T'as vu ta gueule?
Elle me convient parfaitement.
"Pendant ce temps les hommes, en tout cas ceux de mon âge et plus, n'ont
pas de corps. Pas d'âge, pas de corpulence. N'importe quel connard rougi
à l'alcool, chauve à gros bide et look pourri, pourra se permettre des
réflexions sur le physique des filles, des réflexions désagréables s'il
ne les trouve pas assez pimpantes, ou des remarques dégueulasses s'il
est mécontent de ne pas pouvoir les sauter."
Voulez vous dire qu'un homme, s'il n'est pas stupide, encore svelte et
pas bouffé par l'alcool serait autorisé à formuler des remarques
désobligeantes sur les femmes, voir à les consommer ?
T'as vu ta gueule?
Elle me convient parfaitement.
"Pendant ce temps les hommes, en tout cas ceux de mon âge et plus, n'ont
pas de corps. Pas d'âge, pas de corpulence. N'importe quel connard rougi
à l'alcool, chauve à gros bide et look pourri, pourra se permettre des
réflexions sur le physique des filles, des réflexions désagréables s'il
ne les trouve pas assez pimpantes, ou des remarques dégueulasses s'il
est mécontent de ne pas pouvoir les sauter."
Voulez vous dire qu'un homme, s'il n'est pas stupide, encore svelte et
pas bouffé par l'alcool serait autorisé à formuler des remarques
désobligeantes sur les femmes, voir à les consommer ?
T'as vu ta gueule?
Elle me convient parfaitement.
"Pendant ce temps les hommes, en tout cas ceux de mon âge et plus, n'ont
pas de corps. Pas d'âge, pas de corpulence. N'importe quel connard rougi
à l'alcool, chauve à gros bide et look pourri, pourra se permettre des
réflexions sur le physique des filles, des réflexions désagréables s'il
ne les trouve pas assez pimpantes, ou des remarques dégueulasses s'il
est mécontent de ne pas pouvoir les sauter."
Voulez vous dire qu'un homme, s'il n'est pas stupide, encore svelte et
pas bouffé par l'alcool serait autorisé à formuler des remarques
désobligeantes sur les femmes, voir à les consommer ?
Colonial2015 a écrit :Si le modèle devient le look Aubry...
Absolument. Mais c'est pour la bonne cause.
Relancer la consommation : faut bien se goinfrer
et le rester. Et favoriser l'emploi : faudra embaucher des contrôleurs
d'obésité réglementaire et des juges spécialisés en maigritude.
Ainsi le pays sera sauvé de la banqueroute inch'allah.
Colonial2015 a écrit :
Si le modèle devient le look Aubry...
Absolument. Mais c'est pour la bonne cause.
Relancer la consommation : faut bien se goinfrer
et le rester. Et favoriser l'emploi : faudra embaucher des contrôleurs
d'obésité réglementaire et des juges spécialisés en maigritude.
Ainsi le pays sera sauvé de la banqueroute inch'allah.
Colonial2015 a écrit :Si le modèle devient le look Aubry...
Absolument. Mais c'est pour la bonne cause.
Relancer la consommation : faut bien se goinfrer
et le rester. Et favoriser l'emploi : faudra embaucher des contrôleurs
d'obésité réglementaire et des juges spécialisés en maigritude.
Ainsi le pays sera sauvé de la banqueroute inch'allah.
Le 16/03/2015 12:49, Herisson grognon a écrit :
>>>> T'as vu ta gueule?
>>>
>>> Elle me convient parfaitement.
>>
>> "Pendant ce temps les hommes, en tout cas ceux de mon âge et plus, n'ont
>> pas de corps. Pas d'âge, pas de corpulence. N'importe quel connard rougi
>> à l'alcool, chauve à gros bide et look pourri, pourra se permettre des
>> réflexions sur le physique des filles, des réflexions désagréables s'il
>> ne les trouve pas assez pimpantes, ou des remarques dégueulasses s'il
>> est mécontent de ne pas pouvoir les sauter."
>
>
> Voulez vous dire qu'un homme, s'il n'est pas stupide, encore svelte et
> pas bouffé par l'alcool serait autorisé à formuler des remarques
> désobligeantes sur les femmes, voir à les consommer ?
Ça aide.
Le 16/03/2015 12:49, Herisson grognon a écrit :
>>>> T'as vu ta gueule?
>>>
>>> Elle me convient parfaitement.
>>
>> "Pendant ce temps les hommes, en tout cas ceux de mon âge et plus, n'ont
>> pas de corps. Pas d'âge, pas de corpulence. N'importe quel connard rougi
>> à l'alcool, chauve à gros bide et look pourri, pourra se permettre des
>> réflexions sur le physique des filles, des réflexions désagréables s'il
>> ne les trouve pas assez pimpantes, ou des remarques dégueulasses s'il
>> est mécontent de ne pas pouvoir les sauter."
>
>
> Voulez vous dire qu'un homme, s'il n'est pas stupide, encore svelte et
> pas bouffé par l'alcool serait autorisé à formuler des remarques
> désobligeantes sur les femmes, voir à les consommer ?
Ça aide.
Le 16/03/2015 12:49, Herisson grognon a écrit :
>>>> T'as vu ta gueule?
>>>
>>> Elle me convient parfaitement.
>>
>> "Pendant ce temps les hommes, en tout cas ceux de mon âge et plus, n'ont
>> pas de corps. Pas d'âge, pas de corpulence. N'importe quel connard rougi
>> à l'alcool, chauve à gros bide et look pourri, pourra se permettre des
>> réflexions sur le physique des filles, des réflexions désagréables s'il
>> ne les trouve pas assez pimpantes, ou des remarques dégueulasses s'il
>> est mécontent de ne pas pouvoir les sauter."
>
>
> Voulez vous dire qu'un homme, s'il n'est pas stupide, encore svelte et
> pas bouffé par l'alcool serait autorisé à formuler des remarques
> désobligeantes sur les femmes, voir à les consommer ?
Ça aide.
jr wrote:Le 16/03/2015 12:49, Herisson grognon a écrit :T'as vu ta gueule?
Elle me convient parfaitement.
"Pendant ce temps les hommes, en tout cas ceux de mon âge et plus, n'ont
pas de corps. Pas d'âge, pas de corpulence. N'importe quel connard rougi
à l'alcool, chauve à gros bide et look pourri, pourra se permettre des
réflexions sur le physique des filles, des réflexions désagréables s'il
ne les trouve pas assez pimpantes, ou des remarques dégueulasses s'il
est mécontent de ne pas pouvoir les sauter."
Voulez vous dire qu'un homme, s'il n'est pas stupide, encore svelte et
pas bouffé par l'alcool serait autorisé à formuler des remarques
désobligeantes sur les femmes, voir à les consommer ?
Ça aide.
Effectivement, vous vouliez le dire. Bien.
jr <jqs@froc.net> wrote:
Le 16/03/2015 12:49, Herisson grognon a écrit :
T'as vu ta gueule?
Elle me convient parfaitement.
"Pendant ce temps les hommes, en tout cas ceux de mon âge et plus, n'ont
pas de corps. Pas d'âge, pas de corpulence. N'importe quel connard rougi
à l'alcool, chauve à gros bide et look pourri, pourra se permettre des
réflexions sur le physique des filles, des réflexions désagréables s'il
ne les trouve pas assez pimpantes, ou des remarques dégueulasses s'il
est mécontent de ne pas pouvoir les sauter."
Voulez vous dire qu'un homme, s'il n'est pas stupide, encore svelte et
pas bouffé par l'alcool serait autorisé à formuler des remarques
désobligeantes sur les femmes, voir à les consommer ?
Ça aide.
Effectivement, vous vouliez le dire. Bien.
jr wrote:Le 16/03/2015 12:49, Herisson grognon a écrit :T'as vu ta gueule?
Elle me convient parfaitement.
"Pendant ce temps les hommes, en tout cas ceux de mon âge et plus, n'ont
pas de corps. Pas d'âge, pas de corpulence. N'importe quel connard rougi
à l'alcool, chauve à gros bide et look pourri, pourra se permettre des
réflexions sur le physique des filles, des réflexions désagréables s'il
ne les trouve pas assez pimpantes, ou des remarques dégueulasses s'il
est mécontent de ne pas pouvoir les sauter."
Voulez vous dire qu'un homme, s'il n'est pas stupide, encore svelte et
pas bouffé par l'alcool serait autorisé à formuler des remarques
désobligeantes sur les femmes, voir à les consommer ?
Ça aide.
Effectivement, vous vouliez le dire. Bien.
"jr" a écrit dans le message de news:
5506abb7$0$3076$
> "Pendant ce temps les hommes, en tout cas ceux de mon âge et plus, n'ont
> pas de corps. Pas d'âge, pas de corpulence. N'importe quel connard rougi à
> l'alcool, chauve à gros bide et look pourri, pourra se permettre des
> réflexions sur le physique des filles, des réflexions désagréables s'il ne
> les trouve pas assez pimpantes, ou des remarques dégueulasses s'il est
> mécontent de ne pas pouvoir les sauter."
Si un vendeur à la sauvette essaye de me refiler des légumes pas frais,
je me réserve le droit de dire haut et fort que sa laitue est fripée.
Il est quand même extraordinaire qu'une grognasse, dont le seul objectif
dans sa misérable existence de parasite est d'essayer de coincer un mec
pour lui extorquer un maximum de pognon ou d'avantages divers contre la
promesse d'activité sexuelles (voire d'*amour*!!!!) exige d'être traitée
avec plus de considération qu'un arnaqueur quelconque.
Se foutre sur le dos ou à quatre pattes et se faire engrosser, n'importe
quelle bête peut faire ça, cela ne mérite pas de se faire entretenir à
vie. (pourquoi une femme se donnerait-elle la peine d'étudier et de
travailler si une activité aussi peu qualifiée peut être aussi rentable)
Il y a pour moi la même différence entre une prostituée et ces chercheuses
d'or qu'entre un honnête artisan et un aigrefin, un médecin et un
charlatan. L'un est respectable, l'autre pas, et il est tout à fait
raisonnable de dénoncer les seconds et de manifester mon mépris.
"jr" <jqs@froc.net> a écrit dans le message de news:
5506abb7$0$3076$426a74cc@news.free.fr...
> "Pendant ce temps les hommes, en tout cas ceux de mon âge et plus, n'ont
> pas de corps. Pas d'âge, pas de corpulence. N'importe quel connard rougi à
> l'alcool, chauve à gros bide et look pourri, pourra se permettre des
> réflexions sur le physique des filles, des réflexions désagréables s'il ne
> les trouve pas assez pimpantes, ou des remarques dégueulasses s'il est
> mécontent de ne pas pouvoir les sauter."
Si un vendeur à la sauvette essaye de me refiler des légumes pas frais,
je me réserve le droit de dire haut et fort que sa laitue est fripée.
Il est quand même extraordinaire qu'une grognasse, dont le seul objectif
dans sa misérable existence de parasite est d'essayer de coincer un mec
pour lui extorquer un maximum de pognon ou d'avantages divers contre la
promesse d'activité sexuelles (voire d'*amour*!!!!) exige d'être traitée
avec plus de considération qu'un arnaqueur quelconque.
Se foutre sur le dos ou à quatre pattes et se faire engrosser, n'importe
quelle bête peut faire ça, cela ne mérite pas de se faire entretenir à
vie. (pourquoi une femme se donnerait-elle la peine d'étudier et de
travailler si une activité aussi peu qualifiée peut être aussi rentable)
Il y a pour moi la même différence entre une prostituée et ces chercheuses
d'or qu'entre un honnête artisan et un aigrefin, un médecin et un
charlatan. L'un est respectable, l'autre pas, et il est tout à fait
raisonnable de dénoncer les seconds et de manifester mon mépris.
"jr" a écrit dans le message de news:
5506abb7$0$3076$
> "Pendant ce temps les hommes, en tout cas ceux de mon âge et plus, n'ont
> pas de corps. Pas d'âge, pas de corpulence. N'importe quel connard rougi à
> l'alcool, chauve à gros bide et look pourri, pourra se permettre des
> réflexions sur le physique des filles, des réflexions désagréables s'il ne
> les trouve pas assez pimpantes, ou des remarques dégueulasses s'il est
> mécontent de ne pas pouvoir les sauter."
Si un vendeur à la sauvette essaye de me refiler des légumes pas frais,
je me réserve le droit de dire haut et fort que sa laitue est fripée.
Il est quand même extraordinaire qu'une grognasse, dont le seul objectif
dans sa misérable existence de parasite est d'essayer de coincer un mec
pour lui extorquer un maximum de pognon ou d'avantages divers contre la
promesse d'activité sexuelles (voire d'*amour*!!!!) exige d'être traitée
avec plus de considération qu'un arnaqueur quelconque.
Se foutre sur le dos ou à quatre pattes et se faire engrosser, n'importe
quelle bête peut faire ça, cela ne mérite pas de se faire entretenir à
vie. (pourquoi une femme se donnerait-elle la peine d'étudier et de
travailler si une activité aussi peu qualifiée peut être aussi rentable)
Il y a pour moi la même différence entre une prostituée et ces chercheuses
d'or qu'entre un honnête artisan et un aigrefin, un médecin et un
charlatan. L'un est respectable, l'autre pas, et il est tout à fait
raisonnable de dénoncer les seconds et de manifester mon mépris.
Se foutre sur le dos ou à quatre pattes et se faire engrosser,
n'importe quelle bête peut faire ça,
cela ne mérite pas de se faire entretenir à vie.
(pourquoi une femme se donnerait-elle la peine d'étudier et de travailler si
une activité aussi peu qualifiée peut être aussi rentable)
Se foutre sur le dos ou à quatre pattes et se faire engrosser,
n'importe quelle bête peut faire ça,
cela ne mérite pas de se faire entretenir à vie.
(pourquoi une femme se donnerait-elle la peine d'étudier et de travailler si
une activité aussi peu qualifiée peut être aussi rentable)
Se foutre sur le dos ou à quatre pattes et se faire engrosser,
n'importe quelle bête peut faire ça,
cela ne mérite pas de se faire entretenir à vie.
(pourquoi une femme se donnerait-elle la peine d'étudier et de travailler si
une activité aussi peu qualifiée peut être aussi rentable)
"J'écris de chez les moches, pour les moches, les vieilles, les
camionneuses, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, les
hystériques, les tarées, toutes les exclues du grand marché à la bonne
meuf. Et je commence par là pour que les choses soient claires : je ne
m'excuse de rien, je ne viens pas me plaindre.
...
je ne ressens pas la moindre honte de ne pas être une super bonne meuf.
En revanche, je suis verte de rage qu'en tant que fille qui intéresse
peu les hommes, on cherche sans cesse à me faire savoir que je ne
devrais même pas être là. On a toujours existé. Même s'il n'était pas
question de nous dans les romans d'hommes, qui n'imaginent que des
femmes avec qui ils voudraient coucher.
...
Je suis ce genre de femme qu'on n'épouse pas, avec qui on ne fait pas
d'enfant, je parle de ma place de femme toujours trop tout ce qu'elle
est, trop agressive, trop bruyante, trop grosse, trop brutale, trop
hirsute, toujours trop virile, me dit-on.
Ce sont pourtant mes qualités viriles qui font de moi autre chose qu'un
cas social parmi les autres. Tout ce que j'aime de ma vie, tout ce qui
m'a sauvée, je le dois à ma virilité. C'est donc ici en tant que femme
inapte à attirer l'attention masculine, à satisfaire le désir masculin,
et à me satisfaire d'une place à l'ombre que j'écris."
"J'écris de chez les moches, pour les moches, les vieilles, les
camionneuses, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, les
hystériques, les tarées, toutes les exclues du grand marché à la bonne
meuf. Et je commence par là pour que les choses soient claires : je ne
m'excuse de rien, je ne viens pas me plaindre.
...
je ne ressens pas la moindre honte de ne pas être une super bonne meuf.
En revanche, je suis verte de rage qu'en tant que fille qui intéresse
peu les hommes, on cherche sans cesse à me faire savoir que je ne
devrais même pas être là. On a toujours existé. Même s'il n'était pas
question de nous dans les romans d'hommes, qui n'imaginent que des
femmes avec qui ils voudraient coucher.
...
Je suis ce genre de femme qu'on n'épouse pas, avec qui on ne fait pas
d'enfant, je parle de ma place de femme toujours trop tout ce qu'elle
est, trop agressive, trop bruyante, trop grosse, trop brutale, trop
hirsute, toujours trop virile, me dit-on.
Ce sont pourtant mes qualités viriles qui font de moi autre chose qu'un
cas social parmi les autres. Tout ce que j'aime de ma vie, tout ce qui
m'a sauvée, je le dois à ma virilité. C'est donc ici en tant que femme
inapte à attirer l'attention masculine, à satisfaire le désir masculin,
et à me satisfaire d'une place à l'ombre que j'écris."
"J'écris de chez les moches, pour les moches, les vieilles, les
camionneuses, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, les
hystériques, les tarées, toutes les exclues du grand marché à la bonne
meuf. Et je commence par là pour que les choses soient claires : je ne
m'excuse de rien, je ne viens pas me plaindre.
...
je ne ressens pas la moindre honte de ne pas être une super bonne meuf.
En revanche, je suis verte de rage qu'en tant que fille qui intéresse
peu les hommes, on cherche sans cesse à me faire savoir que je ne
devrais même pas être là. On a toujours existé. Même s'il n'était pas
question de nous dans les romans d'hommes, qui n'imaginent que des
femmes avec qui ils voudraient coucher.
...
Je suis ce genre de femme qu'on n'épouse pas, avec qui on ne fait pas
d'enfant, je parle de ma place de femme toujours trop tout ce qu'elle
est, trop agressive, trop bruyante, trop grosse, trop brutale, trop
hirsute, toujours trop virile, me dit-on.
Ce sont pourtant mes qualités viriles qui font de moi autre chose qu'un
cas social parmi les autres. Tout ce que j'aime de ma vie, tout ce qui
m'a sauvée, je le dois à ma virilité. C'est donc ici en tant que femme
inapte à attirer l'attention masculine, à satisfaire le désir masculin,
et à me satisfaire d'une place à l'ombre que j'écris."
Il se trouve que Dominique G. a formulé :
> "J'écris de chez les moches, pour les moches, les vieilles, les
> camionneuses, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, les
> hystériques, les tarées, toutes les exclues du grand marché à la bonne
> meuf. Et je commence par là pour que les choses soient claires : je ne
> m'excuse de rien, je ne viens pas me plaindre.
> ...
> je ne ressens pas la moindre honte de ne pas être une super bonne meuf.
> En revanche, je suis verte de rage qu'en tant que fille qui intéresse
> peu les hommes, on cherche sans cesse à me faire savoir que je ne
> devrais même pas être là. On a toujours existé. Même s'il n'était pas
> question de nous dans les romans d'hommes, qui n'imaginent que des
> femmes avec qui ils voudraient coucher.
> ...
> Je suis ce genre de femme qu'on n'épouse pas, avec qui on ne fait pas
> d'enfant, je parle de ma place de femme toujours trop tout ce qu'elle
> est, trop agressive, trop bruyante, trop grosse, trop brutale, trop
> hirsute, toujours trop virile, me dit-on.
> Ce sont pourtant mes qualités viriles qui font de moi autre chose qu'un
> cas social parmi les autres. Tout ce que j'aime de ma vie, tout ce qui
> m'a sauvée, je le dois à ma virilité. C'est donc ici en tant que femme
> inapte à attirer l'attention masculine, à satisfaire le désir masculin,
> et à me satisfaire d'une place à l'ombre que j'écris."
Voua auriez pu citer l'auteur !
Sacrée Virginie qui, sous des postures décomplexées mixant provocation
et contre-emploi, traîne son spleen de petite bourgeoise instable
et désorientée en quête de l'approbation que lui octroient les mabouls
intellectuels, épatés par sa franchise qui n'est que salade de crudités
assaisonnée pour son coeur de cible.
Il ne suffit pas de pisser dans la soupe, en prétendant qu'elle n'est
pas assez salée, pour devenir un grand cuisinier.
Il se trouve que Dominique G. a formulé :
> "J'écris de chez les moches, pour les moches, les vieilles, les
> camionneuses, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, les
> hystériques, les tarées, toutes les exclues du grand marché à la bonne
> meuf. Et je commence par là pour que les choses soient claires : je ne
> m'excuse de rien, je ne viens pas me plaindre.
> ...
> je ne ressens pas la moindre honte de ne pas être une super bonne meuf.
> En revanche, je suis verte de rage qu'en tant que fille qui intéresse
> peu les hommes, on cherche sans cesse à me faire savoir que je ne
> devrais même pas être là. On a toujours existé. Même s'il n'était pas
> question de nous dans les romans d'hommes, qui n'imaginent que des
> femmes avec qui ils voudraient coucher.
> ...
> Je suis ce genre de femme qu'on n'épouse pas, avec qui on ne fait pas
> d'enfant, je parle de ma place de femme toujours trop tout ce qu'elle
> est, trop agressive, trop bruyante, trop grosse, trop brutale, trop
> hirsute, toujours trop virile, me dit-on.
> Ce sont pourtant mes qualités viriles qui font de moi autre chose qu'un
> cas social parmi les autres. Tout ce que j'aime de ma vie, tout ce qui
> m'a sauvée, je le dois à ma virilité. C'est donc ici en tant que femme
> inapte à attirer l'attention masculine, à satisfaire le désir masculin,
> et à me satisfaire d'une place à l'ombre que j'écris."
Voua auriez pu citer l'auteur !
Sacrée Virginie qui, sous des postures décomplexées mixant provocation
et contre-emploi, traîne son spleen de petite bourgeoise instable
et désorientée en quête de l'approbation que lui octroient les mabouls
intellectuels, épatés par sa franchise qui n'est que salade de crudités
assaisonnée pour son coeur de cible.
Il ne suffit pas de pisser dans la soupe, en prétendant qu'elle n'est
pas assez salée, pour devenir un grand cuisinier.
Il se trouve que Dominique G. a formulé :
> "J'écris de chez les moches, pour les moches, les vieilles, les
> camionneuses, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, les
> hystériques, les tarées, toutes les exclues du grand marché à la bonne
> meuf. Et je commence par là pour que les choses soient claires : je ne
> m'excuse de rien, je ne viens pas me plaindre.
> ...
> je ne ressens pas la moindre honte de ne pas être une super bonne meuf.
> En revanche, je suis verte de rage qu'en tant que fille qui intéresse
> peu les hommes, on cherche sans cesse à me faire savoir que je ne
> devrais même pas être là. On a toujours existé. Même s'il n'était pas
> question de nous dans les romans d'hommes, qui n'imaginent que des
> femmes avec qui ils voudraient coucher.
> ...
> Je suis ce genre de femme qu'on n'épouse pas, avec qui on ne fait pas
> d'enfant, je parle de ma place de femme toujours trop tout ce qu'elle
> est, trop agressive, trop bruyante, trop grosse, trop brutale, trop
> hirsute, toujours trop virile, me dit-on.
> Ce sont pourtant mes qualités viriles qui font de moi autre chose qu'un
> cas social parmi les autres. Tout ce que j'aime de ma vie, tout ce qui
> m'a sauvée, je le dois à ma virilité. C'est donc ici en tant que femme
> inapte à attirer l'attention masculine, à satisfaire le désir masculin,
> et à me satisfaire d'une place à l'ombre que j'écris."
Voua auriez pu citer l'auteur !
Sacrée Virginie qui, sous des postures décomplexées mixant provocation
et contre-emploi, traîne son spleen de petite bourgeoise instable
et désorientée en quête de l'approbation que lui octroient les mabouls
intellectuels, épatés par sa franchise qui n'est que salade de crudités
assaisonnée pour son coeur de cible.
Il ne suffit pas de pisser dans la soupe, en prétendant qu'elle n'est
pas assez salée, pour devenir un grand cuisinier.
Il se trouve que Dominique G. a formulé :"J'écris de chez les moches, pour les moches, les vieilles, les
camionneuses, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, les
hystériques, les tarées, toutes les exclues du grand marché à la bonne
meuf. Et je commence par là pour que les choses soient claires : je ne
m'excuse de rien, je ne viens pas me plaindre. > ...
je ne ressens pas la moindre honte de ne pas être une super bonne meuf.
En revanche, je suis verte de rage qu'en tant que fille qui intéresse
peu les hommes, on cherche sans cesse à me faire savoir que je ne
devrais même pas être là. On a toujours existé. Même s'il n'était pas
question de nous dans les romans d'hommes, qui n'imaginent que des
femmes avec qui ils voudraient coucher. > ...
Je suis ce genre de femme qu'on n'épouse pas, avec qui on ne fait pas
d'enfant, je parle de ma place de femme toujours trop tout ce qu'elle
est, trop agressive, trop bruyante, trop grosse, trop brutale, trop
hirsute, toujours trop virile, me dit-on.
Ce sont pourtant mes qualités viriles qui font de moi autre chose qu'un
cas social parmi les autres. Tout ce que j'aime de ma vie, tout ce qui
m'a sauvée, je le dois à ma virilité. C'est donc ici en tant que femme
inapte à attirer l'attention masculine, à satisfaire le désir masculin,
et à me satisfaire d'une place à l'ombre que j'écris."
Voua auriez pu citer l'auteur !
Sacrée Virginie qui, sous des postures décomplexées mixant provocation
et contre-emploi, traîne son spleen de petite bourgeoise instable
Il se trouve que Dominique G. a formulé :
"J'écris de chez les moches, pour les moches, les vieilles, les
camionneuses, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, les
hystériques, les tarées, toutes les exclues du grand marché à la bonne
meuf. Et je commence par là pour que les choses soient claires : je ne
m'excuse de rien, je ne viens pas me plaindre. > ...
je ne ressens pas la moindre honte de ne pas être une super bonne meuf.
En revanche, je suis verte de rage qu'en tant que fille qui intéresse
peu les hommes, on cherche sans cesse à me faire savoir que je ne
devrais même pas être là. On a toujours existé. Même s'il n'était pas
question de nous dans les romans d'hommes, qui n'imaginent que des
femmes avec qui ils voudraient coucher. > ...
Je suis ce genre de femme qu'on n'épouse pas, avec qui on ne fait pas
d'enfant, je parle de ma place de femme toujours trop tout ce qu'elle
est, trop agressive, trop bruyante, trop grosse, trop brutale, trop
hirsute, toujours trop virile, me dit-on.
Ce sont pourtant mes qualités viriles qui font de moi autre chose qu'un
cas social parmi les autres. Tout ce que j'aime de ma vie, tout ce qui
m'a sauvée, je le dois à ma virilité. C'est donc ici en tant que femme
inapte à attirer l'attention masculine, à satisfaire le désir masculin,
et à me satisfaire d'une place à l'ombre que j'écris."
Voua auriez pu citer l'auteur !
Sacrée Virginie qui, sous des postures décomplexées mixant provocation
et contre-emploi, traîne son spleen de petite bourgeoise instable
Il se trouve que Dominique G. a formulé :"J'écris de chez les moches, pour les moches, les vieilles, les
camionneuses, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, les
hystériques, les tarées, toutes les exclues du grand marché à la bonne
meuf. Et je commence par là pour que les choses soient claires : je ne
m'excuse de rien, je ne viens pas me plaindre. > ...
je ne ressens pas la moindre honte de ne pas être une super bonne meuf.
En revanche, je suis verte de rage qu'en tant que fille qui intéresse
peu les hommes, on cherche sans cesse à me faire savoir que je ne
devrais même pas être là. On a toujours existé. Même s'il n'était pas
question de nous dans les romans d'hommes, qui n'imaginent que des
femmes avec qui ils voudraient coucher. > ...
Je suis ce genre de femme qu'on n'épouse pas, avec qui on ne fait pas
d'enfant, je parle de ma place de femme toujours trop tout ce qu'elle
est, trop agressive, trop bruyante, trop grosse, trop brutale, trop
hirsute, toujours trop virile, me dit-on.
Ce sont pourtant mes qualités viriles qui font de moi autre chose qu'un
cas social parmi les autres. Tout ce que j'aime de ma vie, tout ce qui
m'a sauvée, je le dois à ma virilité. C'est donc ici en tant que femme
inapte à attirer l'attention masculine, à satisfaire le désir masculin,
et à me satisfaire d'une place à l'ombre que j'écris."
Voua auriez pu citer l'auteur !
Sacrée Virginie qui, sous des postures décomplexées mixant provocation
et contre-emploi, traîne son spleen de petite bourgeoise instable
Arf. Fille de prolos, punk, sdf, camée, prostituée, auteure et
réalisatrice
de "baise-moi" et autres, lesbienne sur le tard, c'est exactement la
petite bourgeoise en effet. Zozo.
Arf. Fille de prolos, punk, sdf, camée, prostituée, auteure et
réalisatrice
de "baise-moi" et autres, lesbienne sur le tard, c'est exactement la
petite bourgeoise en effet. Zozo.
Arf. Fille de prolos, punk, sdf, camée, prostituée, auteure et
réalisatrice
de "baise-moi" et autres, lesbienne sur le tard, c'est exactement la
petite bourgeoise en effet. Zozo.