jr wrote:
>> Au contraire, s'il arrive à la prochaine audience concentré, avec un
>> dossier clair et en ordre et une réelle volonté de prendre en compte
>> l'intérêt exclusif de son enfant, en laissant tomber les engueulades et
>> les accusations ressassées contre la mère, il aura d'autant plus de
>> chance d'avoir son fils chez lui.
>> Mais est ce vraiment ce qu'il veut ou veut-il simplement punir la mère?
>
> Mais ce qui fait rager dans ces histoires de délais, c'est que ça se
> termine souvent par la considération très raisonnable du fait établi et de
> la stabilité de l'enfant.
Par parenthèse, "l'intérêt exclusif" d'une des parties, fût-elle mineure,
n'est pas exactement l'objet de la justice. Outre le fait que c'est en
général indéterminable, on oublie trop souvent que les parents sont des
êtres sensibles comme n'importe quel animal; et que leur intérêt par eux
exprimé peut très bien être évalué en même temps que l'intérêt d'un enfant
vu par des tiers.
jr <jqs@froc.net> wrote:
>> Au contraire, s'il arrive à la prochaine audience concentré, avec un
>> dossier clair et en ordre et une réelle volonté de prendre en compte
>> l'intérêt exclusif de son enfant, en laissant tomber les engueulades et
>> les accusations ressassées contre la mère, il aura d'autant plus de
>> chance d'avoir son fils chez lui.
>> Mais est ce vraiment ce qu'il veut ou veut-il simplement punir la mère?
>
> Mais ce qui fait rager dans ces histoires de délais, c'est que ça se
> termine souvent par la considération très raisonnable du fait établi et de
> la stabilité de l'enfant.
Par parenthèse, "l'intérêt exclusif" d'une des parties, fût-elle mineure,
n'est pas exactement l'objet de la justice. Outre le fait que c'est en
général indéterminable, on oublie trop souvent que les parents sont des
êtres sensibles comme n'importe quel animal; et que leur intérêt par eux
exprimé peut très bien être évalué en même temps que l'intérêt d'un enfant
vu par des tiers.
jr wrote:
>> Au contraire, s'il arrive à la prochaine audience concentré, avec un
>> dossier clair et en ordre et une réelle volonté de prendre en compte
>> l'intérêt exclusif de son enfant, en laissant tomber les engueulades et
>> les accusations ressassées contre la mère, il aura d'autant plus de
>> chance d'avoir son fils chez lui.
>> Mais est ce vraiment ce qu'il veut ou veut-il simplement punir la mère?
>
> Mais ce qui fait rager dans ces histoires de délais, c'est que ça se
> termine souvent par la considération très raisonnable du fait établi et de
> la stabilité de l'enfant.
Par parenthèse, "l'intérêt exclusif" d'une des parties, fût-elle mineure,
n'est pas exactement l'objet de la justice. Outre le fait que c'est en
général indéterminable, on oublie trop souvent que les parents sont des
êtres sensibles comme n'importe quel animal; et que leur intérêt par eux
exprimé peut très bien être évalué en même temps que l'intérêt d'un enfant
vu par des tiers.
Dominique de Corse avait prétendu :
>> (dont la mère a tenté, soit dit en passant, de se
>> débarrasser au-delà du terme légale par des méthodes dites
>> non-conventionnelles).
>
> C'était son droit le plus strict : l'avortement est légal
> en France. Le délai "légal" c'est pour les autres (médecins
> notamment) : une femme peut tout à fait pratiquer elle-même
> des man½uvres abortives sur son f½tus jusqu'à la veille du
> terme.
Tiens donc. Vous avez un article de loi pour ça ?
La pauvre
Courjault, si elle avait su, elle aurait dû trucider ses mômes
dans son ventre au couteau plutôt que d'attendre qu'ils soient
nés. On ne nous dit rien...
>> Madame a depuis cette époque tout fait pour nuire à
>> Monsieur, depuis l'accusation contre toute évidence de
>> maltraitance jusqu'à l'agression physique lui ayant valu
>> du sursis.
>
> Répondez juste à une question : Monsieur a-t-il demandé
> pendant ces 10 ans de martyre, à accueillir son enfant à
> plein temps à son domicile?
Etes-vous folle ? Cela aurait signifié déclaration de guerre et
elle l'aurait empêché de revoir son fils.
Il a fallu trois ans
pour que le mode de "garde" (puisque ce mot n'existe plus)
classique soit entériné par un juge et pratiquement trois de
plus pour que les incessantes entorses de la mère conduisent à
un tirage d'oreille de celle-ci par le JAF.
Il ne l'a pas demandée parce qu'il savait que son fils n'en
sortirait pas gagnant.
Dominique de Corse avait prétendu :
>> (dont la mère a tenté, soit dit en passant, de se
>> débarrasser au-delà du terme légale par des méthodes dites
>> non-conventionnelles).
>
> C'était son droit le plus strict : l'avortement est légal
> en France. Le délai "légal" c'est pour les autres (médecins
> notamment) : une femme peut tout à fait pratiquer elle-même
> des man½uvres abortives sur son f½tus jusqu'à la veille du
> terme.
Tiens donc. Vous avez un article de loi pour ça ?
La pauvre
Courjault, si elle avait su, elle aurait dû trucider ses mômes
dans son ventre au couteau plutôt que d'attendre qu'ils soient
nés. On ne nous dit rien...
>> Madame a depuis cette époque tout fait pour nuire à
>> Monsieur, depuis l'accusation contre toute évidence de
>> maltraitance jusqu'à l'agression physique lui ayant valu
>> du sursis.
>
> Répondez juste à une question : Monsieur a-t-il demandé
> pendant ces 10 ans de martyre, à accueillir son enfant à
> plein temps à son domicile?
Etes-vous folle ? Cela aurait signifié déclaration de guerre et
elle l'aurait empêché de revoir son fils.
Il a fallu trois ans
pour que le mode de "garde" (puisque ce mot n'existe plus)
classique soit entériné par un juge et pratiquement trois de
plus pour que les incessantes entorses de la mère conduisent à
un tirage d'oreille de celle-ci par le JAF.
Il ne l'a pas demandée parce qu'il savait que son fils n'en
sortirait pas gagnant.
Dominique de Corse avait prétendu :
>> (dont la mère a tenté, soit dit en passant, de se
>> débarrasser au-delà du terme légale par des méthodes dites
>> non-conventionnelles).
>
> C'était son droit le plus strict : l'avortement est légal
> en France. Le délai "légal" c'est pour les autres (médecins
> notamment) : une femme peut tout à fait pratiquer elle-même
> des man½uvres abortives sur son f½tus jusqu'à la veille du
> terme.
Tiens donc. Vous avez un article de loi pour ça ?
La pauvre
Courjault, si elle avait su, elle aurait dû trucider ses mômes
dans son ventre au couteau plutôt que d'attendre qu'ils soient
nés. On ne nous dit rien...
>> Madame a depuis cette époque tout fait pour nuire à
>> Monsieur, depuis l'accusation contre toute évidence de
>> maltraitance jusqu'à l'agression physique lui ayant valu
>> du sursis.
>
> Répondez juste à une question : Monsieur a-t-il demandé
> pendant ces 10 ans de martyre, à accueillir son enfant à
> plein temps à son domicile?
Etes-vous folle ? Cela aurait signifié déclaration de guerre et
elle l'aurait empêché de revoir son fils.
Il a fallu trois ans
pour que le mode de "garde" (puisque ce mot n'existe plus)
classique soit entériné par un juge et pratiquement trois de
plus pour que les incessantes entorses de la mère conduisent à
un tirage d'oreille de celle-ci par le JAF.
Il ne l'a pas demandée parce qu'il savait que son fils n'en
sortirait pas gagnant.
jr wrote:jr wrote:Au contraire, s'il arrive à la prochaine audience concentré, avec un
dossier clair et en ordre et une réelle volonté de prendre en compte
l'intérêt exclusif de son enfant, en laissant tomber les engueulades et
les accusations ressassées contre la mère, il aura d'autant plus de
chance d'avoir son fils chez lui.
Mais est ce vraiment ce qu'il veut ou veut-il simplement punir la mère?
Mais ce qui fait rager dans ces histoires de délais, c'est que ça se
termine souvent par la considération très raisonnable du fait établi et de
la stabilité de l'enfant.
Par parenthèse, "l'intérêt exclusif" d'une des parties, fût-elle mineure,
n'est pas exactement l'objet de la justice. Outre le fait que c'est en
général indéterminable, on oublie trop souvent que les parents sont des
êtres sensibles comme n'importe quel animal; et que leur intérêt par eux
exprimé peut très bien être évalué en même temps que l'intérêt d'un enfant
vu par des tiers.
"Considérant que l'humanité se doit de donner à l'enfant le meilleur
d'elle-même,
Principe 6 :
L'enfant, pour l'épanouissement harmonieux de sa personnalité, a besoin
d'amour et de compréhension.
Il doit, autant que possible, grandir sous la sauvegarde et sous la
responsabilité de ses parents et, en tout état de cause, dans une
atmosphère d'affection et de sécurité morale et matérielle; l'enfant en
bas âge ne doit pas, sauf circonstances exceptionnelles, être séparé de
sa mère. ..."
jr <jqs@froc.net> wrote:
jr <jqs@froc.net> wrote:
Au contraire, s'il arrive à la prochaine audience concentré, avec un
dossier clair et en ordre et une réelle volonté de prendre en compte
l'intérêt exclusif de son enfant, en laissant tomber les engueulades et
les accusations ressassées contre la mère, il aura d'autant plus de
chance d'avoir son fils chez lui.
Mais est ce vraiment ce qu'il veut ou veut-il simplement punir la mère?
Mais ce qui fait rager dans ces histoires de délais, c'est que ça se
termine souvent par la considération très raisonnable du fait établi et de
la stabilité de l'enfant.
Par parenthèse, "l'intérêt exclusif" d'une des parties, fût-elle mineure,
n'est pas exactement l'objet de la justice. Outre le fait que c'est en
général indéterminable, on oublie trop souvent que les parents sont des
êtres sensibles comme n'importe quel animal; et que leur intérêt par eux
exprimé peut très bien être évalué en même temps que l'intérêt d'un enfant
vu par des tiers.
"Considérant que l'humanité se doit de donner à l'enfant le meilleur
d'elle-même,
Principe 6 :
L'enfant, pour l'épanouissement harmonieux de sa personnalité, a besoin
d'amour et de compréhension.
Il doit, autant que possible, grandir sous la sauvegarde et sous la
responsabilité de ses parents et, en tout état de cause, dans une
atmosphère d'affection et de sécurité morale et matérielle; l'enfant en
bas âge ne doit pas, sauf circonstances exceptionnelles, être séparé de
sa mère. ..."
jr wrote:jr wrote:Au contraire, s'il arrive à la prochaine audience concentré, avec un
dossier clair et en ordre et une réelle volonté de prendre en compte
l'intérêt exclusif de son enfant, en laissant tomber les engueulades et
les accusations ressassées contre la mère, il aura d'autant plus de
chance d'avoir son fils chez lui.
Mais est ce vraiment ce qu'il veut ou veut-il simplement punir la mère?
Mais ce qui fait rager dans ces histoires de délais, c'est que ça se
termine souvent par la considération très raisonnable du fait établi et de
la stabilité de l'enfant.
Par parenthèse, "l'intérêt exclusif" d'une des parties, fût-elle mineure,
n'est pas exactement l'objet de la justice. Outre le fait que c'est en
général indéterminable, on oublie trop souvent que les parents sont des
êtres sensibles comme n'importe quel animal; et que leur intérêt par eux
exprimé peut très bien être évalué en même temps que l'intérêt d'un enfant
vu par des tiers.
"Considérant que l'humanité se doit de donner à l'enfant le meilleur
d'elle-même,
Principe 6 :
L'enfant, pour l'épanouissement harmonieux de sa personnalité, a besoin
d'amour et de compréhension.
Il doit, autant que possible, grandir sous la sauvegarde et sous la
responsabilité de ses parents et, en tout état de cause, dans une
atmosphère d'affection et de sécurité morale et matérielle; l'enfant en
bas âge ne doit pas, sauf circonstances exceptionnelles, être séparé de
sa mère. ..."
Une main courante au Commissariat ou à la Gendarmerie suffisait à
établir sa bonne foi.
Sert à rien.
Dans l'absolu, oui mais...
Ça sert à donner une date certaine à la déclaration d'une des parties
(toujours demander une copie ou au moins noter le numéro)
Pourquoi n'a t'il pas couru faire constater les faits par une main
courante?
a-t-il.
Merde.
La main courante ne sert à rien.
Voir au dessus.
(coupe)Madame a
pendant ce temps porté plainte au commissariat pour
soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
partir en lui disant presque "bon courage" tant les accusations
de Madame ne tenaient pas.
Hé ben voilà!
Dans ces histoires les policiers sont toujours super-empathiques avec celui
qui se présente, tant qu'il ne porte pas plainte et ne les dérange pas.
"Madame a porté plainte"...
Faut dire que tout le monde est super-convaincant.
...et vous avez dit deux fois au dessus que la main courante ne sert à
rien...
Vous n'êtes pas à une contradiction prêt, dites donc.
Une main courante au Commissariat ou à la Gendarmerie suffisait à
établir sa bonne foi.
Sert à rien.
Dans l'absolu, oui mais...
Ça sert à donner une date certaine à la déclaration d'une des parties
(toujours demander une copie ou au moins noter le numéro)
Pourquoi n'a t'il pas couru faire constater les faits par une main
courante?
a-t-il.
Merde.
La main courante ne sert à rien.
Voir au dessus.
(coupe)
Madame a
pendant ce temps porté plainte au commissariat pour
soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
partir en lui disant presque "bon courage" tant les accusations
de Madame ne tenaient pas.
Hé ben voilà!
Dans ces histoires les policiers sont toujours super-empathiques avec celui
qui se présente, tant qu'il ne porte pas plainte et ne les dérange pas.
"Madame a porté plainte"...
Faut dire que tout le monde est super-convaincant.
...et vous avez dit deux fois au dessus que la main courante ne sert à
rien...
Vous n'êtes pas à une contradiction prêt, dites donc.
Une main courante au Commissariat ou à la Gendarmerie suffisait à
établir sa bonne foi.
Sert à rien.
Dans l'absolu, oui mais...
Ça sert à donner une date certaine à la déclaration d'une des parties
(toujours demander une copie ou au moins noter le numéro)
Pourquoi n'a t'il pas couru faire constater les faits par une main
courante?
a-t-il.
Merde.
La main courante ne sert à rien.
Voir au dessus.
(coupe)Madame a
pendant ce temps porté plainte au commissariat pour
soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
partir en lui disant presque "bon courage" tant les accusations
de Madame ne tenaient pas.
Hé ben voilà!
Dans ces histoires les policiers sont toujours super-empathiques avec celui
qui se présente, tant qu'il ne porte pas plainte et ne les dérange pas.
"Madame a porté plainte"...
Faut dire que tout le monde est super-convaincant.
...et vous avez dit deux fois au dessus que la main courante ne sert à
rien...
Vous n'êtes pas à une contradiction prêt, dites donc.
jr wrote:Dominique de Corse wrote:jr wrote:Dominique de Corse wrote:ixion martin - GdBx wrote:Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :François Guillet wrote:Dominique de Corse a formulé ce vendredi :
...Sans doute quelqu'un qui n'a _jamais_ commis une seule
erreur de toute sa vie.
Ce n'est pas la question.
La question est celle d'assumer une erreur et donc d'en
payer les conséquences.
Cherchez "Responsabilité de l'Etat du fait de ses agents"
dans un traité de droit administratif.
Si n'importe qui pouvait attaquer devant un tribunal de
l'ordre judiciaire n'importe quel agent public, croyez vous
qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter un
voleur, un agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un
contribuable?
Quand le patient d'un chirurgien décède pendant une opération
parce que le médecin commet une erreur, pensez-vous qu'il ne
sera pas poursuivi parce que l'erreur est humaine ?
Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
Heu, ça arrive assez souvent quand même.
"Les praticiens hospitaliers
Je pensais aux PUPH et autres MCUPH.
Statut spécifique et uniquement pour ce qui concerne "...des fonctions
d'enseignement pour la formation initiale et continue, des fonctions de
recherche et des fonctions hospitalières..."
<http://tinyurl.com/qacjshm>
Voir article 2 : "...les personnels titulaires visés à l'article 1er
ci-dessus, qui constituent des corps distincts des autres corps
enseignants des universités et des praticiens hospitaliers,..." et
article 3 précédemment cité.
Autre indice : vous noterez que les ministres de tutelle sont toujours
"(le) ministre chargé de l'enseignement supérieur et (le) ministre
chargé de la santé" et jamais celui chargé de la fonction publique :-)
jr <jqs@froc.net> wrote:
Dominique de Corse <dmkgbt@free.invalid> wrote:
jr <jqs@froc.net> wrote:
Dominique de Corse <dmkgbt@free.invalid> wrote:
ixion martin - GdBx <ixion@martin.invalid> wrote:
Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :
François Guillet <guillet.francois@wanadoo.fr> wrote:
Dominique de Corse a formulé ce vendredi :
...
Sans doute quelqu'un qui n'a _jamais_ commis une seule
erreur de toute sa vie.
Ce n'est pas la question.
La question est celle d'assumer une erreur et donc d'en
payer les conséquences.
Cherchez "Responsabilité de l'Etat du fait de ses agents"
dans un traité de droit administratif.
Si n'importe qui pouvait attaquer devant un tribunal de
l'ordre judiciaire n'importe quel agent public, croyez vous
qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter un
voleur, un agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un
contribuable?
Quand le patient d'un chirurgien décède pendant une opération
parce que le médecin commet une erreur, pensez-vous qu'il ne
sera pas poursuivi parce que l'erreur est humaine ?
Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
Heu, ça arrive assez souvent quand même.
"Les praticiens hospitaliers
Je pensais aux PUPH et autres MCUPH.
Statut spécifique et uniquement pour ce qui concerne "...des fonctions
d'enseignement pour la formation initiale et continue, des fonctions de
recherche et des fonctions hospitalières..."
<http://tinyurl.com/qacjshm>
Voir article 2 : "...les personnels titulaires visés à l'article 1er
ci-dessus, qui constituent des corps distincts des autres corps
enseignants des universités et des praticiens hospitaliers,..." et
article 3 précédemment cité.
Autre indice : vous noterez que les ministres de tutelle sont toujours
"(le) ministre chargé de l'enseignement supérieur et (le) ministre
chargé de la santé" et jamais celui chargé de la fonction publique :-)
jr wrote:Dominique de Corse wrote:jr wrote:Dominique de Corse wrote:ixion martin - GdBx wrote:Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :François Guillet wrote:Dominique de Corse a formulé ce vendredi :
...Sans doute quelqu'un qui n'a _jamais_ commis une seule
erreur de toute sa vie.
Ce n'est pas la question.
La question est celle d'assumer une erreur et donc d'en
payer les conséquences.
Cherchez "Responsabilité de l'Etat du fait de ses agents"
dans un traité de droit administratif.
Si n'importe qui pouvait attaquer devant un tribunal de
l'ordre judiciaire n'importe quel agent public, croyez vous
qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter un
voleur, un agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un
contribuable?
Quand le patient d'un chirurgien décède pendant une opération
parce que le médecin commet une erreur, pensez-vous qu'il ne
sera pas poursuivi parce que l'erreur est humaine ?
Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
Heu, ça arrive assez souvent quand même.
"Les praticiens hospitaliers
Je pensais aux PUPH et autres MCUPH.
Statut spécifique et uniquement pour ce qui concerne "...des fonctions
d'enseignement pour la formation initiale et continue, des fonctions de
recherche et des fonctions hospitalières..."
<http://tinyurl.com/qacjshm>
Voir article 2 : "...les personnels titulaires visés à l'article 1er
ci-dessus, qui constituent des corps distincts des autres corps
enseignants des universités et des praticiens hospitaliers,..." et
article 3 précédemment cité.
Autre indice : vous noterez que les ministres de tutelle sont toujours
"(le) ministre chargé de l'enseignement supérieur et (le) ministre
chargé de la santé" et jamais celui chargé de la fonction publique :-)
Merde.
Oh!
Merde.
Oh!
Merde.
Oh!
Le 01/12/2014 09:26, Dominique de Corse a écrit :
> jr wrote:
>
>> jr wrote:
>>
>>>> Au contraire, s'il arrive à la prochaine audience concentré, avec un
>>>> dossier clair et en ordre et une réelle volonté de prendre en compte
>>>> l'intérêt exclusif de son enfant, en laissant tomber les engueulades et
>>>> les accusations ressassées contre la mère, il aura d'autant plus de
>>>> chance d'avoir son fils chez lui.
>>>> Mais est ce vraiment ce qu'il veut ou veut-il simplement punir la mère?
>>>
>>> Mais ce qui fait rager dans ces histoires de délais, c'est que ça se
>>> termine souvent par la considération très raisonnable du fait établi et de
>>> la stabilité de l'enfant.
>>
>> Par parenthèse, "l'intérêt exclusif" d'une des parties, fût-elle mineure,
>> n'est pas exactement l'objet de la justice. Outre le fait que c'est en
>> général indéterminable, on oublie trop souvent que les parents sont des
>> êtres sensibles comme n'importe quel animal; et que leur intérêt par eux
>> exprimé peut très bien être évalué en même temps que l'intérêt d'un enfant
>> vu par des tiers.
>
> "Considérant que l'humanité se doit de donner à l'enfant le meilleur
> d'elle-même,
> Principe 6 :
> L'enfant, pour l'épanouissement harmonieux de sa personnalité, a besoin
> d'amour et de compréhension.
> Il doit, autant que possible, grandir sous la sauvegarde et sous la
> responsabilité de ses parents et, en tout état de cause, dans une
> atmosphère d'affection et de sécurité morale et matérielle; l'enfant en
> bas âge ne doit pas, sauf circonstances exceptionnelles, être séparé de
> sa mère. ..."
Oui, non seulement c'est non contraignant mais aussi ça date
furieusement, comme tout ce qui parle mariage, famille et enfants dans
les différentes déclarations d'après-guerre.
Et cela ne contredit en
rien ce que je disais.
Notez le "principe" 1 qui prévoit l'égalité des enfants sans distinction
de nationalité. Y'a de la marge.
Le 01/12/2014 09:26, Dominique de Corse a écrit :
> jr <jqs@froc.net> wrote:
>
>> jr <jqs@froc.net> wrote:
>>
>>>> Au contraire, s'il arrive à la prochaine audience concentré, avec un
>>>> dossier clair et en ordre et une réelle volonté de prendre en compte
>>>> l'intérêt exclusif de son enfant, en laissant tomber les engueulades et
>>>> les accusations ressassées contre la mère, il aura d'autant plus de
>>>> chance d'avoir son fils chez lui.
>>>> Mais est ce vraiment ce qu'il veut ou veut-il simplement punir la mère?
>>>
>>> Mais ce qui fait rager dans ces histoires de délais, c'est que ça se
>>> termine souvent par la considération très raisonnable du fait établi et de
>>> la stabilité de l'enfant.
>>
>> Par parenthèse, "l'intérêt exclusif" d'une des parties, fût-elle mineure,
>> n'est pas exactement l'objet de la justice. Outre le fait que c'est en
>> général indéterminable, on oublie trop souvent que les parents sont des
>> êtres sensibles comme n'importe quel animal; et que leur intérêt par eux
>> exprimé peut très bien être évalué en même temps que l'intérêt d'un enfant
>> vu par des tiers.
>
> "Considérant que l'humanité se doit de donner à l'enfant le meilleur
> d'elle-même,
> Principe 6 :
> L'enfant, pour l'épanouissement harmonieux de sa personnalité, a besoin
> d'amour et de compréhension.
> Il doit, autant que possible, grandir sous la sauvegarde et sous la
> responsabilité de ses parents et, en tout état de cause, dans une
> atmosphère d'affection et de sécurité morale et matérielle; l'enfant en
> bas âge ne doit pas, sauf circonstances exceptionnelles, être séparé de
> sa mère. ..."
Oui, non seulement c'est non contraignant mais aussi ça date
furieusement, comme tout ce qui parle mariage, famille et enfants dans
les différentes déclarations d'après-guerre.
Et cela ne contredit en
rien ce que je disais.
Notez le "principe" 1 qui prévoit l'égalité des enfants sans distinction
de nationalité. Y'a de la marge.
Le 01/12/2014 09:26, Dominique de Corse a écrit :
> jr wrote:
>
>> jr wrote:
>>
>>>> Au contraire, s'il arrive à la prochaine audience concentré, avec un
>>>> dossier clair et en ordre et une réelle volonté de prendre en compte
>>>> l'intérêt exclusif de son enfant, en laissant tomber les engueulades et
>>>> les accusations ressassées contre la mère, il aura d'autant plus de
>>>> chance d'avoir son fils chez lui.
>>>> Mais est ce vraiment ce qu'il veut ou veut-il simplement punir la mère?
>>>
>>> Mais ce qui fait rager dans ces histoires de délais, c'est que ça se
>>> termine souvent par la considération très raisonnable du fait établi et de
>>> la stabilité de l'enfant.
>>
>> Par parenthèse, "l'intérêt exclusif" d'une des parties, fût-elle mineure,
>> n'est pas exactement l'objet de la justice. Outre le fait que c'est en
>> général indéterminable, on oublie trop souvent que les parents sont des
>> êtres sensibles comme n'importe quel animal; et que leur intérêt par eux
>> exprimé peut très bien être évalué en même temps que l'intérêt d'un enfant
>> vu par des tiers.
>
> "Considérant que l'humanité se doit de donner à l'enfant le meilleur
> d'elle-même,
> Principe 6 :
> L'enfant, pour l'épanouissement harmonieux de sa personnalité, a besoin
> d'amour et de compréhension.
> Il doit, autant que possible, grandir sous la sauvegarde et sous la
> responsabilité de ses parents et, en tout état de cause, dans une
> atmosphère d'affection et de sécurité morale et matérielle; l'enfant en
> bas âge ne doit pas, sauf circonstances exceptionnelles, être séparé de
> sa mère. ..."
Oui, non seulement c'est non contraignant mais aussi ça date
furieusement, comme tout ce qui parle mariage, famille et enfants dans
les différentes déclarations d'après-guerre.
Et cela ne contredit en
rien ce que je disais.
Notez le "principe" 1 qui prévoit l'égalité des enfants sans distinction
de nationalité. Y'a de la marge.
Le 01/12/2014 09:26, Dominique de Corse a écrit :
>>> Une main courante au Commissariat ou à la Gendarmerie suffisait à
>>> établir sa bonne foi.
>>
>> Sert à rien.
>
> Dans l'absolu, oui mais...
> Ça sert à donner une date certaine à la déclaration d'une des parties
> (toujours demander une copie ou au moins noter le numéro)
Laquelle déclaration n'a aucune valeur probante.
>>> Pourquoi n'a t'il pas couru faire constater les faits par une main
>>> courante?
>>
>> a-t-il.
>
> Merde.
Oh!
>> La main courante ne sert à rien.
>
> Voir au dessus.
>
> (coupe)
>
>>>> Madame a
>>>> pendant ce temps porté plainte au commissariat pour
>>>> soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
>>>> commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
>>>> s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
>>>> partir en lui disant presque "bon courage" tant les accusations
>>>> de Madame ne tenaient pas.
>>>
>>> Hé ben voilà!
>>
>> Dans ces histoires les policiers sont toujours super-empathiques avec celui
>> qui se présente, tant qu'il ne porte pas plainte et ne les dérange pas.
>
> "Madame a porté plainte"...
Bien sûr qu'il y a des plaintes.
Et il y a bien plus d'évitements de
plaintes. Redirigées vers des MC ou pire, platement refusées.
>> Faut dire que tout le monde est super-convaincant.
>
> ...et vous avez dit deux fois au dessus que la main courante ne sert à
> rien...
Je ne vois pas la contradiction.
> Vous n'êtes pas à une contradiction prêt, dites donc.
près
Le 01/12/2014 09:26, Dominique de Corse a écrit :
>>> Une main courante au Commissariat ou à la Gendarmerie suffisait à
>>> établir sa bonne foi.
>>
>> Sert à rien.
>
> Dans l'absolu, oui mais...
> Ça sert à donner une date certaine à la déclaration d'une des parties
> (toujours demander une copie ou au moins noter le numéro)
Laquelle déclaration n'a aucune valeur probante.
>>> Pourquoi n'a t'il pas couru faire constater les faits par une main
>>> courante?
>>
>> a-t-il.
>
> Merde.
Oh!
>> La main courante ne sert à rien.
>
> Voir au dessus.
>
> (coupe)
>
>>>> Madame a
>>>> pendant ce temps porté plainte au commissariat pour
>>>> soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
>>>> commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
>>>> s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
>>>> partir en lui disant presque "bon courage" tant les accusations
>>>> de Madame ne tenaient pas.
>>>
>>> Hé ben voilà!
>>
>> Dans ces histoires les policiers sont toujours super-empathiques avec celui
>> qui se présente, tant qu'il ne porte pas plainte et ne les dérange pas.
>
> "Madame a porté plainte"...
Bien sûr qu'il y a des plaintes.
Et il y a bien plus d'évitements de
plaintes. Redirigées vers des MC ou pire, platement refusées.
>> Faut dire que tout le monde est super-convaincant.
>
> ...et vous avez dit deux fois au dessus que la main courante ne sert à
> rien...
Je ne vois pas la contradiction.
> Vous n'êtes pas à une contradiction prêt, dites donc.
près
Le 01/12/2014 09:26, Dominique de Corse a écrit :
>>> Une main courante au Commissariat ou à la Gendarmerie suffisait à
>>> établir sa bonne foi.
>>
>> Sert à rien.
>
> Dans l'absolu, oui mais...
> Ça sert à donner une date certaine à la déclaration d'une des parties
> (toujours demander une copie ou au moins noter le numéro)
Laquelle déclaration n'a aucune valeur probante.
>>> Pourquoi n'a t'il pas couru faire constater les faits par une main
>>> courante?
>>
>> a-t-il.
>
> Merde.
Oh!
>> La main courante ne sert à rien.
>
> Voir au dessus.
>
> (coupe)
>
>>>> Madame a
>>>> pendant ce temps porté plainte au commissariat pour
>>>> soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
>>>> commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
>>>> s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
>>>> partir en lui disant presque "bon courage" tant les accusations
>>>> de Madame ne tenaient pas.
>>>
>>> Hé ben voilà!
>>
>> Dans ces histoires les policiers sont toujours super-empathiques avec celui
>> qui se présente, tant qu'il ne porte pas plainte et ne les dérange pas.
>
> "Madame a porté plainte"...
Bien sûr qu'il y a des plaintes.
Et il y a bien plus d'évitements de
plaintes. Redirigées vers des MC ou pire, platement refusées.
>> Faut dire que tout le monde est super-convaincant.
>
> ...et vous avez dit deux fois au dessus que la main courante ne sert à
> rien...
Je ne vois pas la contradiction.
> Vous n'êtes pas à une contradiction prêt, dites donc.
près
Madame a
pendant ce temps porté plainte au commissariat pour
soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
partir en lui disant presque "bon courage" tant les accusations
de Madame ne tenaient pas.
Hé ben voilà!
Dans ces histoires les policiers sont toujours super-empathiques avec celui
qui se présente, tant qu'il ne porte pas plainte et ne les dérange pas.
"Madame a porté plainte"...
Bien sûr qu'il y a des plaintes.
Vous dites le contraire de ce que vous disiez juste avant.
Ça ne vous dérange pas?
Si on veut _vraiment_ porter plainte, la seule solution c'est la plainte
avec CPC directement au doyen des juges d'instruction.
Madame a
pendant ce temps porté plainte au commissariat pour
soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
partir en lui disant presque "bon courage" tant les accusations
de Madame ne tenaient pas.
Hé ben voilà!
Dans ces histoires les policiers sont toujours super-empathiques avec celui
qui se présente, tant qu'il ne porte pas plainte et ne les dérange pas.
"Madame a porté plainte"...
Bien sûr qu'il y a des plaintes.
Vous dites le contraire de ce que vous disiez juste avant.
Ça ne vous dérange pas?
Si on veut _vraiment_ porter plainte, la seule solution c'est la plainte
avec CPC directement au doyen des juges d'instruction.
Madame a
pendant ce temps porté plainte au commissariat pour
soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
partir en lui disant presque "bon courage" tant les accusations
de Madame ne tenaient pas.
Hé ben voilà!
Dans ces histoires les policiers sont toujours super-empathiques avec celui
qui se présente, tant qu'il ne porte pas plainte et ne les dérange pas.
"Madame a porté plainte"...
Bien sûr qu'il y a des plaintes.
Vous dites le contraire de ce que vous disiez juste avant.
Ça ne vous dérange pas?
Si on veut _vraiment_ porter plainte, la seule solution c'est la plainte
avec CPC directement au doyen des juges d'instruction.
Le 01/12/2014 11:10, jr a écrit :Merde.
Oh!
"Oh !"
Le 01/12/2014 11:10, jr a écrit :
Merde.
Oh!
"Oh !"
Le 01/12/2014 11:10, jr a écrit :Merde.
Oh!
"Oh !"