J'ai récupéré avec SIW pour une amie qui n'y connait rien les références
(que je n'ai plus en tête là, à part que c'est du PC2-qqe chose) de la RAM
de son PC car elle souhaite en rajouter.
Je lui ai bien précisé que la mémoire étant à 166Mhz, elle ne devait pas
commander une barrette de fréquence supérieure car ça risquait de ne pas
marcher. Message reçu, c'est exactement ce qu'elle a fait en commandant du
333Mhz (tout le reste de la référence est exact sauf ça). La prochaine fois
je tenterai la communication en chinois.
Le problème c'est que le 166Mhz ne se fait déjà plus.
Je ne suis pas très calée en compatibilité de matériel. A votre avis, ça
peut marcher quand même ou pas ? Merci.
PS: s'il existe un forum dédié au matériel je ne connais pas, sorry.
L'amplitude du signal c'est la différence minimale effective entre un 1 et un 0. Mais sinon ta remarque me rappelle une bonne blague du labo de logique hyperfréquences attenant notre labo hard classique. Pour eux, tout ce qu'on faisait (donc en gros en dessous du gigahertz), c'était du "courant continu". Tu ne peux pas savoir à quel point c'était vexant ;)
Ce n'est pas de l'acharnement, mais l'amplitude d'un signal, ce n'est pas la différence minimale (c'est quoi ça d'ailleurs ?) entre un 1 et un 0. Si tu bosses dans un labo hard, et si c'est du hard...ware, tu me fais peur. Didier.
Si tu as lu une fois dans ta vie le datasheet du moindre composant logique, le zéro n'est pas à 0V et le 1 n'est pas à 5V. Le but est de partir d'un peu en dessous du seuil d'une diode ou d'un transistor vis à vis de la masse, ce qui peut différer selon la technologie, TTL, Schottky et j'en passe des tas, et d'aller jusqu'au seuil de reconnaissance du 1 logique ce qui peut différer encore plus. Certes, c'est plus facile avec un collecteur ouvert.
En 2010 la TTL a disparue, remplacée par la CMOS depuis bien longtemps. Ce n'est pas en TTL meme Schottky que tu feras un bus memoire en "double clock" a 333 Mhz! Les niveaux etaient autour de 3.3v dans les années 2000 pour les bus rapides et sont passés autour de 1,8v voire plus bas maintenant et bien souvent en techno differentielle.
--
Alain
LeLapin wrote:
Didier a tapoté du bout de ses petites papattes :
LeLapin a écrit :
L'amplitude du signal c'est la différence minimale effective entre
un 1 et un 0.
Mais sinon ta remarque me rappelle une bonne blague du labo de
logique hyperfréquences attenant notre labo hard classique. Pour
eux, tout ce qu'on faisait (donc en gros en dessous du gigahertz),
c'était du "courant continu". Tu ne peux pas savoir à quel point
c'était vexant ;)
Ce n'est pas de l'acharnement, mais l'amplitude d'un signal, ce
n'est pas la différence minimale (c'est quoi ça d'ailleurs ?) entre
un 1 et un 0. Si tu bosses dans un labo hard, et si c'est du hard...ware,
tu me
fais peur. Didier.
Si tu as lu une fois dans ta vie le datasheet du moindre composant
logique, le zéro n'est pas à 0V et le 1 n'est pas à 5V. Le but est de
partir d'un peu en dessous du seuil d'une diode ou d'un transistor vis
à vis de la masse, ce qui peut différer selon la technologie, TTL,
Schottky et j'en passe des tas, et d'aller jusqu'au seuil de
reconnaissance du 1 logique ce qui peut différer encore plus. Certes,
c'est plus facile avec un collecteur ouvert.
En 2010 la TTL a disparue, remplacée par la CMOS depuis bien longtemps.
Ce n'est pas en TTL meme Schottky que tu feras un bus memoire en "double
clock" a 333 Mhz!
Les niveaux etaient autour de 3.3v dans les années 2000 pour les bus rapides
et sont passés autour de 1,8v voire plus bas maintenant et bien souvent en
techno differentielle.
L'amplitude du signal c'est la différence minimale effective entre un 1 et un 0. Mais sinon ta remarque me rappelle une bonne blague du labo de logique hyperfréquences attenant notre labo hard classique. Pour eux, tout ce qu'on faisait (donc en gros en dessous du gigahertz), c'était du "courant continu". Tu ne peux pas savoir à quel point c'était vexant ;)
Ce n'est pas de l'acharnement, mais l'amplitude d'un signal, ce n'est pas la différence minimale (c'est quoi ça d'ailleurs ?) entre un 1 et un 0. Si tu bosses dans un labo hard, et si c'est du hard...ware, tu me fais peur. Didier.
Si tu as lu une fois dans ta vie le datasheet du moindre composant logique, le zéro n'est pas à 0V et le 1 n'est pas à 5V. Le but est de partir d'un peu en dessous du seuil d'une diode ou d'un transistor vis à vis de la masse, ce qui peut différer selon la technologie, TTL, Schottky et j'en passe des tas, et d'aller jusqu'au seuil de reconnaissance du 1 logique ce qui peut différer encore plus. Certes, c'est plus facile avec un collecteur ouvert.
En 2010 la TTL a disparue, remplacée par la CMOS depuis bien longtemps. Ce n'est pas en TTL meme Schottky que tu feras un bus memoire en "double clock" a 333 Mhz! Les niveaux etaient autour de 3.3v dans les années 2000 pour les bus rapides et sont passés autour de 1,8v voire plus bas maintenant et bien souvent en techno differentielle.
--
Alain
alain denis
LeLapin wrote:
Fernand DEMOUSTIER a tapoté du bout de ses petites papattes :
Jean-Christophe a utilisé son clavier pour écrire :
La fréquence s'applique à un signal périodique :
La fréquence d'un phénomène, c'est son nombre d'occurrences par unité de temps. ex : la grippe est plus fréquente cette année (nombre de cas de grippe par an).
C'est là la différence entre un électronicien et un mec de base.
C'est quoi encore cette affirmation? Ca va les chevilles? Il y a des electroniciens basiques ( même sur ce groupe) et aussi des mecs (pas forcemment electroniciens) tres biens. Un electronicien n'a rien de superieur par rapport aux autres!! Simplement une experience et une competence differente et encore faut-il qu'il sache la mettre a jour regulièrement, vu la vitesse d'évolution, sinon il va vite devenir ce que j'appelle un "papi TTL", il y a dix ans je disais un "papi tube". --
Alain
LeLapin wrote:
Fernand DEMOUSTIER a tapoté du bout de ses petites papattes :
Jean-Christophe a utilisé son clavier pour écrire :
La fréquence s'applique à un signal périodique :
La fréquence d'un phénomène, c'est son nombre d'occurrences par
unité de temps. ex : la grippe est plus fréquente cette année
(nombre de cas de grippe par an).
C'est là la différence entre un électronicien et un mec de base.
C'est quoi encore cette affirmation? Ca va les chevilles?
Il y a des electroniciens basiques ( même sur ce groupe) et aussi des mecs
(pas forcemment electroniciens) tres biens.
Un electronicien n'a rien de superieur par rapport aux autres!! Simplement
une experience et une competence differente et encore faut-il qu'il sache la
mettre a jour regulièrement, vu la vitesse d'évolution, sinon il va vite
devenir ce que j'appelle un "papi TTL", il y a dix ans je disais un "papi
tube".
--
Fernand DEMOUSTIER a tapoté du bout de ses petites papattes :
Jean-Christophe a utilisé son clavier pour écrire :
La fréquence s'applique à un signal périodique :
La fréquence d'un phénomène, c'est son nombre d'occurrences par unité de temps. ex : la grippe est plus fréquente cette année (nombre de cas de grippe par an).
C'est là la différence entre un électronicien et un mec de base.
C'est quoi encore cette affirmation? Ca va les chevilles? Il y a des electroniciens basiques ( même sur ce groupe) et aussi des mecs (pas forcemment electroniciens) tres biens. Un electronicien n'a rien de superieur par rapport aux autres!! Simplement une experience et une competence differente et encore faut-il qu'il sache la mettre a jour regulièrement, vu la vitesse d'évolution, sinon il va vite devenir ce que j'appelle un "papi TTL", il y a dix ans je disais un "papi tube". --
Alain
Den
Fernand DEMOUSTIER wrote:
La fréquence d'un phénomène, c'est son nombre d'occurrences par unité de temps.
Bonsoir, Ce que tu dis est vrai mais ne tient pas compte des fréquences spatiales : photographie un grillage et calcule la transformée de Fourier de l'intensité lumineuse de chaque pixel en fonction de sa position sur une ligne ou une colonne de l'image, tu auras des raies qui correspondent aux mailles du grillage.
Cordialement, Den
Fernand DEMOUSTIER wrote:
La fréquence d'un phénomène, c'est son nombre d'occurrences par unité de
temps.
Bonsoir,
Ce que tu dis est vrai mais ne tient pas compte des fréquences spatiales
: photographie un grillage et calcule la transformée de Fourier de
l'intensité lumineuse de chaque pixel en fonction de sa position sur une
ligne ou une colonne de l'image, tu auras des raies qui correspondent
aux mailles du grillage.
La fréquence d'un phénomène, c'est son nombre d'occurrences par unité de temps.
Bonsoir, Ce que tu dis est vrai mais ne tient pas compte des fréquences spatiales : photographie un grillage et calcule la transformée de Fourier de l'intensité lumineuse de chaque pixel en fonction de sa position sur une ligne ou une colonne de l'image, tu auras des raies qui correspondent aux mailles du grillage.
Cordialement, Den
Jacques Dassié
Le Thu, 21 Oct 2010 23:08:16 +0200, Chab écrit:
De mémoire d'une formation CEM il me semble que la fréquence équivalente d'un front montant est égale à 1/ 0.36 fois le temps de monté. le temps de monté est défini entre 10 et 90% de l'amplitude max. Je vérifierai le (0.36)
Peu importe le 0,36, qui est une constante d'ajustement de formule. Mais je crois que, dans cet échange amusant, tu as mis le doigt sur ce qui divise d'irréductibles opposants ! Je vais essayer de préciser mon point de vue :
- Pour les "périodistes", parler de fréquence d'un front est une hérésie. Et je suis d'accord en matière de phénomènes périodiques.
- Mais pour le couyon lambda, comme moi (ancien chef de labo d'étude à Thomson), il suffit de se dire qu'on peut toujours, à front donné, trouver une fréquence sinusoïdale, dont un petit segment aura le même gradient de montée ou de descente que le front...
Parlant du front considéré, c'est bien sûr à cette fréquence équivalente que l'on fait allusion en parlant de "fréquence du front".
Et ceci s'appliquant aussi dans le cas de fronts asynchrones, ou même de front unique. C'est en ce sens que je te rejoins et que je souligne que tu as eu bien raison d'employer le terme "équivalente"..
Bonnes reflexions à tous, -- Jacques DASSIÉ http://archaero.com/
Le Thu, 21 Oct 2010 23:08:16 +0200, Chab <novalide@machin.fr> écrit:
De mémoire d'une formation CEM il me semble que la fréquence équivalente
d'un front montant est égale à 1/ 0.36 fois le temps de monté.
le temps de monté est défini entre 10 et 90% de l'amplitude max.
Je vérifierai le (0.36)
Peu importe le 0,36, qui est une constante d'ajustement de formule.
Mais je crois que, dans cet échange amusant, tu as mis le doigt sur ce
qui divise d'irréductibles opposants !
Je vais essayer de préciser mon point de vue :
- Pour les "périodistes", parler de fréquence d'un front est une
hérésie. Et je suis d'accord en matière de phénomènes périodiques.
- Mais pour le couyon lambda, comme moi (ancien chef de labo d'étude à
Thomson), il suffit de se dire qu'on peut toujours, à front donné,
trouver une fréquence sinusoïdale, dont un petit segment aura le même
gradient de montée ou de descente que le front...
Parlant du front considéré, c'est bien sûr à cette fréquence équivalente
que l'on fait allusion en parlant de "fréquence du front".
Et ceci s'appliquant aussi dans le cas de fronts asynchrones, ou même de
front unique.
C'est en ce sens que je te rejoins et que je souligne que tu as eu bien
raison d'employer le terme "équivalente"..
Bonnes reflexions à tous,
--
Jacques DASSIÉ
http://archaero.com/
De mémoire d'une formation CEM il me semble que la fréquence équivalente d'un front montant est égale à 1/ 0.36 fois le temps de monté. le temps de monté est défini entre 10 et 90% de l'amplitude max. Je vérifierai le (0.36)
Peu importe le 0,36, qui est une constante d'ajustement de formule. Mais je crois que, dans cet échange amusant, tu as mis le doigt sur ce qui divise d'irréductibles opposants ! Je vais essayer de préciser mon point de vue :
- Pour les "périodistes", parler de fréquence d'un front est une hérésie. Et je suis d'accord en matière de phénomènes périodiques.
- Mais pour le couyon lambda, comme moi (ancien chef de labo d'étude à Thomson), il suffit de se dire qu'on peut toujours, à front donné, trouver une fréquence sinusoïdale, dont un petit segment aura le même gradient de montée ou de descente que le front...
Parlant du front considéré, c'est bien sûr à cette fréquence équivalente que l'on fait allusion en parlant de "fréquence du front".
Et ceci s'appliquant aussi dans le cas de fronts asynchrones, ou même de front unique. C'est en ce sens que je te rejoins et que je souligne que tu as eu bien raison d'employer le terme "équivalente"..
Bonnes reflexions à tous, -- Jacques DASSIÉ http://archaero.com/
Jean-Christophe
On Oct 22, 5:44 am, Jacques Dassié
| De mémoire d'une formation CEM il me semble que la fréquence équivalente | d'un front montant est égale à 1/ 0.36 fois le temps de monté. | le temps de monté est défini entre 10 et 90% de l'amplitude max. | Je vérifierai le (0.36)
Il s'agit là de la relation entre le temps de montée et la bande passante d'un système. Il ne s'agit pas de "compter le nombre de fronts par seconde" ( comme l'ont défini ceux qui parlent de "fréquence de front" )
Peu importe le 0,36, qui est une constante d'ajustement de formule. Mais je crois que, dans cet échange amusant, tu as mis le doigt sur ce qui divise d'irréductibles opposants ! Je vais essayer de préciser mon point de vue : - Pour les "périodistes", parler de fréquence d'un front est une hérésie. Et je suis d'accord en matière de phénomènes périodi ques.
Pour un électronicien, par définition le terme "fréquence" se réfère à la répétition de la période d'un signal : sachant qu'un front n'est pas une période complète mais seulement une partie de celle-ci, il est compréhensible de trouver discutable de parler de "fréquence de front".
- Mais pour le couyon lambda, comme moi (ancien chef de labo d'étude à Thomson), il suffit de se dire qu'on peut toujours, à front donné, trouver une fréquence sinusoïdale, dont un petit segment aura le mê me gradient de montée ou de descente que le front...
Il s'agit alors d'une des composantes sinusoidales les plus élevées du spectre de ce signal; effectivement, plus le temps de montée du front sera court et plus le spectre sera étendu en fréquence (cf Fourier) Mais dans ce cas on parle bien de "composantes spectrale du signal" (ou de "bande passante du systéme" si le signal représente une réponse) et non de "fréquence de front".
Parlant du front considéré, c'est bien sûr à cette fréquence équivalente que l'on fait allusion en parlant de "fréquence du front". Et ceci s'appliquant aussi dans le cas de fronts asynchrones, ou même de front unique.
Les gens qui parlaient ici de "fréquence de front" ont clairement précisé qu'il entendaient par là "le nombre de fronts par seconde", (considérée logiquement comme le double de la fréquence du signal) ce qui est indépendant du temps de montée de ces fronts.
Selon cette définition, une impulsion isolée non répétitive ne possédant donc que deux fronts, aurait alors une "fréquence de front" de 2 Hz, et ce quel que soit le temps de montée de ces fronts ( 1 ns ou 1 ms ) Alors que la "fréquence de front" dont tu parles serait dans un cas de l'ordre de 1 GHz et dans l'autre 1 kHz.
Si on considère deux signaux d'horloge à 166 MHz ayant des temps de montée différents, ils attribueront à ces deux signaux une unique "fréquence de front" de 333 MHz, tandis-que de ton coté tu donneras au signal dont les fronts sont les plus raides une "fréquence de front" supérieure, indépendante du taux de récurrence des crénaux du signal.
C'est en ce sens que je te rejoins et que je souligne que tu as eu bien raison d'employer le terme "équivalente"..
On Oct 22, 5:44 am, Jacques Dassié
| De mémoire d'une formation CEM il me semble que la fréquence
équivalente
| d'un front montant est égale à 1/ 0.36 fois le temps de monté.
| le temps de monté est défini entre 10 et 90% de l'amplitude max.
| Je vérifierai le (0.36)
Il s'agit là de la relation entre le temps de montée et la bande
passante
d'un système. Il ne s'agit pas de "compter le nombre de fronts par
seconde"
( comme l'ont défini ceux qui parlent de "fréquence de front" )
Peu importe le 0,36, qui est une constante d'ajustement de formule.
Mais je crois que, dans cet échange amusant, tu as mis le doigt sur ce
qui divise d'irréductibles opposants !
Je vais essayer de préciser mon point de vue :
- Pour les "périodistes", parler de fréquence d'un front est une
hérésie. Et je suis d'accord en matière de phénomènes périodi ques.
Pour un électronicien, par définition le terme "fréquence"
se réfère à la répétition de la période d'un signal :
sachant qu'un front n'est pas une période complète mais
seulement une partie de celle-ci, il est compréhensible
de trouver discutable de parler de "fréquence de front".
- Mais pour le couyon lambda, comme moi (ancien chef de labo d'étude à
Thomson), il suffit de se dire qu'on peut toujours, à front donné,
trouver une fréquence sinusoïdale, dont un petit segment aura le mê me
gradient de montée ou de descente que le front...
Il s'agit alors d'une des composantes sinusoidales les plus élevées
du
spectre de ce signal; effectivement, plus le temps de montée du front
sera court et plus le spectre sera étendu en fréquence (cf Fourier)
Mais dans ce cas on parle bien de "composantes spectrale du signal"
(ou de "bande passante du systéme" si le signal représente une
réponse)
et non de "fréquence de front".
Parlant du front considéré, c'est bien sûr à cette fréquence équivalente
que l'on fait allusion en parlant de "fréquence du front".
Et ceci s'appliquant aussi dans le cas de fronts asynchrones,
ou même de front unique.
Les gens qui parlaient ici de "fréquence de front" ont clairement
précisé qu'il entendaient par là "le nombre de fronts par seconde",
(considérée logiquement comme le double de la fréquence du signal)
ce qui est indépendant du temps de montée de ces fronts.
Selon cette définition, une impulsion isolée non répétitive
ne possédant donc que deux fronts, aurait alors
une "fréquence de front" de 2 Hz, et ce quel que soit
le temps de montée de ces fronts ( 1 ns ou 1 ms )
Alors que la "fréquence de front" dont tu parles serait
dans un cas de l'ordre de 1 GHz et dans l'autre 1 kHz.
Si on considère deux signaux d'horloge à 166 MHz ayant
des temps de montée différents, ils attribueront à ces
deux signaux une unique "fréquence de front" de 333 MHz,
tandis-que de ton coté tu donneras au signal dont les fronts
sont les plus raides une "fréquence de front" supérieure,
indépendante du taux de récurrence des crénaux du signal.
C'est en ce sens que je te rejoins et que je souligne que
tu as eu bien raison d'employer le terme "équivalente"..
| De mémoire d'une formation CEM il me semble que la fréquence équivalente | d'un front montant est égale à 1/ 0.36 fois le temps de monté. | le temps de monté est défini entre 10 et 90% de l'amplitude max. | Je vérifierai le (0.36)
Il s'agit là de la relation entre le temps de montée et la bande passante d'un système. Il ne s'agit pas de "compter le nombre de fronts par seconde" ( comme l'ont défini ceux qui parlent de "fréquence de front" )
Peu importe le 0,36, qui est une constante d'ajustement de formule. Mais je crois que, dans cet échange amusant, tu as mis le doigt sur ce qui divise d'irréductibles opposants ! Je vais essayer de préciser mon point de vue : - Pour les "périodistes", parler de fréquence d'un front est une hérésie. Et je suis d'accord en matière de phénomènes périodi ques.
Pour un électronicien, par définition le terme "fréquence" se réfère à la répétition de la période d'un signal : sachant qu'un front n'est pas une période complète mais seulement une partie de celle-ci, il est compréhensible de trouver discutable de parler de "fréquence de front".
- Mais pour le couyon lambda, comme moi (ancien chef de labo d'étude à Thomson), il suffit de se dire qu'on peut toujours, à front donné, trouver une fréquence sinusoïdale, dont un petit segment aura le mê me gradient de montée ou de descente que le front...
Il s'agit alors d'une des composantes sinusoidales les plus élevées du spectre de ce signal; effectivement, plus le temps de montée du front sera court et plus le spectre sera étendu en fréquence (cf Fourier) Mais dans ce cas on parle bien de "composantes spectrale du signal" (ou de "bande passante du systéme" si le signal représente une réponse) et non de "fréquence de front".
Parlant du front considéré, c'est bien sûr à cette fréquence équivalente que l'on fait allusion en parlant de "fréquence du front". Et ceci s'appliquant aussi dans le cas de fronts asynchrones, ou même de front unique.
Les gens qui parlaient ici de "fréquence de front" ont clairement précisé qu'il entendaient par là "le nombre de fronts par seconde", (considérée logiquement comme le double de la fréquence du signal) ce qui est indépendant du temps de montée de ces fronts.
Selon cette définition, une impulsion isolée non répétitive ne possédant donc que deux fronts, aurait alors une "fréquence de front" de 2 Hz, et ce quel que soit le temps de montée de ces fronts ( 1 ns ou 1 ms ) Alors que la "fréquence de front" dont tu parles serait dans un cas de l'ordre de 1 GHz et dans l'autre 1 kHz.
Si on considère deux signaux d'horloge à 166 MHz ayant des temps de montée différents, ils attribueront à ces deux signaux une unique "fréquence de front" de 333 MHz, tandis-que de ton coté tu donneras au signal dont les fronts sont les plus raides une "fréquence de front" supérieure, indépendante du taux de récurrence des crénaux du signal.
C'est en ce sens que je te rejoins et que je souligne que tu as eu bien raison d'employer le terme "équivalente"..
Jean-Christophe
On Oct 21, 10:58 pm, Pierre Maurette
(...) On base notre logique sur l'acceptation que A ou NON A est toujours vrai.
Il faut lire "Le monde des non-A" de A.E Van Vogt ;-)
Et il faut bien admettre que ça semble fonctionner.
Certes, mais il existe aussi d'autres logiques que la logique Aristotélicienne. Mais sans aller jusque là, il y a déja les "ensembles flous" ...
On Oct 21, 10:58 pm, Pierre Maurette
(...) On base notre logique sur l'acceptation que A ou NON A est toujours vrai.
Il faut lire "Le monde des non-A" de A.E Van Vogt ;-)
Et il faut bien admettre que ça semble fonctionner.
Certes, mais il existe aussi d'autres logiques que la logique
Aristotélicienne.
Mais sans aller jusque là, il y a déja les "ensembles flous" ...
(...) On base notre logique sur l'acceptation que A ou NON A est toujours vrai.
Il faut lire "Le monde des non-A" de A.E Van Vogt ;-)
Et il faut bien admettre que ça semble fonctionner.
Certes, mais il existe aussi d'autres logiques que la logique Aristotélicienne. Mais sans aller jusque là, il y a déja les "ensembles flous" ...
LeLapin
Didier a tapoté du bout de ses petites papattes :
LeLapin a écrit :
Didier a tapoté du bout de ses petites papattes :
LeLapin a écrit :
L'amplitude du signal c'est la différence minimale effective entre un 1 et un 0. Mais sinon ta remarque me rappelle une bonne blague du labo de logique hyperfréquences attenant notre labo hard classique. Pour eux, tout ce qu'on faisait (donc en gros en dessous du gigahertz), c'était du "courant continu". Tu ne peux pas savoir à quel point c'était vexant ;)
Ce n'est pas de l'acharnement, mais l'amplitude d'un signal, ce n'est pas la différence minimale (c'est quoi ça d'ailleurs ?) entre un 1 et un 0. Si tu bosses dans un labo hard, et si c'est du hard...ware, tu me fais peur. Didier.
Si tu as lu une fois dans ta vie le datasheet du moindre composant logique, le zéro n'est pas à 0V et le 1 n'est pas à 5V. Le but est de partir d'un peu en dessous du seuil d'une diode ou d'un transistor vis à vis de la masse, ce qui peut différer selon la technologie, TTL, Schottky et j'en passe des tas, et d'aller jusqu'au seuil de reconnaissance du 1 logique ce qui peut différer encore plus. Certes, c'est plus facile avec un collecteur ouvert.
Oui, sans doute, mais il existe d'autres signaux que ceux sortant des pattes des composants logiques. Didier.
C'est d'eux que je parle.
-- LeLapin
Didier a tapoté du bout de ses petites papattes :
LeLapin a écrit :
Didier a tapoté du bout de ses petites papattes :
LeLapin a écrit :
L'amplitude du signal c'est la différence minimale effective entre un 1
et un 0.
Mais sinon ta remarque me rappelle une bonne blague du labo de logique
hyperfréquences attenant notre labo hard classique. Pour eux, tout ce
qu'on faisait (donc en gros en dessous du gigahertz), c'était du "courant
continu". Tu ne peux pas savoir à quel point c'était vexant ;)
Ce n'est pas de l'acharnement, mais l'amplitude d'un signal, ce n'est pas
la différence minimale (c'est quoi ça d'ailleurs ?) entre un 1 et un 0.
Si tu bosses dans un labo hard, et si c'est du hard...ware, tu me fais
peur.
Didier.
Si tu as lu une fois dans ta vie le datasheet du moindre composant logique,
le zéro n'est pas à 0V et le 1 n'est pas à 5V. Le but est de partir d'un
peu en dessous du seuil d'une diode ou d'un transistor vis à vis de la
masse, ce qui peut différer selon la technologie, TTL, Schottky et j'en
passe des tas, et d'aller jusqu'au seuil de reconnaissance du 1 logique ce
qui peut différer encore plus. Certes, c'est plus facile avec un collecteur
ouvert.
Oui, sans doute, mais il existe d'autres signaux que ceux sortant des pattes
des composants logiques.
Didier.
L'amplitude du signal c'est la différence minimale effective entre un 1 et un 0. Mais sinon ta remarque me rappelle une bonne blague du labo de logique hyperfréquences attenant notre labo hard classique. Pour eux, tout ce qu'on faisait (donc en gros en dessous du gigahertz), c'était du "courant continu". Tu ne peux pas savoir à quel point c'était vexant ;)
Ce n'est pas de l'acharnement, mais l'amplitude d'un signal, ce n'est pas la différence minimale (c'est quoi ça d'ailleurs ?) entre un 1 et un 0. Si tu bosses dans un labo hard, et si c'est du hard...ware, tu me fais peur. Didier.
Si tu as lu une fois dans ta vie le datasheet du moindre composant logique, le zéro n'est pas à 0V et le 1 n'est pas à 5V. Le but est de partir d'un peu en dessous du seuil d'une diode ou d'un transistor vis à vis de la masse, ce qui peut différer selon la technologie, TTL, Schottky et j'en passe des tas, et d'aller jusqu'au seuil de reconnaissance du 1 logique ce qui peut différer encore plus. Certes, c'est plus facile avec un collecteur ouvert.
Oui, sans doute, mais il existe d'autres signaux que ceux sortant des pattes des composants logiques. Didier.
C'est d'eux que je parle.
-- LeLapin
LeLapin
alain denis a tapoté du bout de ses petites papattes :
LeLapin wrote:
Didier a tapoté du bout de ses petites papattes :
LeLapin a écrit :
L'amplitude du signal c'est la différence minimale effective entre un 1 et un 0. Mais sinon ta remarque me rappelle une bonne blague du labo de logique hyperfréquences attenant notre labo hard classique. Pour eux, tout ce qu'on faisait (donc en gros en dessous du gigahertz), c'était du "courant continu". Tu ne peux pas savoir à quel point c'était vexant ;)
Ce n'est pas de l'acharnement, mais l'amplitude d'un signal, ce n'est pas la différence minimale (c'est quoi ça d'ailleurs ?) entre un 1 et un 0. Si tu bosses dans un labo hard, et si c'est du hard...ware, tu me fais peur. Didier.
Si tu as lu une fois dans ta vie le datasheet du moindre composant logique, le zéro n'est pas à 0V et le 1 n'est pas à 5V. Le but est de partir d'un peu en dessous du seuil d'une diode ou d'un transistor vis à vis de la masse, ce qui peut différer selon la technologie, TTL, Schottky et j'en passe des tas, et d'aller jusqu'au seuil de reconnaissance du 1 logique ce qui peut différer encore plus. Certes, c'est plus facile avec un collecteur ouvert.
En 2010 la TTL a disparue, remplacée par la CMOS depuis bien longtemps.
Oh non ! La LS a encore du succès, la S aussi pour sa vitesse, la F(ast) aussi pour son rapport vitesse/consommation, et j'en passe, sans parler des boitier compatibles TTL qui ont même repris le même brochage, la même numérotation de pins et les même specs que la TTL....
Ce n'est pas en TTL meme Schottky que tu feras un bus memoire en "double clock" a 333 Mhz!
C'est pourtant en bipolaire qu'on ales les fréquences les plus rapides à la base. Le Mos est un veau en comparaison. Faur revoir ta théorie.
Les niveaux etaient autour de 3.3v dans les années 2000 pour les bus rapides et sont passés autour de 1,8v voire plus bas maintenant et bien souvent en techno differentielle.
Les 5V de la TTL étaient un compromis très malin, à une époque où le Mos, le C-Mos en particulier, était très sensible au bruit. Une explosion avec effet EMP de nos jours détruirait toute la Mos, un peu moins la LS, beaucoup moins la S, et... presque pas les lampes :)
-- LeLapin
alain denis a tapoté du bout de ses petites papattes :
LeLapin wrote:
Didier a tapoté du bout de ses petites papattes :
LeLapin a écrit :
L'amplitude du signal c'est la différence minimale effective entre
un 1 et un 0.
Mais sinon ta remarque me rappelle une bonne blague du labo de
logique hyperfréquences attenant notre labo hard classique. Pour
eux, tout ce qu'on faisait (donc en gros en dessous du gigahertz),
c'était du "courant continu". Tu ne peux pas savoir à quel point
c'était vexant ;)
Ce n'est pas de l'acharnement, mais l'amplitude d'un signal, ce
n'est pas la différence minimale (c'est quoi ça d'ailleurs ?) entre
un 1 et un 0. Si tu bosses dans un labo hard, et si c'est du hard...ware,
tu me
fais peur. Didier.
Si tu as lu une fois dans ta vie le datasheet du moindre composant
logique, le zéro n'est pas à 0V et le 1 n'est pas à 5V. Le but est de
partir d'un peu en dessous du seuil d'une diode ou d'un transistor vis
à vis de la masse, ce qui peut différer selon la technologie, TTL,
Schottky et j'en passe des tas, et d'aller jusqu'au seuil de
reconnaissance du 1 logique ce qui peut différer encore plus. Certes,
c'est plus facile avec un collecteur ouvert.
En 2010 la TTL a disparue, remplacée par la CMOS depuis bien longtemps.
Oh non ! La LS a encore du succès, la S aussi pour sa vitesse, la
F(ast) aussi pour son rapport vitesse/consommation, et j'en passe, sans
parler des boitier compatibles TTL qui ont même repris le même
brochage, la même numérotation de pins et les même specs que la TTL....
Ce n'est pas en TTL meme Schottky que tu feras un bus memoire en "double
clock" a 333 Mhz!
C'est pourtant en bipolaire qu'on ales les fréquences les plus rapides
à la base. Le Mos est un veau en comparaison. Faur revoir ta théorie.
Les niveaux etaient autour de 3.3v dans les années 2000 pour les bus rapides
et sont passés autour de 1,8v voire plus bas maintenant et bien souvent en
techno differentielle.
Les 5V de la TTL étaient un compromis très malin, à une époque où le
Mos, le C-Mos en particulier, était très sensible au bruit. Une
explosion avec effet EMP de nos jours détruirait toute la Mos, un peu
moins la LS, beaucoup moins la S, et... presque pas les lampes :)
alain denis a tapoté du bout de ses petites papattes :
LeLapin wrote:
Didier a tapoté du bout de ses petites papattes :
LeLapin a écrit :
L'amplitude du signal c'est la différence minimale effective entre un 1 et un 0. Mais sinon ta remarque me rappelle une bonne blague du labo de logique hyperfréquences attenant notre labo hard classique. Pour eux, tout ce qu'on faisait (donc en gros en dessous du gigahertz), c'était du "courant continu". Tu ne peux pas savoir à quel point c'était vexant ;)
Ce n'est pas de l'acharnement, mais l'amplitude d'un signal, ce n'est pas la différence minimale (c'est quoi ça d'ailleurs ?) entre un 1 et un 0. Si tu bosses dans un labo hard, et si c'est du hard...ware, tu me fais peur. Didier.
Si tu as lu une fois dans ta vie le datasheet du moindre composant logique, le zéro n'est pas à 0V et le 1 n'est pas à 5V. Le but est de partir d'un peu en dessous du seuil d'une diode ou d'un transistor vis à vis de la masse, ce qui peut différer selon la technologie, TTL, Schottky et j'en passe des tas, et d'aller jusqu'au seuil de reconnaissance du 1 logique ce qui peut différer encore plus. Certes, c'est plus facile avec un collecteur ouvert.
En 2010 la TTL a disparue, remplacée par la CMOS depuis bien longtemps.
Oh non ! La LS a encore du succès, la S aussi pour sa vitesse, la F(ast) aussi pour son rapport vitesse/consommation, et j'en passe, sans parler des boitier compatibles TTL qui ont même repris le même brochage, la même numérotation de pins et les même specs que la TTL....
Ce n'est pas en TTL meme Schottky que tu feras un bus memoire en "double clock" a 333 Mhz!
C'est pourtant en bipolaire qu'on ales les fréquences les plus rapides à la base. Le Mos est un veau en comparaison. Faur revoir ta théorie.
Les niveaux etaient autour de 3.3v dans les années 2000 pour les bus rapides et sont passés autour de 1,8v voire plus bas maintenant et bien souvent en techno differentielle.
Les 5V de la TTL étaient un compromis très malin, à une époque où le Mos, le C-Mos en particulier, était très sensible au bruit. Une explosion avec effet EMP de nos jours détruirait toute la Mos, un peu moins la LS, beaucoup moins la S, et... presque pas les lampes :)
-- LeLapin
LeLapin
Jean-Christophe a tapoté du bout de ses petites papattes :
Il faut lire "Le monde des non-A" de A.E Van Vogt
Tiens ! Un mec cultivé !
-- LeLapin
Jean-Christophe a tapoté du bout de ses petites papattes :
Jean-Christophe a tapoté du bout de ses petites papattes :
Il faut lire "Le monde des non-A" de A.E Van Vogt
Tiens ! Un mec cultivé !
-- LeLapin
LeLapin
alain denis a tapoté du bout de ses petites papattes :
LeLapin wrote:
Fernand DEMOUSTIER a tapoté du bout de ses petites papattes :
Jean-Christophe a utilisé son clavier pour écrire :
La fréquence s'applique à un signal périodique :
La fréquence d'un phénomène, c'est son nombre d'occurrences par unité de temps. ex : la grippe est plus fréquente cette année (nombre de cas de grippe par an).
C'est là la différence entre un électronicien et un mec de base.
C'est quoi encore cette affirmation? Ca va les chevilles? Il y a des electroniciens basiques ( même sur ce groupe) et aussi des mecs (pas forcemment electroniciens) tres biens. Un electronicien n'a rien de superieur par rapport aux autres!! Simplement une experience et une competence differente et encore faut-il qu'il sache la mettre a jour regulièrement, vu la vitesse d'évolution, sinon il va vite devenir ce que j'appelle un "papi TTL", il y a dix ans je disais un "papi tube".
Non, un papi tube c'était il y a 40 ans. Mais sinon tu as raison, c'est pour ça que je me mets aux procs à 2 ou 3 GHz et aux microcontroleurs plus petits que mon Clopidogrel.
Mais tu reconnaitras que puisqu'il faut commencer à former un mathématicien avec l'addition, la soustractione et le reste, il faut commencer à former un électronicien logique avec les portes de base. Non ?
-- LeLapin
alain denis a tapoté du bout de ses petites papattes :
LeLapin wrote:
Fernand DEMOUSTIER a tapoté du bout de ses petites papattes :
Jean-Christophe a utilisé son clavier pour écrire :
La fréquence s'applique à un signal périodique :
La fréquence d'un phénomène, c'est son nombre d'occurrences par
unité de temps. ex : la grippe est plus fréquente cette année
(nombre de cas de grippe par an).
C'est là la différence entre un électronicien et un mec de base.
C'est quoi encore cette affirmation? Ca va les chevilles?
Il y a des electroniciens basiques ( même sur ce groupe) et aussi des mecs
(pas forcemment electroniciens) tres biens.
Un electronicien n'a rien de superieur par rapport aux autres!! Simplement
une experience et une competence differente et encore faut-il qu'il sache la
mettre a jour regulièrement, vu la vitesse d'évolution, sinon il va vite
devenir ce que j'appelle un "papi TTL", il y a dix ans je disais un "papi
tube".
Non, un papi tube c'était il y a 40 ans. Mais sinon tu as raison, c'est
pour ça que je me mets aux procs à 2 ou 3 GHz et aux microcontroleurs
plus petits que mon Clopidogrel.
Mais tu reconnaitras que puisqu'il faut commencer à former un
mathématicien avec l'addition, la soustractione et le reste, il faut
commencer à former un électronicien logique avec les portes de base.
Non ?
alain denis a tapoté du bout de ses petites papattes :
LeLapin wrote:
Fernand DEMOUSTIER a tapoté du bout de ses petites papattes :
Jean-Christophe a utilisé son clavier pour écrire :
La fréquence s'applique à un signal périodique :
La fréquence d'un phénomène, c'est son nombre d'occurrences par unité de temps. ex : la grippe est plus fréquente cette année (nombre de cas de grippe par an).
C'est là la différence entre un électronicien et un mec de base.
C'est quoi encore cette affirmation? Ca va les chevilles? Il y a des electroniciens basiques ( même sur ce groupe) et aussi des mecs (pas forcemment electroniciens) tres biens. Un electronicien n'a rien de superieur par rapport aux autres!! Simplement une experience et une competence differente et encore faut-il qu'il sache la mettre a jour regulièrement, vu la vitesse d'évolution, sinon il va vite devenir ce que j'appelle un "papi TTL", il y a dix ans je disais un "papi tube".
Non, un papi tube c'était il y a 40 ans. Mais sinon tu as raison, c'est pour ça que je me mets aux procs à 2 ou 3 GHz et aux microcontroleurs plus petits que mon Clopidogrel.
Mais tu reconnaitras que puisqu'il faut commencer à former un mathématicien avec l'addition, la soustractione et le reste, il faut commencer à former un électronicien logique avec les portes de base. Non ?