faut penser à ceux qui matent le foot en VF sur TF1 quand ils passent sur la 3 vaut mieux que ca reste en VF
analogue a écrit dans le message de news:42683e13$0$3866$
C'est si difficile que ca de lire des sous-titres ? Comment font les pays qui ne peuvent pas se payer de doublage ? Ou encore les chaines chinoises sous-titrées en cantonnais ?
quel rapport cette nouvelle argumentation avec ce que tu affirmais au depart ? en france on peut avoir du doublage sur les films. alors pourquoi s'en priver sous pretexte que dans d'autres pays il n'y a pas ce luxe ? je dirais que tu as moins de 25 ans ?
-- stella
analogue <analogue@glop.org> a écrit dans le message de
news:42683e13$0$3866$636a15ce@news.free.fr..
C'est si difficile que ca de lire des sous-titres ?
Comment font les pays qui ne peuvent pas se payer de doublage ?
Ou encore les chaines chinoises sous-titrées en cantonnais ?
quel rapport cette nouvelle argumentation avec ce que tu affirmais au depart
? en france on peut avoir du doublage sur les films. alors pourquoi s'en
priver sous pretexte que dans d'autres pays il n'y a pas ce luxe ? je dirais
que tu as moins de 25 ans ?
analogue a écrit dans le message de news:42683e13$0$3866$
C'est si difficile que ca de lire des sous-titres ? Comment font les pays qui ne peuvent pas se payer de doublage ? Ou encore les chaines chinoises sous-titrées en cantonnais ?
quel rapport cette nouvelle argumentation avec ce que tu affirmais au depart ? en france on peut avoir du doublage sur les films. alors pourquoi s'en priver sous pretexte que dans d'autres pays il n'y a pas ce luxe ? je dirais que tu as moins de 25 ans ?
-- stella
Benjamin FRANCOIS a écrit dans le message de news:
Il est vrai que savoir lire relève du génie. Fou, hein.
savoir lire et comprendre l'anglais et de capter en meme temps les intonations de presque toutes les langues parlees, cela apres trois ou quatre films visionnes dans les langues respectives, tout cela dans un cerveau d'une personne ayant un age mental inferieur a celui d'un adolescent ordinaire, oui ce type est un genie
-- stella
Benjamin FRANCOIS <kwyxz@kwyxz.org> a écrit dans le message de
news:slrnd6heqi.co.kwyxz@grumpf.kwyxz.org..
Il est vrai que savoir lire relève du génie. Fou, hein.
savoir lire et comprendre l'anglais et de capter en meme temps les
intonations de presque toutes les langues parlees, cela apres trois ou
quatre films visionnes dans les langues respectives, tout cela dans un
cerveau d'une personne ayant un age mental inferieur a celui d'un adolescent
ordinaire, oui ce type est un genie
Benjamin FRANCOIS a écrit dans le message de news:
Il est vrai que savoir lire relève du génie. Fou, hein.
savoir lire et comprendre l'anglais et de capter en meme temps les intonations de presque toutes les langues parlees, cela apres trois ou quatre films visionnes dans les langues respectives, tout cela dans un cerveau d'une personne ayant un age mental inferieur a celui d'un adolescent ordinaire, oui ce type est un genie
-- stella
lorenzo
Gromit wrote:
> Le mieux, c'est peut-être de laisser les gens voir le film ce soir > plutôt que de tout leur expliquer quelques heures. Les gens ont droit à > un sursis, non ?
C'est bien pourquoi, j'ai mis la balise "Spoliers" (ok, j'ai oublié le"i" ;o), ce que les précédents posteurs avaient tous oublié. Bien sûr, il faut d'abord voir le film et tout découvrir par soi-même. Ma réponse était destiné à ceux qui avaient déjà vu le film et disaient qu'ils n'avaient rien compris.
Après être tombé hier sur un site consacré au film, très riche en analyses et en recoupement, voici un petit résumé (chronologique) de ce qui s'est grosso modo passé "en vrai" (enfin façon de parler).
Diane est une aspirante actrice. Elle vient du Canada, près de la frontière avec les USA (cf Twin Peaks). Elle est arrivée à Hollywood après avoir hérité de sa tante. Ce qui la fait espérer, c'est qu'elle est "douée" pour le spectacle, vu qu'elle a remporté un concours de danse (celui fantasmé dans la séquence pré-générique). En fait, différents indices font déjà douter de cette version. Il est possible par exemple que Diane ait été victime d'attouchements sexuels dans sa jeunesse de la part d'un parent (son oncle ? son grand père ?) et que l'héritage ait été la contre-partie du fait qu'elle ait accepté de garder le silence (cf le club Silencio, les petits vieux de l'aéroport qui deviennent figures maléfiques, le comportement de Diane elle-même qui reproduirait ce dont elle a été victime, "The Sylvia North Story", transposition d'un film existant sur une telle victime, "Sylvia", la scène jouée lors de l'audition où elle séduit "un grand ami du père", etc.) Une fois arrivée à Hollywood, Diane postule pour différents rôles. Elle ne fait que de la figuration. Elle emménage dans un bungalow où elle aura comme colocataire une Camilla Rhodes, actrice ambitieuse, dont la carrière décolle vite. Elles sont amantes. Camilla devient vite possessive, dominatrice. Elles "rompent". Diane aura une liaison sans lendemain avec sa nouvelle co-locataire. De son côté, Camilla a déjà séduit Adam Kesher, réalisateur de son dernier film, lui-même fraichement divorcé. Elle humilie encore Diane en l'invitant à une soirée où les fiançailles sont annoncées et où Diane comprend en plus que Camilla l'a remplacée par une autre femme. La soirée est une série de déceptions et de tortures pour Diane, qui comprend qu'elle n'arrivera jamais à rien. Diane lance alors un contrat sur Camilla auprès d'un tueur à gages rencontré dans une cafétéria. Une fois que le contrat sera accompli, ce dernier déposera une clé bleue comme "signal" de réussite.
Après s'être résolue à cet assassinat, Diane prend probablement des médicaments plus ou moins légaux et s'abat sur son lit (début du film). Dans son délire, elle s'invente une histoire, mélangeant son expérience passée et un fantasme sur le fait que Camilla aurait survécu et serait amnésique. Dans cette histoire, "Betty" débarquerait bourrée de talent à Hollywood et "Rita" serait alors soumise à sa volonté. Il y a bien une dénommée Camilla mais c'est une blondasse sans grand talent imposée par des mafieux. Et il y a bien une "Diane" dont on se souvient mais c'est un cadavre que Betty et Rita trouvent dans le bungalow où Diane habite. Rita est toujours poursuivie sans que la menace soit très présente. Le principal mécanisme à l'oeuvre dans cette partie du film, c'est que Diane multiplie en fait les figures de doubles fictifs. Le prénom "Betty" est déjà celui d'une serveuse de la cafétéria qui lui ressemble vaguement (et qui s'appelle Diane dans le rêve de Diane). Tante Ruth est une projection positive et vieillie, une actrice qui a réussi. On aurait aussi la prostituée (préfiguration de la déchéance de Diane, qui a dépensé toute sa fortune dans le contrat), la figure du clochard (en fait, une clocharde, autre préfiguration que Diane mettra du temps à assimiler) et évidemment cette Diane Selwyn, cadavre en décomposition que Betty et Rita trouvent dans le bungalow. Progressivement, la chimère de Diane se désagrège. Des signes de la réalité apparaissent (les sonneries du téléphone), des éléments "négatifs" signalent l'échec passé de Diane (une autre actrice aura le rôle). Le fait que la relation entre Betty et Rita soit consommée puis leur passage au club Silencio, où tout tourne autour du thème du simulacre, de l'illusion et du non-dit sont à la fois un dernier sursaut du fantasme de Diane et un retour à une réalité.
Diane finit par sortir de sa chimère, se lève du lit. Elle discute brièvement avec sa dernière amante, avec laquelle elle a rompu. Elle essaye de revenir à la réalité, se masturbe en pensant à Camilla. Toutefois, la clé bleue est désormais dans son bungalow, signe que Camilla est morte. Ses souvenirs passés lui reviennent sous forme de flashs de plus en plus précis. Elle se remémore encore la soirée chez le réalisateur Adam Kesher. Le sentiment d'échec est ensuite complet. Elle a de nouveau des hallucinations, rapides, où différentes figures qu'elle avait inventées/recombinées reviennent la narguer. Diane finit par se suicider. Dernier plan sur la dame aux cheveux bleus du Club Silencio, signalant que le silence a fini par l'emporter... ou que le spectateur a fini d'assister au spectacle fictif !
-- François Kahn
Gromit <gromit@62westwallabystr.invalid> wrote:
> Le mieux, c'est peut-être de laisser les gens voir le film ce soir
> plutôt que de tout leur expliquer quelques heures. Les gens ont droit à
> un sursis, non ?
C'est bien pourquoi, j'ai mis la balise "Spoliers" (ok, j'ai oublié
le"i" ;o), ce que les précédents posteurs avaient tous oublié. Bien sûr,
il faut d'abord voir le film et tout découvrir par soi-même. Ma réponse
était destiné à ceux qui avaient déjà vu le film et disaient qu'ils
n'avaient rien compris.
Après être tombé hier sur un site consacré au film, très riche en
analyses et en recoupement, voici un petit résumé (chronologique) de ce
qui s'est grosso modo passé "en vrai" (enfin façon de parler).
Diane est une aspirante actrice. Elle vient du Canada, près de la
frontière avec les USA (cf Twin Peaks). Elle est arrivée à Hollywood
après avoir hérité de sa tante. Ce qui la fait espérer, c'est qu'elle
est "douée" pour le spectacle, vu qu'elle a remporté un concours de
danse (celui fantasmé dans la séquence pré-générique).
En fait, différents indices font déjà douter de cette version. Il est
possible par exemple que Diane ait été victime d'attouchements sexuels
dans sa jeunesse de la part d'un parent (son oncle ? son grand père ?)
et que l'héritage ait été la contre-partie du fait qu'elle ait accepté
de garder le silence (cf le club Silencio, les petits vieux de
l'aéroport qui deviennent figures maléfiques, le comportement de Diane
elle-même qui reproduirait ce dont elle a été victime, "The Sylvia North
Story", transposition d'un film existant sur une telle victime,
"Sylvia", la scène jouée lors de l'audition où elle séduit "un grand ami
du père", etc.)
Une fois arrivée à Hollywood, Diane postule pour différents rôles. Elle
ne fait que de la figuration. Elle emménage dans un bungalow où elle
aura comme colocataire une Camilla Rhodes, actrice ambitieuse, dont la
carrière décolle vite. Elles sont amantes. Camilla devient vite
possessive, dominatrice. Elles "rompent". Diane aura une liaison sans
lendemain avec sa nouvelle co-locataire.
De son côté, Camilla a déjà séduit Adam Kesher, réalisateur de son
dernier film, lui-même fraichement divorcé. Elle humilie encore Diane en
l'invitant à une soirée où les fiançailles sont annoncées et où Diane
comprend en plus que Camilla l'a remplacée par une autre femme. La
soirée est une série de déceptions et de tortures pour Diane, qui
comprend qu'elle n'arrivera jamais à rien.
Diane lance alors un contrat sur Camilla auprès d'un tueur à gages
rencontré dans une cafétéria. Une fois que le contrat sera accompli, ce
dernier déposera une clé bleue comme "signal" de réussite.
Après s'être résolue à cet assassinat, Diane prend probablement des
médicaments plus ou moins légaux et s'abat sur son lit (début du film).
Dans son délire, elle s'invente une histoire, mélangeant son expérience
passée et un fantasme sur le fait que Camilla aurait survécu et serait
amnésique. Dans cette histoire, "Betty" débarquerait bourrée de talent à
Hollywood et "Rita" serait alors soumise à sa volonté.
Il y a bien une dénommée Camilla mais c'est une blondasse sans grand
talent imposée par des mafieux. Et il y a bien une "Diane" dont on se
souvient mais c'est un cadavre que Betty et Rita trouvent dans le
bungalow où Diane habite. Rita est toujours poursuivie sans que la
menace soit très présente.
Le principal mécanisme à l'oeuvre dans cette partie du film, c'est que
Diane multiplie en fait les figures de doubles fictifs. Le prénom
"Betty" est déjà celui d'une serveuse de la cafétéria qui lui ressemble
vaguement (et qui s'appelle Diane dans le rêve de Diane). Tante Ruth est
une projection positive et vieillie, une actrice qui a réussi. On aurait
aussi la prostituée (préfiguration de la déchéance de Diane, qui a
dépensé toute sa fortune dans le contrat), la figure du clochard (en
fait, une clocharde, autre préfiguration que Diane mettra du temps à
assimiler) et évidemment cette Diane Selwyn, cadavre en décomposition
que Betty et Rita trouvent dans le bungalow.
Progressivement, la chimère de Diane se désagrège. Des signes de la
réalité apparaissent (les sonneries du téléphone), des éléments
"négatifs" signalent l'échec passé de Diane (une autre actrice aura le
rôle). Le fait que la relation entre Betty et Rita soit consommée puis
leur passage au club Silencio, où tout tourne autour du thème du
simulacre, de l'illusion et du non-dit sont à la fois un dernier sursaut
du fantasme de Diane et un retour à une réalité.
Diane finit par sortir de sa chimère, se lève du lit. Elle discute
brièvement avec sa dernière amante, avec laquelle elle a rompu. Elle
essaye de revenir à la réalité, se masturbe en pensant à Camilla.
Toutefois, la clé bleue est désormais dans son bungalow, signe que
Camilla est morte.
Ses souvenirs passés lui reviennent sous forme de flashs de plus en plus
précis. Elle se remémore encore la soirée chez le réalisateur Adam
Kesher.
Le sentiment d'échec est ensuite complet. Elle a de nouveau des
hallucinations, rapides, où différentes figures qu'elle avait
inventées/recombinées reviennent la narguer. Diane finit par se
suicider. Dernier plan sur la dame aux cheveux bleus du Club Silencio,
signalant que le silence a fini par l'emporter... ou que le spectateur a
fini d'assister au spectacle fictif !
> Le mieux, c'est peut-être de laisser les gens voir le film ce soir > plutôt que de tout leur expliquer quelques heures. Les gens ont droit à > un sursis, non ?
C'est bien pourquoi, j'ai mis la balise "Spoliers" (ok, j'ai oublié le"i" ;o), ce que les précédents posteurs avaient tous oublié. Bien sûr, il faut d'abord voir le film et tout découvrir par soi-même. Ma réponse était destiné à ceux qui avaient déjà vu le film et disaient qu'ils n'avaient rien compris.
Après être tombé hier sur un site consacré au film, très riche en analyses et en recoupement, voici un petit résumé (chronologique) de ce qui s'est grosso modo passé "en vrai" (enfin façon de parler).
Diane est une aspirante actrice. Elle vient du Canada, près de la frontière avec les USA (cf Twin Peaks). Elle est arrivée à Hollywood après avoir hérité de sa tante. Ce qui la fait espérer, c'est qu'elle est "douée" pour le spectacle, vu qu'elle a remporté un concours de danse (celui fantasmé dans la séquence pré-générique). En fait, différents indices font déjà douter de cette version. Il est possible par exemple que Diane ait été victime d'attouchements sexuels dans sa jeunesse de la part d'un parent (son oncle ? son grand père ?) et que l'héritage ait été la contre-partie du fait qu'elle ait accepté de garder le silence (cf le club Silencio, les petits vieux de l'aéroport qui deviennent figures maléfiques, le comportement de Diane elle-même qui reproduirait ce dont elle a été victime, "The Sylvia North Story", transposition d'un film existant sur une telle victime, "Sylvia", la scène jouée lors de l'audition où elle séduit "un grand ami du père", etc.) Une fois arrivée à Hollywood, Diane postule pour différents rôles. Elle ne fait que de la figuration. Elle emménage dans un bungalow où elle aura comme colocataire une Camilla Rhodes, actrice ambitieuse, dont la carrière décolle vite. Elles sont amantes. Camilla devient vite possessive, dominatrice. Elles "rompent". Diane aura une liaison sans lendemain avec sa nouvelle co-locataire. De son côté, Camilla a déjà séduit Adam Kesher, réalisateur de son dernier film, lui-même fraichement divorcé. Elle humilie encore Diane en l'invitant à une soirée où les fiançailles sont annoncées et où Diane comprend en plus que Camilla l'a remplacée par une autre femme. La soirée est une série de déceptions et de tortures pour Diane, qui comprend qu'elle n'arrivera jamais à rien. Diane lance alors un contrat sur Camilla auprès d'un tueur à gages rencontré dans une cafétéria. Une fois que le contrat sera accompli, ce dernier déposera une clé bleue comme "signal" de réussite.
Après s'être résolue à cet assassinat, Diane prend probablement des médicaments plus ou moins légaux et s'abat sur son lit (début du film). Dans son délire, elle s'invente une histoire, mélangeant son expérience passée et un fantasme sur le fait que Camilla aurait survécu et serait amnésique. Dans cette histoire, "Betty" débarquerait bourrée de talent à Hollywood et "Rita" serait alors soumise à sa volonté. Il y a bien une dénommée Camilla mais c'est une blondasse sans grand talent imposée par des mafieux. Et il y a bien une "Diane" dont on se souvient mais c'est un cadavre que Betty et Rita trouvent dans le bungalow où Diane habite. Rita est toujours poursuivie sans que la menace soit très présente. Le principal mécanisme à l'oeuvre dans cette partie du film, c'est que Diane multiplie en fait les figures de doubles fictifs. Le prénom "Betty" est déjà celui d'une serveuse de la cafétéria qui lui ressemble vaguement (et qui s'appelle Diane dans le rêve de Diane). Tante Ruth est une projection positive et vieillie, une actrice qui a réussi. On aurait aussi la prostituée (préfiguration de la déchéance de Diane, qui a dépensé toute sa fortune dans le contrat), la figure du clochard (en fait, une clocharde, autre préfiguration que Diane mettra du temps à assimiler) et évidemment cette Diane Selwyn, cadavre en décomposition que Betty et Rita trouvent dans le bungalow. Progressivement, la chimère de Diane se désagrège. Des signes de la réalité apparaissent (les sonneries du téléphone), des éléments "négatifs" signalent l'échec passé de Diane (une autre actrice aura le rôle). Le fait que la relation entre Betty et Rita soit consommée puis leur passage au club Silencio, où tout tourne autour du thème du simulacre, de l'illusion et du non-dit sont à la fois un dernier sursaut du fantasme de Diane et un retour à une réalité.
Diane finit par sortir de sa chimère, se lève du lit. Elle discute brièvement avec sa dernière amante, avec laquelle elle a rompu. Elle essaye de revenir à la réalité, se masturbe en pensant à Camilla. Toutefois, la clé bleue est désormais dans son bungalow, signe que Camilla est morte. Ses souvenirs passés lui reviennent sous forme de flashs de plus en plus précis. Elle se remémore encore la soirée chez le réalisateur Adam Kesher. Le sentiment d'échec est ensuite complet. Elle a de nouveau des hallucinations, rapides, où différentes figures qu'elle avait inventées/recombinées reviennent la narguer. Diane finit par se suicider. Dernier plan sur la dame aux cheveux bleus du Club Silencio, signalant que le silence a fini par l'emporter... ou que le spectateur a fini d'assister au spectacle fictif !
-- François Kahn
Mehmet Alparslan Saygin
Dr. Phil :
| Ok !
Nouveau sà frtp et un boulet dans ma boîtàkons, un.
-- Mehmet.
Dr. Phil :
| Ok !
Nouveau sà frtp et un boulet dans ma boîtàkons, un.
Nouveau sà frtp et un boulet dans ma boîtàkons, un.
-- Mehmet.
Benjamin FRANCOIS
<stella> s'est exprimé en ces termes:
savoir lire et comprendre l'anglais et de capter en meme temps les
On parle d'une série en japonais. Nul besoin de comprendre.
intonations de presque toutes les langues parlees, cela apres trois ou quatre films visionnes dans les langues respectives, tout cela dans un cerveau d'une personne ayant un age mental inferieur a celui d'un adolescent ordinaire,
C'est de toi qu'on parle, là ?
oui ce type est un genie
J'ai l'impression que tu as mal lu mon précédent post. Mets-les sous-titres, et réessaye.
-- <reidman> why is there an ad for Windows Media Player on the Apple Quicktime site?? <|Dan|> god only knows why <|Dan|> and he's laughing
<stella> s'est exprimé en ces termes:
savoir lire et comprendre l'anglais et de capter en meme temps les
On parle d'une série en japonais. Nul besoin de comprendre.
intonations de presque toutes les langues parlees, cela apres trois ou
quatre films visionnes dans les langues respectives, tout cela dans un
cerveau d'une personne ayant un age mental inferieur a celui d'un adolescent
ordinaire,
C'est de toi qu'on parle, là ?
oui ce type est un genie
J'ai l'impression que tu as mal lu mon précédent post. Mets-les
sous-titres, et réessaye.
--
<reidman> why is there an ad for Windows Media Player on the Apple Quicktime
site??
<|Dan|> god only knows why
<|Dan|> and he's laughing
savoir lire et comprendre l'anglais et de capter en meme temps les
On parle d'une série en japonais. Nul besoin de comprendre.
intonations de presque toutes les langues parlees, cela apres trois ou quatre films visionnes dans les langues respectives, tout cela dans un cerveau d'une personne ayant un age mental inferieur a celui d'un adolescent ordinaire,
C'est de toi qu'on parle, là ?
oui ce type est un genie
J'ai l'impression que tu as mal lu mon précédent post. Mets-les sous-titres, et réessaye.
-- <reidman> why is there an ad for Windows Media Player on the Apple Quicktime site?? <|Dan|> god only knows why <|Dan|> and he's laughing
nospam
<stella> wrote:
je maintiens que mater un film en vo et le faire savoir fait partie de la beaufattitude. apres il y a deux categories de beauf, les gros beaufs comme tu l'entends, bien gras, bien lourds et les beaufs je dirais urbains, avec leur sac fnac dans la rue, leur film vo sur leur lecteur dvd, leurs chaines satellites, leur console xbox, leur lunette astronomique et leur appareil photo numerique
Sur un forum voisin (fr.rec.photo.numerique pour ne pas le nommer), ces derniers, les beaufs "urbains" comme tu les appelles, sont désignés par le joli nom de "techno-beaufs"... :-)
A++ -- Christian
<stella> wrote:
je maintiens que mater un film en vo et le faire savoir fait partie de la
beaufattitude. apres il y a deux categories de beauf, les gros beaufs comme
tu l'entends, bien gras, bien lourds et les beaufs je dirais urbains, avec
leur sac fnac dans la rue, leur film vo sur leur lecteur dvd, leurs chaines
satellites, leur console xbox, leur lunette astronomique et leur appareil
photo numerique
Sur un forum voisin (fr.rec.photo.numerique pour ne pas le nommer), ces
derniers, les beaufs "urbains" comme tu les appelles, sont désignés par
le joli nom de "techno-beaufs"... :-)
je maintiens que mater un film en vo et le faire savoir fait partie de la beaufattitude. apres il y a deux categories de beauf, les gros beaufs comme tu l'entends, bien gras, bien lourds et les beaufs je dirais urbains, avec leur sac fnac dans la rue, leur film vo sur leur lecteur dvd, leurs chaines satellites, leur console xbox, leur lunette astronomique et leur appareil photo numerique
Sur un forum voisin (fr.rec.photo.numerique pour ne pas le nommer), ces derniers, les beaufs "urbains" comme tu les appelles, sont désignés par le joli nom de "techno-beaufs"... :-)
A++ -- Christian
rousseau
"Francois Kahn" a écrit dans le message de news:1gvffjv.85dl1ytaxz5jN%
Dans son délire, elle s'invente une histoire, mélangeant son expérience passée et un fantasme sur le fait que Camilla aurait survécu et serait amnésique.
Oui, une sorte de résurrection fantasmée, où l'on aurait une Camilla vierge ayant effacé le souvenir de son (ou de ses) amants et qui n'appartiendrait plus qu'à Betty.
Rousseau.
"Francois Kahn" <lorenzo@alussinan.org> a écrit dans le message de
news:1gvffjv.85dl1ytaxz5jN%lorenzo@alussinan.org...
Dans son délire, elle s'invente une histoire, mélangeant son expérience
passée et un fantasme sur le fait que Camilla aurait survécu et serait
amnésique.
Oui, une sorte de résurrection fantasmée, où l'on aurait une Camilla vierge
ayant effacé le souvenir de son (ou de ses) amants et qui n'appartiendrait
plus qu'à Betty.
"Francois Kahn" a écrit dans le message de news:1gvffjv.85dl1ytaxz5jN%
Dans son délire, elle s'invente une histoire, mélangeant son expérience passée et un fantasme sur le fait que Camilla aurait survécu et serait amnésique.
Oui, une sorte de résurrection fantasmée, où l'on aurait une Camilla vierge ayant effacé le souvenir de son (ou de ses) amants et qui n'appartiendrait plus qu'à Betty.
Rousseau.
analogue
stella a écrit :
analogue a écrit dans le message de news:42683e13$0$3866$
C'est si difficile que ca de lire des sous-titres ? Comment font les pays qui ne peuvent pas se payer de doublage ? Ou encore les chaines chinoises sous-titrées en cantonnais ?
quel rapport cette nouvelle argumentation avec ce que tu affirmais au depart ? en france on peut avoir du doublage sur les films. alors pourquoi s'en priver sous pretexte que dans d'autres pays il n'y a pas ce luxe ?
Le rapport est que vous essayez tous de nous faire croire que c'est vachement dur de regarder un film en VOST. Je vous demande donc si dans les plus petits pays (ou moins riches) il sont en général plus intelligents pour pouvoir regarder des VOST (c'est ce que vous insinuez) ou si votre argument est juste mou.
> je dirais que tu as moins de 25 ans ?
C'est assez précis ou vous allez me demander mon origine ethnique aussi ?
analogue <analogue@glop.org> a écrit dans le message de
news:42683e13$0$3866$636a15ce@news.free.fr..
C'est si difficile que ca de lire des sous-titres ?
Comment font les pays qui ne peuvent pas se payer de doublage ?
Ou encore les chaines chinoises sous-titrées en cantonnais ?
quel rapport cette nouvelle argumentation avec ce que tu affirmais au depart
? en france on peut avoir du doublage sur les films. alors pourquoi s'en
priver sous pretexte que dans d'autres pays il n'y a pas ce luxe ?
Le rapport est que vous essayez tous de nous faire croire que c'est
vachement dur de regarder un film en VOST. Je vous demande donc si dans
les plus petits pays (ou moins riches) il sont en général plus
intelligents pour pouvoir regarder des VOST (c'est ce que vous insinuez)
ou si votre argument est juste mou.
> je dirais que tu as moins de 25 ans ?
C'est assez précis ou vous allez me demander mon origine ethnique aussi ?
analogue a écrit dans le message de news:42683e13$0$3866$
C'est si difficile que ca de lire des sous-titres ? Comment font les pays qui ne peuvent pas se payer de doublage ? Ou encore les chaines chinoises sous-titrées en cantonnais ?
quel rapport cette nouvelle argumentation avec ce que tu affirmais au depart ? en france on peut avoir du doublage sur les films. alors pourquoi s'en priver sous pretexte que dans d'autres pays il n'y a pas ce luxe ?
Le rapport est que vous essayez tous de nous faire croire que c'est vachement dur de regarder un film en VOST. Je vous demande donc si dans les plus petits pays (ou moins riches) il sont en général plus intelligents pour pouvoir regarder des VOST (c'est ce que vous insinuez) ou si votre argument est juste mou.
> je dirais que tu as moins de 25 ans ?
C'est assez précis ou vous allez me demander mon origine ethnique aussi ?