"Drannob" a écrit dans le message de news:
47400030$0$5088$Les vehicules appartiennent au proprietaires des emplacements .
La procedure d'enlevement par OPJ n'est pas applicable .
En l'absence de reglement de copropriété sur ce point , le syndic n'a aucun
pouvoir à l'encontre de ces proprietaires , meme pas d'envoyer une mise en
demeure .
Cela reste une négociation de voisinage .
-- Drannob
Voila qui est clair !
Merci !
Mais alors, quelle autre procédure éventuellement ? Faire voter une
modification du règlement de copropriété par exemple ?
Et alors selon
quelles règles ? Ou bien faire voter une résolution d'enlèvement après mise
en demeure, contre les dangers que représentent tout de même, à plus d'un
titre, ces épaves ?
Et puis s'il est possible de changer un règlement de
copro, pourquoi le syndic ne l'a-t-il pas proposé, depuis DES (nombreuses
pour certains véhicules) années que dure ce trouble ?
"Drannob" <jeanmichelpointbonnard@wa.fr> a écrit dans le message de news:
47400030$0$5088$ba4acef3@news.orange.fr...
Les vehicules appartiennent au proprietaires des emplacements .
La procedure d'enlevement par OPJ n'est pas applicable .
En l'absence de reglement de copropriété sur ce point , le syndic n'a aucun
pouvoir à l'encontre de ces proprietaires , meme pas d'envoyer une mise en
demeure .
Cela reste une négociation de voisinage .
-- Drannob
Voila qui est clair !
Merci !
Mais alors, quelle autre procédure éventuellement ? Faire voter une
modification du règlement de copropriété par exemple ?
Et alors selon
quelles règles ? Ou bien faire voter une résolution d'enlèvement après mise
en demeure, contre les dangers que représentent tout de même, à plus d'un
titre, ces épaves ?
Et puis s'il est possible de changer un règlement de
copro, pourquoi le syndic ne l'a-t-il pas proposé, depuis DES (nombreuses
pour certains véhicules) années que dure ce trouble ?
"Drannob" a écrit dans le message de news:
47400030$0$5088$Les vehicules appartiennent au proprietaires des emplacements .
La procedure d'enlevement par OPJ n'est pas applicable .
En l'absence de reglement de copropriété sur ce point , le syndic n'a aucun
pouvoir à l'encontre de ces proprietaires , meme pas d'envoyer une mise en
demeure .
Cela reste une négociation de voisinage .
-- Drannob
Voila qui est clair !
Merci !
Mais alors, quelle autre procédure éventuellement ? Faire voter une
modification du règlement de copropriété par exemple ?
Et alors selon
quelles règles ? Ou bien faire voter une résolution d'enlèvement après mise
en demeure, contre les dangers que représentent tout de même, à plus d'un
titre, ces épaves ?
Et puis s'il est possible de changer un règlement de
copro, pourquoi le syndic ne l'a-t-il pas proposé, depuis DES (nombreuses
pour certains véhicules) années que dure ce trouble ?
Dans ces conditions l'assurance, à l'intérieur de ce parking, ne
fonctionnera pas car le code de la route *oblige* l'automobiliste à êt re
assuré, et ça ne semble pas être le cas pour les dites épaves.
Je serais curieux de savoir s'il y a beaucoup de copropriétaires qui
voudront bien utiliser "leur" parking sachant que le code de la route ne
s'y applique pas ?
Dans ces conditions l'assurance, à l'intérieur de ce parking, ne
fonctionnera pas car le code de la route *oblige* l'automobiliste à êt re
assuré, et ça ne semble pas être le cas pour les dites épaves.
Je serais curieux de savoir s'il y a beaucoup de copropriétaires qui
voudront bien utiliser "leur" parking sachant que le code de la route ne
s'y applique pas ?
Dans ces conditions l'assurance, à l'intérieur de ce parking, ne
fonctionnera pas car le code de la route *oblige* l'automobiliste à êt re
assuré, et ça ne semble pas être le cas pour les dites épaves.
Je serais curieux de savoir s'il y a beaucoup de copropriétaires qui
voudront bien utiliser "leur" parking sachant que le code de la route ne
s'y applique pas ?
On 16 nov, 17:29, "Marc-Antoine" wrote:Dans ces conditions l'assurance, à l'intérieur de ce parking, ne
fonctionnera pas car le code de la route *oblige* l'automobiliste à
être
assuré, et ça ne semble pas être le cas pour les dites épaves.
Ca n'a *aucun* rapport !
Les épaves ne sont pas assurées et elles n'ont pas à l'être au titre
du CdR puisqu'elles ne sont pas sur la voie publique. Bon, ok, et
alors ? Le règlement d'un litige n'oblige pas à être assuré : les
responsabilités seront définies, par les assurances ou par la justice,
et le préjudice chiffré, comme pour tout litige.
Je serais curieux de savoir s'il y a beaucoup de copropriétaires qui
voudront bien utiliser "leur" parking sachant que le code de la route
ne
s'y applique pas ?
Le CdR ne s'applique pas non plus dans mon jardin et j'y mets quand
même ma voiture.
On 16 nov, 17:29, "Marc-Antoine" <anto...@marcom.invalid> wrote:
Dans ces conditions l'assurance, à l'intérieur de ce parking, ne
fonctionnera pas car le code de la route *oblige* l'automobiliste à
être
assuré, et ça ne semble pas être le cas pour les dites épaves.
Ca n'a *aucun* rapport !
Les épaves ne sont pas assurées et elles n'ont pas à l'être au titre
du CdR puisqu'elles ne sont pas sur la voie publique. Bon, ok, et
alors ? Le règlement d'un litige n'oblige pas à être assuré : les
responsabilités seront définies, par les assurances ou par la justice,
et le préjudice chiffré, comme pour tout litige.
Je serais curieux de savoir s'il y a beaucoup de copropriétaires qui
voudront bien utiliser "leur" parking sachant que le code de la route
ne
s'y applique pas ?
Le CdR ne s'applique pas non plus dans mon jardin et j'y mets quand
même ma voiture.
On 16 nov, 17:29, "Marc-Antoine" wrote:Dans ces conditions l'assurance, à l'intérieur de ce parking, ne
fonctionnera pas car le code de la route *oblige* l'automobiliste à
être
assuré, et ça ne semble pas être le cas pour les dites épaves.
Ca n'a *aucun* rapport !
Les épaves ne sont pas assurées et elles n'ont pas à l'être au titre
du CdR puisqu'elles ne sont pas sur la voie publique. Bon, ok, et
alors ? Le règlement d'un litige n'oblige pas à être assuré : les
responsabilités seront définies, par les assurances ou par la justice,
et le préjudice chiffré, comme pour tout litige.
Je serais curieux de savoir s'il y a beaucoup de copropriétaires qui
voudront bien utiliser "leur" parking sachant que le code de la route
ne
s'y applique pas ?
Le CdR ne s'applique pas non plus dans mon jardin et j'y mets quand
même ma voiture.
Si le règlement d'un litige n'oblige pas à être assuré, quelle ass urance
pourrait définir les responsabilités et chiffrer les préjudices ? ca r si
le parking est réellement privé, les assurances automobiles ne
fonctionneraient pas.
Mais encore une fois ce parking comme le confirme Tai Tai :
(...mais AUSSI ouvert à TOUTES personnes la fréquentant, occupants ou
même éventuels invités...) semble être ouvert à la circulation
> Le CdR ne s'applique pas non plus dans mon jardin et j'y mets quand
> même ma voiture.
C'est tout à fait différent il s'agit bien là d'un endroit privé q ui
n'est pas, au sens du code de la route, ouvert à la circulation
publique.
Si le règlement d'un litige n'oblige pas à être assuré, quelle ass urance
pourrait définir les responsabilités et chiffrer les préjudices ? ca r si
le parking est réellement privé, les assurances automobiles ne
fonctionneraient pas.
Mais encore une fois ce parking comme le confirme Tai Tai :
(...mais AUSSI ouvert à TOUTES personnes la fréquentant, occupants ou
même éventuels invités...) semble être ouvert à la circulation
> Le CdR ne s'applique pas non plus dans mon jardin et j'y mets quand
> même ma voiture.
C'est tout à fait différent il s'agit bien là d'un endroit privé q ui
n'est pas, au sens du code de la route, ouvert à la circulation
publique.
Si le règlement d'un litige n'oblige pas à être assuré, quelle ass urance
pourrait définir les responsabilités et chiffrer les préjudices ? ca r si
le parking est réellement privé, les assurances automobiles ne
fonctionneraient pas.
Mais encore une fois ce parking comme le confirme Tai Tai :
(...mais AUSSI ouvert à TOUTES personnes la fréquentant, occupants ou
même éventuels invités...) semble être ouvert à la circulation
> Le CdR ne s'applique pas non plus dans mon jardin et j'y mets quand
> même ma voiture.
C'est tout à fait différent il s'agit bien là d'un endroit privé q ui
n'est pas, au sens du code de la route, ouvert à la circulation
publique.
On 19 nov, 12:30, "Marc-Antoine" wrote:
Commençons par la dernière phrase : mais d'où diable sort une telle
idée ??? L'assurance pour un véhicule fonctionne quelque soit
l'endroit où se trouve le véhicule (avec quelques exclusions
particulières, comme un circuit automobile par exemple). Elle ne
dépend pas de l'application ou pas du Code de la Route.
Supposons maintenant que 2 véhicules aient un accrochage, sur un
parking fermé ou pas. Voici quelques cas de figures :
- remboursement et définition des responsabilités par les assurances
- remboursement et définition des responsabilités par une seule
assurance
- arrangement amiable
- pas d'arrangement ou contestation de l'attribution de responsabilité
=> passage au tribunal
Mais encore une fois ce parking comme le confirme Tai Tai :
(...mais AUSSI ouvert à TOUTES personnes la fréquentant, occupants ou
même éventuels invités...) semble être ouvert à la circulation
Pas à la circulation *publique* puisque seuls les habitants et invités
y ont accès.
Le CdR ne s'applique pas non plus dans mon jardin et j'y mets quand
même ma voiture.
C'est tout à fait différent il s'agit bien là d'un endroit privé qui
n'est pas, au sens du code de la route, ouvert à la circulation
publique.
Tout comme le parking fermé d'une résidence. Il n'y a *aucune*
différence.
On 19 nov, 12:30, "Marc-Antoine" <anto...@marcom.invalid> wrote:
Commençons par la dernière phrase : mais d'où diable sort une telle
idée ??? L'assurance pour un véhicule fonctionne quelque soit
l'endroit où se trouve le véhicule (avec quelques exclusions
particulières, comme un circuit automobile par exemple). Elle ne
dépend pas de l'application ou pas du Code de la Route.
Supposons maintenant que 2 véhicules aient un accrochage, sur un
parking fermé ou pas. Voici quelques cas de figures :
- remboursement et définition des responsabilités par les assurances
- remboursement et définition des responsabilités par une seule
assurance
- arrangement amiable
- pas d'arrangement ou contestation de l'attribution de responsabilité
=> passage au tribunal
Mais encore une fois ce parking comme le confirme Tai Tai :
(...mais AUSSI ouvert à TOUTES personnes la fréquentant, occupants ou
même éventuels invités...) semble être ouvert à la circulation
Pas à la circulation *publique* puisque seuls les habitants et invités
y ont accès.
Le CdR ne s'applique pas non plus dans mon jardin et j'y mets quand
même ma voiture.
C'est tout à fait différent il s'agit bien là d'un endroit privé qui
n'est pas, au sens du code de la route, ouvert à la circulation
publique.
Tout comme le parking fermé d'une résidence. Il n'y a *aucune*
différence.
On 19 nov, 12:30, "Marc-Antoine" wrote:
Commençons par la dernière phrase : mais d'où diable sort une telle
idée ??? L'assurance pour un véhicule fonctionne quelque soit
l'endroit où se trouve le véhicule (avec quelques exclusions
particulières, comme un circuit automobile par exemple). Elle ne
dépend pas de l'application ou pas du Code de la Route.
Supposons maintenant que 2 véhicules aient un accrochage, sur un
parking fermé ou pas. Voici quelques cas de figures :
- remboursement et définition des responsabilités par les assurances
- remboursement et définition des responsabilités par une seule
assurance
- arrangement amiable
- pas d'arrangement ou contestation de l'attribution de responsabilité
=> passage au tribunal
Mais encore une fois ce parking comme le confirme Tai Tai :
(...mais AUSSI ouvert à TOUTES personnes la fréquentant, occupants ou
même éventuels invités...) semble être ouvert à la circulation
Pas à la circulation *publique* puisque seuls les habitants et invités
y ont accès.
Le CdR ne s'applique pas non plus dans mon jardin et j'y mets quand
même ma voiture.
C'est tout à fait différent il s'agit bien là d'un endroit privé qui
n'est pas, au sens du code de la route, ouvert à la circulation
publique.
Tout comme le parking fermé d'une résidence. Il n'y a *aucune*
différence.
news.usenet-access.com vient de nous annoncer :"Drannob" a écrit dans le message de news:
47400030$0$5088$Les vehicules appartiennent au proprietaires des emplacements .
La procedure d'enlevement par OPJ n'est pas applicable .
En l'absence de reglement de copropriété sur ce point , le syndic n'a
aucun pouvoir à l'encontre de ces proprietaires , meme pas d'envoyer une
mise en demeure .
Cela reste une négociation de voisinage .
-- Drannob
Voila qui est clair !
Merci !
Mais alors, quelle autre procédure éventuellement ? Faire voter une
modification du règlement de copropriété par exemple ?
demande l'unanimité des co propriétaires, donc impossible!
Et alors selon quelles règles ? Ou bien faire voter une résolution
d'enlèvement après mise en demeure, contre les dangers que représentent
tout de même, à plus d'un titre, ces épaves ?
impossible aussi, seul un tribunal pourrait l'ordonner, vous ne pouvez
porter atteinte au bien d'autruit sans décision judiciaire vous y
autorisant!
Et puis s'il est possible de changer un règlement de copro, pourquoi le
syndic ne l'a-t-il pas proposé, depuis DES (nombreuses pour certains
véhicules) années que dure ce trouble ?
ben non c'est pas possible car c'est le contrat qui vous lie aux autres co
propriétaires et il faut que tout le monde soit d'accord pour modifier les
termes d'un contrat!
A mon avis il n'y a qu'une seule piste, celle de l'assurance! Mais elle
est mince et longue!!!
Bonne chance, et si vous etes seul à vouloir bouger, ben la majorité a
raison et donc vous vous plez à la majorité ou vous partez ... Je ne vois
pas d'autre solution.
news.usenet-access.com vient de nous annoncer :
"Drannob" <jeanmichelpointbonnard@wa.fr> a écrit dans le message de news:
47400030$0$5088$ba4acef3@news.orange.fr...
Les vehicules appartiennent au proprietaires des emplacements .
La procedure d'enlevement par OPJ n'est pas applicable .
En l'absence de reglement de copropriété sur ce point , le syndic n'a
aucun pouvoir à l'encontre de ces proprietaires , meme pas d'envoyer une
mise en demeure .
Cela reste une négociation de voisinage .
-- Drannob
Voila qui est clair !
Merci !
Mais alors, quelle autre procédure éventuellement ? Faire voter une
modification du règlement de copropriété par exemple ?
demande l'unanimité des co propriétaires, donc impossible!
Et alors selon quelles règles ? Ou bien faire voter une résolution
d'enlèvement après mise en demeure, contre les dangers que représentent
tout de même, à plus d'un titre, ces épaves ?
impossible aussi, seul un tribunal pourrait l'ordonner, vous ne pouvez
porter atteinte au bien d'autruit sans décision judiciaire vous y
autorisant!
Et puis s'il est possible de changer un règlement de copro, pourquoi le
syndic ne l'a-t-il pas proposé, depuis DES (nombreuses pour certains
véhicules) années que dure ce trouble ?
ben non c'est pas possible car c'est le contrat qui vous lie aux autres co
propriétaires et il faut que tout le monde soit d'accord pour modifier les
termes d'un contrat!
A mon avis il n'y a qu'une seule piste, celle de l'assurance! Mais elle
est mince et longue!!!
Bonne chance, et si vous etes seul à vouloir bouger, ben la majorité a
raison et donc vous vous plez à la majorité ou vous partez ... Je ne vois
pas d'autre solution.
news.usenet-access.com vient de nous annoncer :"Drannob" a écrit dans le message de news:
47400030$0$5088$Les vehicules appartiennent au proprietaires des emplacements .
La procedure d'enlevement par OPJ n'est pas applicable .
En l'absence de reglement de copropriété sur ce point , le syndic n'a
aucun pouvoir à l'encontre de ces proprietaires , meme pas d'envoyer une
mise en demeure .
Cela reste une négociation de voisinage .
-- Drannob
Voila qui est clair !
Merci !
Mais alors, quelle autre procédure éventuellement ? Faire voter une
modification du règlement de copropriété par exemple ?
demande l'unanimité des co propriétaires, donc impossible!
Et alors selon quelles règles ? Ou bien faire voter une résolution
d'enlèvement après mise en demeure, contre les dangers que représentent
tout de même, à plus d'un titre, ces épaves ?
impossible aussi, seul un tribunal pourrait l'ordonner, vous ne pouvez
porter atteinte au bien d'autruit sans décision judiciaire vous y
autorisant!
Et puis s'il est possible de changer un règlement de copro, pourquoi le
syndic ne l'a-t-il pas proposé, depuis DES (nombreuses pour certains
véhicules) années que dure ce trouble ?
ben non c'est pas possible car c'est le contrat qui vous lie aux autres co
propriétaires et il faut que tout le monde soit d'accord pour modifier les
termes d'un contrat!
A mon avis il n'y a qu'une seule piste, celle de l'assurance! Mais elle
est mince et longue!!!
Bonne chance, et si vous etes seul à vouloir bouger, ben la majorité a
raison et donc vous vous plez à la majorité ou vous partez ... Je ne vois
pas d'autre solution.
> - remboursement et définition des responsabilités par une seule
> assurance
Celle du sinistré (assuré) qui va se tourné vers quelle assurance s' il
n'est pas en tort ?
> Pas à la circulation *publique* puisque seuls les habitants et invit és
> y ont accès.
Oui en effet il y a un bon mélange, et c'est là que nous divergeons
considérablement, nous n'avons pas du tout la même interprétation de la
notion de circulation publique, mais je ne t'imposerais pas mon point de
vue.
C'est le règlement intérieur de la copropriété qui peut définir cette
notion de privé ou ouvert au public.
> - remboursement et définition des responsabilités par une seule
> assurance
Celle du sinistré (assuré) qui va se tourné vers quelle assurance s' il
n'est pas en tort ?
> Pas à la circulation *publique* puisque seuls les habitants et invit és
> y ont accès.
Oui en effet il y a un bon mélange, et c'est là que nous divergeons
considérablement, nous n'avons pas du tout la même interprétation de la
notion de circulation publique, mais je ne t'imposerais pas mon point de
vue.
C'est le règlement intérieur de la copropriété qui peut définir cette
notion de privé ou ouvert au public.
> - remboursement et définition des responsabilités par une seule
> assurance
Celle du sinistré (assuré) qui va se tourné vers quelle assurance s' il
n'est pas en tort ?
> Pas à la circulation *publique* puisque seuls les habitants et invit és
> y ont accès.
Oui en effet il y a un bon mélange, et c'est là que nous divergeons
considérablement, nous n'avons pas du tout la même interprétation de la
notion de circulation publique, mais je ne t'imposerais pas mon point de
vue.
C'est le règlement intérieur de la copropriété qui peut définir cette
notion de privé ou ouvert au public.
On 19 nov, 19:19, "Marc-Antoine" wrote:- remboursement et définition des responsabilités par une seule
assurance
Celle du sinistré (assuré) qui va se tourné vers quelle assurance
s'il
n'est pas en tort ?
Vers la sienne, bien-sûr.Pas à la circulation *publique* puisque seuls les habitants et
invités
y ont accès.
Oui en effet il y a un bon mélange, et c'est là que nous divergeons
considérablement, nous n'avons pas du tout la même interprétation de
la
notion de circulation publique, mais je ne t'imposerais pas mon point
de
vue.
A vrai dire, il n'y a pas grand chose à discuter ni à imposer : la
Cour de Cassation l'a fait pour nous dans une jurisprudence nombreuse
et constante.
C'est le règlement intérieur de la copropriété qui peut définir cette
notion de privé ou ouvert au public.
Non. C'est l'usage *réel* du parking. Encore une fois, va lire
quelques arrêts de Cass, tu constateras que c'est très clair.
On 19 nov, 19:19, "Marc-Antoine" <anto...@marcom.invalid> wrote:
- remboursement et définition des responsabilités par une seule
assurance
Celle du sinistré (assuré) qui va se tourné vers quelle assurance
s'il
n'est pas en tort ?
Vers la sienne, bien-sûr.
Pas à la circulation *publique* puisque seuls les habitants et
invités
y ont accès.
Oui en effet il y a un bon mélange, et c'est là que nous divergeons
considérablement, nous n'avons pas du tout la même interprétation de
la
notion de circulation publique, mais je ne t'imposerais pas mon point
de
vue.
A vrai dire, il n'y a pas grand chose à discuter ni à imposer : la
Cour de Cassation l'a fait pour nous dans une jurisprudence nombreuse
et constante.
C'est le règlement intérieur de la copropriété qui peut définir cette
notion de privé ou ouvert au public.
Non. C'est l'usage *réel* du parking. Encore une fois, va lire
quelques arrêts de Cass, tu constateras que c'est très clair.
On 19 nov, 19:19, "Marc-Antoine" wrote:- remboursement et définition des responsabilités par une seule
assurance
Celle du sinistré (assuré) qui va se tourné vers quelle assurance
s'il
n'est pas en tort ?
Vers la sienne, bien-sûr.Pas à la circulation *publique* puisque seuls les habitants et
invités
y ont accès.
Oui en effet il y a un bon mélange, et c'est là que nous divergeons
considérablement, nous n'avons pas du tout la même interprétation de
la
notion de circulation publique, mais je ne t'imposerais pas mon point
de
vue.
A vrai dire, il n'y a pas grand chose à discuter ni à imposer : la
Cour de Cassation l'a fait pour nous dans une jurisprudence nombreuse
et constante.
C'est le règlement intérieur de la copropriété qui peut définir cette
notion de privé ou ouvert au public.
Non. C'est l'usage *réel* du parking. Encore une fois, va lire
quelques arrêts de Cass, tu constateras que c'est très clair.
> A vrai dire, il n'y a pas grand chose à discuter ni à imposer : la
> Cour de Cassation l'a fait pour nous dans une jurisprudence nombreuse
> et constante.
Nombreuse et constante en effet car si elle a donné une définition à peu
près précise de l'expression "ouverte à la circulation publique" cel a
reste encore ambiguë.
- Cour de cassation - Chambre civile 2 - 19 février 1992 - n° du pourv oi
: 90-21395
- Cour de cassation - Chambre criminelle - 9 janvier 1974 - n° du
pourvoi 73-91006.
Quant à la définition de parking privé, ouvert ou non à la circula tion
publique, je ne comprends pas trop par "usage réel" qui permettrait de
lever toute ambiguïté sur son appartenance.
> A vrai dire, il n'y a pas grand chose à discuter ni à imposer : la
> Cour de Cassation l'a fait pour nous dans une jurisprudence nombreuse
> et constante.
Nombreuse et constante en effet car si elle a donné une définition à peu
près précise de l'expression "ouverte à la circulation publique" cel a
reste encore ambiguë.
- Cour de cassation - Chambre civile 2 - 19 février 1992 - n° du pourv oi
: 90-21395
- Cour de cassation - Chambre criminelle - 9 janvier 1974 - n° du
pourvoi 73-91006.
Quant à la définition de parking privé, ouvert ou non à la circula tion
publique, je ne comprends pas trop par "usage réel" qui permettrait de
lever toute ambiguïté sur son appartenance.
> A vrai dire, il n'y a pas grand chose à discuter ni à imposer : la
> Cour de Cassation l'a fait pour nous dans une jurisprudence nombreuse
> et constante.
Nombreuse et constante en effet car si elle a donné une définition à peu
près précise de l'expression "ouverte à la circulation publique" cel a
reste encore ambiguë.
- Cour de cassation - Chambre civile 2 - 19 février 1992 - n° du pourv oi
: 90-21395
- Cour de cassation - Chambre criminelle - 9 janvier 1974 - n° du
pourvoi 73-91006.
Quant à la définition de parking privé, ouvert ou non à la circula tion
publique, je ne comprends pas trop par "usage réel" qui permettrait de
lever toute ambiguïté sur son appartenance.
> A vrai dire, il n'y a pas grand chose à discuter ni à imposer : la
> Cour de Cassation l'a fait pour nous dans une jurisprudence nombreuse
> et constante.
Nombreuse et constante en effet car si elle a donné une définition à peu
près précise de l'expression "ouverte à la circulation publique" cela
reste encore ambiguë.
- Cour de cassation - Chambre civile 2 - 19 février 1992 - n° du pourvoi
: 90-21395
- Cour de cassation - Chambre criminelle - 9 janvier 1974 - n° du
pourvoi 73-91006.
Quant à la définition de parking privé, ouvert ou non à la circulation
publique, je ne comprends pas trop par "usage réel" qui permettrait de
lever toute ambiguïté sur son appartenance.
> A vrai dire, il n'y a pas grand chose à discuter ni à imposer : la
> Cour de Cassation l'a fait pour nous dans une jurisprudence nombreuse
> et constante.
Nombreuse et constante en effet car si elle a donné une définition à peu
près précise de l'expression "ouverte à la circulation publique" cela
reste encore ambiguë.
- Cour de cassation - Chambre civile 2 - 19 février 1992 - n° du pourvoi
: 90-21395
- Cour de cassation - Chambre criminelle - 9 janvier 1974 - n° du
pourvoi 73-91006.
Quant à la définition de parking privé, ouvert ou non à la circulation
publique, je ne comprends pas trop par "usage réel" qui permettrait de
lever toute ambiguïté sur son appartenance.
> A vrai dire, il n'y a pas grand chose à discuter ni à imposer : la
> Cour de Cassation l'a fait pour nous dans une jurisprudence nombreuse
> et constante.
Nombreuse et constante en effet car si elle a donné une définition à peu
près précise de l'expression "ouverte à la circulation publique" cela
reste encore ambiguë.
- Cour de cassation - Chambre civile 2 - 19 février 1992 - n° du pourvoi
: 90-21395
- Cour de cassation - Chambre criminelle - 9 janvier 1974 - n° du
pourvoi 73-91006.
Quant à la définition de parking privé, ouvert ou non à la circulation
publique, je ne comprends pas trop par "usage réel" qui permettrait de
lever toute ambiguïté sur son appartenance.