LeLapin a écrit le 21/4/2010 13:41 dans fr.rec.tv.programmes :
Non, Christophe Isard c'était "croque-vacances", vous êtes trop vieux pour savoir :)
Et Casimir, non ?
Aussi. Et beaucoup d'autres :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Christophe_Izard
Au passage, c'est bien avec un z.
Pierre Maurette
Jac, le 20/04/2010 a écrit :
"Pierre Maurette" :
Je n'ai pas le mal de montagne. Quand c'est trop vertical, simplement j'ai la trouille. C'est clair ?
Moi aussi. C'est pas normal à mon âge.
Je ne connais pas votre âge. Je pense que l'homme est un roseau pensant et également trouillard. Sans l'un des deux, l'espèce n'aurait pas prospéré. J'aurai passé ma vie, dont je suis aujourd'hui plus près de la fin que du début, à combattre mes peurs. J'écris bien /mes peurs/, pas /mes angoisses/. Je suis né à Béziers, le 21 mars 1956. Avec la spéléologie, je faisais du judo, et du rugby, à Frontignan. A l'âge de 16 ans, plus ou moins, je me suis retrouvé à Gravenchon, en basse-seine. Biterrois, je me suis vu propulsé surbooké en junior pilier droit dans le club local, qui était plutôt bon. A 17 ans, j'ai joué des matchs en équipe réserve, et qui plus est des matchs /à contentieux/. C'était de l'incompétence totale de la part de l'encadrement, mais c'était comme ça. Je n'ai même pas beaucoup appris, j'étais mort de trouille sur le terrain. Je me défendais, mais minimum vital. Et puis la vie a continué, j'ai traîné dans des endroits pas trop dicibles. J'étais plutôt cubique, genre 1m79 105kg, on ne me faisait pas trop chier. Et dès que j'avais un coup dans le nez, je me disais "Putain, s'ils savaient la trouille que j'ai". En fin de compte, ça c'est compliqué, à Dunkerque et à Lille, j'ai été obligé d'exercer ma violence. C'est là que j'ai décidé de redescendre à Sète. Taper sur la face d'un être humain, aussi pourri soit-il, c'est complètement merdique.
-- Pierre Maurette
Jac, le 20/04/2010 a écrit :
"Pierre Maurette" :
Je n'ai pas le mal de montagne. Quand c'est trop vertical, simplement j'ai
la trouille. C'est clair ?
Moi aussi. C'est pas normal à mon âge.
Je ne connais pas votre âge.
Je pense que l'homme est un roseau pensant et également trouillard.
Sans l'un des deux, l'espèce n'aurait pas prospéré.
J'aurai passé ma vie, dont je suis aujourd'hui plus près de la fin que
du début, à combattre mes peurs. J'écris bien /mes peurs/, pas /mes
angoisses/.
Je suis né à Béziers, le 21 mars 1956. Avec la spéléologie, je faisais
du judo, et du rugby, à Frontignan. A l'âge de 16 ans, plus ou moins,
je me suis retrouvé à Gravenchon, en basse-seine. Biterrois, je me suis
vu propulsé surbooké en junior pilier droit dans le club local, qui
était plutôt bon. A 17 ans, j'ai joué des matchs en équipe réserve, et
qui plus est des matchs /à contentieux/. C'était de l'incompétence
totale de la part de l'encadrement, mais c'était comme ça. Je n'ai même
pas beaucoup appris, j'étais mort de trouille sur le terrain. Je me
défendais, mais minimum vital.
Et puis la vie a continué, j'ai traîné dans des endroits pas trop
dicibles. J'étais plutôt cubique, genre 1m79 105kg, on ne me faisait
pas trop chier. Et dès que j'avais un coup dans le nez, je me disais
"Putain, s'ils savaient la trouille que j'ai". En fin de compte, ça
c'est compliqué, à Dunkerque et à Lille, j'ai été obligé d'exercer ma
violence. C'est là que j'ai décidé de redescendre à Sète.
Taper sur la face d'un être humain, aussi pourri soit-il, c'est
complètement merdique.
Je n'ai pas le mal de montagne. Quand c'est trop vertical, simplement j'ai la trouille. C'est clair ?
Moi aussi. C'est pas normal à mon âge.
Je ne connais pas votre âge. Je pense que l'homme est un roseau pensant et également trouillard. Sans l'un des deux, l'espèce n'aurait pas prospéré. J'aurai passé ma vie, dont je suis aujourd'hui plus près de la fin que du début, à combattre mes peurs. J'écris bien /mes peurs/, pas /mes angoisses/. Je suis né à Béziers, le 21 mars 1956. Avec la spéléologie, je faisais du judo, et du rugby, à Frontignan. A l'âge de 16 ans, plus ou moins, je me suis retrouvé à Gravenchon, en basse-seine. Biterrois, je me suis vu propulsé surbooké en junior pilier droit dans le club local, qui était plutôt bon. A 17 ans, j'ai joué des matchs en équipe réserve, et qui plus est des matchs /à contentieux/. C'était de l'incompétence totale de la part de l'encadrement, mais c'était comme ça. Je n'ai même pas beaucoup appris, j'étais mort de trouille sur le terrain. Je me défendais, mais minimum vital. Et puis la vie a continué, j'ai traîné dans des endroits pas trop dicibles. J'étais plutôt cubique, genre 1m79 105kg, on ne me faisait pas trop chier. Et dès que j'avais un coup dans le nez, je me disais "Putain, s'ils savaient la trouille que j'ai". En fin de compte, ça c'est compliqué, à Dunkerque et à Lille, j'ai été obligé d'exercer ma violence. C'est là que j'ai décidé de redescendre à Sète. Taper sur la face d'un être humain, aussi pourri soit-il, c'est complètement merdique.
-- Pierre Maurette
Jac
"Pierre Maurette" :
"Pierre Maurette" :
Quand c'est trop vertical, simplement j'ai la trouille. C'est clair ?
Moi aussi. C'est pas normal à mon âge.
Je ne connais pas votre âge.
Je suis plus vieux que toi de huit ans et quand elle est trop verticale, je pense au priapisme. Et ça troue la fouille (c).
-- Jac.
"Pierre Maurette" :
"Pierre Maurette" :
Quand c'est trop vertical, simplement j'ai la trouille. C'est clair
?
Moi aussi. C'est pas normal à mon âge.
Je ne connais pas votre âge.
Je suis plus vieux que toi de huit ans et quand elle est trop verticale,
je pense au priapisme.
Et ça troue la fouille (c).
