— les pisse-froids qui ont fait des maths y verront le résultat de la convolution de la figure de réflexion parasite sur les lamelles du diaphragme (les rayons autour du petit lampadaire) par la surface étendue du gros lampadaire.
Désolé, je ne comprends pas l'origine de ce halo mathématique.
Dans la langue de tous les jours, cela signifie que si on morcelle le gros lampadaire en tout petits bouts, tous bien brillants, chacun de ces bouts donnera naissance à la même figure de diffraction toute pleine de rayons que le petit lampadaire, et que tous ces détails délicats se noieront les uns dans les autres quand on superposera toutes ces figures élémentaires ; il n'en restera que cette sorte de pâté brumeux autour du lampadaire.
Charles
Ghost-Rider a écrit :
— les pisse-froids qui ont fait des maths y verront le résultat de la
convolution de la figure de réflexion parasite sur les lamelles du
diaphragme (les rayons autour du petit lampadaire) par la surface
étendue du gros lampadaire.
Désolé, je ne comprends pas l'origine de ce halo mathématique.
Dans la langue de tous les jours, cela signifie que si on morcelle le
gros lampadaire en tout petits bouts, tous bien brillants, chacun de ces
bouts donnera naissance à la même figure de diffraction toute pleine de
rayons que le petit lampadaire, et que tous ces détails délicats se
noieront les uns dans les autres quand on superposera toutes ces figures
élémentaires ; il n'en restera que cette sorte de pâté brumeux autour du
lampadaire.
— les pisse-froids qui ont fait des maths y verront le résultat de la convolution de la figure de réflexion parasite sur les lamelles du diaphragme (les rayons autour du petit lampadaire) par la surface étendue du gros lampadaire.
Désolé, je ne comprends pas l'origine de ce halo mathématique.
Dans la langue de tous les jours, cela signifie que si on morcelle le gros lampadaire en tout petits bouts, tous bien brillants, chacun de ces bouts donnera naissance à la même figure de diffraction toute pleine de rayons que le petit lampadaire, et que tous ces détails délicats se noieront les uns dans les autres quand on superposera toutes ces figures élémentaires ; il n'en restera que cette sorte de pâté brumeux autour du lampadaire.
Charles
HicdeBroc
Elohan wrote:
Charles Vassallo a écrit :
ytabouret a écrit :
Charles Vassallo a écrit:
Par contre dans l'image du pont métallique, le DP2 enregistre des nuances entre le vert de l'eau et le vert des arbres qui échappent au D800.
Bonjour Charles, Comment vois-tu ça ? Cordialement,
Comme ça : http://cjoint.com/12ju/BGwmkNiOIzr_copie_ecran.jpg
Le D800E + Zeiss 50mm2 sont sans doute là en tant que référence de qualité absolue.
La qualité d'un capteur est sa capacité de copier l'information De la fréquence spatiale de l'optique
Le capteur du D800 copie la fréquence spatiale de l'optique A la même fréquence spatiale = 100traits/mm pour 100 blocs de Bayer par mm Composés de 400 photosites monochromiques RVVB par mm Soit 1600 photosites monochromiques RVVB par mm²
Sa qualité est minimale.
Le DP2 Merryl copie la fréquence spatiale de l'optique Au double de la fréquence spatiale = 100traits/mm pour 200 pixels polychromiques par mm, Composés de 600 photosites monochromiques RVB par mm, Soit 3600 photosites monochromiques RVB par mm²
Sa qualité est celle de la copie sans perte.
Le capteur du SD3 est en qualité minimale Le capteur du SD15 est en qualité "Cinéma Numérique"
Elohan <no@name.com> wrote:
Charles Vassallo a écrit :
ytabouret a écrit :
Charles Vassallo <cv@waou.fr> a écrit:
Par contre dans l'image du pont métallique, le DP2 enregistre des
nuances entre le vert de l'eau et le vert des arbres qui échappent au
D800.
Bonjour Charles,
Comment vois-tu ça ?
Cordialement,
Comme ça : http://cjoint.com/12ju/BGwmkNiOIzr_copie_ecran.jpg
Le D800E + Zeiss 50mm2 sont sans doute là en tant que référence de
qualité absolue.
La qualité d'un capteur est sa capacité de copier l'information
De la fréquence spatiale de l'optique
Le capteur du D800 copie la fréquence spatiale de l'optique
A la même fréquence spatiale
= 100traits/mm pour 100 blocs de Bayer par mm
Composés de 400 photosites monochromiques RVVB par mm
Soit 1600 photosites monochromiques RVVB par mm²
Sa qualité est minimale.
Le DP2 Merryl copie la fréquence spatiale de l'optique
Au double de la fréquence spatiale
= 100traits/mm pour 200 pixels polychromiques par mm,
Composés de 600 photosites monochromiques RVB par mm,
Soit 3600 photosites monochromiques RVB par mm²
Sa qualité est celle de la copie sans perte.
Le capteur du SD3 est en qualité minimale
Le capteur du SD15 est en qualité "Cinéma Numérique"
Par contre dans l'image du pont métallique, le DP2 enregistre des nuances entre le vert de l'eau et le vert des arbres qui échappent au D800.
Bonjour Charles, Comment vois-tu ça ? Cordialement,
Comme ça : http://cjoint.com/12ju/BGwmkNiOIzr_copie_ecran.jpg
Le D800E + Zeiss 50mm2 sont sans doute là en tant que référence de qualité absolue.
La qualité d'un capteur est sa capacité de copier l'information De la fréquence spatiale de l'optique
Le capteur du D800 copie la fréquence spatiale de l'optique A la même fréquence spatiale = 100traits/mm pour 100 blocs de Bayer par mm Composés de 400 photosites monochromiques RVVB par mm Soit 1600 photosites monochromiques RVVB par mm²
Sa qualité est minimale.
Le DP2 Merryl copie la fréquence spatiale de l'optique Au double de la fréquence spatiale = 100traits/mm pour 200 pixels polychromiques par mm, Composés de 600 photosites monochromiques RVB par mm, Soit 3600 photosites monochromiques RVB par mm²
Sa qualité est celle de la copie sans perte.
Le capteur du SD3 est en qualité minimale Le capteur du SD15 est en qualité "Cinéma Numérique"
HicdeBroc
"Jean-Claude Ghislain" wrote:
"Bour-Brown" a écrit :
Pas impressionnant, mais c'est propre. J'ai vu tellement de photos de ce genre dans lesquelles les coins partent en sucette que voilà, je trouve ça bien.
L'optique semble se maintenir sur les bords, c'est suffisamment rare pour être signalé : http://dc.watch.impress.co.jp/img/dcw/docs/548/695/html/029.jpg.html Ce petit appareil est probablement trop cher, mais il semble quand même de bonne qualité...
Si c'est trop cher t'as qu'à acheter un SD1 "vu à 1600 Euro" :)
ou attendre que le prix du compact descende à 600 ou 700 Euro
"Jean-Claude Ghislain" <jcg@invalid.com> wrote:
"Bour-Brown" a écrit :
Pas impressionnant, mais c'est propre. J'ai vu tellement de photos de ce
genre dans lesquelles les coins partent en sucette que voilà, je trouve ça
bien.
L'optique semble se maintenir sur les bords, c'est suffisamment rare pour
être signalé :
http://dc.watch.impress.co.jp/img/dcw/docs/548/695/html/029.jpg.html
Ce petit appareil est probablement trop cher, mais il semble quand même de
bonne qualité...
Si c'est trop cher t'as qu'à acheter un SD1 "vu à 1600 Euro" :)
ou attendre que le prix du compact descende à 600 ou 700 Euro
Pas impressionnant, mais c'est propre. J'ai vu tellement de photos de ce genre dans lesquelles les coins partent en sucette que voilà, je trouve ça bien.
L'optique semble se maintenir sur les bords, c'est suffisamment rare pour être signalé : http://dc.watch.impress.co.jp/img/dcw/docs/548/695/html/029.jpg.html Ce petit appareil est probablement trop cher, mais il semble quand même de bonne qualité...
Si c'est trop cher t'as qu'à acheter un SD1 "vu à 1600 Euro" :)
ou attendre que le prix du compact descende à 600 ou 700 Euro
René
"Jean-Claude Ghislain" a écrit dans le message de groupe de discussion : juodkr$g1m$
"Bour-Brown" a écrit :
Pas impressionnant, mais c'est propre. J'ai vu tellement de photos de ce genre dans lesquelles les coins partent en sucette que voilà, je trouve ça bien.
L'optique semble se maintenir sur les bords, c'est suffisamment rare pour être signalé :
C'est l'aspect qui m'impressionne le plus. Aujourd'hui combien vaut une telle optique fixe, compte tenu que le nombre d'exemplaires vendus sera limité? Sur Amazon il y a un appareil usagé offert à 440$; et 620$ pour du neuf. Je ne trouve pas cela vraiment cher si la photo que tu montres caractérise vraiment la production des objectifs. Par contre l'absence de viseur optique me parait regrettable.
Quelle différence y a t-il entre ce Sigma et si grandement célébré Leica muni d'un seul objectif?
René
"Jean-Claude Ghislain" a écrit dans le message de groupe de discussion :
juodkr$g1m$1@speranza.aioe.org...
"Bour-Brown" a écrit :
Pas impressionnant, mais c'est propre. J'ai vu tellement de photos de ce
genre dans lesquelles les coins partent en sucette que voilà, je trouve
ça
bien.
L'optique semble se maintenir sur les bords, c'est suffisamment rare pour
être signalé :
C'est l'aspect qui m'impressionne le plus. Aujourd'hui combien vaut une
telle optique fixe, compte tenu que le nombre d'exemplaires vendus sera
limité? Sur Amazon il y a un appareil usagé offert à 440$; et 620$ pour du
neuf. Je ne trouve pas cela vraiment cher si la photo que tu montres
caractérise vraiment la production des objectifs. Par contre l'absence de
viseur optique me parait regrettable.
Quelle différence y a t-il entre ce Sigma et si grandement célébré Leica
muni d'un seul objectif?
"Jean-Claude Ghislain" a écrit dans le message de groupe de discussion : juodkr$g1m$
"Bour-Brown" a écrit :
Pas impressionnant, mais c'est propre. J'ai vu tellement de photos de ce genre dans lesquelles les coins partent en sucette que voilà, je trouve ça bien.
L'optique semble se maintenir sur les bords, c'est suffisamment rare pour être signalé :
C'est l'aspect qui m'impressionne le plus. Aujourd'hui combien vaut une telle optique fixe, compte tenu que le nombre d'exemplaires vendus sera limité? Sur Amazon il y a un appareil usagé offert à 440$; et 620$ pour du neuf. Je ne trouve pas cela vraiment cher si la photo que tu montres caractérise vraiment la production des objectifs. Par contre l'absence de viseur optique me parait regrettable.
Quelle différence y a t-il entre ce Sigma et si grandement célébré Leica muni d'un seul objectif?
Une fois de plus, très joli piqué, image fort homogène. Optique fixe, va donc falloir faire la différence avec vitesse d'autofocus et haute sensibilité, sinon ça laisse peu de domaines exploitables...
Jean-Claude Ghislain a écrit
( juodkr$g1m$1@speranza.aioe.org )
Une fois de plus, très joli piqué, image fort homogène. Optique fixe, va
donc falloir faire la différence avec vitesse d'autofocus et haute
sensibilité, sinon ça laisse peu de domaines exploitables...
Une fois de plus, très joli piqué, image fort homogène. Optique fixe, va donc falloir faire la différence avec vitesse d'autofocus et haute sensibilité, sinon ça laisse peu de domaines exploitables...
Bour-Brown
Charles Vassallo a écrit ( 500eb7f7$0$6202$ )
On peut bien entendu changer la courbe de rendu : c'est le début du tone-mapping.
Pour moi, le tone mapping, c'est encore autre chose, inaccessibles aux courbes seules.
La dynamique, c'est la différence, en EV, entre le noir et le blanc sur la photo d'origine. On peut avoir des jpg avec 7 EV et d'autres avec 11 EV par exemple, dans les premiers les lumières et les ombres atteignent plus vite le taquet.
Les courbes, c'est la façon de répartir la rampe de gris dans cette dynamique. On peut très bien avoir les nuances qui décollent assez vite, des images assez douces en fait, ou une méchante courbe en S qui augmente les contrastes et durcit le résultat final.
Le tone mapping, ce sont des rampes locales, faut des masques. C'est le choix de ces masques et des rampes qu'on leur attribue qui permettent ces résultats tellement différents à partir du même hdr.
Charles Vassallo a écrit
( 500eb7f7$0$6202$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
On peut bien entendu changer la courbe de rendu : c'est le début du
tone-mapping.
Pour moi, le tone mapping, c'est encore autre chose, inaccessibles aux
courbes seules.
La dynamique, c'est la différence, en EV, entre le noir et le blanc sur la
photo d'origine. On peut avoir des jpg avec 7 EV et d'autres avec 11 EV par
exemple, dans les premiers les lumières et les ombres atteignent plus vite
le taquet.
Les courbes, c'est la façon de répartir la rampe de gris dans cette
dynamique. On peut très bien avoir les nuances qui décollent assez vite, des
images assez douces en fait, ou une méchante courbe en S qui augmente les
contrastes et durcit le résultat final.
Le tone mapping, ce sont des rampes locales, faut des masques. C'est le
choix de ces masques et des rampes qu'on leur attribue qui permettent ces
résultats tellement différents à partir du même hdr.
On peut bien entendu changer la courbe de rendu : c'est le début du tone-mapping.
Pour moi, le tone mapping, c'est encore autre chose, inaccessibles aux courbes seules.
La dynamique, c'est la différence, en EV, entre le noir et le blanc sur la photo d'origine. On peut avoir des jpg avec 7 EV et d'autres avec 11 EV par exemple, dans les premiers les lumières et les ombres atteignent plus vite le taquet.
Les courbes, c'est la façon de répartir la rampe de gris dans cette dynamique. On peut très bien avoir les nuances qui décollent assez vite, des images assez douces en fait, ou une méchante courbe en S qui augmente les contrastes et durcit le résultat final.
Le tone mapping, ce sont des rampes locales, faut des masques. C'est le choix de ces masques et des rampes qu'on leur attribue qui permettent ces résultats tellement différents à partir du même hdr.
Bour-Brown
René a écrit ( )
Quelle différence y a t-il entre ce Sigma et si grandement célébré Leica muni d'un seul objectif?
Le prix ?
René a écrit
( V_KdnUw7XZU7_I3NnZ2dnUVZ_i2dnZ2d@b2b2c.ca )
Quelle différence y a t-il entre ce Sigma et si grandement célébré Leica
muni d'un seul objectif?
Quelle différence y a t-il entre ce Sigma et si grandement célébré Leica muni d'un seul objectif?
Le prix ?
Charles Vassallo
Bour-Brown a écrit :
Charles Vassallo a écrit ( 500eb7f7$0$6202$ )
On peut bien entendu changer la courbe de rendu : c'est le début du tone-mapping.
Pour moi, le tone mapping, c'est encore autre chose, inaccessibles aux courbes seules [...]
Eh ! bien sûr, pour tout le monde, moi compris !
Le tone-mapping, stricto sensu, c'est l'art et la manière de plaquer un ensemble de valeurs de départ dans un ensemble de valeurs de sortie. Les courbes, disais-je, c'est le **début** du tone-mapping.
Soyons savants : les courbes font du tone-mapping **local**, où les RVB d'arrivée sur un pixel donné ne dépendent que des RVB de départ du même pixel. Les traitements tons foncés/tons clairs (ou HDR) impliquent du tone-mapping non-local, où ce qui arrive à un pixel dépend aussi des pixels avoisinants.
Charles
Bour-Brown a écrit :
Charles Vassallo a écrit
( 500eb7f7$0$6202$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
On peut bien entendu changer la courbe de rendu : c'est le début du
tone-mapping.
Pour moi, le tone mapping, c'est encore autre chose, inaccessibles aux
courbes seules [...]
Eh ! bien sûr, pour tout le monde, moi compris !
Le tone-mapping, stricto sensu, c'est l'art et la manière de plaquer un
ensemble de valeurs de départ dans un ensemble de valeurs de sortie. Les
courbes, disais-je, c'est le **début** du tone-mapping.
Soyons savants : les courbes font du tone-mapping **local**, où les RVB
d'arrivée sur un pixel donné ne dépendent que des RVB de départ du même
pixel. Les traitements tons foncés/tons clairs (ou HDR) impliquent du
tone-mapping non-local, où ce qui arrive à un pixel dépend aussi des
pixels avoisinants.
On peut bien entendu changer la courbe de rendu : c'est le début du tone-mapping.
Pour moi, le tone mapping, c'est encore autre chose, inaccessibles aux courbes seules [...]
Eh ! bien sûr, pour tout le monde, moi compris !
Le tone-mapping, stricto sensu, c'est l'art et la manière de plaquer un ensemble de valeurs de départ dans un ensemble de valeurs de sortie. Les courbes, disais-je, c'est le **début** du tone-mapping.
Soyons savants : les courbes font du tone-mapping **local**, où les RVB d'arrivée sur un pixel donné ne dépendent que des RVB de départ du même pixel. Les traitements tons foncés/tons clairs (ou HDR) impliquent du tone-mapping non-local, où ce qui arrive à un pixel dépend aussi des pixels avoisinants.
Charles
Bour-Brown
Charles Vassallo a écrit ( 5011605e$0$6193$ )
Soyons savants : les courbes font du tone-mapping **local**, où les RVB d'arrivée sur un pixel donné ne dépendent que des RVB de départ du même pixel. Les traitements tons foncés/tons clairs (ou HDR) impliquent du tone-mapping non-local, où ce qui arrive à un pixel dépend aussi des pixels avoisinants.
C'est marrant, parce qu'on connaît tous les deux le processus et l'esprit des algorithmes utilisés, et pour décrire la chose, on utilise les mêmes mots, mais dans des sens opposés.
Pour moi, les courbes sont globales, c'est-à-dire que les modifications altèrent l'image tout entière, alors que le tone mapping est local, c'est-à-dire que les modifications ne vont plus toucher que les pixels retenus par un masque.
(mais bon, je pense qu'on est d'accord)
Charles Vassallo a écrit
( 5011605e$0$6193$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
Soyons savants : les courbes font du tone-mapping **local**, où les RVB
d'arrivée sur un pixel donné ne dépendent que des RVB de départ du même
pixel. Les traitements tons foncés/tons clairs (ou HDR) impliquent du
tone-mapping non-local, où ce qui arrive à un pixel dépend aussi des
pixels avoisinants.
C'est marrant, parce qu'on connaît tous les deux le processus et l'esprit
des algorithmes utilisés, et pour décrire la chose, on utilise les mêmes
mots, mais dans des sens opposés.
Pour moi, les courbes sont globales, c'est-à-dire que les modifications
altèrent l'image tout entière, alors que le tone mapping est local,
c'est-à-dire que les modifications ne vont plus toucher que les pixels
retenus par un masque.
Soyons savants : les courbes font du tone-mapping **local**, où les RVB d'arrivée sur un pixel donné ne dépendent que des RVB de départ du même pixel. Les traitements tons foncés/tons clairs (ou HDR) impliquent du tone-mapping non-local, où ce qui arrive à un pixel dépend aussi des pixels avoisinants.
C'est marrant, parce qu'on connaît tous les deux le processus et l'esprit des algorithmes utilisés, et pour décrire la chose, on utilise les mêmes mots, mais dans des sens opposés.
Pour moi, les courbes sont globales, c'est-à-dire que les modifications altèrent l'image tout entière, alors que le tone mapping est local, c'est-à-dire que les modifications ne vont plus toucher que les pixels retenus par un masque.
(mais bon, je pense qu'on est d'accord)
Ghost-Rider
Le 26/07/2012 17:21, Charles Vassallo a écrit :
Le tone-mapping, stricto sensu, c'est l'art et la manière de plaquer un ensemble de valeurs de départ dans un ensemble de valeurs de sortie. Les courbes, disais-je, c'est le **début** du tone-mapping.
Soyons savants : les courbes font du tone-mapping **local**, où les RVB d'arrivée sur un pixel donné ne dépendent que des RVB de départ du même pixel. Les traitements tons foncés/tons clairs (ou HDR) impliquent du tone-mapping non-local, où ce qui arrive à un pixel dépend aussi des pixels avoisinants.
Ah, voilà, j'ai enfin compris !
Le 26/07/2012 17:21, Charles Vassallo a écrit :
Le tone-mapping, stricto sensu, c'est l'art et la manière de plaquer un
ensemble de valeurs de départ dans un ensemble de valeurs de sortie. Les
courbes, disais-je, c'est le **début** du tone-mapping.
Soyons savants : les courbes font du tone-mapping **local**, où les RVB
d'arrivée sur un pixel donné ne dépendent que des RVB de départ du même
pixel. Les traitements tons foncés/tons clairs (ou HDR) impliquent du
tone-mapping non-local, où ce qui arrive à un pixel dépend aussi des
pixels avoisinants.
Le tone-mapping, stricto sensu, c'est l'art et la manière de plaquer un ensemble de valeurs de départ dans un ensemble de valeurs de sortie. Les courbes, disais-je, c'est le **début** du tone-mapping.
Soyons savants : les courbes font du tone-mapping **local**, où les RVB d'arrivée sur un pixel donné ne dépendent que des RVB de départ du même pixel. Les traitements tons foncés/tons clairs (ou HDR) impliquent du tone-mapping non-local, où ce qui arrive à un pixel dépend aussi des pixels avoisinants.