Le 28/03/2012 09:48, Dominique a écrit :
(snip enfumage)
(snip enfumage)
(snip gourous)
Récemment j'ai vu un gus secouer une nana dans la rue.
> jusqu'à récemment, les violences conjugales n'étaient pas reconnues en
> tant que telles par la loi.
Perso, je vote contre tout qualificatif collé à "violence" ou autre
glauquerie. Le fait que le crime soit conjugal, raciste, sexuel ou
votrechoixier a un effet sur son identification, sa recherche, et les
moyens employés pour sa poursuite; mais ne devrait en avoir aucun sur sa
qualification pénale;
si on me tue, j'aime autant que ce soit réprimé au nom de mon humanité
plutôt qu'au nom de la couleur de ma peau, au nom de mon statut marital,
voire au nom des moyens informatiques ayant servi à l'opération.
Donc vous ne me ferez pas pleurer avec ça, même si c'est
dans l'air du temps.
> NB : la dame a subi des violences "dès le début ", elle a tué son mari
> en 2009, après 11 ans de mariage, donc elle s'est mariée en 1998,
Qu'est-ce qu'elle foutait avec son mari violent en 1999?
> Autre fait, au moment du procès, en 2012, elle a 32 ans, donc elle
> s'est mariée à 18 ans.
> L'aîné de ses enfants a 13 ans donc il a été conçu juste avant ou juste
> après ce mariage...
Et les suivants?
> on se doute bien que son
> bagage culturel était assez léger avant son mariage et que ce n'est pas
> son mari et ses 4 enfants qui ont permis son épanouissement sur le plan
> personnel et professionnel.
Les enfants dont elle est responsable ne doivent pas être très épanouis
non plus, et vous évacuez un peu facilement sa responsabilité dans la
pérennisation, et l'augmentation, de cette situation familiale.
Et s'il y a effectivement une responsabilité sociale, elle est bien plus
dans le matraquage constant "divorce = échec", dans les bénéfices
sociaux que procure le mariage et dans le parcours du combattant que
représente la procédure de séparation, que dans la qualité de la
surveillance des cas particuliers.
> Il y a tellement de meurtres d'épouses battues qui ont été qualifiés
> de "violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la
> donner" et correctionnalisées que je me demande pourquoi cette dame est
> passée aux Assises...
Oh! Vous connaissez des meurtres impunis et vous ne les dénoncez pas?
C'est un délit.
> Tellement de viols requalifiés en "atteintes sexuelles".
Toujours avec l'accord de la victime.
Je sais, elle est incapable d'avoir un avis, ayant été violée elle est
forcément traumatisée du raisonnement, c'est une prescription.
(snip enfumage)
Le 28/03/2012 09:48, Dominique a écrit :
(snip enfumage)
(snip enfumage)
(snip gourous)
Récemment j'ai vu un gus secouer une nana dans la rue.
> jusqu'à récemment, les violences conjugales n'étaient pas reconnues en
> tant que telles par la loi.
Perso, je vote contre tout qualificatif collé à "violence" ou autre
glauquerie. Le fait que le crime soit conjugal, raciste, sexuel ou
votrechoixier a un effet sur son identification, sa recherche, et les
moyens employés pour sa poursuite; mais ne devrait en avoir aucun sur sa
qualification pénale;
si on me tue, j'aime autant que ce soit réprimé au nom de mon humanité
plutôt qu'au nom de la couleur de ma peau, au nom de mon statut marital,
voire au nom des moyens informatiques ayant servi à l'opération.
Donc vous ne me ferez pas pleurer avec ça, même si c'est
dans l'air du temps.
> NB : la dame a subi des violences "dès le début ", elle a tué son mari
> en 2009, après 11 ans de mariage, donc elle s'est mariée en 1998,
Qu'est-ce qu'elle foutait avec son mari violent en 1999?
> Autre fait, au moment du procès, en 2012, elle a 32 ans, donc elle
> s'est mariée à 18 ans.
> L'aîné de ses enfants a 13 ans donc il a été conçu juste avant ou juste
> après ce mariage...
Et les suivants?
> on se doute bien que son
> bagage culturel était assez léger avant son mariage et que ce n'est pas
> son mari et ses 4 enfants qui ont permis son épanouissement sur le plan
> personnel et professionnel.
Les enfants dont elle est responsable ne doivent pas être très épanouis
non plus, et vous évacuez un peu facilement sa responsabilité dans la
pérennisation, et l'augmentation, de cette situation familiale.
Et s'il y a effectivement une responsabilité sociale, elle est bien plus
dans le matraquage constant "divorce = échec", dans les bénéfices
sociaux que procure le mariage et dans le parcours du combattant que
représente la procédure de séparation, que dans la qualité de la
surveillance des cas particuliers.
> Il y a tellement de meurtres d'épouses battues qui ont été qualifiés
> de "violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la
> donner" et correctionnalisées que je me demande pourquoi cette dame est
> passée aux Assises...
Oh! Vous connaissez des meurtres impunis et vous ne les dénoncez pas?
C'est un délit.
> Tellement de viols requalifiés en "atteintes sexuelles".
Toujours avec l'accord de la victime.
Je sais, elle est incapable d'avoir un avis, ayant été violée elle est
forcément traumatisée du raisonnement, c'est une prescription.
(snip enfumage)
Le 28/03/2012 09:48, Dominique a écrit :
(snip enfumage)
(snip enfumage)
(snip gourous)
Récemment j'ai vu un gus secouer une nana dans la rue.
> jusqu'à récemment, les violences conjugales n'étaient pas reconnues en
> tant que telles par la loi.
Perso, je vote contre tout qualificatif collé à "violence" ou autre
glauquerie. Le fait que le crime soit conjugal, raciste, sexuel ou
votrechoixier a un effet sur son identification, sa recherche, et les
moyens employés pour sa poursuite; mais ne devrait en avoir aucun sur sa
qualification pénale;
si on me tue, j'aime autant que ce soit réprimé au nom de mon humanité
plutôt qu'au nom de la couleur de ma peau, au nom de mon statut marital,
voire au nom des moyens informatiques ayant servi à l'opération.
Donc vous ne me ferez pas pleurer avec ça, même si c'est
dans l'air du temps.
> NB : la dame a subi des violences "dès le début ", elle a tué son mari
> en 2009, après 11 ans de mariage, donc elle s'est mariée en 1998,
Qu'est-ce qu'elle foutait avec son mari violent en 1999?
> Autre fait, au moment du procès, en 2012, elle a 32 ans, donc elle
> s'est mariée à 18 ans.
> L'aîné de ses enfants a 13 ans donc il a été conçu juste avant ou juste
> après ce mariage...
Et les suivants?
> on se doute bien que son
> bagage culturel était assez léger avant son mariage et que ce n'est pas
> son mari et ses 4 enfants qui ont permis son épanouissement sur le plan
> personnel et professionnel.
Les enfants dont elle est responsable ne doivent pas être très épanouis
non plus, et vous évacuez un peu facilement sa responsabilité dans la
pérennisation, et l'augmentation, de cette situation familiale.
Et s'il y a effectivement une responsabilité sociale, elle est bien plus
dans le matraquage constant "divorce = échec", dans les bénéfices
sociaux que procure le mariage et dans le parcours du combattant que
représente la procédure de séparation, que dans la qualité de la
surveillance des cas particuliers.
> Il y a tellement de meurtres d'épouses battues qui ont été qualifiés
> de "violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la
> donner" et correctionnalisées que je me demande pourquoi cette dame est
> passée aux Assises...
Oh! Vous connaissez des meurtres impunis et vous ne les dénoncez pas?
C'est un délit.
> Tellement de viols requalifiés en "atteintes sexuelles".
Toujours avec l'accord de la victime.
Je sais, elle est incapable d'avoir un avis, ayant été violée elle est
forcément traumatisée du raisonnement, c'est une prescription.
(snip enfumage)
jusqu'à récemment, les violences conjugales n'étaient pas reconnues en
tant que telles par la loi.Perso, je vote contre tout qualificatif collé à "violence" ou autre
glauquerie. Le fait que le crime soit conjugal, raciste, sexuel ou
votrechoixier a un effet sur son identification, sa recherche, et les
moyens employés pour sa poursuite; mais ne devrait en avoir aucun sur sa
qualification pénale;
La qualification pénale est la même : ça ne joue que sur les
circonstances aggravantes.
si on me tue, j'aime autant que ce soit réprimé au nom de mon humanité
plutôt qu'au nom de la couleur de ma peau, au nom de mon statut marital,
voire au nom des moyens informatiques ayant servi à l'opération.
On en reparlera quand vous serez égrotant, invalide et/ou alzheimerisé
et que vos voisins ou vos enfants vous taperons sur la gueule.
jusqu'à récemment, les violences conjugales n'étaient pas reconnues en
tant que telles par la loi.
Perso, je vote contre tout qualificatif collé à "violence" ou autre
glauquerie. Le fait que le crime soit conjugal, raciste, sexuel ou
votrechoixier a un effet sur son identification, sa recherche, et les
moyens employés pour sa poursuite; mais ne devrait en avoir aucun sur sa
qualification pénale;
La qualification pénale est la même : ça ne joue que sur les
circonstances aggravantes.
si on me tue, j'aime autant que ce soit réprimé au nom de mon humanité
plutôt qu'au nom de la couleur de ma peau, au nom de mon statut marital,
voire au nom des moyens informatiques ayant servi à l'opération.
On en reparlera quand vous serez égrotant, invalide et/ou alzheimerisé
et que vos voisins ou vos enfants vous taperons sur la gueule.
jusqu'à récemment, les violences conjugales n'étaient pas reconnues en
tant que telles par la loi.Perso, je vote contre tout qualificatif collé à "violence" ou autre
glauquerie. Le fait que le crime soit conjugal, raciste, sexuel ou
votrechoixier a un effet sur son identification, sa recherche, et les
moyens employés pour sa poursuite; mais ne devrait en avoir aucun sur sa
qualification pénale;
La qualification pénale est la même : ça ne joue que sur les
circonstances aggravantes.
si on me tue, j'aime autant que ce soit réprimé au nom de mon humanité
plutôt qu'au nom de la couleur de ma peau, au nom de mon statut marital,
voire au nom des moyens informatiques ayant servi à l'opération.
On en reparlera quand vous serez égrotant, invalide et/ou alzheimerisé
et que vos voisins ou vos enfants vous taperons sur la gueule.
Le 28/03/2012 09:48, Dominique a écrit :
Y a des permis pour tout, chasser, conduire, construire un cabane au
fond de son jardin, la détruire, mais se marier, se concubiner, faire
des mômes, même les plus débiles peuvent s'y coller.
> ni la méconnaissance de ses droits
Parles-en au législateur, qui décrète "nul ne peut se prévaloir
d'ignorer la loi", et fait des lois si compliquées, avec des nonobstant
et des "sans préjudice de l'article 178 quinquiès, alinéa 4", qu'il
faut un maitrise de droit pour y comprendre quelque chose.
> ni le fait que, jusqu'à récemment, les violences conjugales n'étaient
> pas reconnues en tant que telles par la loi.
ben oui, comme dans le pays tout entier, c'est l'état qui a le monopole
de l'exercice de la force,
dans le couple, le monopole de l'exercice de
la force était au mec.
Mais personne n'a jamais été obligé de de mettre
en couple.
Et de tous temps,
il y a eu de femmes qui ont su échappé à la
violence conjugale en refusant la conjugalité.
Tiens, celles-ci : http://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A9guinages_flamands
Le 28/03/2012 09:48, Dominique a écrit :
Y a des permis pour tout, chasser, conduire, construire un cabane au
fond de son jardin, la détruire, mais se marier, se concubiner, faire
des mômes, même les plus débiles peuvent s'y coller.
> ni la méconnaissance de ses droits
Parles-en au législateur, qui décrète "nul ne peut se prévaloir
d'ignorer la loi", et fait des lois si compliquées, avec des nonobstant
et des "sans préjudice de l'article 178 quinquiès, alinéa 4", qu'il
faut un maitrise de droit pour y comprendre quelque chose.
> ni le fait que, jusqu'à récemment, les violences conjugales n'étaient
> pas reconnues en tant que telles par la loi.
ben oui, comme dans le pays tout entier, c'est l'état qui a le monopole
de l'exercice de la force,
dans le couple, le monopole de l'exercice de
la force était au mec.
Mais personne n'a jamais été obligé de de mettre
en couple.
Et de tous temps,
il y a eu de femmes qui ont su échappé à la
violence conjugale en refusant la conjugalité.
Tiens, celles-ci : http://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A9guinages_flamands
Le 28/03/2012 09:48, Dominique a écrit :
Y a des permis pour tout, chasser, conduire, construire un cabane au
fond de son jardin, la détruire, mais se marier, se concubiner, faire
des mômes, même les plus débiles peuvent s'y coller.
> ni la méconnaissance de ses droits
Parles-en au législateur, qui décrète "nul ne peut se prévaloir
d'ignorer la loi", et fait des lois si compliquées, avec des nonobstant
et des "sans préjudice de l'article 178 quinquiès, alinéa 4", qu'il
faut un maitrise de droit pour y comprendre quelque chose.
> ni le fait que, jusqu'à récemment, les violences conjugales n'étaient
> pas reconnues en tant que telles par la loi.
ben oui, comme dans le pays tout entier, c'est l'état qui a le monopole
de l'exercice de la force,
dans le couple, le monopole de l'exercice de
la force était au mec.
Mais personne n'a jamais été obligé de de mettre
en couple.
Et de tous temps,
il y a eu de femmes qui ont su échappé à la
violence conjugale en refusant la conjugalité.
Tiens, celles-ci : http://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A9guinages_flamands
Le 28/03/2012 12:19, Dominique a écrit :
> On en reparlera quand vous serez égrotant, invalide et/ou alzheimerisé
> et que vos voisins ou vos enfants vous taperons sur la gueule.
Bah, tant que je sais à peu près conjuguer...
(snip enfumages)
Le 28/03/2012 12:19, Dominique a écrit :
> On en reparlera quand vous serez égrotant, invalide et/ou alzheimerisé
> et que vos voisins ou vos enfants vous taperons sur la gueule.
Bah, tant que je sais à peu près conjuguer...
(snip enfumages)
Le 28/03/2012 12:19, Dominique a écrit :
> On en reparlera quand vous serez égrotant, invalide et/ou alzheimerisé
> et que vos voisins ou vos enfants vous taperons sur la gueule.
Bah, tant que je sais à peu près conjuguer...
(snip enfumages)
Parles-en au législateur, qui décrète "nul ne peut se prévaloir
d'ignorer la loi", et fait des lois si compliquées, avec des nonobstant
et des "sans préjudice de l'article 178 quinquiès, alinéa 4", qu'il
faut un maitrise de droit pour y comprendre quelque chose.
Je vous rassure, même une maîtrise de droit n'est pas toujours
suffisante :-)
En fait ça ne signifie pas qu'on doit connaître et comprendre toutes les
lois existantes mais qu'on ne peut pas argumenter sur la méconnaissance
d'une loi pour s'exonérer de responsabilité.
Mon prof de français collait une note en dessous de la moyenne aux
élèves qui utilisaient cette expression inapropriée dans leurs
rédactions.
Parles-en au législateur, qui décrète "nul ne peut se prévaloir
d'ignorer la loi", et fait des lois si compliquées, avec des nonobstant
et des "sans préjudice de l'article 178 quinquiès, alinéa 4", qu'il
faut un maitrise de droit pour y comprendre quelque chose.
Je vous rassure, même une maîtrise de droit n'est pas toujours
suffisante :-)
En fait ça ne signifie pas qu'on doit connaître et comprendre toutes les
lois existantes mais qu'on ne peut pas argumenter sur la méconnaissance
d'une loi pour s'exonérer de responsabilité.
Mon prof de français collait une note en dessous de la moyenne aux
élèves qui utilisaient cette expression inapropriée dans leurs
rédactions.
Parles-en au législateur, qui décrète "nul ne peut se prévaloir
d'ignorer la loi", et fait des lois si compliquées, avec des nonobstant
et des "sans préjudice de l'article 178 quinquiès, alinéa 4", qu'il
faut un maitrise de droit pour y comprendre quelque chose.
Je vous rassure, même une maîtrise de droit n'est pas toujours
suffisante :-)
En fait ça ne signifie pas qu'on doit connaître et comprendre toutes les
lois existantes mais qu'on ne peut pas argumenter sur la méconnaissance
d'une loi pour s'exonérer de responsabilité.
Mon prof de français collait une note en dessous de la moyenne aux
élèves qui utilisaient cette expression inapropriée dans leurs
rédactions.
En fait ça ne signifie pas qu'on doit connaître et comprendre toutes les
lois existantes mais qu'on ne peut pas argumenter sur la méconnaissance
d'une loi pour s'exonérer de responsabilité.
Tsss... Le monopole de la violence légale n'a rien à voir avec
l'exercice de la force brutale.
Dans les violences sur un proche, que ce soit un parent, un enfant ou un
conjoint, il n'y a pas qu'une question de force brute : il faut prendre
aussi en compte l'emprise psychologique et l'ascendant moral.
Mais personne n'a jamais été obligé de de mettre
en couple.
Le beau raisonnement absurde!
Personne n'est obligé de se faire tuer à l'école par un fou dangereux
dont ses proches eux-mêmes n'avaient pas discerné la dangerosité, non
plus.
Personne n'est obligé de conduire sur autoroute au risque de se prendre
un chauffard remontant en sens inverse.
Personne n'est obligé de faire des gosses qui vont fourrer leurs vieux
parents en maison de retraite pour profiter de l'héritage.
Et de tous temps,
Mon prof de français collait une note en dessous de la moyenne aux
élèves qui utilisaient cette expression inapropriée dans leurs
rédactions.
En fait ça ne signifie pas qu'on doit connaître et comprendre toutes les
lois existantes mais qu'on ne peut pas argumenter sur la méconnaissance
d'une loi pour s'exonérer de responsabilité.
Tsss... Le monopole de la violence légale n'a rien à voir avec
l'exercice de la force brutale.
Dans les violences sur un proche, que ce soit un parent, un enfant ou un
conjoint, il n'y a pas qu'une question de force brute : il faut prendre
aussi en compte l'emprise psychologique et l'ascendant moral.
Mais personne n'a jamais été obligé de de mettre
en couple.
Le beau raisonnement absurde!
Personne n'est obligé de se faire tuer à l'école par un fou dangereux
dont ses proches eux-mêmes n'avaient pas discerné la dangerosité, non
plus.
Personne n'est obligé de conduire sur autoroute au risque de se prendre
un chauffard remontant en sens inverse.
Personne n'est obligé de faire des gosses qui vont fourrer leurs vieux
parents en maison de retraite pour profiter de l'héritage.
Et de tous temps,
Mon prof de français collait une note en dessous de la moyenne aux
élèves qui utilisaient cette expression inapropriée dans leurs
rédactions.
En fait ça ne signifie pas qu'on doit connaître et comprendre toutes les
lois existantes mais qu'on ne peut pas argumenter sur la méconnaissance
d'une loi pour s'exonérer de responsabilité.
Tsss... Le monopole de la violence légale n'a rien à voir avec
l'exercice de la force brutale.
Dans les violences sur un proche, que ce soit un parent, un enfant ou un
conjoint, il n'y a pas qu'une question de force brute : il faut prendre
aussi en compte l'emprise psychologique et l'ascendant moral.
Mais personne n'a jamais été obligé de de mettre
en couple.
Le beau raisonnement absurde!
Personne n'est obligé de se faire tuer à l'école par un fou dangereux
dont ses proches eux-mêmes n'avaient pas discerné la dangerosité, non
plus.
Personne n'est obligé de conduire sur autoroute au risque de se prendre
un chauffard remontant en sens inverse.
Personne n'est obligé de faire des gosses qui vont fourrer leurs vieux
parents en maison de retraite pour profiter de l'héritage.
Et de tous temps,
Mon prof de français collait une note en dessous de la moyenne aux
élèves qui utilisaient cette expression inapropriée dans leurs
rédactions.
Le mien mettait un zéro et en plus frottait les oreilles de ceux qui
s’emmêlaient les pinceaux dans le nombre de p de "inapproprié".
Le mien mettait un zéro et en plus frottait les oreilles de ceux qui
s’emmêlaient les pinceaux dans le nombre de p de "inapproprié".
Le mien mettait un zéro et en plus frottait les oreilles de ceux qui
s’emmêlaient les pinceaux dans le nombre de p de "inapproprié".
Le 29/03/2012 10:57, Dominique a écrit :
>> Parles-en au législateur, qui décrète "nul ne peut se prévaloir
>> d'ignorer la loi", et fait des lois si compliquées, avec des nonobstant
>> et des "sans préjudice de l'article 178 quinquiès, alinéa 4", qu'il
>> faut un maitrise de droit pour y comprendre quelque chose.
>
> Je vous rassure, même une maîtrise de droit n'est pas toujours
> suffisante :-)
> En fait ça ne signifie pas qu'on doit connaître et comprendre toutes les
> lois existantes mais qu'on ne peut pas argumenter sur la méconnaissance
> d'une loi pour s'exonérer de responsabilité.
En fait et surtout, le législateur ne décrète nulle part que "nul ne
peut se prévaloir d'ignorer la loi". Pas besoin de maîtrise de droit
pour savoir qu'il ne s'agit que d'un adage antique, souvent ignoré par
les juges
et pilonné de fait par le Conseil Constitutionnel en 99.
> Mon prof de français collait une note en dessous de la moyenne aux
> élèves qui utilisaient cette expression inapropriée dans leurs
> rédactions.
Le mien mettait un zéro et en plus frottait les oreilles de ceux qui
s'emmêlaient les pinceaux dans le nombre de p de "inapproprié".
'Service.
Le 29/03/2012 10:57, Dominique a écrit :
>> Parles-en au législateur, qui décrète "nul ne peut se prévaloir
>> d'ignorer la loi", et fait des lois si compliquées, avec des nonobstant
>> et des "sans préjudice de l'article 178 quinquiès, alinéa 4", qu'il
>> faut un maitrise de droit pour y comprendre quelque chose.
>
> Je vous rassure, même une maîtrise de droit n'est pas toujours
> suffisante :-)
> En fait ça ne signifie pas qu'on doit connaître et comprendre toutes les
> lois existantes mais qu'on ne peut pas argumenter sur la méconnaissance
> d'une loi pour s'exonérer de responsabilité.
En fait et surtout, le législateur ne décrète nulle part que "nul ne
peut se prévaloir d'ignorer la loi". Pas besoin de maîtrise de droit
pour savoir qu'il ne s'agit que d'un adage antique, souvent ignoré par
les juges
et pilonné de fait par le Conseil Constitutionnel en 99.
> Mon prof de français collait une note en dessous de la moyenne aux
> élèves qui utilisaient cette expression inapropriée dans leurs
> rédactions.
Le mien mettait un zéro et en plus frottait les oreilles de ceux qui
s'emmêlaient les pinceaux dans le nombre de p de "inapproprié".
'Service.
Le 29/03/2012 10:57, Dominique a écrit :
>> Parles-en au législateur, qui décrète "nul ne peut se prévaloir
>> d'ignorer la loi", et fait des lois si compliquées, avec des nonobstant
>> et des "sans préjudice de l'article 178 quinquiès, alinéa 4", qu'il
>> faut un maitrise de droit pour y comprendre quelque chose.
>
> Je vous rassure, même une maîtrise de droit n'est pas toujours
> suffisante :-)
> En fait ça ne signifie pas qu'on doit connaître et comprendre toutes les
> lois existantes mais qu'on ne peut pas argumenter sur la méconnaissance
> d'une loi pour s'exonérer de responsabilité.
En fait et surtout, le législateur ne décrète nulle part que "nul ne
peut se prévaloir d'ignorer la loi". Pas besoin de maîtrise de droit
pour savoir qu'il ne s'agit que d'un adage antique, souvent ignoré par
les juges
et pilonné de fait par le Conseil Constitutionnel en 99.
> Mon prof de français collait une note en dessous de la moyenne aux
> élèves qui utilisaient cette expression inapropriée dans leurs
> rédactions.
Le mien mettait un zéro et en plus frottait les oreilles de ceux qui
s'emmêlaient les pinceaux dans le nombre de p de "inapproprié".
'Service.
Moi, c'est celui qui n'écrivait pas correctement "inappropriée".
Moi, c'est celui qui n'écrivait pas correctement "inappropriée".
Moi, c'est celui qui n'écrivait pas correctement "inappropriée".
Y a des permis pour tout, chasser, conduire, construire un cabane au fond de
son jardin, la détruire, mais se marier, se concubiner, faire des mômes, même
les plus débiles peuvent s'y coller.
Y a des permis pour tout, chasser, conduire, construire un cabane au fond de
son jardin, la détruire, mais se marier, se concubiner, faire des mômes, même
les plus débiles peuvent s'y coller.
Y a des permis pour tout, chasser, conduire, construire un cabane au fond de
son jardin, la détruire, mais se marier, se concubiner, faire des mômes, même
les plus débiles peuvent s'y coller.