Le 15/10/2012 21:17, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
C'est un rappel de la loi sur le droit d'auteur (le copyright est une notion anglo-saxonne). En soi, ça n'a rien de ridicule ni de sublime.
Ce qui est sublime, c'est qu'au même endroit, Guy Renault foule ouvertement aux pieds les droits du créateur de l'oeuvre dont il vend la photo.
tu le branches sur quel statut il a pour se faire payer ?
Ghost-Rider
Le 16/10/2012 02:06, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 15/10/2012 23:28, Ghost-Rider a écrit :
Le 15/10/2012 21:17, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
C'est un rappel de la loi sur le droit d'auteur (le copyright est une notion anglo-saxonne). En soi, ça n'a rien de ridicule ni de sublime.
Ce qui est sublime, c'est qu'au même endroit, Guy Renault foule ouvertement aux pieds les droits du créateur de l'oeuvre dont il vend la photo.
tu le branches sur quel statut il a pour se faire payer ?
Il y a peut-être là un problème en effet. Car que dit-il sur cette oeuvre ? Son message du 5/10 à 21h31 : "Ben il s"agit en fait d'un cadran solaire situé dans la cour d'un lycée sarthois. Je m'ennuyais un dimanche matin dans notre appartement de fonction et c'est alors que j'ai vu cette sculpture plutôt grande et que je suis sorti sous la pluie pour me coucher dessous, dans la boue, et j'ai pris cette photo... Je n'ai pas regretté malgré l'engueulade de ma femme... Voilà l'histoire de cette photo."
Est-il fonctionnaire ? Fait-il profession habituelle de vendre ses photos ? S'il répond oui à ces deux questions, alors il s'est mis dans un mauvais cas car il est interdit aux fonctionnaires d'être commerçant. Pour les artisans, la question est assez controversée, une autorisation de la hiérarchie, difficile à obtenir, est nécessaire. Enfin un fonctionnaire peut sans problème être auteur, artiste...
Si donc les photos de Guy Renault sont des créations originales (paysages, animaux etc..) il en détient les droits et peut les vendre. Si ses photos sont des reproductions d'oeuvres d'autres artistes, alors il devient artisan, voire commerçant s'il en fait une profession accessoire habituelle et se met gravement en porte-à-faux avec son éventuel statut de fonctionnaire. Lui seul peut répondre, évidemment, s'il le veut bien.
On pourra étudier seulement ensuite son statut fiscal.
Guy Renault semble croire que je le poursuis de ma vindicte. Pas du tout, j'essaye depuis le début de lui faire toucher du doigt qu'une oeuvre à des ayants droit et qu'on ne peut pas en faire ce qu'on en veut.
Le 16/10/2012 02:06, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 15/10/2012 23:28, Ghost-Rider a écrit :
Le 15/10/2012 21:17, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
C'est un rappel de la loi sur le droit d'auteur (le copyright est une
notion anglo-saxonne). En soi, ça n'a rien de ridicule ni de sublime.
Ce qui est sublime, c'est qu'au même endroit, Guy Renault foule
ouvertement aux pieds les droits du créateur de l'oeuvre dont il vend la
photo.
tu le branches sur quel statut il a pour se faire payer ?
Il y a peut-être là un problème en effet. Car que dit-il sur cette oeuvre ?
Son message du 5/10 à 21h31 :
"Ben il s"agit en fait d'un cadran solaire situé dans la cour d'un lycée
sarthois. Je m'ennuyais un dimanche matin dans notre appartement de
fonction et c'est alors que j'ai vu cette sculpture plutôt grande et que
je suis sorti sous la pluie pour me coucher dessous, dans la boue, et
j'ai pris cette photo... Je n'ai pas regretté malgré l'engueulade de ma
femme... Voilà l'histoire de cette photo."
Est-il fonctionnaire ?
Fait-il profession habituelle de vendre ses photos ?
S'il répond oui à ces deux questions, alors il s'est mis dans un mauvais
cas car il est interdit aux fonctionnaires d'être commerçant.
Pour les artisans, la question est assez controversée, une autorisation
de la hiérarchie, difficile à obtenir, est nécessaire.
Enfin un fonctionnaire peut sans problème être auteur, artiste...
Si donc les photos de Guy Renault sont des créations originales
(paysages, animaux etc..) il en détient les droits et peut les vendre.
Si ses photos sont des reproductions d'oeuvres d'autres artistes, alors
il devient artisan, voire commerçant s'il en fait une profession
accessoire habituelle et se met gravement en porte-à-faux avec son
éventuel statut de fonctionnaire.
Lui seul peut répondre, évidemment, s'il le veut bien.
On pourra étudier seulement ensuite son statut fiscal.
Guy Renault semble croire que je le poursuis de ma vindicte.
Pas du tout, j'essaye depuis le début de lui faire toucher du doigt
qu'une oeuvre à des ayants droit et qu'on ne peut pas en faire ce qu'on
en veut.
Le 16/10/2012 02:06, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 15/10/2012 23:28, Ghost-Rider a écrit :
Le 15/10/2012 21:17, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
C'est un rappel de la loi sur le droit d'auteur (le copyright est une notion anglo-saxonne). En soi, ça n'a rien de ridicule ni de sublime.
Ce qui est sublime, c'est qu'au même endroit, Guy Renault foule ouvertement aux pieds les droits du créateur de l'oeuvre dont il vend la photo.
tu le branches sur quel statut il a pour se faire payer ?
Il y a peut-être là un problème en effet. Car que dit-il sur cette oeuvre ? Son message du 5/10 à 21h31 : "Ben il s"agit en fait d'un cadran solaire situé dans la cour d'un lycée sarthois. Je m'ennuyais un dimanche matin dans notre appartement de fonction et c'est alors que j'ai vu cette sculpture plutôt grande et que je suis sorti sous la pluie pour me coucher dessous, dans la boue, et j'ai pris cette photo... Je n'ai pas regretté malgré l'engueulade de ma femme... Voilà l'histoire de cette photo."
Est-il fonctionnaire ? Fait-il profession habituelle de vendre ses photos ? S'il répond oui à ces deux questions, alors il s'est mis dans un mauvais cas car il est interdit aux fonctionnaires d'être commerçant. Pour les artisans, la question est assez controversée, une autorisation de la hiérarchie, difficile à obtenir, est nécessaire. Enfin un fonctionnaire peut sans problème être auteur, artiste...
Si donc les photos de Guy Renault sont des créations originales (paysages, animaux etc..) il en détient les droits et peut les vendre. Si ses photos sont des reproductions d'oeuvres d'autres artistes, alors il devient artisan, voire commerçant s'il en fait une profession accessoire habituelle et se met gravement en porte-à-faux avec son éventuel statut de fonctionnaire. Lui seul peut répondre, évidemment, s'il le veut bien.
On pourra étudier seulement ensuite son statut fiscal.
Guy Renault semble croire que je le poursuis de ma vindicte. Pas du tout, j'essaye depuis le début de lui faire toucher du doigt qu'une oeuvre à des ayants droit et qu'on ne peut pas en faire ce qu'on en veut.
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 15/10/12 23:28, Ghost-Rider a écrit :
Le 15/10/2012 21:17, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
C'est un rappel de la loi sur le droit d'auteur (le copyright est une notion anglo-saxonne). En soi, ça n'a rien de ridicule ni de sublime.
Ce qui est sublime, c'est qu'au même endroit, Guy Renault foule ouvertement aux pieds les droits du créateur de l'oeuvre dont il vend la photo.
Ça, c'est du contexte, et c'est en effet un peu osé.
Dès que l'on vend des photos c'est un sacré taf de gérer les autorisations...J'avais évalué la possibilité d'alimenter les agences de microstock ; ça demande un boulot monumental rien que pour gérer les mots clés, préparer la mise en ligne, télécharger sur les sites (arrivé là, on peut automatiser un peu, ça dépend des sites en plus). Mais le truc critique ce sont vraiment les autorisations. Il en faut pour les images avec modèles. Il en faut pour les images avec un bâtiment récent. Il en faut des organisateurs et des personnes publiques en cas de manifestations diverses (spectacles, foires, congrès...). Il en faut pour les quidams reconnaissables et encore plus pour les enfants. Il ne faut pas d'objets de marque reconnaissable (je cherche encore un écran banalisé, tiens!). Il en faut pour les œuvres d'art. Je dois en oublier, c'est clair. Comme à ça il faut ajouter les interdictions légales, les autorisations à obtenir dans les lieux privés ouverts au public, et la parano ambiante rien que pour commencer à photographier, il reste à réussir à vendre des couchers de soleil, des photos de petits chats et des autoportraits nus. J'avais évalué le temps de travail pour préparer et faire un téléchargement à au moins 10 minutes 1/4 heure. Pour vendre des photos 99 cts ( et je suis le genre parfaitement con qui déclare ses gains, en plus ). Le calcul de combien de couchers de soleils à 99 cts faut-il vendre pour obtenir un revenu mensuel perceptible en moins de 10 heures de travail chiant tous les soirs est laissé comme un exercice au lecteur. Même en factorisant par exemple autoportrait nu sur fond de paysage et avec un petit chat sur l'épaule.
Noëlle Adam
Le 15/10/12 23:28, Ghost-Rider a écrit :
Le 15/10/2012 21:17, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
C'est un rappel de la loi sur le droit d'auteur (le copyright est une
notion anglo-saxonne). En soi, ça n'a rien de ridicule ni de sublime.
Ce qui est sublime, c'est qu'au même endroit, Guy Renault foule
ouvertement aux pieds les droits du créateur de l'oeuvre dont il vend la
photo.
Ça, c'est du contexte, et c'est en effet un peu osé.
Dès que l'on vend des photos c'est un sacré taf de gérer les
autorisations...J'avais évalué la possibilité d'alimenter les agences de
microstock ; ça demande un boulot monumental rien que pour gérer les
mots clés, préparer la mise en ligne, télécharger sur les sites (arrivé
là, on peut automatiser un peu, ça dépend des sites en plus). Mais le
truc critique ce sont vraiment les autorisations. Il en faut pour les
images avec modèles. Il en faut pour les images avec un bâtiment récent.
Il en faut des organisateurs et des personnes publiques en cas de
manifestations diverses (spectacles, foires, congrès...). Il en faut
pour les quidams reconnaissables et encore plus pour les enfants. Il ne
faut pas d'objets de marque reconnaissable (je cherche encore un écran
banalisé, tiens!). Il en faut pour les œuvres d'art. Je dois en oublier,
c'est clair. Comme à ça il faut ajouter les interdictions légales, les
autorisations à obtenir dans les lieux privés ouverts au public, et la
parano ambiante rien que pour commencer à photographier, il reste à
réussir à vendre des couchers de soleil, des photos de petits chats et
des autoportraits nus. J'avais évalué le temps de travail pour préparer
et faire un téléchargement à au moins 10 minutes 1/4 heure. Pour vendre
des photos 99 cts ( et je suis le genre parfaitement con qui déclare ses
gains, en plus ). Le calcul de combien de couchers de soleils à 99 cts
faut-il vendre pour obtenir un revenu mensuel perceptible en moins de 10
heures de travail chiant tous les soirs est laissé comme un exercice au
lecteur. Même en factorisant par exemple autoportrait nu sur fond de
paysage et avec un petit chat sur l'épaule.
Le 15/10/2012 21:17, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
C'est un rappel de la loi sur le droit d'auteur (le copyright est une notion anglo-saxonne). En soi, ça n'a rien de ridicule ni de sublime.
Ce qui est sublime, c'est qu'au même endroit, Guy Renault foule ouvertement aux pieds les droits du créateur de l'oeuvre dont il vend la photo.
Ça, c'est du contexte, et c'est en effet un peu osé.
Dès que l'on vend des photos c'est un sacré taf de gérer les autorisations...J'avais évalué la possibilité d'alimenter les agences de microstock ; ça demande un boulot monumental rien que pour gérer les mots clés, préparer la mise en ligne, télécharger sur les sites (arrivé là, on peut automatiser un peu, ça dépend des sites en plus). Mais le truc critique ce sont vraiment les autorisations. Il en faut pour les images avec modèles. Il en faut pour les images avec un bâtiment récent. Il en faut des organisateurs et des personnes publiques en cas de manifestations diverses (spectacles, foires, congrès...). Il en faut pour les quidams reconnaissables et encore plus pour les enfants. Il ne faut pas d'objets de marque reconnaissable (je cherche encore un écran banalisé, tiens!). Il en faut pour les œuvres d'art. Je dois en oublier, c'est clair. Comme à ça il faut ajouter les interdictions légales, les autorisations à obtenir dans les lieux privés ouverts au public, et la parano ambiante rien que pour commencer à photographier, il reste à réussir à vendre des couchers de soleil, des photos de petits chats et des autoportraits nus. J'avais évalué le temps de travail pour préparer et faire un téléchargement à au moins 10 minutes 1/4 heure. Pour vendre des photos 99 cts ( et je suis le genre parfaitement con qui déclare ses gains, en plus ). Le calcul de combien de couchers de soleils à 99 cts faut-il vendre pour obtenir un revenu mensuel perceptible en moins de 10 heures de travail chiant tous les soirs est laissé comme un exercice au lecteur. Même en factorisant par exemple autoportrait nu sur fond de paysage et avec un petit chat sur l'épaule.
Noëlle Adam
grenault
Le 15/10/2012 23:28, Ghost-Rider a écrit :
Le 15/10/2012 21:17, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
C'est un rappel de la loi sur le droit d'auteur (le copyright est une notion anglo-saxonne). En soi, ça n'a rien de ridicule ni de sublime.
Ce qui est sublime, c'est qu'au même endroit, Guy Renault foule ouvertement aux pieds les droits du créateur de l'oeuvre dont il vend la photo.
Le 16/10/12 01:54, Stephane Legras-Decussy a écrit :
C'est un rappel de la loi sur le droit d'auteur (le copyright est une notion anglo-saxonne). En soi, ça n'a rien de ridicule ni de sublime.
le "à titre privé" quand même ...
Bon, je vais exliquer un peu et dire que dans l'esprit de beaucoup de gens, l'usage sur un site internet perso, facebook ou autre carte de visite est un usage privé. Mais pour le photographe ça correspond bien à un usage public pour lequel il a un droit de regard, de rémunération éventuelle et une responsabilité. D'un autre coté, l'usage vraiment privé par exemple en fond d'écran, on aimerait bien le savoir parce que ça fait plaisir, par exemple. Sur dA il y a un indicateur à coté des images autorisant (eventuellement) le téléchargement. Quand tu constates que le nombre de téléchargements est très supérieur au nombre de commentaires (même les sommaires OMG) tu te demandes un peu ce que tous ces gens qui n'ont pas aimé ton image assez pour te le faire savoir font avec ?
Noëlle Adam
Le 16/10/12 01:54, Stephane Legras-Decussy a écrit :
C'est un rappel de la loi sur le droit d'auteur (le copyright est une
notion anglo-saxonne). En soi, ça n'a rien de ridicule ni de sublime.
le "à titre privé" quand même ...
Bon, je vais exliquer un peu et dire que dans l'esprit de beaucoup de
gens, l'usage sur un site internet perso, facebook ou autre carte de
visite est un usage privé. Mais pour le photographe ça correspond bien à
un usage public pour lequel il a un droit de regard, de rémunération
éventuelle et une responsabilité. D'un autre coté, l'usage vraiment
privé par exemple en fond d'écran, on aimerait bien le savoir parce que
ça fait plaisir, par exemple. Sur dA il y a un indicateur à coté des
images autorisant (eventuellement) le téléchargement. Quand tu constates
que le nombre de téléchargements est très supérieur au nombre de
commentaires (même les sommaires OMG) tu te demandes un peu ce que tous
ces gens qui n'ont pas aimé ton image assez pour te le faire savoir font
avec ?
Le 16/10/12 01:54, Stephane Legras-Decussy a écrit :
C'est un rappel de la loi sur le droit d'auteur (le copyright est une notion anglo-saxonne). En soi, ça n'a rien de ridicule ni de sublime.
le "à titre privé" quand même ...
Bon, je vais exliquer un peu et dire que dans l'esprit de beaucoup de gens, l'usage sur un site internet perso, facebook ou autre carte de visite est un usage privé. Mais pour le photographe ça correspond bien à un usage public pour lequel il a un droit de regard, de rémunération éventuelle et une responsabilité. D'un autre coté, l'usage vraiment privé par exemple en fond d'écran, on aimerait bien le savoir parce que ça fait plaisir, par exemple. Sur dA il y a un indicateur à coté des images autorisant (eventuellement) le téléchargement. Quand tu constates que le nombre de téléchargements est très supérieur au nombre de commentaires (même les sommaires OMG) tu te demandes un peu ce que tous ces gens qui n'ont pas aimé ton image assez pour te le faire savoir font avec ?
Noëlle Adam
jdanield
Le 16/10/2012 09:15, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Dès que l'on vend des photos c'est un sacré taf de gérer les autorisations...
je confirme. C'est pourquoi 90% de mes photos ne sont pas publiques :-(
jdd NB: les meilleures, bien sur, je suis un grand photographe caché, obligé de ne montrer que des rognes :-)
Le 16/10/2012 09:15, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Dès que l'on vend des photos c'est un sacré taf de gérer les
autorisations...
je confirme. C'est pourquoi 90% de mes photos ne sont pas publiques :-(
jdd
NB: les meilleures, bien sur, je suis un grand photographe caché,
obligé de ne montrer que des rognes :-)
Le 16/10/2012 09:15, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Dès que l'on vend des photos c'est un sacré taf de gérer les autorisations...
je confirme. C'est pourquoi 90% de mes photos ne sont pas publiques :-(
jdd NB: les meilleures, bien sur, je suis un grand photographe caché, obligé de ne montrer que des rognes :-)
grenault
Le 16/10/2012 09:27, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 16/10/12 01:54, Stephane Legras-Decussy a écrit :
C'est un rappel de la loi sur le droit d'auteur (le copyright est une notion anglo-saxonne). En soi, ça n'a rien de ridicule ni de sublime.
le "à titre privé" quand même ...
Bon, je vais exliquer un peu et dire que dans l'esprit de beaucoup de gens, l'usage sur un site internet perso, facebook ou autre carte de visite est un usage privé. Mais pour le photographe ça correspond bien à un usage public pour lequel il a un droit de regard, de rémunération éventuelle et une responsabilité. D'un autre coté, l'usage vraiment privé par exemple en fond d'écran, on aimerait bien le savoir parce que ça fait plaisir, par exemple. Sur dA il y a un indicateur à coté des images autorisant (eventuellement) le téléchargement. Quand tu constates que le nombre de téléchargements est très supérieur au nombre de commentaires (même les sommaires OMG) tu te demandes un peu ce que tous ces gens qui n'ont pas aimé ton image assez pour te le faire savoir font avec ?
Noëlle Adam
Merci Noëlle pour tes explications claires. Tu as bien compris ma démarche.
Pour rassurer ceux qui s'inquiètent pour moi, rassurez-vous j'ai consulté un avocat (un ami, cela ne m'a coûté qu'un apéro, donc mes finances n'en ont pas trop souffert). Pour lui, il n'y a aucun problème dans ce cas précis : il s'agit d'une création originale car l'objet source de la photo ne peut pas être clairement identifié (la photo a été exposée dans le lycée ainsi qu'à la mairie dans le cadre d'une exposition photo et, probablement publiée dans la presse (gagnante d'un concours). Donc la "publicité" a bien été réalisée sans qu'aucune réclamation n'ait été formulée par qui que ce soit.
Quand à mes revenus ils sont, bien sur, déclarés au fisc (droits d'auteur soumis au régime BNC, comme il se doit).
Mon ami avocat a bien sur d'autres arguments mai je ne vais pas vous raconter ma vie... Je voulais juste vous rassurer et vous remercier de vous inquiéter pour moi, cela fait toujours plaisir ;-)
Le 16/10/2012 09:27, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 16/10/12 01:54, Stephane Legras-Decussy a écrit :
C'est un rappel de la loi sur le droit d'auteur (le copyright est une
notion anglo-saxonne). En soi, ça n'a rien de ridicule ni de sublime.
le "à titre privé" quand même ...
Bon, je vais exliquer un peu et dire que dans l'esprit de beaucoup de
gens, l'usage sur un site internet perso, facebook ou autre carte de
visite est un usage privé. Mais pour le photographe ça correspond bien à
un usage public pour lequel il a un droit de regard, de rémunération
éventuelle et une responsabilité. D'un autre coté, l'usage vraiment
privé par exemple en fond d'écran, on aimerait bien le savoir parce que
ça fait plaisir, par exemple. Sur dA il y a un indicateur à coté des
images autorisant (eventuellement) le téléchargement. Quand tu constates
que le nombre de téléchargements est très supérieur au nombre de
commentaires (même les sommaires OMG) tu te demandes un peu ce que tous
ces gens qui n'ont pas aimé ton image assez pour te le faire savoir font
avec ?
Noëlle Adam
Merci Noëlle pour tes explications claires. Tu as bien compris ma démarche.
Pour rassurer ceux qui s'inquiètent pour moi, rassurez-vous j'ai
consulté un avocat (un ami, cela ne m'a coûté qu'un apéro, donc mes
finances n'en ont pas trop souffert). Pour lui, il n'y a aucun problème
dans ce cas précis : il s'agit d'une création originale car l'objet
source de la photo ne peut pas être clairement identifié (la photo a été
exposée dans le lycée ainsi qu'à la mairie dans le cadre d'une
exposition photo et, probablement publiée dans la presse (gagnante d'un
concours). Donc la "publicité" a bien été réalisée sans qu'aucune
réclamation n'ait été formulée par qui que ce soit.
Quand à mes revenus ils sont, bien sur, déclarés au fisc (droits
d'auteur soumis au régime BNC, comme il se doit).
Mon ami avocat a bien sur d'autres arguments mai je ne vais pas vous
raconter ma vie... Je voulais juste vous rassurer et vous remercier de
vous inquiéter pour moi, cela fait toujours plaisir ;-)
Le 16/10/2012 09:27, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 16/10/12 01:54, Stephane Legras-Decussy a écrit :
C'est un rappel de la loi sur le droit d'auteur (le copyright est une notion anglo-saxonne). En soi, ça n'a rien de ridicule ni de sublime.
le "à titre privé" quand même ...
Bon, je vais exliquer un peu et dire que dans l'esprit de beaucoup de gens, l'usage sur un site internet perso, facebook ou autre carte de visite est un usage privé. Mais pour le photographe ça correspond bien à un usage public pour lequel il a un droit de regard, de rémunération éventuelle et une responsabilité. D'un autre coté, l'usage vraiment privé par exemple en fond d'écran, on aimerait bien le savoir parce que ça fait plaisir, par exemple. Sur dA il y a un indicateur à coté des images autorisant (eventuellement) le téléchargement. Quand tu constates que le nombre de téléchargements est très supérieur au nombre de commentaires (même les sommaires OMG) tu te demandes un peu ce que tous ces gens qui n'ont pas aimé ton image assez pour te le faire savoir font avec ?
Noëlle Adam
Merci Noëlle pour tes explications claires. Tu as bien compris ma démarche.
Pour rassurer ceux qui s'inquiètent pour moi, rassurez-vous j'ai consulté un avocat (un ami, cela ne m'a coûté qu'un apéro, donc mes finances n'en ont pas trop souffert). Pour lui, il n'y a aucun problème dans ce cas précis : il s'agit d'une création originale car l'objet source de la photo ne peut pas être clairement identifié (la photo a été exposée dans le lycée ainsi qu'à la mairie dans le cadre d'une exposition photo et, probablement publiée dans la presse (gagnante d'un concours). Donc la "publicité" a bien été réalisée sans qu'aucune réclamation n'ait été formulée par qui que ce soit.
Quand à mes revenus ils sont, bien sur, déclarés au fisc (droits d'auteur soumis au régime BNC, comme il se doit).
Mon ami avocat a bien sur d'autres arguments mai je ne vais pas vous raconter ma vie... Je voulais juste vous rassurer et vous remercier de vous inquiéter pour moi, cela fait toujours plaisir ;-)