Parce que l'informatique est une infrastructure de très bas niveau par
rapport aux activités concrètes : pour un appareil photo, il faut
apprendre des choses en termes de mise au point et de profondeur de
champ, mais pas sur le fonctionnement concret de l'appareil. De la
même façon il me semble qu'il plus s'attendre à ce que l'apprentissage
se concetnre sur les outils (utiliser Word, Excel, jsutement le type
d'apprentissage et de littérature pour lequel les professionnels ont
un souverain mépris), plutôt que sur le détail de la machine.
Wasn't Ungoliant committed to creating a world-wide web?
sounds like the sort of evil thing she'd do. she was probably the
Parce que l'informatique est une infrastructure de très bas niveau par
rapport aux activités concrètes : pour un appareil photo, il faut
apprendre des choses en termes de mise au point et de profondeur de
champ, mais pas sur le fonctionnement concret de l'appareil. De la
même façon il me semble qu'il plus s'attendre à ce que l'apprentissage
se concetnre sur les outils (utiliser Word, Excel, jsutement le type
d'apprentissage et de littérature pour lequel les professionnels ont
un souverain mépris), plutôt que sur le détail de la machine.
Wasn't Ungoliant committed to creating a world-wide web?
sounds like the sort of evil thing she'd do. she was probably the
Parce que l'informatique est une infrastructure de très bas niveau par
rapport aux activités concrètes : pour un appareil photo, il faut
apprendre des choses en termes de mise au point et de profondeur de
champ, mais pas sur le fonctionnement concret de l'appareil. De la
même façon il me semble qu'il plus s'attendre à ce que l'apprentissage
se concetnre sur les outils (utiliser Word, Excel, jsutement le type
d'apprentissage et de littérature pour lequel les professionnels ont
un souverain mépris), plutôt que sur le détail de la machine.
Wasn't Ungoliant committed to creating a world-wide web?
sounds like the sort of evil thing she'd do. she was probably the
Mais qui prétend cela, les campagnes publicitaires de Microsoft ?
Oui, et tous ceux qui les reprennent, à commencer par toi.S'il s'agit plus généralement de la prétention qu'on n'a pas besoin de
connaître quoi que ce soit (en tout cas, de préalable) pour se servir
c'un ordinateur, je pense au contraire que si l'informatique doit
avoir un objectif, c'est bien celui-là,
Cet objectif est inaccessible tant qu'on ne saura pas faire réellement de
l'intelligence artificielle, capable de comprendre l'utilisateur à demi-mot.
C'est dire si ce n'est pas pour demain.
Ce n'est pas en poursuivant une chimère qu'on améliorera les conditions des
utilisateurs. Se fixer un objectif possible d'une simplicité _raisonnable_
et effectivement l'atteindre est infiniment plus profitable.Mieux vaut des réseaux saturés par le pourriel que des
ordinateurs qui ne puissent pas aider la vie quotidienne et devenir
des outils communs, invisibles, intuitifs, transparent.
Eh bien moi, je veux les deux : des outils qui aident la vie quotidienne
*et* des réseaux qui ne sont pas saturés. Pour ça, il suffit de remplacer le
discours ambiant « l'informatique, c'est facile, y-a-qu'a-cliquer » par
« l'informatique, c'est facile, on apprend très vite ».
Mais justement, il faut arrêter de refuser _a priori_ d'apprendre, alors
même que c'est complètement élémentaire et que quelques heures suffiraient.
Dans la vie, il faut _tout_ apprendre : que ce soit pour se faire une
omelette, pour jouer au foot (sans être hors-jeu par exemple), pour démarrer
en côte, pour faire une lessive (en lavant efficacement sans bouziller le
linge), et j'en passe, pour, essentiellement, toutes les activités, il faut
au début râmer et apprendre les bases.
Pourquoi, mais pourquoi diable, l'informatique serait-elle magiquement
exempte de cet apprentissage ?
Mais qui prétend cela, les campagnes publicitaires de Microsoft ?
Oui, et tous ceux qui les reprennent, à commencer par toi.
S'il s'agit plus généralement de la prétention qu'on n'a pas besoin de
connaître quoi que ce soit (en tout cas, de préalable) pour se servir
c'un ordinateur, je pense au contraire que si l'informatique doit
avoir un objectif, c'est bien celui-là,
Cet objectif est inaccessible tant qu'on ne saura pas faire réellement de
l'intelligence artificielle, capable de comprendre l'utilisateur à demi-mot.
C'est dire si ce n'est pas pour demain.
Ce n'est pas en poursuivant une chimère qu'on améliorera les conditions des
utilisateurs. Se fixer un objectif possible d'une simplicité _raisonnable_
et effectivement l'atteindre est infiniment plus profitable.
Mieux vaut des réseaux saturés par le pourriel que des
ordinateurs qui ne puissent pas aider la vie quotidienne et devenir
des outils communs, invisibles, intuitifs, transparent.
Eh bien moi, je veux les deux : des outils qui aident la vie quotidienne
*et* des réseaux qui ne sont pas saturés. Pour ça, il suffit de remplacer le
discours ambiant « l'informatique, c'est facile, y-a-qu'a-cliquer » par
« l'informatique, c'est facile, on apprend très vite ».
Mais justement, il faut arrêter de refuser _a priori_ d'apprendre, alors
même que c'est complètement élémentaire et que quelques heures suffiraient.
Dans la vie, il faut _tout_ apprendre : que ce soit pour se faire une
omelette, pour jouer au foot (sans être hors-jeu par exemple), pour démarrer
en côte, pour faire une lessive (en lavant efficacement sans bouziller le
linge), et j'en passe, pour, essentiellement, toutes les activités, il faut
au début râmer et apprendre les bases.
Pourquoi, mais pourquoi diable, l'informatique serait-elle magiquement
exempte de cet apprentissage ?
Mais qui prétend cela, les campagnes publicitaires de Microsoft ?
Oui, et tous ceux qui les reprennent, à commencer par toi.S'il s'agit plus généralement de la prétention qu'on n'a pas besoin de
connaître quoi que ce soit (en tout cas, de préalable) pour se servir
c'un ordinateur, je pense au contraire que si l'informatique doit
avoir un objectif, c'est bien celui-là,
Cet objectif est inaccessible tant qu'on ne saura pas faire réellement de
l'intelligence artificielle, capable de comprendre l'utilisateur à demi-mot.
C'est dire si ce n'est pas pour demain.
Ce n'est pas en poursuivant une chimère qu'on améliorera les conditions des
utilisateurs. Se fixer un objectif possible d'une simplicité _raisonnable_
et effectivement l'atteindre est infiniment plus profitable.Mieux vaut des réseaux saturés par le pourriel que des
ordinateurs qui ne puissent pas aider la vie quotidienne et devenir
des outils communs, invisibles, intuitifs, transparent.
Eh bien moi, je veux les deux : des outils qui aident la vie quotidienne
*et* des réseaux qui ne sont pas saturés. Pour ça, il suffit de remplacer le
discours ambiant « l'informatique, c'est facile, y-a-qu'a-cliquer » par
« l'informatique, c'est facile, on apprend très vite ».
Mais justement, il faut arrêter de refuser _a priori_ d'apprendre, alors
même que c'est complètement élémentaire et que quelques heures suffiraient.
Dans la vie, il faut _tout_ apprendre : que ce soit pour se faire une
omelette, pour jouer au foot (sans être hors-jeu par exemple), pour démarrer
en côte, pour faire une lessive (en lavant efficacement sans bouziller le
linge), et j'en passe, pour, essentiellement, toutes les activités, il faut
au début râmer et apprendre les bases.
Pourquoi, mais pourquoi diable, l'informatique serait-elle magiquement
exempte de cet apprentissage ?
Ce sont des raisons uniquement idéologiques qui font dire que
l'aide qu'on doit apporter sur les machines windows est pénible
tandis que l'aide qu'on apporte sur des systèmes libres est une
pure joie pour l'esprit.
Non. Hors les caractéristiques systèmes que j'ai mentionnées plus
haut, il est habituellement plus agréable d'aider quelqu'un sous
Linux que sous Windows en raison du type d'utilisateur.
Le windowsien s'attend à ce que ça marche tout seul, considère les
bugs comme des phénomènes paranormaux qu'il faut conjurer par de la
magie («je suis sûre que c'est la structure du bâtiment qui crée des
interférences», me disait une amie pendant que je me cognais la tête
sur ladite structure...), alors que les utilisateurs de Linux ont
conscience d'apprendre un truc nouveau et hors des sentiers battus
et cherchent à en saisir la logique. En fait, ils ont fait un choix,
ce qui les distingue des premiers.
Ce sont des raisons uniquement idéologiques qui font dire que
l'aide qu'on doit apporter sur les machines windows est pénible
tandis que l'aide qu'on apporte sur des systèmes libres est une
pure joie pour l'esprit.
Non. Hors les caractéristiques systèmes que j'ai mentionnées plus
haut, il est habituellement plus agréable d'aider quelqu'un sous
Linux que sous Windows en raison du type d'utilisateur.
Le windowsien s'attend à ce que ça marche tout seul, considère les
bugs comme des phénomènes paranormaux qu'il faut conjurer par de la
magie («je suis sûre que c'est la structure du bâtiment qui crée des
interférences», me disait une amie pendant que je me cognais la tête
sur ladite structure...), alors que les utilisateurs de Linux ont
conscience d'apprendre un truc nouveau et hors des sentiers battus
et cherchent à en saisir la logique. En fait, ils ont fait un choix,
ce qui les distingue des premiers.
Ce sont des raisons uniquement idéologiques qui font dire que
l'aide qu'on doit apporter sur les machines windows est pénible
tandis que l'aide qu'on apporte sur des systèmes libres est une
pure joie pour l'esprit.
Non. Hors les caractéristiques systèmes que j'ai mentionnées plus
haut, il est habituellement plus agréable d'aider quelqu'un sous
Linux que sous Windows en raison du type d'utilisateur.
Le windowsien s'attend à ce que ça marche tout seul, considère les
bugs comme des phénomènes paranormaux qu'il faut conjurer par de la
magie («je suis sûre que c'est la structure du bâtiment qui crée des
interférences», me disait une amie pendant que je me cognais la tête
sur ladite structure...), alors que les utilisateurs de Linux ont
conscience d'apprendre un truc nouveau et hors des sentiers battus
et cherchent à en saisir la logique. En fait, ils ont fait un choix,
ce qui les distingue des premiers.
Parce que l'informatique est une infrastructure de très bas niveau
par rapport aux activités concrètes : pour un appareil photo, il
faut apprendre des choses en termes de mise au point et de
profondeur de champ, mais pas sur le fonctionnement concret de
l'appareil. De la même façon il me semble qu'il plus s'attendre à
ce que l'apprentissage se concetnre sur les outils (utiliser Word,
Excel, jsutement le type d'apprentissage et de littérature pour
lequel les professionnels ont un souverain mépris), plutôt que sur
le détail de la machine.
Pour utiliser l'ordinateur, je n'ai pas besoin de comprendre la
structure du disque dur, du processeur, du BUS, de la RAM, de la
carte vidéo etc. (d'ailleurs je n'y connais pas grand chose), mais
il est essentiel de connaître la logique du système d'exploitation,
qui est pour moi l'équivalent des réglages d'exposition et de mise
au point de l'appareil photo. L'utilisation des logiciels équivaut
alors à viser et appuyer sur le déclencheur au bon moment.
Parce que l'informatique est une infrastructure de très bas niveau
par rapport aux activités concrètes : pour un appareil photo, il
faut apprendre des choses en termes de mise au point et de
profondeur de champ, mais pas sur le fonctionnement concret de
l'appareil. De la même façon il me semble qu'il plus s'attendre à
ce que l'apprentissage se concetnre sur les outils (utiliser Word,
Excel, jsutement le type d'apprentissage et de littérature pour
lequel les professionnels ont un souverain mépris), plutôt que sur
le détail de la machine.
Pour utiliser l'ordinateur, je n'ai pas besoin de comprendre la
structure du disque dur, du processeur, du BUS, de la RAM, de la
carte vidéo etc. (d'ailleurs je n'y connais pas grand chose), mais
il est essentiel de connaître la logique du système d'exploitation,
qui est pour moi l'équivalent des réglages d'exposition et de mise
au point de l'appareil photo. L'utilisation des logiciels équivaut
alors à viser et appuyer sur le déclencheur au bon moment.
Parce que l'informatique est une infrastructure de très bas niveau
par rapport aux activités concrètes : pour un appareil photo, il
faut apprendre des choses en termes de mise au point et de
profondeur de champ, mais pas sur le fonctionnement concret de
l'appareil. De la même façon il me semble qu'il plus s'attendre à
ce que l'apprentissage se concetnre sur les outils (utiliser Word,
Excel, jsutement le type d'apprentissage et de littérature pour
lequel les professionnels ont un souverain mépris), plutôt que sur
le détail de la machine.
Pour utiliser l'ordinateur, je n'ai pas besoin de comprendre la
structure du disque dur, du processeur, du BUS, de la RAM, de la
carte vidéo etc. (d'ailleurs je n'y connais pas grand chose), mais
il est essentiel de connaître la logique du système d'exploitation,
qui est pour moi l'équivalent des réglages d'exposition et de mise
au point de l'appareil photo. L'utilisation des logiciels équivaut
alors à viser et appuyer sur le déclencheur au bon moment.
Non. Lorsqu'on fait appel à quelqu'un-qui-s'y-connaît, justement
parfois il aimerait aller plus vite, mais l'interface l'en
empêche. Il est possible de se servir de Linux juste en cliquant
partout, mais la console permet les raccourcis quand il faut changer
quelque chose dans le système. La console Windows non.
Je ne dis pas que l'aide n'est pas plus facile à fournir, quand on s'y
connait, sur un système prévue pour la maintenance que sur un système
prévue pour ne pas avoir à être maintenu.
Non. Lorsqu'on fait appel à quelqu'un-qui-s'y-connaît, justement
parfois il aimerait aller plus vite, mais l'interface l'en
empêche. Il est possible de se servir de Linux juste en cliquant
partout, mais la console permet les raccourcis quand il faut changer
quelque chose dans le système. La console Windows non.
Je ne dis pas que l'aide n'est pas plus facile à fournir, quand on s'y
connait, sur un système prévue pour la maintenance que sur un système
prévue pour ne pas avoir à être maintenu.
Non. Lorsqu'on fait appel à quelqu'un-qui-s'y-connaît, justement
parfois il aimerait aller plus vite, mais l'interface l'en
empêche. Il est possible de se servir de Linux juste en cliquant
partout, mais la console permet les raccourcis quand il faut changer
quelque chose dans le système. La console Windows non.
Je ne dis pas que l'aide n'est pas plus facile à fournir, quand on s'y
connait, sur un système prévue pour la maintenance que sur un système
prévue pour ne pas avoir à être maintenu.
Pour utiliser l'ordinateur, je n'ai pas besoin de comprendre la
structure du disque dur, du processeur, du BUS, de la RAM, de la carte
vidéo etc. (d'ailleurs je n'y connais pas grand chose), mais il est
essentiel de connaître la logique du système d'exploitation, qui est
pour moi l'équivalent des réglages d'exposition et de mise au point de
l'appareil photo. L'utilisation des logiciels équivaut alors à viser et
appuyer sur le déclencheur au bon moment.
Pour utiliser l'ordinateur, je n'ai pas besoin de comprendre la
structure du disque dur, du processeur, du BUS, de la RAM, de la carte
vidéo etc. (d'ailleurs je n'y connais pas grand chose), mais il est
essentiel de connaître la logique du système d'exploitation, qui est
pour moi l'équivalent des réglages d'exposition et de mise au point de
l'appareil photo. L'utilisation des logiciels équivaut alors à viser et
appuyer sur le déclencheur au bon moment.
Pour utiliser l'ordinateur, je n'ai pas besoin de comprendre la
structure du disque dur, du processeur, du BUS, de la RAM, de la carte
vidéo etc. (d'ailleurs je n'y connais pas grand chose), mais il est
essentiel de connaître la logique du système d'exploitation, qui est
pour moi l'équivalent des réglages d'exposition et de mise au point de
l'appareil photo. L'utilisation des logiciels équivaut alors à viser et
appuyer sur le déclencheur au bon moment.
Ce sont des raisons uniquement idéologiques qui font dire que
l'aide qu'on doit apporter sur les machines windows est pénible
tandis que l'aide qu'on apporte sur des systèmes libres est une
pure joie pour l'esprit.
Non. Hors les caractéristiques systèmes que j'ai mentionnées plus
haut, il est habituellement plus agréable d'aider quelqu'un sous
Linux que sous Windows en raison du type d'utilisateur.
Ah bon. Moi je trouve que le dépanage de machines, c'est chiant, que
le remède s'administre en boîtes ou en lignes (même documentées).
Le windowsien s'attend à ce que ça marche tout seul, considère les
bugs comme des phénomènes paranormaux qu'il faut conjurer par de la
magie («je suis sûre que c'est la structure du bâtiment qui crée des
interférences», me disait une amie pendant que je me cognais la tête
sur ladite structure...), alors que les utilisateurs de Linux ont
conscience d'apprendre un truc nouveau et hors des sentiers battus
et cherchent à en saisir la logique. En fait, ils ont fait un choix,
ce qui les distingue des premiers.
Les veaux contre les hommes libres en somme.
Bravo ! Vous êtes du bon côté.
Ce sont des raisons uniquement idéologiques qui font dire que
l'aide qu'on doit apporter sur les machines windows est pénible
tandis que l'aide qu'on apporte sur des systèmes libres est une
pure joie pour l'esprit.
Non. Hors les caractéristiques systèmes que j'ai mentionnées plus
haut, il est habituellement plus agréable d'aider quelqu'un sous
Linux que sous Windows en raison du type d'utilisateur.
Ah bon. Moi je trouve que le dépanage de machines, c'est chiant, que
le remède s'administre en boîtes ou en lignes (même documentées).
Le windowsien s'attend à ce que ça marche tout seul, considère les
bugs comme des phénomènes paranormaux qu'il faut conjurer par de la
magie («je suis sûre que c'est la structure du bâtiment qui crée des
interférences», me disait une amie pendant que je me cognais la tête
sur ladite structure...), alors que les utilisateurs de Linux ont
conscience d'apprendre un truc nouveau et hors des sentiers battus
et cherchent à en saisir la logique. En fait, ils ont fait un choix,
ce qui les distingue des premiers.
Les veaux contre les hommes libres en somme.
Bravo ! Vous êtes du bon côté.
Ce sont des raisons uniquement idéologiques qui font dire que
l'aide qu'on doit apporter sur les machines windows est pénible
tandis que l'aide qu'on apporte sur des systèmes libres est une
pure joie pour l'esprit.
Non. Hors les caractéristiques systèmes que j'ai mentionnées plus
haut, il est habituellement plus agréable d'aider quelqu'un sous
Linux que sous Windows en raison du type d'utilisateur.
Ah bon. Moi je trouve que le dépanage de machines, c'est chiant, que
le remède s'administre en boîtes ou en lignes (même documentées).
Le windowsien s'attend à ce que ça marche tout seul, considère les
bugs comme des phénomènes paranormaux qu'il faut conjurer par de la
magie («je suis sûre que c'est la structure du bâtiment qui crée des
interférences», me disait une amie pendant que je me cognais la tête
sur ladite structure...), alors que les utilisateurs de Linux ont
conscience d'apprendre un truc nouveau et hors des sentiers battus
et cherchent à en saisir la logique. En fait, ils ont fait un choix,
ce qui les distingue des premiers.
Les veaux contre les hommes libres en somme.
Bravo ! Vous êtes du bon côté.
C'est un sacerdoce ! Mais vous pensez que s'ils utilisaient tous un
système libre vous passeriez moins de temps à les aider ?
C'est un sacerdoce ! Mais vous pensez que s'ils utilisaient tous un
système libre vous passeriez moins de temps à les aider ?
C'est un sacerdoce ! Mais vous pensez que s'ils utilisaient tous un
système libre vous passeriez moins de temps à les aider ?
Dans ce cas, je ne vois pas l'intérêt de mentionner que les gens se
font aider sous Windows.
Dans ce cas, je ne vois pas l'intérêt de mentionner que les gens se
font aider sous Windows.
Dans ce cas, je ne vois pas l'intérêt de mentionner que les gens se
font aider sous Windows.
Les veaux contre les hommes libres en somme.
Les veaux contre les hommes libres en somme.
Les veaux contre les hommes libres en somme.