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Les socialauds pr

54 réponses
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Christian Navis
Au point de proposer une nouvelle loi anti-maigres !
L'apologie des "twiggies" sera punie comme celle des crimes de guerre.
Un degré de plus dans le contrôle des mauvaises pensées.

http://www.boursorama.com/actualites/le-gouvernement-contre-l-extreme-maigreur-des-mannequins-dca5854dd7e3386290ff5b8eb73fd42e

--
Valls a la trouille que la France se fracasse sur le Front National.
Mais il ne craint pas les fracas du chômage et de l’endettement.
Pas plus que ceux du racket fiscal et de l'immigration islamique.
Et encore moins ceux de la corruption et de la paupérisation.
http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2015/03/la-droite-et-la-gauche.html

10 réponses

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jr
Le 16/03/2015 12:49, Herisson grognon a écrit :

T'as vu ta gueule?



Elle me convient parfaitement.



"Pendant ce temps les hommes, en tout cas ceux de mon âge et plus, n'ont
pas de corps. Pas d'âge, pas de corpulence. N'importe quel connard rougi
à l'alcool, chauve à gros bide et look pourri, pourra se permettre des
réflexions sur le physique des filles, des réflexions désagréables s'il
ne les trouve pas assez pimpantes, ou des remarques dégueulasses s'il
est mécontent de ne pas pouvoir les sauter."




Voulez vous dire qu'un homme, s'il n'est pas stupide, encore svelte et
pas bouffé par l'alcool serait autorisé à formuler des remarques
désobligeantes sur les femmes, voir à les consommer ?



Ça aide.


--
http://rouillard.org/bd.jpg
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.
Le 16/03/2015 10:58, Christian Navis a écrit :
Colonial2015 a écrit :

Si le modèle devient le look Aubry...



Absolument. Mais c'est pour la bonne cause.
Relancer la consommation : faut bien se goinfrer




Inutile ..
Préparez plutôt le peloton d'exécution pour les industriels de
l'alimentaire :-(((((
ces grandes familles régionales dont nombre de patronymes seront
représentés dimanche , du tenant au simple employé bennant son sac
d'additifs ou de sel dans le malaxeur

V





























pour devenir grosse
et le rester. Et favoriser l'emploi : faudra embaucher des contrôleurs
d'obésité réglementaire et des juges spécialisés en maigritude.
Ainsi le pays sera sauvé de la banqueroute inch'allah.

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alain
jr wrote:

Le 16/03/2015 12:49, Herisson grognon a écrit :

>>>> T'as vu ta gueule?
>>>
>>> Elle me convient parfaitement.
>>
>> "Pendant ce temps les hommes, en tout cas ceux de mon âge et plus, n'ont
>> pas de corps. Pas d'âge, pas de corpulence. N'importe quel connard rougi
>> à l'alcool, chauve à gros bide et look pourri, pourra se permettre des
>> réflexions sur le physique des filles, des réflexions désagréables s'il
>> ne les trouve pas assez pimpantes, ou des remarques dégueulasses s'il
>> est mécontent de ne pas pouvoir les sauter."
>
>
> Voulez vous dire qu'un homme, s'il n'est pas stupide, encore svelte et
> pas bouffé par l'alcool serait autorisé à formuler des remarques
> désobligeantes sur les femmes, voir à les consommer ?

Ça aide.




Effectivement, vous vouliez le dire. Bien.

Alain
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jr
Le 16/03/2015 14:50, Herisson grognon a écrit :
jr wrote:

Le 16/03/2015 12:49, Herisson grognon a écrit :

T'as vu ta gueule?



Elle me convient parfaitement.



"Pendant ce temps les hommes, en tout cas ceux de mon âge et plus, n'ont
pas de corps. Pas d'âge, pas de corpulence. N'importe quel connard rougi
à l'alcool, chauve à gros bide et look pourri, pourra se permettre des
réflexions sur le physique des filles, des réflexions désagréables s'il
ne les trouve pas assez pimpantes, ou des remarques dégueulasses s'il
est mécontent de ne pas pouvoir les sauter."




Voulez vous dire qu'un homme, s'il n'est pas stupide, encore svelte et
pas bouffé par l'alcool serait autorisé à formuler des remarques
désobligeantes sur les femmes, voir à les consommer ?



Ça aide.




Effectivement, vous vouliez le dire. Bien.



Debilos, je cite Despentes.


--
http://rouillard.org/bd.jpg
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dmkgbt
Zebulon wrote:

"jr" a écrit dans le message de news:
5506abb7$0$3076$

> "Pendant ce temps les hommes, en tout cas ceux de mon âge et plus, n'ont
> pas de corps. Pas d'âge, pas de corpulence. N'importe quel connard rougi à
> l'alcool, chauve à gros bide et look pourri, pourra se permettre des
> réflexions sur le physique des filles, des réflexions désagréables s'il ne
> les trouve pas assez pimpantes, ou des remarques dégueulasses s'il est
> mécontent de ne pas pouvoir les sauter."

Si un vendeur à la sauvette essaye de me refiler des légumes pas frais,
je me réserve le droit de dire haut et fort que sa laitue est fripée.

Il est quand même extraordinaire qu'une grognasse, dont le seul objectif
dans sa misérable existence de parasite est d'essayer de coincer un mec
pour lui extorquer un maximum de pognon ou d'avantages divers contre la
promesse d'activité sexuelles (voire d'*amour*!!!!) exige d'être traitée
avec plus de considération qu'un arnaqueur quelconque.

Se foutre sur le dos ou à quatre pattes et se faire engrosser, n'importe
quelle bête peut faire ça, cela ne mérite pas de se faire entretenir à
vie. (pourquoi une femme se donnerait-elle la peine d'étudier et de
travailler si une activité aussi peu qualifiée peut être aussi rentable)

Il y a pour moi la même différence entre une prostituée et ces chercheuses
d'or qu'entre un honnête artisan et un aigrefin, un médecin et un
charlatan. L'un est respectable, l'autre pas, et il est tout à fait
raisonnable de dénoncer les seconds et de manifester mon mépris.



"J'écris de chez les moches, pour les moches, les vieilles, les
camionneuses, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, les
hystériques, les tarées, toutes les exclues du grand marché à la bonne
meuf. Et je commence par là pour que les choses soient claires : je ne
m'excuse de rien, je ne viens pas me plaindre.
...
je ne ressens pas la moindre honte de ne pas être une super bonne meuf.
En revanche, je suis verte de rage qu'en tant que fille qui intéresse
peu les hommes, on cherche sans cesse à me faire savoir que je ne
devrais même pas être là. On a toujours existé. Même s'il n'était pas
question de nous dans les romans d'hommes, qui n'imaginent que des
femmes avec qui ils voudraient coucher.
...
Je suis ce genre de femme qu'on n'épouse pas, avec qui on ne fait pas
d'enfant, je parle de ma place de femme toujours trop tout ce qu'elle
est, trop agressive, trop bruyante, trop grosse, trop brutale, trop
hirsute, toujours trop virile, me dit-on.
Ce sont pourtant mes qualités viriles qui font de moi autre chose qu'un
cas social parmi les autres. Tout ce que j'aime de ma vie, tout ce qui
m'a sauvée, je le dois à ma virilité. C'est donc ici en tant que femme
inapte à attirer l'attention masculine, à satisfaire le désir masculin,
et à me satisfaire d'une place à l'ombre que j'écris."

--
Blanc-seing
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Alabenne
Le 16/03/2015 14:02, Zebulon a écrit :
.

Se foutre sur le dos ou à quatre pattes et se faire engrosser,
n'importe quelle bête peut faire ça,
cela ne mérite pas de se faire entretenir à vie.
(pourquoi une femme se donnerait-elle la peine d'étudier et de travailler si
une activité aussi peu qualifiée peut être aussi rentable)



ben si, du temps où les généraux croyaient avoir besoin de beaucoup de
soldats, pour faire barrage à l'avancée des chars allemands. Mais en 40,
ils ont vu que ça ne marche pas, alors effectivement, ils auraient dû
supprimer les allocs, mais ils ont oublié.
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Christian Navis
Il se trouve que Dominique G. a formulé :

"J'écris de chez les moches, pour les moches, les vieilles, les
camionneuses, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, les
hystériques, les tarées, toutes les exclues du grand marché à la bonne
meuf. Et je commence par là pour que les choses soient claires : je ne
m'excuse de rien, je ne viens pas me plaindre.
...
je ne ressens pas la moindre honte de ne pas être une super bonne meuf.
En revanche, je suis verte de rage qu'en tant que fille qui intéresse
peu les hommes, on cherche sans cesse à me faire savoir que je ne
devrais même pas être là. On a toujours existé. Même s'il n'était pas
question de nous dans les romans d'hommes, qui n'imaginent que des
femmes avec qui ils voudraient coucher.
...
Je suis ce genre de femme qu'on n'épouse pas, avec qui on ne fait pas
d'enfant, je parle de ma place de femme toujours trop tout ce qu'elle
est, trop agressive, trop bruyante, trop grosse, trop brutale, trop
hirsute, toujours trop virile, me dit-on.
Ce sont pourtant mes qualités viriles qui font de moi autre chose qu'un
cas social parmi les autres. Tout ce que j'aime de ma vie, tout ce qui
m'a sauvée, je le dois à ma virilité. C'est donc ici en tant que femme
inapte à attirer l'attention masculine, à satisfaire le désir masculin,
et à me satisfaire d'une place à l'ombre que j'écris."



Voua auriez pu citer l'auteur !
Sacrée Virginie qui, sous des postures décomplexées mixant provocation
et contre-emploi, traîne son spleen de petite bourgeoise instable
et désorientée en quête de l'approbation que lui octroient les mabouls
intellectuels, épatés par sa franchise qui n'est que salade de crudités
assaisonnée pour son coeur de cible.
Il ne suffit pas de pisser dans la soupe, en prétendant qu'elle n'est
pas assez salée, pour devenir un grand cuisinier.

--
Valls a la trouille que la France se fracasse sur le Front National.
Mais il ne craint pas les fracas du chômage et de l’endettement.
Pas plus que ceux du racket fiscal et de l'immigration islamique.
Et encore moins ceux de la corruption et de la paupérisation.
http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2015/03/la-droite-et-la-gauche.html
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dmkgbt
Christian Navis wrote:

Il se trouve que Dominique G. a formulé :

> "J'écris de chez les moches, pour les moches, les vieilles, les
> camionneuses, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, les
> hystériques, les tarées, toutes les exclues du grand marché à la bonne
> meuf. Et je commence par là pour que les choses soient claires : je ne
> m'excuse de rien, je ne viens pas me plaindre.
> ...
> je ne ressens pas la moindre honte de ne pas être une super bonne meuf.
> En revanche, je suis verte de rage qu'en tant que fille qui intéresse
> peu les hommes, on cherche sans cesse à me faire savoir que je ne
> devrais même pas être là. On a toujours existé. Même s'il n'était pas
> question de nous dans les romans d'hommes, qui n'imaginent que des
> femmes avec qui ils voudraient coucher.
> ...
> Je suis ce genre de femme qu'on n'épouse pas, avec qui on ne fait pas
> d'enfant, je parle de ma place de femme toujours trop tout ce qu'elle
> est, trop agressive, trop bruyante, trop grosse, trop brutale, trop
> hirsute, toujours trop virile, me dit-on.
> Ce sont pourtant mes qualités viriles qui font de moi autre chose qu'un
> cas social parmi les autres. Tout ce que j'aime de ma vie, tout ce qui
> m'a sauvée, je le dois à ma virilité. C'est donc ici en tant que femme
> inapte à attirer l'attention masculine, à satisfaire le désir masculin,
> et à me satisfaire d'une place à l'ombre que j'écris."

Voua auriez pu citer l'auteur !
Sacrée Virginie qui, sous des postures décomplexées mixant provocation
et contre-emploi, traîne son spleen de petite bourgeoise instable
et désorientée en quête de l'approbation que lui octroient les mabouls
intellectuels, épatés par sa franchise qui n'est que salade de crudités
assaisonnée pour son coeur de cible.
Il ne suffit pas de pisser dans la soupe, en prétendant qu'elle n'est
pas assez salée, pour devenir un grand cuisinier.



Parce que vous vous prenez pour un grand cuisinier, Navis?
Vous avez écrit combien de bouquins et vendu combien d'exemplaires de
chaque?


"Ils aiment parler des femmes, les hommes. Ça leur évite de parler
d'eux. Comment explique-t-on qu'en trente ans aucun homme n'a produit le
moindre texte novateur concernant la masculinité ? Eux qui sont si
bavards et si compétents quand il s'agit de pérorer sur les femmes,
pourquoi ce silence sur ce qui les concerne ?
...
Ils nous expliquent tout le temps combien ils aiment les femmes, mais on
sait toutes qu'ils nous bobardent. Ils s'aiment, entre eux. Ils se
baisent à travers les femmes, beaucoup d'entre eux pensent déjà aux
potes quand ils sont dans une chatte.
Ils se regardent au cinéma, se donnent de beaux rôles, ils se trouvent
puissants, fanfaronnent, n'en reviennent pas d'être aussi forts, beaux
et courageux. Ils écrivent les uns pour les autres, ils se congratulent,
ils se soutiennent. Ils ont raison.
Mais à force de les entendre se plaindre que les femmes ne baisent pas
assez, n'aiment pas le sexe comme il faudrait, ne comprennent jamais
rien, on ne peut s'empêcher de se demander : qu'est-ce qu'ils attendent
pour s'enculer ? Allez-y. Si ça peut vous rendre plus souriants, c'est
que c'est bien."

King Kong Théorie.


--
Blanc-seing
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jr
Christian Navis wrote:
Il se trouve que Dominique G. a formulé :

"J'écris de chez les moches, pour les moches, les vieilles, les
camionneuses, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, les
hystériques, les tarées, toutes les exclues du grand marché à la bonne
meuf. Et je commence par là pour que les choses soient claires : je ne
m'excuse de rien, je ne viens pas me plaindre. > ...
je ne ressens pas la moindre honte de ne pas être une super bonne meuf.
En revanche, je suis verte de rage qu'en tant que fille qui intéresse
peu les hommes, on cherche sans cesse à me faire savoir que je ne
devrais même pas être là. On a toujours existé. Même s'il n'était pas
question de nous dans les romans d'hommes, qui n'imaginent que des
femmes avec qui ils voudraient coucher. > ...
Je suis ce genre de femme qu'on n'épouse pas, avec qui on ne fait pas
d'enfant, je parle de ma place de femme toujours trop tout ce qu'elle
est, trop agressive, trop bruyante, trop grosse, trop brutale, trop
hirsute, toujours trop virile, me dit-on.
Ce sont pourtant mes qualités viriles qui font de moi autre chose qu'un
cas social parmi les autres. Tout ce que j'aime de ma vie, tout ce qui
m'a sauvée, je le dois à ma virilité. C'est donc ici en tant que femme
inapte à attirer l'attention masculine, à satisfaire le désir masculin,
et à me satisfaire d'une place à l'ombre que j'écris."



Voua auriez pu citer l'auteur !
Sacrée Virginie qui, sous des postures décomplexées mixant provocation
et contre-emploi, traîne son spleen de petite bourgeoise instable



Arf. Fille de prolos, punk, sdf, camée, prostituée, auteure et réalisatrice
de "baise-moi" et autres, lesbienne sur le tard, c'est exactement la
petite bourgeoise en effet. Zozo.


--
Naturellement trouble.
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Zebulon
"jr" a écrit dans le message de news:


Arf. Fille de prolos, punk, sdf, camée, prostituée, auteure et
réalisatrice
de "baise-moi" et autres, lesbienne sur le tard, c'est exactement la
petite bourgeoise en effet. Zozo.



"J'usai en tout cas sans retenue de cette libération. On me vit même dans un
hôtel, voué à ce qu'on appelle le péché, vivre à la fois avec une prostituée
mûre et une jeune fille du meilleur monde. Je jouai les chevaliers servants
avec la première et mis la seconde à même de connaî-tre quelques réalités.
Malheureusement la prostituée avait une nature fort bourgeoise : elle a
consenti depuis à écrire ses souvenirs pour un journal confessionnel très
ouvert aux idées modernes. La jeune fille, de son côté, s'est mariée pour
satisfaire ses instincts débridés et donner un emploi à des dons
remarquables"

Albert Camus: "La Chute"
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