Justement sur la question. ce matin reprise d'une photo qui n'avait intéressé personne dans sa version jpeg.
http://cjoint.com/?CHullMctgw8
Euh ! si c'était à l'époque (pas si ancienne) d'albert, comme ça ressemble pas mal à ses sujets mais que ce n'est tout de même pas tout à fait la même classe, le silence gêné pouvait se comprendre
Reprise avec soin depuis l'original raw et retravaillée sous zoom browser avec plusieurs versions netteté, corrections de couleur, densité, une bonne heure de travail avec des calques de couleur précise pour le fond, et le résultat :
http://cjoint.com/?CHulsoQHoIu
J'en rajoute une (c)louche. Pour la convivialité bof, par contre pour des résultats travail de l'original terminé et sauvegardé en tif puis réduit en png ou jpeg, très supérieur à la prise de vue en jpeg.* Juste pour confirmer qu'à travers la masse de procédures possibles, on prend des habitudes et on s'y retrouve...avec un peu de temps.
Il y a du terrorisme intellectuel à vouloir absolument partir du raw et affirmer que c'est toujours bien mieux. Si l'histogramme du jpeg ne déborde pas (ici, c'est un peu limite) et si ce jpeg n'est pas trop accentué par le boitier, on peut se dépatouiller fort honnêtement à partir du jpeg : http://cjoint.com/13au/CHuqWn33IBY_foret.jpg La démarche normale consiste à dégrossir le travail sous Camera Raw (ou Lightroom) et à le peaufiner sous Photoshop
J'accorde seulement qu'on puisse être plus à l'aise avec les curseurs de Camera Raw qu'avec les calques de Photoshop. C'est humain mais regrettable, car ceux-ci permettent d'aller bien plus loin et de vraiment comprendre ce que l'on fait.
Ça fait maintenant des années que j'initie des profanes complets de tous âges aux arcanes de ces calques et ces masques qui répandent tant de terreur. Jusqu'ici, je n'ai constaté aucun rejet ; la réaction la plus commune est l'émerveillement par tout ce qui devient accessible.
charles
birdy a écrit :
Justement sur la question. ce matin reprise d'une photo qui n'avait
intéressé personne dans sa version jpeg.
http://cjoint.com/?CHullMctgw8
Euh ! si c'était à l'époque (pas si ancienne) d'albert, comme ça
ressemble pas mal à ses sujets mais que ce n'est tout de même pas tout à
fait la même classe, le silence gêné pouvait se comprendre
Reprise avec soin depuis l'original raw et retravaillée sous zoom
browser avec plusieurs versions netteté, corrections de couleur,
densité, une bonne heure de travail avec des calques de couleur précise
pour le fond, et le résultat :
http://cjoint.com/?CHulsoQHoIu
J'en rajoute une (c)louche. Pour la convivialité bof, par contre pour
des résultats travail de l'original terminé et sauvegardé en tif puis
réduit en png ou jpeg, très supérieur à la prise de vue en jpeg.*
Juste pour confirmer qu'à travers la masse de procédures possibles, on
prend des habitudes et on s'y retrouve...avec un peu de temps.
Il y a du terrorisme intellectuel à vouloir absolument partir du raw et
affirmer que c'est toujours bien mieux. Si l'histogramme du jpeg ne
déborde pas (ici, c'est un peu limite) et si ce jpeg n'est pas trop
accentué par le boitier, on peut se dépatouiller fort honnêtement à
partir du jpeg : http://cjoint.com/13au/CHuqWn33IBY_foret.jpg
La démarche normale consiste à dégrossir le travail sous Camera Raw (ou
Lightroom) et à le peaufiner sous Photoshop
J'accorde seulement qu'on puisse être plus à l'aise avec les curseurs de
Camera Raw qu'avec les calques de Photoshop. C'est humain mais
regrettable, car ceux-ci permettent d'aller bien plus loin et de
vraiment comprendre ce que l'on fait.
Ça fait maintenant des années que j'initie des profanes complets de tous
âges aux arcanes de ces calques et ces masques qui répandent tant de
terreur. Jusqu'ici, je n'ai constaté aucun rejet ; la réaction la plus
commune est l'émerveillement par tout ce qui devient accessible.
Justement sur la question. ce matin reprise d'une photo qui n'avait intéressé personne dans sa version jpeg.
http://cjoint.com/?CHullMctgw8
Euh ! si c'était à l'époque (pas si ancienne) d'albert, comme ça ressemble pas mal à ses sujets mais que ce n'est tout de même pas tout à fait la même classe, le silence gêné pouvait se comprendre
Reprise avec soin depuis l'original raw et retravaillée sous zoom browser avec plusieurs versions netteté, corrections de couleur, densité, une bonne heure de travail avec des calques de couleur précise pour le fond, et le résultat :
http://cjoint.com/?CHulsoQHoIu
J'en rajoute une (c)louche. Pour la convivialité bof, par contre pour des résultats travail de l'original terminé et sauvegardé en tif puis réduit en png ou jpeg, très supérieur à la prise de vue en jpeg.* Juste pour confirmer qu'à travers la masse de procédures possibles, on prend des habitudes et on s'y retrouve...avec un peu de temps.
Il y a du terrorisme intellectuel à vouloir absolument partir du raw et affirmer que c'est toujours bien mieux. Si l'histogramme du jpeg ne déborde pas (ici, c'est un peu limite) et si ce jpeg n'est pas trop accentué par le boitier, on peut se dépatouiller fort honnêtement à partir du jpeg : http://cjoint.com/13au/CHuqWn33IBY_foret.jpg La démarche normale consiste à dégrossir le travail sous Camera Raw (ou Lightroom) et à le peaufiner sous Photoshop
J'accorde seulement qu'on puisse être plus à l'aise avec les curseurs de Camera Raw qu'avec les calques de Photoshop. C'est humain mais regrettable, car ceux-ci permettent d'aller bien plus loin et de vraiment comprendre ce que l'on fait.
Ça fait maintenant des années que j'initie des profanes complets de tous âges aux arcanes de ces calques et ces masques qui répandent tant de terreur. Jusqu'ici, je n'ai constaté aucun rejet ; la réaction la plus commune est l'émerveillement par tout ce qui devient accessible.
charles
jdanield
Le 20/08/2013 17:11, a écrit :
Il y a du terrorisme intellectuel à vouloir absolument partir du raw et affirmer que c'est toujours bien mieux. Si l'histogramme du jpeg ne déborde pas (ici, c'est un peu limite) et si ce jpeg n'est pas trop accentué par le boitier, on peut se dépatouiller fort honnêtement à partir du jpeg : http://cjoint.com/13au/CHuqWn33IBY_foret.jpg La démarche normale consiste à dégrossir le travail sous Camera Raw (ou Lightroom) et à le peaufiner sous Photoshop
disons que là le premier plan est bien mieux, mais les noirs bouchés, avec les raw il est peut-être possible d'avoir les deux (hdr?)
jdd
Le 20/08/2013 17:11, Charles_V@waou.fr a écrit :
Il y a du terrorisme intellectuel à vouloir absolument partir du raw
et affirmer que c'est toujours bien mieux. Si l'histogramme du jpeg ne
déborde pas (ici, c'est un peu limite) et si ce jpeg n'est pas trop
accentué par le boitier, on peut se dépatouiller fort honnêtement à
partir du jpeg : http://cjoint.com/13au/CHuqWn33IBY_foret.jpg
La démarche normale consiste à dégrossir le travail sous Camera Raw
(ou Lightroom) et à le peaufiner sous Photoshop
disons que là le premier plan est bien mieux, mais les noirs bouchés,
avec les raw il est peut-être possible d'avoir les deux (hdr?)
Il y a du terrorisme intellectuel à vouloir absolument partir du raw et affirmer que c'est toujours bien mieux. Si l'histogramme du jpeg ne déborde pas (ici, c'est un peu limite) et si ce jpeg n'est pas trop accentué par le boitier, on peut se dépatouiller fort honnêtement à partir du jpeg : http://cjoint.com/13au/CHuqWn33IBY_foret.jpg La démarche normale consiste à dégrossir le travail sous Camera Raw (ou Lightroom) et à le peaufiner sous Photoshop
disons que là le premier plan est bien mieux, mais les noirs bouchés, avec les raw il est peut-être possible d'avoir les deux (hdr?)
jdd
Pierre Maurette
:
[...]
Il y a du terrorisme intellectuel à vouloir absolument partir du raw et affirmer que c'est toujours bien mieux.
[...]
La démarche normale consiste à dégrossir le travail sous Camera Raw (ou Lightroom) et à le peaufiner sous Photoshop
Il me semblait. Mais ça n'implique pas de partir d'un RAW. Le fichier considéré comme brut (/raw/, en anglais) peut être un JPEG. Bridge permet d'envoyer un JPEG à Camera Raw. Je crois que Photoshop peut ouvrir les JPEG directement dans Camera Raw, mais ça me semble un choix assez radical.
J'accorde seulement qu'on puisse être plus à l'aise avec les curseurs de Camera Raw qu'avec les calques de Photoshop. C'est humain mais regrettable,
Un chouïa de terrorisme intellectuel, au moins dans le ton ?
car ceux-ci permettent d'aller bien plus loin et de vraiment comprendre ce que l'on fait.
Il est bien plus difficile à un maître de régresser à l'état dans lequel il ne comprenait pas encore qu'à un élève d'entrevoir ce que le maître comprend et lui explique. Alors soyez prudent quand vous interprêtez l'incompétence d'autrui. Quand on ambitionne de transmettre, l'état de virginité est précieux mais éphémère, et dans l'enthousiasme de son propre apprentissage, on pense rarement à en fossiliser les étapes.
Ça fait maintenant des années que j'initie des profanes complets de tous âges aux arcanes de ces calques et ces masques qui répandent tant de terreur. Jusqu'ici, je n'ai constaté aucun rejet ; la réaction la plus commune est l'émerveillement par tout ce qui devient accessible.
Peut-être au moins partiellement parce que la notion de calque, dans ses applications basiques, est tout à fait intuitive et pas si compliquée que ça ? C'est même sans doute pour cette raison qu'elle existe, en même temps et de façon non contradictoire que pour des raisons historiques, par analogie avec des techniques non informatiques.
-- Pierre Maurette
Charles_V@waou.fr :
[...]
Il y a du terrorisme intellectuel à vouloir absolument partir du raw et
affirmer que c'est toujours bien mieux.
[...]
La démarche normale consiste à dégrossir le travail sous Camera Raw (ou
Lightroom) et à le peaufiner sous Photoshop
Il me semblait. Mais ça n'implique pas de partir d'un RAW. Le fichier
considéré comme brut (/raw/, en anglais) peut être un JPEG. Bridge
permet d'envoyer un JPEG à Camera Raw. Je crois que Photoshop peut
ouvrir les JPEG directement dans Camera Raw, mais ça me semble un choix
assez radical.
J'accorde seulement qu'on puisse être plus à l'aise avec les curseurs de
Camera Raw qu'avec les calques de Photoshop. C'est humain mais regrettable,
Un chouïa de terrorisme intellectuel, au moins dans le ton ?
car ceux-ci permettent d'aller bien plus loin et de vraiment comprendre ce
que l'on fait.
Il est bien plus difficile à un maître de régresser à l'état dans
lequel il ne comprenait pas encore qu'à un élève d'entrevoir ce que le
maître comprend et lui explique. Alors soyez prudent quand vous
interprêtez l'incompétence d'autrui. Quand on ambitionne de
transmettre, l'état de virginité est précieux mais éphémère, et dans
l'enthousiasme de son propre apprentissage, on pense rarement à en
fossiliser les étapes.
Ça fait maintenant des années que j'initie des profanes complets de tous âges
aux arcanes de ces calques et ces masques qui répandent tant de terreur.
Jusqu'ici, je n'ai constaté aucun rejet ; la réaction la plus commune est
l'émerveillement par tout ce qui devient accessible.
Peut-être au moins partiellement parce que la notion de calque, dans
ses applications basiques, est tout à fait intuitive et pas si
compliquée que ça ? C'est même sans doute pour cette raison qu'elle
existe, en même temps et de façon non contradictoire que pour des
raisons historiques, par analogie avec des techniques non
informatiques.
Il y a du terrorisme intellectuel à vouloir absolument partir du raw et affirmer que c'est toujours bien mieux.
[...]
La démarche normale consiste à dégrossir le travail sous Camera Raw (ou Lightroom) et à le peaufiner sous Photoshop
Il me semblait. Mais ça n'implique pas de partir d'un RAW. Le fichier considéré comme brut (/raw/, en anglais) peut être un JPEG. Bridge permet d'envoyer un JPEG à Camera Raw. Je crois que Photoshop peut ouvrir les JPEG directement dans Camera Raw, mais ça me semble un choix assez radical.
J'accorde seulement qu'on puisse être plus à l'aise avec les curseurs de Camera Raw qu'avec les calques de Photoshop. C'est humain mais regrettable,
Un chouïa de terrorisme intellectuel, au moins dans le ton ?
car ceux-ci permettent d'aller bien plus loin et de vraiment comprendre ce que l'on fait.
Il est bien plus difficile à un maître de régresser à l'état dans lequel il ne comprenait pas encore qu'à un élève d'entrevoir ce que le maître comprend et lui explique. Alors soyez prudent quand vous interprêtez l'incompétence d'autrui. Quand on ambitionne de transmettre, l'état de virginité est précieux mais éphémère, et dans l'enthousiasme de son propre apprentissage, on pense rarement à en fossiliser les étapes.
Ça fait maintenant des années que j'initie des profanes complets de tous âges aux arcanes de ces calques et ces masques qui répandent tant de terreur. Jusqu'ici, je n'ai constaté aucun rejet ; la réaction la plus commune est l'émerveillement par tout ce qui devient accessible.
Peut-être au moins partiellement parce que la notion de calque, dans ses applications basiques, est tout à fait intuitive et pas si compliquée que ça ? C'est même sans doute pour cette raison qu'elle existe, en même temps et de façon non contradictoire que pour des raisons historiques, par analogie avec des techniques non informatiques.
-- Pierre Maurette
Ghost-Rider
Le 20/08/2013 17:11, a écrit :
birdy a écrit :
http://cjoint.com/?CHullMctgw8
Elle est très bien cette photo, que lui reproche-t-on ?
Euh ! si c'était à l'époque (pas si ancienne) d'albert, comme ça ressemble pas mal à ses sujets mais que ce n'est tout de même pas tout à fait la même classe, le silence gêné pouvait se comprendre
Reprise avec soin depuis l'original raw et retravaillée sous zoom browser avec plusieurs versions netteté, corrections de couleur, densité, une bonne heure de travail avec des calques de couleur précise pour le fond, et le résultat :
http://cjoint.com/?CHulsoQHoIu
Inaccessible.
Il y a du terrorisme intellectuel à vouloir absolument partir du raw et affirmer que c'est toujours bien mieux. Si l'histogramme du jpeg ne déborde pas (ici, c'est un peu limite) et si ce jpeg n'est pas trop accentué par le boitier, on peut se dépatouiller fort honnêtement à partir du jpeg : http://cjoint.com/13au/CHuqWn33IBY_foret.jpg
C'est un peu mieux quand même.
La démarche normale consiste à dégrossir le travail sous Camera Raw (ou Lightroom) et à le peaufiner sous Photoshop
J'accorde seulement qu'on puisse être plus à l'aise avec les curseurs de Camera Raw qu'avec les calques de Photoshop. C'est humain mais regrettable, car ceux-ci permettent d'aller bien plus loin et de vraiment comprendre ce que l'on fait.
Les curseurs de Picasa sont encore mieux, tout dans la nuance la plus subtile. http://cjoint.com/13au/CHusoI6gUeq_chullmctgw8_sans_titre-011.jpg
Le 20/08/2013 17:11, Charles_V@waou.fr a écrit :
birdy a écrit :
http://cjoint.com/?CHullMctgw8
Elle est très bien cette photo, que lui reproche-t-on ?
Euh ! si c'était à l'époque (pas si ancienne) d'albert, comme ça
ressemble pas mal à ses sujets mais que ce n'est tout de même pas tout à
fait la même classe, le silence gêné pouvait se comprendre
Reprise avec soin depuis l'original raw et retravaillée sous zoom
browser avec plusieurs versions netteté, corrections de couleur,
densité, une bonne heure de travail avec des calques de couleur précise
pour le fond, et le résultat :
http://cjoint.com/?CHulsoQHoIu
Inaccessible.
Il y a du terrorisme intellectuel à vouloir absolument partir du raw et
affirmer que c'est toujours bien mieux. Si l'histogramme du jpeg ne
déborde pas (ici, c'est un peu limite) et si ce jpeg n'est pas trop
accentué par le boitier, on peut se dépatouiller fort honnêtement à
partir du jpeg : http://cjoint.com/13au/CHuqWn33IBY_foret.jpg
C'est un peu mieux quand même.
La démarche normale consiste à dégrossir le travail sous Camera Raw (ou
Lightroom) et à le peaufiner sous Photoshop
J'accorde seulement qu'on puisse être plus à l'aise avec les curseurs de
Camera Raw qu'avec les calques de Photoshop. C'est humain mais
regrettable, car ceux-ci permettent d'aller bien plus loin et de
vraiment comprendre ce que l'on fait.
Les curseurs de Picasa sont encore mieux, tout dans la nuance la plus
subtile.
http://cjoint.com/13au/CHusoI6gUeq_chullmctgw8_sans_titre-011.jpg
Elle est très bien cette photo, que lui reproche-t-on ?
Euh ! si c'était à l'époque (pas si ancienne) d'albert, comme ça ressemble pas mal à ses sujets mais que ce n'est tout de même pas tout à fait la même classe, le silence gêné pouvait se comprendre
Reprise avec soin depuis l'original raw et retravaillée sous zoom browser avec plusieurs versions netteté, corrections de couleur, densité, une bonne heure de travail avec des calques de couleur précise pour le fond, et le résultat :
http://cjoint.com/?CHulsoQHoIu
Inaccessible.
Il y a du terrorisme intellectuel à vouloir absolument partir du raw et affirmer que c'est toujours bien mieux. Si l'histogramme du jpeg ne déborde pas (ici, c'est un peu limite) et si ce jpeg n'est pas trop accentué par le boitier, on peut se dépatouiller fort honnêtement à partir du jpeg : http://cjoint.com/13au/CHuqWn33IBY_foret.jpg
C'est un peu mieux quand même.
La démarche normale consiste à dégrossir le travail sous Camera Raw (ou Lightroom) et à le peaufiner sous Photoshop
J'accorde seulement qu'on puisse être plus à l'aise avec les curseurs de Camera Raw qu'avec les calques de Photoshop. C'est humain mais regrettable, car ceux-ci permettent d'aller bien plus loin et de vraiment comprendre ce que l'on fait.
Les curseurs de Picasa sont encore mieux, tout dans la nuance la plus subtile. http://cjoint.com/13au/CHusoI6gUeq_chullmctgw8_sans_titre-011.jpg
Charles_V
jdanield a écrit :
Le 20/08/2013 17:11, a écrit :
on peut se dépatouiller fort honnêtement à partir du jpeg : http://cjoint.com/13au/CHuqWn33IBY_foret.jpg
disons que là le premier plan est bien mieux, mais les noirs bouchés, avec les raw il est peut-être possible d'avoir les deux (hdr?)
Noirs bouchés ? Qu'entends-tu par là ? Les histogrammes RVB démarrent bien gentiment à zéro -- ou presque -- sur la gauche. La cartographie des points les plus sombres donne ceci http://cjoint.com/13au/CHutf1C98XO_aplats.jpg Pas d'aplat noir. Des points sombres, oui, mais fort acceptables dans une image prise sous le soleil, que certes on pourrait éclaircir, mais qui à mon avis n'en valent pas la peine.
Attention, la palette "histogramme" de Photoshop n'est pas très fiable. Elle laisse effectivement craindre des aplats noirs http://cjoint.com/13au/CHutDrsUzoe_histogramme.jpg alors que les histogrammes affichés dans les réglages de niveaux ou de courbes indiquent des points à 0 beaucoup moins nombreux
A noter que même si aucun des 3 histogrammes ne démarre à zéro sur la gauche, on n'a pas automatiquement des points noirs : il faut pour cela que les 3 composantes RVB s'annulent simultanément. Et pour former un aplat noir, il faut que ces points noirs soient jointifs, ce qui n'est pas non plus une fatalité. On n'en a le c½ur net que sur un réglage ne niveaux ou par courbe avec un ALT-clic sur le curseur des noirs (ça donne la cartographie de mon premier lien)
Charles
jdanield a écrit :
Le 20/08/2013 17:11, Charles_V@waou.fr a écrit :
on peut se dépatouiller fort honnêtement à
partir du jpeg : http://cjoint.com/13au/CHuqWn33IBY_foret.jpg
disons que là le premier plan est bien mieux, mais les noirs bouchés,
avec les raw il est peut-être possible d'avoir les deux (hdr?)
Noirs bouchés ? Qu'entends-tu par là ? Les histogrammes RVB démarrent
bien gentiment à zéro -- ou presque -- sur la gauche. La cartographie
des points les plus sombres donne ceci
http://cjoint.com/13au/CHutf1C98XO_aplats.jpg
Pas d'aplat noir. Des points sombres, oui, mais fort acceptables dans
une image prise sous le soleil, que certes on pourrait éclaircir, mais
qui à mon avis n'en valent pas la peine.
Attention, la palette "histogramme" de Photoshop n'est pas très fiable.
Elle laisse effectivement craindre des aplats noirs
http://cjoint.com/13au/CHutDrsUzoe_histogramme.jpg
alors que les histogrammes affichés dans les réglages de niveaux ou de
courbes indiquent des points à 0 beaucoup moins nombreux
A noter que même si aucun des 3 histogrammes ne démarre à zéro sur la
gauche, on n'a pas automatiquement des points noirs : il faut pour cela
que les 3 composantes RVB s'annulent simultanément. Et pour former un
aplat noir, il faut que ces points noirs soient jointifs, ce qui n'est
pas non plus une fatalité. On n'en a le c½ur net que sur un réglage ne
niveaux ou par courbe avec un ALT-clic sur le curseur des noirs (ça
donne la cartographie de mon premier lien)
on peut se dépatouiller fort honnêtement à partir du jpeg : http://cjoint.com/13au/CHuqWn33IBY_foret.jpg
disons que là le premier plan est bien mieux, mais les noirs bouchés, avec les raw il est peut-être possible d'avoir les deux (hdr?)
Noirs bouchés ? Qu'entends-tu par là ? Les histogrammes RVB démarrent bien gentiment à zéro -- ou presque -- sur la gauche. La cartographie des points les plus sombres donne ceci http://cjoint.com/13au/CHutf1C98XO_aplats.jpg Pas d'aplat noir. Des points sombres, oui, mais fort acceptables dans une image prise sous le soleil, que certes on pourrait éclaircir, mais qui à mon avis n'en valent pas la peine.
Attention, la palette "histogramme" de Photoshop n'est pas très fiable. Elle laisse effectivement craindre des aplats noirs http://cjoint.com/13au/CHutDrsUzoe_histogramme.jpg alors que les histogrammes affichés dans les réglages de niveaux ou de courbes indiquent des points à 0 beaucoup moins nombreux
A noter que même si aucun des 3 histogrammes ne démarre à zéro sur la gauche, on n'a pas automatiquement des points noirs : il faut pour cela que les 3 composantes RVB s'annulent simultanément. Et pour former un aplat noir, il faut que ces points noirs soient jointifs, ce qui n'est pas non plus une fatalité. On n'en a le c½ur net que sur un réglage ne niveaux ou par courbe avec un ALT-clic sur le curseur des noirs (ça donne la cartographie de mon premier lien)
Charles
Charles_V
Ghost-Rider a écrit :
Le 20/08/2013 17:11, a écrit :
on peut se dépatouiller fort honnêtement à partir du jpeg : http://cjoint.com/13au/CHuqWn33IBY_foret.jpg
Les curseurs de Picasa sont encore mieux, tout dans la nuance la plus subtile. http://cjoint.com/13au/CHusoI6gUeq_chullmctgw8_sans_titre-011.jpg
Je ne discuterai pas ton goût des nuances.
En fait, ce que tu as fait dans Picasa ne doit pas différer beaucoup des réglages basiques que j'ai pratiqués dans Photoshop, à la récupération près des tons les plus clairs sur les troncs, que tu as laissés à la limite de la surexposition (mais je pense que ce réglage existe aussi dans Picasa). Ce sur quoi j'insistais est qu'un jpeg pas trop mal foutu (et ça arrive très souvent!) était un point de départ très honorable pour le peaufinage d'une image, ; on n'est pas obligé de toujours repartir du raw.
charles
Ghost-Rider a écrit :
Le 20/08/2013 17:11, Charles_V@waou.fr a écrit :
on peut se dépatouiller fort honnêtement à
partir du jpeg : http://cjoint.com/13au/CHuqWn33IBY_foret.jpg
Les curseurs de Picasa sont encore mieux, tout dans la nuance la plus
subtile.
http://cjoint.com/13au/CHusoI6gUeq_chullmctgw8_sans_titre-011.jpg
Je ne discuterai pas ton goût des nuances.
En fait, ce que tu as fait dans Picasa ne doit pas différer beaucoup des
réglages basiques que j'ai pratiqués dans Photoshop, à la récupération
près des tons les plus clairs sur les troncs, que tu as laissés à la
limite de la surexposition (mais je pense que ce réglage existe aussi
dans Picasa). Ce sur quoi j'insistais est qu'un jpeg pas trop mal foutu
(et ça arrive très souvent!) était un point de départ très honorable
pour le peaufinage d'une image, ; on n'est pas obligé de toujours
repartir du raw.
on peut se dépatouiller fort honnêtement à partir du jpeg : http://cjoint.com/13au/CHuqWn33IBY_foret.jpg
Les curseurs de Picasa sont encore mieux, tout dans la nuance la plus subtile. http://cjoint.com/13au/CHusoI6gUeq_chullmctgw8_sans_titre-011.jpg
Je ne discuterai pas ton goût des nuances.
En fait, ce que tu as fait dans Picasa ne doit pas différer beaucoup des réglages basiques que j'ai pratiqués dans Photoshop, à la récupération près des tons les plus clairs sur les troncs, que tu as laissés à la limite de la surexposition (mais je pense que ce réglage existe aussi dans Picasa). Ce sur quoi j'insistais est qu'un jpeg pas trop mal foutu (et ça arrive très souvent!) était un point de départ très honorable pour le peaufinage d'une image, ; on n'est pas obligé de toujours repartir du raw.
charles
Ghost-Rider
Le 20/08/2013 19:46, a écrit :
Ghost-Rider a écrit :
Le 20/08/2013 17:11, a écrit :
on peut se dépatouiller fort honnêtement à partir du jpeg : http://cjoint.com/13au/CHuqWn33IBY_foret.jpg
Les curseurs de Picasa sont encore mieux, tout dans la nuance la plus subtile. http://cjoint.com/13au/CHusoI6gUeq_chullmctgw8_sans_titre-011.jpg
Je ne discuterai pas ton goût des nuances. En fait, ce que tu as fait dans Picasa ne doit pas différer beaucoup des réglages basiques que j'ai pratiqués dans Photoshop, à la récupération près des tons les plus clairs sur les troncs, que tu as laissés à la limite de la surexposition (mais je pense que ce réglage existe aussi dans Picasa). Ce sur quoi j'insistais est qu'un jpeg pas trop mal foutu (et ça arrive très souvent!) était un point de départ très honorable pour le peaufinage d'une image, ; on n'est pas obligé de toujours repartir du raw.
Absolument, du reste, j'ai à peine mu les curseurs de Picasa pour faire croire que j'y connais quelque chose. Ce que tu dis des raw, je le partage entièrement. Je dirais même plus : une photo qui a besoin d'être en raw pour être récupérée a toutes chances d'être une mauvaise photo (mais précieuse peut-être). C'est pour ça que je ne fais jamais de raw, je tiens à ne faire que de bonnes photos. Avec le jpg, je suis bien forcé. Le raw, au fond, c'est la facilité des paresseux.
Le 20/08/2013 19:46, Charles_V@waou.fr a écrit :
Ghost-Rider a écrit :
Le 20/08/2013 17:11, Charles_V@waou.fr a écrit :
on peut se dépatouiller fort honnêtement à
partir du jpeg : http://cjoint.com/13au/CHuqWn33IBY_foret.jpg
Les curseurs de Picasa sont encore mieux, tout dans la nuance la plus
subtile.
http://cjoint.com/13au/CHusoI6gUeq_chullmctgw8_sans_titre-011.jpg
Je ne discuterai pas ton goût des nuances.
En fait, ce que tu as fait dans Picasa ne doit pas différer beaucoup des
réglages basiques que j'ai pratiqués dans Photoshop, à la récupération
près des tons les plus clairs sur les troncs, que tu as laissés à la
limite de la surexposition (mais je pense que ce réglage existe aussi
dans Picasa). Ce sur quoi j'insistais est qu'un jpeg pas trop mal foutu
(et ça arrive très souvent!) était un point de départ très honorable
pour le peaufinage d'une image, ; on n'est pas obligé de toujours
repartir du raw.
Absolument, du reste, j'ai à peine mu les curseurs de Picasa pour faire
croire que j'y connais quelque chose.
Ce que tu dis des raw, je le partage entièrement. Je dirais même plus :
une photo qui a besoin d'être en raw pour être récupérée a toutes
chances d'être une mauvaise photo (mais précieuse peut-être).
C'est pour ça que je ne fais jamais de raw, je tiens à ne faire que de
bonnes photos. Avec le jpg, je suis bien forcé.
Le raw, au fond, c'est la facilité des paresseux.
on peut se dépatouiller fort honnêtement à partir du jpeg : http://cjoint.com/13au/CHuqWn33IBY_foret.jpg
Les curseurs de Picasa sont encore mieux, tout dans la nuance la plus subtile. http://cjoint.com/13au/CHusoI6gUeq_chullmctgw8_sans_titre-011.jpg
Je ne discuterai pas ton goût des nuances. En fait, ce que tu as fait dans Picasa ne doit pas différer beaucoup des réglages basiques que j'ai pratiqués dans Photoshop, à la récupération près des tons les plus clairs sur les troncs, que tu as laissés à la limite de la surexposition (mais je pense que ce réglage existe aussi dans Picasa). Ce sur quoi j'insistais est qu'un jpeg pas trop mal foutu (et ça arrive très souvent!) était un point de départ très honorable pour le peaufinage d'une image, ; on n'est pas obligé de toujours repartir du raw.
Absolument, du reste, j'ai à peine mu les curseurs de Picasa pour faire croire que j'y connais quelque chose. Ce que tu dis des raw, je le partage entièrement. Je dirais même plus : une photo qui a besoin d'être en raw pour être récupérée a toutes chances d'être une mauvaise photo (mais précieuse peut-être). C'est pour ça que je ne fais jamais de raw, je tiens à ne faire que de bonnes photos. Avec le jpg, je suis bien forcé. Le raw, au fond, c'est la facilité des paresseux.
jdanield
Le 20/08/2013 19:37, a écrit :
Noirs bouchés ? Qu'entends-tu par là ?
dans la photo originale on voit très bien les détails dans les ombres, on ne les vois plus dans les autres
Les histogrammes RVB démarrent
pas besoin d'histogrammes, il suffit de regarder l'image...
jdd
Le 20/08/2013 19:37, Charles_V@waou.fr a écrit :
Noirs bouchés ? Qu'entends-tu par là ?
dans la photo originale on voit très bien les détails dans les ombres,
on ne les vois plus dans les autres
Les histogrammes RVB démarrent
pas besoin d'histogrammes, il suffit de regarder l'image...
dans la photo originale on voit très bien les détails dans les ombres, on ne les vois plus dans les autres
Les histogrammes RVB démarrent
pas besoin d'histogrammes, il suffit de regarder l'image...
jdd
Charles_V
Ghost-Rider a écrit :
Absolument, du reste, j'ai à peine mu les curseurs de Picasa pour faire croire que j'y connais quelque chose. Ce que tu dis des raw, je le partage entièrement. Je dirais même plus : une photo qui a besoin d'être en raw pour être récupérée a toutes chances d'être une mauvaise photo (mais précieuse peut-être). C'est pour ça que je ne fais jamais de raw, je tiens à ne faire que de bonnes photos. Avec le jpg, je suis bien forcé. Le raw, au fond, c'est la facilité des paresseux.
Ne me fais pas dire ce que je ne dis pas.
Il y a des conditions d'éclairage qui font qu'un jpg bouzille soit les tons clairs, soit les sombres. Le raw sera alors précieux. L'ennui (pour les paresseux) est que ce sont généralement ces éclairages qui sont les plus intéressants.
charles
Ghost-Rider a écrit :
Absolument, du reste, j'ai à peine mu les curseurs de Picasa pour faire
croire que j'y connais quelque chose.
Ce que tu dis des raw, je le partage entièrement. Je dirais même plus :
une photo qui a besoin d'être en raw pour être récupérée a toutes
chances d'être une mauvaise photo (mais précieuse peut-être).
C'est pour ça que je ne fais jamais de raw, je tiens à ne faire que de
bonnes photos. Avec le jpg, je suis bien forcé.
Le raw, au fond, c'est la facilité des paresseux.
Ne me fais pas dire ce que je ne dis pas.
Il y a des conditions d'éclairage qui font qu'un jpg bouzille soit les
tons clairs, soit les sombres. Le raw sera alors précieux. L'ennui (pour
les paresseux) est que ce sont généralement ces éclairages qui sont les
plus intéressants.
Absolument, du reste, j'ai à peine mu les curseurs de Picasa pour faire croire que j'y connais quelque chose. Ce que tu dis des raw, je le partage entièrement. Je dirais même plus : une photo qui a besoin d'être en raw pour être récupérée a toutes chances d'être une mauvaise photo (mais précieuse peut-être). C'est pour ça que je ne fais jamais de raw, je tiens à ne faire que de bonnes photos. Avec le jpg, je suis bien forcé. Le raw, au fond, c'est la facilité des paresseux.
Ne me fais pas dire ce que je ne dis pas.
Il y a des conditions d'éclairage qui font qu'un jpg bouzille soit les tons clairs, soit les sombres. Le raw sera alors précieux. L'ennui (pour les paresseux) est que ce sont généralement ces éclairages qui sont les plus intéressants.