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Suse ou Redhat?

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cimetiere
Étant nouveau avec Linux, serait-ce préférable que j'utilise Suse ou Redhat?

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Daniel
http://perso.dromadaire.com/cimetiere/psychophilo.html
(mon site web est mis-à-jour!)

10 réponses

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SL

SL a parfaitement raison.


Je me serais bien passé de cet hommage.

C'est par cette méthode d'unification du langage


Je ne l'ai pas défendu.

Toi, en revanche, tu t'exprimes comme un fils de bourge


Juqu'à présent cette discussion est restée cordiale et paisible. Ce
serait sympa qu'elle le reste.

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SL

On pourrait du moins interdire l'arabe dans les cours de
récréation. Ce serai déjà cela de gagné pour ralentir le massacre de
la langue parlée (et je parle ici d'intonations et non de
vocabulaire).


Le système phonologique est ce qui est de plus stable dans une
langue. Son évolution se fait à l'échelle de siècle. Ce que vous
prenez pour une invasions d'« intonations » arabes n'est que la
progression de votre racisme.

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fda
Stephane TOUGARD wrote:
SL wrote:


Ben oui je dis pas le contraire, l'interdiction de le parler faite au
gamin dans les écoles et l'obligation d'y apprendre et d'y parler le
français.



Methodes pitoyables dignes des pires dictatures et des gouvernements les
plus barbares qui soient. L'ENF et ses representants (mais on devrait
etendre a d'autres corps des fonctionnaires lorsque l'on etudie l'histoire
de France et l'obeissement servile de ce tas de decerebres) nous a montre
dans cet episode son veritable et haissable visage.

Tiens, je me sens en forme ce soir.


Qu'est-ce que ça doit être quand tu n'y es pas :-(

SL a parfaitement raison. C'est par cette méthode d'unification du
langage que s'est faite l'unité du pays et que tout le monde a pu s'y
sentir solidaire de toute le monde, au lieu que chacun ne s'identifie
frileusement qu'à sa petite communauté régionale, religieuse ou autre.

Toi, en revanche, tu t'exprimes comme un fils de bourge qui veut
toujours à la fois le beurre et l'argent du beurre : une unité qui est
profitable à tout le monde, mais surtout pas s'en donner les moyens afin
de ne pas se salir les mains, sale boulot qu'on laissera à d'autres en
détournant le regard. c"e qui fait que tu as les mains propres, mais pas
de mains, comme on dit.


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fda
SL wrote:


Ce ne serait pas plutôt l'interdiction de parler breton qui aurait
conduit cette langue à sa quasi extinction ?



Ben oui je dis pas le contraire, l'interdiction de le parler faite au
gamin dans les écoles et l'obligation d'y apprendre et d'y parler le
français.


C'était une très bonne idée. Parce que pour ce que ça peut servir, le
Breton, sur la planète, à l'apoque des Airbus et de la part de gens qui
ne sont même pas foutus de llire du grec ou du latin, hein !

Le seul problème est qu'elle est inapplicable aujourd'hui. Il est en
effet foprt difficile de trouver des enseignants qui sachent
correctement parler ou a fortiori écrire correctement le français.

On pourrait du moins interdire l'arabe dans les cours de récréation. Ce
serai déjà cela de gagné pour ralentir le massacre de la langue parlée
(et je parle ici d'intonations et non de vocabulaire).


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fda
SL wrote:

Effectivement c'est chouette. Quand on voit les boîtes qui se créent
en France pour commercialiser du boulot payé par l'Etat


Toi, je parie que tu penses à l'INRIA et à ses spinoffs :-D


ou qu'on
propose à des prix indécents aux labos des ressources qu'ils ont eux
même contribués à créer...


Bien fait pour leur gueule : ils n'avaient qu'à mettre tout ça en GNU
GPL dès le départ (je précise GNU pour qu'on n'aille pas supposer que je
parle du gaz propane liquéfié).

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Michel Billaud
fda writes:

[interdiction du breton à l'école]

SL a parfaitement raison. C'est par cette méthode d'unification du
langage que s'est faite l'unité du pays et que tout le monde a pu s'y
sentir solidaire de toute le monde, au lieu que chacun ne s'identifie
frileusement qu'à sa petite communauté régionale, religieuse ou autre.


Faut voir aussi le contexte. En face du hussard de la république,
monsieur le curé, les bourgeois locaux et le reste de la monarchie qui
ne tenaient pas à ce que les gueux se mèlent d'apprendre le
français. Vous ne voudriez pas qu'ils fassent de la politique et deviennent
socialistes, non plus ?

Je m'étonne qu'on cite le cheval d'orgueil en larmoyant sans se rappeler
cette opposition entre blancs et rouges.

MB

--
Michel BILLAUD
LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792
351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud
33405 Talence (FRANCE)

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Michel Billaud
SL writes:

Le système phonologique est ce qui est de plus stable dans une
langue. Son évolution se fait à l'échelle de siècle.


C'est marrant, mais quand on revoit les interviews "micro trottoir"
des années 50 et 60, on constate quand même une très nette
évolution. Le manifestant de 68 (chevelu ou gaulliste, peu importe)
prononçait de façon intelligible des phrases articulées.

MB

--
Michel BILLAUD
LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792
351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud
33405 Talence (FRANCE)

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SL

SL writes:

Le système phonologique est ce qui est de plus stable dans une
langue. Son évolution se fait à l'échelle de siècle .


C'est marrant, mais quand on revoit les interviews "micro trottoir"
des années 50 et 60, on constate quand même une très nette
évolution. Le manifestant de 68 (chevelu ou gaulliste, peu importe)
prononçait de façon intelligible des phrases articulées.


Le système phonologique ce n'est psa non plus les paramètres de d ébit,
de hauteur, d'articulation, etc. Ce sont des paramètres beuacoup plus
variables en fonction du temps mais aussi du lieu, de la classe
sociale, du contexte de communication.

De plus les « chevelus » et les gaullistes des années 60 n' étaient
peut être pas de la même classe sociale que ceux uaxquels vous pe nsez
aujourdh'ui. Vos propres compétences lingusitiques (pour des raisons
de génération mais aussi d'éducation ou que sais-je) vous ra pprochent
peut être plus des chevelus des années 60 que des zyva
d'aujourd'hui. Toujours dans le même ordre d'idée on était p eut être
plus impressionné quand on était interviewé à la tà ©lé il y a 40
ans. etc., etc., etc.


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Michel Billaud
SL writes:

Le système phonologique ce n'est psa non plus les paramètres de débit,
de hauteur, d'articulation, etc. Ce sont des paramètres beuacoup plus
variables en fonction du temps mais aussi du lieu, de la classe
sociale, du contexte de communication.

De plus les « chevelus » et les gaullistes des années 60 n'étaient
peut être pas de la même classe sociale que ceux uaxquels vous pensez
aujourdh'ui.


C'était des interviews, genre msieur Michu qui sort de chez Renault,
et qui commente l'agitation environnante. L'ouvrier a perdu de son
prestige, je sais, mais quand même c'était déjà la classe du bas.


Vos propres compétences lingusitiques (pour des raisons
de génération mais aussi d'éducation ou que sais-je) vous rapprochent
peut être plus des chevelus des années 60


D'etre né à la fin des années 50, forcement.

que des zyva d'aujourd'hui.


ouais mais bon, je suis jeune depuis plus longtemps qu'eux. Ceci dit
je parle pour la populace globale, pas limitée aux acneiques du moment.

Toujours dans le même ordre d'idée on était peut être
plus impressionné quand on était interviewé à la télé il y a 40
ans. etc., etc., etc.


Etre impressionné, ça améliore rarement l'élocution et la clarté du discours.

MB

PS: un autre domaine, ça serait la comparaison de l'interview du jeune
Gainsbourg par Denise Glaser, par rapport au dernier échappé de la
Star'ac passant chez Ardisson.

--
Michel BILLAUD
LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792
351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud
33405 Talence (FRANCE)

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SL

C'était des interviews, genre msieur Michu qui sort de chez Renault,
et qui commente l'agitation environnante. L'ouvrier a perdu de son
prestige, je sais, mais quand même c'était déjà la classe du bas.


De toute façon je ne faisais que mentionner aux hasard des critères
qui montrent que ce genre de comparaisons sont difficiles à faire sans
neutraliser beaucoup de variables. Il y a aussi une évolution du genre
de l'interview (j'imagine que l'interview dans les années 50 devait
paraître la moins improvisée et la moins bordélique possible -- les
réponses étaient-elles répétées ? -- tandis qu'aujourd'hui on
recherche l'improvisé et le naturel : la sélection de l'interviewé
joue peut être ? d'ailleurs le petit robert me donne 1985 comme date
d'apparition du terme " micro-trottoir" : ce n'est pas le même "genre"
télévisuel qu'on compare).

PS: un autre domaine, ça serait la comparaison de l'interview du
jeune Gainsbourg par Denise Glaser, par rapport au dernier échappé
de la Star'ac passant chez Ardisson.


Je ne vois pas cette inverview, mais il se pourrait bien que la
qualité de l'élocution soit en faveur du second... ça dépend de l'état
de Gainsbourg...