Immonde est trop fort, mais j'espère que d'autres cultures que la
culture nord américaine arriveront à se doter de cet outil, et que
l'appauvrissement de la diversité culturelle ne va pas passer à une
nouvelle échelle.
- le problème de la politique éditorial : ne pas sélectionner les
textes selon une politiques éditoriale préalable empêche qu'ils aient
une représentativité et entraîne des biais : ce que fait telle
université, tel type de document, etc. sont surreprésentés ; à
l'inverse des choses seront toujours totalement absentes ; les biais
surtout (parce qu'ils y en a toujours) ne sont pas documenté, notés
pour l'avenir, etc.
- le fait que google soit l'expression d'une culture particulière :
google print est nécessairement l'émanation d'une façon de faire,
d'une conception de la science, d'une tradition scientifique,
etc. relevant d'une culture particulière ; il représente le point de
vue de cette culture.
- Sur la diversité culturelle : indépendemment de ce que fait google,
il faut souhaiter il me semble que d'autres projets voient le jour
c'est à dire que d'autres cultures réussissent à exister sur le
terrain de ces média « du futur ».
Immonde est trop fort, mais j'espère que d'autres cultures que la
culture nord américaine arriveront à se doter de cet outil, et que
l'appauvrissement de la diversité culturelle ne va pas passer à une
nouvelle échelle.
- le problème de la politique éditorial : ne pas sélectionner les
textes selon une politiques éditoriale préalable empêche qu'ils aient
une représentativité et entraîne des biais : ce que fait telle
université, tel type de document, etc. sont surreprésentés ; à
l'inverse des choses seront toujours totalement absentes ; les biais
surtout (parce qu'ils y en a toujours) ne sont pas documenté, notés
pour l'avenir, etc.
- le fait que google soit l'expression d'une culture particulière :
google print est nécessairement l'émanation d'une façon de faire,
d'une conception de la science, d'une tradition scientifique,
etc. relevant d'une culture particulière ; il représente le point de
vue de cette culture.
- Sur la diversité culturelle : indépendemment de ce que fait google,
il faut souhaiter il me semble que d'autres projets voient le jour
c'est à dire que d'autres cultures réussissent à exister sur le
terrain de ces média « du futur ».
Immonde est trop fort, mais j'espère que d'autres cultures que la
culture nord américaine arriveront à se doter de cet outil, et que
l'appauvrissement de la diversité culturelle ne va pas passer à une
nouvelle échelle.
- le problème de la politique éditorial : ne pas sélectionner les
textes selon une politiques éditoriale préalable empêche qu'ils aient
une représentativité et entraîne des biais : ce que fait telle
université, tel type de document, etc. sont surreprésentés ; à
l'inverse des choses seront toujours totalement absentes ; les biais
surtout (parce qu'ils y en a toujours) ne sont pas documenté, notés
pour l'avenir, etc.
- le fait que google soit l'expression d'une culture particulière :
google print est nécessairement l'émanation d'une façon de faire,
d'une conception de la science, d'une tradition scientifique,
etc. relevant d'une culture particulière ; il représente le point de
vue de cette culture.
- Sur la diversité culturelle : indépendemment de ce que fait google,
il faut souhaiter il me semble que d'autres projets voient le jour
c'est à dire que d'autres cultures réussissent à exister sur le
terrain de ces média « du futur ».
SL wrote:Immonde est trop fort, mais j'espère que d'autres cultures que la
culture nord américaine arriveront à se doter de cet outil, e t que
l'appauvrissement de la diversité culturelle ne va pas passer à une
nouvelle échelle.
Mais dit comme ça, je suis tout à fait d'accord avec toi. Si tu me
dis que le fait que Google numérise la biblothèque de Harvard e t la
BNF appauvrissent la culture, excuse moi mais ça me paraît absu rde.
- le problème de la politique éditorial : ne pas sélecti onner les
textes selon une politiques éditoriale préalable empêche qu'ils aient
une représentativité et entraîne des biais : ce que fait telle
université, tel type de document, etc. sont surreprésentà ©s ; Ã
l'inverse des choses seront toujours totalement absentes ; les biais
surtout (parce qu'ils y en a toujours) ne sont pas documenté, not és
pour l'avenir, etc.
Oui, je sais tu as déjà dit ça plusieurs fois et ça m e paraît absurde.
Ce qui crée un biais, c'est le refus de présenter telle ou tell e chose,
certainement pas le fait de les présenter.
- le fait que google soit l'expression d'une culture particulière
: google print est nécessairement l'émanation d'une faço n de
faire, d'une conception de la science, d'une tradition
scientifique, etc. relevant d'une culture particulière ; il
représente le point de vue de cette culture.
Oui, et alors? Ce sont bien les gens de cette même culture qui
lisent Google,
rien n'empêche les gens d'une autre culture de faire leur business
comme ils veulent. Au moins Google prouve que c'est possible.
- Sur la diversité culturelle : indépendemment de ce que fait
google, il faut souhaiter il me semble que d'autres projets voient
le jour c'est à dire que d'autres cultures réussissent à exister
sur le terrain de ces média « du futur ».
Certes, je pense que personne n'a rien contre ça, d'un autre cotà © en
pratique il est clair que la première des choses à faire pour n e pas
se faire marginaliser est de participer à Google.
SL <nospam@nospam.com> wrote:
Immonde est trop fort, mais j'espère que d'autres cultures que la
culture nord américaine arriveront à se doter de cet outil, e t que
l'appauvrissement de la diversité culturelle ne va pas passer à une
nouvelle échelle.
Mais dit comme ça, je suis tout à fait d'accord avec toi. Si tu me
dis que le fait que Google numérise la biblothèque de Harvard e t la
BNF appauvrissent la culture, excuse moi mais ça me paraît absu rde.
- le problème de la politique éditorial : ne pas sélecti onner les
textes selon une politiques éditoriale préalable empêche qu'ils aient
une représentativité et entraîne des biais : ce que fait telle
université, tel type de document, etc. sont surreprésentà ©s ; Ã
l'inverse des choses seront toujours totalement absentes ; les biais
surtout (parce qu'ils y en a toujours) ne sont pas documenté, not és
pour l'avenir, etc.
Oui, je sais tu as déjà dit ça plusieurs fois et ça m e paraît absurde.
Ce qui crée un biais, c'est le refus de présenter telle ou tell e chose,
certainement pas le fait de les présenter.
- le fait que google soit l'expression d'une culture particulière
: google print est nécessairement l'émanation d'une faço n de
faire, d'une conception de la science, d'une tradition
scientifique, etc. relevant d'une culture particulière ; il
représente le point de vue de cette culture.
Oui, et alors? Ce sont bien les gens de cette même culture qui
lisent Google,
rien n'empêche les gens d'une autre culture de faire leur business
comme ils veulent. Au moins Google prouve que c'est possible.
- Sur la diversité culturelle : indépendemment de ce que fait
google, il faut souhaiter il me semble que d'autres projets voient
le jour c'est à dire que d'autres cultures réussissent à exister
sur le terrain de ces média « du futur ».
Certes, je pense que personne n'a rien contre ça, d'un autre cotà © en
pratique il est clair que la première des choses à faire pour n e pas
se faire marginaliser est de participer à Google.
SL wrote:Immonde est trop fort, mais j'espère que d'autres cultures que la
culture nord américaine arriveront à se doter de cet outil, e t que
l'appauvrissement de la diversité culturelle ne va pas passer à une
nouvelle échelle.
Mais dit comme ça, je suis tout à fait d'accord avec toi. Si tu me
dis que le fait que Google numérise la biblothèque de Harvard e t la
BNF appauvrissent la culture, excuse moi mais ça me paraît absu rde.
- le problème de la politique éditorial : ne pas sélecti onner les
textes selon une politiques éditoriale préalable empêche qu'ils aient
une représentativité et entraîne des biais : ce que fait telle
université, tel type de document, etc. sont surreprésentà ©s ; Ã
l'inverse des choses seront toujours totalement absentes ; les biais
surtout (parce qu'ils y en a toujours) ne sont pas documenté, not és
pour l'avenir, etc.
Oui, je sais tu as déjà dit ça plusieurs fois et ça m e paraît absurde.
Ce qui crée un biais, c'est le refus de présenter telle ou tell e chose,
certainement pas le fait de les présenter.
- le fait que google soit l'expression d'une culture particulière
: google print est nécessairement l'émanation d'une faço n de
faire, d'une conception de la science, d'une tradition
scientifique, etc. relevant d'une culture particulière ; il
représente le point de vue de cette culture.
Oui, et alors? Ce sont bien les gens de cette même culture qui
lisent Google,
rien n'empêche les gens d'une autre culture de faire leur business
comme ils veulent. Au moins Google prouve que c'est possible.
- Sur la diversité culturelle : indépendemment de ce que fait
google, il faut souhaiter il me semble que d'autres projets voient
le jour c'est à dire que d'autres cultures réussissent à exister
sur le terrain de ces média « du futur ».
Certes, je pense que personne n'a rien contre ça, d'un autre cotà © en
pratique il est clair que la première des choses à faire pour n e pas
se faire marginaliser est de participer à Google.
On ne peut /jamais/ tout présenter, je pense que c'est acquis non ?
L'objectif de tout présenter est naïf parce qu'il laisse donc les
fausses évidences et les préjugés décider. La force brutale d'une
batterie d'ordinateurs ne peut pas remplacer le travail philologique
d'échantillonage, d'évaluation de la représentativité, de sélection
des priorités, etc. Ca me paraît d'une telle évidence, mais
effectivement je me répète :-)
renforcer l'importance de ces standards dans le monde. Par exemple
dans des communautés scientifiques où la littérature scientifique
américaine était aperçue mais pas accessible, ça ne peut que renforcer
de façon incroyablement forte le fait que cette littérature, et donc
la publication dans les revues américaines, etc., soient les
principaux critères d'évaluation scientifique. Ca ne peut donc
qu'aller dans le sens de la diffusion des standards scientifiques
américains.
On ne peut /jamais/ tout présenter, je pense que c'est acquis non ?
L'objectif de tout présenter est naïf parce qu'il laisse donc les
fausses évidences et les préjugés décider. La force brutale d'une
batterie d'ordinateurs ne peut pas remplacer le travail philologique
d'échantillonage, d'évaluation de la représentativité, de sélection
des priorités, etc. Ca me paraît d'une telle évidence, mais
effectivement je me répète :-)
renforcer l'importance de ces standards dans le monde. Par exemple
dans des communautés scientifiques où la littérature scientifique
américaine était aperçue mais pas accessible, ça ne peut que renforcer
de façon incroyablement forte le fait que cette littérature, et donc
la publication dans les revues américaines, etc., soient les
principaux critères d'évaluation scientifique. Ca ne peut donc
qu'aller dans le sens de la diffusion des standards scientifiques
américains.
On ne peut /jamais/ tout présenter, je pense que c'est acquis non ?
L'objectif de tout présenter est naïf parce qu'il laisse donc les
fausses évidences et les préjugés décider. La force brutale d'une
batterie d'ordinateurs ne peut pas remplacer le travail philologique
d'échantillonage, d'évaluation de la représentativité, de sélection
des priorités, etc. Ca me paraît d'une telle évidence, mais
effectivement je me répète :-)
renforcer l'importance de ces standards dans le monde. Par exemple
dans des communautés scientifiques où la littérature scientifique
américaine était aperçue mais pas accessible, ça ne peut que renforcer
de façon incroyablement forte le fait que cette littérature, et donc
la publication dans les revues américaines, etc., soient les
principaux critères d'évaluation scientifique. Ca ne peut donc
qu'aller dans le sens de la diffusion des standards scientifiques
américains.
On ne peut /jamais/ tout présenter, je pense que c'est acquis non ?
Non ce n'est pas acquis. On peut certainement tout présenter de ce q ui se
trouve à la bibliothèque de Harvard et à la BNF.
L'objectif de tout présenter est naïf parce qu'il laisse donc les
fausses évidences et les préjugés décider. La force brutale d'une
batterie d'ordinateurs ne peut pas remplacer le travail
philologique d'échantillonage, d'évaluation de la
représentativité, de sélection des priorités, etc. Ca me paraît
d'une telle évidence, mais effectivement je me répète :-)
Moi, ça ne me paraît pas évident du tout. A partir du mome nt où j'ai
accés à la totalité du fonds sans filtre, l'opinion du sp écialiste
je m'en tamponne grave. Et c'est justement pour ça qu'il y a une
perte de pouvoir des conservateurs de bibliothèque, et donc une
réaction corporatiste.
renforcer l'importance de ces standards dans le monde. Par exemple
dans des communautés scientifiques où la littérature sci entifique
américaine était aperçue mais pas accessible, ça ne peut que
renforcer de façon incroyablement forte le fait que cette
littérature, et donc la publication dans les revues américain es,
etc., soient les principaux critères d'évaluation scientifiqu e. Ca
ne peut donc qu'aller dans le sens de la diffusion des standards
scientifiques américains.
C'est déjà comme ça depuis longtemps et ça n'a pas at tendu Google
print.
C'est même beaucoup plus pernicieux, pour les physiciens, le SLAC
concocte un indice, l'indice de Hirsch, et en un seul nombre te
voilà évalué comme un papillon sous une aiguille.
On ne peut /jamais/ tout présenter, je pense que c'est acquis non ?
Non ce n'est pas acquis. On peut certainement tout présenter de ce q ui se
trouve à la bibliothèque de Harvard et à la BNF.
L'objectif de tout présenter est naïf parce qu'il laisse donc les
fausses évidences et les préjugés décider. La force brutale d'une
batterie d'ordinateurs ne peut pas remplacer le travail
philologique d'échantillonage, d'évaluation de la
représentativité, de sélection des priorités, etc. Ca me paraît
d'une telle évidence, mais effectivement je me répète :-)
Moi, ça ne me paraît pas évident du tout. A partir du mome nt où j'ai
accés à la totalité du fonds sans filtre, l'opinion du sp écialiste
je m'en tamponne grave. Et c'est justement pour ça qu'il y a une
perte de pouvoir des conservateurs de bibliothèque, et donc une
réaction corporatiste.
renforcer l'importance de ces standards dans le monde. Par exemple
dans des communautés scientifiques où la littérature sci entifique
américaine était aperçue mais pas accessible, ça ne peut que
renforcer de façon incroyablement forte le fait que cette
littérature, et donc la publication dans les revues américain es,
etc., soient les principaux critères d'évaluation scientifiqu e. Ca
ne peut donc qu'aller dans le sens de la diffusion des standards
scientifiques américains.
C'est déjà comme ça depuis longtemps et ça n'a pas at tendu Google
print.
C'est même beaucoup plus pernicieux, pour les physiciens, le SLAC
concocte un indice, l'indice de Hirsch, et en un seul nombre te
voilà évalué comme un papillon sous une aiguille.
On ne peut /jamais/ tout présenter, je pense que c'est acquis non ?
Non ce n'est pas acquis. On peut certainement tout présenter de ce q ui se
trouve à la bibliothèque de Harvard et à la BNF.
L'objectif de tout présenter est naïf parce qu'il laisse donc les
fausses évidences et les préjugés décider. La force brutale d'une
batterie d'ordinateurs ne peut pas remplacer le travail
philologique d'échantillonage, d'évaluation de la
représentativité, de sélection des priorités, etc. Ca me paraît
d'une telle évidence, mais effectivement je me répète :-)
Moi, ça ne me paraît pas évident du tout. A partir du mome nt où j'ai
accés à la totalité du fonds sans filtre, l'opinion du sp écialiste
je m'en tamponne grave. Et c'est justement pour ça qu'il y a une
perte de pouvoir des conservateurs de bibliothèque, et donc une
réaction corporatiste.
renforcer l'importance de ces standards dans le monde. Par exemple
dans des communautés scientifiques où la littérature sci entifique
américaine était aperçue mais pas accessible, ça ne peut que
renforcer de façon incroyablement forte le fait que cette
littérature, et donc la publication dans les revues américain es,
etc., soient les principaux critères d'évaluation scientifiqu e. Ca
ne peut donc qu'aller dans le sens de la diffusion des standards
scientifiques américains.
C'est déjà comme ça depuis longtemps et ça n'a pas at tendu Google
print.
C'est même beaucoup plus pernicieux, pour les physiciens, le SLAC
concocte un indice, l'indice de Hirsch, et en un seul nombre te
voilà évalué comme un papillon sous une aiguille.
SL wrote:Immonde est trop fort, mais j'espère que d'autres cultures que la
culture nord américaine arriveront à se doter de cet outil, et que
l'appauvrissement de la diversité culturelle ne va pas passer à une
nouvelle échelle.
Mais dit comme ça, je suis tout à fait d'accord avec toi. Si tu me
dis que le fait que Google numérise la biblothèque de Harvard et la
BNF appauvrissent la culture, excuse moi mais ça me paraît absurde.
C'est un peu comme de dire : faire apprendre le français au gamins
bretons du début du siècle ne peut que les ouvrir à une plus large
culture. Certes, mais ça a également détruit leur langue.
SL <nospam@nospam.com> wrote:
Immonde est trop fort, mais j'espère que d'autres cultures que la
culture nord américaine arriveront à se doter de cet outil, et que
l'appauvrissement de la diversité culturelle ne va pas passer à une
nouvelle échelle.
Mais dit comme ça, je suis tout à fait d'accord avec toi. Si tu me
dis que le fait que Google numérise la biblothèque de Harvard et la
BNF appauvrissent la culture, excuse moi mais ça me paraît absurde.
C'est un peu comme de dire : faire apprendre le français au gamins
bretons du début du siècle ne peut que les ouvrir à une plus large
culture. Certes, mais ça a également détruit leur langue.
SL wrote:Immonde est trop fort, mais j'espère que d'autres cultures que la
culture nord américaine arriveront à se doter de cet outil, et que
l'appauvrissement de la diversité culturelle ne va pas passer à une
nouvelle échelle.
Mais dit comme ça, je suis tout à fait d'accord avec toi. Si tu me
dis que le fait que Google numérise la biblothèque de Harvard et la
BNF appauvrissent la culture, excuse moi mais ça me paraît absurde.
C'est un peu comme de dire : faire apprendre le français au gamins
bretons du début du siècle ne peut que les ouvrir à une plus large
culture. Certes, mais ça a également détruit leur langue.
On Fri, 09 Sep 2005 21:37:00 +0200, SL wrote:SL wrote:Immonde est trop fort, mais j'espère que d'autres cultures que la
culture nord américaine arriveront à se doter de cet outil, et que
l'appauvrissement de la diversité culturelle ne va pas passer à une
nouvelle échelle.
Mais dit comme ça, je suis tout à fait d'accord avec toi. Si tu me
dis que le fait que Google numérise la biblothèque de Harvard et la
BNF appauvrissent la culture, excuse moi mais ça me paraît absurde.
C'est un peu comme de dire : faire apprendre le français au gamins
bretons du début du siècle ne peut que les ouvrir à une plus large
culture. Certes, mais ça a également détruit leur langue.
Ce ne serait pas plutôt l'interdiction de parler breton qui aurait
conduit cette langue à sa quasi extinction ?
On Fri, 09 Sep 2005 21:37:00 +0200, SL wrote:
SL <nospam@nospam.com> wrote:
Immonde est trop fort, mais j'espère que d'autres cultures que la
culture nord américaine arriveront à se doter de cet outil, et que
l'appauvrissement de la diversité culturelle ne va pas passer à une
nouvelle échelle.
Mais dit comme ça, je suis tout à fait d'accord avec toi. Si tu me
dis que le fait que Google numérise la biblothèque de Harvard et la
BNF appauvrissent la culture, excuse moi mais ça me paraît absurde.
C'est un peu comme de dire : faire apprendre le français au gamins
bretons du début du siècle ne peut que les ouvrir à une plus large
culture. Certes, mais ça a également détruit leur langue.
Ce ne serait pas plutôt l'interdiction de parler breton qui aurait
conduit cette langue à sa quasi extinction ?
On Fri, 09 Sep 2005 21:37:00 +0200, SL wrote:SL wrote:Immonde est trop fort, mais j'espère que d'autres cultures que la
culture nord américaine arriveront à se doter de cet outil, et que
l'appauvrissement de la diversité culturelle ne va pas passer à une
nouvelle échelle.
Mais dit comme ça, je suis tout à fait d'accord avec toi. Si tu me
dis que le fait que Google numérise la biblothèque de Harvard et la
BNF appauvrissent la culture, excuse moi mais ça me paraît absurde.
C'est un peu comme de dire : faire apprendre le français au gamins
bretons du début du siècle ne peut que les ouvrir à une plus large
culture. Certes, mais ça a également détruit leur langue.
Ce ne serait pas plutôt l'interdiction de parler breton qui aurait
conduit cette langue à sa quasi extinction ?
Ben oui je dis pas le contraire, l'interdiction de le parler faite au
gamin dans les écoles et l'obligation d'y apprendre et d'y parler le
français.
Ben oui je dis pas le contraire, l'interdiction de le parler faite au
gamin dans les écoles et l'obligation d'y apprendre et d'y parler le
français.
Ben oui je dis pas le contraire, l'interdiction de le parler faite au
gamin dans les écoles et l'obligation d'y apprendre et d'y parler le
français.
a l'epoque ou j'etais a la fac l'on parlait deja de rendre public les
theses via le reseau cela est il toujours d'actualite
a l'epoque ou j'etais a la fac l'on parlait deja de rendre public les
theses via le reseau cela est il toujours d'actualite
a l'epoque ou j'etais a la fac l'on parlait deja de rendre public les
theses via le reseau cela est il toujours d'actualite
Ben oui je dis pas le contraire, l'interdiction de le parler faite au
gamin dans les écoles et l'obligation d'y apprendre et d'y parler le
français.
Methodes pitoyables dignes des pires dictatures et des gouvernements les
plus barbares qui soient.
L'ENF et ses representants (mais on devrait etendre a d'autres corps
des fonctionnaires lorsque l'on etudie l'histoire de France et
l'obeissement servile de ce tas de decerebres) nous a montre dans
cet episode son veritable et haissable visage.
Ben oui je dis pas le contraire, l'interdiction de le parler faite au
gamin dans les écoles et l'obligation d'y apprendre et d'y parler le
français.
Methodes pitoyables dignes des pires dictatures et des gouvernements les
plus barbares qui soient.
L'ENF et ses representants (mais on devrait etendre a d'autres corps
des fonctionnaires lorsque l'on etudie l'histoire de France et
l'obeissement servile de ce tas de decerebres) nous a montre dans
cet episode son veritable et haissable visage.
Ben oui je dis pas le contraire, l'interdiction de le parler faite au
gamin dans les écoles et l'obligation d'y apprendre et d'y parler le
français.
Methodes pitoyables dignes des pires dictatures et des gouvernements les
plus barbares qui soient.
L'ENF et ses representants (mais on devrait etendre a d'autres corps
des fonctionnaires lorsque l'on etudie l'histoire de France et
l'obeissement servile de ce tas de decerebres) nous a montre dans
cet episode son veritable et haissable visage.
- "Work that is produced by employees of the federal government as part
of their job is in the public domain and therefore not protected by
copyright."
- "Work that is produced by employees of the federal government as part
of their job is in the public domain and therefore not protected by
copyright."
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of their job is in the public domain and therefore not protected by
copyright."