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Traduction de l'article de B.Perens sur le code montré par SCO

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Xavier Brochard
J'ai traduit l'article de B.Perens
sur le code montré par SCO à LasVegas.
C'est la version du 20/08,
pas la nouvelle (plus intéressante)
qu'il vient de mettre en ligne (traduc en cours).

Traduction
http://www.alternatif.org/BrucePerens/SCOCopiedCodeFR.html

Version originale
http://perens.com/Articles/SCOCopiedCode.html

Nouvelle version de Bruce Perens
http://www.perens.com/SCO/SCOSlideShow.html

Bonnes lectures

10 réponses

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Stephane TOUGARD
wrote:
Bien j'ai pris cet exemple exprés en supposant bien sûr que l'optimiseur était
compilé par l'utilisateur final en un seul objet incluant gcc. Ce sujet a été
discuté maintes fois sur les newsgroups de discussion GNU et la conclusion
a toujours été que dans ce cas, l'optimiseur dérive de gcc, donc doit être
sous GPL.


Ben oui, c'est un peu evident puisque tu es alors dans le meme cas que
l'utilisation d'une librairie, c'est a dire que ton programme n'est rien
sans le programme GPL en soit et qu'il n'est pas autonome.

Mais encore une fois, je n'agirais pas comme ca dans ton cas et
contourner la GPL n'est pas vraiment complique.

Or regarde bien le cas de JFS ou de XFS, c'est exactement pareil, IBM
a beau avoir écrit 100% des lignes de JFS et SGI 100% des lignes de XFS,
il n'en reste pas moins que tu dois les compiler avec le reste du noyau
pour faire un programme fonctionnel qui puisse les faire marcher, donc
avec le même argument, c'est une dérivation.


Oui, bien sur. D'ailleurs dans le cadre de la GPL, ca en fait du code
sous GPL. Mais nous ignorons tout des regles du jeu entre IBM ou SGI et
SCO. Au risque de me repeter, si ces societes ont signe un accord qui
dit que tout code derive est sous copyright de SCO, qu'ils ont ensuite
distribue le dit code sous un copyright incompatible. Alors ils ont fait
une GROSSE connerie et SCO a entierement raison.

Personne ne met en doute le fait que JFS ou XFS soit un travail derive
d'Unix, le tout est de savoir si ce fait donne des droits particulier a
SCO ou non.

Dans les faits, on ne sait pas grand chose, on ne connait meme pas le
contenu de la license Unix qui fut cedee a IBM ou SGI. On n'en connait
meme pas les clauses, on ne sait meme pas sur quel code s'appuie SCO a
deux trois exemples qui sont presques dans le domaine public.

Tu me dis que SCO a mis les sources de l'Unix historique dans le domaine
public, ce qui est vrai. Ca n'enlève rien au fait que quand IBM a créé
JFS, c'était un dérivé d'Unix, donc SCO a des droits dessus, et SCO n'a
pas mis JFS dans le domaine public. En poussant des arguments à la con
indéfiniment, on peut toujours justifier absolument n'importe quoi. Le point
est qu'ici, ton opinion ou la mienne n'a aucune importance, tout ce qui compte
c'est ce qu'un juge qui n'y connait rien peut décider aprés avoir écouté les
laius d'un tas d'avocats s'entendant à noyer tous les poissons, et avoir
étendu de manière plus ou moins farfelue des analogies avec des précédents
(on est aux USA). Bref, l'incertitude la plus totale plane sur la décision
finale.


SCO a des droits si c'etait defini ainsi des le debut et nous perdrons
un noyau Unix Libre si tel est le cas. Vu ce que represente le noyau
dans un systeme Unix global, ce n'est pas techniquement insurmontable et
les BSD seront toujours la pour sauver les meubles.

Je doute qu'un juge qui n'y connait rien prenne une decision a la
legere, il s'agit d'IBM en face, IBM a des moyens TRES convaincants qui
fait que si ils perdent un proces, c'est qu'ils n'avaient AUCUNE chance
de le gagner.


Non elles ne sont absolument pas claires, parceque personne ne sait ce qu'est
un logiciel dérivé. Tu peux avoir une infinité de cas de figures entre le cas
où on utilise 95% du logiciel précédent et on ajoute 5% de contribution
(auquel cas intuitivement tout le monde dira qu'il y a dérivation) et le cas
opposé où 5% de saloperies GNU prétendent teinter 95% de contributions
originales (cas typique de readline) où c'est beaucoup plus vaseux, sans
parler des fichiers de headers, des API's etc. Si tu réfléchis, il n'y a pas de


Ce n'est pas vaseux. Si tu ne veux pas que 5% de code constitue par la
readline teinte 95% de ton code en GPL, ben tu n'utilises pas la
readline et point barre. Apres tout, personne ne t'oblige a utiliser une
librairie GPL (il existe des librairies LGPL qui ne presentent pas ce
danger) et personne ne t'oblige a faire du copier coller ou a linker ton
code avec un code GPL.

Bref, si tu ecris un file system qui n'a d'autre choix que d'etre linke
au noyau de facon a ce qu'il en devient un derive et se retrouve teinte
de sa license (ce qui est deja contournable), ben tu ne portes pas ce
file system sous Linux et puis c'est tout.

moyen sensé de placer une ligne de démarcation claire entre dérivation et
non dérivation, qui ne tombe sous des critiques évidentes dans tel ou tel cas
biscornu. A partir de là cette notion est éminemment dangereuse, ne serait
ce que à cause de l'incertitude et de l'imprévisibilité qu'elle introduit.
L'action SCO contre IBM est exactement le retour de bâton auquel il fallait
s'attendre aprés le flot de conneries que la FSF et Stallmann ont déversé
sur le pauvre monde.


Sans le dit Stallman, tu ne l'aurais meme pas ton Gcc pour ecrire un
optimiseur. Le dit Stallman est auteur de logiciels et propose un moyen
a d'autres auteurs de proteger leurs oeuvres. Sans ces auteurs, tu
n'aurais meme pas le code qu'ils pondent. Leur desir : que tu ne te
serves pas de ce code a ta guise mais selon des regles precises qui ne
sont pas pires que les license de SUN, Microsoft ou HP. Il est quand
meme de leur choix de decider ce que tu peux faire ou non de leur
travail.

SCO a raison si des le debut les regles ont ete fixees comme il le
fallait et qu'IBM ou SGI n'ont pas respectees ces regles (ca nous
apprendra a faire confiance a des grandes firmes et il va falloir
ressortir nos 2.0 ou 2.2). SCO n'a pas raison si il a distribue lui meme
un code sous une license Libre et qu'il a ensuite change les regles du
jeu. Il n'y a pas a tergiverser sur la notion de travail derive et
autres delires de ce genre.


--
Stephane TOUGARD

Unix et programmation - http://www.unices.org
Stations Unix en occasions. - http://yellow.epernon.net

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Stephane TOUGARD
Olivier Gutknecht wrote:

Si un super-optimisateur n'est pas en train d'échanger des 'structures
de données internes complexes' avec un frontend ou un backend de
compilateur, je me demande bien ce que ça peut couvrir comme cas. Tu es
en train d'essayer de contourner la GPL, là :-)


Exact. Bon, ben ca veut dire qu'il faudrait jouer serre pour contourner
la GPL. Par exemple, dans son cas il precise que l'optimiseur pourrait
fonctionner avec un autre compilo que Gcc, je presume que si c'est avec
le meme protocole, alors le dit protocole peut etre considere comme
standard et donc que la license ne s'applique pas.

Tout le monde interprète la GPL principalement par l'angle du link
statique, parce que c'est effectivement un cas où elle est sans
ambiguïté, mais -rien- dans la GPL la cantonne à ce domaine. Je suis
complètement d'accord avec l'analyse de Michel. Relis la GPL et sa FAQ,
les choses sont loin d'être en noir et blanc.


J'ai certe vu des cas ou la GPL etait ambigue (utilisation du module
GDBM_File en Perl par exemple, alors que DB_File est tres clair sur ce
point).

Cependant, il me parait evident qu'il est assez simple de ne pas se
faire pieger par la GPL et pour cela, il suffit de ne pas provoquer
d'interdependance avec du code ou des programmes GPL.

Je sais que si j'ecris un programme en C utilisant la libc et la libc
seulement, que ce programme ne depend pas d'un programme GPL en
particulier, n'est lie a aucune librairie GPL (ce qui est simple a
verifier), qu'il ne reprend aucun code GPL, alors ce programme n'a
AUCUNE raison d'etre sous GPL. Maintenant, si parce que ce programme
necessite un systeme Unix pour tourner alors s'il peut etre considere
comme un derive appartenant a SCO, faut me prevenir maintenant, parce
que je vais commencer a etudier autre chose que les systemes Unix.

Enfin, je vais passer sous BSD, au moins la, on a un proces pour valider
que SCO ne peut rien reprendre dessus, ce n'est pas assez connu pour
qu'IBM ou SGI viennent mettre leur sales pattes dedans et ca marche peut
etre pas aussi fort, mais c'est quand meme pas mal.


--
Stephane TOUGARD

Unix et programmation - http://www.unices.org
Stations Unix en occasions. - http://yellow.epernon.net

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Emmanuel Florac
Dans article ,
disait...

Tu as oublie de quoter 3 lignes au dessus, et tu as mal compris ce qu'il
a dit. Il parle de compiler ensemble les sources de JFS et du noyau,
pour donner un seul programme.



Bon, entendu. Cependant le contrat entre IBM et AT&T excluait clairement
la clause disant qu'AT&T avait des droits sur toute extension d'Unix par
IBM. Au contraire, le contrat stipule clairement que les ajouts d'IBM à
Unix appartiennent uniquement à IBM.
Pour le contrat liant AT&T et SGI, je ne sais pas, la situation était
certainement différente, IBM parlait d'égal à égal (quasiment) avec AT&T,
par contre à l'époque où SGI a démarré (1982) c'était une startup (ils
fournissaient un Unix System V pour M68000 à peine customisé), et ce
n'était quand même pas IBM en 1987 quand ils ont commencé le
développement de leur propre OS.

--
Ne pas savoir de quoi on parle est un avantage dont il ne faut pas
abuser.
Régis Debray.

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Emmanuel Florac
Dans article ,
disait...

Bref, si tu ecris un file system qui n'a d'autre choix que d'etre linke
au noyau de facon a ce qu'il en devient un derive et se retrouve teinte
de sa license (ce qui est deja contournable), ben tu ne portes pas ce
file system sous Linux et puis c'est tout.



De totue façon il existe des drivers propriétaires sous Linux, je ne vois
pas pourquoi on ne pourrait pas intégrer un driver VFS proprio... Il n'y
a aucune nécessité que le code de JFS (ou autre) soit GPL.

--
Quis, quid, ubi, quibus auxiliis, cur, quomodo, quando?

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Richard Delorme

J'ai traduit l'article de B.Perens
sur le code montré par SCO à LasVegas.
C'est la version du 20/08,
pas la nouvelle (plus intéressante)
qu'il vient de mettre en ligne (traduc en cours).

Traduction
http://www.alternatif.org/BrucePerens/SCOCopiedCodeFR.html

Version originale
http://perens.com/Articles/SCOCopiedCode.html

Nouvelle version de Bruce Perens
http://www.perens.com/SCO/SCOSlideShow.html



Voici d'autres explications, en partie contradictoire avec celle de Bruce
Perens, sur l'origine de ce code « volé » à SCO :

Une analyse d'Eric Raymond :
http://www.catb.org/~esr/writings/smoking-fizzle.html

Une analyse de Greg Lehey :
http://www.lemis.com/grog/SCO/code-comparison.html

--
Richard

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Pablo Saratxaga
Kaixo!
Li Thu, 21 Aug 2003 21:09:50 +0000 (UTC),
scrijheut:

tljf> Or regarde bien le cas de JFS ou de XFS, c'est exactement pareil, IBM
tljf> a beau avoir écrit 100% des lignes de JFS et SGI 100% des lignes de XFS,
tljf> il n'en reste pas moins que tu dois les compiler avec le reste du noyau
tljf> pour faire un programme fonctionnel qui puisse les faire marcher, donc
tljf> avec le même argument, c'est une dérivation.

Ben oui, le noyau linux avec support jfs (respectivemment xfs) est une
dérivation du noyau linux sans ce support.
Le noyau linux étant sous licence GPL, la derivation l'est aussi; et donc
le code fs (xfs) dans le noyau linux est sous GPL.
C'est d'ailleurs écrit noir sur blanc (enfin, ça depends de la configuration
des couleurs du xterm :) ), par exemple les 6 premières lignes
du fichier fs/jfs/file.c du noyau disent ceci:

/*
* Copyright (c) International Business Machines Corp., 2000-2002
* Portions Copyright (c) Christoph Hellwig, 2001-2002
*
* This program is free software; you can redistribute it and/or modify
* it under the terms of the GNU General Public License as published by



Maintenant, la difference avec SCO c'est que ni la FSF ni Linus Torvalds
ne pretendent être les proprietaires du code à la place d'IBM. Et IBM,
en tant que proprietaire, a toujours le droit de faire ce qu'il veut
de son code (mais de son code uniquemment, il ne peut pas s'approprier
des modificatiosn faites par d'autres sur le code JFS du noyau linux
ou derivés de la version GPL du code JFS).

tljf> Tu me dis que SCO a mis les sources de l'Unix historique dans le domaine
tljf> public, ce qui est vrai. Ca n'enlève rien au fait que quand IBM a créé
tljf> JFS, c'était un dérivé d'Unix, donc SCO a des droits dessus,

ça c'est ce que SCO dit. Je doute fortemment que ça aie une quelconque
validité.

tljf> et SCO n'a pas mis JFS dans le domaine public.

Ni SCO ni personne à ma connaissance.
IBM a par contre a fait une version GPL pour pouvoir l'utiliser
dans le noyau linux.


--
Ki ça vos våye bén,
Pablo Saratxaga

Tempete en novembre,
Temps a chier en decembre.
Avatar
Emmanuel Florac
Dans article <bi573n$jql$,
disait...
Suppose inversement que j'admette que dans un tel cas il n'y a pas
dérivation. Rien ne m'empêche alors de créér un produit propriétaire, sans
donner le code source, et en faisant payer fort cher le binaire, que le client
devra lier lui même avec le code GNU pour obtenir un produit fonctionnel.


Comme les drivers nVidia, par exemple?

... Mais alors dans cette logique, on est
obligés de dire que l'argument de SCO n'est pas sans fondement, puisque l'Unix
d'origine était distribué avec une clause virale analogue à celle de GPL.


Il n'est pas sans fondement si on lit la licence d'Unix, il n'est nul
besoin de comparer à la GPL pour ça...

Mon opinion est que la clause virale est scandaleuse, et qu'elle consiste
en une appropriation et un vol du travail d'autrui.


Dans le cas de la licence Unix, elle est certainement assez
innacceptable. Mais il faut se replacer dans le contexte de l'époque :
AT&T n'avait pas le droit de vendre Unix, et l'accord prindipal était
avec l'Université de Berkeley. Donc on était dans un cadre relativement
ouvert, ou a priori personne ne gagnait vraiment d'argent sur le dos du
voisin.

Tu le vois avec évidence
dans l'action en justice de SCO, mais tes yeux restent fermés devant la chose
exactement identique que prétend la FSF.



Non, parce que la licence Unix est devenue manifestement scandaleuse
après la création d'USL et l'exploitation commerciale de l'OS, pas avant.
Par ailleurs la GPL ne t'oblige à rien de plus que ce que t'a fourni
celui dont tu utilises le code, c'est pour ça que c'est la meilleure
licence de la galaxie.

--
Quis, quid, ubi, quibus auxiliis, cur, quomodo, quando?

Avatar
talon
Emmanuel Florac wrote:
Dans article <bi573n$jql$,
disait...
Suppose inversement que j'admette que dans un tel cas il n'y a pas
dérivation. Rien ne m'empêche alors de créér un produit propriétaire, sans
donner le code source, et en faisant payer fort cher le binaire, que le client
devra lier lui même avec le code GNU pour obtenir un produit fonctionnel.


Comme les drivers nVidia, par exemple?


Absolument. La FSF s'opposerait certainement à une chose similaire pour
des plugins de gcc.

Mon opinion est que la clause virale est scandaleuse, et qu'elle consiste
en une appropriation et un vol du travail d'autrui.


Dans le cas de la licence Unix, elle est certainement assez
innacceptable. Mais il faut se replacer dans le contexte de l'époque :
AT&T n'avait pas le droit de vendre Unix, et l'accord prindipal était
avec l'Université de Berkeley. Donc on était dans un cadre relativement
ouvert, ou a priori personne ne gagnait vraiment d'argent sur le dos du
voisin.


Tu veux rire. J'ai relu le jugement ATT contre Berkeley, qui est d'ailleurs
trés intéressant, vu que le juge discute un grand nombre de points de droit
avant de refuser de délivrer un référé à ATT, et on apprend que ATT en était
venu à faire payer 100 000 $ la licence Unix (avec source), alors que 90%
du code venait de Berkeley.

Tu le vois avec évidence
dans l'action en justice de SCO, mais tes yeux restent fermés devant la chose
exactement identique que prétend la FSF.



Non, parce que la licence Unix est devenue manifestement scandaleuse
après la création d'USL et l'exploitation commerciale de l'OS, pas avant.
Par ailleurs la GPL ne t'oblige à rien de plus que ce que t'a fourni
celui dont tu utilises le code, c'est pour ça que c'est la meilleure
licence de la galaxie.


Je ne suis pas d'accord avec toi. La seule différence est une différence sur
les buts, pas sur les moyens. Le but de SCO c'est de faire du fric, celui
de Stallmann c'est de terrasser le logiciel propriétaire, mais le moyen est
exactement le même. Le moyen est à mon avis immoral et injuste, et l'histoire
nous a suffisamment appris que la fin ne justifie pas les moyens.


--
Quis, quid, ubi, quibus auxiliis, cur, quomodo, quando?


--
Michel Talon


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Shmurtz
Le Thu, 21 Aug 2003 22:06:45 +0200, Stephane TOUGARD s'exprimait:

Tes arguments font le jeu de SCO, Microsoft et autres agressifs contre la
license GPL. Mais cette derniere n'a jamais force personne a l'utiliser,
il suffit pour cela de respecter les regles du jeu, elles sont claires
et sans surprises.


Je trouve les idées de Michel extrèmement sensées, pour le moment tu ne
démontres rien. Les règles du jeu sont elles les mêmes pour tous ou
plutot, sont elles interprétées partout de la même façon ?

Que penses tu de ça ?

http://www.linuxfrench.net/article.php?id_article43

Avatar
Richard Delorme

Que penses tu de ça ?

http://www.linuxfrench.net/article.php?id_article43


Tiens, on en revient au problème de la validité de la GPL en France.

--
Richard

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