Le 01/12/2014 09:26, Dominique de Corse a écrit :
> jr wrote:
>
>> Dominique de Corse wrote:
>>> jr wrote:
>>>
>>>> Dominique de Corse wrote:
>>>>> ixion martin - GdBx wrote:
>>>>>
>>>>>> Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :
>>>>>>> François Guillet wrote:
>>>>>>>
>>>>>>>> Dominique de Corse a formulé ce vendredi :
>>>>>>>> ...
>>>>>>>>> Sans doute quelqu'un qui n'a _jamais_ commis une seule
>>>>>>>>> erreur de toute sa vie.
>>>>>>>>
>>>>>>>> Ce n'est pas la question.
>>>>>>>> La question est celle d'assumer une erreur et donc d'en
>>>>>>>> payer les conséquences.
>>>>>>>
>>>>>>> Cherchez "Responsabilité de l'Etat du fait de ses agents"
>>>>>>> dans un traité de droit administratif.
>>>>>>>
>>>>>>> Si n'importe qui pouvait attaquer devant un tribunal de
>>>>>>> l'ordre judiciaire n'importe quel agent public, croyez vous
>>>>>>> qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter un
>>>>>>> voleur, un agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un
>>>>>>> contribuable?
>>>>>>
>>>>>> Quand le patient d'un chirurgien décède pendant une opération
>>>>>> parce que le médecin commet une erreur, pensez-vous qu'il ne
>>>>>> sera pas poursuivi parce que l'erreur est humaine ?
>>>>>
>>>>> Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
>>>>
>>>> Heu, ça arrive assez souvent quand même.
>>>
>>> "Les praticiens hospitaliers
>>
>>
>> Je pensais aux PUPH et autres MCUPH.
>
> Statut spécifique et uniquement pour ce qui concerne "...des fonctions
> d'enseignement pour la formation initiale et continue, des fonctions de
> recherche et des fonctions hospitalières..."
>
>
> <http://tinyurl.com/qacjshm>
>
> Voir article 2 : "...les personnels titulaires visés à l'article 1er
> ci-dessus, qui constituent des corps distincts des autres corps
> enseignants des universités et des praticiens hospitaliers,..." et
> article 3 précédemment cité.
>
> Autre indice : vous noterez que les ministres de tutelle sont toujours
> "(le) ministre chargé de l'enseignement supérieur et (le) ministre
> chargé de la santé" et jamais celui chargé de la fonction publique :-)
Ben évidemment. Quand j'étais aux Telecom, ma tutelle n'était pas la
fonction publique et vous pareil. Le ministère de la FP (et de la
décentralisation, ces temps-ci) est un ministèricule qui à ma
connaissance n'a qu'une seule direction générale en tutelle avec, dit la
plaquette, 154 "personnels".
Le 01/12/2014 09:26, Dominique de Corse a écrit :
> jr <jqs@froc.net> wrote:
>
>> Dominique de Corse <dmkgbt@free.invalid> wrote:
>>> jr <jqs@froc.net> wrote:
>>>
>>>> Dominique de Corse <dmkgbt@free.invalid> wrote:
>>>>> ixion martin - GdBx <ixion@martin.invalid> wrote:
>>>>>
>>>>>> Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :
>>>>>>> François Guillet <guillet.francois@wanadoo.fr> wrote:
>>>>>>>
>>>>>>>> Dominique de Corse a formulé ce vendredi :
>>>>>>>> ...
>>>>>>>>> Sans doute quelqu'un qui n'a _jamais_ commis une seule
>>>>>>>>> erreur de toute sa vie.
>>>>>>>>
>>>>>>>> Ce n'est pas la question.
>>>>>>>> La question est celle d'assumer une erreur et donc d'en
>>>>>>>> payer les conséquences.
>>>>>>>
>>>>>>> Cherchez "Responsabilité de l'Etat du fait de ses agents"
>>>>>>> dans un traité de droit administratif.
>>>>>>>
>>>>>>> Si n'importe qui pouvait attaquer devant un tribunal de
>>>>>>> l'ordre judiciaire n'importe quel agent public, croyez vous
>>>>>>> qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter un
>>>>>>> voleur, un agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un
>>>>>>> contribuable?
>>>>>>
>>>>>> Quand le patient d'un chirurgien décède pendant une opération
>>>>>> parce que le médecin commet une erreur, pensez-vous qu'il ne
>>>>>> sera pas poursuivi parce que l'erreur est humaine ?
>>>>>
>>>>> Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
>>>>
>>>> Heu, ça arrive assez souvent quand même.
>>>
>>> "Les praticiens hospitaliers
>>
>>
>> Je pensais aux PUPH et autres MCUPH.
>
> Statut spécifique et uniquement pour ce qui concerne "...des fonctions
> d'enseignement pour la formation initiale et continue, des fonctions de
> recherche et des fonctions hospitalières..."
>
>
> <http://tinyurl.com/qacjshm>
>
> Voir article 2 : "...les personnels titulaires visés à l'article 1er
> ci-dessus, qui constituent des corps distincts des autres corps
> enseignants des universités et des praticiens hospitaliers,..." et
> article 3 précédemment cité.
>
> Autre indice : vous noterez que les ministres de tutelle sont toujours
> "(le) ministre chargé de l'enseignement supérieur et (le) ministre
> chargé de la santé" et jamais celui chargé de la fonction publique :-)
Ben évidemment. Quand j'étais aux Telecom, ma tutelle n'était pas la
fonction publique et vous pareil. Le ministère de la FP (et de la
décentralisation, ces temps-ci) est un ministèricule qui à ma
connaissance n'a qu'une seule direction générale en tutelle avec, dit la
plaquette, 154 "personnels".
Le 01/12/2014 09:26, Dominique de Corse a écrit :
> jr wrote:
>
>> Dominique de Corse wrote:
>>> jr wrote:
>>>
>>>> Dominique de Corse wrote:
>>>>> ixion martin - GdBx wrote:
>>>>>
>>>>>> Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :
>>>>>>> François Guillet wrote:
>>>>>>>
>>>>>>>> Dominique de Corse a formulé ce vendredi :
>>>>>>>> ...
>>>>>>>>> Sans doute quelqu'un qui n'a _jamais_ commis une seule
>>>>>>>>> erreur de toute sa vie.
>>>>>>>>
>>>>>>>> Ce n'est pas la question.
>>>>>>>> La question est celle d'assumer une erreur et donc d'en
>>>>>>>> payer les conséquences.
>>>>>>>
>>>>>>> Cherchez "Responsabilité de l'Etat du fait de ses agents"
>>>>>>> dans un traité de droit administratif.
>>>>>>>
>>>>>>> Si n'importe qui pouvait attaquer devant un tribunal de
>>>>>>> l'ordre judiciaire n'importe quel agent public, croyez vous
>>>>>>> qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter un
>>>>>>> voleur, un agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un
>>>>>>> contribuable?
>>>>>>
>>>>>> Quand le patient d'un chirurgien décède pendant une opération
>>>>>> parce que le médecin commet une erreur, pensez-vous qu'il ne
>>>>>> sera pas poursuivi parce que l'erreur est humaine ?
>>>>>
>>>>> Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
>>>>
>>>> Heu, ça arrive assez souvent quand même.
>>>
>>> "Les praticiens hospitaliers
>>
>>
>> Je pensais aux PUPH et autres MCUPH.
>
> Statut spécifique et uniquement pour ce qui concerne "...des fonctions
> d'enseignement pour la formation initiale et continue, des fonctions de
> recherche et des fonctions hospitalières..."
>
>
> <http://tinyurl.com/qacjshm>
>
> Voir article 2 : "...les personnels titulaires visés à l'article 1er
> ci-dessus, qui constituent des corps distincts des autres corps
> enseignants des universités et des praticiens hospitaliers,..." et
> article 3 précédemment cité.
>
> Autre indice : vous noterez que les ministres de tutelle sont toujours
> "(le) ministre chargé de l'enseignement supérieur et (le) ministre
> chargé de la santé" et jamais celui chargé de la fonction publique :-)
Ben évidemment. Quand j'étais aux Telecom, ma tutelle n'était pas la
fonction publique et vous pareil. Le ministère de la FP (et de la
décentralisation, ces temps-ci) est un ministèricule qui à ma
connaissance n'a qu'une seule direction générale en tutelle avec, dit la
plaquette, 154 "personnels".
Le 01/12/2014 11:31, Dominique de Corse a écrit :
>>>>>> Madame a
>>>>>> pendant ce temps porté plainte au commissariat pour
>>>>>> soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
>>>>>> commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
>>>>>> s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
>>>>>> partir en lui disant presque "bon courage" tant les accusations
>>>>>> de Madame ne tenaient pas.
>>>>>
>>>>> Hé ben voilà!
>>>>
>>>> Dans ces histoires les policiers sont toujours super-empathiques avec
>>>> celui qui se présente, tant qu'il ne porte pas plainte et ne les
>>>> dérange pas.
>>>
>>> "Madame a porté plainte"...
>>
>> Bien sûr qu'il y a des plaintes.
>
> Vous dites le contraire de ce que vous disiez juste avant.
> Ça ne vous dérange pas?
Je dis que les policiers sont empathiques tant qu'on ne parle pas de
plainte. En quoi est-ce le contraire?
> Si on veut _vraiment_ porter plainte, la seule solution c'est la plainte
> avec CPC directement au doyen des juges d'instruction.
Faut d'abord arriver à déposer plainte simple et ensuite attendre 3 mois.
Le 01/12/2014 11:31, Dominique de Corse a écrit :
>>>>>> Madame a
>>>>>> pendant ce temps porté plainte au commissariat pour
>>>>>> soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
>>>>>> commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
>>>>>> s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
>>>>>> partir en lui disant presque "bon courage" tant les accusations
>>>>>> de Madame ne tenaient pas.
>>>>>
>>>>> Hé ben voilà!
>>>>
>>>> Dans ces histoires les policiers sont toujours super-empathiques avec
>>>> celui qui se présente, tant qu'il ne porte pas plainte et ne les
>>>> dérange pas.
>>>
>>> "Madame a porté plainte"...
>>
>> Bien sûr qu'il y a des plaintes.
>
> Vous dites le contraire de ce que vous disiez juste avant.
> Ça ne vous dérange pas?
Je dis que les policiers sont empathiques tant qu'on ne parle pas de
plainte. En quoi est-ce le contraire?
> Si on veut _vraiment_ porter plainte, la seule solution c'est la plainte
> avec CPC directement au doyen des juges d'instruction.
Faut d'abord arriver à déposer plainte simple et ensuite attendre 3 mois.
Le 01/12/2014 11:31, Dominique de Corse a écrit :
>>>>>> Madame a
>>>>>> pendant ce temps porté plainte au commissariat pour
>>>>>> soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
>>>>>> commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
>>>>>> s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
>>>>>> partir en lui disant presque "bon courage" tant les accusations
>>>>>> de Madame ne tenaient pas.
>>>>>
>>>>> Hé ben voilà!
>>>>
>>>> Dans ces histoires les policiers sont toujours super-empathiques avec
>>>> celui qui se présente, tant qu'il ne porte pas plainte et ne les
>>>> dérange pas.
>>>
>>> "Madame a porté plainte"...
>>
>> Bien sûr qu'il y a des plaintes.
>
> Vous dites le contraire de ce que vous disiez juste avant.
> Ça ne vous dérange pas?
Je dis que les policiers sont empathiques tant qu'on ne parle pas de
plainte. En quoi est-ce le contraire?
> Si on veut _vraiment_ porter plainte, la seule solution c'est la plainte
> avec CPC directement au doyen des juges d'instruction.
Faut d'abord arriver à déposer plainte simple et ensuite attendre 3 mois.
ixion martin - GdBx wrote:Dominique de Corse avait prétendu :
(coupe)(dont la mère a tenté, soit dit en passant, de se
débarrasser au-delà du terme légale par des méthodes dites
non-conventionnelles).
C'était son droit le plus strict : l'avortement est légal
en France. Le délai "légal" c'est pour les autres (médecins
notamment) : une femme peut tout à fait pratiquer elle-même
des man½uvres abortives sur son f½tus jusqu'à la veille du
terme.
Tiens donc. Vous avez un article de loi pour ça ?
Ne retournez pas le principe à l'envers.
Le principe c'est que ce qui n'est pas interdit par une loi
est autorisé.
Il n'y a aucune loi qui interdise l'avortement et aucune
femme ne peut être condamnée pour avoir avorté, en France.La pauvre
Courjault, si elle avait su, elle aurait dû trucider ses
mômes dans son ventre au couteau plutôt que d'attendre
qu'ils soient nés. On ne nous dit rien...
Dans son ventre, il n'y avait pas d'enfant, il y avait un
f½tus. Avorter n'est pas un meurtre, puisque le f½tus n'est
pas une personne. C'est bien pour ça que, dans les cas de
nourrisson balancé à la poubelle après expulsion, la justice
demande toujours au légiste s'il avait respiré.
Si oui, c'est un meurtre et la mère est poursuivie, si non,
c'est un avortement et la mère n'a commis aucune infraction
pénale. (il y a eu de nombreux fils de discussion à ce sujet
et je vous conseille de vous y reporter)Madame a depuis cette époque tout fait pour nuire à
Monsieur, depuis l'accusation contre toute évidence de
maltraitance jusqu'à l'agression physique lui ayant valu
du sursis.
Répondez juste à une question : Monsieur a-t-il demandé
pendant ces 10 ans de martyre, à accueillir son enfant à
plein temps à son domicile?
Etes-vous folle ? Cela aurait signifié déclaration de guerre
et elle l'aurait empêché de revoir son fils.
Merci de votre réponse qui clôt définitivement cette
discussion pour moi.Il a fallu trois ans
pour que le mode de "garde" (puisque ce mot n'existe plus)
classique soit entériné par un juge et pratiquement trois de
plus pour que les incessantes entorses de la mère conduisent
à un tirage d'oreille de celle-ci par le JAF.
Il ne l'a pas demandée parce qu'il savait que son fils n'en
sortirait pas gagnant.
Arguties et nuage de fumée.
Ça fait dix ans qu'il dit à la justice (et probablement à
l'enfant) que la mère est une salope indigne et une folle et
il n'a jamais demandé à élever son enfant à sa place?
Ce n'est pas son enfant qu'il aime, c'est la mère qu'il veut
punir.
Fin de la discussion.
ixion martin - GdBx <ixion@martin.invalid> wrote:
Dominique de Corse avait prétendu :
(coupe)
(dont la mère a tenté, soit dit en passant, de se
débarrasser au-delà du terme légale par des méthodes dites
non-conventionnelles).
C'était son droit le plus strict : l'avortement est légal
en France. Le délai "légal" c'est pour les autres (médecins
notamment) : une femme peut tout à fait pratiquer elle-même
des man½uvres abortives sur son f½tus jusqu'à la veille du
terme.
Tiens donc. Vous avez un article de loi pour ça ?
Ne retournez pas le principe à l'envers.
Le principe c'est que ce qui n'est pas interdit par une loi
est autorisé.
Il n'y a aucune loi qui interdise l'avortement et aucune
femme ne peut être condamnée pour avoir avorté, en France.
La pauvre
Courjault, si elle avait su, elle aurait dû trucider ses
mômes dans son ventre au couteau plutôt que d'attendre
qu'ils soient nés. On ne nous dit rien...
Dans son ventre, il n'y avait pas d'enfant, il y avait un
f½tus. Avorter n'est pas un meurtre, puisque le f½tus n'est
pas une personne. C'est bien pour ça que, dans les cas de
nourrisson balancé à la poubelle après expulsion, la justice
demande toujours au légiste s'il avait respiré.
Si oui, c'est un meurtre et la mère est poursuivie, si non,
c'est un avortement et la mère n'a commis aucune infraction
pénale. (il y a eu de nombreux fils de discussion à ce sujet
et je vous conseille de vous y reporter)
Madame a depuis cette époque tout fait pour nuire à
Monsieur, depuis l'accusation contre toute évidence de
maltraitance jusqu'à l'agression physique lui ayant valu
du sursis.
Répondez juste à une question : Monsieur a-t-il demandé
pendant ces 10 ans de martyre, à accueillir son enfant à
plein temps à son domicile?
Etes-vous folle ? Cela aurait signifié déclaration de guerre
et elle l'aurait empêché de revoir son fils.
Merci de votre réponse qui clôt définitivement cette
discussion pour moi.
Il a fallu trois ans
pour que le mode de "garde" (puisque ce mot n'existe plus)
classique soit entériné par un juge et pratiquement trois de
plus pour que les incessantes entorses de la mère conduisent
à un tirage d'oreille de celle-ci par le JAF.
Il ne l'a pas demandée parce qu'il savait que son fils n'en
sortirait pas gagnant.
Arguties et nuage de fumée.
Ça fait dix ans qu'il dit à la justice (et probablement à
l'enfant) que la mère est une salope indigne et une folle et
il n'a jamais demandé à élever son enfant à sa place?
Ce n'est pas son enfant qu'il aime, c'est la mère qu'il veut
punir.
Fin de la discussion.
ixion martin - GdBx wrote:Dominique de Corse avait prétendu :
(coupe)(dont la mère a tenté, soit dit en passant, de se
débarrasser au-delà du terme légale par des méthodes dites
non-conventionnelles).
C'était son droit le plus strict : l'avortement est légal
en France. Le délai "légal" c'est pour les autres (médecins
notamment) : une femme peut tout à fait pratiquer elle-même
des man½uvres abortives sur son f½tus jusqu'à la veille du
terme.
Tiens donc. Vous avez un article de loi pour ça ?
Ne retournez pas le principe à l'envers.
Le principe c'est que ce qui n'est pas interdit par une loi
est autorisé.
Il n'y a aucune loi qui interdise l'avortement et aucune
femme ne peut être condamnée pour avoir avorté, en France.La pauvre
Courjault, si elle avait su, elle aurait dû trucider ses
mômes dans son ventre au couteau plutôt que d'attendre
qu'ils soient nés. On ne nous dit rien...
Dans son ventre, il n'y avait pas d'enfant, il y avait un
f½tus. Avorter n'est pas un meurtre, puisque le f½tus n'est
pas une personne. C'est bien pour ça que, dans les cas de
nourrisson balancé à la poubelle après expulsion, la justice
demande toujours au légiste s'il avait respiré.
Si oui, c'est un meurtre et la mère est poursuivie, si non,
c'est un avortement et la mère n'a commis aucune infraction
pénale. (il y a eu de nombreux fils de discussion à ce sujet
et je vous conseille de vous y reporter)Madame a depuis cette époque tout fait pour nuire à
Monsieur, depuis l'accusation contre toute évidence de
maltraitance jusqu'à l'agression physique lui ayant valu
du sursis.
Répondez juste à une question : Monsieur a-t-il demandé
pendant ces 10 ans de martyre, à accueillir son enfant à
plein temps à son domicile?
Etes-vous folle ? Cela aurait signifié déclaration de guerre
et elle l'aurait empêché de revoir son fils.
Merci de votre réponse qui clôt définitivement cette
discussion pour moi.Il a fallu trois ans
pour que le mode de "garde" (puisque ce mot n'existe plus)
classique soit entériné par un juge et pratiquement trois de
plus pour que les incessantes entorses de la mère conduisent
à un tirage d'oreille de celle-ci par le JAF.
Il ne l'a pas demandée parce qu'il savait que son fils n'en
sortirait pas gagnant.
Arguties et nuage de fumée.
Ça fait dix ans qu'il dit à la justice (et probablement à
l'enfant) que la mère est une salope indigne et une folle et
il n'a jamais demandé à élever son enfant à sa place?
Ce n'est pas son enfant qu'il aime, c'est la mère qu'il veut
punir.
Fin de la discussion.
S'il est inscrit à la cantine, il ne sort pas à la mi-journée. Sauf si un
parent effectivement le demande.
S'il est inscrit à la cantine, il ne sort pas à la mi-journée. Sauf si un
parent effectivement le demande.
S'il est inscrit à la cantine, il ne sort pas à la mi-journée. Sauf si un
parent effectivement le demande.
Oui, fin de la discussion car vous êtes en réalité une personne méprisable
J'avais demandé au départ quelles étaient les sanctions possibles contre
une greffière défaillante...
Oui, fin de la discussion car vous êtes en réalité une personne méprisable
J'avais demandé au départ quelles étaient les sanctions possibles contre
une greffière défaillante...
Oui, fin de la discussion car vous êtes en réalité une personne méprisable
J'avais demandé au départ quelles étaient les sanctions possibles contre
une greffière défaillante...
Votre médecin bénéficie d'une assurance et d'une protecction juridique
plus ou moins fournies par son conseil de l'Ordre et dont les primes
sont déductibles de son revenu professionnel...
Votre médecin bénéficie d'une assurance et d'une protecction juridique
plus ou moins fournies par son conseil de l'Ordre et dont les primes
sont déductibles de son revenu professionnel...
Votre médecin bénéficie d'une assurance et d'une protecction juridique
plus ou moins fournies par son conseil de l'Ordre et dont les primes
sont déductibles de son revenu professionnel...
Le 01/12/2014 12:54, ixion martin - GdBx a écrit :Oui, fin de la discussion car vous êtes en réalité une
personne méprisable
Il semble que tu n'apprécies pas les réponses qui ne vont
pas dans ton sens. Relis toutes les réponses de Dominique
et tu verras qu'elle essaie (comme d'autres) de parler
plutôt en droit qu'en affectif. Pourquoi veux-tu qu'on
abonde dans ton sens sans connaître l'autre son de cloche ?
J'avais demandé au départ quelles étaient les sanctions
possibles contre une greffière défaillante...
Il t'a bien pourtant été répondu : seul le tribunal
administratif est compétent, donc il faut attaquer l'Etat.
Et des spécialistes t'ont dit : "attention, c'est (presque)
perdu d'avance..."
Et puis qu'est-ce qui prouve que la greffière a été
"défaillante" ? Le propos inconsidéré d'un magistrat
débordé ? N'aurait-il pas pu lui-même égarer ce dossier ?
N'y a-t-il pas un avocat qui défende les intérêts du père ?
Le 01/12/2014 12:54, ixion martin - GdBx a écrit :
Oui, fin de la discussion car vous êtes en réalité une
personne méprisable
Il semble que tu n'apprécies pas les réponses qui ne vont
pas dans ton sens. Relis toutes les réponses de Dominique
et tu verras qu'elle essaie (comme d'autres) de parler
plutôt en droit qu'en affectif. Pourquoi veux-tu qu'on
abonde dans ton sens sans connaître l'autre son de cloche ?
J'avais demandé au départ quelles étaient les sanctions
possibles contre une greffière défaillante...
Il t'a bien pourtant été répondu : seul le tribunal
administratif est compétent, donc il faut attaquer l'Etat.
Et des spécialistes t'ont dit : "attention, c'est (presque)
perdu d'avance..."
Et puis qu'est-ce qui prouve que la greffière a été
"défaillante" ? Le propos inconsidéré d'un magistrat
débordé ? N'aurait-il pas pu lui-même égarer ce dossier ?
N'y a-t-il pas un avocat qui défende les intérêts du père ?
Le 01/12/2014 12:54, ixion martin - GdBx a écrit :Oui, fin de la discussion car vous êtes en réalité une
personne méprisable
Il semble que tu n'apprécies pas les réponses qui ne vont
pas dans ton sens. Relis toutes les réponses de Dominique
et tu verras qu'elle essaie (comme d'autres) de parler
plutôt en droit qu'en affectif. Pourquoi veux-tu qu'on
abonde dans ton sens sans connaître l'autre son de cloche ?
J'avais demandé au départ quelles étaient les sanctions
possibles contre une greffière défaillante...
Il t'a bien pourtant été répondu : seul le tribunal
administratif est compétent, donc il faut attaquer l'Etat.
Et des spécialistes t'ont dit : "attention, c'est (presque)
perdu d'avance..."
Et puis qu'est-ce qui prouve que la greffière a été
"défaillante" ? Le propos inconsidéré d'un magistrat
débordé ? N'aurait-il pas pu lui-même égarer ce dossier ?
N'y a-t-il pas un avocat qui défende les intérêts du père ?
... Et c'est juste moi qui ai pété un câble le soir où j'ai initié le thread.
... Et c'est juste moi qui ai pété un câble le soir où j'ai initié le thread.
... Et c'est juste moi qui ai pété un câble le soir où j'ai initié le thread.
djeel a formulé la demande :Le 01/12/2014 12:54, ixion martin - GdBx a écrit :Oui, fin de la discussion car vous êtes en réalité une
personne méprisable
Il semble que tu n'apprécies pas les réponses qui ne vont
pas dans ton sens. Relis toutes les réponses de Dominique
et tu verras qu'elle essaie (comme d'autres) de parler
plutôt en droit qu'en affectif. Pourquoi veux-tu qu'on
abonde dans ton sens sans connaître l'autre son de cloche ?
Cher monsieur (madame ?),
Il me semble que vous faites preuve d'un esprit partisan, genre
une solidarité fmd. La question, à la base, était de savoir si
on avait moyen de demander une sanction contre une greffière
qui avait perdu un dossier. Je vous invite, si vous avez le
temps et surtout le courage de relire l'échange.
On m'a répondu grosso modo, si j'ai bien compris, qu'il
faudrait pour cela attaquer l'Etat qui déciderait à son tour
s'Il sanctionne ou pas ladite personne, que dans tous les cas
ce serait long, sans doute coûteux, pour un résultat loin
d'être assuré et que ça ne servirait pas la cause du demandeur
qui recevrait des a priori négatifs sur son affaire.
Je ne crois pas avoir contesté ce fait, je l'ai peut-être
abusivement résumé à un "dans les faits, ils sont intouchables"
qui a été assez mal perçu. Je m'en excuse même si pour moi,
c'est ce que ça signifie. Mais pas question de ma part de
remettre en cause la véracité de ladite chose d'autant que cela
revenait peu ou prou à ce que j'imaginais.
Par contre, dire que Dame Dominique a répondu en droit plutôt
qu'en affectif, laissez-moi pouffer. Elle a pété les plombs en
parlant de famille de merde, de paranoïa ou je ne sais quoi
d'autres. Je ne vois pas trop où est le droit là-dedans.
Je lui exposé avec beaucoup de patience (pensant avoir à faire
à quelqu'un sans a priori foireux)
la situation, en expliquant
tous les torts de la mère (et encore, je ne les ai pas tous
énumérés).
Ça fait dix ans que le père subit cette situation et
passe son temps à essayer d'arrondir les angles auprès de son
fils pour ne pas le mettre en porte à faux, pour ne pas qu'il
soit exposé aux affaires, qu'il ne dit même pas devant lui une
seule méchanceté à propos de sa mère, qu'il fait tout pour que
son enfance soit à peu près heureuse.
Et tout ce que cette... (je n'ose dire le mot, vu qu'elle est
dans le droit,
elle doit avoir une susceptibilité qui me
vaudrait un procès si je le prononçais) trouve à dire, c'est
que le père est un salopard dont le seul but est de faire chier
la mère ?
MAIS JE RÊVE ! Mais pour qui elle se prend, cette ... ? Elle
rend une conclusion définitive sans rien connaître du dossier
alors que tout ce que je lui présente va dans l'autre sens.
Qu'elle mette en doute mes dires si ça lui parait
invraisemblable, ce ne sera pas la première fois, je m'en
accomoderais, mais son jugement sur ce pauvre père qui a vu sa
vie familiale voler en éclat par cette salope et qui malgré
tout reste très digne n'a déjà rien à voir avec le droit, et
n'a rien à voir avec ce qui irait dans mon sens ou pas. C'est
très loin de lui faire honneur, et je suis gentil en disant ça.
J'avais demandé au départ quelles étaient les sanctions
possibles contre une greffière défaillante...
Il t'a bien pourtant été répondu : seul le tribunal
administratif est compétent, donc il faut attaquer l'Etat.
Et des spécialistes t'ont dit : "attention, c'est (presque)
perdu d'avance..."
J'avais bien compris et je n'ai jamais contesté le fait, me
semble-t-il...
Et puis qu'est-ce qui prouve que la greffière a été
"défaillante" ? Le propos inconsidéré d'un magistrat
débordé ? N'aurait-il pas pu lui-même égarer ce dossier ?
Si, bien sûr, et se défausser sur une subalterne. Ce ne serait
pas la première fois. Mais vu que c'est la raison qu'il a
donnée, en imaginant qu'une demande de sanction conduise à une
sorte d'enquête obligeant les deux concernés à se confronter,
on n'en aurait su un peu plus. Notez que je n'ai jamais cru que
ce soit possible.
Quoi qu'il en soit, le juge nous explique "on ne peut pas faire
l'audience, la greffière a perdu le dossier". Circulez, il n'y
a rien à voir. C'est quoi, la prochaine excuse ? Il n'y a plus
d'encre dans le stylo ?
N'y a-t-il pas un avocat qui défende les intérêts du père ?
Si, si, et j'ai l'impression qu'elle ne se débrouille pas trop
mal. C'est juste moi, qui observe ce simulacre de justice
depuis 10 ans. Et c'est juste moi qui ai pété un câble le soir
où j'ai initié le thread.
Le père espérait, dans la mesure où la mère semblait ne plus
vouloir assurer la résidence de l'enfant (mise à la porte,
mails dans ce sens) que le juge lui attribuerait la garde
(enfin, vous me comprenez, donnerait la résidence du fils chez
le père) de manière officielle. Il semblait pour une fois assez
optimiste.
Et moi, je lui avais dit de se méfier, qu'ils allaient trouver
un truc, qu'il soignait mal ses ongles incarnés ou que ça
allait obliger le fiston à abandonner le judo ou un excuse
bidon de ce genre. Comme la mère venait juste de changer
d'avis, je lui ai même dit qu'elle allait faire croire que
c'était convenu, qu'il avait toujours été prévu qu'il revienne
trois semaines après, etc.
Et quand je suis rentré chez moi le soir en question, qu'on m'a
appris que la mère était venu chercher son fils à l'école de la
ville du père pour le ramener chez elle (alors qu'il n'a
pratiquement plus d'affaires à lui là-bas), que l'audience
avait été repoussé parce que la greffière avait perdu le
dossier et que le juge avait dit "il est chez sa mère ? qu'il y
reste", ça me semblait tellement énorme que je ne voulais pas
qu'on laisse passer ça et que je suis venu me renseigner ici.
Voilà, ça fait un peu 36.15 MYLIFE,
je m'en excuse,
mais le père n'y ait absolument pour rien là-dedans. C'est moi qui
ai posé la question pour savoir si une possibilité en ce sens
existait. Et j'avais juste posé une question de droit même si je
savais qu'il y aurait forcément des leçons de morale.
Alors, conspuez-moi si vous le voulez, comme l'a fait si
"subtilement" Tadugradus dans un style qui n'est pas sans
rappeler San Antonio quand il ne savait pas encore écrire, mais
merci d'éviter les jugements du père à l'emporte-pièce qui ne
le mérite VRAIMENT pas.
Merci pour lui.
djeel a formulé la demande :
Le 01/12/2014 12:54, ixion martin - GdBx a écrit :
Oui, fin de la discussion car vous êtes en réalité une
personne méprisable
Il semble que tu n'apprécies pas les réponses qui ne vont
pas dans ton sens. Relis toutes les réponses de Dominique
et tu verras qu'elle essaie (comme d'autres) de parler
plutôt en droit qu'en affectif. Pourquoi veux-tu qu'on
abonde dans ton sens sans connaître l'autre son de cloche ?
Cher monsieur (madame ?),
Il me semble que vous faites preuve d'un esprit partisan, genre
une solidarité fmd. La question, à la base, était de savoir si
on avait moyen de demander une sanction contre une greffière
qui avait perdu un dossier. Je vous invite, si vous avez le
temps et surtout le courage de relire l'échange.
On m'a répondu grosso modo, si j'ai bien compris, qu'il
faudrait pour cela attaquer l'Etat qui déciderait à son tour
s'Il sanctionne ou pas ladite personne, que dans tous les cas
ce serait long, sans doute coûteux, pour un résultat loin
d'être assuré et que ça ne servirait pas la cause du demandeur
qui recevrait des a priori négatifs sur son affaire.
Je ne crois pas avoir contesté ce fait, je l'ai peut-être
abusivement résumé à un "dans les faits, ils sont intouchables"
qui a été assez mal perçu. Je m'en excuse même si pour moi,
c'est ce que ça signifie. Mais pas question de ma part de
remettre en cause la véracité de ladite chose d'autant que cela
revenait peu ou prou à ce que j'imaginais.
Par contre, dire que Dame Dominique a répondu en droit plutôt
qu'en affectif, laissez-moi pouffer. Elle a pété les plombs en
parlant de famille de merde, de paranoïa ou je ne sais quoi
d'autres. Je ne vois pas trop où est le droit là-dedans.
Je lui exposé avec beaucoup de patience (pensant avoir à faire
à quelqu'un sans a priori foireux)
la situation, en expliquant
tous les torts de la mère (et encore, je ne les ai pas tous
énumérés).
Ça fait dix ans que le père subit cette situation et
passe son temps à essayer d'arrondir les angles auprès de son
fils pour ne pas le mettre en porte à faux, pour ne pas qu'il
soit exposé aux affaires, qu'il ne dit même pas devant lui une
seule méchanceté à propos de sa mère, qu'il fait tout pour que
son enfance soit à peu près heureuse.
Et tout ce que cette... (je n'ose dire le mot, vu qu'elle est
dans le droit,
elle doit avoir une susceptibilité qui me
vaudrait un procès si je le prononçais) trouve à dire, c'est
que le père est un salopard dont le seul but est de faire chier
la mère ?
MAIS JE RÊVE ! Mais pour qui elle se prend, cette ... ? Elle
rend une conclusion définitive sans rien connaître du dossier
alors que tout ce que je lui présente va dans l'autre sens.
Qu'elle mette en doute mes dires si ça lui parait
invraisemblable, ce ne sera pas la première fois, je m'en
accomoderais, mais son jugement sur ce pauvre père qui a vu sa
vie familiale voler en éclat par cette salope et qui malgré
tout reste très digne n'a déjà rien à voir avec le droit, et
n'a rien à voir avec ce qui irait dans mon sens ou pas. C'est
très loin de lui faire honneur, et je suis gentil en disant ça.
J'avais demandé au départ quelles étaient les sanctions
possibles contre une greffière défaillante...
Il t'a bien pourtant été répondu : seul le tribunal
administratif est compétent, donc il faut attaquer l'Etat.
Et des spécialistes t'ont dit : "attention, c'est (presque)
perdu d'avance..."
J'avais bien compris et je n'ai jamais contesté le fait, me
semble-t-il...
Et puis qu'est-ce qui prouve que la greffière a été
"défaillante" ? Le propos inconsidéré d'un magistrat
débordé ? N'aurait-il pas pu lui-même égarer ce dossier ?
Si, bien sûr, et se défausser sur une subalterne. Ce ne serait
pas la première fois. Mais vu que c'est la raison qu'il a
donnée, en imaginant qu'une demande de sanction conduise à une
sorte d'enquête obligeant les deux concernés à se confronter,
on n'en aurait su un peu plus. Notez que je n'ai jamais cru que
ce soit possible.
Quoi qu'il en soit, le juge nous explique "on ne peut pas faire
l'audience, la greffière a perdu le dossier". Circulez, il n'y
a rien à voir. C'est quoi, la prochaine excuse ? Il n'y a plus
d'encre dans le stylo ?
N'y a-t-il pas un avocat qui défende les intérêts du père ?
Si, si, et j'ai l'impression qu'elle ne se débrouille pas trop
mal. C'est juste moi, qui observe ce simulacre de justice
depuis 10 ans. Et c'est juste moi qui ai pété un câble le soir
où j'ai initié le thread.
Le père espérait, dans la mesure où la mère semblait ne plus
vouloir assurer la résidence de l'enfant (mise à la porte,
mails dans ce sens) que le juge lui attribuerait la garde
(enfin, vous me comprenez, donnerait la résidence du fils chez
le père) de manière officielle. Il semblait pour une fois assez
optimiste.
Et moi, je lui avais dit de se méfier, qu'ils allaient trouver
un truc, qu'il soignait mal ses ongles incarnés ou que ça
allait obliger le fiston à abandonner le judo ou un excuse
bidon de ce genre. Comme la mère venait juste de changer
d'avis, je lui ai même dit qu'elle allait faire croire que
c'était convenu, qu'il avait toujours été prévu qu'il revienne
trois semaines après, etc.
Et quand je suis rentré chez moi le soir en question, qu'on m'a
appris que la mère était venu chercher son fils à l'école de la
ville du père pour le ramener chez elle (alors qu'il n'a
pratiquement plus d'affaires à lui là-bas), que l'audience
avait été repoussé parce que la greffière avait perdu le
dossier et que le juge avait dit "il est chez sa mère ? qu'il y
reste", ça me semblait tellement énorme que je ne voulais pas
qu'on laisse passer ça et que je suis venu me renseigner ici.
Voilà, ça fait un peu 36.15 MYLIFE,
je m'en excuse,
mais le père n'y ait absolument pour rien là-dedans. C'est moi qui
ai posé la question pour savoir si une possibilité en ce sens
existait. Et j'avais juste posé une question de droit même si je
savais qu'il y aurait forcément des leçons de morale.
Alors, conspuez-moi si vous le voulez, comme l'a fait si
"subtilement" Tadugradus dans un style qui n'est pas sans
rappeler San Antonio quand il ne savait pas encore écrire, mais
merci d'éviter les jugements du père à l'emporte-pièce qui ne
le mérite VRAIMENT pas.
Merci pour lui.
djeel a formulé la demande :Le 01/12/2014 12:54, ixion martin - GdBx a écrit :Oui, fin de la discussion car vous êtes en réalité une
personne méprisable
Il semble que tu n'apprécies pas les réponses qui ne vont
pas dans ton sens. Relis toutes les réponses de Dominique
et tu verras qu'elle essaie (comme d'autres) de parler
plutôt en droit qu'en affectif. Pourquoi veux-tu qu'on
abonde dans ton sens sans connaître l'autre son de cloche ?
Cher monsieur (madame ?),
Il me semble que vous faites preuve d'un esprit partisan, genre
une solidarité fmd. La question, à la base, était de savoir si
on avait moyen de demander une sanction contre une greffière
qui avait perdu un dossier. Je vous invite, si vous avez le
temps et surtout le courage de relire l'échange.
On m'a répondu grosso modo, si j'ai bien compris, qu'il
faudrait pour cela attaquer l'Etat qui déciderait à son tour
s'Il sanctionne ou pas ladite personne, que dans tous les cas
ce serait long, sans doute coûteux, pour un résultat loin
d'être assuré et que ça ne servirait pas la cause du demandeur
qui recevrait des a priori négatifs sur son affaire.
Je ne crois pas avoir contesté ce fait, je l'ai peut-être
abusivement résumé à un "dans les faits, ils sont intouchables"
qui a été assez mal perçu. Je m'en excuse même si pour moi,
c'est ce que ça signifie. Mais pas question de ma part de
remettre en cause la véracité de ladite chose d'autant que cela
revenait peu ou prou à ce que j'imaginais.
Par contre, dire que Dame Dominique a répondu en droit plutôt
qu'en affectif, laissez-moi pouffer. Elle a pété les plombs en
parlant de famille de merde, de paranoïa ou je ne sais quoi
d'autres. Je ne vois pas trop où est le droit là-dedans.
Je lui exposé avec beaucoup de patience (pensant avoir à faire
à quelqu'un sans a priori foireux)
la situation, en expliquant
tous les torts de la mère (et encore, je ne les ai pas tous
énumérés).
Ça fait dix ans que le père subit cette situation et
passe son temps à essayer d'arrondir les angles auprès de son
fils pour ne pas le mettre en porte à faux, pour ne pas qu'il
soit exposé aux affaires, qu'il ne dit même pas devant lui une
seule méchanceté à propos de sa mère, qu'il fait tout pour que
son enfance soit à peu près heureuse.
Et tout ce que cette... (je n'ose dire le mot, vu qu'elle est
dans le droit,
elle doit avoir une susceptibilité qui me
vaudrait un procès si je le prononçais) trouve à dire, c'est
que le père est un salopard dont le seul but est de faire chier
la mère ?
MAIS JE RÊVE ! Mais pour qui elle se prend, cette ... ? Elle
rend une conclusion définitive sans rien connaître du dossier
alors que tout ce que je lui présente va dans l'autre sens.
Qu'elle mette en doute mes dires si ça lui parait
invraisemblable, ce ne sera pas la première fois, je m'en
accomoderais, mais son jugement sur ce pauvre père qui a vu sa
vie familiale voler en éclat par cette salope et qui malgré
tout reste très digne n'a déjà rien à voir avec le droit, et
n'a rien à voir avec ce qui irait dans mon sens ou pas. C'est
très loin de lui faire honneur, et je suis gentil en disant ça.
J'avais demandé au départ quelles étaient les sanctions
possibles contre une greffière défaillante...
Il t'a bien pourtant été répondu : seul le tribunal
administratif est compétent, donc il faut attaquer l'Etat.
Et des spécialistes t'ont dit : "attention, c'est (presque)
perdu d'avance..."
J'avais bien compris et je n'ai jamais contesté le fait, me
semble-t-il...
Et puis qu'est-ce qui prouve que la greffière a été
"défaillante" ? Le propos inconsidéré d'un magistrat
débordé ? N'aurait-il pas pu lui-même égarer ce dossier ?
Si, bien sûr, et se défausser sur une subalterne. Ce ne serait
pas la première fois. Mais vu que c'est la raison qu'il a
donnée, en imaginant qu'une demande de sanction conduise à une
sorte d'enquête obligeant les deux concernés à se confronter,
on n'en aurait su un peu plus. Notez que je n'ai jamais cru que
ce soit possible.
Quoi qu'il en soit, le juge nous explique "on ne peut pas faire
l'audience, la greffière a perdu le dossier". Circulez, il n'y
a rien à voir. C'est quoi, la prochaine excuse ? Il n'y a plus
d'encre dans le stylo ?
N'y a-t-il pas un avocat qui défende les intérêts du père ?
Si, si, et j'ai l'impression qu'elle ne se débrouille pas trop
mal. C'est juste moi, qui observe ce simulacre de justice
depuis 10 ans. Et c'est juste moi qui ai pété un câble le soir
où j'ai initié le thread.
Le père espérait, dans la mesure où la mère semblait ne plus
vouloir assurer la résidence de l'enfant (mise à la porte,
mails dans ce sens) que le juge lui attribuerait la garde
(enfin, vous me comprenez, donnerait la résidence du fils chez
le père) de manière officielle. Il semblait pour une fois assez
optimiste.
Et moi, je lui avais dit de se méfier, qu'ils allaient trouver
un truc, qu'il soignait mal ses ongles incarnés ou que ça
allait obliger le fiston à abandonner le judo ou un excuse
bidon de ce genre. Comme la mère venait juste de changer
d'avis, je lui ai même dit qu'elle allait faire croire que
c'était convenu, qu'il avait toujours été prévu qu'il revienne
trois semaines après, etc.
Et quand je suis rentré chez moi le soir en question, qu'on m'a
appris que la mère était venu chercher son fils à l'école de la
ville du père pour le ramener chez elle (alors qu'il n'a
pratiquement plus d'affaires à lui là-bas), que l'audience
avait été repoussé parce que la greffière avait perdu le
dossier et que le juge avait dit "il est chez sa mère ? qu'il y
reste", ça me semblait tellement énorme que je ne voulais pas
qu'on laisse passer ça et que je suis venu me renseigner ici.
Voilà, ça fait un peu 36.15 MYLIFE,
je m'en excuse,
mais le père n'y ait absolument pour rien là-dedans. C'est moi qui
ai posé la question pour savoir si une possibilité en ce sens
existait. Et j'avais juste posé une question de droit même si je
savais qu'il y aurait forcément des leçons de morale.
Alors, conspuez-moi si vous le voulez, comme l'a fait si
"subtilement" Tadugradus dans un style qui n'est pas sans
rappeler San Antonio quand il ne savait pas encore écrire, mais
merci d'éviter les jugements du père à l'emporte-pièce qui ne
le mérite VRAIMENT pas.
Merci pour lui.
Dominique de Corse wrote:
> Votre médecin bénéficie d'une assurance et d'une protecction juridique
> plus ou moins fournies par son conseil de l'Ordre et dont les primes
> sont déductibles de son revenu professionnel...
Et les employés du secteur privé ne sont pas responsables devant le
premier ixion martin venu, mais seulement devant leur employeur. Donc il
est impossible de rechercher leur responsablilité personnelle, mais
seulement celle de l'entreprise. Ah merde, comme pour le public alors !
Hé oui. Seul leur employeur peut éventuellement leur appliquer une
sanction.
Et mixion artin de maugréer qu'il s'en doutait, tous des
salauds de planqués trouillards sauf lui.
Dominique de Corse <dmkgbt@free.invalid> wrote:
> Votre médecin bénéficie d'une assurance et d'une protecction juridique
> plus ou moins fournies par son conseil de l'Ordre et dont les primes
> sont déductibles de son revenu professionnel...
Et les employés du secteur privé ne sont pas responsables devant le
premier ixion martin venu, mais seulement devant leur employeur. Donc il
est impossible de rechercher leur responsablilité personnelle, mais
seulement celle de l'entreprise. Ah merde, comme pour le public alors !
Hé oui. Seul leur employeur peut éventuellement leur appliquer une
sanction.
Et mixion artin de maugréer qu'il s'en doutait, tous des
salauds de planqués trouillards sauf lui.
Dominique de Corse wrote:
> Votre médecin bénéficie d'une assurance et d'une protecction juridique
> plus ou moins fournies par son conseil de l'Ordre et dont les primes
> sont déductibles de son revenu professionnel...
Et les employés du secteur privé ne sont pas responsables devant le
premier ixion martin venu, mais seulement devant leur employeur. Donc il
est impossible de rechercher leur responsablilité personnelle, mais
seulement celle de l'entreprise. Ah merde, comme pour le public alors !
Hé oui. Seul leur employeur peut éventuellement leur appliquer une
sanction.
Et mixion artin de maugréer qu'il s'en doutait, tous des
salauds de planqués trouillards sauf lui.