Dominique de Corse vient de nous annoncer :
> Dans ce cas, "on" ne pose pas de question sur un groupe de
> discussion portant sur le droit.
OK.
Petite parenthèse, il ne faut pas s'étonner si le droit semble
complètement déconnecté de la réalité si pour une simple petite
question il y autant de digression pour arriver à une réponse.
Fin de la parenthèse.
>
> Quel type d'audience? Quel juge? Pour juger quoi?
> Qu'est ce que Monsieur, par le biais de son avocate a demandé
> qu'il soit jugé?
> Est ce une procédure devant le JAF?
> En bref, quel est le _véritable_ problème?
Je crois que Monsieur voulait officialiser qu'il avait la g^^^
que son fils logeait chez lui et qu'il n'y avait pas
soustraction d'enfant.
Le _véritable_ problème est que Monsieur est enflé par
l'institution judiciaire depuis 10 ans. Certes, vous me
rétorquerez que c'est une interprétation personnelle des
événements mais appelons un chat un chat.
Monsieur a été victime d'un mariage gris
qui a toutefois donné
naissance à un enfant
(dont la mère a tenté, soit dit en
passant, de se débarrasser au-delà du terme légale par des
méthodes dites non-conventionnelles).
Madame a depuis cette époque tout fait pour nuire à Monsieur,
depuis l'accusation contre toute évidence de maltraitance
jusqu'à l'agression physique lui ayant valu du sursis.
Donc, il a voulu officialiser la situation parce qu'il ne
voulait pas que Madame porte plainte pour soustraction
d'enfant.
En attendant, il a dû faire changer son fils d'école et
attendait le jour de l'audience. Il a donc reçu officiellement
une convocation du juge, Madame également.
Dès lors, Madame qui a dû réaliser (ou à qui on a dû expliquer)
qu'elle s'était mise en faute s'est mise dans la tête de
récupérer son fils coûte que coûte au point de vouloir
débarquer en pleine nuit.
Toujours est-il que Monsieur est parti avec Fiston à une
adresse inconnue de Madame et, sur les conseils de son avocat,
est resté à cette adresse jusqu'au jour de l'audience.
Madame a
pendant ce temps porté plainte au commissariat pour
soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
partir en lui disant presque "bon courage" tant les accusations
de Madame ne tenaient pas.
Le jour de l'audience, il a fait l'erreur de remettre Fiston à
l'école. Arrivé à l'audience, Madame lui a appris qu'elle avait
récupéré Fiston à l'école le midi et rescolarisé chez elle car
de toute façon, il rentrerait le soir.
Arrive enfin l'audience où le juge nous annonce le plus
simplement du monde que l'audience est reportée parce que la
greffière a égaré le dossier (ben tiens...). Et Fiston ? Il est
chez sa mère ? Qu'il y reste en attendant !
Voilà l'histoire plus complète que je ne voulais pas révéler
dans l'intégralité au départ, pensant qu'il n'y avait pas lieu
d'étaler la vie privée de Monsieur.
Donc, trouvant que l'erreur de la greffière tombe étonnamment à
pic, nous (enfin presque moi plus que Monsieur qui est
étonnemment zen (ou alors résigné, je ne sais)) aimerions faire
passer à cette greffière l'envie de reperdre le dossier "par
accident".
D'autant que c'était la première fois qu'ils passaient devant
ce juge, que le dossier devait ne pas être plus épais qu'une
feuille et que Mondieur avait avec lui l'équivalence d'un
bottin téléphonique de preuves à charge... Ça rend l'histoire
encore plus "savoureuse".
Voilà, vous savez tout.
> Son fils est bien chez Monsieur, en sécurité, et Monsieur est
> d'accord pour héberger son fils?
> Non?
> C'est ça le problème, il ne veut pas récupérer son fils à
> plein temps? Il veut le rendre à la mère?
cf. ci-dessus.
> Oui, bon, c'est chiant mais comme vous le disiez au dessus :
> il n'y a pas mort d'homme ni - plus important - de danger
> pour l'enfant.
N'en déplaise aux magistrats d'une étonnante cécité, il y a
toujours danger pour l'enfant quand il est chez sa mère.
>> Outre le fait que du côté de Monsieur on se demande si la
>> greffière n'est pas de connivence avec madame,
>
> Quel intérêt y aurait-elle?
Aucune idée. D'ici à ce qu'on découvre qu'elle est amie avec
Madame...
> Sachant que si c'était avéré, elle perdrait certainement son
> poste ET carrément son boulot suite à une procédure discipli-
> naire voire plus...
Donc, il y a une possibilité de sanction. C'est presque
inespéré.
> Il ne faut pas non plus être paranoïaque, comme ça...
Quand on voit ce qui se passe depuis dix ans, ne pas être
paranoïaque serait être devenu un légume.
> La phrase importante - pour le Monsieur - dans ce que vous
> dites, est celle-ci :
> " elle a fait une faute qui nuit à Monsieur"
>
> Quel préjudice a subi Monsieur, dites moi?
> Car moi, je n'en vois qu'un et il est très minime : le fait
> qu'il a dépensé des frais de déplacement pour une audience
> qui a été reportée.
>
> Je ne vois strictement aucune nuisance envers Monsieur.
Tout est expliqué ci-dessus.
Merci pour vous attarder sur mes messages incomplets.
Dominique de Corse vient de nous annoncer :
> Dans ce cas, "on" ne pose pas de question sur un groupe de
> discussion portant sur le droit.
OK.
Petite parenthèse, il ne faut pas s'étonner si le droit semble
complètement déconnecté de la réalité si pour une simple petite
question il y autant de digression pour arriver à une réponse.
Fin de la parenthèse.
>
> Quel type d'audience? Quel juge? Pour juger quoi?
> Qu'est ce que Monsieur, par le biais de son avocate a demandé
> qu'il soit jugé?
> Est ce une procédure devant le JAF?
> En bref, quel est le _véritable_ problème?
Je crois que Monsieur voulait officialiser qu'il avait la g^^^
que son fils logeait chez lui et qu'il n'y avait pas
soustraction d'enfant.
Le _véritable_ problème est que Monsieur est enflé par
l'institution judiciaire depuis 10 ans. Certes, vous me
rétorquerez que c'est une interprétation personnelle des
événements mais appelons un chat un chat.
Monsieur a été victime d'un mariage gris
qui a toutefois donné
naissance à un enfant
(dont la mère a tenté, soit dit en
passant, de se débarrasser au-delà du terme légale par des
méthodes dites non-conventionnelles).
Madame a depuis cette époque tout fait pour nuire à Monsieur,
depuis l'accusation contre toute évidence de maltraitance
jusqu'à l'agression physique lui ayant valu du sursis.
Donc, il a voulu officialiser la situation parce qu'il ne
voulait pas que Madame porte plainte pour soustraction
d'enfant.
En attendant, il a dû faire changer son fils d'école et
attendait le jour de l'audience. Il a donc reçu officiellement
une convocation du juge, Madame également.
Dès lors, Madame qui a dû réaliser (ou à qui on a dû expliquer)
qu'elle s'était mise en faute s'est mise dans la tête de
récupérer son fils coûte que coûte au point de vouloir
débarquer en pleine nuit.
Toujours est-il que Monsieur est parti avec Fiston à une
adresse inconnue de Madame et, sur les conseils de son avocat,
est resté à cette adresse jusqu'au jour de l'audience.
Madame a
pendant ce temps porté plainte au commissariat pour
soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
partir en lui disant presque "bon courage" tant les accusations
de Madame ne tenaient pas.
Le jour de l'audience, il a fait l'erreur de remettre Fiston à
l'école. Arrivé à l'audience, Madame lui a appris qu'elle avait
récupéré Fiston à l'école le midi et rescolarisé chez elle car
de toute façon, il rentrerait le soir.
Arrive enfin l'audience où le juge nous annonce le plus
simplement du monde que l'audience est reportée parce que la
greffière a égaré le dossier (ben tiens...). Et Fiston ? Il est
chez sa mère ? Qu'il y reste en attendant !
Voilà l'histoire plus complète que je ne voulais pas révéler
dans l'intégralité au départ, pensant qu'il n'y avait pas lieu
d'étaler la vie privée de Monsieur.
Donc, trouvant que l'erreur de la greffière tombe étonnamment à
pic, nous (enfin presque moi plus que Monsieur qui est
étonnemment zen (ou alors résigné, je ne sais)) aimerions faire
passer à cette greffière l'envie de reperdre le dossier "par
accident".
D'autant que c'était la première fois qu'ils passaient devant
ce juge, que le dossier devait ne pas être plus épais qu'une
feuille et que Mondieur avait avec lui l'équivalence d'un
bottin téléphonique de preuves à charge... Ça rend l'histoire
encore plus "savoureuse".
Voilà, vous savez tout.
> Son fils est bien chez Monsieur, en sécurité, et Monsieur est
> d'accord pour héberger son fils?
> Non?
> C'est ça le problème, il ne veut pas récupérer son fils à
> plein temps? Il veut le rendre à la mère?
cf. ci-dessus.
> Oui, bon, c'est chiant mais comme vous le disiez au dessus :
> il n'y a pas mort d'homme ni - plus important - de danger
> pour l'enfant.
N'en déplaise aux magistrats d'une étonnante cécité, il y a
toujours danger pour l'enfant quand il est chez sa mère.
>> Outre le fait que du côté de Monsieur on se demande si la
>> greffière n'est pas de connivence avec madame,
>
> Quel intérêt y aurait-elle?
Aucune idée. D'ici à ce qu'on découvre qu'elle est amie avec
Madame...
> Sachant que si c'était avéré, elle perdrait certainement son
> poste ET carrément son boulot suite à une procédure discipli-
> naire voire plus...
Donc, il y a une possibilité de sanction. C'est presque
inespéré.
> Il ne faut pas non plus être paranoïaque, comme ça...
Quand on voit ce qui se passe depuis dix ans, ne pas être
paranoïaque serait être devenu un légume.
> La phrase importante - pour le Monsieur - dans ce que vous
> dites, est celle-ci :
> " elle a fait une faute qui nuit à Monsieur"
>
> Quel préjudice a subi Monsieur, dites moi?
> Car moi, je n'en vois qu'un et il est très minime : le fait
> qu'il a dépensé des frais de déplacement pour une audience
> qui a été reportée.
>
> Je ne vois strictement aucune nuisance envers Monsieur.
Tout est expliqué ci-dessus.
Merci pour vous attarder sur mes messages incomplets.
Dominique de Corse vient de nous annoncer :
> Dans ce cas, "on" ne pose pas de question sur un groupe de
> discussion portant sur le droit.
OK.
Petite parenthèse, il ne faut pas s'étonner si le droit semble
complètement déconnecté de la réalité si pour une simple petite
question il y autant de digression pour arriver à une réponse.
Fin de la parenthèse.
>
> Quel type d'audience? Quel juge? Pour juger quoi?
> Qu'est ce que Monsieur, par le biais de son avocate a demandé
> qu'il soit jugé?
> Est ce une procédure devant le JAF?
> En bref, quel est le _véritable_ problème?
Je crois que Monsieur voulait officialiser qu'il avait la g^^^
que son fils logeait chez lui et qu'il n'y avait pas
soustraction d'enfant.
Le _véritable_ problème est que Monsieur est enflé par
l'institution judiciaire depuis 10 ans. Certes, vous me
rétorquerez que c'est une interprétation personnelle des
événements mais appelons un chat un chat.
Monsieur a été victime d'un mariage gris
qui a toutefois donné
naissance à un enfant
(dont la mère a tenté, soit dit en
passant, de se débarrasser au-delà du terme légale par des
méthodes dites non-conventionnelles).
Madame a depuis cette époque tout fait pour nuire à Monsieur,
depuis l'accusation contre toute évidence de maltraitance
jusqu'à l'agression physique lui ayant valu du sursis.
Donc, il a voulu officialiser la situation parce qu'il ne
voulait pas que Madame porte plainte pour soustraction
d'enfant.
En attendant, il a dû faire changer son fils d'école et
attendait le jour de l'audience. Il a donc reçu officiellement
une convocation du juge, Madame également.
Dès lors, Madame qui a dû réaliser (ou à qui on a dû expliquer)
qu'elle s'était mise en faute s'est mise dans la tête de
récupérer son fils coûte que coûte au point de vouloir
débarquer en pleine nuit.
Toujours est-il que Monsieur est parti avec Fiston à une
adresse inconnue de Madame et, sur les conseils de son avocat,
est resté à cette adresse jusqu'au jour de l'audience.
Madame a
pendant ce temps porté plainte au commissariat pour
soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
partir en lui disant presque "bon courage" tant les accusations
de Madame ne tenaient pas.
Le jour de l'audience, il a fait l'erreur de remettre Fiston à
l'école. Arrivé à l'audience, Madame lui a appris qu'elle avait
récupéré Fiston à l'école le midi et rescolarisé chez elle car
de toute façon, il rentrerait le soir.
Arrive enfin l'audience où le juge nous annonce le plus
simplement du monde que l'audience est reportée parce que la
greffière a égaré le dossier (ben tiens...). Et Fiston ? Il est
chez sa mère ? Qu'il y reste en attendant !
Voilà l'histoire plus complète que je ne voulais pas révéler
dans l'intégralité au départ, pensant qu'il n'y avait pas lieu
d'étaler la vie privée de Monsieur.
Donc, trouvant que l'erreur de la greffière tombe étonnamment à
pic, nous (enfin presque moi plus que Monsieur qui est
étonnemment zen (ou alors résigné, je ne sais)) aimerions faire
passer à cette greffière l'envie de reperdre le dossier "par
accident".
D'autant que c'était la première fois qu'ils passaient devant
ce juge, que le dossier devait ne pas être plus épais qu'une
feuille et que Mondieur avait avec lui l'équivalence d'un
bottin téléphonique de preuves à charge... Ça rend l'histoire
encore plus "savoureuse".
Voilà, vous savez tout.
> Son fils est bien chez Monsieur, en sécurité, et Monsieur est
> d'accord pour héberger son fils?
> Non?
> C'est ça le problème, il ne veut pas récupérer son fils à
> plein temps? Il veut le rendre à la mère?
cf. ci-dessus.
> Oui, bon, c'est chiant mais comme vous le disiez au dessus :
> il n'y a pas mort d'homme ni - plus important - de danger
> pour l'enfant.
N'en déplaise aux magistrats d'une étonnante cécité, il y a
toujours danger pour l'enfant quand il est chez sa mère.
>> Outre le fait que du côté de Monsieur on se demande si la
>> greffière n'est pas de connivence avec madame,
>
> Quel intérêt y aurait-elle?
Aucune idée. D'ici à ce qu'on découvre qu'elle est amie avec
Madame...
> Sachant que si c'était avéré, elle perdrait certainement son
> poste ET carrément son boulot suite à une procédure discipli-
> naire voire plus...
Donc, il y a une possibilité de sanction. C'est presque
inespéré.
> Il ne faut pas non plus être paranoïaque, comme ça...
Quand on voit ce qui se passe depuis dix ans, ne pas être
paranoïaque serait être devenu un légume.
> La phrase importante - pour le Monsieur - dans ce que vous
> dites, est celle-ci :
> " elle a fait une faute qui nuit à Monsieur"
>
> Quel préjudice a subi Monsieur, dites moi?
> Car moi, je n'en vois qu'un et il est très minime : le fait
> qu'il a dépensé des frais de déplacement pour une audience
> qui a été reportée.
>
> Je ne vois strictement aucune nuisance envers Monsieur.
Tout est expliqué ci-dessus.
Merci pour vous attarder sur mes messages incomplets.
> Je ne vois strictement aucune nuisance envers Monsieur.
En l'absence de décision de justice, l'enfant n'est pas censé être chez
lui.
Bref il est vulnérable à une turpitude.
En plus il doit probablement
payer une pension alors qu'il devrait toucher.
> Je ne vois strictement aucune nuisance envers Monsieur.
En l'absence de décision de justice, l'enfant n'est pas censé être chez
lui.
Bref il est vulnérable à une turpitude.
En plus il doit probablement
payer une pension alors qu'il devrait toucher.
> Je ne vois strictement aucune nuisance envers Monsieur.
En l'absence de décision de justice, l'enfant n'est pas censé être chez
lui.
Bref il est vulnérable à une turpitude.
En plus il doit probablement
payer une pension alors qu'il devrait toucher.
jr a exprimé avec précision :
> En l'absence de décision de justice, l'enfant n'est pas censé
> être chez lui. Bref il est vulnérable à une turpitude. En
> plus il doit probablement payer une pension alors qu'il
> devrait toucher.
J'ai écrit deux pavés alors que vous avez résumé la situation
en trois lignes... Je m'incline devant une telle leçon de
concision.
jr a exprimé avec précision :
> En l'absence de décision de justice, l'enfant n'est pas censé
> être chez lui. Bref il est vulnérable à une turpitude. En
> plus il doit probablement payer une pension alors qu'il
> devrait toucher.
J'ai écrit deux pavés alors que vous avez résumé la situation
en trois lignes... Je m'incline devant une telle leçon de
concision.
jr a exprimé avec précision :
> En l'absence de décision de justice, l'enfant n'est pas censé
> être chez lui. Bref il est vulnérable à une turpitude. En
> plus il doit probablement payer une pension alors qu'il
> devrait toucher.
J'ai écrit deux pavés alors que vous avez résumé la situation
en trois lignes... Je m'incline devant une telle leçon de
concision.
ixion martin - GdBx wrote:Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :François Guillet wrote:Dominique de Corse a formulé ce vendredi :
...Sans doute quelqu'un qui n'a _jamais_ commis une seule
erreur de toute sa vie.
Ce n'est pas la question.
La question est celle d'assumer une erreur et donc d'en
payer les conséquences.
Cherchez "Responsabilité de l'Etat du fait de ses agents"
dans un traité de droit administratif.
Si n'importe qui pouvait attaquer devant un tribunal de
l'ordre judiciaire n'importe quel agent public, croyez vous
qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter un
voleur, un agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un
contribuable?
Quand le patient d'un chirurgien décède pendant une opération
parce que le médecin commet une erreur, pensez-vous qu'il ne
sera pas poursuivi parce que l'erreur est humaine ?
Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
ixion martin - GdBx <ixion@martin.invalid> wrote:
Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :
François Guillet <guillet.francois@wanadoo.fr> wrote:
Dominique de Corse a formulé ce vendredi :
...
Sans doute quelqu'un qui n'a _jamais_ commis une seule
erreur de toute sa vie.
Ce n'est pas la question.
La question est celle d'assumer une erreur et donc d'en
payer les conséquences.
Cherchez "Responsabilité de l'Etat du fait de ses agents"
dans un traité de droit administratif.
Si n'importe qui pouvait attaquer devant un tribunal de
l'ordre judiciaire n'importe quel agent public, croyez vous
qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter un
voleur, un agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un
contribuable?
Quand le patient d'un chirurgien décède pendant une opération
parce que le médecin commet une erreur, pensez-vous qu'il ne
sera pas poursuivi parce que l'erreur est humaine ?
Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
ixion martin - GdBx wrote:Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :François Guillet wrote:Dominique de Corse a formulé ce vendredi :
...Sans doute quelqu'un qui n'a _jamais_ commis une seule
erreur de toute sa vie.
Ce n'est pas la question.
La question est celle d'assumer une erreur et donc d'en
payer les conséquences.
Cherchez "Responsabilité de l'Etat du fait de ses agents"
dans un traité de droit administratif.
Si n'importe qui pouvait attaquer devant un tribunal de
l'ordre judiciaire n'importe quel agent public, croyez vous
qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter un
voleur, un agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un
contribuable?
Quand le patient d'un chirurgien décède pendant une opération
parce que le médecin commet une erreur, pensez-vous qu'il ne
sera pas poursuivi parce que l'erreur est humaine ?
Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
Enfin la personne accusée d'avoir commis une faute bénéficie
des droits de sa défense, comme n'importe qui.
Je voulais en fait juste être sûr que ces gens sont
intouchables.
Vous tirez de mauvaises conclusions.Notons que je m'en doutais, mais en avoir
confirmation est toujours intéressant à savoir. ;)
Vous n'avez eu ici confirmation que de ce que vous étiez de
toute façon prêt à croire.
Vous feriez un très mauvais juré d'assises.
Trop prompt à condamner sur la base de vos seuls a priori.
Enfin la personne accusée d'avoir commis une faute bénéficie
des droits de sa défense, comme n'importe qui.
Je voulais en fait juste être sûr que ces gens sont
intouchables.
Vous tirez de mauvaises conclusions.
Notons que je m'en doutais, mais en avoir
confirmation est toujours intéressant à savoir. ;)
Vous n'avez eu ici confirmation que de ce que vous étiez de
toute façon prêt à croire.
Vous feriez un très mauvais juré d'assises.
Trop prompt à condamner sur la base de vos seuls a priori.
Enfin la personne accusée d'avoir commis une faute bénéficie
des droits de sa défense, comme n'importe qui.
Je voulais en fait juste être sûr que ces gens sont
intouchables.
Vous tirez de mauvaises conclusions.Notons que je m'en doutais, mais en avoir
confirmation est toujours intéressant à savoir. ;)
Vous n'avez eu ici confirmation que de ce que vous étiez de
toute façon prêt à croire.
Vous feriez un très mauvais juré d'assises.
Trop prompt à condamner sur la base de vos seuls a priori.
Dominique de Corse wrote:
> ixion martin - GdBx wrote:
>
>> Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :
>>> François Guillet wrote:
>>>
>>>> Dominique de Corse a formulé ce vendredi :
>>>> ...
>>>>> Sans doute quelqu'un qui n'a _jamais_ commis une seule
>>>>> erreur de toute sa vie.
>>>>
>>>> Ce n'est pas la question.
>>>> La question est celle d'assumer une erreur et donc d'en
>>>> payer les conséquences.
>>>
>>> Cherchez "Responsabilité de l'Etat du fait de ses agents"
>>> dans un traité de droit administratif.
>>>
>>> Si n'importe qui pouvait attaquer devant un tribunal de
>>> l'ordre judiciaire n'importe quel agent public, croyez vous
>>> qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter un
>>> voleur, un agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un
>>> contribuable?
>>
>> Quand le patient d'un chirurgien décède pendant une opération
>> parce que le médecin commet une erreur, pensez-vous qu'il ne
>> sera pas poursuivi parce que l'erreur est humaine ?
>
> Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
Heu, ça arrive assez souvent quand même.
Dominique de Corse <dmkgbt@free.invalid> wrote:
> ixion martin - GdBx <ixion@martin.invalid> wrote:
>
>> Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :
>>> François Guillet <guillet.francois@wanadoo.fr> wrote:
>>>
>>>> Dominique de Corse a formulé ce vendredi :
>>>> ...
>>>>> Sans doute quelqu'un qui n'a _jamais_ commis une seule
>>>>> erreur de toute sa vie.
>>>>
>>>> Ce n'est pas la question.
>>>> La question est celle d'assumer une erreur et donc d'en
>>>> payer les conséquences.
>>>
>>> Cherchez "Responsabilité de l'Etat du fait de ses agents"
>>> dans un traité de droit administratif.
>>>
>>> Si n'importe qui pouvait attaquer devant un tribunal de
>>> l'ordre judiciaire n'importe quel agent public, croyez vous
>>> qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter un
>>> voleur, un agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un
>>> contribuable?
>>
>> Quand le patient d'un chirurgien décède pendant une opération
>> parce que le médecin commet une erreur, pensez-vous qu'il ne
>> sera pas poursuivi parce que l'erreur est humaine ?
>
> Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
Heu, ça arrive assez souvent quand même.
Dominique de Corse wrote:
> ixion martin - GdBx wrote:
>
>> Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :
>>> François Guillet wrote:
>>>
>>>> Dominique de Corse a formulé ce vendredi :
>>>> ...
>>>>> Sans doute quelqu'un qui n'a _jamais_ commis une seule
>>>>> erreur de toute sa vie.
>>>>
>>>> Ce n'est pas la question.
>>>> La question est celle d'assumer une erreur et donc d'en
>>>> payer les conséquences.
>>>
>>> Cherchez "Responsabilité de l'Etat du fait de ses agents"
>>> dans un traité de droit administratif.
>>>
>>> Si n'importe qui pouvait attaquer devant un tribunal de
>>> l'ordre judiciaire n'importe quel agent public, croyez vous
>>> qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter un
>>> voleur, un agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un
>>> contribuable?
>>
>> Quand le patient d'un chirurgien décède pendant une opération
>> parce que le médecin commet une erreur, pensez-vous qu'il ne
>> sera pas poursuivi parce que l'erreur est humaine ?
>
> Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
Heu, ça arrive assez souvent quand même.
ixion martin - GdBx wrote:Dominique de Corse vient de nous annoncer :Dans ce cas, "on" ne pose pas de question sur un groupe de
discussion portant sur le droit.
OK.
Petite parenthèse, il ne faut pas s'étonner si le droit semble
complètement déconnecté de la réalité si pour une simple petite
question il y autant de digression pour arriver à une réponse.
Fin de la parenthèse.
Vous devriez être rassuré par ce droit français.
Parce qu'un droit rapide à expliquer et connecté directement à la
réalité est généralement un droit qui vous pend à une branche sur simple
présomption de délit de vol du cheval sur lequel vous êtes assis.
Genre Far West, si vous voyez ce que je veux dire.
(je coupe pour alléger le message)
Quel type d'audience? Quel juge? Pour juger quoi?
Qu'est ce que Monsieur, par le biais de son avocate a demandé
qu'il soit jugé?
Est ce une procédure devant le JAF?
En bref, quel est le _véritable_ problème?
Je crois que Monsieur voulait officialiser qu'il avait la g^^^
que son fils logeait chez lui et qu'il n'y avait pas
soustraction d'enfant.
Une main courante au Commissariat ou à la Gendarmerie suffisait à
établir sa bonne foi.
Se présenter aussitôt avec l'enfant et lesdits pandores au domicile de
la mère emportait la preuve.
Pourquoi n'a t'il pas couru faire constater les faits par une main
courante?
En attendant, il a dû faire changer son fils d'école et
attendait le jour de l'audience. Il a donc reçu officiellement
une convocation du juge, Madame également.
Voilà.
Le juge était donc au courant que Monsieur était de bonne foi.Dès lors, Madame qui a dû réaliser (ou à qui on a dû expliquer)
qu'elle s'était mise en faute s'est mise dans la tête de
récupérer son fils coûte que coûte au point de vouloir
débarquer en pleine nuit.
Appeler Commissariat ou Gendarmerie pour qu'ils constatent que Madame
est sur le pas de la porte en train de faire du scandale en pleine nuit.
S'ils ne viennent pas, il y aura quand même l'appel pour officialiser le
fait.Toujours est-il que Monsieur est parti avec Fiston à une
adresse inconnue de Madame et, sur les conseils de son avocat,
est resté à cette adresse jusqu'au jour de l'audience.
Il aurait mieux valu faire appel aux services sociaux et saisir le juge
des enfants pour que l'enfant soit hébergé dans un endroit neutre
( autre membre de la famille par exemple)Madame a
pendant ce temps porté plainte au commissariat pour
soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
partir en lui disant presque "bon courage" tant les accusations
de Madame ne tenaient pas.
Hé ben voilà!
Arrive enfin l'audience où le juge nous annonce le plus
simplement du monde que l'audience est reportée parce que la
greffière a égaré le dossier (ben tiens...). Et Fiston ? Il est
chez sa mère ? Qu'il y reste en attendant !
L'intérêt de l'enfant c'est peut-être de retrouver une certaine
stabilité.
Vous auriez voulu quoi?
Qu'on le réembarque chez son père entre deux flics?
Qu'on le flanque dans une famille d'accueil?Voilà l'histoire plus complète que je ne voulais pas révéler
dans l'intégralité au départ, pensant qu'il n'y avait pas lieu
d'étaler la vie privée de Monsieur.
Donc, trouvant que l'erreur de la greffière tombe étonnamment à
pic, nous (enfin presque moi plus que Monsieur qui est
étonnemment zen (ou alors résigné, je ne sais)) aimerions faire
passer à cette greffière l'envie de reperdre le dossier "par
accident".
D'autant que c'était la première fois qu'ils passaient devant
ce juge, que le dossier devait ne pas être plus épais qu'une
feuille et que Mondieur avait avec lui l'équivalence d'un
bottin téléphonique de preuves à charge... Ça rend l'histoire
encore plus "savoureuse".
Voilà, vous savez tout.
C'est très triste comme affaire parce que moi, je pense à cet enfant
balloté à droite à gauche par des parents inconscients de sa souffrance
et qui ne pensent qu'à eux mêmes.
La greffière ne l'a pas fait exprès, vous savez.
C'est probablement qu'elle est, comme tous les greffiers de France,
débordée par les dossiers qui s'accumulent faute de moyens en personnel
pour les traiter rapidement.
Vous pensez bien qu'elle n'a pas le temps de se dire "tiens celui-là, je
vais le faire chier, rien que pour rigoler" et qu'elle doit être désolée
d'avoir perdu ce dossier.
Essayer de la tenir responsable de la totalité de la situation ne fera
pas avancer l'affaire de Monsieur.
Au contraire, s'il arrive à la prochaine audience concentré, avec un
dossier clair et en ordre et une réelle volonté de prendre en compte
l'intérêt exclusif de son enfant, en laissant tomber les engueulades et
les accusations ressassées contre la mère, il aura d'autant plus de
chance d'avoir son fils chez lui.
Mais est ce vraiment ce qu'il veut ou veut-il simplement punir la mère?
ixion martin - GdBx <ixion@martin.invalid> wrote:
Dominique de Corse vient de nous annoncer :
Dans ce cas, "on" ne pose pas de question sur un groupe de
discussion portant sur le droit.
OK.
Petite parenthèse, il ne faut pas s'étonner si le droit semble
complètement déconnecté de la réalité si pour une simple petite
question il y autant de digression pour arriver à une réponse.
Fin de la parenthèse.
Vous devriez être rassuré par ce droit français.
Parce qu'un droit rapide à expliquer et connecté directement à la
réalité est généralement un droit qui vous pend à une branche sur simple
présomption de délit de vol du cheval sur lequel vous êtes assis.
Genre Far West, si vous voyez ce que je veux dire.
(je coupe pour alléger le message)
Quel type d'audience? Quel juge? Pour juger quoi?
Qu'est ce que Monsieur, par le biais de son avocate a demandé
qu'il soit jugé?
Est ce une procédure devant le JAF?
En bref, quel est le _véritable_ problème?
Je crois que Monsieur voulait officialiser qu'il avait la g^^^
que son fils logeait chez lui et qu'il n'y avait pas
soustraction d'enfant.
Une main courante au Commissariat ou à la Gendarmerie suffisait à
établir sa bonne foi.
Se présenter aussitôt avec l'enfant et lesdits pandores au domicile de
la mère emportait la preuve.
Pourquoi n'a t'il pas couru faire constater les faits par une main
courante?
En attendant, il a dû faire changer son fils d'école et
attendait le jour de l'audience. Il a donc reçu officiellement
une convocation du juge, Madame également.
Voilà.
Le juge était donc au courant que Monsieur était de bonne foi.
Dès lors, Madame qui a dû réaliser (ou à qui on a dû expliquer)
qu'elle s'était mise en faute s'est mise dans la tête de
récupérer son fils coûte que coûte au point de vouloir
débarquer en pleine nuit.
Appeler Commissariat ou Gendarmerie pour qu'ils constatent que Madame
est sur le pas de la porte en train de faire du scandale en pleine nuit.
S'ils ne viennent pas, il y aura quand même l'appel pour officialiser le
fait.
Toujours est-il que Monsieur est parti avec Fiston à une
adresse inconnue de Madame et, sur les conseils de son avocat,
est resté à cette adresse jusqu'au jour de l'audience.
Il aurait mieux valu faire appel aux services sociaux et saisir le juge
des enfants pour que l'enfant soit hébergé dans un endroit neutre
( autre membre de la famille par exemple)
Madame a
pendant ce temps porté plainte au commissariat pour
soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
partir en lui disant presque "bon courage" tant les accusations
de Madame ne tenaient pas.
Hé ben voilà!
Arrive enfin l'audience où le juge nous annonce le plus
simplement du monde que l'audience est reportée parce que la
greffière a égaré le dossier (ben tiens...). Et Fiston ? Il est
chez sa mère ? Qu'il y reste en attendant !
L'intérêt de l'enfant c'est peut-être de retrouver une certaine
stabilité.
Vous auriez voulu quoi?
Qu'on le réembarque chez son père entre deux flics?
Qu'on le flanque dans une famille d'accueil?
Voilà l'histoire plus complète que je ne voulais pas révéler
dans l'intégralité au départ, pensant qu'il n'y avait pas lieu
d'étaler la vie privée de Monsieur.
Donc, trouvant que l'erreur de la greffière tombe étonnamment à
pic, nous (enfin presque moi plus que Monsieur qui est
étonnemment zen (ou alors résigné, je ne sais)) aimerions faire
passer à cette greffière l'envie de reperdre le dossier "par
accident".
D'autant que c'était la première fois qu'ils passaient devant
ce juge, que le dossier devait ne pas être plus épais qu'une
feuille et que Mondieur avait avec lui l'équivalence d'un
bottin téléphonique de preuves à charge... Ça rend l'histoire
encore plus "savoureuse".
Voilà, vous savez tout.
C'est très triste comme affaire parce que moi, je pense à cet enfant
balloté à droite à gauche par des parents inconscients de sa souffrance
et qui ne pensent qu'à eux mêmes.
La greffière ne l'a pas fait exprès, vous savez.
C'est probablement qu'elle est, comme tous les greffiers de France,
débordée par les dossiers qui s'accumulent faute de moyens en personnel
pour les traiter rapidement.
Vous pensez bien qu'elle n'a pas le temps de se dire "tiens celui-là, je
vais le faire chier, rien que pour rigoler" et qu'elle doit être désolée
d'avoir perdu ce dossier.
Essayer de la tenir responsable de la totalité de la situation ne fera
pas avancer l'affaire de Monsieur.
Au contraire, s'il arrive à la prochaine audience concentré, avec un
dossier clair et en ordre et une réelle volonté de prendre en compte
l'intérêt exclusif de son enfant, en laissant tomber les engueulades et
les accusations ressassées contre la mère, il aura d'autant plus de
chance d'avoir son fils chez lui.
Mais est ce vraiment ce qu'il veut ou veut-il simplement punir la mère?
ixion martin - GdBx wrote:Dominique de Corse vient de nous annoncer :Dans ce cas, "on" ne pose pas de question sur un groupe de
discussion portant sur le droit.
OK.
Petite parenthèse, il ne faut pas s'étonner si le droit semble
complètement déconnecté de la réalité si pour une simple petite
question il y autant de digression pour arriver à une réponse.
Fin de la parenthèse.
Vous devriez être rassuré par ce droit français.
Parce qu'un droit rapide à expliquer et connecté directement à la
réalité est généralement un droit qui vous pend à une branche sur simple
présomption de délit de vol du cheval sur lequel vous êtes assis.
Genre Far West, si vous voyez ce que je veux dire.
(je coupe pour alléger le message)
Quel type d'audience? Quel juge? Pour juger quoi?
Qu'est ce que Monsieur, par le biais de son avocate a demandé
qu'il soit jugé?
Est ce une procédure devant le JAF?
En bref, quel est le _véritable_ problème?
Je crois que Monsieur voulait officialiser qu'il avait la g^^^
que son fils logeait chez lui et qu'il n'y avait pas
soustraction d'enfant.
Une main courante au Commissariat ou à la Gendarmerie suffisait à
établir sa bonne foi.
Se présenter aussitôt avec l'enfant et lesdits pandores au domicile de
la mère emportait la preuve.
Pourquoi n'a t'il pas couru faire constater les faits par une main
courante?
En attendant, il a dû faire changer son fils d'école et
attendait le jour de l'audience. Il a donc reçu officiellement
une convocation du juge, Madame également.
Voilà.
Le juge était donc au courant que Monsieur était de bonne foi.Dès lors, Madame qui a dû réaliser (ou à qui on a dû expliquer)
qu'elle s'était mise en faute s'est mise dans la tête de
récupérer son fils coûte que coûte au point de vouloir
débarquer en pleine nuit.
Appeler Commissariat ou Gendarmerie pour qu'ils constatent que Madame
est sur le pas de la porte en train de faire du scandale en pleine nuit.
S'ils ne viennent pas, il y aura quand même l'appel pour officialiser le
fait.Toujours est-il que Monsieur est parti avec Fiston à une
adresse inconnue de Madame et, sur les conseils de son avocat,
est resté à cette adresse jusqu'au jour de l'audience.
Il aurait mieux valu faire appel aux services sociaux et saisir le juge
des enfants pour que l'enfant soit hébergé dans un endroit neutre
( autre membre de la famille par exemple)Madame a
pendant ce temps porté plainte au commissariat pour
soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
partir en lui disant presque "bon courage" tant les accusations
de Madame ne tenaient pas.
Hé ben voilà!
Arrive enfin l'audience où le juge nous annonce le plus
simplement du monde que l'audience est reportée parce que la
greffière a égaré le dossier (ben tiens...). Et Fiston ? Il est
chez sa mère ? Qu'il y reste en attendant !
L'intérêt de l'enfant c'est peut-être de retrouver une certaine
stabilité.
Vous auriez voulu quoi?
Qu'on le réembarque chez son père entre deux flics?
Qu'on le flanque dans une famille d'accueil?Voilà l'histoire plus complète que je ne voulais pas révéler
dans l'intégralité au départ, pensant qu'il n'y avait pas lieu
d'étaler la vie privée de Monsieur.
Donc, trouvant que l'erreur de la greffière tombe étonnamment à
pic, nous (enfin presque moi plus que Monsieur qui est
étonnemment zen (ou alors résigné, je ne sais)) aimerions faire
passer à cette greffière l'envie de reperdre le dossier "par
accident".
D'autant que c'était la première fois qu'ils passaient devant
ce juge, que le dossier devait ne pas être plus épais qu'une
feuille et que Mondieur avait avec lui l'équivalence d'un
bottin téléphonique de preuves à charge... Ça rend l'histoire
encore plus "savoureuse".
Voilà, vous savez tout.
C'est très triste comme affaire parce que moi, je pense à cet enfant
balloté à droite à gauche par des parents inconscients de sa souffrance
et qui ne pensent qu'à eux mêmes.
La greffière ne l'a pas fait exprès, vous savez.
C'est probablement qu'elle est, comme tous les greffiers de France,
débordée par les dossiers qui s'accumulent faute de moyens en personnel
pour les traiter rapidement.
Vous pensez bien qu'elle n'a pas le temps de se dire "tiens celui-là, je
vais le faire chier, rien que pour rigoler" et qu'elle doit être désolée
d'avoir perdu ce dossier.
Essayer de la tenir responsable de la totalité de la situation ne fera
pas avancer l'affaire de Monsieur.
Au contraire, s'il arrive à la prochaine audience concentré, avec un
dossier clair et en ordre et une réelle volonté de prendre en compte
l'intérêt exclusif de son enfant, en laissant tomber les engueulades et
les accusations ressassées contre la mère, il aura d'autant plus de
chance d'avoir son fils chez lui.
Mais est ce vraiment ce qu'il veut ou veut-il simplement punir la mère?
jr wrote:Dominique de Corse wrote:ixion martin - GdBx wrote:Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :François Guillet wrote:Dominique de Corse a formulé ce vendredi :
...Sans doute quelqu'un qui n'a _jamais_ commis une seule
erreur de toute sa vie.
Ce n'est pas la question.
La question est celle d'assumer une erreur et donc d'en
payer les conséquences.
Cherchez "Responsabilité de l'Etat du fait de ses agents"
dans un traité de droit administratif.
Si n'importe qui pouvait attaquer devant un tribunal de
l'ordre judiciaire n'importe quel agent public, croyez vous
qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter un
voleur, un agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un
contribuable?
Quand le patient d'un chirurgien décède pendant une opération
parce que le médecin commet une erreur, pensez-vous qu'il ne
sera pas poursuivi parce que l'erreur est humaine ?
Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
Heu, ça arrive assez souvent quand même.
"Les praticiens hospitaliers
jr <jqs@froc.net> wrote:
Dominique de Corse <dmkgbt@free.invalid> wrote:
ixion martin - GdBx <ixion@martin.invalid> wrote:
Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :
François Guillet <guillet.francois@wanadoo.fr> wrote:
Dominique de Corse a formulé ce vendredi :
...
Sans doute quelqu'un qui n'a _jamais_ commis une seule
erreur de toute sa vie.
Ce n'est pas la question.
La question est celle d'assumer une erreur et donc d'en
payer les conséquences.
Cherchez "Responsabilité de l'Etat du fait de ses agents"
dans un traité de droit administratif.
Si n'importe qui pouvait attaquer devant un tribunal de
l'ordre judiciaire n'importe quel agent public, croyez vous
qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter un
voleur, un agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un
contribuable?
Quand le patient d'un chirurgien décède pendant une opération
parce que le médecin commet une erreur, pensez-vous qu'il ne
sera pas poursuivi parce que l'erreur est humaine ?
Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
Heu, ça arrive assez souvent quand même.
"Les praticiens hospitaliers
jr wrote:Dominique de Corse wrote:ixion martin - GdBx wrote:Après mûre réflexion, Dominique de Corse a écrit :François Guillet wrote:Dominique de Corse a formulé ce vendredi :
...Sans doute quelqu'un qui n'a _jamais_ commis une seule
erreur de toute sa vie.
Ce n'est pas la question.
La question est celle d'assumer une erreur et donc d'en
payer les conséquences.
Cherchez "Responsabilité de l'Etat du fait de ses agents"
dans un traité de droit administratif.
Si n'importe qui pouvait attaquer devant un tribunal de
l'ordre judiciaire n'importe quel agent public, croyez vous
qu'un juge oserait rendre la justice, un policier arrêter un
voleur, un agent du Trésor saisir le compte bancaire d'un
contribuable?
Quand le patient d'un chirurgien décède pendant une opération
parce que le médecin commet une erreur, pensez-vous qu'il ne
sera pas poursuivi parce que l'erreur est humaine ?
Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
Heu, ça arrive assez souvent quand même.
"Les praticiens hospitaliers
ixion martin - GdBx wrote:Dominique de Corse vient de nous annoncer :Dans ce cas, "on" ne pose pas de question sur un groupe
de discussion portant sur le droit.
OK.
Petite parenthèse, il ne faut pas s'étonner si le droit
semble complètement déconnecté de la réalité si pour une
simple petite question il y autant de digression pour
arriver à une réponse. Fin de la parenthèse.
Vous devriez être rassuré par ce droit français.
Parce qu'un droit rapide à expliquer et connecté
directement à la réalité est généralement un droit qui vous
pend à une branche sur simple présomption de délit de vol
du cheval sur lequel vous êtes assis. Genre Far West, si
vous voyez ce que je veux dire.
Quel type d'audience? Quel juge? Pour juger quoi?
Qu'est ce que Monsieur, par le biais de son avocate a
demandé qu'il soit jugé?
Est ce une procédure devant le JAF?
En bref, quel est le _véritable_ problème?
Je crois que Monsieur voulait officialiser qu'il avait la
g^^^ que son fils logeait chez lui et qu'il n'y avait pas
soustraction d'enfant.
Une main courante au Commissariat ou à la Gendarmerie
suffisait à établir sa bonne foi.
Se présenter aussitôt avec l'enfant et lesdits pandores au
domicile de la mère emportait la preuve.
Oui, bien sûr.
D'ailleurs, tous les matins, tous les JAF de France se lève
tous joyeux à la perspective de "se faire" entre 20 et 40
pères dans la journée. C'est leur unique joie, il faut les
comprendre :-/
Monsieur a été victime d'un mariage gris
Houlà, qu'est donc cela?
Aurait-il contracté mariage avec une femme exotique dans un
but inavouable?
<http://fr.wikipedia.org/wiki/Mariage_blanc#Mariage_.C3.A0_des_fins_migratoires_dit_gris>
qui a toutefois donné naissance à un enfant
Ha, il a donc consommé au moins une fois.
(dont la mère a tenté, soit dit en passant, de se
débarrasser au-delà du terme légale par des méthodes dites
non-conventionnelles).
C'était son droit le plus strict : l'avortement est légal
en France. Le délai "légal" c'est pour les autres (médecins
notamment) : une femme peut tout à fait pratiquer elle-même
des man½uvres abortives sur son f½tus jusqu'à la veille du
terme.
Madame a depuis cette époque tout fait pour nuire à
Monsieur, depuis l'accusation contre toute évidence de
maltraitance jusqu'à l'agression physique lui ayant valu
du sursis.
Répondez juste à une question : Monsieur a-t-il demandé
pendant ces 10 ans de martyre, à accueillir son enfant à
plein temps à son domicile?
Donc, il a voulu officialiser la situation parce qu'il ne
voulait pas que Madame porte plainte pour soustraction
d'enfant.
Pourquoi n'a t'il pas couru faire constater les faits par
une main courante?
En attendant, il a dû faire changer son fils d'école et
attendait le jour de l'audience. Il a donc reçu
officiellement une convocation du juge, Madame également.
Voilà.
Le juge était donc au courant que Monsieur était de bonne
foi.
Dès lors, Madame qui a dû réaliser (ou à qui on a dû
expliquer) qu'elle s'était mise en faute s'est mise dans
la tête de récupérer son fils coûte que coûte au point de
vouloir débarquer en pleine nuit.
Appeler Commissariat ou Gendarmerie pour qu'ils constatent
que Madame est sur le pas de la porte en train de faire du
scandale en pleine nuit. S'ils ne viennent pas, il y aura
quand même l'appel pour officialiser le fait.
Toujours est-il que Monsieur est parti avec Fiston à une
adresse inconnue de Madame et, sur les conseils de son
avocat, est resté à cette adresse jusqu'au jour de
l'audience.
Il aurait mieux valu faire appel aux services sociaux et
saisir le juge des enfants pour que l'enfant soit hébergé
dans un endroit neutre ( autre membre de la famille par
exemple)
Madame a pendant ce temps porté plainte au commissariat
pour soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
partir en lui disant presque "bon courage" tant les
accusations de Madame ne tenaient pas.
Hé ben voilà!
Quand je vous disais qu'il fallait aller les voir.
Il pouvait aussi porter plainte contre elle pour
dénonciation calomnieuse.
Il peut encore le faire, d'ailleurs.
Le jour de l'audience, il a fait l'erreur de remettre
Fiston à l'école. Arrivé à l'audience, Madame lui a
appris qu'elle avait récupéré Fiston à l'école le midi et
rescolarisé chez elle car de toute façon, il rentrerait
le soir.
Dites moi un truc : il y a quelqu'un qui pense à cet enfant
dans cette putain de famille de merde???
Vous parlez de lui comme si c'était juste un balluchon
qu'on se refile, qu'on se pique, qu'on s'envoie à la
gueule.
Excusez mon langage imagé mais ça m'énerve un peu cette
attitude!
Arrive enfin l'audience où le juge nous annonce le plus
simplement du monde que l'audience est reportée parce que
la greffière a égaré le dossier (ben tiens...). Et Fiston
? Il est chez sa mère ? Qu'il y reste en attendant !
L'intérêt de l'enfant c'est peut-être de retrouver une
certaine stabilité.
Vous auriez voulu quoi? Qu'on le réembarque chez son père
entre deux flics?
Qu'on le flanque dans une famille d'accueil?
C'est très triste comme affaire parce que moi, je pense à
cet enfant balloté à droite à gauche par des parents
inconscients de sa souffrance et qui ne pensent qu'à eux
mêmes.
La greffière ne l'a pas fait exprès, vous savez.
C'est probablement qu'elle est, comme tous les greffiers de
France, débordée par les dossiers qui s'accumulent faute de
moyens en personnel pour les traiter rapidement.
Vous pensez bien qu'elle n'a pas le temps de se dire "tiens
celui-là, je vais le faire chier, rien que pour rigoler" et
qu'elle doit être désolée d'avoir perdu ce dossier.
Essayer de la tenir responsable de la totalité de la
situation ne fera pas avancer l'affaire de Monsieur.
Au contraire, s'il arrive à la prochaine audience
concentré, avec un dossier clair et en ordre et une réelle
volonté de prendre en compte l'intérêt exclusif de son
enfant, en laissant tomber les engueulades et les
accusations ressassées contre la mère, il aura d'autant
plus de chance d'avoir son fils chez lui. Mais est ce
vraiment ce qu'il veut ou veut-il simplement punir la mère?
N'en déplaise aux magistrats d'une étonnante cécité, il y
a toujours danger pour l'enfant quand il est chez sa mère.
Il a des preuves de mauvais traitements? Des certificats
médicaux? Il y a eu des visites d'assistantes sociales? Des
témoins?
Outre le fait que du côté de Monsieur on se demande si
la greffière n'est pas de connivence avec madame,
Quel intérêt y aurait-elle?
Aucune idée. D'ici à ce qu'on découvre qu'elle est amie
avec Madame...
Paranoïa.
Sachant que si c'était avéré, elle perdrait certainement
son poste ET carrément son boulot suite à une procédure
discipli- naire voire plus...
Donc, il y a une possibilité de sanction. C'est presque
inespéré.
Mais ça ne servira pas la cause de Monsieur parce que ça
n'a rien à voir avec son désir de mettre son fils en
sécurité.
C'est juste une envie de vengeance et ça ne plaide pas en
sa faveur.
Il ne faut pas non plus être paranoïaque, comme ça...
Quand on voit ce qui se passe depuis dix ans, ne pas être
paranoïaque serait être devenu un légume.
Heu; dites moi, le mariage "gris", quelqu'un lui a mis un
pistolet sur la tempe pour qu'il le contracte?
Quelqu'un l'a obligé à faire un gosse?
Parce que là, le seul qui n'a jamais rien demandé, sauf
peut-être un peu d'amour, c'est le gosse, hein.
Et la seule _vraie_ victime, là dedans, c'est lui.
Là, le seul gagnant, ce sera, comme dans le célèbre
jugement de Salomon, celui qui saura montrer au juge qu'il
fait passer son enfant avant sa propre personne et que son
bonheur à lui lui importe plus que ses propres ranc½urs.
ixion martin - GdBx <ixion@martin.invalid> wrote:
Dominique de Corse vient de nous annoncer :
Dans ce cas, "on" ne pose pas de question sur un groupe
de discussion portant sur le droit.
OK.
Petite parenthèse, il ne faut pas s'étonner si le droit
semble complètement déconnecté de la réalité si pour une
simple petite question il y autant de digression pour
arriver à une réponse. Fin de la parenthèse.
Vous devriez être rassuré par ce droit français.
Parce qu'un droit rapide à expliquer et connecté
directement à la réalité est généralement un droit qui vous
pend à une branche sur simple présomption de délit de vol
du cheval sur lequel vous êtes assis. Genre Far West, si
vous voyez ce que je veux dire.
Quel type d'audience? Quel juge? Pour juger quoi?
Qu'est ce que Monsieur, par le biais de son avocate a
demandé qu'il soit jugé?
Est ce une procédure devant le JAF?
En bref, quel est le _véritable_ problème?
Je crois que Monsieur voulait officialiser qu'il avait la
g^^^ que son fils logeait chez lui et qu'il n'y avait pas
soustraction d'enfant.
Une main courante au Commissariat ou à la Gendarmerie
suffisait à établir sa bonne foi.
Se présenter aussitôt avec l'enfant et lesdits pandores au
domicile de la mère emportait la preuve.
Oui, bien sûr.
D'ailleurs, tous les matins, tous les JAF de France se lève
tous joyeux à la perspective de "se faire" entre 20 et 40
pères dans la journée. C'est leur unique joie, il faut les
comprendre :-/
Monsieur a été victime d'un mariage gris
Houlà, qu'est donc cela?
Aurait-il contracté mariage avec une femme exotique dans un
but inavouable?
<http://fr.wikipedia.org/wiki/Mariage_blanc#Mariage_.C3.A0_des_fins_migratoires_dit_gris>
qui a toutefois donné naissance à un enfant
Ha, il a donc consommé au moins une fois.
(dont la mère a tenté, soit dit en passant, de se
débarrasser au-delà du terme légale par des méthodes dites
non-conventionnelles).
C'était son droit le plus strict : l'avortement est légal
en France. Le délai "légal" c'est pour les autres (médecins
notamment) : une femme peut tout à fait pratiquer elle-même
des man½uvres abortives sur son f½tus jusqu'à la veille du
terme.
Madame a depuis cette époque tout fait pour nuire à
Monsieur, depuis l'accusation contre toute évidence de
maltraitance jusqu'à l'agression physique lui ayant valu
du sursis.
Répondez juste à une question : Monsieur a-t-il demandé
pendant ces 10 ans de martyre, à accueillir son enfant à
plein temps à son domicile?
Donc, il a voulu officialiser la situation parce qu'il ne
voulait pas que Madame porte plainte pour soustraction
d'enfant.
Pourquoi n'a t'il pas couru faire constater les faits par
une main courante?
En attendant, il a dû faire changer son fils d'école et
attendait le jour de l'audience. Il a donc reçu
officiellement une convocation du juge, Madame également.
Voilà.
Le juge était donc au courant que Monsieur était de bonne
foi.
Dès lors, Madame qui a dû réaliser (ou à qui on a dû
expliquer) qu'elle s'était mise en faute s'est mise dans
la tête de récupérer son fils coûte que coûte au point de
vouloir débarquer en pleine nuit.
Appeler Commissariat ou Gendarmerie pour qu'ils constatent
que Madame est sur le pas de la porte en train de faire du
scandale en pleine nuit. S'ils ne viennent pas, il y aura
quand même l'appel pour officialiser le fait.
Toujours est-il que Monsieur est parti avec Fiston à une
adresse inconnue de Madame et, sur les conseils de son
avocat, est resté à cette adresse jusqu'au jour de
l'audience.
Il aurait mieux valu faire appel aux services sociaux et
saisir le juge des enfants pour que l'enfant soit hébergé
dans un endroit neutre ( autre membre de la famille par
exemple)
Madame a pendant ce temps porté plainte au commissariat
pour soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
partir en lui disant presque "bon courage" tant les
accusations de Madame ne tenaient pas.
Hé ben voilà!
Quand je vous disais qu'il fallait aller les voir.
Il pouvait aussi porter plainte contre elle pour
dénonciation calomnieuse.
Il peut encore le faire, d'ailleurs.
Le jour de l'audience, il a fait l'erreur de remettre
Fiston à l'école. Arrivé à l'audience, Madame lui a
appris qu'elle avait récupéré Fiston à l'école le midi et
rescolarisé chez elle car de toute façon, il rentrerait
le soir.
Dites moi un truc : il y a quelqu'un qui pense à cet enfant
dans cette putain de famille de merde???
Vous parlez de lui comme si c'était juste un balluchon
qu'on se refile, qu'on se pique, qu'on s'envoie à la
gueule.
Excusez mon langage imagé mais ça m'énerve un peu cette
attitude!
Arrive enfin l'audience où le juge nous annonce le plus
simplement du monde que l'audience est reportée parce que
la greffière a égaré le dossier (ben tiens...). Et Fiston
? Il est chez sa mère ? Qu'il y reste en attendant !
L'intérêt de l'enfant c'est peut-être de retrouver une
certaine stabilité.
Vous auriez voulu quoi? Qu'on le réembarque chez son père
entre deux flics?
Qu'on le flanque dans une famille d'accueil?
C'est très triste comme affaire parce que moi, je pense à
cet enfant balloté à droite à gauche par des parents
inconscients de sa souffrance et qui ne pensent qu'à eux
mêmes.
La greffière ne l'a pas fait exprès, vous savez.
C'est probablement qu'elle est, comme tous les greffiers de
France, débordée par les dossiers qui s'accumulent faute de
moyens en personnel pour les traiter rapidement.
Vous pensez bien qu'elle n'a pas le temps de se dire "tiens
celui-là, je vais le faire chier, rien que pour rigoler" et
qu'elle doit être désolée d'avoir perdu ce dossier.
Essayer de la tenir responsable de la totalité de la
situation ne fera pas avancer l'affaire de Monsieur.
Au contraire, s'il arrive à la prochaine audience
concentré, avec un dossier clair et en ordre et une réelle
volonté de prendre en compte l'intérêt exclusif de son
enfant, en laissant tomber les engueulades et les
accusations ressassées contre la mère, il aura d'autant
plus de chance d'avoir son fils chez lui. Mais est ce
vraiment ce qu'il veut ou veut-il simplement punir la mère?
N'en déplaise aux magistrats d'une étonnante cécité, il y
a toujours danger pour l'enfant quand il est chez sa mère.
Il a des preuves de mauvais traitements? Des certificats
médicaux? Il y a eu des visites d'assistantes sociales? Des
témoins?
Outre le fait que du côté de Monsieur on se demande si
la greffière n'est pas de connivence avec madame,
Quel intérêt y aurait-elle?
Aucune idée. D'ici à ce qu'on découvre qu'elle est amie
avec Madame...
Paranoïa.
Sachant que si c'était avéré, elle perdrait certainement
son poste ET carrément son boulot suite à une procédure
discipli- naire voire plus...
Donc, il y a une possibilité de sanction. C'est presque
inespéré.
Mais ça ne servira pas la cause de Monsieur parce que ça
n'a rien à voir avec son désir de mettre son fils en
sécurité.
C'est juste une envie de vengeance et ça ne plaide pas en
sa faveur.
Il ne faut pas non plus être paranoïaque, comme ça...
Quand on voit ce qui se passe depuis dix ans, ne pas être
paranoïaque serait être devenu un légume.
Heu; dites moi, le mariage "gris", quelqu'un lui a mis un
pistolet sur la tempe pour qu'il le contracte?
Quelqu'un l'a obligé à faire un gosse?
Parce que là, le seul qui n'a jamais rien demandé, sauf
peut-être un peu d'amour, c'est le gosse, hein.
Et la seule _vraie_ victime, là dedans, c'est lui.
Là, le seul gagnant, ce sera, comme dans le célèbre
jugement de Salomon, celui qui saura montrer au juge qu'il
fait passer son enfant avant sa propre personne et que son
bonheur à lui lui importe plus que ses propres ranc½urs.
ixion martin - GdBx wrote:Dominique de Corse vient de nous annoncer :Dans ce cas, "on" ne pose pas de question sur un groupe
de discussion portant sur le droit.
OK.
Petite parenthèse, il ne faut pas s'étonner si le droit
semble complètement déconnecté de la réalité si pour une
simple petite question il y autant de digression pour
arriver à une réponse. Fin de la parenthèse.
Vous devriez être rassuré par ce droit français.
Parce qu'un droit rapide à expliquer et connecté
directement à la réalité est généralement un droit qui vous
pend à une branche sur simple présomption de délit de vol
du cheval sur lequel vous êtes assis. Genre Far West, si
vous voyez ce que je veux dire.
Quel type d'audience? Quel juge? Pour juger quoi?
Qu'est ce que Monsieur, par le biais de son avocate a
demandé qu'il soit jugé?
Est ce une procédure devant le JAF?
En bref, quel est le _véritable_ problème?
Je crois que Monsieur voulait officialiser qu'il avait la
g^^^ que son fils logeait chez lui et qu'il n'y avait pas
soustraction d'enfant.
Une main courante au Commissariat ou à la Gendarmerie
suffisait à établir sa bonne foi.
Se présenter aussitôt avec l'enfant et lesdits pandores au
domicile de la mère emportait la preuve.
Oui, bien sûr.
D'ailleurs, tous les matins, tous les JAF de France se lève
tous joyeux à la perspective de "se faire" entre 20 et 40
pères dans la journée. C'est leur unique joie, il faut les
comprendre :-/
Monsieur a été victime d'un mariage gris
Houlà, qu'est donc cela?
Aurait-il contracté mariage avec une femme exotique dans un
but inavouable?
<http://fr.wikipedia.org/wiki/Mariage_blanc#Mariage_.C3.A0_des_fins_migratoires_dit_gris>
qui a toutefois donné naissance à un enfant
Ha, il a donc consommé au moins une fois.
(dont la mère a tenté, soit dit en passant, de se
débarrasser au-delà du terme légale par des méthodes dites
non-conventionnelles).
C'était son droit le plus strict : l'avortement est légal
en France. Le délai "légal" c'est pour les autres (médecins
notamment) : une femme peut tout à fait pratiquer elle-même
des man½uvres abortives sur son f½tus jusqu'à la veille du
terme.
Madame a depuis cette époque tout fait pour nuire à
Monsieur, depuis l'accusation contre toute évidence de
maltraitance jusqu'à l'agression physique lui ayant valu
du sursis.
Répondez juste à une question : Monsieur a-t-il demandé
pendant ces 10 ans de martyre, à accueillir son enfant à
plein temps à son domicile?
Donc, il a voulu officialiser la situation parce qu'il ne
voulait pas que Madame porte plainte pour soustraction
d'enfant.
Pourquoi n'a t'il pas couru faire constater les faits par
une main courante?
En attendant, il a dû faire changer son fils d'école et
attendait le jour de l'audience. Il a donc reçu
officiellement une convocation du juge, Madame également.
Voilà.
Le juge était donc au courant que Monsieur était de bonne
foi.
Dès lors, Madame qui a dû réaliser (ou à qui on a dû
expliquer) qu'elle s'était mise en faute s'est mise dans
la tête de récupérer son fils coûte que coûte au point de
vouloir débarquer en pleine nuit.
Appeler Commissariat ou Gendarmerie pour qu'ils constatent
que Madame est sur le pas de la porte en train de faire du
scandale en pleine nuit. S'ils ne viennent pas, il y aura
quand même l'appel pour officialiser le fait.
Toujours est-il que Monsieur est parti avec Fiston à une
adresse inconnue de Madame et, sur les conseils de son
avocat, est resté à cette adresse jusqu'au jour de
l'audience.
Il aurait mieux valu faire appel aux services sociaux et
saisir le juge des enfants pour que l'enfant soit hébergé
dans un endroit neutre ( autre membre de la famille par
exemple)
Madame a pendant ce temps porté plainte au commissariat
pour soustraction d'enfant et a même envoyé une lettre au
commissariat demandant de pourir Monsieur. Il est allé
s'expliquer au commissariat où les policiers l'ont laissé
partir en lui disant presque "bon courage" tant les
accusations de Madame ne tenaient pas.
Hé ben voilà!
Quand je vous disais qu'il fallait aller les voir.
Il pouvait aussi porter plainte contre elle pour
dénonciation calomnieuse.
Il peut encore le faire, d'ailleurs.
Le jour de l'audience, il a fait l'erreur de remettre
Fiston à l'école. Arrivé à l'audience, Madame lui a
appris qu'elle avait récupéré Fiston à l'école le midi et
rescolarisé chez elle car de toute façon, il rentrerait
le soir.
Dites moi un truc : il y a quelqu'un qui pense à cet enfant
dans cette putain de famille de merde???
Vous parlez de lui comme si c'était juste un balluchon
qu'on se refile, qu'on se pique, qu'on s'envoie à la
gueule.
Excusez mon langage imagé mais ça m'énerve un peu cette
attitude!
Arrive enfin l'audience où le juge nous annonce le plus
simplement du monde que l'audience est reportée parce que
la greffière a égaré le dossier (ben tiens...). Et Fiston
? Il est chez sa mère ? Qu'il y reste en attendant !
L'intérêt de l'enfant c'est peut-être de retrouver une
certaine stabilité.
Vous auriez voulu quoi? Qu'on le réembarque chez son père
entre deux flics?
Qu'on le flanque dans une famille d'accueil?
C'est très triste comme affaire parce que moi, je pense à
cet enfant balloté à droite à gauche par des parents
inconscients de sa souffrance et qui ne pensent qu'à eux
mêmes.
La greffière ne l'a pas fait exprès, vous savez.
C'est probablement qu'elle est, comme tous les greffiers de
France, débordée par les dossiers qui s'accumulent faute de
moyens en personnel pour les traiter rapidement.
Vous pensez bien qu'elle n'a pas le temps de se dire "tiens
celui-là, je vais le faire chier, rien que pour rigoler" et
qu'elle doit être désolée d'avoir perdu ce dossier.
Essayer de la tenir responsable de la totalité de la
situation ne fera pas avancer l'affaire de Monsieur.
Au contraire, s'il arrive à la prochaine audience
concentré, avec un dossier clair et en ordre et une réelle
volonté de prendre en compte l'intérêt exclusif de son
enfant, en laissant tomber les engueulades et les
accusations ressassées contre la mère, il aura d'autant
plus de chance d'avoir son fils chez lui. Mais est ce
vraiment ce qu'il veut ou veut-il simplement punir la mère?
N'en déplaise aux magistrats d'une étonnante cécité, il y
a toujours danger pour l'enfant quand il est chez sa mère.
Il a des preuves de mauvais traitements? Des certificats
médicaux? Il y a eu des visites d'assistantes sociales? Des
témoins?
Outre le fait que du côté de Monsieur on se demande si
la greffière n'est pas de connivence avec madame,
Quel intérêt y aurait-elle?
Aucune idée. D'ici à ce qu'on découvre qu'elle est amie
avec Madame...
Paranoïa.
Sachant que si c'était avéré, elle perdrait certainement
son poste ET carrément son boulot suite à une procédure
discipli- naire voire plus...
Donc, il y a une possibilité de sanction. C'est presque
inespéré.
Mais ça ne servira pas la cause de Monsieur parce que ça
n'a rien à voir avec son désir de mettre son fils en
sécurité.
C'est juste une envie de vengeance et ça ne plaide pas en
sa faveur.
Il ne faut pas non plus être paranoïaque, comme ça...
Quand on voit ce qui se passe depuis dix ans, ne pas être
paranoïaque serait être devenu un légume.
Heu; dites moi, le mariage "gris", quelqu'un lui a mis un
pistolet sur la tempe pour qu'il le contracte?
Quelqu'un l'a obligé à faire un gosse?
Parce que là, le seul qui n'a jamais rien demandé, sauf
peut-être un peu d'amour, c'est le gosse, hein.
Et la seule _vraie_ victime, là dedans, c'est lui.
Là, le seul gagnant, ce sera, comme dans le célèbre
jugement de Salomon, celui qui saura montrer au juge qu'il
fait passer son enfant avant sa propre personne et que son
bonheur à lui lui importe plus que ses propres ranc½urs.
Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
Un employé du secteur privé n'est pas un fonctionnaire.
Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
Un employé du secteur privé n'est pas un fonctionnaire.
Un médecin n'est pas un fonctionnaire.
Un employé du secteur privé n'est pas un fonctionnaire.