Ces deux affirmations ne sont pas contradictoires.
Qu'est-ce qui t'empêche de publier ton article alors puisque tu ne sais rien de cette instruction? Tegam ne t'a rien révélé?
-- joke0
AMcD
JacK wrote:
A vouloir franciser à tout prix tout et n'importe quoi, ça frise parfois le ridicule ou complique la compréhension ; les Canadiens sont très forts pour ça, je me souviens de ma perplexité la première fois que j'ai rencontrer le mot butineur :)
Alors eux, c'est les champions du monde du n'importe quoi en la matière ! Obsédés de faire de l'anti-anglais. Pourriel, gratuiciel, courrièleur, on pourrait y rester des heures sur leur vocable très particulier. J'ai même vu "peser sur la touche espace" dans un livre ! Il écrivent "Stoppez" sur leur panneaux au lieu de "Stop". Bref, n'importe quoi. Au final, on atteint vraiment le ridicule quand tu vois écris cédérom, qui n'a plus aucun rapport avec le terme initial.
Sans compter les traductions approximatives qui dénaturent, Troyen (à la place de cheval de Troyes) pour Trojan, etc...
Oui, ben celle-là, ça fait des lustres que je me bats contre. Le problème vient souvent du nivau misérable des traducteurs (et nous en savons quelque chose tous les deux hein :o)). Les deux plus belles :
Trojan -> Troyen. Le premier est l'abbréviation de Trojan horse, le second un habitant de la ville de Troyes... Malicious -> Malicieux. Malgré toutes les élucubrations, dont certaines ici, pour essayer de faire référence au terme "Mal" via ce dernier substantif, il n'en reste pas moins que malicious veux dire malveillant. Point. Pourtant, les 2500 dernières fois où j'ai vu ce terme utilisé/traduit, il était écrit "malicieux"...
Mais bon, les traductions à deux sous, on en voit des tonnes. cela fera rire Pierre VdV, mais on lit encore dans des livres d'éditeurs sérieux des traductions genre :
Actually -> actuellement, Eventually -> éventuellement, Deception -> deception
Et j'en passe et des meilleures. Il y a tellement d'anti-anglais en ce bas monde, qu'ils ne se donnent même pas la peine de bien apprendre leur langue avant de la traduire. Comme en face il y a autant de branchés-hypes incapable de dire bonjour sans sortir trois mots d'anglais avec (dont souvent il n'ont qu'une vague idée du sens), au final, on obtient du n'importe quoi.
Tiens, encore quelques risibilités de nos amis (ben oui quand même) Québécois :
Les premières fois où j'ai clavardé avec des Québécois, j'ai cru être tombé dans une faille spatio-temporelle...
-- AMcD
http://arnold.mcdonald.free.fr/
JacK wrote:
A vouloir franciser à tout prix tout et n'importe quoi, ça frise
parfois le ridicule ou complique la compréhension ; les Canadiens
sont très forts pour ça, je me souviens de ma perplexité la première
fois que j'ai rencontrer le mot butineur :)
Alors eux, c'est les champions du monde du n'importe quoi en la matière !
Obsédés de faire de l'anti-anglais. Pourriel, gratuiciel, courrièleur, on
pourrait y rester des heures sur leur vocable très particulier. J'ai même vu
"peser sur la touche espace" dans un livre ! Il écrivent "Stoppez" sur leur
panneaux au lieu de "Stop". Bref, n'importe quoi. Au final, on atteint
vraiment le ridicule quand tu vois écris cédérom, qui n'a plus aucun rapport
avec le terme initial.
Sans compter les traductions approximatives qui dénaturent, Troyen (à
la place de cheval de Troyes) pour Trojan, etc...
Oui, ben celle-là, ça fait des lustres que je me bats contre. Le problème
vient souvent du nivau misérable des traducteurs (et nous en savons quelque
chose tous les deux hein :o)). Les deux plus belles :
Trojan -> Troyen. Le premier est l'abbréviation de Trojan horse, le second
un habitant de la ville de Troyes...
Malicious -> Malicieux. Malgré toutes les élucubrations, dont certaines ici,
pour essayer de faire référence au terme "Mal" via ce dernier substantif, il
n'en reste pas moins que malicious veux dire malveillant. Point. Pourtant,
les 2500 dernières fois où j'ai vu ce terme utilisé/traduit, il était écrit
"malicieux"...
Mais bon, les traductions à deux sous, on en voit des tonnes. cela fera rire
Pierre VdV, mais on lit encore dans des livres d'éditeurs sérieux des
traductions genre :
Actually -> actuellement,
Eventually -> éventuellement,
Deception -> deception
Et j'en passe et des meilleures. Il y a tellement d'anti-anglais en ce bas
monde, qu'ils ne se donnent même pas la peine de bien apprendre leur langue
avant de la traduire. Comme en face il y a autant de branchés-hypes
incapable de dire bonjour sans sortir trois mots d'anglais avec (dont
souvent il n'ont qu'une vague idée du sens), au final, on obtient du
n'importe quoi.
Tiens, encore quelques risibilités de nos amis (ben oui quand même)
Québécois :
A vouloir franciser à tout prix tout et n'importe quoi, ça frise parfois le ridicule ou complique la compréhension ; les Canadiens sont très forts pour ça, je me souviens de ma perplexité la première fois que j'ai rencontrer le mot butineur :)
Alors eux, c'est les champions du monde du n'importe quoi en la matière ! Obsédés de faire de l'anti-anglais. Pourriel, gratuiciel, courrièleur, on pourrait y rester des heures sur leur vocable très particulier. J'ai même vu "peser sur la touche espace" dans un livre ! Il écrivent "Stoppez" sur leur panneaux au lieu de "Stop". Bref, n'importe quoi. Au final, on atteint vraiment le ridicule quand tu vois écris cédérom, qui n'a plus aucun rapport avec le terme initial.
Sans compter les traductions approximatives qui dénaturent, Troyen (à la place de cheval de Troyes) pour Trojan, etc...
Oui, ben celle-là, ça fait des lustres que je me bats contre. Le problème vient souvent du nivau misérable des traducteurs (et nous en savons quelque chose tous les deux hein :o)). Les deux plus belles :
Trojan -> Troyen. Le premier est l'abbréviation de Trojan horse, le second un habitant de la ville de Troyes... Malicious -> Malicieux. Malgré toutes les élucubrations, dont certaines ici, pour essayer de faire référence au terme "Mal" via ce dernier substantif, il n'en reste pas moins que malicious veux dire malveillant. Point. Pourtant, les 2500 dernières fois où j'ai vu ce terme utilisé/traduit, il était écrit "malicieux"...
Mais bon, les traductions à deux sous, on en voit des tonnes. cela fera rire Pierre VdV, mais on lit encore dans des livres d'éditeurs sérieux des traductions genre :
Actually -> actuellement, Eventually -> éventuellement, Deception -> deception
Et j'en passe et des meilleures. Il y a tellement d'anti-anglais en ce bas monde, qu'ils ne se donnent même pas la peine de bien apprendre leur langue avant de la traduire. Comme en face il y a autant de branchés-hypes incapable de dire bonjour sans sortir trois mots d'anglais avec (dont souvent il n'ont qu'une vague idée du sens), au final, on obtient du n'importe quoi.
Tiens, encore quelques risibilités de nos amis (ben oui quand même) Québécois :
Les premières fois où j'ai clavardé avec des Québécois, j'ai cru être tombé dans une faille spatio-temporelle...
-- AMcD
http://arnold.mcdonald.free.fr/
Frederic Bonroy
JacK wrote:
J'ai parfois du mal à comprendre des termes francisés alors que l'expression Eng est évidente pour tout le monde.
Pas toujours. Par exemple, les Allemands ont adopté les termes "hard disk" et "performance" alors qu'il y a des termes allemands appropriés - pas des termes germanisés artificiellement, mais bien des termes d'origine allemande. Ça ne ressemble à rien, c'est absurde, ridicule.
A vouloir franciser à tout prix tout et n'importe quoi, ça frise parfois le ridicule ou complique la compréhension ;
D'accord, mais vouloir utiliser à tout prix des mots anglais, c'est tout aussi ridicule.
JacK wrote:
J'ai parfois du mal à comprendre des termes francisés alors que l'expression
Eng est évidente pour tout le monde.
Pas toujours. Par exemple, les Allemands ont adopté les termes
"hard disk" et "performance" alors qu'il y a des termes allemands
appropriés - pas des termes germanisés artificiellement, mais bien
des termes d'origine allemande. Ça ne ressemble à rien, c'est absurde,
ridicule.
A vouloir franciser à tout prix tout et n'importe quoi, ça frise parfois le
ridicule ou complique la compréhension ;
D'accord, mais vouloir utiliser à tout prix des mots anglais, c'est tout
aussi ridicule.
J'ai parfois du mal à comprendre des termes francisés alors que l'expression Eng est évidente pour tout le monde.
Pas toujours. Par exemple, les Allemands ont adopté les termes "hard disk" et "performance" alors qu'il y a des termes allemands appropriés - pas des termes germanisés artificiellement, mais bien des termes d'origine allemande. Ça ne ressemble à rien, c'est absurde, ridicule.
A vouloir franciser à tout prix tout et n'importe quoi, ça frise parfois le ridicule ou complique la compréhension ;
D'accord, mais vouloir utiliser à tout prix des mots anglais, c'est tout aussi ridicule.
Nicob
On Fri, 24 Oct 2003 13:32:32 +0200, AMcD wrote:
Sans compter les traductions approximatives qui dénaturent, Troyen (à la place de cheval de Troyes) pour Trojan, etc...
Oui, ben celle-là, ça fait des lustres que je me bats contre. Le problème vient souvent du nivau misérable des traducteurs
J'ai acheté la traduction française du bouquin de Stephen Northcutt sur la détection d'intrusion. J'ai failli le ramener tellement il était incompréhensible : il y avait des phrases vraiment absurdes, qu'il fallait traduire mot à mot vers l'anglais pour pouvoir en comprendre le sens.
L'éditeur s'est excusé, heureusement ...
Nicob
On Fri, 24 Oct 2003 13:32:32 +0200, AMcD wrote:
Sans compter les traductions approximatives qui dénaturent, Troyen (à
la place de cheval de Troyes) pour Trojan, etc...
Oui, ben celle-là, ça fait des lustres que je me bats contre. Le
problème vient souvent du nivau misérable des traducteurs
J'ai acheté la traduction française du bouquin de Stephen Northcutt sur
la détection d'intrusion. J'ai failli le ramener tellement il était
incompréhensible : il y avait des phrases vraiment absurdes, qu'il
fallait traduire mot à mot vers l'anglais pour pouvoir en comprendre le
sens.
Sans compter les traductions approximatives qui dénaturent, Troyen (à la place de cheval de Troyes) pour Trojan, etc...
Oui, ben celle-là, ça fait des lustres que je me bats contre. Le problème vient souvent du nivau misérable des traducteurs
J'ai acheté la traduction française du bouquin de Stephen Northcutt sur la détection d'intrusion. J'ai failli le ramener tellement il était incompréhensible : il y avait des phrases vraiment absurdes, qu'il fallait traduire mot à mot vers l'anglais pour pouvoir en comprendre le sens.
L'éditeur s'est excusé, heureusement ...
Nicob
Ewa (siostra Ani) N.
AMcD wrote:
JacK wrote:
A vouloir franciser à tout prix tout et n'importe quoi, ça frise parfois le ridicule ou complique la compréhension ; les Canadiens sont très forts pour ça, je me souviens de ma perplexité la première fois que j'ai rencontrer le mot butineur :)
Alors eux, c'est les champions du monde du n'importe quoi en la matière ! Obsédés de faire de l'anti-anglais. Pourriel, gratuiciel, courrièleur, on pourrait y rester des heures sur leur vocable très particulier. J'ai même vu "peser sur la touche espace" dans un livre ! Il écrivent "Stoppez" sur leur panneaux au lieu de "Stop". Bref, n'importe quoi. Au final, on atteint vraiment le ridicule quand tu vois écris cédérom, qui n'a plus aucun rapport avec le terme initial.
[snip les exemples, intéressants]
Les premières fois où j'ai clavardé avec des Québécois, j'ai cru être tombé dans une faille spatio-temporelle...
Oui, il faut quand même prendre en compte le contexte dans lequel évolue le français au Québec... c'est un îlot francophone dans l'Amérique du Nord, très excentré de surcroît par rapport au "centre" (France, pays européens francophones). Ce ne m'étonne pas du tout qu'on s'y efforce d'inventer les équivalants français pour les mots anglais... c'est vu comme une question de survie de la langue, quoi Souvent "la sauce ne prend pas", leur néologismes ne passent pas dans le français standard, mais bon
C'est facile de critiquer à partir de l'Hexagone, hein ;-)
Ewcia
AMcD wrote:
JacK wrote:
A vouloir franciser à tout prix tout et n'importe quoi, ça frise
parfois le ridicule ou complique la compréhension ; les Canadiens
sont très forts pour ça, je me souviens de ma perplexité la première
fois que j'ai rencontrer le mot butineur :)
Alors eux, c'est les champions du monde du n'importe quoi en la matière !
Obsédés de faire de l'anti-anglais. Pourriel, gratuiciel, courrièleur, on
pourrait y rester des heures sur leur vocable très particulier. J'ai même vu
"peser sur la touche espace" dans un livre ! Il écrivent "Stoppez" sur leur
panneaux au lieu de "Stop". Bref, n'importe quoi. Au final, on atteint
vraiment le ridicule quand tu vois écris cédérom, qui n'a plus aucun rapport
avec le terme initial.
[snip les exemples, intéressants]
Les premières fois où j'ai clavardé avec des Québécois, j'ai cru être tombé
dans une faille spatio-temporelle...
Oui, il faut quand même prendre en compte le contexte dans lequel évolue
le français au Québec... c'est un îlot francophone dans l'Amérique du
Nord, très excentré de surcroît par rapport au "centre" (France, pays
européens francophones). Ce ne m'étonne pas du tout qu'on s'y efforce
d'inventer les équivalants français pour les mots anglais... c'est vu
comme une question de survie de la langue, quoi
Souvent "la sauce ne prend pas", leur néologismes ne passent pas dans le
français standard, mais bon
C'est facile de critiquer à partir de l'Hexagone, hein ;-)
A vouloir franciser à tout prix tout et n'importe quoi, ça frise parfois le ridicule ou complique la compréhension ; les Canadiens sont très forts pour ça, je me souviens de ma perplexité la première fois que j'ai rencontrer le mot butineur :)
Alors eux, c'est les champions du monde du n'importe quoi en la matière ! Obsédés de faire de l'anti-anglais. Pourriel, gratuiciel, courrièleur, on pourrait y rester des heures sur leur vocable très particulier. J'ai même vu "peser sur la touche espace" dans un livre ! Il écrivent "Stoppez" sur leur panneaux au lieu de "Stop". Bref, n'importe quoi. Au final, on atteint vraiment le ridicule quand tu vois écris cédérom, qui n'a plus aucun rapport avec le terme initial.
[snip les exemples, intéressants]
Les premières fois où j'ai clavardé avec des Québécois, j'ai cru être tombé dans une faille spatio-temporelle...
Oui, il faut quand même prendre en compte le contexte dans lequel évolue le français au Québec... c'est un îlot francophone dans l'Amérique du Nord, très excentré de surcroît par rapport au "centre" (France, pays européens francophones). Ce ne m'étonne pas du tout qu'on s'y efforce d'inventer les équivalants français pour les mots anglais... c'est vu comme une question de survie de la langue, quoi Souvent "la sauce ne prend pas", leur néologismes ne passent pas dans le français standard, mais bon
C'est facile de critiquer à partir de l'Hexagone, hein ;-)
Ewcia
Pierre Vandevenne
Frederic Bonroy wrote in news:bnaudq$toece$ 75150.news.uni-berlin.de:
Pierre Vandevenne wrote:
S'il y a d'autres lurkers liégeois dans le coin, j'offre un pot.
Il y en a qui ne sont pas loin, ça compte aussi? ;-)
En semaine, oui. Aachen?
Frederic Bonroy <yorbon@yahoo.fr> wrote in news:bnaudq$toece$1@ID-
75150.news.uni-berlin.de:
Pierre Vandevenne wrote:
S'il y a d'autres lurkers liégeois dans le coin, j'offre un pot.
Il y en a qui ne sont pas loin, ça compte aussi? ;-)