Non. Sam parle du piratage réalisé de façon "industrielle", à savoir presses de CD/DVD pirates à grande échelle dont le financement émane très souvent de mafias ou de groupes criminels puissants (parce que les moyens sont conséquents et pas à la portée du premier clampin venu) qui donnent également dans la contrefaçon.
C'est tout sauf une idée à la con.
C'est surtout une idee a la con et surtout pas grand chose d'autre si ce n'est qu'une meconnaissance particulierement insistante du marche du piratage et de la production de DVD a grande echelle.
Ca donne de l'eau au moulin des majors et des grands editeurs, ca fait passer tous les petits crackers pour des grands mechants et, a l'extreme limite, donne une mauvaise image du LL que Microsoft s'empresse tres souvent de faire passer pour du pillage d'idees, de brevets et voire de code (et par voie de consequence de piratage).
Mais bon, le Sam, il est plus a ca pres.
Benjamin FRANCOIS wrote:
Non. Sam parle du piratage réalisé de façon "industrielle", à savoir
presses de CD/DVD pirates à grande échelle dont le financement émane
très souvent de mafias ou de groupes criminels puissants (parce que les
moyens sont conséquents et pas à la portée du premier clampin venu)
qui donnent également dans la contrefaçon.
C'est tout sauf une idée à la con.
C'est surtout une idee a la con et surtout pas grand chose d'autre si ce
n'est qu'une meconnaissance particulierement insistante du marche du
piratage et de la production de DVD a grande echelle.
Ca donne de l'eau au moulin des majors et des grands editeurs, ca fait
passer tous les petits crackers pour des grands mechants et, a l'extreme
limite, donne une mauvaise image du LL que Microsoft s'empresse tres
souvent de faire passer pour du pillage d'idees, de brevets et voire de
code (et par voie de consequence de piratage).
Non. Sam parle du piratage réalisé de façon "industrielle", à savoir presses de CD/DVD pirates à grande échelle dont le financement émane très souvent de mafias ou de groupes criminels puissants (parce que les moyens sont conséquents et pas à la portée du premier clampin venu) qui donnent également dans la contrefaçon.
C'est tout sauf une idée à la con.
C'est surtout une idee a la con et surtout pas grand chose d'autre si ce n'est qu'une meconnaissance particulierement insistante du marche du piratage et de la production de DVD a grande echelle.
Ca donne de l'eau au moulin des majors et des grands editeurs, ca fait passer tous les petits crackers pour des grands mechants et, a l'extreme limite, donne une mauvaise image du LL que Microsoft s'empresse tres souvent de faire passer pour du pillage d'idees, de brevets et voire de code (et par voie de consequence de piratage).
Mais bon, le Sam, il est plus a ca pres.
Benjamin FRANCOIS
remy s'est exprimé en ces termes:
cela ne change rien au fait que d'associer le piratage et le financement du terrorisme est une idée à la con
Non. Sam parle du piratage réalisé de façon "industrielle", à savoir presses de CD/DVD pirates à grande échelle dont le financement émane très souvent de mafias ou de groupes criminels puissants (parce que les moyens sont conséquents et pas à la portée du premier clampin venu) qui donnent également dans la contrefaçon.
C'est tout sauf une idée à la con.
-- When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.
remy s'est exprimé en ces termes:
cela ne change rien au fait que d'associer le piratage
et le financement du terrorisme est une idée à la con
Non. Sam parle du piratage réalisé de façon "industrielle", à savoir
presses de CD/DVD pirates à grande échelle dont le financement émane
très souvent de mafias ou de groupes criminels puissants (parce que les
moyens sont conséquents et pas à la portée du premier clampin venu)
qui donnent également dans la contrefaçon.
C'est tout sauf une idée à la con.
--
When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.
cela ne change rien au fait que d'associer le piratage et le financement du terrorisme est une idée à la con
Non. Sam parle du piratage réalisé de façon "industrielle", à savoir presses de CD/DVD pirates à grande échelle dont le financement émane très souvent de mafias ou de groupes criminels puissants (parce que les moyens sont conséquents et pas à la portée du premier clampin venu) qui donnent également dans la contrefaçon.
C'est tout sauf une idée à la con.
-- When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.
Raphael SurcouF Bordet
Sam Hocevar donne une interview à lemonde.fr sur le logiciel libre. Si vous trouvez que ça ne ressemble à rien, c'est normal...
<http://www.lemonde.fr/web/article/0,,,0 .html>
La version originale avant charcutage peut être trouvée ici :
quand j'étais à l'Ecole centrale, il y a une dizaine d'années, chaq ue année, une personne de la DST (direction de la surveillance du territoire) venait nous parler d'espionnage industriel, et nous expliquait dans le même temps que l'on ne pouvait pas faire confiance aux logiciels libres parce qu'ils représentaient un risque en matière de sécurité.
conclussions debian et une passoire bien bien vive debian
Tu oublies (volontairement) la fin du paragraphe : « Maintenant le discours a changé, et l'on nous explique aujourd'hui que, toujours pour lutter contre l'espionnage industriel, il faut précisément utiliser des standards ouverts... La prise de conscience arrive petit à petit. »
Et quand je vois le nombre de logiciels libres utilisés par les administrations, notamment la Défense et les Finances, oui, la prise de conscience est arrivée, sans parler du rappel à l'ordre du SGDN aux membres des cabinets ministériels à propos du Blackberry. http://www.lemonde.fr/web/article/0,,,0.html
-- Raphaël 'SurcouF' Bordet
Sam Hocevar donne une interview à lemonde.fr sur le logiciel
libre. Si vous trouvez que ça ne ressemble à rien, c'est normal...
quand j'étais à l'Ecole centrale, il y a une dizaine d'années, chaq ue
année, une personne de la DST (direction de la surveillance du
territoire) venait nous parler d'espionnage industriel, et nous
expliquait dans le même temps que l'on ne pouvait pas faire confiance
aux logiciels libres parce qu'ils représentaient un risque en matière de
sécurité.
conclussions debian et une passoire
bien bien vive debian
Tu oublies (volontairement) la fin du paragraphe :
« Maintenant le discours a changé, et l'on nous explique aujourd'hui
que, toujours pour lutter contre l'espionnage industriel, il faut
précisément utiliser des standards ouverts... La prise de conscience
arrive petit à petit. »
Et quand je vois le nombre de logiciels libres utilisés par les
administrations, notamment la Défense et les Finances, oui, la prise de
conscience est arrivée, sans parler du rappel à l'ordre du SGDN aux
membres des cabinets ministériels à propos du Blackberry.
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36-925472@51-925732,0.html
quand j'étais à l'Ecole centrale, il y a une dizaine d'années, chaq ue année, une personne de la DST (direction de la surveillance du territoire) venait nous parler d'espionnage industriel, et nous expliquait dans le même temps que l'on ne pouvait pas faire confiance aux logiciels libres parce qu'ils représentaient un risque en matière de sécurité.
conclussions debian et une passoire bien bien vive debian
Tu oublies (volontairement) la fin du paragraphe : « Maintenant le discours a changé, et l'on nous explique aujourd'hui que, toujours pour lutter contre l'espionnage industriel, il faut précisément utiliser des standards ouverts... La prise de conscience arrive petit à petit. »
Et quand je vois le nombre de logiciels libres utilisés par les administrations, notamment la Défense et les Finances, oui, la prise de conscience est arrivée, sans parler du rappel à l'ordre du SGDN aux membres des cabinets ministériels à propos du Blackberry. http://www.lemonde.fr/web/article/0,,,0.html
On 14 Jul 2007 08:19:19 GMT, Stephane TOUGARD wrote:
Benjamin FRANCOIS wrote:
Non. Sam parle du piratage réalisé de façon "industrielle", à savoir presses de CD/DVD pirates à grande échelle dont le financement émane très souvent de mafias ou de groupes criminels puissants (parce que les moyens sont conséquents et pas à la portée du premier clampin venu) qui donnent également dans la contrefaçon.
C'est tout sauf une idée à la con.
C'est surtout une idee a la con et surtout pas grand chose d'autre si ce n'est qu'une meconnaissance particulierement insistante du marche du piratage et de la production de DVD a grande echelle.
J'en ai ma claque de ce ton condescendant masquant ta propre méconnaissance des sujets.
L'immense majorité de la contrefaçon opérée par les particuliers a lieu via Internet et ne crée quasiment pas de flux financiers directs (il y a bien entendu les retombées indirectes liées à l'achat de disques durs et de médias vierges).
Mais je me demande dans quel monde idéaliste on peut croire que le financement des réseaux terroristes se fait par l'argent de la vente de fromages de chèvre. Le marché des biens contrefaits représentait environ 200 milliards de dollars [1] en 2005, soit plus que le PIB de 150 pays de la planète (deux fois celui de Singapour). À comparer avec les 320 milliards du marché de la drogue en 2005 [2]. Un tel marché nécessite des réseaux structurés et organisés et à moins de vivre chez les Bisounours il est illusoire de coire que les réseaux de distribution de produits contrefaits puissent être comme par magie totalement décorrélés de ceux de vente de stupéfiants et d'armes [3], notoirement liés aux réseaux mafieux et terroristes. S'imaginer que le crime organisé ne se contente pas d'observer benoîtement un tel gâteau et pourrait y goûter relève, croyons-en notre ami Tougard, surtout d'une « idée à la con ».
[1] estimation OCDE dans « L'impact économique de la contrefaçon et du piratage », 2007. [2] United Nations Office on Drugs and Crime, "World Drug Report", 2005. [3] http://www.interpol.int/Public/Wanted/ - une simple recherche sur les suspects recherchés pour contrefaçon montre que plus de la moitié sont aussi recherchés pour crime organisé.
Ca donne de l'eau au moulin des majors et des grands editeurs, ca fait passer tous les petits crackers pour des grands mechants et, a l'extreme limite, donne une mauvaise image du LL que Microsoft s'empresse tres souvent de faire passer pour du pillage d'idees, de brevets et voire de code (et par voie de consequence de piratage).
Et alors ? Je n'ai pas l'intention de mentir juste pour le plaisir ne pas dire la même chose que les majors et les grands éditeurs, ni de mentir en niant que les petits crackers enfreignent la loi, et encore moins de donner une bonne image du LL surtout quand il est merdique. Que les gens qui me pètent régulièrement les couilles parce que je ne prends pas part aux masturbations collectives d'apologie des logiciels libres se trouvent d'autres représentants.
On 14 Jul 2007 08:19:19 GMT, Stephane TOUGARD wrote:
Benjamin FRANCOIS wrote:
Non. Sam parle du piratage réalisé de façon "industrielle", à savoir
presses de CD/DVD pirates à grande échelle dont le financement émane
très souvent de mafias ou de groupes criminels puissants (parce que les
moyens sont conséquents et pas à la portée du premier clampin venu)
qui donnent également dans la contrefaçon.
C'est tout sauf une idée à la con.
C'est surtout une idee a la con et surtout pas grand chose d'autre si ce
n'est qu'une meconnaissance particulierement insistante du marche du
piratage et de la production de DVD a grande echelle.
J'en ai ma claque de ce ton condescendant masquant ta propre
méconnaissance des sujets.
L'immense majorité de la contrefaçon opérée par les particuliers a
lieu via Internet et ne crée quasiment pas de flux financiers directs
(il y a bien entendu les retombées indirectes liées à l'achat de disques
durs et de médias vierges).
Mais je me demande dans quel monde idéaliste on peut croire que le
financement des réseaux terroristes se fait par l'argent de la vente
de fromages de chèvre. Le marché des biens contrefaits représentait
environ 200 milliards de dollars [1] en 2005, soit plus que le PIB
de 150 pays de la planète (deux fois celui de Singapour). À comparer
avec les 320 milliards du marché de la drogue en 2005 [2]. Un tel
marché nécessite des réseaux structurés et organisés et à moins de
vivre chez les Bisounours il est illusoire de coire que les réseaux
de distribution de produits contrefaits puissent être comme par magie
totalement décorrélés de ceux de vente de stupéfiants et d'armes [3],
notoirement liés aux réseaux mafieux et terroristes. S'imaginer que le
crime organisé ne se contente pas d'observer benoîtement un tel gâteau
et pourrait y goûter relève, croyons-en notre ami Tougard, surtout d'une
« idée à la con ».
[1] estimation OCDE dans « L'impact économique de la contrefaçon et du
piratage », 2007.
[2] United Nations Office on Drugs and Crime, "World Drug Report", 2005.
[3] http://www.interpol.int/Public/Wanted/ - une simple recherche sur
les suspects recherchés pour contrefaçon montre que plus de la moitié
sont aussi recherchés pour crime organisé.
Ca donne de l'eau au moulin des majors et des grands editeurs, ca fait
passer tous les petits crackers pour des grands mechants et, a l'extreme
limite, donne une mauvaise image du LL que Microsoft s'empresse tres
souvent de faire passer pour du pillage d'idees, de brevets et voire de
code (et par voie de consequence de piratage).
Et alors ? Je n'ai pas l'intention de mentir juste pour le plaisir
ne pas dire la même chose que les majors et les grands éditeurs, ni de
mentir en niant que les petits crackers enfreignent la loi, et encore
moins de donner une bonne image du LL surtout quand il est merdique. Que
les gens qui me pètent régulièrement les couilles parce que je ne prends
pas part aux masturbations collectives d'apologie des logiciels libres
se trouvent d'autres représentants.
On 14 Jul 2007 08:19:19 GMT, Stephane TOUGARD wrote:
Benjamin FRANCOIS wrote:
Non. Sam parle du piratage réalisé de façon "industrielle", à savoir presses de CD/DVD pirates à grande échelle dont le financement émane très souvent de mafias ou de groupes criminels puissants (parce que les moyens sont conséquents et pas à la portée du premier clampin venu) qui donnent également dans la contrefaçon.
C'est tout sauf une idée à la con.
C'est surtout une idee a la con et surtout pas grand chose d'autre si ce n'est qu'une meconnaissance particulierement insistante du marche du piratage et de la production de DVD a grande echelle.
J'en ai ma claque de ce ton condescendant masquant ta propre méconnaissance des sujets.
L'immense majorité de la contrefaçon opérée par les particuliers a lieu via Internet et ne crée quasiment pas de flux financiers directs (il y a bien entendu les retombées indirectes liées à l'achat de disques durs et de médias vierges).
Mais je me demande dans quel monde idéaliste on peut croire que le financement des réseaux terroristes se fait par l'argent de la vente de fromages de chèvre. Le marché des biens contrefaits représentait environ 200 milliards de dollars [1] en 2005, soit plus que le PIB de 150 pays de la planète (deux fois celui de Singapour). À comparer avec les 320 milliards du marché de la drogue en 2005 [2]. Un tel marché nécessite des réseaux structurés et organisés et à moins de vivre chez les Bisounours il est illusoire de coire que les réseaux de distribution de produits contrefaits puissent être comme par magie totalement décorrélés de ceux de vente de stupéfiants et d'armes [3], notoirement liés aux réseaux mafieux et terroristes. S'imaginer que le crime organisé ne se contente pas d'observer benoîtement un tel gâteau et pourrait y goûter relève, croyons-en notre ami Tougard, surtout d'une « idée à la con ».
[1] estimation OCDE dans « L'impact économique de la contrefaçon et du piratage », 2007. [2] United Nations Office on Drugs and Crime, "World Drug Report", 2005. [3] http://www.interpol.int/Public/Wanted/ - une simple recherche sur les suspects recherchés pour contrefaçon montre que plus de la moitié sont aussi recherchés pour crime organisé.
Ca donne de l'eau au moulin des majors et des grands editeurs, ca fait passer tous les petits crackers pour des grands mechants et, a l'extreme limite, donne une mauvaise image du LL que Microsoft s'empresse tres souvent de faire passer pour du pillage d'idees, de brevets et voire de code (et par voie de consequence de piratage).
Et alors ? Je n'ai pas l'intention de mentir juste pour le plaisir ne pas dire la même chose que les majors et les grands éditeurs, ni de mentir en niant que les petits crackers enfreignent la loi, et encore moins de donner une bonne image du LL surtout quand il est merdique. Que les gens qui me pètent régulièrement les couilles parce que je ne prends pas part aux masturbations collectives d'apologie des logiciels libres se trouvent d'autres représentants.
On 14 Jul 2007 08:19:19 GMT, Stephane TOUGARD wrote:
Benjamin FRANCOIS wrote:
Non. Sam parle du piratage réalisé de façon "industrielle", à savoir presses de CD/DVD pirates à grande échelle dont le financement émane très souvent de mafias ou de groupes criminels puissants (parce que les moyens sont conséquents et pas à la portée du premier clampin venu) qui donnent également dans la contrefaçon.
C'est tout sauf une idée à la con.
C'est surtout une idee a la con et surtout pas grand chose d'autre si ce n'est qu'une meconnaissance particulierement insistante du marche du piratage et de la production de DVD a grande echelle.
J'en ai ma claque de ce ton condescendant masquant ta propre méconnaissance des sujets.
*L'immense majorité* de la contrefaçon opérée par les particuliers a lieu via Internet et ne crée quasiment pas de flux financiers directs (il y a bien entendu les retombées indirectes liées à l'achat de disques durs et de médias vierges).
Et, bien sûr, dans les pays où l'accès à l'internet haute-vitesse est généralisé, personne n'achète de CD piratés. Au pire, le beauf peut faire une copie de ce qu'il a piraté.
Restent les marchés émergent, la Chine, la Russie, entre autres, où les CD se vendent deux fois rien. Tu penses vraiment que c'est avec ça plutôt qu'avec la contrefaçon de sacs Gucci que le crime organisé fait son pognon? Parce qu'il n'y a rien de plus facile à exécuter qu'une copie de CD piraté. Pour les sacs Gucci, c'est autre chose.
On voit tout de suite que tu t'y connais vraiment.
Ca donne de l'eau au moulin des majors et des grands editeurs, ca fait passer tous les petits crackers pour des grands mechants et, a l'extreme limite, donne une mauvaise image du LL que Microsoft s'empresse tres souvent de faire passer pour du pillage d'idees, de brevets et voire de code (et par voie de consequence de piratage).
Et alors ? Je n'ai pas l'intention de mentir juste pour le plaisir ne pas dire la même chose que les majors et les grands éditeurs,
Cher DunkBankLeader, tu crois vraiment qu'il y a quoi que ce soit de vrai quand il prétend que le logiciel libre n'est que du piratage de ses grandes inventions?
T'es vraiment la pire merde dont Debian pouvait hériter.
Sam Hocevar wrote:
On 14 Jul 2007 08:19:19 GMT, Stephane TOUGARD wrote:
Benjamin FRANCOIS wrote:
Non. Sam parle du piratage réalisé de façon "industrielle", à savoir
presses de CD/DVD pirates à grande échelle dont le financement émane
très souvent de mafias ou de groupes criminels puissants (parce que les
moyens sont conséquents et pas à la portée du premier clampin venu)
qui donnent également dans la contrefaçon.
C'est tout sauf une idée à la con.
C'est surtout une idee a la con et surtout pas grand chose d'autre si ce
n'est qu'une meconnaissance particulierement insistante du marche du
piratage et de la production de DVD a grande echelle.
J'en ai ma claque de ce ton condescendant masquant ta propre
méconnaissance des sujets.
*L'immense majorité* de la contrefaçon opérée par les particuliers a
lieu via Internet et ne crée quasiment pas de flux financiers directs
(il y a bien entendu les retombées indirectes liées à l'achat de disques
durs et de médias vierges).
Et, bien sûr, dans les pays où l'accès à l'internet haute-vitesse est
généralisé, personne n'achète de CD piratés. Au pire, le beauf peut
faire une copie de ce qu'il a piraté.
Restent les marchés émergent, la Chine, la Russie, entre autres, où
les CD se vendent deux fois rien. Tu penses vraiment que c'est avec ça
plutôt qu'avec la contrefaçon de sacs Gucci que le crime organisé fait
son pognon? Parce qu'il n'y a rien de plus facile à exécuter qu'une
copie de CD piraté. Pour les sacs Gucci, c'est autre chose.
On voit tout de suite que tu t'y connais vraiment.
Ca donne de l'eau au moulin des majors et des grands editeurs, ca fait
passer tous les petits crackers pour des grands mechants et, a l'extreme
limite, donne une mauvaise image du LL que Microsoft s'empresse tres
souvent de faire passer pour du pillage d'idees, de brevets et voire de
code (et par voie de consequence de piratage).
Et alors ? Je n'ai pas l'intention de mentir juste pour le plaisir
ne pas dire la même chose que les majors et les grands éditeurs,
Cher DunkBankLeader, tu crois vraiment qu'il y a quoi que ce soit de
vrai quand il prétend que le logiciel libre n'est que du piratage de
ses grandes inventions?
T'es vraiment la pire merde dont Debian pouvait hériter.
On 14 Jul 2007 08:19:19 GMT, Stephane TOUGARD wrote:
Benjamin FRANCOIS wrote:
Non. Sam parle du piratage réalisé de façon "industrielle", à savoir presses de CD/DVD pirates à grande échelle dont le financement émane très souvent de mafias ou de groupes criminels puissants (parce que les moyens sont conséquents et pas à la portée du premier clampin venu) qui donnent également dans la contrefaçon.
C'est tout sauf une idée à la con.
C'est surtout une idee a la con et surtout pas grand chose d'autre si ce n'est qu'une meconnaissance particulierement insistante du marche du piratage et de la production de DVD a grande echelle.
J'en ai ma claque de ce ton condescendant masquant ta propre méconnaissance des sujets.
*L'immense majorité* de la contrefaçon opérée par les particuliers a lieu via Internet et ne crée quasiment pas de flux financiers directs (il y a bien entendu les retombées indirectes liées à l'achat de disques durs et de médias vierges).
Et, bien sûr, dans les pays où l'accès à l'internet haute-vitesse est généralisé, personne n'achète de CD piratés. Au pire, le beauf peut faire une copie de ce qu'il a piraté.
Restent les marchés émergent, la Chine, la Russie, entre autres, où les CD se vendent deux fois rien. Tu penses vraiment que c'est avec ça plutôt qu'avec la contrefaçon de sacs Gucci que le crime organisé fait son pognon? Parce qu'il n'y a rien de plus facile à exécuter qu'une copie de CD piraté. Pour les sacs Gucci, c'est autre chose.
On voit tout de suite que tu t'y connais vraiment.
Ca donne de l'eau au moulin des majors et des grands editeurs, ca fait passer tous les petits crackers pour des grands mechants et, a l'extreme limite, donne une mauvaise image du LL que Microsoft s'empresse tres souvent de faire passer pour du pillage d'idees, de brevets et voire de code (et par voie de consequence de piratage).
Et alors ? Je n'ai pas l'intention de mentir juste pour le plaisir ne pas dire la même chose que les majors et les grands éditeurs,
Cher DunkBankLeader, tu crois vraiment qu'il y a quoi que ce soit de vrai quand il prétend que le logiciel libre n'est que du piratage de ses grandes inventions?
T'es vraiment la pire merde dont Debian pouvait hériter.
Stéphane CARPENTIER
Sam Hocevar donne une interview à lemonde.fr sur le logiciel libre. Si vous trouvez que ça ne ressemble à rien, c'est normal...
<http://www.lemonde.fr/web/article/0,,,0.html>
La version originale avant charcutage peut être trouvée ici :
Le Tue, 17 Jul 2007 00:04:38 +0200, Stéphane CARPENTIER a écrit :
<< Debian, un des principaux systèmes d'exploitation "libres". >>
Ca ne fait pas très sérieux.
Qu'est ce que tu aurais mis?
-- In girum imus nocte ecce et consumimur igni
Blaise Potard
Le Tue, 17 Jul 2007 00:04:38 +0200, Stéphane CARPENTIER a écrit:
<< Debian, un des principaux systèmes d'exploitation "libres". >>
Ca ne fait pas très sérieux.
Qu'est-ce qui te choque ? L'usage de double-quote plutôt que de guillemets, ou de mettre le mot « libre » entre guillemets ? Dans le deuxième cas, pour un article destiné au grand public ça ne me paraît pas du tout choquant, dans la mesure où le mot « libre » n'a pas forcément un sens très clair dans ce contexte pour le lecteur moyen.
Bien sûr, sur fcold ce serait probablement une introduction à un énième troll sur Debian ou la GPL, mais enfin, faut arrêter de voir des trolls partout !
Le Tue, 17 Jul 2007 00:04:38 +0200, Stéphane CARPENTIER a écrit:
<< Debian, un des principaux systèmes d'exploitation "libres". >>
Ca ne fait pas très sérieux.
Qu'est-ce qui te choque ? L'usage de double-quote plutôt que de
guillemets, ou de mettre le mot « libre » entre guillemets ? Dans le
deuxième cas, pour un article destiné au grand public ça ne me paraît pas
du tout choquant, dans la mesure où le mot « libre » n'a pas forcément un
sens très clair dans ce contexte pour le lecteur moyen.
Bien sûr, sur fcold ce serait probablement une introduction à un énième
troll sur Debian ou la GPL, mais enfin, faut arrêter de voir des trolls
partout !
Le Tue, 17 Jul 2007 00:04:38 +0200, Stéphane CARPENTIER a écrit:
<< Debian, un des principaux systèmes d'exploitation "libres". >>
Ca ne fait pas très sérieux.
Qu'est-ce qui te choque ? L'usage de double-quote plutôt que de guillemets, ou de mettre le mot « libre » entre guillemets ? Dans le deuxième cas, pour un article destiné au grand public ça ne me paraît pas du tout choquant, dans la mesure où le mot « libre » n'a pas forcément un sens très clair dans ce contexte pour le lecteur moyen.
Bien sûr, sur fcold ce serait probablement une introduction à un énième troll sur Debian ou la GPL, mais enfin, faut arrêter de voir des trolls partout !
Stéphane CARPENTIER
Le Tue, 17 Jul 2007 00:04:38 +0200, Stéphane CARPENTIER a écrit :
<< Debian, un des principaux systèmes d'exploitation "libres". >>
Ca ne fait pas très sérieux.
Qu'est ce que tu aurais mis?
Ben, je ne sais pas comment j'aurais tourné ma phrase, mais écrire que Debian est un système d'exploitation me gène.
Après, s'il y a un mec qui débarque ici en voulant savoir si Debian c'est mieux que Linux. Tu lui expliques quoi ? Qu'il est trop con pour comprendre une introduction ou que l'article c'est de la merde ?
-- Stéphane
Pour me répondre, traduire gratuit en anglais et virer le .invalid. http://stef.carpentier.free.fr/
Le Tue, 17 Jul 2007 00:04:38 +0200, Stéphane CARPENTIER a écrit :
<< Debian, un des principaux systèmes d'exploitation "libres". >>
Ca ne fait pas très sérieux.
Qu'est ce que tu aurais mis?
Ben, je ne sais pas comment j'aurais tourné ma phrase, mais écrire que
Debian est un système d'exploitation me gène.
Après, s'il y a un mec qui débarque ici en voulant savoir si Debian c'est
mieux que Linux. Tu lui expliques quoi ? Qu'il est trop con pour comprendre
une introduction ou que l'article c'est de la merde ?
--
Stéphane
Pour me répondre, traduire gratuit en anglais et virer le .invalid.
http://stef.carpentier.free.fr/
Le Tue, 17 Jul 2007 00:04:38 +0200, Stéphane CARPENTIER a écrit :
<< Debian, un des principaux systèmes d'exploitation "libres". >>
Ca ne fait pas très sérieux.
Qu'est ce que tu aurais mis?
Ben, je ne sais pas comment j'aurais tourné ma phrase, mais écrire que Debian est un système d'exploitation me gène.
Après, s'il y a un mec qui débarque ici en voulant savoir si Debian c'est mieux que Linux. Tu lui expliques quoi ? Qu'il est trop con pour comprendre une introduction ou que l'article c'est de la merde ?
-- Stéphane
Pour me répondre, traduire gratuit en anglais et virer le .invalid. http://stef.carpentier.free.fr/