 enfants qui ont permis son épanouissement sur le plan
personnel et professionnel.
Il y a tellement de meurtres d'épouses battues qui ont été qualifiés
de "violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la
donner" et correctionnalisées que je me demande pourquoi cette dame est
passée aux Assises...
Tellement de viols requalifiés en "atteintes sexuelles".
Je peux vous assurer que dans la Somme, à l'époque des faits, ce n'était
pas le cas et ça ne l'est toujours pas (voir le lien en bas)
Pas besoin d'être juriste pour le savoir.
CC 220-1 de l'époque:
"Lorsque les violences exercées par l'un des époux mettent en danger son
conjoint, un ou plusieurs enfants, le juge peut statuer sur la résidence
séparée des époux en précisant lequel des deux continuera à résider dans
le logement conjugal. Sauf circonstances particulières, la jouissance de
ce logement est attribuée au conjoint qui n'est pas l'auteur des violences."
Le voilà en entier, celui du Code Civil en vigueur en 2009:
L'antérieur, valable jusqu'en 2004,
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Deneux-
accable-par-sa-victime
"Il m'a toujours battue, dès le début, pour un rien."
Qu'est-ce qu'elle foutait là le lendemain du premier jour?
Pourquoi la notion d'emprise mentale,
Ha, oui, d'après Rouillard, ça doit être leur faute, à ces salopes :
si elles se font taper dessus et violer et ne disent rien, ce doit être
qu'elles aiment ça, en fait...
jusqu'à
récemment, les violences conjugales n'étaient pas reconnues en tant que
telles par la loi.
NB : la dame a subi des violences "dès le début ", elle a tué son mari
en 2009, après 11 ans de mariage, donc elle s'est mariée en 1998,
Autre fait, au moment du procès, en 2012, elle a 32 ans, donc elle
s'est mariée à 18 ans.
L'aîné de ses enfants a 13 ans donc il a été conçu juste avant ou juste
après ce mariage...
on se doute bien que son
bagage culturel était assez léger avant son mariage et que ce n'est pas
son mari et ses 4 enfants qui ont permis son épanouissement sur le plan
personnel et professionnel.
Il y a tellement de meurtres d'épouses battues qui ont été qualifiés
de "violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la
donner" et correctionnalisées que je me demande pourquoi cette dame est
passée aux Assises...
Tellement de viols requalifiés en "atteintes sexuelles".
C'est facile de dire ça quand on ne connaît rien de la personne dont
on parle, ni son histoire familiale antérieure ni l'ampleur de son bagage
intellectuel
ni la méconnaissance de ses droits
ni le fait que, jusqu'à
récemment, les violences conjugales n'étaient pas reconnues en tant que
telles par la loi.
C'est facile de dire ça quand on ne connaît rien de la personne dont
on parle, ni son histoire familiale antérieure ni l'ampleur de son bagage
intellectuel
ni la méconnaissance de ses droits
ni le fait que, jusqu'à
récemment, les violences conjugales n'étaient pas reconnues en tant que
telles par la loi.
C'est facile de dire ça quand on ne connaît rien de la personne dont
on parle, ni son histoire familiale antérieure ni l'ampleur de son bagage
intellectuel
ni la méconnaissance de ses droits
ni le fait que, jusqu'à
récemment, les violences conjugales n'étaient pas reconnues en tant que
telles par la loi.
Et s'il y a effectivement une responsabilité sociale, elle est bien plus
dans le matraquage constant "divorce = échec", dans les bénéfices
sociaux que procure le mariage et dans le parcours du combattant que
représente la procédure de séparation, que dans la qualité de la
surveillance des cas particuliers.
Et s'il y a effectivement une responsabilité sociale, elle est bien plus
dans le matraquage constant "divorce = échec", dans les bénéfices
sociaux que procure le mariage et dans le parcours du combattant que
représente la procédure de séparation, que dans la qualité de la
surveillance des cas particuliers.
Et s'il y a effectivement une responsabilité sociale, elle est bien plus
dans le matraquage constant "divorce = échec", dans les bénéfices
sociaux que procure le mariage et dans le parcours du combattant que
représente la procédure de séparation, que dans la qualité de la
surveillance des cas particuliers.