Qu'avez-vous lu d'elle?
Qu'avez-vous lu d'elle?
Qu'avez-vous lu d'elle?
Dominique G. a utilisé son clavier pour écrire :
> Parce que vous vous prenez pour un grand cuisinier, Navis?
Je suis un maître queux au sens lacanien.
> Vous avez écrit combien de bouquins et vendu combien d'exemplaires de
> chaque?
C'est pour un contrôle fiscal ?
> "Ils aiment parler des femmes, les hommes. Ça leur évite de parler
> d'eux. Comment explique-t-on qu'en trente ans aucun homme n'a produit le
> moindre texte novateur concernant la masculinité ? Eux qui sont si
> bavards et si compétents quand il s'agit de pérorer sur les femmes,
> pourquoi ce silence sur ce qui les concerne ?
Balivernes, les nanas entre elles adorent parler des hommes...
Quant aux analyses comportementales sur les hommes faites par des
hommes, il y a pléthore d'études anthropologiques sur le sujet dans
les depts U de psycho.
Le plus délicat pour les chercheurs est de tracer une frontière,
sinueuse, poreuse et vaporeuse, entre les stéréotypes culturels
et les archétypes sexués.
Serait-ce cette difficulté à appréhender un sujet protéiforme qui vous
amène à vous retrancher derrière les propos d'une tierce personne,
manifestement aigrie, perturbée et désabusée
plutôt que de vous exprimer avec vos propres mots ?
> Ils nous expliquent tout le temps combien ils aiment les femmes, mais on
> sait toutes qu'ils nous bobardent. Ils s'aiment, entre eux. Ils se
> baisent à travers les femmes, beaucoup d'entre eux pensent déjà aux
> potes quand ils sont dans une chatte.
Cela concerne certains mâles immatures, timorés, déficients au plan
de l'affect, qui n'ont pas coupé le cordon avec maman et se masturbent
littéralement dans un vagin lorsqu'il leur arrive d'y être invité.
Le cas est connu de tous les psychocliniciens, c'est assez difficile
à soigner, et ces disgraciés de la Nature n'ont souvent d'autre choix
que les laissées pour compte ou les prostituées.
L'auteure qui, selon ses déclarations, s'est prostituée, a forcément
connu ce genre de types, et elle généralise... Peut-être par dépit.
Faute d'avoir pu lever du gibier de meilleure facture.
> Ils se regardent au cinéma, se donnent de beaux rôles, ils se trouvent
> puissants, fanfaronnent, n'en reviennent pas d'être aussi forts, beaux
> et courageux. Ils écrivent les uns pour les autres, ils se congratulent,
> ils se soutiennent. Ils ont raison.
Excellente description des bobos de la caste politico-médiatique qui
se répartissent les rôles au jeu des chaises musicales.
Moins de 1% de la population.
> Mais à force de les entendre se plaindre que les femmes ne baisent pas
> assez, n'aiment pas le sexe comme il faudrait, ne comprennent jamais
> rien, on ne peut s'empêcher de se demander : qu'est-ce qu'ils attendent
> pour s'enculer ? Allez-y. Si ça peut vous rendre plus souriants, c'est
> que c'est bien."
S'il ne s'agit pas d'un tri sélectif pour les besoins de la cause,
il semblerait que les filles comme Despentes ne tombent que des pauvres
zèbres déjantés.
Après tout, qui se ressemble s'assemble...
Dominique G. a utilisé son clavier pour écrire :
> Parce que vous vous prenez pour un grand cuisinier, Navis?
Je suis un maître queux au sens lacanien.
> Vous avez écrit combien de bouquins et vendu combien d'exemplaires de
> chaque?
C'est pour un contrôle fiscal ?
> "Ils aiment parler des femmes, les hommes. Ça leur évite de parler
> d'eux. Comment explique-t-on qu'en trente ans aucun homme n'a produit le
> moindre texte novateur concernant la masculinité ? Eux qui sont si
> bavards et si compétents quand il s'agit de pérorer sur les femmes,
> pourquoi ce silence sur ce qui les concerne ?
Balivernes, les nanas entre elles adorent parler des hommes...
Quant aux analyses comportementales sur les hommes faites par des
hommes, il y a pléthore d'études anthropologiques sur le sujet dans
les depts U de psycho.
Le plus délicat pour les chercheurs est de tracer une frontière,
sinueuse, poreuse et vaporeuse, entre les stéréotypes culturels
et les archétypes sexués.
Serait-ce cette difficulté à appréhender un sujet protéiforme qui vous
amène à vous retrancher derrière les propos d'une tierce personne,
manifestement aigrie, perturbée et désabusée
plutôt que de vous exprimer avec vos propres mots ?
> Ils nous expliquent tout le temps combien ils aiment les femmes, mais on
> sait toutes qu'ils nous bobardent. Ils s'aiment, entre eux. Ils se
> baisent à travers les femmes, beaucoup d'entre eux pensent déjà aux
> potes quand ils sont dans une chatte.
Cela concerne certains mâles immatures, timorés, déficients au plan
de l'affect, qui n'ont pas coupé le cordon avec maman et se masturbent
littéralement dans un vagin lorsqu'il leur arrive d'y être invité.
Le cas est connu de tous les psychocliniciens, c'est assez difficile
à soigner, et ces disgraciés de la Nature n'ont souvent d'autre choix
que les laissées pour compte ou les prostituées.
L'auteure qui, selon ses déclarations, s'est prostituée, a forcément
connu ce genre de types, et elle généralise... Peut-être par dépit.
Faute d'avoir pu lever du gibier de meilleure facture.
> Ils se regardent au cinéma, se donnent de beaux rôles, ils se trouvent
> puissants, fanfaronnent, n'en reviennent pas d'être aussi forts, beaux
> et courageux. Ils écrivent les uns pour les autres, ils se congratulent,
> ils se soutiennent. Ils ont raison.
Excellente description des bobos de la caste politico-médiatique qui
se répartissent les rôles au jeu des chaises musicales.
Moins de 1% de la population.
> Mais à force de les entendre se plaindre que les femmes ne baisent pas
> assez, n'aiment pas le sexe comme il faudrait, ne comprennent jamais
> rien, on ne peut s'empêcher de se demander : qu'est-ce qu'ils attendent
> pour s'enculer ? Allez-y. Si ça peut vous rendre plus souriants, c'est
> que c'est bien."
S'il ne s'agit pas d'un tri sélectif pour les besoins de la cause,
il semblerait que les filles comme Despentes ne tombent que des pauvres
zèbres déjantés.
Après tout, qui se ressemble s'assemble...
Dominique G. a utilisé son clavier pour écrire :
> Parce que vous vous prenez pour un grand cuisinier, Navis?
Je suis un maître queux au sens lacanien.
> Vous avez écrit combien de bouquins et vendu combien d'exemplaires de
> chaque?
C'est pour un contrôle fiscal ?
> "Ils aiment parler des femmes, les hommes. Ça leur évite de parler
> d'eux. Comment explique-t-on qu'en trente ans aucun homme n'a produit le
> moindre texte novateur concernant la masculinité ? Eux qui sont si
> bavards et si compétents quand il s'agit de pérorer sur les femmes,
> pourquoi ce silence sur ce qui les concerne ?
Balivernes, les nanas entre elles adorent parler des hommes...
Quant aux analyses comportementales sur les hommes faites par des
hommes, il y a pléthore d'études anthropologiques sur le sujet dans
les depts U de psycho.
Le plus délicat pour les chercheurs est de tracer une frontière,
sinueuse, poreuse et vaporeuse, entre les stéréotypes culturels
et les archétypes sexués.
Serait-ce cette difficulté à appréhender un sujet protéiforme qui vous
amène à vous retrancher derrière les propos d'une tierce personne,
manifestement aigrie, perturbée et désabusée
plutôt que de vous exprimer avec vos propres mots ?
> Ils nous expliquent tout le temps combien ils aiment les femmes, mais on
> sait toutes qu'ils nous bobardent. Ils s'aiment, entre eux. Ils se
> baisent à travers les femmes, beaucoup d'entre eux pensent déjà aux
> potes quand ils sont dans une chatte.
Cela concerne certains mâles immatures, timorés, déficients au plan
de l'affect, qui n'ont pas coupé le cordon avec maman et se masturbent
littéralement dans un vagin lorsqu'il leur arrive d'y être invité.
Le cas est connu de tous les psychocliniciens, c'est assez difficile
à soigner, et ces disgraciés de la Nature n'ont souvent d'autre choix
que les laissées pour compte ou les prostituées.
L'auteure qui, selon ses déclarations, s'est prostituée, a forcément
connu ce genre de types, et elle généralise... Peut-être par dépit.
Faute d'avoir pu lever du gibier de meilleure facture.
> Ils se regardent au cinéma, se donnent de beaux rôles, ils se trouvent
> puissants, fanfaronnent, n'en reviennent pas d'être aussi forts, beaux
> et courageux. Ils écrivent les uns pour les autres, ils se congratulent,
> ils se soutiennent. Ils ont raison.
Excellente description des bobos de la caste politico-médiatique qui
se répartissent les rôles au jeu des chaises musicales.
Moins de 1% de la population.
> Mais à force de les entendre se plaindre que les femmes ne baisent pas
> assez, n'aiment pas le sexe comme il faudrait, ne comprennent jamais
> rien, on ne peut s'empêcher de se demander : qu'est-ce qu'ils attendent
> pour s'enculer ? Allez-y. Si ça peut vous rendre plus souriants, c'est
> que c'est bien."
S'il ne s'agit pas d'un tri sélectif pour les besoins de la cause,
il semblerait que les filles comme Despentes ne tombent que des pauvres
zèbres déjantés.
Après tout, qui se ressemble s'assemble...
jr a couché sur son écran :Qu'avez-vous lu d'elle?
Ma compagne
jr a couché sur son écran :
Qu'avez-vous lu d'elle?
Ma compagne
jr a couché sur son écran :Qu'avez-vous lu d'elle?
Ma compagne
Ce n'est pas la question.
La question est le silence des hommes sur eux-mêmes.
Faites vous plaisir, citez nous quelques unes de ces études.
Je ne fais que citer une auteure talentueuse qui n'est ni aigrie ni
désabusée mais parfaitement lucide sur elle-même et qui pose de bonnes
questions.
Google est _vraiment_ en panne parce qu'en matière de citations et de
planques derrière les mots des autres ou l'expérience de votre compagne
psychiatre, vous êtes d'habitude intarissable.
Cela concerne certains mâles immatures, timorés, déficients au plan
de l'affect, qui n'ont pas coupé le cordon avec maman et se masturbent
littéralement dans un vagin lorsqu'il leur arrive d'y être invité.
Vous avez un pourcebtage de la population mâle à nous donner?
Le cas est connu de tous les psychocliniciens, c'est assez difficile
à soigner, et ces disgraciés de la Nature n'ont souvent d'autre choix
que les laissées pour compte ou les prostituées.
Ou le viol...
L'auteure qui, selon ses déclarations, s'est prostituée, a forcément
connu ce genre de types, et elle généralise... Peut-être par dépit.
Faute d'avoir pu lever du gibier de meilleure facture.
Donc, c'est de sa faute si les mecs baisent comme des chiens en rut?
Vous voulez que je vous cite vos propos, quand vous vous donnez de beaux
rôles?
Baroudeur, pilote, skipper, jazzman, agent secret;
harmonieux, abdominaux d'acier et gueule bronzée d'aventurier tombant
les plus belles et les plus intelligentes femmes,
père d'une fille avocate exceptionnelle et gagnant des montagnes de dollars;
fier de ses origines ethniques mahories mais adepte du surhomme nietzschéen
...et j'en passe :-D
Tiens, rien que votre dernière phrase me fait exploser de rire :
"Pour ma part, mes femmes ont éclairé ma vie comme
j'ai enjolivé la leur.
J'ai tenu chacune pour un être exceptionnel et ce fut réciproque."
Les filles comme Despentes sont la majorité des femmes.
Et les "zèbres déjantés" représentent une grande part des hommes.
Jmais d'échec dans la vie sentimentale de Navis, hein?
La bonne blague :-D
Vous devriez lire "Baise-moi".
C'est un livre particulièrement jouissif quand un mec qui méprise les
femmes se retrouve nez à nez avec un flingue tenu par l'une d'elles.
Ce n'est pas la question.
La question est le silence des hommes sur eux-mêmes.
Faites vous plaisir, citez nous quelques unes de ces études.
Je ne fais que citer une auteure talentueuse qui n'est ni aigrie ni
désabusée mais parfaitement lucide sur elle-même et qui pose de bonnes
questions.
Google est _vraiment_ en panne parce qu'en matière de citations et de
planques derrière les mots des autres ou l'expérience de votre compagne
psychiatre, vous êtes d'habitude intarissable.
Cela concerne certains mâles immatures, timorés, déficients au plan
de l'affect, qui n'ont pas coupé le cordon avec maman et se masturbent
littéralement dans un vagin lorsqu'il leur arrive d'y être invité.
Vous avez un pourcebtage de la population mâle à nous donner?
Le cas est connu de tous les psychocliniciens, c'est assez difficile
à soigner, et ces disgraciés de la Nature n'ont souvent d'autre choix
que les laissées pour compte ou les prostituées.
Ou le viol...
L'auteure qui, selon ses déclarations, s'est prostituée, a forcément
connu ce genre de types, et elle généralise... Peut-être par dépit.
Faute d'avoir pu lever du gibier de meilleure facture.
Donc, c'est de sa faute si les mecs baisent comme des chiens en rut?
Vous voulez que je vous cite vos propos, quand vous vous donnez de beaux
rôles?
Baroudeur, pilote, skipper, jazzman, agent secret;
harmonieux, abdominaux d'acier et gueule bronzée d'aventurier tombant
les plus belles et les plus intelligentes femmes,
père d'une fille avocate exceptionnelle et gagnant des montagnes de dollars;
fier de ses origines ethniques mahories mais adepte du surhomme nietzschéen
...et j'en passe :-D
Tiens, rien que votre dernière phrase me fait exploser de rire :
"Pour ma part, mes femmes ont éclairé ma vie comme
j'ai enjolivé la leur.
J'ai tenu chacune pour un être exceptionnel et ce fut réciproque."
Les filles comme Despentes sont la majorité des femmes.
Et les "zèbres déjantés" représentent une grande part des hommes.
Jmais d'échec dans la vie sentimentale de Navis, hein?
La bonne blague :-D
Vous devriez lire "Baise-moi".
C'est un livre particulièrement jouissif quand un mec qui méprise les
femmes se retrouve nez à nez avec un flingue tenu par l'une d'elles.
Ce n'est pas la question.
La question est le silence des hommes sur eux-mêmes.
Faites vous plaisir, citez nous quelques unes de ces études.
Je ne fais que citer une auteure talentueuse qui n'est ni aigrie ni
désabusée mais parfaitement lucide sur elle-même et qui pose de bonnes
questions.
Google est _vraiment_ en panne parce qu'en matière de citations et de
planques derrière les mots des autres ou l'expérience de votre compagne
psychiatre, vous êtes d'habitude intarissable.
Cela concerne certains mâles immatures, timorés, déficients au plan
de l'affect, qui n'ont pas coupé le cordon avec maman et se masturbent
littéralement dans un vagin lorsqu'il leur arrive d'y être invité.
Vous avez un pourcebtage de la population mâle à nous donner?
Le cas est connu de tous les psychocliniciens, c'est assez difficile
à soigner, et ces disgraciés de la Nature n'ont souvent d'autre choix
que les laissées pour compte ou les prostituées.
Ou le viol...
L'auteure qui, selon ses déclarations, s'est prostituée, a forcément
connu ce genre de types, et elle généralise... Peut-être par dépit.
Faute d'avoir pu lever du gibier de meilleure facture.
Donc, c'est de sa faute si les mecs baisent comme des chiens en rut?
Vous voulez que je vous cite vos propos, quand vous vous donnez de beaux
rôles?
Baroudeur, pilote, skipper, jazzman, agent secret;
harmonieux, abdominaux d'acier et gueule bronzée d'aventurier tombant
les plus belles et les plus intelligentes femmes,
père d'une fille avocate exceptionnelle et gagnant des montagnes de dollars;
fier de ses origines ethniques mahories mais adepte du surhomme nietzschéen
...et j'en passe :-D
Tiens, rien que votre dernière phrase me fait exploser de rire :
"Pour ma part, mes femmes ont éclairé ma vie comme
j'ai enjolivé la leur.
J'ai tenu chacune pour un être exceptionnel et ce fut réciproque."
Les filles comme Despentes sont la majorité des femmes.
Et les "zèbres déjantés" représentent une grande part des hommes.
Jmais d'échec dans la vie sentimentale de Navis, hein?
La bonne blague :-D
Vous devriez lire "Baise-moi".
C'est un livre particulièrement jouissif quand un mec qui méprise les
femmes se retrouve nez à nez avec un flingue tenu par l'une d'elles.
Ma compagne
Je vois. Zozo.
Ma compagne
Je vois. Zozo.
Ma compagne
Je vois. Zozo.
Son pseudo-anarchisme ostensible chic et choc destiné à émoustiller
les notaires de province,
constellé de mots crus pour faire peuple
comme Cresson, repose sur des postures relevant moins du témoignage mélo
que d'un méli-mélo marketing.
Son pseudo-anarchisme ostensible chic et choc destiné à émoustiller
les notaires de province,
constellé de mots crus pour faire peuple
comme Cresson, repose sur des postures relevant moins du témoignage mélo
que d'un méli-mélo marketing.
Son pseudo-anarchisme ostensible chic et choc destiné à émoustiller
les notaires de province,
constellé de mots crus pour faire peuple
comme Cresson, repose sur des postures relevant moins du témoignage mélo
que d'un méli-mélo marketing.
Dominique G. a formulé ce mardi :Ce n'est pas la question.
La question est le silence des hommes sur eux-mêmes.
Lisez les ouvrages grand public de Gilles d'Ambra Azzopardi,
Dominique G. a formulé ce mardi :
Ce n'est pas la question.
La question est le silence des hommes sur eux-mêmes.
Lisez les ouvrages grand public de Gilles d'Ambra Azzopardi,
Dominique G. a formulé ce mardi :Ce n'est pas la question.
La question est le silence des hommes sur eux-mêmes.
Lisez les ouvrages grand public de Gilles d'Ambra Azzopardi,
Dominique G. a formulé ce mardi :
> Ce n'est pas la question.
> La question est le silence des hommes sur eux-mêmes.
Lisez les ouvrages grand public de Gilles d'Ambra Azzopardi, ancien
élève de Foucault, de Deleuze et de Miller,
son réalisme est impitoyable
lorsqu'il expose les faiblesses masculines.
> Faites vous plaisir, citez nous quelques unes de ces études.
Vous n'avez pas d'université du troisième âge en Corse ?
Il vous reste la bibli de Palo Alto en ligne.
Dominique G. a formulé ce mardi :
> Ce n'est pas la question.
> La question est le silence des hommes sur eux-mêmes.
Lisez les ouvrages grand public de Gilles d'Ambra Azzopardi, ancien
élève de Foucault, de Deleuze et de Miller,
son réalisme est impitoyable
lorsqu'il expose les faiblesses masculines.
> Faites vous plaisir, citez nous quelques unes de ces études.
Vous n'avez pas d'université du troisième âge en Corse ?
Il vous reste la bibli de Palo Alto en ligne.
Dominique G. a formulé ce mardi :
> Ce n'est pas la question.
> La question est le silence des hommes sur eux-mêmes.
Lisez les ouvrages grand public de Gilles d'Ambra Azzopardi, ancien
élève de Foucault, de Deleuze et de Miller,
son réalisme est impitoyable
lorsqu'il expose les faiblesses masculines.
> Faites vous plaisir, citez nous quelques unes de ces études.
Vous n'avez pas d'université du troisième âge en Corse ?
Il vous reste la bibli de Palo Alto en ligne.
Le 17/03/2015 12:32, Christian Navis a écrit :
> Dominique G. a formulé ce mardi :
>
>> Ce n'est pas la question.
>> La question est le silence des hommes sur eux-mêmes.
>
> Lisez les ouvrages grand public de Gilles d'Ambra Azzopardi,
Vous, vous les avez fait lire par qui?
Le 17/03/2015 12:32, Christian Navis a écrit :
> Dominique G. a formulé ce mardi :
>
>> Ce n'est pas la question.
>> La question est le silence des hommes sur eux-mêmes.
>
> Lisez les ouvrages grand public de Gilles d'Ambra Azzopardi,
Vous, vous les avez fait lire par qui?
Le 17/03/2015 12:32, Christian Navis a écrit :
> Dominique G. a formulé ce mardi :
>
>> Ce n'est pas la question.
>> La question est le silence des hommes sur eux-mêmes.
>
> Lisez les ouvrages grand public de Gilles d'Ambra Azzopardi,
Vous, vous les avez fait lire par qui?
" si tu grossis, t'es
virée", ce qui n'incite pas les malades à se soigner mais les pousse
vers le suicide.
" si tu grossis, t'es
virée", ce qui n'incite pas les malades à se soigner mais les pousse
vers le suicide.
" si tu grossis, t'es
virée", ce qui n'incite pas les malades à se soigner mais les pousse
vers le suicide.