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Scanners petits formats

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rolf
Hi,

J'ai besoin d'un scanner de plus petite taille que les imprimantes 3 en
1 (qui font donc aussi scanner).
Je trouve que le prix de ces scanners (qu'on trouve beaucoup dans les
pharmacies par ex.) ont un prix qui dépasse largement celui d'une
imprimante 3 en 1.
Imprimante 3 en 1 : de 60¤ Í  x¤
scanner simples : de 60/100¤ Í  400¤ !

Qu'est ce qui justifie le prix assez élevé de ces scanners par rapport
aux imprimantes 3 en 1 qui rendent donc plus de service et dont la
partie scan rend assez bien son office ?

Auriez-vous un modèle en votre possession Í  conseiller autour de 100¤ ?

--
A+
Rolf

10 réponses

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Ghost-Raider
Le 24/12/2021 Í  22:35, Gerald a écrit :
Le 24 décembre 2021 Í  08:41, Ghost-Raider a écrit :
[...] car les appareils modernes donnent des images d'une telle qualité
qu'un retraitement lourd est très rarement nécessaire.

Mmmm... le traitement photo fait partie intégrante de certaines branches
de la photographie, tant industrielle qu'artistique, et des branches il
y en a beaucoup.
Après, qu'elles ne soient pas représentés ici est une autre affaire,
mais je propose de laisser la porte ouverte aux éventuels candidats.

Oui bien sÍ»r, je parlais du petit village gaulois de céans.
--
Ils y reviendront, au cheval, ils y reviendront, et au galop !
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Gerald
Le 24 décembre 2021 Í  17:51, Ghost-Raider a écrit :
Oui, mais si l'Univers était infini, comment pourrions-nous en connaÍ®tre
une simple fraction qui serait alors nulle ? On en conclut que l'Univers
est obligatoirement fini.
J'ai bon ?

C'est selon... Puis-je te proposer :
<https://fr.wikipedia.org/wiki/Principe_anthropique> ?
Oui, mais on peut se repasser la musique autant de fois qu'on veut pour
l'analyser et même la garder dans sa tête, d'o͹ d'ailleurs, il sera
presque impossible de l'en sortir, comme d'ailleurs n'importe quelle
image marquante.

J'ai une vision différente de la tienne : ne pas confondre musique
"potentielle" (écrite), que tout musicien "entend" parfaitement dans sa
tête Í  la simple lecture, musique jouée en direct (Í  son propre profit
ou au profit d'un auditoire), musique enregistrée... musique inscrite
dans la mémoire, effectivement... mais dans tous les cas elle ne peut
(sauf exceptions spécifiques) s'apprécier que dans son déroulement
inexorable, sur un tempo précis, même en réécoute "intériorisée".
De surcroÍ®t elle n'est jamais "figée", il n'y a pas de "vernissage"
d'une œuvre musicale, elle est destinée Í  évoluer, être reprise par
d'autres, "interprétée" d'autres manières, faire l'objet de variations.
Certains standards de jazz ont fait l'objet de plus de 50 interprétation
parfois différant du tout au tout, sur parfois soixante-dix ans, leur
histoire n'étant toujours pas terminée et pouvant se poursuivre encore
pendant des siècles... Corrolaire : il n'existe pas de "réécoute" en
musique, même d'un document enregistré : chaque écoute est nouvelle,
s'inscrivant dans une *autre* période de temps.
Il en va (pour moi) différemment d'un document photographique, d'une
peinture, ou d'une sculpture : Í  un moment donné l'artiste décide que
son œuvre est "achevée", le vernis fige le tableau. Les "reprises" qu'on
connaÍ®t, de réemploi de toiles etc., n'ont répondu Í  une volonté
artistique que rarement. Pareil pour le tirage photo proposé en
exposition ou imprimé dans un ouvrage.
À partir de lÍ , l'œuvre est présentée Í  un public, qui peut prendre tout
son temps pour l'analyser, la comparer, le quitter, y revenir... le
déroulé du temps existe mais n'a pas d'importance, l'œuvre ne bouge pas,
elle est, dans une certaine mesure "imperméable" au temps qui passe.
J'ajoute un autre aspect : la musique est essentiellement *abstraite*.
Malgré les intentions "figuratives" des romantiques, les textes
associés, ...les notes et les sons n'ont rien de concret (sauf une
vibration ?), et ils sont de surcroÍ®t *éphémères*. Je ne pense pas qu'on
puisse appliquer ces critères Í  la photo, qui est essentiellement de
représentation "figurative" (même quand elle est composite ou mise en
scène).
J'en conclus que la musique ne présente aucune réelle exception aux sens.

Parlant des sens... certes le premier concert rock de mon frère s'était
tenu Í  l'institut des jeunes sourds de la rue Saint-Jacques (gros succès
! Arf !), certes j'ai accompagné un certain nombre d'amis aveugles Í  une
exposition de peinture (les œuvres de Patrick Montagnac on un "relief"
très prononcé !<https://youtu.be/JTwNQcQndYE>), mais dans l'ensemble les
sens sont plutÍ´t exclusifs les uns des autres, et ceux qui sont privés
de l'un ou de l'autre le démontrent...
Il existe des photographes aveugles, et j'ai d'ailleurs tenté d'inciter
mon ami Jean-Philippe RYKIEL, fantastique musicien mais également
particulièrement pointu dans l'utilisation des nouvelles technologies, Í 
se mettre Í  la photo, pour nous faire découvrir la perception très
particulière qu'il a de son environnement et dont j'ai eu le privilège
qu'il me la fasse partager Í  de nombreuses reprises. Sans succès. Au
contraire, comme il le décrit ici
<https://jeanphilipperykiel.com/voir-autrement/une-facon-de-voir/>, il
s'attache plutÍ´t Í  attirer l'attention des "voyants" sur la richesse des
autres sens négligés par la modernité avide de violence, dont l'ouͯe.
Tout cela non pour opposer des sens ou des arts, et encore moins les
hiérarchiser, mais pour proposer une manière de recul sur la
photographie en tant qu'art...
sans aucune obligation de suivi. hth,
--
Gerald
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Jacques L'helgoualc'h
Le 24-12-2021, Ghost-Raider a écrit :
[...]
Oui, mais si l'Univers était infini, comment pourrions-nous en connaÍ®tre
une simple fraction qui serait alors nulle ? On en conclut que l'Univers
est obligatoirement fini.
J'ai bon ?

Non :)
Tu tombes dans les paradoxes d'arithmétique de l'infini du genre
Achille ne rattrapera jamais la tortue...
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Ghost-Raider
Le 25/12/2021 Í  10:28, Jacques L'helgoualc'h a écrit :
Le 24-12-2021, Ghost-Raider a écrit :
[...]
Oui, mais si l'Univers était infini, comment pourrions-nous en connaÍ®tre
une simple fraction qui serait alors nulle ? On en conclut que l'Univers
est obligatoirement fini.
J'ai bon ?

Non :)
Tu tombes dans les paradoxes d'arithmétique de l'infini du genre
Achille ne rattrapera jamais la tortue...

Enfin y'en a un qui suit !
--
Ils y reviendront, au cheval, ils y reviendront, et au galop !
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Ghost-Raider
Le 24/12/2021 Í  23:41, Gerald a écrit :
Le 24 décembre 2021 Í  17:51, Ghost-Raider a écrit :
Oui, mais si l'Univers était infini, comment pourrions-nous en connaÍ®tre
une simple fraction qui serait alors nulle ? On en conclut que l'Univers
est obligatoirement fini.
J'ai bon ?

C'est selon... Puis-je te proposer :
<https://fr.wikipedia.org/wiki/Principe_anthropique> ?

Oui mais attention, c'est le principe anthropique qui nécessite un
observateur.
Admettons que l'homme ne soit jamais apparu sur la terre, l'univers
serait inchangé.
Mais nous sommes hors charte.
Oui, mais on peut se repasser la musique autant de fois qu'on veut pour
l'analyser et même la garder dans sa tête, d'o͹ d'ailleurs, il sera
presque impossible de l'en sortir, comme d'ailleurs n'importe quelle
image marquante.

J'ai une vision différente de la tienne : ne pas confondre musique
"potentielle" (écrite), que tout musicien "entend" parfaitement dans sa
tête Í  la simple lecture, musique jouée en direct (Í  son propre profit
ou au profit d'un auditoire), musique enregistrée... musique inscrite
dans la mémoire, effectivement... mais dans tous les cas elle ne peut
(sauf exceptions spécifiques) s'apprécier que dans son déroulement
inexorable, sur un tempo précis, même en réécoute "intériorisée".

Je crains que tu ne théorises trop et pour arriver tout de suite Í  la
conclusion, ils suffit que j'entende les premières notes du 2ème
mouvement de la 7ème symphonie de Beethoven, même massacrées Í  la
guitare électrique métal pour immédiatement reconnaitre la mélodie et me
la jouer, dans ma tête, Í  une voix seulement et dans ma tonalité
personnelle et pas celle de Beethoven.
Par ailleurs, les grandes œuvres sont parfois jouées Í  des tempos
différents et les indications du compositeur ne sont pas strictement
définies.
Andante par exemple, c'est entre 76 et 100 pulsations par minute, ce
n'est pas pareil !
Et je ne parle par du LA qui est passé de 432 Í  440 Herz.
De surcroÍ®t elle n'est jamais "figée", il n'y a pas de "vernissage"
d'une œuvre musicale, elle est destinée Í  évoluer, être reprise par
d'autres, "interprétée" d'autres manières, faire l'objet de variations.
Certains standards de jazz ont fait l'objet de plus de 50 interprétation
parfois différant du tout au tout, sur parfois soixante-dix ans, leur
histoire n'étant toujours pas terminée et pouvant se poursuivre encore
pendant des siècles... Corrolaire : il n'existe pas de "réécoute" en
musique, même d'un document enregistré : chaque écoute est nouvelle,
s'inscrivant dans une *autre* période de temps.

C'est réfutable car le 2ème mouvement de la 7ème est gravé ne varietur
dans le marbre de ma mémoire, mais ça nous entraÍ®nerait trop loin.
Il en va (pour moi) différemment d'un document photographique, d'une
peinture, ou d'une sculpture : Í  un moment donné l'artiste décide que
son œuvre est "achevée", le vernis fige le tableau. Les "reprises" qu'on
connaÍ®t, de réemploi de toiles etc., n'ont répondu Í  une volonté
artistique que rarement. Pareil pour le tirage photo proposé en
exposition ou imprimé dans un ouvrage.

Idem que pour la musique. Si je vois une oeuvre photographique célèbre
de, disons Cartier-Bresson (retour en charrette), colorisée ou très
contrastée, ou une réplique en 1/4 de la Vénus de Milo, ou le "Déjeuner
sur l'herbe" sur une carte postale en noir et blanc, c'est toujours la
même oeuvre artistique, immédiatement reconnaissable, bien que variable.
À partir de lÍ , l'œuvre est présentée Í  un public, qui peut prendre tout
son temps pour l'analyser, la comparer, le quitter, y revenir... le
déroulé du temps existe mais n'a pas d'importance, l'œuvre ne bouge pas,
elle est, dans une certaine mesure "imperméable" au temps qui passe.

Ça c'est vrai car c'est la mémoire qui joue son rÍ´le.
J'ajoute un autre aspect : la musique est essentiellement *abstraite*.
Malgré les intentions "figuratives" des romantiques, les textes
associés, ...les notes et les sons n'ont rien de concret (sauf une
vibration ?), et ils sont de surcroÍ®t *éphémères*. Je ne pense pas qu'on
puisse appliquer ces critères Í  la photo, qui est essentiellement de
représentation "figurative" (même quand elle est composite ou mise en
scène).

Les sons de la musique sont mathématiques et sont concrets pour
l'oreille. Si l'on s'écarte des lois qui les gouvernent, on tombe dans
la cacophonie.
Certes, il y a une question d'éducation de l'oreille, car par exemple le
gamelan est inécoutable Í  une oreille occidentale, mais les degrés qui
séparent les notes de la gamme ne changent pas. Les sons ne sont pas
éphémères puisqu'ils se perpétuent dans la mémoire immédiatement sollicitée.
J'en conclus que la musique ne présente aucune réelle exception aux sens.

Parlant des sens... certes le premier concert rock de mon frère s'était
tenu Í  l'institut des jeunes sourds de la rue Saint-Jacques (gros succès
! Arf !), certes j'ai accompagné un certain nombre d'amis aveugles Í  une
exposition de peinture (les œuvres de Patrick Montagnac on un "relief"
très prononcé !<https://youtu.be/JTwNQcQndYE>), mais dans l'ensemble les
sens sont plutÍ´t exclusifs les uns des autres, et ceux qui sont privés
de l'un ou de l'autre le démontrent...

Pourtant l'opéra est un spectacle total.
Il existe des photographes aveugles, et j'ai d'ailleurs tenté d'inciter
mon ami Jean-Philippe RYKIEL, fantastique musicien mais également
particulièrement pointu dans l'utilisation des nouvelles technologies, Í 
se mettre Í  la photo, pour nous faire découvrir la perception très
particulière qu'il a de son environnement et dont j'ai eu le privilège
qu'il me la fasse partager Í  de nombreuses reprises. Sans succès. Au
contraire, comme il le décrit ici
<https://jeanphilipperykiel.com/voir-autrement/une-facon-de-voir/>, il
s'attache plutÍ´t Í  attirer l'attention des "voyants" sur la richesse des
autres sens négligés par la modernité avide de violence, dont l'ouͯe.
Tout cela non pour opposer des sens ou des arts, et encore moins les
hiérarchiser, mais pour proposer une manière de recul sur la
photographie en tant qu'art...
sans aucune obligation de suivi. hth,

Pour moi, et cela va faire hurler certains ici, une bonne photo est une
photo qui raconte une histoire, elle n'est "artistique" que par accident.
--
Ils y reviendront, au cheval, ils y reviendront, et au galop !
Avatar
Benoit
Après mÍ»re réflexion, le 25 décembre 2021 Í  15:54, Ghost-Raider eu
l'idée d'écrire :
Pour moi, et cela va faire hurler certains ici, une bonne photo est une
photo qui raconte une histoire, elle n'est "artistique" que par accident.

Elle peut ne pas raconter d’histoire, mais t’ouvrir une porte o͹ tu vas
te raconter une histoire.
--
Benoͮt
There are two categories of people: those who think that
there are two categories of people in the world, and those who don’t.
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jdd
Le 25/12/2021 Í  15:54, Ghost-Raider a écrit :
Pour moi, et cela va faire hurler certains ici, une bonne photo est une
photo qui raconte une histoire, elle n'est "artistique" que par accident.

chacun dit ce qu'il veut. En pratique, un artiste est quiconque décide
de se définir ainsi, en photo comme ailleurs, ensuite il est reconnu ou
pas... de son vivant ou jamais...
Beaucoup d'artistes ont crevé de faim avant d'être reconnus, souvent
après leur mort, d'autres, encensés de leur vivant sont oubliés
aujourd'hui :-(
jdd
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Ghost-Raider
Le 25/12/2021 Í  17:45, jdd a écrit :
Le 25/12/2021 Í  15:54, Ghost-Raider a écrit :
Pour moi, et cela va faire hurler certains ici, une bonne photo est une
photo qui raconte une histoire, elle n'est "artistique" que par accident.

chacun dit ce qu'il veut. En pratique, un artiste est quiconque décide
de se définir ainsi, en photo comme ailleurs, ensuite il est reconnu ou
pas... de son vivant ou jamais...
Beaucoup d'artistes ont crevé de faim avant d'être reconnus, souvent
après leur mort, d'autres, encensés de leur vivant sont oubliés
aujourd'hui :-(

Ce sont donc les autres qui élisent l'artiste.
--
Ils y reviendront, au cheval, ils y reviendront, et au galop !
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jdd
Le 25/12/2021 Í  20:32, Ghost-Raider a écrit :
Le 25/12/2021 Í  17:45, jdd a écrit :
Le 25/12/2021 Í  15:54, Ghost-Raider a écrit :
Pour moi, et cela va faire hurler certains ici, une bonne photo est une
photo qui raconte une histoire, elle n'est "artistique" que par accident.

chacun dit ce qu'il veut. En pratique, un artiste est quiconque décide
de se définir ainsi, en photo comme ailleurs, ensuite il est reconnu ou
pas... de son vivant ou jamais...
Beaucoup d'artistes ont crevé de faim avant d'être reconnus, souvent
après leur mort, d'autres, encensés de leur vivant sont oubliés
aujourd'hui :-(

Ce sont donc les autres qui élisent l'artiste.

tu as mal lu
jdd
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Stephane Legras-Decussy
Le 24/12/2021 Í  23:41, Gerald a écrit :
De surcroÍ®t elle n'est jamais "figée", il n'y a pas de "vernissage"
d'une œuvre musicale, elle est destinée Í  évoluer, être reprise par
d'autres, "interprétée" d'autres manières, faire l'objet de variations.

même du classique pur et dur... on connait des fan de Bach par exemple,
qui possèdent le même morceau joué par 10 ou 15 chefs différents et
c'est pas pareil... même pour une oreille normale.
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