Photo-texte :
Là, je n'ai plus besoin de faire de photo, en reprenant et en faisant un
choix dans les photos passées.
Il fallait qu'avec les mots interviennent le hasard, de la même façon
qu'avec les photos. J'ai commencé à passer le texte dans un traducteur
automatique plein de fois pour brouiller le sens, aussi pour en amener
d'autres, pour amener des surprises :
Tu aurais pu écrire : "Stone, symbole de force, tel le bord de lumière de l'inaction. Apparence n'est pas, près du crâne, contenu semble un animal mais la forme, de substance est remplie."
Ça me rappelle un truc qu'on faisait en groupe d'écriture -mais sans l'aide de google- la contraction dilatation de texte. À plusieurs mains. Virer l'inutile, le lourd renforce le sens possible mais en fait aussi apparaître par rapprochement ou substitutions des mots. Après, dilater c'est expliciter, enrichir ces bribes de sens ; après plusieurs passes le texte est à la fois plus riche et plus fort.
Pierre de force au tranchant lumineux d'inaction. Apparence proche du crâne au contenu animal, forme de substance.
Noëlle Adam
Le 11/04/11 23:29, Ghost-Rider a écrit :
Tu aurais pu écrire :
"Stone, symbole de force, tel le bord de lumière de l'inaction.
Apparence n'est pas, près du crâne, contenu semble un animal mais la
forme, de substance est remplie."
Ça me rappelle un truc qu'on faisait en groupe d'écriture -mais sans
l'aide de google- la contraction dilatation de texte.
À plusieurs mains. Virer l'inutile, le lourd renforce le sens possible
mais en fait aussi apparaître par rapprochement ou substitutions des
mots. Après, dilater c'est expliciter, enrichir ces bribes de sens ;
après plusieurs passes le texte est à la fois plus riche et plus fort.
Pierre de force au tranchant lumineux d'inaction. Apparence proche du
crâne au contenu animal, forme de substance.
Tu aurais pu écrire : "Stone, symbole de force, tel le bord de lumière de l'inaction. Apparence n'est pas, près du crâne, contenu semble un animal mais la forme, de substance est remplie."
Ça me rappelle un truc qu'on faisait en groupe d'écriture -mais sans l'aide de google- la contraction dilatation de texte. À plusieurs mains. Virer l'inutile, le lourd renforce le sens possible mais en fait aussi apparaître par rapprochement ou substitutions des mots. Après, dilater c'est expliciter, enrichir ces bribes de sens ; après plusieurs passes le texte est à la fois plus riche et plus fort.
Pierre de force au tranchant lumineux d'inaction. Apparence proche du crâne au contenu animal, forme de substance.
Noëlle Adam
Ghost-Rider
Le 12/04/2011 08:54, Octave a écrit :
Voilà, c'est tout ce qu'il reste à faire, ce qui demande des années d'expérience, d'essais, etc... Reste aussi à savoir s'il faut ou non utiliser le hasard des traduction et s'y tenir, même si c'est mal écrit ?!
Mal écrit ? Ça devient mal si tu n'arrives pas à respecter certaines règles, tacites ou imposées. A toi de trouver tes règles (ou leur absence) et de les faire partager au lecteur. Mais il y a un côté technique inévitable : il faut éliminer au maximum les termes de liaisons, de conjonction, pour ne garder si possible, que les idées, les images.
Et puis, je trouve bien cette partie : "alors que nous savons que la forme de la substance est rempli." parce que ça paraît sans fin, et que le rythme semble faire comme des vagues.
Oui, comme des vagues, mais il y a une rupture de ce rythme dans "la forme de la substance". "Alors que nous savons que la forme de la substance est rempli.", c'est comme de la musique : croche, noire, double croche, noire, double croche, noire etc.. jusqu'à la fin, le temps fort tombant sur chaque noire, mais ce rythme est cassé sur la troisième noire car le mot "substance" est accentué en français sur la première syllabe alors que dans ta phrase il devient accentué sur la seconde, ce qui l'alourdit. Par ailleurs le temps fort final tombe sur le pli de rempli, ce qui alourdit la chute que justement tu voudrais "sans fin".
-- Ghost Rider
"Aimez-vous les uns les autres". Jésus-Christ
Le 12/04/2011 08:54, Octave a écrit :
Voilà, c'est tout ce qu'il reste à faire, ce qui demande des années
d'expérience, d'essais, etc...
Reste aussi à savoir s'il faut ou non utiliser le hasard des traduction
et s'y tenir, même si c'est mal écrit ?!
Mal écrit ?
Ça devient mal si tu n'arrives pas à respecter certaines règles, tacites
ou imposées.
A toi de trouver tes règles (ou leur absence) et de les faire partager
au lecteur.
Mais il y a un côté technique inévitable : il faut éliminer au maximum
les termes de liaisons, de conjonction, pour ne garder si possible, que
les idées, les images.
Et puis, je trouve bien cette partie :
"alors que nous savons que la forme de la substance est rempli."
parce que ça paraît sans fin, et que le rythme semble faire comme des
vagues.
Oui, comme des vagues, mais il y a une rupture de ce rythme dans "la
forme de la substance".
"Alors que nous savons que la forme de la substance est rempli.", c'est
comme de la musique : croche, noire, double croche, noire, double
croche, noire etc.. jusqu'à la fin, le temps fort tombant sur chaque
noire, mais ce rythme est cassé sur la troisième noire car le mot
"substance" est accentué en français sur la première syllabe alors que
dans ta phrase il devient accentué sur la seconde, ce qui l'alourdit.
Par ailleurs le temps fort final tombe sur le pli de rempli, ce qui
alourdit la chute que justement tu voudrais "sans fin".
Voilà, c'est tout ce qu'il reste à faire, ce qui demande des années d'expérience, d'essais, etc... Reste aussi à savoir s'il faut ou non utiliser le hasard des traduction et s'y tenir, même si c'est mal écrit ?!
Mal écrit ? Ça devient mal si tu n'arrives pas à respecter certaines règles, tacites ou imposées. A toi de trouver tes règles (ou leur absence) et de les faire partager au lecteur. Mais il y a un côté technique inévitable : il faut éliminer au maximum les termes de liaisons, de conjonction, pour ne garder si possible, que les idées, les images.
Et puis, je trouve bien cette partie : "alors que nous savons que la forme de la substance est rempli." parce que ça paraît sans fin, et que le rythme semble faire comme des vagues.
Oui, comme des vagues, mais il y a une rupture de ce rythme dans "la forme de la substance". "Alors que nous savons que la forme de la substance est rempli.", c'est comme de la musique : croche, noire, double croche, noire, double croche, noire etc.. jusqu'à la fin, le temps fort tombant sur chaque noire, mais ce rythme est cassé sur la troisième noire car le mot "substance" est accentué en français sur la première syllabe alors que dans ta phrase il devient accentué sur la seconde, ce qui l'alourdit. Par ailleurs le temps fort final tombe sur le pli de rempli, ce qui alourdit la chute que justement tu voudrais "sans fin".
-- Ghost Rider
"Aimez-vous les uns les autres". Jésus-Christ
delestaque
"Stephane Legras-Decussy" a écrit dans le message de groupe de discussion : 4da3865c$0$13843$
Le 11/04/2011 19:38, FiLH a écrit :
News = nouvelles, c'est féminin. Et hop une fois de plus le ricco pris en flagrand délit de faute d'orthographe.
flagrand ou flapetit ?
le pauvre, il est flagrant qu'il n'y arrivera jamais.
-- Ricco
"Stephane Legras-Decussy" <killyourself@yesnocancel.com> a écrit dans le message
de groupe de discussion : 4da3865c$0$13843$426a74cc@news.free.fr...
Le 11/04/2011 19:38, FiLH a écrit :
News = nouvelles, c'est féminin. Et hop une fois de plus le ricco pris
en flagrand délit de faute d'orthographe.
flagrand ou flapetit ?
le pauvre, il est flagrant qu'il n'y arrivera jamais.
Le 12/04/2011 09:42, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Pierre de force au tranchant lumineux d'inaction. Apparence proche du crâne au contenu animal, forme de substance.
Oui, voilà un bon exemple de ce que j'écris à Octave : aucun mot de conjonction, seulement des images rythmées par la respiration de la lecture.
-- Ghost Rider
"Aimez-vous les uns les autres". Jésus-Christ
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 12/04/11 09:53, Ghost-Rider a écrit :
Et puis, je trouve bien cette partie : "alors que nous savons que la forme de la substance est rempli." parce que ça paraît sans fin, et que le rythme semble faire comme des vagues.
Oui, comme des vagues, mais il y a une rupture de ce rythme dans "la forme de la substance".
Alors que nous savons la forme de sa substance emplie ? Ou bien passer de nouveau à une p(r)hase expansive...
Alors que nous savons la forme, alors que nous savons qu'elle est remplie, de quelle substance emplie, cette forme, le savons nous alors ?
Belle marquise, pour qui sont ces serpents ?
Noëlle Adam
Le 12/04/11 09:53, Ghost-Rider a écrit :
Et puis, je trouve bien cette partie :
"alors que nous savons que la forme de la substance est rempli."
parce que ça paraît sans fin, et que le rythme semble faire comme des
vagues.
Oui, comme des vagues, mais il y a une rupture de ce rythme dans "la
forme de la substance".
Alors que nous savons la forme de sa substance emplie ?
Ou bien passer de nouveau à une p(r)hase expansive...
Alors que nous savons la forme, alors que nous savons qu'elle est
remplie, de quelle substance emplie, cette forme, le savons nous alors ?
Et puis, je trouve bien cette partie : "alors que nous savons que la forme de la substance est rempli." parce que ça paraît sans fin, et que le rythme semble faire comme des vagues.
Oui, comme des vagues, mais il y a une rupture de ce rythme dans "la forme de la substance".
Alors que nous savons la forme de sa substance emplie ? Ou bien passer de nouveau à une p(r)hase expansive...
Alors que nous savons la forme, alors que nous savons qu'elle est remplie, de quelle substance emplie, cette forme, le savons nous alors ?
Belle marquise, pour qui sont ces serpents ?
Noëlle Adam
Stephane Legras-Decussy
Le 12/04/2011 08:52, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Et la typo française, c'est du français au même titre que l'orthographe de la langue. Mais depuis le primaire, les fautes de majuscules, de ponctuation et d'accents sont des fautes d'orthographe.
objection pour la majuscule.
sinon alors un titre écrit entièrement en majuscule c'est une faute d'orthographe ?
Le 12/04/2011 08:52, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Et la typo française, c'est du français au même titre que l'orthographe
de la langue. Mais depuis le primaire, les fautes de majuscules, de
ponctuation et d'accents sont des fautes d'orthographe.
objection pour la majuscule.
sinon alors un titre écrit entièrement en majuscule
c'est une faute d'orthographe ?
Le 12/04/2011 08:52, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Et la typo française, c'est du français au même titre que l'orthographe de la langue. Mais depuis le primaire, les fautes de majuscules, de ponctuation et d'accents sont des fautes d'orthographe.
objection pour la majuscule.
sinon alors un titre écrit entièrement en majuscule c'est une faute d'orthographe ?
Jacques L'helgoualc'h
Le 12-04-2011, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 12/04/2011 08:52, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Et la typo française, c'est du français au même titre que l'orthographe de la langue. Mais depuis le primaire, les fautes de majuscules, de ponctuation et d'accents sont des fautes d'orthographe.
objection pour la majuscule.
sinon alors un titre écrit entièrement en majuscule c'est une faute d'orthographe ?
Le 12-04-2011, Stephane Legras-Decussy <killyourself@yesnocancel.com> a écrit :
Le 12/04/2011 08:52, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Et la typo française, c'est du français au même titre que l'orthographe
de la langue. Mais depuis le primaire, les fautes de majuscules, de
ponctuation et d'accents sont des fautes d'orthographe.
objection pour la majuscule.
sinon alors un titre écrit entièrement en majuscule
c'est une faute d'orthographe ?
Le 12/04/2011 08:52, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Et la typo française, c'est du français au même titre que l'orthographe de la langue. Mais depuis le primaire, les fautes de majuscules, de ponctuation et d'accents sont des fautes d'orthographe.
objection pour la majuscule.
sinon alors un titre écrit entièrement en majuscule c'est une faute d'orthographe ?
De rupture non... Mallarmé était prof d'anglais et très mondain. Comme rupture on a vu plus radical...
La rupture poétique n'implique pas une rupture sociale hein...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
De rupture non... Mallarmé était prof d'anglais et très
mondain. Comme rupture on a vu plus radical...
La rupture poétique n'implique pas une rupture sociale hein...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
De rupture non... Mallarmé était prof d'anglais et très mondain. Comme rupture on a vu plus radical...
La rupture poétique n'implique pas une rupture sociale hein...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Octave
Le 12/04/2011 09:53, Ghost-Rider a écrit :
A toi de trouver tes règles (ou leur absence) et de les faire partager au lecteur.
Ah oui.
Mais il y a un côté technique inévitable : il faut éliminer au maximum les termes de liaisons, de conjonction, pour ne garder si possible, que les idées, les images.
Ça, c'est une règle dont on aurait envie d'aller contre! Ne mettre que des liaisons et des conjonctions, et enlever les idées, les images. :)
Et puis, je trouve bien cette partie : "alors que nous savons que la forme de la substance est rempli." parce que ça paraît sans fin, et que le rythme semble faire comme des vagues.
Oui, comme des vagues, mais il y a une rupture de ce rythme dans "la forme de la substance". "Alors que nous savons que la forme de la substance est rempli.", c'est comme de la musique : croche, noire, double croche, noire, double croche, noire etc.. jusqu'à la fin, le temps fort tombant sur chaque noire, mais ce rythme est cassé sur la troisième noire car le mot "substance" est accentué en français sur la première syllabe alors que dans ta phrase il devient accentué sur la seconde, ce qui l'alourdit. Par ailleurs le temps fort final tombe sur le pli de rempli, ce qui alourdit la chute que justement tu voudrais "sans fin".
Belle leçon de rythme! ... mais que c'est compliqué pour ma petite tête.
Ça me donne presque envie de mettre le texte d'origine :
"La pierre démontre un symbole de force, de passivité au bord du précipice de la fluidité, de la clarté. Son aspect, qui n'est pas, mais proche, du crâne, du contenu ressemble à une bête alors que l'on sait que cette forme est remplie de matière."
Merci de ce commentaire détaillé.
-- www.octav.fr
Le 12/04/2011 09:53, Ghost-Rider a écrit :
A toi de trouver tes règles (ou leur absence) et de les faire partager
au lecteur.
Ah oui.
Mais il y a un côté technique inévitable : il faut éliminer au maximum
les termes de liaisons, de conjonction, pour ne garder si possible, que
les idées, les images.
Ça, c'est une règle dont on aurait envie d'aller contre!
Ne mettre que des liaisons et des conjonctions, et enlever les idées,
les images. :)
Et puis, je trouve bien cette partie :
"alors que nous savons que la forme de la substance est rempli."
parce que ça paraît sans fin, et que le rythme semble faire comme des
vagues.
Oui, comme des vagues, mais il y a une rupture de ce rythme dans "la
forme de la substance".
"Alors que nous savons que la forme de la substance est rempli.", c'est
comme de la musique : croche, noire, double croche, noire, double
croche, noire etc.. jusqu'à la fin, le temps fort tombant sur chaque
noire, mais ce rythme est cassé sur la troisième noire car le mot
"substance" est accentué en français sur la première syllabe alors que
dans ta phrase il devient accentué sur la seconde, ce qui l'alourdit.
Par ailleurs le temps fort final tombe sur le pli de rempli, ce qui
alourdit la chute que justement tu voudrais "sans fin".
Belle leçon de rythme!
... mais que c'est compliqué pour ma petite tête.
Ça me donne presque envie de mettre le texte d'origine :
"La pierre démontre un symbole de force, de passivité au bord du
précipice de la fluidité, de la clarté. Son aspect, qui n'est pas, mais
proche, du crâne, du contenu ressemble à une bête alors que l'on sait
que cette forme est remplie de matière."
A toi de trouver tes règles (ou leur absence) et de les faire partager au lecteur.
Ah oui.
Mais il y a un côté technique inévitable : il faut éliminer au maximum les termes de liaisons, de conjonction, pour ne garder si possible, que les idées, les images.
Ça, c'est une règle dont on aurait envie d'aller contre! Ne mettre que des liaisons et des conjonctions, et enlever les idées, les images. :)
Et puis, je trouve bien cette partie : "alors que nous savons que la forme de la substance est rempli." parce que ça paraît sans fin, et que le rythme semble faire comme des vagues.
Oui, comme des vagues, mais il y a une rupture de ce rythme dans "la forme de la substance". "Alors que nous savons que la forme de la substance est rempli.", c'est comme de la musique : croche, noire, double croche, noire, double croche, noire etc.. jusqu'à la fin, le temps fort tombant sur chaque noire, mais ce rythme est cassé sur la troisième noire car le mot "substance" est accentué en français sur la première syllabe alors que dans ta phrase il devient accentué sur la seconde, ce qui l'alourdit. Par ailleurs le temps fort final tombe sur le pli de rempli, ce qui alourdit la chute que justement tu voudrais "sans fin".
Belle leçon de rythme! ... mais que c'est compliqué pour ma petite tête.
Ça me donne presque envie de mettre le texte d'origine :
"La pierre démontre un symbole de force, de passivité au bord du précipice de la fluidité, de la clarté. Son aspect, qui n'est pas, mais proche, du crâne, du contenu ressemble à une bête alors que l'on sait que cette forme est remplie de matière."
Merci de ce commentaire détaillé.
-- www.octav.fr
Octave
Le 12/04/2011 09:42, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 11/04/11 23:29, Ghost-Rider a écrit :
Tu aurais pu écrire : "Stone, symbole de force, tel le bord de lumière de l'inaction. Apparence n'est pas, près du crâne, contenu semble un animal mais la forme, de substance est remplie."
Ça me rappelle un truc qu'on faisait en groupe d'écriture -mais sans l'aide de google- la contraction dilatation de texte. À plusieurs mains. Virer l'inutile, le lourd renforce le sens possible mais en fait aussi apparaître par rapprochement ou substitutions des mots. Après, dilater c'est expliciter, enrichir ces bribes de sens ; après plusieurs passes le texte est à la fois plus riche et plus fort.
Pierre de force au tranchant lumineux d'inaction. Apparence proche du crâne au contenu animal, forme de substance.
Ouais, c'est intéressant aussi. Je ne sais pas si tout ce qui est enlevé était inintéressant : "tel le bord, n'est pas, près du, semble un". Ça me manque, moi!
-- www.octav.fr
Le 12/04/2011 09:42, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 11/04/11 23:29, Ghost-Rider a écrit :
Tu aurais pu écrire :
"Stone, symbole de force, tel le bord de lumière de l'inaction.
Apparence n'est pas, près du crâne, contenu semble un animal mais la
forme, de substance est remplie."
Ça me rappelle un truc qu'on faisait en groupe d'écriture -mais sans
l'aide de google- la contraction dilatation de texte.
À plusieurs mains. Virer l'inutile, le lourd renforce le sens possible
mais en fait aussi apparaître par rapprochement ou substitutions des
mots. Après, dilater c'est expliciter, enrichir ces bribes de sens ;
après plusieurs passes le texte est à la fois plus riche et plus fort.
Pierre de force au tranchant lumineux d'inaction. Apparence proche du
crâne au contenu animal, forme de substance.
Ouais, c'est intéressant aussi.
Je ne sais pas si tout ce qui est enlevé était inintéressant :
"tel le bord, n'est pas, près du, semble un".
Ça me manque, moi!
Le 12/04/2011 09:42, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 11/04/11 23:29, Ghost-Rider a écrit :
Tu aurais pu écrire : "Stone, symbole de force, tel le bord de lumière de l'inaction. Apparence n'est pas, près du crâne, contenu semble un animal mais la forme, de substance est remplie."
Ça me rappelle un truc qu'on faisait en groupe d'écriture -mais sans l'aide de google- la contraction dilatation de texte. À plusieurs mains. Virer l'inutile, le lourd renforce le sens possible mais en fait aussi apparaître par rapprochement ou substitutions des mots. Après, dilater c'est expliciter, enrichir ces bribes de sens ; après plusieurs passes le texte est à la fois plus riche et plus fort.
Pierre de force au tranchant lumineux d'inaction. Apparence proche du crâne au contenu animal, forme de substance.
Ouais, c'est intéressant aussi. Je ne sais pas si tout ce qui est enlevé était inintéressant : "tel le bord, n'est pas, près du, semble un". Ça me manque, moi!