Au contraire, s'il arrive à la prochaine audience concentré, avec un
dossier clair et en ordre et une réelle volonté de prendre en compte
l'intérêt exclusif de son enfant, en laissant tomber les engueulades et
les accusations ressassées contre la mère, il aura d'autant plus de
chance d'avoir son fils chez lui.
Mais est ce vraiment ce qu'il veut ou veut-il simplement punir la mère?
Mais ce qui fait rager dans ces histoires de délais, c'est que ça se
termine souvent par la considération très raisonnable du fait établi et de
la stabilité de l'enfant.
Au contraire, s'il arrive à la prochaine audience concentré, avec un
dossier clair et en ordre et une réelle volonté de prendre en compte
l'intérêt exclusif de son enfant, en laissant tomber les engueulades et
les accusations ressassées contre la mère, il aura d'autant plus de
chance d'avoir son fils chez lui.
Mais est ce vraiment ce qu'il veut ou veut-il simplement punir la mère?
Mais ce qui fait rager dans ces histoires de délais, c'est que ça se
termine souvent par la considération très raisonnable du fait établi et de
la stabilité de l'enfant.
Au contraire, s'il arrive à la prochaine audience concentré, avec un
dossier clair et en ordre et une réelle volonté de prendre en compte
l'intérêt exclusif de son enfant, en laissant tomber les engueulades et
les accusations ressassées contre la mère, il aura d'autant plus de
chance d'avoir son fils chez lui.
Mais est ce vraiment ce qu'il veut ou veut-il simplement punir la mère?
Mais ce qui fait rager dans ces histoires de délais, c'est que ça se
termine souvent par la considération très raisonnable du fait établi et de
la stabilité de l'enfant.
Dominique de Corse a couché sur son écran :Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
[...]Un employé du secteur privé n'est pas un fonctionnaire.
Vous avez pourtant écrit "Si n'importe qui pouvait attaquer devant un
tribunal de l'ordre judiciaire n'importe quel agent public, croyez vous
qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter un voleur, un
agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un contribuable?"
Doit-on comprendre qu'un agent de l'ordre public est un couard ? Et
qu'il a besoin d'une "immunité" juridique pour faire son travail ?
Dominique de Corse a couché sur son écran :
Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
[...]
Un employé du secteur privé n'est pas un fonctionnaire.
Vous avez pourtant écrit "Si n'importe qui pouvait attaquer devant un
tribunal de l'ordre judiciaire n'importe quel agent public, croyez vous
qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter un voleur, un
agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un contribuable?"
Doit-on comprendre qu'un agent de l'ordre public est un couard ? Et
qu'il a besoin d'une "immunité" juridique pour faire son travail ?
Dominique de Corse a couché sur son écran :Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
[...]Un employé du secteur privé n'est pas un fonctionnaire.
Vous avez pourtant écrit "Si n'importe qui pouvait attaquer devant un
tribunal de l'ordre judiciaire n'importe quel agent public, croyez vous
qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter un voleur, un
agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un contribuable?"
Doit-on comprendre qu'un agent de l'ordre public est un couard ? Et
qu'il a besoin d'une "immunité" juridique pour faire son travail ?
C'était son droit le plus strict : l'avortement est légal en France.
Le délai "légal" c'est pour les autres (médecins notamment) : une
femme peut tout à fait pratiquer elle-même des man½uvres abortives sur
son f½tus jusqu'à la veille du terme.
Tiens donc. Vous avez un article de loi pour ça ?
C'était son droit le plus strict : l'avortement est légal en France.
Le délai "légal" c'est pour les autres (médecins notamment) : une
femme peut tout à fait pratiquer elle-même des man½uvres abortives sur
son f½tus jusqu'à la veille du terme.
Tiens donc. Vous avez un article de loi pour ça ?
C'était son droit le plus strict : l'avortement est légal en France.
Le délai "légal" c'est pour les autres (médecins notamment) : une
femme peut tout à fait pratiquer elle-même des man½uvres abortives sur
son f½tus jusqu'à la veille du terme.
Tiens donc. Vous avez un article de loi pour ça ?
Comment diable a-t-il pu rescolariser l'enfant ailleurs sans que les
services sociaux ET le JAF soient au courant?
Chaque fois que j'ai inscrit mon fils dans une nouvelle école, j'ai dû
produire l'attestation de sortie de l'ancienne école et le jugement
m'accordant le domicile de mon fils et j'ai fourni adresse et téléphone
du père.
D'ailleurs, la mère a bien récupéré son fils a l'école le jour de
l'audience, c'est donc que l'école connaissait son existence sinon ils
ne le lui auraient pas remis.
Comment diable a-t-il pu rescolariser l'enfant ailleurs sans que les
services sociaux ET le JAF soient au courant?
Chaque fois que j'ai inscrit mon fils dans une nouvelle école, j'ai dû
produire l'attestation de sortie de l'ancienne école et le jugement
m'accordant le domicile de mon fils et j'ai fourni adresse et téléphone
du père.
D'ailleurs, la mère a bien récupéré son fils a l'école le jour de
l'audience, c'est donc que l'école connaissait son existence sinon ils
ne le lui auraient pas remis.
Comment diable a-t-il pu rescolariser l'enfant ailleurs sans que les
services sociaux ET le JAF soient au courant?
Chaque fois que j'ai inscrit mon fils dans une nouvelle école, j'ai dû
produire l'attestation de sortie de l'ancienne école et le jugement
m'accordant le domicile de mon fils et j'ai fourni adresse et téléphone
du père.
D'ailleurs, la mère a bien récupéré son fils a l'école le jour de
l'audience, c'est donc que l'école connaissait son existence sinon ils
ne le lui auraient pas remis.
L'école a obligation de laisser un enfant partir avec
n'importe quel parent (pendant la classe).
Encore plus simple : à la fin de la matinée ou journée,
l'enfant sort librement sans même qu'il y ait un parent qui
l'attende (sauf école maternelle).
L'école a obligation de laisser un enfant partir avec
n'importe quel parent (pendant la classe).
Encore plus simple : à la fin de la matinée ou journée,
l'enfant sort librement sans même qu'il y ait un parent qui
l'attende (sauf école maternelle).
L'école a obligation de laisser un enfant partir avec
n'importe quel parent (pendant la classe).
Encore plus simple : à la fin de la matinée ou journée,
l'enfant sort librement sans même qu'il y ait un parent qui
l'attende (sauf école maternelle).
Le 30/11/2014 22:05, ixion martin - GdBx a écrit :Dominique de Corse a couché sur son écran :Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
[...]Un employé du secteur privé n'est pas un fonctionnaire.
Vous avez pourtant écrit "Si n'importe qui pouvait attaquer
devant un
tribunal de l'ordre judiciaire n'importe quel agent public,
croyez vous
qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter
un voleur, un
agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un
contribuable?"
Doit-on comprendre qu'un agent de l'ordre public est un
couard ? Et
qu'il a besoin d'une "immunité" juridique pour faire son
travail ?
Bien sûr. Nous ne parlons pas de faute pénale, mais de
dommages civils. Si l'employé fait une connerie, c'est
l'employeur qui est responsable. Et heureusement: quand un
train déraille par la faute du conducteur, il vaut mieux que
les indemnisations ne soient pas le partage de son livret A.
Dans le cas de l'État, c'est spécial parce que très longtemps
il y a eu le dogme de l'irresponsabilité de l'État et il
reste des scories. Mais pour l'essentiel c'est réglé.
Le 30/11/2014 22:05, ixion martin - GdBx a écrit :
Dominique de Corse a couché sur son écran :
Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
[...]
Un employé du secteur privé n'est pas un fonctionnaire.
Vous avez pourtant écrit "Si n'importe qui pouvait attaquer
devant un
tribunal de l'ordre judiciaire n'importe quel agent public,
croyez vous
qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter
un voleur, un
agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un
contribuable?"
Doit-on comprendre qu'un agent de l'ordre public est un
couard ? Et
qu'il a besoin d'une "immunité" juridique pour faire son
travail ?
Bien sûr. Nous ne parlons pas de faute pénale, mais de
dommages civils. Si l'employé fait une connerie, c'est
l'employeur qui est responsable. Et heureusement: quand un
train déraille par la faute du conducteur, il vaut mieux que
les indemnisations ne soient pas le partage de son livret A.
Dans le cas de l'État, c'est spécial parce que très longtemps
il y a eu le dogme de l'irresponsabilité de l'État et il
reste des scories. Mais pour l'essentiel c'est réglé.
Le 30/11/2014 22:05, ixion martin - GdBx a écrit :Dominique de Corse a couché sur son écran :Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
[...]Un employé du secteur privé n'est pas un fonctionnaire.
Vous avez pourtant écrit "Si n'importe qui pouvait attaquer
devant un
tribunal de l'ordre judiciaire n'importe quel agent public,
croyez vous
qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter
un voleur, un
agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un
contribuable?"
Doit-on comprendre qu'un agent de l'ordre public est un
couard ? Et
qu'il a besoin d'une "immunité" juridique pour faire son
travail ?
Bien sûr. Nous ne parlons pas de faute pénale, mais de
dommages civils. Si l'employé fait une connerie, c'est
l'employeur qui est responsable. Et heureusement: quand un
train déraille par la faute du conducteur, il vaut mieux que
les indemnisations ne soient pas le partage de son livret A.
Dans le cas de l'État, c'est spécial parce que très longtemps
il y a eu le dogme de l'irresponsabilité de l'État et il
reste des scories. Mais pour l'essentiel c'est réglé.
Dominique de Corse wrote:
> jr wrote:
>
>> Dominique de Corse wrote:
>>> ixion martin - GdBx wrote:
>>>
>>>> Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :
>>>>> François Guillet wrote:
>>>>>
>>>>>> Dominique de Corse a formulé ce vendredi :
>>>>>> ...
>>>>>>> Sans doute quelqu'un qui n'a _jamais_ commis une seule
>>>>>>> erreur de toute sa vie.
>>>>>>
>>>>>> Ce n'est pas la question.
>>>>>> La question est celle d'assumer une erreur et donc d'en
>>>>>> payer les conséquences.
>>>>>
>>>>> Cherchez "Responsabilité de l'Etat du fait de ses agents"
>>>>> dans un traité de droit administratif.
>>>>>
>>>>> Si n'importe qui pouvait attaquer devant un tribunal de
>>>>> l'ordre judiciaire n'importe quel agent public, croyez vous
>>>>> qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter un
>>>>> voleur, un agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un
>>>>> contribuable?
>>>>
>>>> Quand le patient d'un chirurgien décède pendant une opération
>>>> parce que le médecin commet une erreur, pensez-vous qu'il ne
>>>> sera pas poursuivi parce que l'erreur est humaine ?
>>>
>>> Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
>>
>> Heu, ça arrive assez souvent quand même.
>
> "Les praticiens hospitaliers
Je pensais aux PUPH et autres MCUPH.
Dominique de Corse <dmkgbt@free.invalid> wrote:
> jr <jqs@froc.net> wrote:
>
>> Dominique de Corse <dmkgbt@free.invalid> wrote:
>>> ixion martin - GdBx <ixion@martin.invalid> wrote:
>>>
>>>> Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :
>>>>> François Guillet <guillet.francois@wanadoo.fr> wrote:
>>>>>
>>>>>> Dominique de Corse a formulé ce vendredi :
>>>>>> ...
>>>>>>> Sans doute quelqu'un qui n'a _jamais_ commis une seule
>>>>>>> erreur de toute sa vie.
>>>>>>
>>>>>> Ce n'est pas la question.
>>>>>> La question est celle d'assumer une erreur et donc d'en
>>>>>> payer les conséquences.
>>>>>
>>>>> Cherchez "Responsabilité de l'Etat du fait de ses agents"
>>>>> dans un traité de droit administratif.
>>>>>
>>>>> Si n'importe qui pouvait attaquer devant un tribunal de
>>>>> l'ordre judiciaire n'importe quel agent public, croyez vous
>>>>> qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter un
>>>>> voleur, un agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un
>>>>> contribuable?
>>>>
>>>> Quand le patient d'un chirurgien décède pendant une opération
>>>> parce que le médecin commet une erreur, pensez-vous qu'il ne
>>>> sera pas poursuivi parce que l'erreur est humaine ?
>>>
>>> Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
>>
>> Heu, ça arrive assez souvent quand même.
>
> "Les praticiens hospitaliers
Je pensais aux PUPH et autres MCUPH.
Dominique de Corse wrote:
> jr wrote:
>
>> Dominique de Corse wrote:
>>> ixion martin - GdBx wrote:
>>>
>>>> Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :
>>>>> François Guillet wrote:
>>>>>
>>>>>> Dominique de Corse a formulé ce vendredi :
>>>>>> ...
>>>>>>> Sans doute quelqu'un qui n'a _jamais_ commis une seule
>>>>>>> erreur de toute sa vie.
>>>>>>
>>>>>> Ce n'est pas la question.
>>>>>> La question est celle d'assumer une erreur et donc d'en
>>>>>> payer les conséquences.
>>>>>
>>>>> Cherchez "Responsabilité de l'Etat du fait de ses agents"
>>>>> dans un traité de droit administratif.
>>>>>
>>>>> Si n'importe qui pouvait attaquer devant un tribunal de
>>>>> l'ordre judiciaire n'importe quel agent public, croyez vous
>>>>> qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter un
>>>>> voleur, un agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un
>>>>> contribuable?
>>>>
>>>> Quand le patient d'un chirurgien décède pendant une opération
>>>> parce que le médecin commet une erreur, pensez-vous qu'il ne
>>>> sera pas poursuivi parce que l'erreur est humaine ?
>>>
>>> Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
>>
>> Heu, ça arrive assez souvent quand même.
>
> "Les praticiens hospitaliers
Je pensais aux PUPH et autres MCUPH.
Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :
> Enfin la personne accusée d'avoir commis une faute bénéficie
> des droits de sa défense, comme n'importe qui.
Je n'ai pas dit le contraire.
>> Je voulais en fait juste être sûr que ces gens sont
>> intouchables.
>
> Vous tirez de mauvaises conclusions.
>
>> Notons que je m'en doutais, mais en avoir
>> confirmation est toujours intéressant à savoir. ;)
>
> Vous n'avez eu ici confirmation que de ce que vous étiez de
> toute façon prêt à croire.
> Vous feriez un très mauvais juré d'assises.
> Trop prompt à condamner sur la base de vos seuls a priori.
Il s'agirait de savoir.
Vous m'expliquez qu'il existe des recours mais m'expliquez que
c'est un mauvais calcul parce que..., parce que..., parce
que...
etc.
Cela revient à dire qu'ils sont, dans les _faits_,
intouchables. Que la possibilité de sanction existe en théorie
ne change pas grand chose.
Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :
> Enfin la personne accusée d'avoir commis une faute bénéficie
> des droits de sa défense, comme n'importe qui.
Je n'ai pas dit le contraire.
>> Je voulais en fait juste être sûr que ces gens sont
>> intouchables.
>
> Vous tirez de mauvaises conclusions.
>
>> Notons que je m'en doutais, mais en avoir
>> confirmation est toujours intéressant à savoir. ;)
>
> Vous n'avez eu ici confirmation que de ce que vous étiez de
> toute façon prêt à croire.
> Vous feriez un très mauvais juré d'assises.
> Trop prompt à condamner sur la base de vos seuls a priori.
Il s'agirait de savoir.
Vous m'expliquez qu'il existe des recours mais m'expliquez que
c'est un mauvais calcul parce que..., parce que..., parce
que...
etc.
Cela revient à dire qu'ils sont, dans les _faits_,
intouchables. Que la possibilité de sanction existe en théorie
ne change pas grand chose.
Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :
> Enfin la personne accusée d'avoir commis une faute bénéficie
> des droits de sa défense, comme n'importe qui.
Je n'ai pas dit le contraire.
>> Je voulais en fait juste être sûr que ces gens sont
>> intouchables.
>
> Vous tirez de mauvaises conclusions.
>
>> Notons que je m'en doutais, mais en avoir
>> confirmation est toujours intéressant à savoir. ;)
>
> Vous n'avez eu ici confirmation que de ce que vous étiez de
> toute façon prêt à croire.
> Vous feriez un très mauvais juré d'assises.
> Trop prompt à condamner sur la base de vos seuls a priori.
Il s'agirait de savoir.
Vous m'expliquez qu'il existe des recours mais m'expliquez que
c'est un mauvais calcul parce que..., parce que..., parce
que...
etc.
Cela revient à dire qu'ils sont, dans les _faits_,
intouchables. Que la possibilité de sanction existe en théorie
ne change pas grand chose.
Dominique de Corse a couché sur son écran :
> Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
[...]
> Un employé du secteur privé n'est pas un fonctionnaire.
Vous avez pourtant écrit "Si n'importe qui pouvait attaquer
devant un tribunal de l'ordre judiciaire n'importe quel agent
public, croyez vous qu'un juge oserait rendre la justice, un
policier arrêter un voleur, un agent du Trésor saisir le compte
bancaire d'un contribuable?"
Doit-on comprendre qu'un agent de l'ordre public est un couard
?
Et qu'il a besoin d'une "immunité" juridique pour faire son
travail ? Parce que, bizarrement, un médecin ou employé du
secteur privé n'a pas l'air d'avoir peur d'oser faire son
travail malgré les risques qu'il encourt en cas de bévue,
lui...
Dominique de Corse a couché sur son écran :
> Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
[...]
> Un employé du secteur privé n'est pas un fonctionnaire.
Vous avez pourtant écrit "Si n'importe qui pouvait attaquer
devant un tribunal de l'ordre judiciaire n'importe quel agent
public, croyez vous qu'un juge oserait rendre la justice, un
policier arrêter un voleur, un agent du Trésor saisir le compte
bancaire d'un contribuable?"
Doit-on comprendre qu'un agent de l'ordre public est un couard
?
Et qu'il a besoin d'une "immunité" juridique pour faire son
travail ? Parce que, bizarrement, un médecin ou employé du
secteur privé n'a pas l'air d'avoir peur d'oser faire son
travail malgré les risques qu'il encourt en cas de bévue,
lui...
Dominique de Corse a couché sur son écran :
> Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
[...]
> Un employé du secteur privé n'est pas un fonctionnaire.
Vous avez pourtant écrit "Si n'importe qui pouvait attaquer
devant un tribunal de l'ordre judiciaire n'importe quel agent
public, croyez vous qu'un juge oserait rendre la justice, un
policier arrêter un voleur, un agent du Trésor saisir le compte
bancaire d'un contribuable?"
Doit-on comprendre qu'un agent de l'ordre public est un couard
?
Et qu'il a besoin d'une "immunité" juridique pour faire son
travail ? Parce que, bizarrement, un médecin ou employé du
secteur privé n'a pas l'air d'avoir peur d'oser faire son
travail malgré les risques qu'il encourt en cas de bévue,
lui...
Dominique de Corse wrote:
> ixion martin - GdBx wrote:
> Une main courante au Commissariat ou à la Gendarmerie suffisait à
> établir sa bonne foi.
Sert à rien.
> Se présenter aussitôt avec l'enfant et lesdits pandores au domicile de
> la mère emportait la preuve.
Arf. Je causais avant-hier avec un gus qui avait pleuré l'assistance d'un
gendarme pour une situation du même genre. Réponse "Monsieur, je n'étais
pas là non plus quand vous avez fait votre gosse".
> Pourquoi n'a t'il pas couru faire constater les faits par une main
> courante?
a-t-il.
La main courante ne sert à rien.
>> Madame a
>> pendant ce temps porté plainte au commissariat pour
>> soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
>> commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
>> s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
>> partir en lui disant presque "bon courage" tant les accusations
>> de Madame ne tenaient pas.
>
> Hé ben voilà!
Dans ces histoires les policiers sont toujours super-empathiques avec celui
qui se présente, tant qu'il ne porte pas plainte et ne les dérange pas.
Faut dire que tout le monde est super-convaincant.
Mais ce qui fait rager dans ces histoires de délais, c'est que ça se
termine souvent par la considération très raisonnable du fait établi et de
la stabilité de l'enfant.
Dominique de Corse <dmkgbt@free.invalid> wrote:
> ixion martin - GdBx <ixion@martin.invalid> wrote:
> Une main courante au Commissariat ou à la Gendarmerie suffisait à
> établir sa bonne foi.
Sert à rien.
> Se présenter aussitôt avec l'enfant et lesdits pandores au domicile de
> la mère emportait la preuve.
Arf. Je causais avant-hier avec un gus qui avait pleuré l'assistance d'un
gendarme pour une situation du même genre. Réponse "Monsieur, je n'étais
pas là non plus quand vous avez fait votre gosse".
> Pourquoi n'a t'il pas couru faire constater les faits par une main
> courante?
a-t-il.
La main courante ne sert à rien.
>> Madame a
>> pendant ce temps porté plainte au commissariat pour
>> soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
>> commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
>> s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
>> partir en lui disant presque "bon courage" tant les accusations
>> de Madame ne tenaient pas.
>
> Hé ben voilà!
Dans ces histoires les policiers sont toujours super-empathiques avec celui
qui se présente, tant qu'il ne porte pas plainte et ne les dérange pas.
Faut dire que tout le monde est super-convaincant.
Mais ce qui fait rager dans ces histoires de délais, c'est que ça se
termine souvent par la considération très raisonnable du fait établi et de
la stabilité de l'enfant.
Dominique de Corse wrote:
> ixion martin - GdBx wrote:
> Une main courante au Commissariat ou à la Gendarmerie suffisait à
> établir sa bonne foi.
Sert à rien.
> Se présenter aussitôt avec l'enfant et lesdits pandores au domicile de
> la mère emportait la preuve.
Arf. Je causais avant-hier avec un gus qui avait pleuré l'assistance d'un
gendarme pour une situation du même genre. Réponse "Monsieur, je n'étais
pas là non plus quand vous avez fait votre gosse".
> Pourquoi n'a t'il pas couru faire constater les faits par une main
> courante?
a-t-il.
La main courante ne sert à rien.
>> Madame a
>> pendant ce temps porté plainte au commissariat pour
>> soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
>> commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
>> s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
>> partir en lui disant presque "bon courage" tant les accusations
>> de Madame ne tenaient pas.
>
> Hé ben voilà!
Dans ces histoires les policiers sont toujours super-empathiques avec celui
qui se présente, tant qu'il ne porte pas plainte et ne les dérange pas.
Faut dire que tout le monde est super-convaincant.
Mais ce qui fait rager dans ces histoires de délais, c'est que ça se
termine souvent par la considération très raisonnable du fait établi et de
la stabilité de l'enfant.