On voit partout que plus la taille d'un capteur est grande plus il
reçoit de lumière, ça, OK, ça semble évident.
Mais on voit aussi que plus il y a de pixels, moins il y a de lumière
pour la même taille de capteur, et là il me semble y avoir un problème.
d'ailleurs Nikon avec ses d7000, d7100, d7200, d7500 a fait valser le
nombre de pixels sans que la sensibilité semble réellement modifiée.
il me semble en effet que ce qui compte c'est la quantité de lumière
reçue *dans l'image*, si chaque pixel en reçoit moins ils sont plus
nombreux et ceci compense cela.
ce qui pourrait jouer c'est l'espace perdu entre les pixels. Est-il
réellement plus grand quand on diminue un peu la taille des pixels?
Ça justifie encore plus l'usage d'un FF en faible lumière pour répondre à jdd.
sauf que c'est contredit par l'exemple...
Oui, parce que le bruit électronique est une donnée intangible, même si on arrive à la contourner plus ou moins.
dans le temps on disait qu'à cause de ca on ne ferait jamais de magnétoscope couleur...
Dans le temps "on" disait déjà des conneries. Des magnétoscopes couleur ont existé pratiquement en même temps que furent définies les normes de télévision en couleur. Effectivement, c'était de grosses machines, il en existait très peu, à tel point que l'enregistrement se faisait via faisceaux hertzien dans une ou deux cellules. Le problème technique n'était pas de l'ordre du bruit électronique mais de la stabilité en phase/fréquence des sous porteuses après lecture mécanique. Tout tournait autour du TBC (correcteur de base de temps), les premiers étaient analogiques, lignes à retard, des trucs monstrueux. Après c'est allé très vite... -- Pierre Maurette
jdd :
Le 05/01/2019 à 15:59, GhostRaider a écrit :
Ça justifie encore plus l'usage d'un FF en faible lumière pour répondre
à jdd.
sauf que c'est contredit par l'exemple...
Oui, parce que le bruit électronique est une donnée intangible, même si
on arrive à la contourner plus ou moins.
dans le temps on disait qu'à cause de ca on ne ferait jamais de magnétoscope
couleur...
Dans le temps "on" disait déjà des conneries. Des magnétoscopes couleur
ont existé pratiquement en même temps que furent définies les normes de
télévision en couleur. Effectivement, c'était de grosses machines, il
en existait très peu, à tel point que l'enregistrement se faisait via
faisceaux hertzien dans une ou deux cellules. Le problème technique
n'était pas de l'ordre du bruit électronique mais de la stabilité en
phase/fréquence des sous porteuses après lecture mécanique. Tout
tournait autour du TBC (correcteur de base de temps), les premiers
étaient analogiques, lignes à retard, des trucs monstrueux. Après c'est
allé très vite...
Ça justifie encore plus l'usage d'un FF en faible lumière pour répondre à jdd.
sauf que c'est contredit par l'exemple...
Oui, parce que le bruit électronique est une donnée intangible, même si on arrive à la contourner plus ou moins.
dans le temps on disait qu'à cause de ca on ne ferait jamais de magnétoscope couleur...
Dans le temps "on" disait déjà des conneries. Des magnétoscopes couleur ont existé pratiquement en même temps que furent définies les normes de télévision en couleur. Effectivement, c'était de grosses machines, il en existait très peu, à tel point que l'enregistrement se faisait via faisceaux hertzien dans une ou deux cellules. Le problème technique n'était pas de l'ordre du bruit électronique mais de la stabilité en phase/fréquence des sous porteuses après lecture mécanique. Tout tournait autour du TBC (correcteur de base de temps), les premiers étaient analogiques, lignes à retard, des trucs monstrueux. Après c'est allé très vite... -- Pierre Maurette
jdd
Le 05/01/2019 à 18:32, Benoit a écrit :
Il parle de magnétoscope, d'enregistrement de trois signaux sur une bande magnétique.
déjà on a pas tout de suite pensé à l'enregistrement diagonal sur la bande, puis ensuite on a trouvé ça: http://www.labguysworld.com/Akai_VT-100_Adv_001.jpg assez léger (relativement) et tout à fait monochrome, bien trop cher pour moi :-( jdd -- http://dodin.org
Le 05/01/2019 à 18:32, Benoit a écrit :
Il parle de magnétoscope, d'enregistrement de trois signaux sur une
bande magnétique.
déjà on a pas tout de suite pensé à l'enregistrement diagonal sur la
bande, puis ensuite on a trouvé ça:
Il parle de magnétoscope, d'enregistrement de trois signaux sur une bande magnétique.
déjà on a pas tout de suite pensé à l'enregistrement diagonal sur la bande, puis ensuite on a trouvé ça: http://www.labguysworld.com/Akai_VT-100_Adv_001.jpg assez léger (relativement) et tout à fait monochrome, bien trop cher pour moi :-( jdd -- http://dodin.org
benoit
jdd wrote:
Le 05/01/2019 à 18:32, Benoit a écrit :
Il parle de magnétoscope, d'enregistrement de trois signaux sur une bande magnétique.
déjà on a pas tout de suite pensé à l'enregistrement diagonal sur la bande, puis ensuite on a trouvé ça:
Quel est l'intérêt de la diagonale ? Avoir une piste plus longue et donc pouvoir enregistrer plus longtemps. Maintenant, si j'utilise des pistes plus larges, la superficie sera la même, mais ce n'as pas été le choix du marché. Pourquoi ? Je n'en sais rien.
http://www.labguysworld.com/Akai_VT-100_Adv_001.jpg assez léger (relativement) et tout à fait monochrome, bien trop cher pour moi :-(
:-D -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
jdd <jdd@dodin.org> wrote:
Le 05/01/2019 à 18:32, Benoit a écrit :
> Il parle de magnétoscope, d'enregistrement de trois signaux sur une
> bande magnétique.
>
déjà on a pas tout de suite pensé à l'enregistrement diagonal sur la
bande, puis ensuite on a trouvé ça:
Quel est l'intérêt de la diagonale ? Avoir une piste plus longue et donc
pouvoir enregistrer plus longtemps. Maintenant, si j'utilise des pistes
plus larges, la superficie sera la même, mais ce n'as pas été le choix
du marché. Pourquoi ? Je n'en sais rien.
Il parle de magnétoscope, d'enregistrement de trois signaux sur une bande magnétique.
déjà on a pas tout de suite pensé à l'enregistrement diagonal sur la bande, puis ensuite on a trouvé ça:
Quel est l'intérêt de la diagonale ? Avoir une piste plus longue et donc pouvoir enregistrer plus longtemps. Maintenant, si j'utilise des pistes plus larges, la superficie sera la même, mais ce n'as pas été le choix du marché. Pourquoi ? Je n'en sais rien.
http://www.labguysworld.com/Akai_VT-100_Adv_001.jpg assez léger (relativement) et tout à fait monochrome, bien trop cher pour moi :-(
:-D -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
jdd
Le 05/01/2019 à 20:34, Benoit a écrit :
Quel est l'intérêt de la diagonale ? Avoir une piste plus longue et donc pouvoir enregistrer plus longtemps.
non, pouvoir enregistrer plus vite pour passer plus de fréquence. Il y a une limite à la vitesse de la bande, par contre la tête rotative tourne très vite. la piste elle même est assez étroite (il suffit de regarder la largeur de la tête) jdd -- http://dodin.org
Le 05/01/2019 à 20:34, Benoit a écrit :
Quel est l'intérêt de la diagonale ? Avoir une piste plus longue et donc
pouvoir enregistrer plus longtemps.
non, pouvoir enregistrer plus vite pour passer plus de fréquence. Il y a
une limite à la vitesse de la bande, par contre la tête rotative tourne
très vite.
la piste elle même est assez étroite (il suffit de regarder la largeur
de la tête)
Quel est l'intérêt de la diagonale ? Avoir une piste plus longue et donc pouvoir enregistrer plus longtemps.
non, pouvoir enregistrer plus vite pour passer plus de fréquence. Il y a une limite à la vitesse de la bande, par contre la tête rotative tourne très vite. la piste elle même est assez étroite (il suffit de regarder la largeur de la tête) jdd -- http://dodin.org
jdd
Le 05/01/2019 à 23:41, René a écrit :
Heu.. sauf il me semble que pour avoir des réglages photographiques identiques (pour une scène données même f, même vitesse, même iso) il faut non pas changer l'iso mais amplifier le signal.
il me semble que l'iso c'est exactement ça, non? ou alors tu veux dire amplifier *avant* le capteur? jdd -- http://dodin.org
Le 05/01/2019 à 23:41, René a écrit :
Heu.. sauf il me semble que pour avoir des réglages photographiques identiques
(pour une scène données même f, même vitesse, même iso) il faut non pas
changer l'iso mais amplifier le signal.
il me semble que l'iso c'est exactement ça, non?
ou alors tu veux dire amplifier *avant* le capteur?
Heu.. sauf il me semble que pour avoir des réglages photographiques identiques (pour une scène données même f, même vitesse, même iso) il faut non pas changer l'iso mais amplifier le signal.
il me semble que l'iso c'est exactement ça, non? ou alors tu veux dire amplifier *avant* le capteur? jdd -- http://dodin.org
Jacques DASSIÉ
Nul a pensé très fort :
Le vendredi 4 janvier 2019 20:22:22 UTC+1, Jean-Daniel Dodin a écrit :
Bonsoir, On voit partout que plus la taille d'un capteur est grande plus il reçoit de lumière, ça, OK, ça semble évident. Mais on voit aussi que plus il y a de pixels, moins il y a de lumière pour la même taille de capteur, et là il me semble y avoir un problème.
Le problème est mal posé ! Ce qui compte, c'est la quantité de photons incidents PAR PIXEL.
Autrement dit, la quantité de lumière reçue par mm² ou micron sera toujours égale peu importe la grandeur de surface.
Même confusion. On se fout de la quantité de lumière par unité de surface ! Ce qui compte, c'est la quantité de lumière (photons) recue par l'unité de réception : le pixel ! Car c'est elle qui va commander le signal de sortie du pixel, brique élémentaire avant traitement (et application du réglage de sensibilité). -- Jacques DASSIÉ Toujours sçavoir plus http://archaero.com/
Nul a pensé très fort :
Le vendredi 4 janvier 2019 20:22:22 UTC+1, Jean-Daniel Dodin a écrit :
Bonsoir,
On voit partout que plus la taille d'un capteur est grande plus il
reçoit de lumière, ça, OK, ça semble évident.
Mais on voit aussi que plus il y a de pixels, moins il y a de lumière
pour la même taille de capteur, et là il me semble y avoir un problème.
Le problème est mal posé ! Ce qui compte, c'est la quantité de photons
incidents PAR PIXEL.
Autrement dit, la quantité de lumière reçue par mm² ou micron sera
toujours égale peu importe la grandeur de surface.
Même confusion. On se fout de la quantité de lumière par unité de
surface ! Ce qui compte, c'est la quantité de lumière (photons) recue
par l'unité de réception : le pixel !
Car c'est elle qui va commander le signal de sortie du pixel, brique
élémentaire avant traitement (et application du réglage de
sensibilité).
--
Jacques DASSIÉ
Toujours sçavoir plus
http://archaero.com/
Le vendredi 4 janvier 2019 20:22:22 UTC+1, Jean-Daniel Dodin a écrit :
Bonsoir, On voit partout que plus la taille d'un capteur est grande plus il reçoit de lumière, ça, OK, ça semble évident. Mais on voit aussi que plus il y a de pixels, moins il y a de lumière pour la même taille de capteur, et là il me semble y avoir un problème.
Le problème est mal posé ! Ce qui compte, c'est la quantité de photons incidents PAR PIXEL.
Autrement dit, la quantité de lumière reçue par mm² ou micron sera toujours égale peu importe la grandeur de surface.
Même confusion. On se fout de la quantité de lumière par unité de surface ! Ce qui compte, c'est la quantité de lumière (photons) recue par l'unité de réception : le pixel ! Car c'est elle qui va commander le signal de sortie du pixel, brique élémentaire avant traitement (et application du réglage de sensibilité). -- Jacques DASSIÉ Toujours sçavoir plus http://archaero.com/
jdd
Le 06/01/2019 à 08:24, Jacques DASSIÉ a écrit :
Même confusion. On se fout de la quantité de lumière par unité de surface ! Ce qui compte, c'est la quantité de lumière (photons) recue par l'unité de réception : le pixel !
mais elle dépends bien de la surface exposée à la lumière... la seule variable que je conçois c'est le ratio surface utile / surface perdue (pistes de liaison, découpes, que sais-je :-) qui peut (?) augmenter ou diminuer avec le nombre de pixels jdd -- http://dodin.org
Le 06/01/2019 à 08:24, Jacques DASSIÉ a écrit :
Même confusion. On se fout de la quantité de lumière par unité de
surface ! Ce qui compte, c'est la quantité de lumière (photons) recue
par l'unité de réception : le pixel !
mais elle dépends bien de la surface exposée à la lumière...
la seule variable que je conçois c'est le ratio surface utile / surface
perdue (pistes de liaison, découpes, que sais-je :-) qui peut (?)
augmenter ou diminuer avec le nombre de pixels
Même confusion. On se fout de la quantité de lumière par unité de surface ! Ce qui compte, c'est la quantité de lumière (photons) recue par l'unité de réception : le pixel !
mais elle dépends bien de la surface exposée à la lumière... la seule variable que je conçois c'est le ratio surface utile / surface perdue (pistes de liaison, découpes, que sais-je :-) qui peut (?) augmenter ou diminuer avec le nombre de pixels jdd -- http://dodin.org
Jacques DASSIÉ
Dans son message précédent, jdd a écrit :
Le 06/01/2019 à 08:24, Jacques DASSIÉ a écrit :
Même confusion. On se fout de la quantité de lumière par unité de surface ! Ce qui compte, c'est la quantité de lumière (photons) recue par l'unité de réception : le pixel !
mais elle dépends bien de la surface exposée à la lumière...
Indirectement, elle dépend seulement de l'exposition du pixel, en Lux x secondes. Mais les Lux par pixels, je te l'accorde, dépendent bien, entre-autres, du système otique, de la surface sur laquelle est projetée l'image et du nombre de pixels.
la seule variable que je conçois c'est le ratio surface utile / surface perdue (pistes de liaison, découpes, que sais-je :-) qui peut (?) augmenter ou diminuer avec le nombre de pixels
Lui-même fonction de la surface et de la taille unitaire de l'élément photo-sensible, donc également de la taille des cloisons inter-pixels... Ah, ce n'est pas tout simple, et il convient de se méfier des assimilations simplistes. -- Jacques DASSIÉ Toujours sçavoir plus http://archaero.com/
Dans son message précédent, jdd a écrit :
Le 06/01/2019 à 08:24, Jacques DASSIÉ a écrit :
Même confusion. On se fout de la quantité de lumière par unité de
surface ! Ce qui compte, c'est la quantité de lumière (photons) recue
par l'unité de réception : le pixel !
mais elle dépends bien de la surface exposée à la lumière...
Indirectement, elle dépend seulement de l'exposition du pixel, en Lux x
secondes.
Mais les Lux par pixels, je te l'accorde, dépendent bien, entre-autres,
du système otique, de la surface sur laquelle est projetée l'image et
du nombre de pixels.
la seule variable que je conçois c'est le ratio surface utile / surface
perdue (pistes de liaison, découpes, que sais-je :-) qui peut (?) augmenter
ou diminuer avec le nombre de pixels
Lui-même fonction de la surface et de la taille unitaire de l'élément
photo-sensible, donc également de la taille des cloisons
inter-pixels...
Ah, ce n'est pas tout simple, et il convient de se méfier des
assimilations simplistes.
--
Jacques DASSIÉ
Toujours sçavoir plus
http://archaero.com/
Même confusion. On se fout de la quantité de lumière par unité de surface ! Ce qui compte, c'est la quantité de lumière (photons) recue par l'unité de réception : le pixel !
mais elle dépends bien de la surface exposée à la lumière...
Indirectement, elle dépend seulement de l'exposition du pixel, en Lux x secondes. Mais les Lux par pixels, je te l'accorde, dépendent bien, entre-autres, du système otique, de la surface sur laquelle est projetée l'image et du nombre de pixels.
la seule variable que je conçois c'est le ratio surface utile / surface perdue (pistes de liaison, découpes, que sais-je :-) qui peut (?) augmenter ou diminuer avec le nombre de pixels
Lui-même fonction de la surface et de la taille unitaire de l'élément photo-sensible, donc également de la taille des cloisons inter-pixels... Ah, ce n'est pas tout simple, et il convient de se méfier des assimilations simplistes. -- Jacques DASSIÉ Toujours sçavoir plus http://archaero.com/
jdd
Le 06/01/2019 à 10:37, René a écrit :
Que fait le fabricant pour que son APN donne une image conforme au triplet de mon posemètre? Il amplifie le signal. Avant, pendant ou après la pose? Je ne sais pas. Mais je ne doute pas que le mieux est une amplification minimum.
il y a *toujours* un traitement électronique (câblé) et informatique (micro logiciel), amplification suppose qu'on ai déjà quelque chose avant, là on *regroupe* différents éléments (tensions, courant, les deux à la fois) en sortie de l'élément sensible. Ca dépends sûrement du capteur. ensuite, il faut différentier le signal et le *bruit*. Quel bruit? Le bruit thermique en relation avec la température du capteur, le bruit optique du aux défauts des optiques, les poussières, les parasites... donc en sortie de capteur, *avant* le logiciel de traitement d'image de l'appareil, donc *avant* le raw, il se passe des choses que seuls Mr Canon, Nikon, Sony ou autres connaissent... et ce qu'ils en disent doit être pris avec des pincettes, les infos officielles étant souvent trafiquées pour tromper la concurrence... jdd -- http://dodin.org
Le 06/01/2019 à 10:37, René a écrit :
Que fait le fabricant pour que son APN donne une image conforme au triplet
de mon posemètre? Il amplifie le signal. Avant, pendant ou après la pose?
Je ne sais pas. Mais je ne doute pas que le mieux est une amplification minimum.
il y a *toujours* un traitement électronique (câblé) et informatique
(micro logiciel), amplification suppose qu'on ai déjà quelque chose
avant, là on *regroupe* différents éléments (tensions, courant, les deux
à la fois) en sortie de l'élément sensible. Ca dépends sûrement du capteur.
ensuite, il faut différentier le signal et le *bruit*. Quel bruit? Le
bruit thermique en relation avec la température du capteur, le bruit
optique du aux défauts des optiques, les poussières, les parasites...
donc en sortie de capteur, *avant* le logiciel de traitement d'image de
l'appareil, donc *avant* le raw, il se passe des choses que seuls Mr
Canon, Nikon, Sony ou autres connaissent... et ce qu'ils en disent doit
être pris avec des pincettes, les infos officielles étant souvent
trafiquées pour tromper la concurrence...
Que fait le fabricant pour que son APN donne une image conforme au triplet de mon posemètre? Il amplifie le signal. Avant, pendant ou après la pose? Je ne sais pas. Mais je ne doute pas que le mieux est une amplification minimum.
il y a *toujours* un traitement électronique (câblé) et informatique (micro logiciel), amplification suppose qu'on ai déjà quelque chose avant, là on *regroupe* différents éléments (tensions, courant, les deux à la fois) en sortie de l'élément sensible. Ca dépends sûrement du capteur. ensuite, il faut différentier le signal et le *bruit*. Quel bruit? Le bruit thermique en relation avec la température du capteur, le bruit optique du aux défauts des optiques, les poussières, les parasites... donc en sortie de capteur, *avant* le logiciel de traitement d'image de l'appareil, donc *avant* le raw, il se passe des choses que seuls Mr Canon, Nikon, Sony ou autres connaissent... et ce qu'ils en disent doit être pris avec des pincettes, les infos officielles étant souvent trafiquées pour tromper la concurrence... jdd -- http://dodin.org
GhostRaider
Le 06/01/2019 à 11:08, jdd a écrit :
Le 06/01/2019 à 10:37, René a écrit :
Que fait le fabricant pour que son APN donne une image conforme au triplet de mon posemètre? Il amplifie le signal. Avant, pendant ou après la pose? Je ne sais pas. Mais je ne doute pas que le mieux est une amplification minimum.
il y a *toujours* un traitement électronique (câblé) et informatique (micro logiciel), amplification suppose qu'on ai déjà quelque chose avant, là on *regroupe* différents éléments (tensions, courant, les deux à la fois) en sortie de l'élément sensible. Ca dépends sûrement du capteur. ensuite, il faut différentier le signal et le *bruit*. Quel bruit? Le bruit thermique en relation avec la température du capteur, le bruit optique du aux défauts des optiques, les poussières, les parasites... donc en sortie de capteur, *avant* le logiciel de traitement d'image de l'appareil, donc *avant* le raw, il se passe des choses que seuls Mr Canon, Nikon, Sony ou autres connaissent... et ce qu'ils en disent doit être pris avec des pincettes, les infos officielles étant souvent trafiquées pour tromper la concurrence...
La seule information extérieure qu'on possède, c'est que les Canon sont préférés aux Nikon en photo astro, parce que les RAW Nikon sont plus modifiés que les RAW Canon.
Le 06/01/2019 à 11:08, jdd a écrit :
Le 06/01/2019 à 10:37, René a écrit :
Que fait le fabricant pour que son APN donne une image conforme au triplet
de mon posemètre? Il amplifie le signal. Avant, pendant ou après la pose?
Je ne sais pas. Mais je ne doute pas que le mieux est une amplification minimum.
il y a *toujours* un traitement électronique (câblé) et informatique
(micro logiciel), amplification suppose qu'on ai déjà quelque chose
avant, là on *regroupe* différents éléments (tensions, courant, les deux
à la fois) en sortie de l'élément sensible. Ca dépends sûrement du capteur.
ensuite, il faut différentier le signal et le *bruit*. Quel bruit? Le
bruit thermique en relation avec la température du capteur, le bruit
optique du aux défauts des optiques, les poussières, les parasites...
donc en sortie de capteur, *avant* le logiciel de traitement d'image de
l'appareil, donc *avant* le raw, il se passe des choses que seuls Mr
Canon, Nikon, Sony ou autres connaissent... et ce qu'ils en disent doit
être pris avec des pincettes, les infos officielles étant souvent
trafiquées pour tromper la concurrence...
La seule information extérieure qu'on possède, c'est que les Canon sont
préférés aux Nikon en photo astro, parce que les RAW Nikon sont plus
modifiés que les RAW Canon.
Que fait le fabricant pour que son APN donne une image conforme au triplet de mon posemètre? Il amplifie le signal. Avant, pendant ou après la pose? Je ne sais pas. Mais je ne doute pas que le mieux est une amplification minimum.
il y a *toujours* un traitement électronique (câblé) et informatique (micro logiciel), amplification suppose qu'on ai déjà quelque chose avant, là on *regroupe* différents éléments (tensions, courant, les deux à la fois) en sortie de l'élément sensible. Ca dépends sûrement du capteur. ensuite, il faut différentier le signal et le *bruit*. Quel bruit? Le bruit thermique en relation avec la température du capteur, le bruit optique du aux défauts des optiques, les poussières, les parasites... donc en sortie de capteur, *avant* le logiciel de traitement d'image de l'appareil, donc *avant* le raw, il se passe des choses que seuls Mr Canon, Nikon, Sony ou autres connaissent... et ce qu'ils en disent doit être pris avec des pincettes, les infos officielles étant souvent trafiquées pour tromper la concurrence...
La seule information extérieure qu'on possède, c'est que les Canon sont préférés aux Nikon en photo astro, parce que les RAW Nikon sont plus modifiés que les RAW Canon.