Unix est le résultat d'années de recherche et de développement.
Les principes d'Unix sont géniaux.
Une phrase l'illustre assez bien : « Tous ceux qui ne comprennent pas
Unix sont condamnés à le réinventer, en moins bien. »
_Mais_ force est de constater *qu'aucun* dérivé d'Unix ne le représente
comme il se devrait.
On assiste à un balai de distributions aussi médiocres les unes des autres :
- Vous avez gentoo et autres distributions sources qui se *fichent* et
contre-fichent des débutants.
- Debian avec son modèle de développement de type "on fige tout" et on
laisse pas le choix à l'utilisateur de la version de son application,
sauf à passer à un système complètement instable pour le non averti.
- Ubuntu avec à chaque instant t 3 versions qu'elle doit maintenir. Ce
qui fait qu'aucune n'est vraiment stable.
Bref, l'argument principal, Unix est mieux que Windows donc Linux aussi,
est vrai en théorie, faux en pratique.
J'espère que tu penses à rétribuer Yahoo et Google.
Et TF1.
-- Hein ?
Emmanuel Florac
Le Sat, 20 Oct 2007 22:32:49 +0200, Michel Billaud a écrit :
Si il était si inutilisable que ça, on n'en parlerait pas aujourd'hui.
C'est comme tout, on s'habitue. Je suis un adepte des interfaces multifenêtrées ( alla Mac OS classic), je trouve l'ergonomie de GIMP très bonne. Les windowsiens qui ne connaissent que les fenêtres en plein-écran la trouve nécessairement mauvaise. Même photoshop est passé au plein écran sous windows.
-- Jesus saves but only Buddha makes incremental backups.
Le Sat, 20 Oct 2007 22:32:49 +0200, Michel Billaud a écrit :
Si il était si inutilisable que ça, on n'en parlerait pas aujourd'hui.
C'est comme tout, on s'habitue. Je suis un adepte des interfaces
multifenêtrées ( alla Mac OS classic), je trouve l'ergonomie de GIMP
très bonne. Les windowsiens qui ne connaissent que les fenêtres en
plein-écran la trouve nécessairement mauvaise. Même photoshop est
passé au plein écran sous windows.
--
Jesus saves but only Buddha makes incremental backups.
Le Sat, 20 Oct 2007 22:32:49 +0200, Michel Billaud a écrit :
Si il était si inutilisable que ça, on n'en parlerait pas aujourd'hui.
C'est comme tout, on s'habitue. Je suis un adepte des interfaces multifenêtrées ( alla Mac OS classic), je trouve l'ergonomie de GIMP très bonne. Les windowsiens qui ne connaissent que les fenêtres en plein-écran la trouve nécessairement mauvaise. Même photoshop est passé au plein écran sous windows.
-- Jesus saves but only Buddha makes incremental backups.
Emmanuel Florac
Le Sun, 21 Oct 2007 13:48:29 +0200, Manuel Leclerc a écrit :
Fatalement, ça vous explosera à la figure un jour ou l'autre, et je serais mort de rire quand je lirais alors les jolies explications comme quoi l'argent c'est décidément une chose horrible.
Bof, l'argent ça va ça vient, et il me semble que d'ici peu il va surtout disparaître comme neige au soleil, alors...
-- on passe la moitié de son temps à refaire ce que l'on n'a pas eu le temps de faire correctement. Loi de Myers.
Le Sun, 21 Oct 2007 13:48:29 +0200, Manuel Leclerc a écrit :
Fatalement,
ça vous explosera à la figure un jour ou l'autre, et je
serais mort de rire quand je lirais alors les jolies
explications comme quoi l'argent c'est décidément une
chose horrible.
Bof, l'argent ça va ça vient, et il me semble que d'ici peu il va
surtout disparaître comme neige au soleil, alors...
--
on passe la moitié de son temps à refaire ce que l'on n'a pas eu le
temps de faire correctement.
Loi de Myers.
Le Sun, 21 Oct 2007 13:48:29 +0200, Manuel Leclerc a écrit :
Fatalement, ça vous explosera à la figure un jour ou l'autre, et je serais mort de rire quand je lirais alors les jolies explications comme quoi l'argent c'est décidément une chose horrible.
Bof, l'argent ça va ça vient, et il me semble que d'ici peu il va surtout disparaître comme neige au soleil, alors...
-- on passe la moitié de son temps à refaire ce que l'on n'a pas eu le temps de faire correctement. Loi de Myers.
Emmanuel Florac
Le Sun, 21 Oct 2007 17:53:11 +0200, Nina Popravka a écrit :
Timeo Danaos et dona ferentes...
Et qui fera le serpent ? :)
-- Il y a toujours un bug de plus. Loi de Lubarsky.
Le Sun, 21 Oct 2007 17:53:11 +0200, Nina Popravka a écrit :
Timeo Danaos et dona ferentes...
Et qui fera le serpent ? :)
--
Il y a toujours un bug de plus.
Loi de Lubarsky.
Le kernel, Open Office et Firefox, sont aujourd'hui fait avec l'argent des quelques grandes multinationales. Concrètement, ça signifie que sont elles qui décident, car celui qui décide, c'est celui qui paye. Fatalement, ça vous explosera à la figure un jour ou l'autre,
Ah? J'aimerais bien que tu expliques par quels mécanismes alors.
Et à ce propos, c'est précisément pour éviter ça que le jeu des licences est important.
C'est très simple, et il y a amha deux moyens: 1) les multinationales retirent leurs développeurs des produits libres, tout simplement, et le produit libre coule faute de développeurs, le volume et la complexité du code interdisant de facto un développement "à l'ancienne", c-à-d essentiellement bénévole.
Si une multinationale se retire, que c'est un projet important et qu'il n'a pas d'equivalent, alors le projet ne coulera pas. Un projet libre qui a pas mal d'utilisateurs ne coule pas. Si le projet est utile à beaucoup de monde, alors il y aura au minimum des gens pour le maintenir en fonctionnement, et corriger les problèmes importants. Si un projet libre coule, c'est que les gens n'en ont plus besoin, ou qu'il y a mieux ailleurs.
2) les multinationales se souviennent qu'elles disposent d'un joli portefeuille de brevets et font valoir leurs droits (facile, le code est disponible...). Je rappelle quand même que le noyau Linux violerait 283 brevets, donc c'est une bien dangereuse épée de Damoclès. A ce niveau, la question des licences ne joue plus, p.ex. IBM s'étant bien gardé de sortir une distribution "IBM Linux" qui invaliderait sa propriété intellectuelle...
Le nombre de brevets soit disant violés, ca ne veut rien dire. Tout le monde en viole autant ou plus, et une multinationale seule ne peut rien faire contre Linux. IBM ne peut pas attaquer Linux car leurs logiciels viollent eux aussi des brevets appartenants aux autres membres de l'OIN (OpenInventionNetwork) qui attaqueraient immediatement IBM en retour.
Bon sinon j'ai du mal à comprendre pour quelles raisons ces multinationales decideraint du jour au lendemain qu'il faut faire couler Linux, Firefox, OpenOffice et autres logiciels qu'ils ont en partie financés.
On 2007-10-21, Jerome Lambert <jerome.lambert@swing.be> wrote:
"Manuel Leclerc" <manuel.leclerc@alussinan.org> a écrit:
Le kernel, Open Office et Firefox, sont aujourd'hui
fait avec l'argent des quelques grandes multinationales.
Concrètement, ça signifie que sont elles qui décident,
car celui qui décide, c'est celui qui paye. Fatalement,
ça vous explosera à la figure un jour ou l'autre,
Ah? J'aimerais bien que tu expliques par quels mécanismes alors.
Et à ce propos, c'est précisément pour éviter ça que le jeu des
licences est important.
C'est très simple, et il y a amha deux moyens:
1) les multinationales retirent leurs développeurs des produits libres,
tout simplement, et le produit libre coule faute de développeurs, le
volume et la complexité du code interdisant de facto un développement "à
l'ancienne", c-à-d essentiellement bénévole.
Si une multinationale se retire, que c'est un projet important et qu'il
n'a pas d'equivalent, alors le projet ne coulera pas.
Un projet libre qui a pas mal d'utilisateurs ne coule pas. Si le projet
est utile à beaucoup de monde, alors il y aura au minimum des gens pour
le maintenir en fonctionnement, et corriger les problèmes importants.
Si un projet libre coule, c'est que les gens n'en ont plus besoin, ou
qu'il y a mieux ailleurs.
2) les multinationales se souviennent qu'elles disposent d'un joli
portefeuille de brevets et font valoir leurs droits (facile, le code est
disponible...). Je rappelle quand même que le noyau Linux violerait 283
brevets, donc c'est une bien dangereuse épée de Damoclès. A ce niveau,
la question des licences ne joue plus, p.ex. IBM s'étant bien gardé de
sortir une distribution "IBM Linux" qui invaliderait sa propriété
intellectuelle...
Le nombre de brevets soit disant violés, ca ne veut rien dire.
Tout le monde en viole autant ou plus, et une multinationale seule ne
peut rien faire contre Linux. IBM ne peut pas attaquer Linux car leurs
logiciels viollent eux aussi des brevets appartenants aux autres membres
de l'OIN (OpenInventionNetwork) qui attaqueraient immediatement IBM en
retour.
Bon sinon j'ai du mal à comprendre pour quelles raisons ces multinationales
decideraint du jour au lendemain qu'il faut faire couler Linux, Firefox,
OpenOffice et autres logiciels qu'ils ont en partie financés.
Le kernel, Open Office et Firefox, sont aujourd'hui fait avec l'argent des quelques grandes multinationales. Concrètement, ça signifie que sont elles qui décident, car celui qui décide, c'est celui qui paye. Fatalement, ça vous explosera à la figure un jour ou l'autre,
Ah? J'aimerais bien que tu expliques par quels mécanismes alors.
Et à ce propos, c'est précisément pour éviter ça que le jeu des licences est important.
C'est très simple, et il y a amha deux moyens: 1) les multinationales retirent leurs développeurs des produits libres, tout simplement, et le produit libre coule faute de développeurs, le volume et la complexité du code interdisant de facto un développement "à l'ancienne", c-à-d essentiellement bénévole.
Si une multinationale se retire, que c'est un projet important et qu'il n'a pas d'equivalent, alors le projet ne coulera pas. Un projet libre qui a pas mal d'utilisateurs ne coule pas. Si le projet est utile à beaucoup de monde, alors il y aura au minimum des gens pour le maintenir en fonctionnement, et corriger les problèmes importants. Si un projet libre coule, c'est que les gens n'en ont plus besoin, ou qu'il y a mieux ailleurs.
2) les multinationales se souviennent qu'elles disposent d'un joli portefeuille de brevets et font valoir leurs droits (facile, le code est disponible...). Je rappelle quand même que le noyau Linux violerait 283 brevets, donc c'est une bien dangereuse épée de Damoclès. A ce niveau, la question des licences ne joue plus, p.ex. IBM s'étant bien gardé de sortir une distribution "IBM Linux" qui invaliderait sa propriété intellectuelle...
Le nombre de brevets soit disant violés, ca ne veut rien dire. Tout le monde en viole autant ou plus, et une multinationale seule ne peut rien faire contre Linux. IBM ne peut pas attaquer Linux car leurs logiciels viollent eux aussi des brevets appartenants aux autres membres de l'OIN (OpenInventionNetwork) qui attaqueraient immediatement IBM en retour.
Bon sinon j'ai du mal à comprendre pour quelles raisons ces multinationales decideraint du jour au lendemain qu'il faut faire couler Linux, Firefox, OpenOffice et autres logiciels qu'ils ont en partie financés.
Stephan Peccini
Le Sun, 21 Oct 2007 23:12:20 +0200, Emmanuel Florac a écrit :
Le Sat, 20 Oct 2007 22:32:49 +0200, Michel Billaud a écrit :
Si il était si inutilisable que ça, on n'en parlerait pas aujourd'hui.
C'est comme tout, on s'habitue. Je suis un adepte des interfaces multifenêtrées ( alla Mac OS classic), je trouve l'ergonomie de GIMP très bonne.
Tout à fait d'accord sachant tout de même qu'entre la version 1 et la 2, les évolutions ont été intéressantes (même si je n'utilise toujours pas les menus de la fenêtre d'édition mais le clic droit).
Les windowsiens qui ne connaissent que les fenêtres en plein-écran la trouve nécessairement mauvaise. Même photoshop est passé au plein écran sous windows.
Le problème sous Windows est aussi de voir apparaître la multitude d'icônes associées, me semble-t-il, en plus de l'ensemble des fenêtres qui ne sont pas solidaires. Alors que sous windowmaker (avec KDE, le principe est le même) en mettant Gimp dans le dock, une seule icône apparaît permettant de masquer ou d'ouvrir toutes les fenêtres de Gimp en un clic et si en plus on demande à avoir un bureau spécial pour l'édition photo, on se retrouve dans la même situation que la notion de plein écran sous Windows et il suffit de cliquer sur l'icône pour aller sur le bon bureau. Sous Kde, on a le même principe sauf pour l'icône qu'il faut demander à regrouper mais ensuite un clic droit, tout masquer puis tout restaurer ou clic sur le bureau. Je connais beaucoup moins Gnome, XFCE, mais le principe doit être le même. Seuls twm, mwm doivent être au niveau de Windows.
Comme on peut le voir, le problème n'est pas Gimp mais la pauvreté fonctionnelle de l'interface de base de Windows (celle que tout le monde a en fait) qui n'a pas de notion de bureau ni de capacité de fermer ou ouvrir en un clic des icônes regroupées. Il faut donc passer par des fenêtres regroupant les autres fenêtres du même logiciel pour palier à la déficience. Il est donc demandé aux logiciels de combler le manque de l'interface de Windows. Et après il y en a qui disent que Gimp n'est pas ergonomique à cause du problème de fenêtres et d'icônes.
-- Stéphan Peccini Les photos : <URL:http://photonature.fr> Les Pyrénées : <URL:http://photonature.fr/pyrenees> Le blog : <URL:http://pyrenees.peccini.fr>
Le Sun, 21 Oct 2007 23:12:20 +0200, Emmanuel Florac a écrit :
Le Sat, 20 Oct 2007 22:32:49 +0200, Michel Billaud a écrit :
Si il était si inutilisable que ça, on n'en parlerait pas aujourd'hui.
C'est comme tout, on s'habitue. Je suis un adepte des interfaces
multifenêtrées ( alla Mac OS classic), je trouve l'ergonomie de GIMP
très bonne.
Tout à fait d'accord sachant tout de même qu'entre la version 1 et la 2,
les évolutions ont été intéressantes (même si je n'utilise toujours pas
les menus de la fenêtre d'édition mais le clic droit).
Les windowsiens qui ne connaissent que les fenêtres en
plein-écran la trouve nécessairement mauvaise. Même photoshop est passé
au plein écran sous windows.
Le problème sous Windows est aussi de voir apparaître la multitude
d'icônes associées, me semble-t-il, en plus de l'ensemble des fenêtres
qui ne sont pas solidaires. Alors que sous windowmaker (avec KDE, le
principe est le même) en mettant Gimp dans le dock, une seule icône
apparaît permettant de masquer ou d'ouvrir toutes les fenêtres de Gimp en
un clic et si en plus on demande à avoir un bureau spécial pour l'édition
photo, on se retrouve dans la même situation que la notion de plein écran
sous Windows et il suffit de cliquer sur l'icône pour aller sur le bon
bureau. Sous Kde, on a le même principe sauf pour l'icône qu'il faut
demander à regrouper mais ensuite un clic droit, tout masquer puis tout
restaurer ou clic sur le bureau. Je connais beaucoup moins Gnome, XFCE,
mais le principe doit être le même. Seuls twm, mwm doivent être au niveau
de Windows.
Comme on peut le voir, le problème n'est pas Gimp mais la pauvreté
fonctionnelle de l'interface de base de Windows (celle que tout le monde
a en fait) qui n'a pas de notion de bureau ni de capacité de fermer ou
ouvrir en un clic des icônes regroupées. Il faut donc passer par des
fenêtres regroupant les autres fenêtres du même logiciel pour palier à la
déficience. Il est donc demandé aux logiciels de combler le manque de
l'interface de Windows. Et après il y en a qui disent que Gimp n'est pas
ergonomique à cause du problème de fenêtres et d'icônes.
--
Stéphan Peccini
Les photos : <URL:http://photonature.fr>
Les Pyrénées : <URL:http://photonature.fr/pyrenees>
Le blog : <URL:http://pyrenees.peccini.fr>
Le Sun, 21 Oct 2007 23:12:20 +0200, Emmanuel Florac a écrit :
Le Sat, 20 Oct 2007 22:32:49 +0200, Michel Billaud a écrit :
Si il était si inutilisable que ça, on n'en parlerait pas aujourd'hui.
C'est comme tout, on s'habitue. Je suis un adepte des interfaces multifenêtrées ( alla Mac OS classic), je trouve l'ergonomie de GIMP très bonne.
Tout à fait d'accord sachant tout de même qu'entre la version 1 et la 2, les évolutions ont été intéressantes (même si je n'utilise toujours pas les menus de la fenêtre d'édition mais le clic droit).
Les windowsiens qui ne connaissent que les fenêtres en plein-écran la trouve nécessairement mauvaise. Même photoshop est passé au plein écran sous windows.
Le problème sous Windows est aussi de voir apparaître la multitude d'icônes associées, me semble-t-il, en plus de l'ensemble des fenêtres qui ne sont pas solidaires. Alors que sous windowmaker (avec KDE, le principe est le même) en mettant Gimp dans le dock, une seule icône apparaît permettant de masquer ou d'ouvrir toutes les fenêtres de Gimp en un clic et si en plus on demande à avoir un bureau spécial pour l'édition photo, on se retrouve dans la même situation que la notion de plein écran sous Windows et il suffit de cliquer sur l'icône pour aller sur le bon bureau. Sous Kde, on a le même principe sauf pour l'icône qu'il faut demander à regrouper mais ensuite un clic droit, tout masquer puis tout restaurer ou clic sur le bureau. Je connais beaucoup moins Gnome, XFCE, mais le principe doit être le même. Seuls twm, mwm doivent être au niveau de Windows.
Comme on peut le voir, le problème n'est pas Gimp mais la pauvreté fonctionnelle de l'interface de base de Windows (celle que tout le monde a en fait) qui n'a pas de notion de bureau ni de capacité de fermer ou ouvrir en un clic des icônes regroupées. Il faut donc passer par des fenêtres regroupant les autres fenêtres du même logiciel pour palier à la déficience. Il est donc demandé aux logiciels de combler le manque de l'interface de Windows. Et après il y en a qui disent que Gimp n'est pas ergonomique à cause du problème de fenêtres et d'icônes.
-- Stéphan Peccini Les photos : <URL:http://photonature.fr> Les Pyrénées : <URL:http://photonature.fr/pyrenees> Le blog : <URL:http://pyrenees.peccini.fr>